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Dim 9 Sep 2018 - 15:19
Le Choix du nouveau Cap
Feat Louka Kanaka & Zuko Tanaka
Une fois assis, je remarquai que Kanaka-kun tenait un cahier à spirale dans ses mains. Il le regardait avec attention avant que je revienne dans la pièce, si bien que je me demandai bien ce qu’il pouvait y avoir dedans. Mais bon, la curiosité était un vilain défaut. Et comme c’était peut-être personnel et qu’l n’avait peut-être pas envie d’en parler, je ne posais pas la question. Je me contentai de répondre d’un petit signe de tête à sa question quand son regard se posa sur moi. Oui, l’eau m’avait fait du bien. Du moi, j’en avais l’impression.
Le regard de Louka retourna sur le cahier. Il semble hésiter un instant avant de tourner frénétiquement les pages et de de le poser sur la surface plane de la table, en rougissant et en grognant légèrement. Ainsi, je pus mieux voir de quoi il s’agissait. Mais quel idiot, j’étais ! Bien sûr que c’était un cahier un dessin ! Je savais qu’il dessinait ! Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? C’est vraiment bien mon genre d’oublier ce genre de truc.
Je me penchai vers le cahier pour mieux regarder le dessin quand un détail me sauta au visage. C’était moi ! Moi, de profil, la tête posée dans la main, concentré sur ce que j’écoutai. J’ouvris la bouche mais aucun son ne sortit, tellement j’étais surpris. Des rougeurs se réinstallèrent sur mes joues. J’en étais certain tellement j’avais l’impression qu’elles étaient en feu.
La voix de Kanaka-kun me parut lointaine et je dus faire un effort pour comprendre de quoi il parlait. I fallait pour cela que je décroche mon regard de dessin, ce qui n’était pas chose facile. Mais je réussis quand même, juste à temps pour entendre ce qu’il ne fallait surtout pas que j’entende en cette instant : Je dégageais quelque chose de mignon.
Je remerciai intérieurement les kamis que Louka avait actuellement baissé les yeux en soupirant. Là, je devais certainement faire de la concurrence déloyale aux tomates. Je me contentai d’écouter ce qu’il avait encore à dire. Ça me permettrait peut-être de récupérer une couleur de peau normale… Et la parole aussi, si possible. Apparemment, ce n’était pas trop demandé.
A peine eus-je prononcé ces mots, Louka arracha proprement la page de son cahier pour me le tendre. J’ouvris ma farde et le glissai avec délicatesse dans une feuille plastique. Toutefois, un mot me restait dans la tête. Et bien que, comme je l’avais dit, la curiosité est un vilain défaut, je ne pus me retenir de poser la question qui me brûlait les lèvres.
Le regard de Louka retourna sur le cahier. Il semble hésiter un instant avant de tourner frénétiquement les pages et de de le poser sur la surface plane de la table, en rougissant et en grognant légèrement. Ainsi, je pus mieux voir de quoi il s’agissait. Mais quel idiot, j’étais ! Bien sûr que c’était un cahier un dessin ! Je savais qu’il dessinait ! Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? C’est vraiment bien mon genre d’oublier ce genre de truc.
Je me penchai vers le cahier pour mieux regarder le dessin quand un détail me sauta au visage. C’était moi ! Moi, de profil, la tête posée dans la main, concentré sur ce que j’écoutai. J’ouvris la bouche mais aucun son ne sortit, tellement j’étais surpris. Des rougeurs se réinstallèrent sur mes joues. J’en étais certain tellement j’avais l’impression qu’elles étaient en feu.
La voix de Kanaka-kun me parut lointaine et je dus faire un effort pour comprendre de quoi il parlait. I fallait pour cela que je décroche mon regard de dessin, ce qui n’était pas chose facile. Mais je réussis quand même, juste à temps pour entendre ce qu’il ne fallait surtout pas que j’entende en cette instant : Je dégageais quelque chose de mignon.
Je remerciai intérieurement les kamis que Louka avait actuellement baissé les yeux en soupirant. Là, je devais certainement faire de la concurrence déloyale aux tomates. Je me contentai d’écouter ce qu’il avait encore à dire. Ça me permettrait peut-être de récupérer une couleur de peau normale… Et la parole aussi, si possible. Apparemment, ce n’était pas trop demandé.
Zuko ▬ « Je… Je suis… Je serais ravi de l’avoir, oui. Merci. Il est magnifique. »
A peine eus-je prononcé ces mots, Louka arracha proprement la page de son cahier pour me le tendre. J’ouvris ma farde et le glissai avec délicatesse dans une feuille plastique. Toutefois, un mot me restait dans la tête. Et bien que, comme je l’avais dit, la curiosité est un vilain défaut, je ne pus me retenir de poser la question qui me brûlait les lèvres.
Zuko ▬ « Alors… Comme ça… Tu me trouves mignon ? »
"Dessin d'une révélation ?"
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Jeu 13 Sep 2018 - 0:39
Le choix du nouveau Cap
Zuko
Jamais encore il n’avait était aussi gêné de montrer un dessin. D’habitude il ne le montrait pas, mais Zuko était une exception comme beaucoup d’autres. Dans la classe, il était le seul avec lequel le changelin aimait bien discuter, même si c’était d’habitude des échanges banals, il avait toujours apprécié qu’il fasse attention à lui. Après tout la plupart de ses camarades n’avaient pas cherchés à discuter avec lui comme il est très silencieux et discret en classe. Pourtant, dès qu’il y avait eu une occasion, le petit brun était venu échanger avec lui quelques paroles. Cela avait d’ailleurs fait grandir une curiosité en lui, il avait toujours voulus le connaitre un peu mieux sans grand succès puisqu’il se voyait mal aller le voir et lui dire « tu ne veux pas qu’on discute ? J’aimerais te connaitre un peu plus ».
Bon, cette phrase a l’air très banal pour certaine personne, il est vrai. Mais pour le changelin, elle était tout sauf banal, pour lui, connaitre plus une personne revenait à poser beaucoup de question sur elle, cela n’est pas possible pour lui. Après avoir arrachée proprement la page où se trouvait le dessin de Zuko, Louka lui tendit et il le regarda la ranger proprement. Il allait en prendre soin, puis il l’avait plutôt bien prit ! Il l’avait même trouvé magnifique ! Ce qui est un réel bonheur pour le bicolore qui était toujours heureux quand ses dessins plaisaient.
Cependant, à la question de son camarade, il sentit ses joues se couvrir de rouge. Oui, il le trouvait mignon, il trouvait qu’il dégageait quelque chose qui le rendait unique face aux autres. Outres sont physique, il s’était également montré gentil et presque attentionné envers lui alors que personne ne venait le parler. Il avait était la seule personne de la classe dont Louka penser pouvoir être un ami, mais il était souvent entouré et jamais il n’avait osé l’aborder alors qu’il discuter avec ses amis. Se retournant légèrement pour remettre son cahier dans son sac, il souffla discrètement afin d’essayer de calmer son cœur qui battait la chamade. Pour lui, ce que demander Zuko était l’équivalence de « Je te plais ? » et la réponse était la même : oui.
Il s’était un jour surpris à observer le brun en silence, sans même le dessiner. Ses yeux étaient beaux et lorsque son sourire éclairait son visage, le changelin ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était magnifique. Mais son visage calme n’avait jamais fait sortir ce qu’il pensait du brun, il avait gardé cela enfouie en lui. Après tout rien ne disait que Zuko allait accepter qu’un gars comme lui accepte de devenir ami ou autre avec un gars comme lui. La plupart du temps son physique faisait peur à ses camarades et il ne savait pas si le fait qu’il venait de temps en temps lui parlé était une envie de le connaitre, une envie d’être gentil ou de la pitié.
Se remettant droit sur sa chaise en regardant son camarade dans les yeux, les joues encore rouge, il sourit timidement en se grattant la nuque.
« Oui, tu es mignon… Tu dégage quelque chose de spécial qu’il n’y a pas chez les autres, mais je ne pourrais pas te dire ce que c’est. Puis… Tu as toujours essayé de discuter avec moi… Même si je ne répondais pas beaucoup… Je suis désolé d’ailleurs, ce n’était pas parce que je ne voulais pas discuter avec toi…C’est surtout à cause de la timidité et j’avais peur que tu faisais par pitié, je savais très bien que certains de nos camarades essayaient de devenir la raison de ma cicatrice… Enfin. Oui tu es mignon Zuko ! Enfin, tu me plais si tu préfères… »
Ses joues étaient devenues encore plus rouges et ses yeux vairons s’étaient abaissé de gêne, la dernière phrase était sortie toute seule… Il s’en voulait d’avoir dit cela comme ça.
"Désolé c'est sortit tout seul.."
Bon, cette phrase a l’air très banal pour certaine personne, il est vrai. Mais pour le changelin, elle était tout sauf banal, pour lui, connaitre plus une personne revenait à poser beaucoup de question sur elle, cela n’est pas possible pour lui. Après avoir arrachée proprement la page où se trouvait le dessin de Zuko, Louka lui tendit et il le regarda la ranger proprement. Il allait en prendre soin, puis il l’avait plutôt bien prit ! Il l’avait même trouvé magnifique ! Ce qui est un réel bonheur pour le bicolore qui était toujours heureux quand ses dessins plaisaient.
Cependant, à la question de son camarade, il sentit ses joues se couvrir de rouge. Oui, il le trouvait mignon, il trouvait qu’il dégageait quelque chose qui le rendait unique face aux autres. Outres sont physique, il s’était également montré gentil et presque attentionné envers lui alors que personne ne venait le parler. Il avait était la seule personne de la classe dont Louka penser pouvoir être un ami, mais il était souvent entouré et jamais il n’avait osé l’aborder alors qu’il discuter avec ses amis. Se retournant légèrement pour remettre son cahier dans son sac, il souffla discrètement afin d’essayer de calmer son cœur qui battait la chamade. Pour lui, ce que demander Zuko était l’équivalence de « Je te plais ? » et la réponse était la même : oui.
Il s’était un jour surpris à observer le brun en silence, sans même le dessiner. Ses yeux étaient beaux et lorsque son sourire éclairait son visage, le changelin ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était magnifique. Mais son visage calme n’avait jamais fait sortir ce qu’il pensait du brun, il avait gardé cela enfouie en lui. Après tout rien ne disait que Zuko allait accepter qu’un gars comme lui accepte de devenir ami ou autre avec un gars comme lui. La plupart du temps son physique faisait peur à ses camarades et il ne savait pas si le fait qu’il venait de temps en temps lui parlé était une envie de le connaitre, une envie d’être gentil ou de la pitié.
Se remettant droit sur sa chaise en regardant son camarade dans les yeux, les joues encore rouge, il sourit timidement en se grattant la nuque.
« Oui, tu es mignon… Tu dégage quelque chose de spécial qu’il n’y a pas chez les autres, mais je ne pourrais pas te dire ce que c’est. Puis… Tu as toujours essayé de discuter avec moi… Même si je ne répondais pas beaucoup… Je suis désolé d’ailleurs, ce n’était pas parce que je ne voulais pas discuter avec toi…C’est surtout à cause de la timidité et j’avais peur que tu faisais par pitié, je savais très bien que certains de nos camarades essayaient de devenir la raison de ma cicatrice… Enfin. Oui tu es mignon Zuko ! Enfin, tu me plais si tu préfères… »
Ses joues étaient devenues encore plus rouges et ses yeux vairons s’étaient abaissé de gêne, la dernière phrase était sortie toute seule… Il s’en voulait d’avoir dit cela comme ça.
"Désolé c'est sortit tout seul.."
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Jeu 1 Nov 2018 - 1:08
Le Choix du nouveau Cap
Feat Louka Kanaka & Zuko Tanaka
Pourquoi avais-je posé cette maudite question. J’avais tellement l’impression que j’allais le regretter, d’une certaine manière. Je ne disais pas que ce n’était pas agréable de savoir que les autres me trouvent mignon. C’est même… Bah, une bonne nouvelle, en fait. Même si je me demande si beau et sexy ne serait pas plus agréable. Mais c’était une autre histoire. Là, le problème, c’était surtout que je sentais déjà mes joues devenir rouges.
On commençait fort. Quelque chose de spécial ? Je déglutis avec quelques difficultés. Voyons, Zuko ! Tu te fais des idées, là ! Enfin, je n’y peux rien… La peur résiduelle de me faire surprendre en pleine transformation ou que quelqu’un découvre ce que je suis était toujours aussi présente. Ce qui était complétement idiot. Ce n’est pas Louka qui pourrait le découvrir. C’était un humain, tout ce qui a de plus humain. Et particulièrement solitaire. Il n’était pas du genre à me suivre ou à me regarder discrètement. Heu… Bon, si, peut-être… Il m’avait tout de même dessiné sans que je m’en rende compte. Mais bon, de toute façon, il était évident qu’il ne parlait pas de ça.
Aussi, il était vrai que j’avais toujours pris le temps d’essayer de discuter avec lui. Même s’il ne me répondait pas tout le temps. Nous étions d’ailleurs assis l’un à côté de l’autre en classe, durant notre dernière année. Et… Bon, je n’insistais jamais, au final. S’il n’avait pas envie de parler, c’était son droit. Puis, je comprenais qu’avec la cicatrice qu’il avait au visage, les… relations avec les autres pouvaient être compliquées.
Finalement, Il n’y avait pas de quoi s’en faire. Le quelque chose de spécial, c’est surtout que je m’étais toujours montré gentil et respectueux avec lui. Il y avait aucune raison de s’inquiéter de quoi que ce soit. Euh… Trente secondes… PARDON ? Je… Je lui… plaisais ?
Ça y est, j’étais à nouveau rouge, mes joues à nouveau en feu. J’avais tellement chaud que j’étais certain que je devis commencer à suer. Je ne savais littéralement pas où me mettre. C’était si inattendu. Je plaisais à quelqu’un… Mais c’était un garçon… Mais, euh… Je… Je ne savais pas quoi en penser. Je veux dire… Louka aussi, d’une manière, me plaisait bien. Comme ami. Enfin… Je crois. Donc ça devait être pareil. De toute façon, un garçon, ça doit aller avec une fille. Mais les filles… Erf… Je me posais vraiment de drôle de question, là.
Aaaaaaaah ! Qu’est-ce que je devais faire ? Louka attendait une réaction de ma part ! Je ne pouvais pas rester comme ça à le fixer comme s’il avait deux têtes ! Vite, Zuko ! Trouve un truc à dire, à répondre ! Ou réagis ! Souris ! Allez, mon Zuko, tu peux le faire ! T’es un grand maintenant !
Instinctivement, je passais une de mes mains derrière mes cheveux tout en lui faisant un léger sourire.
C’est tout ce que je trouvais à dire ? Sérieusement ? Je ne savais plus où me mettre. Bon, il était vrai que cela me perturbait un peu… Non, beaucoup.
On commençait fort. Quelque chose de spécial ? Je déglutis avec quelques difficultés. Voyons, Zuko ! Tu te fais des idées, là ! Enfin, je n’y peux rien… La peur résiduelle de me faire surprendre en pleine transformation ou que quelqu’un découvre ce que je suis était toujours aussi présente. Ce qui était complétement idiot. Ce n’est pas Louka qui pourrait le découvrir. C’était un humain, tout ce qui a de plus humain. Et particulièrement solitaire. Il n’était pas du genre à me suivre ou à me regarder discrètement. Heu… Bon, si, peut-être… Il m’avait tout de même dessiné sans que je m’en rende compte. Mais bon, de toute façon, il était évident qu’il ne parlait pas de ça.
Aussi, il était vrai que j’avais toujours pris le temps d’essayer de discuter avec lui. Même s’il ne me répondait pas tout le temps. Nous étions d’ailleurs assis l’un à côté de l’autre en classe, durant notre dernière année. Et… Bon, je n’insistais jamais, au final. S’il n’avait pas envie de parler, c’était son droit. Puis, je comprenais qu’avec la cicatrice qu’il avait au visage, les… relations avec les autres pouvaient être compliquées.
Finalement, Il n’y avait pas de quoi s’en faire. Le quelque chose de spécial, c’est surtout que je m’étais toujours montré gentil et respectueux avec lui. Il y avait aucune raison de s’inquiéter de quoi que ce soit. Euh… Trente secondes… PARDON ? Je… Je lui… plaisais ?
Ça y est, j’étais à nouveau rouge, mes joues à nouveau en feu. J’avais tellement chaud que j’étais certain que je devis commencer à suer. Je ne savais littéralement pas où me mettre. C’était si inattendu. Je plaisais à quelqu’un… Mais c’était un garçon… Mais, euh… Je… Je ne savais pas quoi en penser. Je veux dire… Louka aussi, d’une manière, me plaisait bien. Comme ami. Enfin… Je crois. Donc ça devait être pareil. De toute façon, un garçon, ça doit aller avec une fille. Mais les filles… Erf… Je me posais vraiment de drôle de question, là.
Aaaaaaaah ! Qu’est-ce que je devais faire ? Louka attendait une réaction de ma part ! Je ne pouvais pas rester comme ça à le fixer comme s’il avait deux têtes ! Vite, Zuko ! Trouve un truc à dire, à répondre ! Ou réagis ! Souris ! Allez, mon Zuko, tu peux le faire ! T’es un grand maintenant !
Zuko ▬ « Ce… Ce n’est pas grave. »
Instinctivement, je passais une de mes mains derrière mes cheveux tout en lui faisant un léger sourire.
Zuko ▬ « Du coup, c’est vraiment cool que tu restes en ville aussi. On va pourvoir continuer de se voir. Même si je ne suis pas sûr qu’on se croisera souvent en cours. On va avoir des cursus assez différents… »
C’est tout ce que je trouvais à dire ? Sérieusement ? Je ne savais plus où me mettre. Bon, il était vrai que cela me perturbait un peu… Non, beaucoup.
"Pertubations"
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Lun 3 Déc 2018 - 12:24
Le choix du nouveau Cap
Zuko
Intérieurement, Louka était en train de se liquéfier sur place à cause de la gêne que ses paroles avaient créée chez lui. Extérieurement, il avait rapidement relevé les yeux pour ne pas montrer que ce qu’il avait dit l’avait gêné. Un petit sourire étira ses lèvres quand il remarqua que Zuko rougissait à cause de ses paroles, cela était certainement « aggravé » par la fièvre que le jeune brun avait mais le changelin ne pensa pas à cela. Cependant, à l’intérieur de lui, il était content d’avoir fait rougir son camarade, après tout s’il n’avait pas rougit ou encore qu’il lui avait dit qu’il ne voulait pas entendre cela, ça l’aurait blessé et il se serait de nouveau renfermé sur lui-même.
Il écouta les paroles du brun en hochant la tête, il est vrai que cela est « cool » qu’ils restent tous les deux en ville et que ils aillent à la même université, ainsi ils pourront garder contact même s’ils ne suivent pas le même cursus. Il repensa alors la discussion qu’il avait eue avec Erèbe la dernière fois qu’il était allé au bar. Celui-ci lui avait proposer d’inviter son camarade à boire à un verre… Ce camarade en question était bien entendue Zuko et Louka ne savait pas quand se représentera une occasion comme celle d’aujourd’hui. Il hocha la tête en souriant.
« Oui, c’est cool que l’on reste en ville tous les deux même… J’ai de la chance d’ailleurs que ce soit toi puisque tu es le seul avec qui j’ai parlé dans la classe. »
Il se gratta la nuque après avoir dit cela. Il n’osait pas lui demander, mais pourtant il devait le faire parce que sinon il savait très bien qu’il allait s’en vouloir. Il prit son courage à deux mains et regarda Zuko dans les yeux.
« Si cela te dit, quand nous seront à l’université… Nous pourrions aller boire en verre ? Enfin je t’inviterais bien entendue ! Mais… Histoire de pouvoir de nouveau parler comme nous le faisons maintenant … »
Il avait peur de se voir refuser l’invitation, mais il ne perdait rien à essayer même si la peur lui nouait l’estomac. S’il voyait son invitation être refuser, il ne saurait pas quoi répondre et à chaque fois qu’il croiserait Zuko à l’université ou même dans la rue, il se sentirait très gêné et n’oserait plus le regardait dans les yeux. Non pas parce qu’il est énervé mais parce qu’il sera gêné d’avoir embêté Zuko avec sa question. Il continuait de le regarder dans les yeux, tout simplement parce qu’il ne savait pas quoi regarder d’autre sans se montrer impoli. Il savait que c’était bientôt l’heure des rendez-vous, que quelqu’un pourrait rentrer à tout moment dans la salle et cela l’inquiétait un peu… La peur d’essuyer un refus était mélanger avec la gêne et il savait qu’il se refermerait sur lui-même si quelqu’un rentre dans la salle…. Il était plus facile pour lui de parler avec quelqu’un avec qui il n’a pas l’habitude quand il est seul avec cette personne. Avoir un public ne lui plaisait pas.
Il écouta les paroles du brun en hochant la tête, il est vrai que cela est « cool » qu’ils restent tous les deux en ville et que ils aillent à la même université, ainsi ils pourront garder contact même s’ils ne suivent pas le même cursus. Il repensa alors la discussion qu’il avait eue avec Erèbe la dernière fois qu’il était allé au bar. Celui-ci lui avait proposer d’inviter son camarade à boire à un verre… Ce camarade en question était bien entendue Zuko et Louka ne savait pas quand se représentera une occasion comme celle d’aujourd’hui. Il hocha la tête en souriant.
« Oui, c’est cool que l’on reste en ville tous les deux même… J’ai de la chance d’ailleurs que ce soit toi puisque tu es le seul avec qui j’ai parlé dans la classe. »
Il se gratta la nuque après avoir dit cela. Il n’osait pas lui demander, mais pourtant il devait le faire parce que sinon il savait très bien qu’il allait s’en vouloir. Il prit son courage à deux mains et regarda Zuko dans les yeux.
« Si cela te dit, quand nous seront à l’université… Nous pourrions aller boire en verre ? Enfin je t’inviterais bien entendue ! Mais… Histoire de pouvoir de nouveau parler comme nous le faisons maintenant … »
Il avait peur de se voir refuser l’invitation, mais il ne perdait rien à essayer même si la peur lui nouait l’estomac. S’il voyait son invitation être refuser, il ne saurait pas quoi répondre et à chaque fois qu’il croiserait Zuko à l’université ou même dans la rue, il se sentirait très gêné et n’oserait plus le regardait dans les yeux. Non pas parce qu’il est énervé mais parce qu’il sera gêné d’avoir embêté Zuko avec sa question. Il continuait de le regarder dans les yeux, tout simplement parce qu’il ne savait pas quoi regarder d’autre sans se montrer impoli. Il savait que c’était bientôt l’heure des rendez-vous, que quelqu’un pourrait rentrer à tout moment dans la salle et cela l’inquiétait un peu… La peur d’essuyer un refus était mélanger avec la gêne et il savait qu’il se refermerait sur lui-même si quelqu’un rentre dans la salle…. Il était plus facile pour lui de parler avec quelqu’un avec qui il n’a pas l’habitude quand il est seul avec cette personne. Avoir un public ne lui plaisait pas.
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Lun 31 Déc 2018 - 18:41
Le Choix du nouveau Cap
Feat Louka Kanaka & Zuko Tanaka
Les mots de Louka me faisaient énormément plaisir… Mais je ne savais vraiment pas où me mettre. Si j’avais eu l’occasion de me transformer en souris et de disparaitre dans un coin, je le ferais sans hésiter. Enfin… C’était sans savoir à quel point c’était une mauvaise idée, bien sûr. Se transformer en souris devant un changelin Serpent… Ha ha. Enfin, Ça, je n’en étais pas encore au courant à l’époque. J’avais pendant si longtemps côtoyer une personne comme moi sans le savoir… La vie est parfois ironique, hein ?
Enfin, donc, pour revenir à la salle d’attente et à la proposition de Louka, je rougis un peu plus avant d’acquiescer silencieusement. Bon sang ! J’étais un garçon presque qu’adulte ou une jeune fille de 14 ans ? J’avais un doute, sur le coup. Non, on ne recommence pas à réfléchir à ça… J4ai déjà assez mal au crâne comme ça. Allez, Zuko ! Il fallait te reprendre !
Mouais… Ce n’était pas glorieux, on est d’accord. Enfin, quand on n’est pas doué… Mais bon, je n’avais pas le pouvoir de revenir dans le temps pour rattraper mes gourdes comme Max Caulfield ! Quoique… vu comment finissait le jeu, je n’avais pas particulièrement envie qu’une tornade s’amène et dévaste Nakanoto.
Un bruit de porte me tira de mes penser et une vieille dame à l’air sévère apparut au détour d’un couloir. Elle nous regarda avec attention avant de porter son regard sur un dossier qu’elle portait en main.
Sans un mot, elle reparti en direction du couloir. Moi, pris au dépourvu, je me relevais d’un bond avant de penser que Louka n’avait pas mon numéro. Oh, je devais bien avoir une feuille de brouillon dans mon bordel ! Ah, voilà ! Rapidement, je sortis un bic et la feuille et je notais mon numéro de téléphone et je le passais à Louka avec une sourire désolé.
Je lui adressais un dernier regard et sourire avant de partir en trottant vers la dame qui s’impatientait. Cet entretien allait être fun, tiens !
Enfin, donc, pour revenir à la salle d’attente et à la proposition de Louka, je rougis un peu plus avant d’acquiescer silencieusement. Bon sang ! J’étais un garçon presque qu’adulte ou une jeune fille de 14 ans ? J’avais un doute, sur le coup. Non, on ne recommence pas à réfléchir à ça… J4ai déjà assez mal au crâne comme ça. Allez, Zuko ! Il fallait te reprendre !
Zuko ▬ « Je… Oui, ça serait sympa. On devrait d’ailleurs s’échanger nos numéros. Oh ! Et je vais aussi venir vivre sur le campus ! Donc… Bah, je pourrais te dire le numéro de ma chambre… Enfin… On pourrait se regarder un film ou un truc du genre… sur mon ordi… »
Mouais… Ce n’était pas glorieux, on est d’accord. Enfin, quand on n’est pas doué… Mais bon, je n’avais pas le pouvoir de revenir dans le temps pour rattraper mes gourdes comme Max Caulfield ! Quoique… vu comment finissait le jeu, je n’avais pas particulièrement envie qu’une tornade s’amène et dévaste Nakanoto.
Un bruit de porte me tira de mes penser et une vieille dame à l’air sévère apparut au détour d’un couloir. Elle nous regarda avec attention avant de porter son regard sur un dossier qu’elle portait en main.
Secrétaire ▬ « Tanaka Zuko. Veuillez me suivre, s’il-vous-plait. J’espère que vous avez tous les documents pour finaliser votre inscription. »
Sans un mot, elle reparti en direction du couloir. Moi, pris au dépourvu, je me relevais d’un bond avant de penser que Louka n’avait pas mon numéro. Oh, je devais bien avoir une feuille de brouillon dans mon bordel ! Ah, voilà ! Rapidement, je sortis un bic et la feuille et je notais mon numéro de téléphone et je le passais à Louka avec une sourire désolé.
Zuko ▬ « Je m’excuse… J’aurais voulu qu’on puisse parler un peu plus longtemps. Pense à m’envoyer un sms. Je te dis à très vite ! »
Je lui adressais un dernier regard et sourire avant de partir en trottant vers la dame qui s’impatientait. Cet entretien allait être fun, tiens !
"A la prochaine !"
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