Taichi Tomoe Lizenko#96591#96591#96591#96591#96591#96591#96591
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Mar 13 Mar 2018 - 0:22
Sur le campus universitaire de Nakanoto, Taichi Tomoe fait décidément tâche. Petite, ressemblant à s’y méprendre à une enfant physiquement, on peut dire que c’est une collégienne qui s’est perdu pour aller en classe. Perdue très loin de son collège même. C’est d’ailleurs ainsi que ses camarades de promotion, et de manière encore plus appuyé ceux qui sont en groupe avec elle la nomme.
Collégienne, naine ou gamine.
Généralement, et pour faire bonne mesure, ils rajoutent qu’elle n’a rien à faire à l’université. Encore moins dans l’une des filières les plus élitiste du pays, à savoir les nouvelles technologies et l’informatique.
Son physique n’aide guère à sa légitimité pourtant méritée, c’est certain. Elle ne la doit qu’à son intelligence hors norme, dont elle n’est ni vraiment fière ni dégoûtée. Et même là, elle trouve le moyen de s’ennuyer. Les enseignements, bien que multiple, ne vont pas assez vite pour elle et son intellect. Certes du haut de ses quinze ans, elle est très jeune face à ses camarades, peut-être aussi trop mature. Taichi Tomoe est simplement en décalage avec les préoccupations de ses collègues de classe.
Au fond, tout ça ne l’atteint même pas. La seule chose qui lui tient vraiment à cœur est de comprendre et d’apprendre.
C’est donc tout naturellement, qu’elle sèche un nouveau cours de codage, qui au vu de son niveau n’est que superflus, pour se balader dans les espaces verts du campus. Il faut pourtant souligner qu’en entrant dans la salle de cafétéria, elle avait bien l’intention d’assister à ce cours. Une fois assise, l’idée d’étudier la flore présente sur le campus, lui est venue d’un coup, juste après qu’elle ait fini de manger ses onigiris et ses mochis au chocolat pour le déjeuner.
Au vu de l’heure, les cours ayant repris partout dans les divers bâtiments, elle profite avec délice de ce temps calme. Tenant fermement contre sa poitrine son ordinateur dernier cri, précieux outils pour l’étudiante mais aussi la hackeuse, la jeune adolescente cherche un endroit pour se poser. Enfin c’est l’objectif initial. Taichi Tomoe a un léger problème de concentration quand il n’y a rien d’important, ou de spécial à faire, résultat son regard tombe sur un jeune homme, qui semble plus âgé qu’elle.
Et voilà la seconde distraction de son après-midi.
Intriguée par ce jeune homme aux cheveux atypique, elle s’approche sans bruit, comme ses nombreuses heures d’enseignement de l’art ninja le lui ont appris par le passé. Plus elle s’approche, plus elle le détaille et l’analyse mentalement. Ses cheveux bicolores –blond limite blanc rehaussé d’une mèche rouge- et porte une tenue décontractée. Il est assis sur un banc, penché sur un carnet et semble écrire ou dessiner. La proximité n’est pas encore suffisante pour le déterminer avec précision. Malgré sa posture, elle devine qu’il est nettement plus grand qu’elle, du moins en taille et chacun sait qu’elle n’est pas automatiquement synonyme de plus âgé pour autant.
Une fois derrière le jeune garçon, qui selon son estimation ne doit pas avoir plus de 20 ans, la curiosité pousse la jeune sorcière à regarder par-dessus son épaule. Sans bruit, elle observe le dessin inachevé. Le garçon est en train de reproduire un animal, dont lui seul connait l’origine. Son coup de crayon est sûr, maîtrisé et précis. Aucune couleur pour affiner la forme n’est encore présente, seul le gris permettant de faire les contours l’est.
Un fin sourire se dessine sur le visage de la jeune fille. Elle aime beaucoup ce dessin, même si elle ignore encore ce qu’il va représenter une fois terminer. Le garçon est tellement absorbé par son croquis, qu’il ne l’a toujours pas remarquée. Taichi Tomoe ne s’en offusque pas, au contraire elle trouve ça flatteur de ne pas se faire repérer. Ça lui prouve une nouvelle fois qu’elle peut passer inaperçu si besoin, qu’elle n’a pas tout oublié de ses cours et de son véritable chez elle.
Maintenant, l’attente d’être remarquée a suffisamment durée à ses yeux. Alors, toujours sans déplacer d’air autour d’elle, elle s’assoit en position seiza côté de cet inconnu sur le banc.
« - Konnihiwa ! Vous dessinez très bien ! »
Le tout avec un grand sourire désarmant de sincérité.
Collégienne, naine ou gamine.
Généralement, et pour faire bonne mesure, ils rajoutent qu’elle n’a rien à faire à l’université. Encore moins dans l’une des filières les plus élitiste du pays, à savoir les nouvelles technologies et l’informatique.
Son physique n’aide guère à sa légitimité pourtant méritée, c’est certain. Elle ne la doit qu’à son intelligence hors norme, dont elle n’est ni vraiment fière ni dégoûtée. Et même là, elle trouve le moyen de s’ennuyer. Les enseignements, bien que multiple, ne vont pas assez vite pour elle et son intellect. Certes du haut de ses quinze ans, elle est très jeune face à ses camarades, peut-être aussi trop mature. Taichi Tomoe est simplement en décalage avec les préoccupations de ses collègues de classe.
Au fond, tout ça ne l’atteint même pas. La seule chose qui lui tient vraiment à cœur est de comprendre et d’apprendre.
C’est donc tout naturellement, qu’elle sèche un nouveau cours de codage, qui au vu de son niveau n’est que superflus, pour se balader dans les espaces verts du campus. Il faut pourtant souligner qu’en entrant dans la salle de cafétéria, elle avait bien l’intention d’assister à ce cours. Une fois assise, l’idée d’étudier la flore présente sur le campus, lui est venue d’un coup, juste après qu’elle ait fini de manger ses onigiris et ses mochis au chocolat pour le déjeuner.
Au vu de l’heure, les cours ayant repris partout dans les divers bâtiments, elle profite avec délice de ce temps calme. Tenant fermement contre sa poitrine son ordinateur dernier cri, précieux outils pour l’étudiante mais aussi la hackeuse, la jeune adolescente cherche un endroit pour se poser. Enfin c’est l’objectif initial. Taichi Tomoe a un léger problème de concentration quand il n’y a rien d’important, ou de spécial à faire, résultat son regard tombe sur un jeune homme, qui semble plus âgé qu’elle.
Et voilà la seconde distraction de son après-midi.
Intriguée par ce jeune homme aux cheveux atypique, elle s’approche sans bruit, comme ses nombreuses heures d’enseignement de l’art ninja le lui ont appris par le passé. Plus elle s’approche, plus elle le détaille et l’analyse mentalement. Ses cheveux bicolores –blond limite blanc rehaussé d’une mèche rouge- et porte une tenue décontractée. Il est assis sur un banc, penché sur un carnet et semble écrire ou dessiner. La proximité n’est pas encore suffisante pour le déterminer avec précision. Malgré sa posture, elle devine qu’il est nettement plus grand qu’elle, du moins en taille et chacun sait qu’elle n’est pas automatiquement synonyme de plus âgé pour autant.
Une fois derrière le jeune garçon, qui selon son estimation ne doit pas avoir plus de 20 ans, la curiosité pousse la jeune sorcière à regarder par-dessus son épaule. Sans bruit, elle observe le dessin inachevé. Le garçon est en train de reproduire un animal, dont lui seul connait l’origine. Son coup de crayon est sûr, maîtrisé et précis. Aucune couleur pour affiner la forme n’est encore présente, seul le gris permettant de faire les contours l’est.
Un fin sourire se dessine sur le visage de la jeune fille. Elle aime beaucoup ce dessin, même si elle ignore encore ce qu’il va représenter une fois terminer. Le garçon est tellement absorbé par son croquis, qu’il ne l’a toujours pas remarquée. Taichi Tomoe ne s’en offusque pas, au contraire elle trouve ça flatteur de ne pas se faire repérer. Ça lui prouve une nouvelle fois qu’elle peut passer inaperçu si besoin, qu’elle n’a pas tout oublié de ses cours et de son véritable chez elle.
Maintenant, l’attente d’être remarquée a suffisamment durée à ses yeux. Alors, toujours sans déplacer d’air autour d’elle, elle s’assoit en position seiza côté de cet inconnu sur le banc.
« - Konnihiwa ! Vous dessinez très bien ! »
Le tout avec un grand sourire désarmant de sincérité.
Invité
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Mer 21 Mar 2018 - 16:38
Rien n’y faisait, il n’avait pas envie d’aller en cours pour aujourd’hui. Ce mélangé à sa classe ne lui disait rien, il avait fait un cauchemar lui ayant retourné l’estomac. Il s’était réveillé mal dans sa peau, sa cicatrice le brûlait férocement et il ne pouvait rien y faire. Dans son cauchemar, ses parents était mort, tués par balle. Il avait alors baissé les yeux pour ne pas voir les corps, ce qu’il vit le fit reculer. Il tenait dans sa main droite un pistolet, sur son tee-shirt blanc des éclaboussures de sang se trouvaient. Il avait tué ses parents. Il avait alors lâché l’arme tout en reculant, tremblant comme une feuille, des larmes coulaient sur ses joues. Même s’il n’a jamais était proche d’eux, il ne pouvait pas les tués, ils étaient ses parents, il leur devait la vie.
Une paroi était apparue derrière lui l’empêchant alors de continuer d’avancer, quand il avança une autre paroi l’empêcha de marcher. Il était enfermé. De l’eau commençait à monter dans sa cage en verre, il s’était réveillé au moment où il se noyait. Enfin, son réveil l’avait réveillé plutôt, il l’avait éteint d’un mouvement de temps et avait fait comme d’habitude : douche, mettre l’uniforme, déjeuner, sac. Il était ensuite parti.
Il avait marché jusqu’à sortir du pensionnat, il savait très bien que ses parents allaient être au courant qu’il n’était pas allé en cours, mais il s’en fichait. Il ne leur parler jamais de ses problèmes, il se fichait de savoir ce qu’ils allaient penser de lui, donc il faisait ça vie. Ils n’allaient certainement pas le soutenir pour tout ce qu’il fait, mais il préfère ne pas se voiler la face en se disant que ses parents sont proche de lui. Alors que ce n’est réellement pas du tout le cas.
Il leva la tête quand le soleil vint caresser son visage, c’était l’université. Celle-la même où il allait être après son lycée, il ne savait pas comment était l’intérieur, peut-être est ce le moment de le découvrir ? Il tourna la tête pour voir des élèves entraient, bien que certains garçons étaient plus grands que lui, d’autres faisaient sa taille et Louka faisait parfaitement la taille d’un universitaire. Il se faufila derrière un groupe et sourit doucement un passant les portes. Un vent frai passa dans ses cheveux alors qu’il regardait autour de lui. Il se faufila dans le campus pour marchait dans les espaces verts qui s’y trouvaient.
Cette sensation, elle qui passait dans les classes universitaire, fit rapidement oublié pendant un temps son cauchemar au jeune garçon. Il aspira doucement de l’air et alla s’installer sur un banc en posant son sac à côté de lui. Il leva les yeux et vit alors une jeune fille semblant très jeune qui semblait être au collège, il la suivit silencieusement du regard jusqu’à qu’elle disparaisse de son champ de vision. Il sourit doucement, ses cheveux étaient d’une couleur magnifique et il décida de s’aider d’elle pour dessiner. Il sortit son calepin, mit son casque sur les oreilles et écouta une chanson. Il commença alors à dessiner.
Retirant son casque au bout d’un moment, il décida d’écouter les bruits de la nature pour dessiner, il faisait courir sa mine sur la feuille sans entendre la jeune fille qui s’approchait de lui par-derrière :
« - Konnihiwa ! Vous dessinez très bien ! »
Il sursauta alors soudainement, surpris. Il tourna la tête pour regarder la fille. C’était elle qui avait attiré son attention, Louka sentit alors ses joues se couvrir de rougir alors qu’il regardait son dessin. Il se gratta les cheveux, légèrement embarrasser :
« M…Merci … Je suis désolé il n’est pas encore terminé … Je suis lycée je n’est surement pas le droit d’être là … »
Une paroi était apparue derrière lui l’empêchant alors de continuer d’avancer, quand il avança une autre paroi l’empêcha de marcher. Il était enfermé. De l’eau commençait à monter dans sa cage en verre, il s’était réveillé au moment où il se noyait. Enfin, son réveil l’avait réveillé plutôt, il l’avait éteint d’un mouvement de temps et avait fait comme d’habitude : douche, mettre l’uniforme, déjeuner, sac. Il était ensuite parti.
Il avait marché jusqu’à sortir du pensionnat, il savait très bien que ses parents allaient être au courant qu’il n’était pas allé en cours, mais il s’en fichait. Il ne leur parler jamais de ses problèmes, il se fichait de savoir ce qu’ils allaient penser de lui, donc il faisait ça vie. Ils n’allaient certainement pas le soutenir pour tout ce qu’il fait, mais il préfère ne pas se voiler la face en se disant que ses parents sont proche de lui. Alors que ce n’est réellement pas du tout le cas.
Il leva la tête quand le soleil vint caresser son visage, c’était l’université. Celle-la même où il allait être après son lycée, il ne savait pas comment était l’intérieur, peut-être est ce le moment de le découvrir ? Il tourna la tête pour voir des élèves entraient, bien que certains garçons étaient plus grands que lui, d’autres faisaient sa taille et Louka faisait parfaitement la taille d’un universitaire. Il se faufila derrière un groupe et sourit doucement un passant les portes. Un vent frai passa dans ses cheveux alors qu’il regardait autour de lui. Il se faufila dans le campus pour marchait dans les espaces verts qui s’y trouvaient.
Cette sensation, elle qui passait dans les classes universitaire, fit rapidement oublié pendant un temps son cauchemar au jeune garçon. Il aspira doucement de l’air et alla s’installer sur un banc en posant son sac à côté de lui. Il leva les yeux et vit alors une jeune fille semblant très jeune qui semblait être au collège, il la suivit silencieusement du regard jusqu’à qu’elle disparaisse de son champ de vision. Il sourit doucement, ses cheveux étaient d’une couleur magnifique et il décida de s’aider d’elle pour dessiner. Il sortit son calepin, mit son casque sur les oreilles et écouta une chanson. Il commença alors à dessiner.
Retirant son casque au bout d’un moment, il décida d’écouter les bruits de la nature pour dessiner, il faisait courir sa mine sur la feuille sans entendre la jeune fille qui s’approchait de lui par-derrière :
« - Konnihiwa ! Vous dessinez très bien ! »
Il sursauta alors soudainement, surpris. Il tourna la tête pour regarder la fille. C’était elle qui avait attiré son attention, Louka sentit alors ses joues se couvrir de rougir alors qu’il regardait son dessin. Il se gratta les cheveux, légèrement embarrasser :
« M…Merci … Je suis désolé il n’est pas encore terminé … Je suis lycée je n’est surement pas le droit d’être là … »
Taichi Tomoe Lizenko#96770#96770#96770#96770#96770#96770#96770
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Lun 16 Avr 2018 - 19:38
Le garçon sursaute sous la surprise de découvrir Taichi Tomoe juste à côté de lui. En croisant son regard, il prend une teinte tomate et se gratte les cheveux. Il est gêné c’est évident. Elle penche la tête sur le côté, et s’interroge. Elle est la source de sa gêne ? Mais pourquoi ? A cause de son compliment ?
« - M … Merci … Je suis désolé il n’est pas encore terminé … Je suis lycéen et je n’ai surement pas le droit d’être là … »
La jeune fille ne peut s’empêcher d’éclater de rire. Pas le droit ? C’est le parc de l’université, rien de top secret comme périmètre. Cet espace est ouvert à tous de ce qu’elle en sait, ce sont les bâtiments d’enseignement qui ne le sont pas forcément. Quant au dessin … même non terminé, elle continue de le trouver magnifique.
« - Ne soyez pas désolé de ne pas avoir terminé votre dessin. Je le trouve merveilleux même dans cet état. »
En le détaillant de plus près, elle note l’uniforme du pensionnat proche qu’il porte. De temps en temps, la jeune fille croise des élèves de cet établissement en venant en cours. De ce qu’elle en sait, le niveau est très bon et le trimestre très cher aussi.
Beaucoup des étudiants locaux du campus sortent de ce lycée. Sa réputation est presque sans tâche, pour avoir hacké le site de l’établissement et fouiller dans leur dossier par pure curiosité, elle sait que la bonne réputation est une superbe façade. A l’intérieur tout est très loin d’être rose et idyllique.
« - Vous savez, il n’y a que votre uniforme qui permet de savoir que vous n’êtes pas étudiant ici. Honnêtement, si vous ne me l’aviez pas dit, et que j’avais continué de ne pas faire attention, je ne saurais pas que vous n’êtes pas ici comme élève. »
Ce n’était que la vérité.
Taichi Tomoe savait globalement la taille moyenne des étudiants masculins du campus. Après pourquoi a-t-elle appris une information aussi inutile ? Elle l’ignore. En tout cas, ce jeune garçon est dans cette moyenne et à l’écoute de sa voix, elle le suppose plus âgé qu’elle ou du même âge. Ce qui n’est pas forcément très difficile.
Une fois de plus ses pensées s’éloignent du sujet d’origine.
« - Vous savez rien n’interdis que vous profitiez du parc du campus. Et puis vous serez très vite étudiant ici non ? »
Nouvelle supposition de sa part.
Son regard se repose sur le dessin. Ce dessin qui lui donne une sensation de liberté totale. Définitivement elle l’adore. Peut-être que si elle lui demanda, ce garçon peut accepter de le lui donner une fois qu’il sera achevé ? Est-ce une bonne idée de seulement formuler la question ? Et comme toujours, une interrogation en amène une autre dans son esprit.
« - Puis-je vous demandez ce qui vous a donné l’idée de faire un tel dessin ? Si c’est trop indiscret, surtout n’hésitez pas à me le dire. Je suis trop curieuse parfois. »
Peut-être qu’elle peut apprendre à dessiner ainsi ? L’idée traverse son esprit en laissant une large empreinte, comme si justement elle représente l’IDEE. Après tout pourquoi pas ? Peut-être même que ce jeune homme peut lui donner des cours contre une rémunération ? Parce que bien sûr, tout travail mérite salaire normalement.
L’interrogation suivante est : est-ce qu’il dira oui ? La demande est possiblement trop rapidement vu leur rencontre proche. Une autre rencontre ? Le suivre pour la provoquer peut-être ?
Taichi Tomoe quitte ses pensées en voyant que le jeune homme ne l’a pas quitté du regard. A son tour, la voilà pivoine.
« - Sumimasen, je … je me suis perdue dans mes pensées. Dites-moi, pourquoi être venu dans le parc de l’université ? »
« - M … Merci … Je suis désolé il n’est pas encore terminé … Je suis lycéen et je n’ai surement pas le droit d’être là … »
La jeune fille ne peut s’empêcher d’éclater de rire. Pas le droit ? C’est le parc de l’université, rien de top secret comme périmètre. Cet espace est ouvert à tous de ce qu’elle en sait, ce sont les bâtiments d’enseignement qui ne le sont pas forcément. Quant au dessin … même non terminé, elle continue de le trouver magnifique.
« - Ne soyez pas désolé de ne pas avoir terminé votre dessin. Je le trouve merveilleux même dans cet état. »
En le détaillant de plus près, elle note l’uniforme du pensionnat proche qu’il porte. De temps en temps, la jeune fille croise des élèves de cet établissement en venant en cours. De ce qu’elle en sait, le niveau est très bon et le trimestre très cher aussi.
Beaucoup des étudiants locaux du campus sortent de ce lycée. Sa réputation est presque sans tâche, pour avoir hacké le site de l’établissement et fouiller dans leur dossier par pure curiosité, elle sait que la bonne réputation est une superbe façade. A l’intérieur tout est très loin d’être rose et idyllique.
« - Vous savez, il n’y a que votre uniforme qui permet de savoir que vous n’êtes pas étudiant ici. Honnêtement, si vous ne me l’aviez pas dit, et que j’avais continué de ne pas faire attention, je ne saurais pas que vous n’êtes pas ici comme élève. »
Ce n’était que la vérité.
Taichi Tomoe savait globalement la taille moyenne des étudiants masculins du campus. Après pourquoi a-t-elle appris une information aussi inutile ? Elle l’ignore. En tout cas, ce jeune garçon est dans cette moyenne et à l’écoute de sa voix, elle le suppose plus âgé qu’elle ou du même âge. Ce qui n’est pas forcément très difficile.
Une fois de plus ses pensées s’éloignent du sujet d’origine.
« - Vous savez rien n’interdis que vous profitiez du parc du campus. Et puis vous serez très vite étudiant ici non ? »
Nouvelle supposition de sa part.
Son regard se repose sur le dessin. Ce dessin qui lui donne une sensation de liberté totale. Définitivement elle l’adore. Peut-être que si elle lui demanda, ce garçon peut accepter de le lui donner une fois qu’il sera achevé ? Est-ce une bonne idée de seulement formuler la question ? Et comme toujours, une interrogation en amène une autre dans son esprit.
« - Puis-je vous demandez ce qui vous a donné l’idée de faire un tel dessin ? Si c’est trop indiscret, surtout n’hésitez pas à me le dire. Je suis trop curieuse parfois. »
Peut-être qu’elle peut apprendre à dessiner ainsi ? L’idée traverse son esprit en laissant une large empreinte, comme si justement elle représente l’IDEE. Après tout pourquoi pas ? Peut-être même que ce jeune homme peut lui donner des cours contre une rémunération ? Parce que bien sûr, tout travail mérite salaire normalement.
L’interrogation suivante est : est-ce qu’il dira oui ? La demande est possiblement trop rapidement vu leur rencontre proche. Une autre rencontre ? Le suivre pour la provoquer peut-être ?
Taichi Tomoe quitte ses pensées en voyant que le jeune homme ne l’a pas quitté du regard. A son tour, la voilà pivoine.
« - Sumimasen, je … je me suis perdue dans mes pensées. Dites-moi, pourquoi être venu dans le parc de l’université ? »
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Dim 22 Avr 2018 - 19:58
Louka regardait la jeune fille aux cheveux violets, malgré la présence de cette fille dans l’université, le garçon se demandait son âge. Il savait que la taille n’était pas descriptive de l’âge, mais la jeune fille ne pouvait pas être plus âgée que lui, du moins c’est ce qu’il pensait sincèrement. Continuant de la regarder, notant dans sa tête la couleur de ses cheveux et de ses yeux, il se gratta la nuque. Après tout le dessin qu’il avait fait était tirer de cette jeune fille qu’il ne connaissait, il voulait donc lui donner les mêmes couleurs :
« Ne soyez pas désolé de ne pas avoir terminé votre dessin. Je le trouve merveilleux même dans cet état. »
Le jeune changelin regarda alors la fille avec étonnement. Merveilleux ? Son dessin ? Il n’était pourtant pas terminé et avait encore des défauts à corriger. Puis, il ne penser pas dessiner merveilleusement bien, bon, mieux que le débutant, mais pas aussi bien que beaucoup de personne doué en dessin. Ses yeux vairons se baissèrent sur son dessin, représentant une créature sortie de sa tête, il posa son crayon sur son calepin et regarda la jeune fille en souriant :
« Je suis content qu’il vous plaise… Il a encore quelques défauts que je dois corriger. »
Vous pensez certainement que Louka dise cela afin d’entendre plus de compliments, ce n’est pas le cas. Il y a vraiment des personnes plus doués que lui dans le monde du dessin, après tout ce n’était pour lui qu’une passion qui ne disparaît pas. Il dessine depuis qu’il est jeune et a donc eu le temps d’apprendre des techniques et également d’avoir son propre style. Il était plus dans le style manga, ses créatures comme celle sur le dessin étaient comme dans les mangas. Des grands yeux et une tête mignonne, il devait avouer que son dessin sera certainement le meilleur qu’il est fait (en termes de créatures bien entendues) :
« Vous savez, il n’y a que votre uniforme qui permet de savoir que vous n’êtes pas étudiant ici. Honnêtement, si vous ne me l’aviez pas dit, et que j’avais continué de ne pas faire attention, je ne saurais pas que vous n’êtes pas ici comme élève »
Le changelin sourit doucement, elle avait certainement raison. Après tout les étudiants qui étaient passés devant lui pendant qu’il dessiner n’avait pas fait attention à lui. Peut-être qu’il n’aurait pas dû se mettre en uniforme, après tout, il n’allait pas en cours aujourd’hui, donc cela ne servait à rien. Il haussa les épaules, peu importe, quand il reviendra ici, il sera présent en tant qu’étudiant. Avant qu’il n’eu le temps de répondre, la jeune fille parla de nouveau :
« Vous savez rien n’interdis que vous profitiez du parc du campus. Et puis vous serez très vite étudiant ici non ? »
Un petit rire passa entre les lèvres de Louka, cette jeune fille avait une bonne vision ou était simplement une personne faisant beaucoup de supposition. Il baissa légèrement les yeux puis les releva rapidement pour répondre :
« Oui, je suis dans ma dernière année de lycée. Si je réussis mes examens, je veux venir ici. »
Il avait eu des bonnes notes au lycée, depuis son plus jeune âge, il a toujours était un bon élève. Sans avoir une bonne tête, étudier était pour lui plus facile que la moyenne des gens et il s’ennuyait souvent en cours. Il n’en avait cependant pas parlé avec ses parents. De toute façon, ils se fichaient de savoir ce que leur fils peut faire, après tout ils ne lui envoyaient jamais rien.
Il remarqua alors que la jeune fille regardait son dessin, les yeux vairons du garçon se baissèrent également pour regarder. Ce n’était encore qu’une ébauche, il va devoir faire les contours, les ombres et mettre des couleurs ou le laisser en noir et blanc, il ne le savait pas encore :
« Puis-je vous demandez ce qui vous a donné l’idée de faire un tel dessin ? Si c’est trop indiscret, surtout n’hésitez pas à me le dire. Je suis trop curieuse. »
Le japonais sentit soudainement ses joues brûlaient. Lui qui n’était pas hétéro se sentait assez mal à l’aise d’avouer qu’il avait dessiné une fille parce qu’il la trouver mignonne. Un soupir discret glissa hors de ses lèvres, il devait lui dire, la franchise était pour lui importante et il n’aimait pas qu’on lui mente. Il sourit doucement en redressant son cahier pour regarder son dessin puis regarda la fille :
« Je vous ai vue quand je suis entré dans l’université, votre physique n’est pas banal et vos cheveux ont une belle couleur. Vous êtes mignonnes en même temps vous faites très mature, ça m’a plut et j’ai fait ce dessin en pensant à cela. »
Il était presque en train de rajouter qu’elle ne devait pas se faire des idées, qu’il était gay et que le physique de la jeune fille était seulement beau à ses yeux. Il n’y avait pas d’attirance ou quoique se soit. Continuant de regarder son interlocutrice, il fut étonné de la voir rougir après avoir dit cette phrase :
« Sumimasen, je… Je me suis perdue dans mes pensées. Dites-moi, pourquoi être venu dans le parc de l’université ? »
Un sourire apparu sur les lèvres du changelin, il se reconnaissait un peu dans cette fille, lui-même était souvent perdu dans ses pensées alors qu’il discutait avec quelqu’un. Il secoua la tête en souriant puis pensa à la question. Pourquoi être venu ici ? Lui-même ne le sait pas, il aimait juste cet endroit, il était calme et apaiser. Il regarda la jeune fille aux cheveux violets dans les yeux en haussant les épaules :
« Je ne sais pas, je suis juste bien ici… C’est calme et j’aime bien cette atmosphère. »
Il tendit alors la main vers la fille en la regardant dans les yeux, souriant :
« En fait, je m’appelle Louka, Louka Kanaka. Vous pouvez me tutoyer si vous le voulez, ça me gêne d’être vouvoyé… Mais c’est agréable de rencontrer quelqu’un de poli ! »
« Ne soyez pas désolé de ne pas avoir terminé votre dessin. Je le trouve merveilleux même dans cet état. »
Le jeune changelin regarda alors la fille avec étonnement. Merveilleux ? Son dessin ? Il n’était pourtant pas terminé et avait encore des défauts à corriger. Puis, il ne penser pas dessiner merveilleusement bien, bon, mieux que le débutant, mais pas aussi bien que beaucoup de personne doué en dessin. Ses yeux vairons se baissèrent sur son dessin, représentant une créature sortie de sa tête, il posa son crayon sur son calepin et regarda la jeune fille en souriant :
« Je suis content qu’il vous plaise… Il a encore quelques défauts que je dois corriger. »
Vous pensez certainement que Louka dise cela afin d’entendre plus de compliments, ce n’est pas le cas. Il y a vraiment des personnes plus doués que lui dans le monde du dessin, après tout ce n’était pour lui qu’une passion qui ne disparaît pas. Il dessine depuis qu’il est jeune et a donc eu le temps d’apprendre des techniques et également d’avoir son propre style. Il était plus dans le style manga, ses créatures comme celle sur le dessin étaient comme dans les mangas. Des grands yeux et une tête mignonne, il devait avouer que son dessin sera certainement le meilleur qu’il est fait (en termes de créatures bien entendues) :
« Vous savez, il n’y a que votre uniforme qui permet de savoir que vous n’êtes pas étudiant ici. Honnêtement, si vous ne me l’aviez pas dit, et que j’avais continué de ne pas faire attention, je ne saurais pas que vous n’êtes pas ici comme élève »
Le changelin sourit doucement, elle avait certainement raison. Après tout les étudiants qui étaient passés devant lui pendant qu’il dessiner n’avait pas fait attention à lui. Peut-être qu’il n’aurait pas dû se mettre en uniforme, après tout, il n’allait pas en cours aujourd’hui, donc cela ne servait à rien. Il haussa les épaules, peu importe, quand il reviendra ici, il sera présent en tant qu’étudiant. Avant qu’il n’eu le temps de répondre, la jeune fille parla de nouveau :
« Vous savez rien n’interdis que vous profitiez du parc du campus. Et puis vous serez très vite étudiant ici non ? »
Un petit rire passa entre les lèvres de Louka, cette jeune fille avait une bonne vision ou était simplement une personne faisant beaucoup de supposition. Il baissa légèrement les yeux puis les releva rapidement pour répondre :
« Oui, je suis dans ma dernière année de lycée. Si je réussis mes examens, je veux venir ici. »
Il avait eu des bonnes notes au lycée, depuis son plus jeune âge, il a toujours était un bon élève. Sans avoir une bonne tête, étudier était pour lui plus facile que la moyenne des gens et il s’ennuyait souvent en cours. Il n’en avait cependant pas parlé avec ses parents. De toute façon, ils se fichaient de savoir ce que leur fils peut faire, après tout ils ne lui envoyaient jamais rien.
Il remarqua alors que la jeune fille regardait son dessin, les yeux vairons du garçon se baissèrent également pour regarder. Ce n’était encore qu’une ébauche, il va devoir faire les contours, les ombres et mettre des couleurs ou le laisser en noir et blanc, il ne le savait pas encore :
« Puis-je vous demandez ce qui vous a donné l’idée de faire un tel dessin ? Si c’est trop indiscret, surtout n’hésitez pas à me le dire. Je suis trop curieuse. »
Le japonais sentit soudainement ses joues brûlaient. Lui qui n’était pas hétéro se sentait assez mal à l’aise d’avouer qu’il avait dessiné une fille parce qu’il la trouver mignonne. Un soupir discret glissa hors de ses lèvres, il devait lui dire, la franchise était pour lui importante et il n’aimait pas qu’on lui mente. Il sourit doucement en redressant son cahier pour regarder son dessin puis regarda la fille :
« Je vous ai vue quand je suis entré dans l’université, votre physique n’est pas banal et vos cheveux ont une belle couleur. Vous êtes mignonnes en même temps vous faites très mature, ça m’a plut et j’ai fait ce dessin en pensant à cela. »
Il était presque en train de rajouter qu’elle ne devait pas se faire des idées, qu’il était gay et que le physique de la jeune fille était seulement beau à ses yeux. Il n’y avait pas d’attirance ou quoique se soit. Continuant de regarder son interlocutrice, il fut étonné de la voir rougir après avoir dit cette phrase :
« Sumimasen, je… Je me suis perdue dans mes pensées. Dites-moi, pourquoi être venu dans le parc de l’université ? »
Un sourire apparu sur les lèvres du changelin, il se reconnaissait un peu dans cette fille, lui-même était souvent perdu dans ses pensées alors qu’il discutait avec quelqu’un. Il secoua la tête en souriant puis pensa à la question. Pourquoi être venu ici ? Lui-même ne le sait pas, il aimait juste cet endroit, il était calme et apaiser. Il regarda la jeune fille aux cheveux violets dans les yeux en haussant les épaules :
« Je ne sais pas, je suis juste bien ici… C’est calme et j’aime bien cette atmosphère. »
Il tendit alors la main vers la fille en la regardant dans les yeux, souriant :
« En fait, je m’appelle Louka, Louka Kanaka. Vous pouvez me tutoyer si vous le voulez, ça me gêne d’être vouvoyé… Mais c’est agréable de rencontrer quelqu’un de poli ! »
Taichi Tomoe Lizenko#97064#97064#97064#97064#97064#97064#97064
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Sam 28 Avr 2018 - 1:31
« - Je vous ai vue quand je suis entré dans l’université, votre physique n’est pas banal et vos cheveux ont une belle couleur. Vous êtes mignonne en même temps vous faites très matures, ça m’a plu et j’ai fait ce dessin en pensant à cela. »
Taichi Tomoe se sent flattée et le rouge lui monte aux joues. Jusqu’ici quand quelqu’un dit qu’elle est mignonne, c’est souvent en la comparant à une enfant. Ce n’est pas le cas ici, au contraire le jeune homme la trouve mature. Tous ces compliments, elle n’y est pas habituée et n’a pas la moindre idée de comment y répondre. Heureusement que sa gêne est camouflée par son inattention.
Le garçon lui sourit, comme un ami ou un frère pourrait le faire. Cela fait bien longtemps qu’elle n’a plus vu ce genre de sourire face à elle, et encore moins adressé à elle. Soudain la réponse à sa question débarque sans prévenir, brisant la bulle dans laquelle la jeune fille se trouve.
« - Je ne sais pas, je suis juste bien ici … C’est calme et j’aime bien cette atmosphère. »
La main du bicolore se tend vers la sorcière et -sans se départir de son sourire- en la regardant dans les yeux lui livre son identité.
« - En fait, je m’appelle Louka, Louka Kanaka. Vous pouvez me tutoyer si vous le voulez, ça me gêne d’être vouvoyé … Mais c’est agréable de rencontrer quelqu’un de poli ! »
Décidément il ne doit pas rencontrer beaucoup de personne ayant reçu le minimum d’éducation qu’on se doit d’attendre de n’importe qui. Elle préfère vouvoyer les gens lorsqu’elle ne les connait pas ou peu. Cependant il lui donne la permission de le tutoyer, alors peut-être qu’elle peut en effet le faire. De plus c’est à son tour de lui livrer son identité. Par contre doit-elle lui donner la même permission ? Elle n’en est pas sûre du tout.
« - Enchanté, je me nomme Yukimura Taichi Tomoe. Je … j’ai du mal à tutoyer les personnes que je ne connais pas ou peu. J’en suis désolé. Puis-je vous aller Kanaka-san ? »
La question paraît absurde, mais pour la petite adolescente elle est presque capitale. Comment peut-elle l’appeler si ce n’est pas ainsi ? Kanaka-senpai ? Alors qu’au fond il serait plutôt son kohai en prenant en compte leurs niveau d’étude. Peut-être Kanaka-kun, mais cela fait bizarre comme appellation. Et puis au fond ils ne se connaissent pas vraiment encore.
« - Vous … vous me flattez. Je ne pense pas pouvoir inspirer qui que ce soit, pour quoi que ce soit. Je ne suis qu’une simple étudiante, avec un corps tout petit. Rien de plus. »
La voilà très modeste pour le coup. Elle se trémousse un peu dans sa position seiza, au final elle se demande si c’est une bonne idée de succomber à chaque fois à sa curiosité. Comme si elle n’apprend pas des fois précédentes. Mais la curiosité peut être à la fois un défaut et une qualité, tout dépend de son emploi. Taichi Tomoe préfère la voir comme une qualité, qui parfois peut -potentiellement- la mettre dans des situations délicates.
« - Je vous souhaite de pouvoir réussir l’examen d’entrée de l’université de Nakanoto. Il est réputé pour être difficile, de ce que j’en ai entendu. »
C’est un fait, l’examen d’entrée est dit très complexe par tous, y compris l’administration de la faculté. La logique s’impose puisque cette université est privée, leur réputation se base donc entièrement sur leurs bons résultats et leur enseignement de qualité. Néanmoins pour Taichi, cet examen n’a été qu’une simple formalité. Elle n’ignore pas que son cas est particulier, et loin d’être une généralité.
Cela ne l’empêche pas d’écouter les rumeurs, ni ce qu’il se dit sur le niveau de son établissement. L’information, elle le sait très bien, est une source d’échange et de marchandage d’une puissance inégalée. Le pouvoir est l’information, plus on en possède, plus on peut en avoir.
« - Maintenant que j’y pense … vous feriez quoi, Kanaka-san, comme étude en venant ici ? »
Pensive, son bras droit plié sous sa poitrine, son indexe gauche appuyé contre son menton, elle regarde alternativement le dessins, le ciel et le visage du garçon. Cette question lui fait penser qu’elle pourrait tester de nouveau cours en option cette année. Pourquoi pas la biologie pendant un semestre ?
Taichi Tomoe se sent flattée et le rouge lui monte aux joues. Jusqu’ici quand quelqu’un dit qu’elle est mignonne, c’est souvent en la comparant à une enfant. Ce n’est pas le cas ici, au contraire le jeune homme la trouve mature. Tous ces compliments, elle n’y est pas habituée et n’a pas la moindre idée de comment y répondre. Heureusement que sa gêne est camouflée par son inattention.
Le garçon lui sourit, comme un ami ou un frère pourrait le faire. Cela fait bien longtemps qu’elle n’a plus vu ce genre de sourire face à elle, et encore moins adressé à elle. Soudain la réponse à sa question débarque sans prévenir, brisant la bulle dans laquelle la jeune fille se trouve.
« - Je ne sais pas, je suis juste bien ici … C’est calme et j’aime bien cette atmosphère. »
La main du bicolore se tend vers la sorcière et -sans se départir de son sourire- en la regardant dans les yeux lui livre son identité.
« - En fait, je m’appelle Louka, Louka Kanaka. Vous pouvez me tutoyer si vous le voulez, ça me gêne d’être vouvoyé … Mais c’est agréable de rencontrer quelqu’un de poli ! »
Décidément il ne doit pas rencontrer beaucoup de personne ayant reçu le minimum d’éducation qu’on se doit d’attendre de n’importe qui. Elle préfère vouvoyer les gens lorsqu’elle ne les connait pas ou peu. Cependant il lui donne la permission de le tutoyer, alors peut-être qu’elle peut en effet le faire. De plus c’est à son tour de lui livrer son identité. Par contre doit-elle lui donner la même permission ? Elle n’en est pas sûre du tout.
« - Enchanté, je me nomme Yukimura Taichi Tomoe. Je … j’ai du mal à tutoyer les personnes que je ne connais pas ou peu. J’en suis désolé. Puis-je vous aller Kanaka-san ? »
La question paraît absurde, mais pour la petite adolescente elle est presque capitale. Comment peut-elle l’appeler si ce n’est pas ainsi ? Kanaka-senpai ? Alors qu’au fond il serait plutôt son kohai en prenant en compte leurs niveau d’étude. Peut-être Kanaka-kun, mais cela fait bizarre comme appellation. Et puis au fond ils ne se connaissent pas vraiment encore.
« - Vous … vous me flattez. Je ne pense pas pouvoir inspirer qui que ce soit, pour quoi que ce soit. Je ne suis qu’une simple étudiante, avec un corps tout petit. Rien de plus. »
La voilà très modeste pour le coup. Elle se trémousse un peu dans sa position seiza, au final elle se demande si c’est une bonne idée de succomber à chaque fois à sa curiosité. Comme si elle n’apprend pas des fois précédentes. Mais la curiosité peut être à la fois un défaut et une qualité, tout dépend de son emploi. Taichi Tomoe préfère la voir comme une qualité, qui parfois peut -potentiellement- la mettre dans des situations délicates.
« - Je vous souhaite de pouvoir réussir l’examen d’entrée de l’université de Nakanoto. Il est réputé pour être difficile, de ce que j’en ai entendu. »
C’est un fait, l’examen d’entrée est dit très complexe par tous, y compris l’administration de la faculté. La logique s’impose puisque cette université est privée, leur réputation se base donc entièrement sur leurs bons résultats et leur enseignement de qualité. Néanmoins pour Taichi, cet examen n’a été qu’une simple formalité. Elle n’ignore pas que son cas est particulier, et loin d’être une généralité.
Cela ne l’empêche pas d’écouter les rumeurs, ni ce qu’il se dit sur le niveau de son établissement. L’information, elle le sait très bien, est une source d’échange et de marchandage d’une puissance inégalée. Le pouvoir est l’information, plus on en possède, plus on peut en avoir.
« - Maintenant que j’y pense … vous feriez quoi, Kanaka-san, comme étude en venant ici ? »
Pensive, son bras droit plié sous sa poitrine, son indexe gauche appuyé contre son menton, elle regarde alternativement le dessins, le ciel et le visage du garçon. Cette question lui fait penser qu’elle pourrait tester de nouveau cours en option cette année. Pourquoi pas la biologie pendant un semestre ?
Invité
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Jeu 3 Mai 2018 - 1:45
« Enchantée, je me nomme Yukimura Taichi Tomoe. Je… J’ai du mal à tutoyer les personnes que je ne connais pas ou peu. J’en suis désolé. Puis-je vous appeler Kanaka-san ? »
Le changelin était surpris, cela était rare de rencontrer des personnes qui n’arrivaient pas à tutoyer les gens assez rapidement. Lui-même avait assez de mal à tutoyer les personnes plus âgées que lui, il avait cependant plus de faciliter avec les personnes de son âge. Regardant la jeune fille, il se gratta de nouveau la nuque sans savoir que dire. Elle se prénommait donc Taichi Tomoe, ce qui était un prénom joli ! Il aimait beaucoup Tomoe comme prénom, il n’avait jamais entendu Taichi, il le trouvait également joli.
Il se mit alors à penser qu’il allait faire comme la jeune fille, l’appelait
« Si vous me vouvoyiez alors je le ferais également. Bien entendue que vous pouvez m’appeler Kanaka-San, je vous appellerais Yukimura-San ou devrais-je vous appeler Yukimura-Senpai ? »
Bien qu’ils eussent l'air d’avoir le même âge, Louka considérer la jeune fille comme son ainé, après tout elle était déjà à l’université alors que lui était encore à l’université. Cela était donc logique qui l’appelle senpai, puis il aimait bien montrer le respect qu’il avait envers les aînés, ils pouvaient lui apprendre beaucoup de choses.
« Vous… vous me flattez. Je ne pense pas pouvoir inspirer qui que ce soit, pour quoi que se soit. Je ne suis qu’une simple étudiante, avec un corps tout petit. Rien de plus. »
Les sourcils du lycéen froncèrent alors. Tout le monde pouvait inspirer les artistes (il ne se considère pas comme tel), puis la jeune femme avait vraiment un truc qui avait attiré l’attention du jeune : ses cheveux. Il ne sait pas pourquoi, mais il adore cette couleur, ils étaient longs et lisse, bien que Taichi soit petit, ses cheveux lui donnaient une certaine grandeur et la couleur était pour le changelin celle de la maturité. La jeune fille était donc un mélange entre la mignonnerie et la maturité, tout le monde aime la mignonnerie donc c’est un bon point.
« Vous n’êtes pas que cela, vous avez quelque chose que certains n’ont pas mais je ne saurais pas vous dire ce que cela est… C’est surement parce que je dessine que je vous vois ainsi… Veuillez m’en excuser… »
Il pouvait être capable de s’excuser pour tout. Il n’aimait pas gêner les personnes et ne voulait paraître pour un type louche et bizarre. Puis, il n’avait dit que la simple vérité, elle avait un truc un plus, mais il ne savait pas. Après tout, il aimait bien dessiner les personnes qui attirent son regard.
« Je vous souhaite de pouvoir réussir l’examen d’entrée de l’université de Nakanoto. Il est réputé pour être difficile, de ce que j’en ai entendue. »
Il hocha la tête, il avait également entendu cela. Mais c’était pour cela qu’il voulait y entrer, enfin c’était l’une des grandes raisons et également pour faire plaisir à ses parents. Il n’avait cependant pas peur de rater, il avait toujours été un bon élève sans faire beaucoup de choses. Il ne pouvait pas dire cela à la fille, pensant qu’elle allait se dire qu’il était un peu trop fier de cela. Il ne déclara alors rien, laissant Taichi parler.
« Maintenant que j’y pense… Vous feriez quoi, Kanaka-sans, comme étude en venant ici . »
Un sourire apparut alors sur les lèvres de Louka, voilà une question dont il n’avait pas de question bien nette. Il doutait encore entre des études d’art, de littérature ou d’histoire, il allait choisir très certainement l’art mais rien n’était sûr. Il s’étira en levant les yeux au ciel pour le regarder :
« Je ne sais pas … J’hésite entre des études d’art, de littérature ou d’histoire… Que faite vous comme étude vous ? »
Il baissa les yeux pour regarder la jeune fille en souriant.
Le changelin était surpris, cela était rare de rencontrer des personnes qui n’arrivaient pas à tutoyer les gens assez rapidement. Lui-même avait assez de mal à tutoyer les personnes plus âgées que lui, il avait cependant plus de faciliter avec les personnes de son âge. Regardant la jeune fille, il se gratta de nouveau la nuque sans savoir que dire. Elle se prénommait donc Taichi Tomoe, ce qui était un prénom joli ! Il aimait beaucoup Tomoe comme prénom, il n’avait jamais entendu Taichi, il le trouvait également joli.
Il se mit alors à penser qu’il allait faire comme la jeune fille, l’appelait
« Si vous me vouvoyiez alors je le ferais également. Bien entendue que vous pouvez m’appeler Kanaka-San, je vous appellerais Yukimura-San ou devrais-je vous appeler Yukimura-Senpai ? »
Bien qu’ils eussent l'air d’avoir le même âge, Louka considérer la jeune fille comme son ainé, après tout elle était déjà à l’université alors que lui était encore à l’université. Cela était donc logique qui l’appelle senpai, puis il aimait bien montrer le respect qu’il avait envers les aînés, ils pouvaient lui apprendre beaucoup de choses.
« Vous… vous me flattez. Je ne pense pas pouvoir inspirer qui que ce soit, pour quoi que se soit. Je ne suis qu’une simple étudiante, avec un corps tout petit. Rien de plus. »
Les sourcils du lycéen froncèrent alors. Tout le monde pouvait inspirer les artistes (il ne se considère pas comme tel), puis la jeune femme avait vraiment un truc qui avait attiré l’attention du jeune : ses cheveux. Il ne sait pas pourquoi, mais il adore cette couleur, ils étaient longs et lisse, bien que Taichi soit petit, ses cheveux lui donnaient une certaine grandeur et la couleur était pour le changelin celle de la maturité. La jeune fille était donc un mélange entre la mignonnerie et la maturité, tout le monde aime la mignonnerie donc c’est un bon point.
« Vous n’êtes pas que cela, vous avez quelque chose que certains n’ont pas mais je ne saurais pas vous dire ce que cela est… C’est surement parce que je dessine que je vous vois ainsi… Veuillez m’en excuser… »
Il pouvait être capable de s’excuser pour tout. Il n’aimait pas gêner les personnes et ne voulait paraître pour un type louche et bizarre. Puis, il n’avait dit que la simple vérité, elle avait un truc un plus, mais il ne savait pas. Après tout, il aimait bien dessiner les personnes qui attirent son regard.
« Je vous souhaite de pouvoir réussir l’examen d’entrée de l’université de Nakanoto. Il est réputé pour être difficile, de ce que j’en ai entendue. »
Il hocha la tête, il avait également entendu cela. Mais c’était pour cela qu’il voulait y entrer, enfin c’était l’une des grandes raisons et également pour faire plaisir à ses parents. Il n’avait cependant pas peur de rater, il avait toujours été un bon élève sans faire beaucoup de choses. Il ne pouvait pas dire cela à la fille, pensant qu’elle allait se dire qu’il était un peu trop fier de cela. Il ne déclara alors rien, laissant Taichi parler.
« Maintenant que j’y pense… Vous feriez quoi, Kanaka-sans, comme étude en venant ici . »
Un sourire apparut alors sur les lèvres de Louka, voilà une question dont il n’avait pas de question bien nette. Il doutait encore entre des études d’art, de littérature ou d’histoire, il allait choisir très certainement l’art mais rien n’était sûr. Il s’étira en levant les yeux au ciel pour le regarder :
« Je ne sais pas … J’hésite entre des études d’art, de littérature ou d’histoire… Que faite vous comme étude vous ? »
Il baissa les yeux pour regarder la jeune fille en souriant.
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Jeu 10 Mai 2018 - 13:22
Le garçon lui a fait de nouveaux compliments. Le rouge prend donc des quartiers prolongés sur ses pommettes. Les compliments la gêne beaucoup, surtout parce qu’elle n’en a pas l’habitude. Puis comme Kanaka-san, avant elle, ses sourcils se froncent. Pourquoi s’excuse-t-il pour ce qu’il fait ? Il n’y a aucune raison pour, puisqu’il n’a rien fait de mal. L’adolescente ne comprend donc pas ses excuses.
« - Pourquoi vous excusez pour quelque chose que vous pensez ? Je ne comprends pas. »
Sans y réfléchir, elle vient de formuler sa question à haute voix. Instantanément elle se mordille la lèvre inférieure, espérant que son interlocuteur ne le prendra pas mal.
Ses réflexions l’entrainent à nouveau loin dans les méandres de son esprit. Définitivement pour une surdouée, l’adolescente possède un véritable problème de concentration sur le long terme. Un papillon passe devant son nez et lui tire un large sourire enfantin. A l’instar de tous les enfants, elle tente de l’attraper pour l’observer de plus prêt. Sans succès.
« - Je ne sais pas … j’hésite entre des études d’art, de littérature ou d’histoire … Que faites-vous comme étude vous ? »
La question si soudaine la ramène dans la conversation, sans pour autant lui faire oublier le papillon qui vole autour de sa tête. Elle suit tellement de cours depuis le début de sa vie universitaire qu’elle n’est pas certaine de pouvoir parler d’étude au sens traditionnel du terme. Le papillon ne cesse d’attirer son attention et alors qu’elle sait que Kanaka-san l’observe, son regard à elle suit les mouvements du papillon.
Elle aimerait bien avoir des ailes comme lui, pouvoir aller où elle veut grâce au vent. Posséder des couleurs vives et belles, être petite mais que ça ne soit pas un handicap comme ça l’est pour elle dans la réalité. Son imaginaire prend peu à peu le dessus sur son attention. Dans sa bulle, son monde, elle possède des ailes de papillon et parcours le pays au gré de ses envies et de ses rencontres. Elle ne craint plus la foule puisqu’elle peut l’éviter quand et comme elle le souhaite.
C’est magique !
Soudain le papillon dirige son regard sur la tête du garçon face à elle. Et le rêve laisse de nouveau place à la réalité. Le rouge se transforme en pourpre tellement elle rougit. Taichi Tomoe s’en veut d’avoir une fois de plus perdu le fil sans y faire attention. Peut-être qu’un jour elle réussira à se concentrer plus longtemps.
La question qu’on lui a posée remonte dans tréfond de sa mémoire et une réponse complète prend place dans son esprit. Elle ne va pas non plus le faire attendre éternellement.
« - Je suis des études d’informatiques et de nouvelles technologies. Enfin en principe. Je vous l’avoue, j’ai pris tellement de matières optionnelles que mon cursus ne ressemble plus vraiment à ce qu’il devrait être. Je suis des cours de langues, des options pour les métiers du jeux vidéo, mais j’ai aussi deux matières de chimie et je vais probablement commencer de la biologie ce semestre ! Le monde est tellement vaste, tellement riche d’information, c’est triste de ne faire qu’une seule chose. Je préfère découvrir un peu de tout, essayer de tout comprendre et surtout m’amuser en apprenant. Pas vous Kanaka-san ? »
La jeune sorcière s’en rend compte, son objectif est sûrement utopiste. Peut-être même qu’il est de l’ordre de l’inatteignable selon son futur camarade. Mais qu’importe, c’est comme ça qu’elle conçoit ses études et plus largement sa vie.
Après tout, comme disait son grand-père d’adoption : « Où il n’y a pas d’amusement, il n’y a aucun plaisir. »
« - Pourquoi vous excusez pour quelque chose que vous pensez ? Je ne comprends pas. »
Sans y réfléchir, elle vient de formuler sa question à haute voix. Instantanément elle se mordille la lèvre inférieure, espérant que son interlocuteur ne le prendra pas mal.
Ses réflexions l’entrainent à nouveau loin dans les méandres de son esprit. Définitivement pour une surdouée, l’adolescente possède un véritable problème de concentration sur le long terme. Un papillon passe devant son nez et lui tire un large sourire enfantin. A l’instar de tous les enfants, elle tente de l’attraper pour l’observer de plus prêt. Sans succès.
« - Je ne sais pas … j’hésite entre des études d’art, de littérature ou d’histoire … Que faites-vous comme étude vous ? »
La question si soudaine la ramène dans la conversation, sans pour autant lui faire oublier le papillon qui vole autour de sa tête. Elle suit tellement de cours depuis le début de sa vie universitaire qu’elle n’est pas certaine de pouvoir parler d’étude au sens traditionnel du terme. Le papillon ne cesse d’attirer son attention et alors qu’elle sait que Kanaka-san l’observe, son regard à elle suit les mouvements du papillon.
Elle aimerait bien avoir des ailes comme lui, pouvoir aller où elle veut grâce au vent. Posséder des couleurs vives et belles, être petite mais que ça ne soit pas un handicap comme ça l’est pour elle dans la réalité. Son imaginaire prend peu à peu le dessus sur son attention. Dans sa bulle, son monde, elle possède des ailes de papillon et parcours le pays au gré de ses envies et de ses rencontres. Elle ne craint plus la foule puisqu’elle peut l’éviter quand et comme elle le souhaite.
C’est magique !
Soudain le papillon dirige son regard sur la tête du garçon face à elle. Et le rêve laisse de nouveau place à la réalité. Le rouge se transforme en pourpre tellement elle rougit. Taichi Tomoe s’en veut d’avoir une fois de plus perdu le fil sans y faire attention. Peut-être qu’un jour elle réussira à se concentrer plus longtemps.
La question qu’on lui a posée remonte dans tréfond de sa mémoire et une réponse complète prend place dans son esprit. Elle ne va pas non plus le faire attendre éternellement.
« - Je suis des études d’informatiques et de nouvelles technologies. Enfin en principe. Je vous l’avoue, j’ai pris tellement de matières optionnelles que mon cursus ne ressemble plus vraiment à ce qu’il devrait être. Je suis des cours de langues, des options pour les métiers du jeux vidéo, mais j’ai aussi deux matières de chimie et je vais probablement commencer de la biologie ce semestre ! Le monde est tellement vaste, tellement riche d’information, c’est triste de ne faire qu’une seule chose. Je préfère découvrir un peu de tout, essayer de tout comprendre et surtout m’amuser en apprenant. Pas vous Kanaka-san ? »
La jeune sorcière s’en rend compte, son objectif est sûrement utopiste. Peut-être même qu’il est de l’ordre de l’inatteignable selon son futur camarade. Mais qu’importe, c’est comme ça qu’elle conçoit ses études et plus largement sa vie.
Après tout, comme disait son grand-père d’adoption : « Où il n’y a pas d’amusement, il n’y a aucun plaisir. »
Invité
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Mar 28 Aoû 2018 - 12:38
La jeune fille rougissait, ce qui gêne légèrement le jeune changelin. Il ne savait pas où se mettre alors qu’il attendait sa réponse, il baissa les yeux vers son dessin pour le regarder silencieusement. Il est vrai que les traits étaient fins mais nets, les courbes étaient nettes mais jolies et il ne manquait plus que les ombres pour donner un air réel à ce dessin. Il releva les yeux vers la jeune fille afin de la fixer alors qu’elle parle.
« - Pourquoi vous excusez pour quelque chose que vous pensez ? Je ne comprends pas. »
Il afficha alors une mine étonnée, pourquoi avait-il présenté ses excuses ? Tout simplement parce que c’est habituel, bien qu’il pense chaque parole qu’il a dite, il est au courant que certaines personnes ne veulent pas être dessinées si la personne n’a pas demandé son autorisation aux préalables. De plus, il était lui-même assez gêné de devoir expliquer à une personne pourquoi il la dessinait, c’était basé seulement sur le physique quand il s’inspirait, cela ne plaisait pas non plus aux personnes. Il se gratta la nuque alors que sa tête était baissée, il essayait tant bien que mal de réfléchir à la réponse qu’il allait dire.
Il devait dire la simple vérité, qu’il était gêné d’avoir été pris sur les faits de dessiner une personne qu’il ne connaît pas. Qu’il se sentait gêné de devoir expliquer pourquoi il l’avait choisi pour s’inspirer. Pourtant, il n’y avait rien de bien extraordinaire, il avait décidé de s’inspirer d’elle parce qu’elle avait des cheveux magnifiques. Leurs couleurs étaient simples mais belles, il l’enviait presque pour dire vrai. Lui qui avait des cheveux rouges et blancs voulait avoir, quand il était plus jeune surtout, des cheveux d’une couleur neutre, une couleur qui n’attirait pas les regards de curiosité. Bien entendu il a réussi à les accepter au fil du temps.
Louka releva les yeux et un sourire s’afficha sur son visage, la jeune fille semblait être perdue dans ses pensées. Elle regardait le papillon volé au-dessus d’elle sans rien dire, cela était presque mignon. Les yeux vairons se posèrent sur le papillon, il était beau. Cela devait-être tellement cool de pouvoir voler et fuir les gens qui se trouvent sur le sol. Lui qui était un changelin reptilien avait toujours pensé que cela serait cool de pouvoir se transformer en oiseau. Mais pour apprendre cela, il n’allait pas le demander à ses parents qui refuseront car pas assez le temps. Il devait trouver quelqu’un pouvant lui apprendre à se transformer en d’autres animaux qu’un serpent.
Le papillon s’approcha alors la tête du changelin qui le suivit des yeux, quand la voix de la jeune fille retentit dans ses oreilles, il la regarda afin d’écouter ce qu’elle disait.
« - Je suis des études d’informatiques et de nouvelles technologies. Enfin en principe. Je vous l’avoue, j’ai pris tellement de matières optionnelles que mon cursus ne ressemble plus vraiment à ce qu’il devrait être. Je suis des cours de langues, des options pour les métiers du jeu vidéo, mais j’ai aussi deux matières de chimie et je vais probablement commencer de la biologie ce semestre ! Le monde est tellement vaste, tellement riche d’information, c’est triste de ne faire qu’une seule chose. Je préfère découvrir un peu de tout, essayer de tout comprendre et surtout m’amuser en apprenant. Pas vous Kanaka-sans ? »
Il était étonné, étonné de voir une personne ayant autant de cours. Jamais il n’avait croisé une personne ayant autant la soif d’apprendre de nouvelle chose. Il afficha un sourire quand elle termina de parler. Tout comprendre . Louka n’était pas ainsi, il voulait seulement apprendre ce qui l’intéresser, les autres choses étaient peu importante pour lui. Enfin, bien entendu il aime apprendre de nouvelle chose, mais les mathématiques et tout ce qui est en lien avec la science ne l’intéressent pas, c’est quelque chose parlant seulement de la logique pour lui… Pour ne pas dire qu’il est surdoué, il est bonne élève et à toujours bien réussit les mathématiques, cependant, elles ne l’intéressent pas et il se voit mal faire des cours en plus seulement pour apprendre.
« Pour dire vrai... J’aime apprendre mais pas les sciences, c’est quelque chose que je n’aime pas énormément. Mais il est vrai qu’apprendre de nouvelles choses est quelques de bien. Mais je veux surtout apprendre les choses qui me plaisent le plus afin d’en faire possiblement un métier… Et en fait, je m’excuse par habitude, c’est surtout que je sais que certaines personnes n’aiment pas être dessinées par un inconnu… Surtout que la beauté que je m’inspire pour le dessin est seulement physique et non psychique… »
« - Pourquoi vous excusez pour quelque chose que vous pensez ? Je ne comprends pas. »
Il afficha alors une mine étonnée, pourquoi avait-il présenté ses excuses ? Tout simplement parce que c’est habituel, bien qu’il pense chaque parole qu’il a dite, il est au courant que certaines personnes ne veulent pas être dessinées si la personne n’a pas demandé son autorisation aux préalables. De plus, il était lui-même assez gêné de devoir expliquer à une personne pourquoi il la dessinait, c’était basé seulement sur le physique quand il s’inspirait, cela ne plaisait pas non plus aux personnes. Il se gratta la nuque alors que sa tête était baissée, il essayait tant bien que mal de réfléchir à la réponse qu’il allait dire.
Il devait dire la simple vérité, qu’il était gêné d’avoir été pris sur les faits de dessiner une personne qu’il ne connaît pas. Qu’il se sentait gêné de devoir expliquer pourquoi il l’avait choisi pour s’inspirer. Pourtant, il n’y avait rien de bien extraordinaire, il avait décidé de s’inspirer d’elle parce qu’elle avait des cheveux magnifiques. Leurs couleurs étaient simples mais belles, il l’enviait presque pour dire vrai. Lui qui avait des cheveux rouges et blancs voulait avoir, quand il était plus jeune surtout, des cheveux d’une couleur neutre, une couleur qui n’attirait pas les regards de curiosité. Bien entendu il a réussi à les accepter au fil du temps.
Louka releva les yeux et un sourire s’afficha sur son visage, la jeune fille semblait être perdue dans ses pensées. Elle regardait le papillon volé au-dessus d’elle sans rien dire, cela était presque mignon. Les yeux vairons se posèrent sur le papillon, il était beau. Cela devait-être tellement cool de pouvoir voler et fuir les gens qui se trouvent sur le sol. Lui qui était un changelin reptilien avait toujours pensé que cela serait cool de pouvoir se transformer en oiseau. Mais pour apprendre cela, il n’allait pas le demander à ses parents qui refuseront car pas assez le temps. Il devait trouver quelqu’un pouvant lui apprendre à se transformer en d’autres animaux qu’un serpent.
Le papillon s’approcha alors la tête du changelin qui le suivit des yeux, quand la voix de la jeune fille retentit dans ses oreilles, il la regarda afin d’écouter ce qu’elle disait.
« - Je suis des études d’informatiques et de nouvelles technologies. Enfin en principe. Je vous l’avoue, j’ai pris tellement de matières optionnelles que mon cursus ne ressemble plus vraiment à ce qu’il devrait être. Je suis des cours de langues, des options pour les métiers du jeu vidéo, mais j’ai aussi deux matières de chimie et je vais probablement commencer de la biologie ce semestre ! Le monde est tellement vaste, tellement riche d’information, c’est triste de ne faire qu’une seule chose. Je préfère découvrir un peu de tout, essayer de tout comprendre et surtout m’amuser en apprenant. Pas vous Kanaka-sans ? »
Il était étonné, étonné de voir une personne ayant autant de cours. Jamais il n’avait croisé une personne ayant autant la soif d’apprendre de nouvelle chose. Il afficha un sourire quand elle termina de parler. Tout comprendre . Louka n’était pas ainsi, il voulait seulement apprendre ce qui l’intéresser, les autres choses étaient peu importante pour lui. Enfin, bien entendu il aime apprendre de nouvelle chose, mais les mathématiques et tout ce qui est en lien avec la science ne l’intéressent pas, c’est quelque chose parlant seulement de la logique pour lui… Pour ne pas dire qu’il est surdoué, il est bonne élève et à toujours bien réussit les mathématiques, cependant, elles ne l’intéressent pas et il se voit mal faire des cours en plus seulement pour apprendre.
« Pour dire vrai... J’aime apprendre mais pas les sciences, c’est quelque chose que je n’aime pas énormément. Mais il est vrai qu’apprendre de nouvelles choses est quelques de bien. Mais je veux surtout apprendre les choses qui me plaisent le plus afin d’en faire possiblement un métier… Et en fait, je m’excuse par habitude, c’est surtout que je sais que certaines personnes n’aiment pas être dessinées par un inconnu… Surtout que la beauté que je m’inspire pour le dessin est seulement physique et non psychique… »
Taichi Tomoe Lizenko#98784#98784#98784#98784#98784#98784#98784
Sorcier Sang-Pur - Initié - Apprenti
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Yens : 269
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Mar 9 Oct 2018 - 15:32
« - Pour dire vrai ... J’aime apprendre mais pas les sciences, c’est quelque chose que je n’aime pas énormément. Mais il est vrai qu’apprendre de nouvelles choses est quelques de bien. Mais je veux surtout apprendre les choses qui me plaisent le plus afin d’en faire possiblement un métier ... Et en fait, je m’excuse par habitude, c’est surtout que je sais que certaines personnes n’aiment pas être dessinées par un inconnu ... Surtout que la beauté que je m’inspire pour le dessin est seulement physique et non psychique ... »
Taichi Tomoe est totalement sidérée. Comment peut-il ne pas aimer les sciences ? C’est pourtant ce qu’il y a de plus passionnant ! Mais bon elle peut admettre que tout le monde n’aime pas. Faire quelque chose que l’on aime pour en faire son métier, ça elle connait bien. En effet c’est exactement ce qu’elle a fait en devenant hackeuse.
S’excuser par habitude ? Qu’est-ce que c’est que ça ? L’adolescente ne comprend pour une fois absolument pas. Pourquoi s’excuser ainsi pour un oui ou un non ? Ca n’a aucun sens. D’accord elle peut admettre que tout le monde n’apprécie pas d’être dessiné ainsi par un parfait inconnu. Mais au fond quelle importance ? La personne ne fait rien de mal. Décidément les humaines restent très bizarre à ses yeux. Oubliant pour une fois sa gêne et sa timidité, elle se lance dans une petite leçon.
« - Kanaka-san vous ne devriez pas vous excusez pour quelque chose que vous aimez faire. Après tout vous ne faites pas de mal à dessiner ce qui vous plait. Si les gens n’aiment pas, tant pis pour eux. Le plus important est que vous, vous fassiez quelque chose qui vous plaît non ? »
La petite sorcière regarde sont futur nouveau camarade en penchant la tête sur le côté. La pensée qu’il va se faire manger tout cru par les enseignants de l’université s’impose d’elle-même. Il a besoin de s’endurcir et surtout de s’assumer. Enfin elle n’a pas vraiment de leçon à donner sur ce point, elle qui fuit la compagnie de ses camarades et tâche de se faire le plus discrète possible. Quelle ironie que Taichi Tomoe puisse se permettre de donner ce type de conseil, alors qu’elle ne les applique pas elle-même.
Soudain un bruit caractéristique se fait entendre, celui de dizaines d’étudiants marchant dans le parc, pour traverser la place et se rendre à leur prochain cours. Taichi s’aperçoit alors qu’elle a plus que traîné et qu’il est temps pour elle de retourner en cours. D’un bon rapide, mais gracieux, elle quitte le banc où elle se trouvait assise. Suite à quoi elle s’incline devant le lycéen, avant de se redressée.
« - Merci de m’avoir accordé un peu de votre temps Kanaka-san, j’en ai même beaucoup abusé. Il faut que je retourne en cours, mais c’était un plaisir de vous rencontrer ! Peut-être que la prochaine fois, vous pourriez me montrer d’autres dessins que vous avez fait ? »
Avec un large sourire, lui donnant à nouveau l’apparence d’une enfant, elle s’incline une seconde fois face à son camarade avant de partir en courant vers son prochain cours. Un des rares qui l’intéresse réellement : la robotique.
Taichi Tomoe est totalement sidérée. Comment peut-il ne pas aimer les sciences ? C’est pourtant ce qu’il y a de plus passionnant ! Mais bon elle peut admettre que tout le monde n’aime pas. Faire quelque chose que l’on aime pour en faire son métier, ça elle connait bien. En effet c’est exactement ce qu’elle a fait en devenant hackeuse.
S’excuser par habitude ? Qu’est-ce que c’est que ça ? L’adolescente ne comprend pour une fois absolument pas. Pourquoi s’excuser ainsi pour un oui ou un non ? Ca n’a aucun sens. D’accord elle peut admettre que tout le monde n’apprécie pas d’être dessiné ainsi par un parfait inconnu. Mais au fond quelle importance ? La personne ne fait rien de mal. Décidément les humaines restent très bizarre à ses yeux. Oubliant pour une fois sa gêne et sa timidité, elle se lance dans une petite leçon.
« - Kanaka-san vous ne devriez pas vous excusez pour quelque chose que vous aimez faire. Après tout vous ne faites pas de mal à dessiner ce qui vous plait. Si les gens n’aiment pas, tant pis pour eux. Le plus important est que vous, vous fassiez quelque chose qui vous plaît non ? »
La petite sorcière regarde sont futur nouveau camarade en penchant la tête sur le côté. La pensée qu’il va se faire manger tout cru par les enseignants de l’université s’impose d’elle-même. Il a besoin de s’endurcir et surtout de s’assumer. Enfin elle n’a pas vraiment de leçon à donner sur ce point, elle qui fuit la compagnie de ses camarades et tâche de se faire le plus discrète possible. Quelle ironie que Taichi Tomoe puisse se permettre de donner ce type de conseil, alors qu’elle ne les applique pas elle-même.
Soudain un bruit caractéristique se fait entendre, celui de dizaines d’étudiants marchant dans le parc, pour traverser la place et se rendre à leur prochain cours. Taichi s’aperçoit alors qu’elle a plus que traîné et qu’il est temps pour elle de retourner en cours. D’un bon rapide, mais gracieux, elle quitte le banc où elle se trouvait assise. Suite à quoi elle s’incline devant le lycéen, avant de se redressée.
« - Merci de m’avoir accordé un peu de votre temps Kanaka-san, j’en ai même beaucoup abusé. Il faut que je retourne en cours, mais c’était un plaisir de vous rencontrer ! Peut-être que la prochaine fois, vous pourriez me montrer d’autres dessins que vous avez fait ? »
Avec un large sourire, lui donnant à nouveau l’apparence d’une enfant, elle s’incline une seconde fois face à son camarade avant de partir en courant vers son prochain cours. Un des rares qui l’intéresse réellement : la robotique.
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