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Jeu 2 Aoû 2018 - 22:31
Ce jour là, le ciel était totalement dégagé, le chant, délicat, des oiseaux s'élevait des branches des arbres de la foret entourant Nakanoto.
J'avais décidé de sortir, encore une, fois pour observer les fleurs qui s'y trouvaient. La montagne était immense, recouverte d'herbe et parsemer de petites fleurs ce trouvant majoritairement dans les bois qui la peuplaient. Après plusieurs heures de recherche assidu j'avait enfin pu les trouver, l'une des fleurs qui me fascinaient le plus. Monté sur de longues tiges, chacune d'entre elles étaient surmontées d'une couronne de plusieurs fleurs collées les une aux autres toutes d'une seule et même couleur : un rouge vif étincelant, ce qui peut la représenter au mieux serai une flammèche au bout d'un lampadaire à l'ancienne. Cette fleur ce nomme Lycoris, dans les croyance japonaise, d'après grand mère Kikyo, on la surnomme la fleur du solstice d'automne, poussant naturellement près des tombes des défunts elle représente également la mort ou signifie une séparation définitive, elle est surnommé par les japonais la fleur aux 600 noms et ce n'est pas pour rien car les croyance lui en on valut énormément, mais aucunes de ses croyances fait assez hommage à cette magnifique fleur lors qu'elle se retrouve en champ ! Et le spectacle qui ce dévoilait devant mes yeux à cette instant était tout simplement inoubliable.
Je me suis alors assise au milieu d'elles, sortant un petit livre de dessin, un feutre noir, et quelques autres feutre de couleur puis me mis à les dessiner pour garder pour toujours ce souvenir en moi, même si je perds de nouveau la mémoire. Le vent soufflait légèrement dans mes cheveux et les faisaient voler devant mon visage ce qui me gênait énormément. je sorti de la ceinture de ma robe deux petites barrettes violettes, pris une mèche de mes cheveux, resserra le reste derrière ma tête pour ensuite l'entouré de la mèche et fini par la retenir avec les deux petites barrettes.
J'étais enfin fin prête pour mettre sur papier cette magnifique flore qui ce représentait devant moi. Je commençais alors, à l'aide d'un crayon à papier gris, à faire quelques légers mouvement de la mains sur la feuilles blanche pour dessiner les bases et me faciliter le passage du feutre sans faute. Après avoir mis en place la trame, je me décida enfin à me mettre au feutre. Tout était parfait ! et cette instant pouvais presque me faire oublier la présence d'une odeur étrangement déplaisante...
"Qui est-vous ? Depuis combien de temps êtes vous derrière cette arbre
à m'observer ?" Ai-je dis en haussant la voix, le regard toujours neutre fixé devant ma feuille, continuant sur ma lancé pour ce qui est du dessin.
Vu que je n'entendis aucune réponse immédiatement, je souffla, posant mon feutre sûr le cahier de dessin que je posais lui même sur le sol, tourna le visage doucement en direction de la forte odeur, d'un air agacé.
J'avais décidé de sortir, encore une, fois pour observer les fleurs qui s'y trouvaient. La montagne était immense, recouverte d'herbe et parsemer de petites fleurs ce trouvant majoritairement dans les bois qui la peuplaient. Après plusieurs heures de recherche assidu j'avait enfin pu les trouver, l'une des fleurs qui me fascinaient le plus. Monté sur de longues tiges, chacune d'entre elles étaient surmontées d'une couronne de plusieurs fleurs collées les une aux autres toutes d'une seule et même couleur : un rouge vif étincelant, ce qui peut la représenter au mieux serai une flammèche au bout d'un lampadaire à l'ancienne. Cette fleur ce nomme Lycoris, dans les croyance japonaise, d'après grand mère Kikyo, on la surnomme la fleur du solstice d'automne, poussant naturellement près des tombes des défunts elle représente également la mort ou signifie une séparation définitive, elle est surnommé par les japonais la fleur aux 600 noms et ce n'est pas pour rien car les croyance lui en on valut énormément, mais aucunes de ses croyances fait assez hommage à cette magnifique fleur lors qu'elle se retrouve en champ ! Et le spectacle qui ce dévoilait devant mes yeux à cette instant était tout simplement inoubliable.
Je me suis alors assise au milieu d'elles, sortant un petit livre de dessin, un feutre noir, et quelques autres feutre de couleur puis me mis à les dessiner pour garder pour toujours ce souvenir en moi, même si je perds de nouveau la mémoire. Le vent soufflait légèrement dans mes cheveux et les faisaient voler devant mon visage ce qui me gênait énormément. je sorti de la ceinture de ma robe deux petites barrettes violettes, pris une mèche de mes cheveux, resserra le reste derrière ma tête pour ensuite l'entouré de la mèche et fini par la retenir avec les deux petites barrettes.
J'étais enfin fin prête pour mettre sur papier cette magnifique flore qui ce représentait devant moi. Je commençais alors, à l'aide d'un crayon à papier gris, à faire quelques légers mouvement de la mains sur la feuilles blanche pour dessiner les bases et me faciliter le passage du feutre sans faute. Après avoir mis en place la trame, je me décida enfin à me mettre au feutre. Tout était parfait ! et cette instant pouvais presque me faire oublier la présence d'une odeur étrangement déplaisante...
"Qui est-vous ? Depuis combien de temps êtes vous derrière cette arbre
à m'observer ?" Ai-je dis en haussant la voix, le regard toujours neutre fixé devant ma feuille, continuant sur ma lancé pour ce qui est du dessin.
Vu que je n'entendis aucune réponse immédiatement, je souffla, posant mon feutre sûr le cahier de dessin que je posais lui même sur le sol, tourna le visage doucement en direction de la forte odeur, d'un air agacé.
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Jeu 2 Aoû 2018 - 22:58
Cela faisait déjà plusieurs jours que je m’étais pas promener dans les bois et je sentai bien plus que la terrible lassitude et l’appel de la nature dans mes veines toujours plus bouillonnante. Ôkamiô savait se rappeler à moi lorsque cela faisait trop longtemps que je ne lui avais pas laissé la main.
La nuit était partement dégagée ce soir là ce qui était parfait pour un tour dans les bois bordant Nakanoto. De ce temps-là, on pouvait faire de bonnes découvertes que ce soit en terme de plantes ou de gibiers. J’avais par ailleurs pris l’habitude d’aller en forêt pour chasser ce que je mettais à ma carte pour le gibier, mais aussi à aller cueillir moi-même les fleurs ou plantes sauvages qui me servaient en guise d'aromate.
Je suis parti pour ma promenade lorsque l’heure m’a paru idéale, celle à partir de laquelle il était le moins probable de tomber sur un promeneur du soir. J’ai commencé à m’enfoncer dans les bois et à cueillir plusieurs plantes qui à l’odeur m'insulfaient quelques idées pour quelques bonnes recettes.
Ôkamiô - Aller… laisse moi la main, j’ai envie de courir un peu et pas juste me la jouer hingales…
Ôkamiro - Oui oui deux secondes…
Je détachait alors mon bandanas à mon poignet, celui-la même de rouge et de flammes dessus me permettait en guise de totem de passer d’une personnalité à l’autre. Je commençais alors à me dévêtir et ranger mes habits dans un vieux tronc noueux ainsi que mon sac d’herbes. Puis j’ai amené le bandanas sur mon front pour le nouer et m’abandonner à ma véritable nature.
Mon corps commença à se distendre, mes membres à s’allonger, mes ongles à devenir des griffes et mes dents des crocs. Je commençais à gagner en taille et ma peau à se recouvrir d’une épaisse fourrure. Très vite j’attaignais les trois mètres de haut si j’avais été parfaitement droit, mais nous autres étions plutôt courbé pour faciliter le passage d’une posture bipède à quadrupède.
J’ai poussé mon hurlement d’Alpha tandis qu’Ôkamiro était plutôt en veilleuse pour une fois et je savourai alors la délectation profonde que procurait mon environnement. Je me suis lancé dans une course effrénée à travers les bois tantôt à quatre pattes et tantôt à deux à bondir en haut d’un arbre puis à un autre. J’ai senti la piste de plusieurs gibier qui auraient fait de bon repas une fois bien préparés, mais j’ai senti une intense odeur, celle d’une chair jeune et fraîche et très proche de moi.
J’arrivais à l’auré d’une clairière de fleur magnifiques où se trouvait une jeune fille en train de dessiner. Je ne me suis pas montré, sentant une pulsion, une envie de tuer, celle que nous retenions à deux moi et Ôkamiro.
Chloris - Qui est-vous ? Depuis combien de temps êtes vous derrière cette arbre à m'observer ?
J’étais alors repéré sans savoir comment encore.
Ôkamiro - Hey ! on ne va rien lui faire !
Ôkamiô - Je sais…
J’ai porté ma patte griffue jusqu’à ma tête pour enlever le foulard et laisser la main à mon alter égo mollasson. L’effet est presque instantané chez nous.
J’ai commencé à voir mon corps se rabougri peu à peu pour adopter une taille plus proche des deux mètres vingts si j’avais été bien droit bien évidemment. Je continuais de la regarder tandis qu’elle commença à se retourner vers moi.
J’ai tout de suite tendu la patte vers elle, à plat, en faisant de petits gestes courts et rapides pour lui signifier ma non-hostilité envers elle.
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Jeu 2 Aoû 2018 - 23:28
Je fronça les sourcils dans la direction de l'odeur, me demandant comment cela ce fait-il, qu'une personne m'observe à cette heur si tardive ? Et puis qui avait-il de si intéressant à me regarder dessiner ? C'est alors qu'une main sortie de dernière l'arbre que je fixais pour me faire un signe comme pour m'expliquer qu'il ne me voulait rien de mal. Je me suis alors rassise puis repris mon petit cahier sans dire un mot, je tendis la main dans la direction de la personne caché derrière l'arbre puis tapota le sol à côté de moi pour le demander d'approcher. Le vent souffla dans mes cheveux en direction de la personne m'espionnant, ce qui les fit ce rabattre sur mon visage malgré ma manière des les attacher. Gardant un air impassible, le visage de nouveau tourné devant mon dessin et continuant son esquisse je lui demanda alors, malgré mon aversion pour le langage humain:
"Hey bien ! Que faisiez-vous donc caché ainsi derrière cette arbre ? ce n'est pas polie d'observé les gens de la sorte..." J'avais abandonné toute étiquette que ma grand mère m'avait enseigné à l'époque, au diable les manière, je ne supporte pas que l'on m'observe dans mon havre de paie !
Je continuais alors mon dessin calmement, mais néanmoins outré par les manières de cette personne, mettant le pouce devant mon visage, le tournant d'un angle puis d'un autre pour bien placer comme il faut chaque pétale, chaque étamine et chaque relief, le dessin ce devait d'être parfais ! sinon comment pourrais-je garder ce souvenir précieusement au chaud dans un coin de mon esprits et de ma chambre ? Il faudra que je le montre à Raphaël d'ailleurs pour avoir son avis ! j'espère qu'il lui plaira. Cela me fi penser, tout à coup, que j'aimerais pouvoir faire un dessin de lui très prochainement ! il faudrait vraiment que je prenne mon courage à deux mains pour le lui demander.
"Hey bien ! Que faisiez-vous donc caché ainsi derrière cette arbre ? ce n'est pas polie d'observé les gens de la sorte..." J'avais abandonné toute étiquette que ma grand mère m'avait enseigné à l'époque, au diable les manière, je ne supporte pas que l'on m'observe dans mon havre de paie !
Je continuais alors mon dessin calmement, mais néanmoins outré par les manières de cette personne, mettant le pouce devant mon visage, le tournant d'un angle puis d'un autre pour bien placer comme il faut chaque pétale, chaque étamine et chaque relief, le dessin ce devait d'être parfais ! sinon comment pourrais-je garder ce souvenir précieusement au chaud dans un coin de mon esprits et de ma chambre ? Il faudra que je le montre à Raphaël d'ailleurs pour avoir son avis ! j'espère qu'il lui plaira. Cela me fi penser, tout à coup, que j'aimerais pouvoir faire un dessin de lui très prochainement ! il faudrait vraiment que je prenne mon courage à deux mains pour le lui demander.
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Ven 3 Aoû 2018 - 2:45
Elle ne semblait pas avoir véritablement pu me distinguer dans l’obscurité de la nuit, pourtant je pensais qu’il était assez flagrant que je n’étais pas humain, ou alors je n’étais pas le premier lycan qu’elle voyait. Je suis alors sorti du couvert des arbres pour m’avancer un peu plus dans cette clairière aux fleurs magnifiques, la lumière blafarde de la lune dévoilant l’aspect animal que j’arborai alors.
Je me suis approché tout en douceur pour qu’elle ne pense pas que j’en voulai à sa vie tout en mettant les mains devant moi avec de petits gestes bas, toujours pour lui montrer que je n’avais pas de mauvaise attention et surtout ne pas lui faire peur.
Cela aurait été dangereux qu’elle s’enfuie dans les bois à une heure pareil, car sans compter les lycans qui rôdent dans la montagnes par une si belle nuit, c’est aussi aux ours et autre créatures que je pensais.
J’avais toujours mon bandana dans une patte, près à m’en servir pour me couvrir si jamais je devais reprendre ma forme humaine. Il était évident qu’il fallait que j’adopte cette forme pour ne pas l’effrayer davantage. J’ai entamé ma transformation malgré le fait qu’elle ait pu me voir ainsi.
Je me suis arrêté à bonne distance d’elle et déployais mon bandana comme un paréo dans le but de me couvrir un minimum afin de ne pas la choquer. Après ça je me suis juste mis accroupi avec toute la mollesse de ma posture habituelle. D’un ton tout aussi mou je lui ai alors adressé la parole.
Ôkamiro - Que fais-tu… à une heure pareil ici ?
Il commençait à se faire vraiment tard mine de rien et l’endroit n’était pas sûr pour une jeune fille. Maintenant que je l’avais bien en vu je pouvais distinguer qu’elle avait le teint pâle comme la lune et des yeux d’une couleur singulière. Elle semblait être absorbée par le dessin qu’elle était en train de faire.
Ôkamiô - Hey, elle est pas complètement conne pour faire ça à une heure pareille sans déconner ?! Faut pas être futée pour avoir ce genre d’idées !
Je laissais parler mon ami même si dans le fond, il n’avait pas vraiment tord. Qui pouvait avoir dans l’idée de venir aussi profondément dans les bois et dans la montagne et surtout à une heure pareille ? Soit elle était folle, soit elle était suicidaire, car tout le monde est au courant de ce qu’il se passe à Nakanoto depuis ces derniers mois. À l’âge qu’elle semblait avoir, je commençais à me demander qui laisserai une jeune fille aller faire ça toute seule. Pourtant, j’humais l’air et j’étais persuadé que nous étions bel et bien seuls ici ce soir...
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Ven 3 Aoû 2018 - 3:23
L'homme, au vu de sa hauteur, fini par s'approcher de moi. Je le regarda du coin de l’œil et vit quelque chose d'étrange mais n'y porta pas attention immédiatement étant si absorbé par mon dessin, la journée était déjà belle et bien fini et la pénombre s'avançais de plus en plus ce que je n'avait pas vu dans la foulé. Je me frotta les yeux, essayant de me concentrer sur mon dessin, je voulais absolument le finir maintenant, sinon je n'arriverais jamais à le reprendre plus tard, il finira par être raté et je devrais alors le recommencer depuis le tout début...
L'odeur de l'homme se faisait de plus en plus forte et désagréable à sentir, surtout aussi proche de moi, j'eu alors un mouvement de recul et fronça le nez pour essayer de me retirer cette odeur désagréable. Puis il finit par me parler.
"Que fais-tu… à une heure pareil ici ?"
*Il me répond par une question, c'est la meilleure !* pensais-je. Ne voulant pas me détourner du tableau végétal qui s'offrait à moi, et n'ayant pas l'envie de débattre sur le sujet longuement, je lui répondit simplement.
"J'essaye de dessiner mais j'étais tellement concentrer par le dessin que je n'ai pas vu le soleil ce coucher."
Je leva le visage au ciel pour regarder les étoiles qui l'emplissait, c'était un si beau spectacle que je me perdis quelques seconde dans mes pensés pour cette jolie robe, à l'image de ce ciel qu'il me faudra décidé de porter un jour. Lorsque je revins à moi je détourna le regard du ciel pour repenser à ce que j'avais vu du coin du regard, c'est alors qu'en me tournant vers la personne qui c'était assise à côté de moi, je réalisa qu'il n'avait pas du tout la même apparence, j'étais certaine, d'avoir vu quelque chose d'énorme en effrayant pendant un laps de temps minime. J'écarquilla les yeux choqué par la vision, il avait beau me faire des mouvements pour me faire comprendre qu'il ne me ferais rien de mal j'étais malgré tout effrayé et stupéfaite.
Je lâchais alors mon carnet de dessin, ainsi que toutes mes affaires, je fis un bon en arrière restant accroupis, le regard impassible mais les sourcils froncés, je le fixa paniqué. Je n'osais plus bouger à cette instant et à peine parler. Mon odorat ne m'avait encore pas trompé, c'était bien l'odeur d'un carnivore, l'odeur âcre, mais également épicé, d'un autre prédateur mais sens cette pointe de tentation que Raphaêl portait sur lui. Je réussis malgré tout à balbutier quelques mots.
"Qu... M... Mais qu'est-ce... qu'est ce que vous êtes !?"
Il refit un mouvement vers moi pour me calmer, mais j'étais bien trop effrayer par cette vision d'horreur qui resurgissait dans les méandre de mon esprit, et cette odeur... elle devenait de plus en plus insupportable à un point que je mis ma mains devant mon visage et balaya l'air devant moi pour le faire reculer.
"Non... non ne m'approchez pas !"
Je positionna ma main gauche entre mon visage et ça personne et lui demanda alors :
"Je suis certaine que vous ne ressembliez pas à cela il y a quelque seconde ! Qu'êtes vous !?"
L'odeur de l'homme se faisait de plus en plus forte et désagréable à sentir, surtout aussi proche de moi, j'eu alors un mouvement de recul et fronça le nez pour essayer de me retirer cette odeur désagréable. Puis il finit par me parler.
"Que fais-tu… à une heure pareil ici ?"
*Il me répond par une question, c'est la meilleure !* pensais-je. Ne voulant pas me détourner du tableau végétal qui s'offrait à moi, et n'ayant pas l'envie de débattre sur le sujet longuement, je lui répondit simplement.
"J'essaye de dessiner mais j'étais tellement concentrer par le dessin que je n'ai pas vu le soleil ce coucher."
Je leva le visage au ciel pour regarder les étoiles qui l'emplissait, c'était un si beau spectacle que je me perdis quelques seconde dans mes pensés pour cette jolie robe, à l'image de ce ciel qu'il me faudra décidé de porter un jour. Lorsque je revins à moi je détourna le regard du ciel pour repenser à ce que j'avais vu du coin du regard, c'est alors qu'en me tournant vers la personne qui c'était assise à côté de moi, je réalisa qu'il n'avait pas du tout la même apparence, j'étais certaine, d'avoir vu quelque chose d'énorme en effrayant pendant un laps de temps minime. J'écarquilla les yeux choqué par la vision, il avait beau me faire des mouvements pour me faire comprendre qu'il ne me ferais rien de mal j'étais malgré tout effrayé et stupéfaite.
Je lâchais alors mon carnet de dessin, ainsi que toutes mes affaires, je fis un bon en arrière restant accroupis, le regard impassible mais les sourcils froncés, je le fixa paniqué. Je n'osais plus bouger à cette instant et à peine parler. Mon odorat ne m'avait encore pas trompé, c'était bien l'odeur d'un carnivore, l'odeur âcre, mais également épicé, d'un autre prédateur mais sens cette pointe de tentation que Raphaêl portait sur lui. Je réussis malgré tout à balbutier quelques mots.
"Qu... M... Mais qu'est-ce... qu'est ce que vous êtes !?"
Il refit un mouvement vers moi pour me calmer, mais j'étais bien trop effrayer par cette vision d'horreur qui resurgissait dans les méandre de mon esprit, et cette odeur... elle devenait de plus en plus insupportable à un point que je mis ma mains devant mon visage et balaya l'air devant moi pour le faire reculer.
"Non... non ne m'approchez pas !"
Je positionna ma main gauche entre mon visage et ça personne et lui demanda alors :
"Je suis certaine que vous ne ressembliez pas à cela il y a quelque seconde ! Qu'êtes vous !?"
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Ven 3 Aoû 2018 - 13:57
Je m’étais approché sans mal, à croire qu’elle ne prêtait pas du tout attention à moi et me répondait même très rapidement sans aucun soucis.
Cependant, elle a soudainement changé de posture, complètement horrifiée par ce que j’étais comme si elle avait réagit à retardement ou alors que j’étais laid peut-être.
Ôkamiô - je rêve ou c’est toi qui parle de quelqu’un comme “lent à réagir” ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité là mon vieux !
C’est vrai que je n’étais pas vraiment du genre vif d'esprit lorsqu’il n’y avait de lien avec la nourriture ou la cuisine à large spectre. Elle avait pourtant clairement vu ma forme et c’est cet état de fait qui la perturbait maintenant que j’ét ais en humain. Je suis resté accroupi à deux, peut-être trois mètres d’elle afin de ne pas lui faire plus peur que ce n’était déjà le cas.
Chloris - Je suis certaine que vous ne ressembliez pas à cela il y a quelque seconde ! Qu'êtes vous !?
Je ne savais pas vraiment quoi répondre à une telle demande alors je balbutiais quelques platitudes.
Ôkamiro - Je ne vais… pas te faire de mal..
Ôkamiô - Oh putain.. La phrase type du tueur en série complètement pété du casque !
C’est vrai que c’était pas le genre de phrase le plus engageant pour se donner de la crédibilité auprès d’elle.
Ôkamiro - Je ne suis pas… comme les lycans… que tu as pu voir à la télé… ou sur le net… Tu ne devrais pas être seule… dans les bois à une heure pareille… ça peut être dangereux par les temps qui courent…
Ôkamiô - Mouai j’suis pas convaincu par ta prestation mon gros. Sur ce coup-là à sa place je hurle.
Il avait franchement raison sur ce coup-là, j’étais tellement maladroit avec les gens. Je me laissai tomber en arrière allongé dans l’herbe et les fleur à regarder les étoiles qui éclairaient faiblement le ciel et magnifiaient cette lune. Parler avec les gens était si fatigant finalement, tout était plus simple en cuisine, il n’y a que le frémissement des casseroles, le crépitement des flammes, c’est un balai, un opéra, une fanfare, tout ce qu’on veut. Mais les gens sont compliqués...
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Ven 3 Aoû 2018 - 22:10
Restant quelques instant en recule, la main devant mon visage pour cacher la personne juste devant moi, je l'entendis me répondre, enfin... plutôt essayer encore une fois de me calmer par des mots cette fois si. Il avait l'air très lent d'esprit dans sa manière de me parler et comme maladroit, il me précisa alors qu'il ne me ferait pas de mal mais... j'avais beaucoup de mal à le crois... Il se trouvait quand même à quelques pas de moi, cacher dernière un arbre sous une autre apparence pour ensuite me dire qu'il ne me veut aucun mal ? Je recula encore un peu, toute tremblante, et finis par m'adosser contre un arbre. Les mains plaqué contre celui-ci, je me releva doucement le long de son tronc. Mes jambes vivraient, je n'arrivais pas à les contrôler mais je me força malgré tout à me redresser pour me préparer à fuir à toute jambe.
"Je ne suis pas… comme les lycans… que tu as pu voir à la télé… ou sur le net… Tu ne devrais pas être seule… dans les bois à une heure pareille… ça peut être dangereux par les temps qui courent…" disait-il avec cette lenteur et ce détachement si étrange.
"Un quoi ?" Pensais-je en mon fort intérieur.
J'essaya de me souvenir de ce mot qu'il venait de prononcer, Ly...Lycan, mais qu'est-ce donc ? Ce n'est décidément pas drôle d'être amnésique, j'avais beau être jeune à cette époque, cela à provoquer en moi une non connaissance en beaucoup de choses qui nous entour... d'abord les changelins, ensuite les vampires et maintenant ça ? un "Lycan". Mon visage ce figea alors comme si j'essayais de me remémorer ce mot, même s'il m'était totalement inconnue dans sa signification, ce mot ne me restait pas moi familier. Je le regarda d'un neutre ajouta la voix tremblante :
"J... Je ne vois pas ce qu'est qu'un... Lycan comme vous l'avez expliqué. Je n'ai jamais regardé la télé durant toute ma vie et découvre avec le temps que je ne connais pas grand chose sur celle-ci."
Je me décontracta légèrement puis poursuivi.
"S"il vous plais, expliquez moi ce qu'est un... Lycan !" Je voulus demander par la même occasion s'il était un peu comme un changelin mais c'est alors que je me souvenu de la phrase de Mr Smith, personne ne doit savoir sur notre race ! alors je m’arrêtas là pour ma question et resta totalement immobile attendant de pied ferme une réponse, préférant resté loin de lui. La nuit était bien avancé et j'avait une peur bleu qu'il ne tente quoi que ce soit contre moi, alors que ma seule arme pourrait être mon crayon à papier enfoncé dans son œil, et je venais tout à coup de me souvenir que je l'avais laissé hors de porté, là où je dessinait quelque minutes avant, je passa par la suite mon regard de l'homme à mon crayon.
"Je ne suis pas… comme les lycans… que tu as pu voir à la télé… ou sur le net… Tu ne devrais pas être seule… dans les bois à une heure pareille… ça peut être dangereux par les temps qui courent…" disait-il avec cette lenteur et ce détachement si étrange.
"Un quoi ?" Pensais-je en mon fort intérieur.
J'essaya de me souvenir de ce mot qu'il venait de prononcer, Ly...Lycan, mais qu'est-ce donc ? Ce n'est décidément pas drôle d'être amnésique, j'avais beau être jeune à cette époque, cela à provoquer en moi une non connaissance en beaucoup de choses qui nous entour... d'abord les changelins, ensuite les vampires et maintenant ça ? un "Lycan". Mon visage ce figea alors comme si j'essayais de me remémorer ce mot, même s'il m'était totalement inconnue dans sa signification, ce mot ne me restait pas moi familier. Je le regarda d'un neutre ajouta la voix tremblante :
"J... Je ne vois pas ce qu'est qu'un... Lycan comme vous l'avez expliqué. Je n'ai jamais regardé la télé durant toute ma vie et découvre avec le temps que je ne connais pas grand chose sur celle-ci."
Je me décontracta légèrement puis poursuivi.
"S"il vous plais, expliquez moi ce qu'est un... Lycan !" Je voulus demander par la même occasion s'il était un peu comme un changelin mais c'est alors que je me souvenu de la phrase de Mr Smith, personne ne doit savoir sur notre race ! alors je m’arrêtas là pour ma question et resta totalement immobile attendant de pied ferme une réponse, préférant resté loin de lui. La nuit était bien avancé et j'avait une peur bleu qu'il ne tente quoi que ce soit contre moi, alors que ma seule arme pourrait être mon crayon à papier enfoncé dans son œil, et je venais tout à coup de me souvenir que je l'avais laissé hors de porté, là où je dessinait quelque minutes avant, je passa par la suite mon regard de l'homme à mon crayon.
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Ven 3 Aoû 2018 - 22:29
Elle était totalement apeurée je le voyais bien. Il fallait que je fasse en sorte qu’elle se calme un peu pour que l’on puisse converser un peu, mais difficulté était de la mettre en confiance.
Ôkamiô - Mais t’es un putain de génie mec, un loup-garou se transformant en mec à poil c’est vrai qu’on a vu mieux comme première approche pour mettre en confiance une jeune demoiselle.
Il n’avait encore une fois pas tord, mais je ne voyais pas bien comment la mettre en confiance alors j’ai fais ce que je savais faire, c’est à dire me montrer peu menaçant avec cette nonchalance qui me caractérisait tant.
C’est à ce moment-là qu’elle a décidé de parler et de rebondir sur ce que j’avais avancé plus tôt.
Chloris - S"il vous plais, expliquez moi ce qu'est un... Lycan !
Comment expliquer un truc pareil ? Elle n’avait vraiment aucune idée de ce dont je pouvais parler, vraiment ? Mais d’où sortait cette fille, de mars ? C’est évidemment ce qui nous a traversé l’esprit à moi et Ôkamiô.
Ôkamiô - laisse tomber mec, elle est foutu dans ce monde, elle va se faire crever par le premier infecté qui passe.
C’était totalement hors de question que de la laisser dans une telle absence de connaissance sur le problème qui touchait Nakanoto depuis Halloween dernier.
Ôkamiro - Et bien… hm… un lycan est un loup-garou… un hybride entre l’homme et le loup… c’est la façon la plus simple d’expliquer cela…
C’était en effet le plus simple, mais si elle ne savait pas ce qu’était un loup-garou, cela ne m’avancerai pas beaucoup ai-je pensé.
Ôkamiro - Nous sommes apparus… si on veut… et disons que tous n’arrivent pas à se contrôler ces derniers temps… certain d’entre nous sont malades… si on veut… et ils attaquent et tuent sans aucune logique…
Ôkamiô - Bravo… je suis certain que ça va l’aider à avoir confiance et la rassurer, bon boulot pauvre tache !
Ce n’était pas une manière des plus appropriée de présenter notre espèce c’est vrai, mais il ne fallait pas qu’elle soit dans l’ignorance que tous ne sont pas amicaux ces derniers temps.
Nous ne savions toujours pas d’où pouvait bien provenir cette infection et si elle se transmettait à un alpha, il était probable qu’elle se transmette directement à l’omega que deviendrait un humain mordu par un alpha infecté.
Ôkamiro - Pour essayer d’être plus clair sur ce que nous sommes… je dirais que ce que tu a vu, c’est la bête qui est en moi… enfin si on veut… Nous sommes peu nombreux, mais tout de même ces temps-ci, certain apparaissent… et ils sont malades… La forêt n’est pas sûre à une heure pareille...
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Dim 5 Aoû 2018 - 20:08
Il essaye de m'expliquer à plusieurs reprise le mot Lycan, il parla tout d'abord de Loup-garou, ce qui me parlait bien plus, car à cette instant je me rappelais de Raphaël qui m'expliquant les mots qu'il m'enseignait pour l'écriture :
Loup, de lupus, est un animal de grande taille, un prédateur naturel canin faisant partie des ancêtres de certains chiens de compagnie actuel. Garou, suffixe placé à la suite du nom d'un animal pour désigner la créature hybride de ce dernier avec l'être humain.
Je fut vite conforté dans cette idée lorsque qu'il m'expliqua que ce que j'avais entre vu avant, était sa "bête intérieur" mais l'inquiétude me gagna par la suite, lorsqu'il ajouta le sujet maladie à son explication.
D'après lui, certains de son espèces, son contaminé par une maladie qui leur ferait perdre le contrôle et les forcerais à mordre ou pire tuer d'autres personnes, son annonce me glaça le dos lorsque je me souvenue de son apparence que j'avais entre vu du coin de l’œil, je l'écouta attentivement pour essayer de comprendre au mieux, cela me paraissait fou et de l'ordre de la fiction mais en y réfléchissant... je suis moi même capable de prendre l'apparence d'un animal, alors pourquoi pas une fusion avec un loup ?
Je resta silencieuse à cette annonce et mon corps entier ce mit à tremblais à la vision imagière d'une armé de ces créatures ce jetant sur moi... Je ferma les yeux et fonça les sourcils pour essayer de faire disparaître de ma rétine cette vision d'horreur. Lorsque j'ouvris de nouveau les yeux et plongea de nouveau mon regard dans le sien je décida alors de lui répondre à contre cœur en serrant les dents, je commençais à en avoir marre de devoir parler, c'est tellement plus agréable d'écrire et moins fatiguant :
"Je ne sais pas, si vos explications servent à m'effrayer pour m’empêcher de recommencer à me promener la nuit, ou si elles son réelles, mais..." Je fronça les sourcils et serra les dents de plus belle pour me forcer un peu plus."en aucun cas je n'avais dans l'idée de me promener la nuit dans cette forêt, je voulais seulement dessiner ce magnifique champs de fleurs dans le quel vous vous êtes affalé, et je n'avais pas du tout remarquer que le temps avait filer à cette vitesse. A présentent, je m'excuse par avance si je suis offensante, mais il m'est en réalité insupportable de parler et je penses me retirer pour rentrer en sûreté comme vous allez surement me conseiller"
Je l'observa et fus intrigué tout à coup par sa manière de s'habiller ou plutôt, de son absence de vêtement, il portait seulement un bout de tissu rouge illustré de flammes, au niveau de son entre jambe, je pencha la tête légèrement comme un animal intrigué, le regard vide comme à mon habitude, puis je m'approcha doucement de lui pour réoccuper mes affaires, je tourna une page pour écrire dessus la question qui me turlupinait car je n'avais plus envie de parler:
Pourquoi ne portez vous presque rien sur vous ?
Je pris mon carnet de la main droite puis le tourna vers lui pour lui montrer ma question.
Loup, de lupus, est un animal de grande taille, un prédateur naturel canin faisant partie des ancêtres de certains chiens de compagnie actuel. Garou, suffixe placé à la suite du nom d'un animal pour désigner la créature hybride de ce dernier avec l'être humain.
Je fut vite conforté dans cette idée lorsque qu'il m'expliqua que ce que j'avais entre vu avant, était sa "bête intérieur" mais l'inquiétude me gagna par la suite, lorsqu'il ajouta le sujet maladie à son explication.
D'après lui, certains de son espèces, son contaminé par une maladie qui leur ferait perdre le contrôle et les forcerais à mordre ou pire tuer d'autres personnes, son annonce me glaça le dos lorsque je me souvenue de son apparence que j'avais entre vu du coin de l’œil, je l'écouta attentivement pour essayer de comprendre au mieux, cela me paraissait fou et de l'ordre de la fiction mais en y réfléchissant... je suis moi même capable de prendre l'apparence d'un animal, alors pourquoi pas une fusion avec un loup ?
Je resta silencieuse à cette annonce et mon corps entier ce mit à tremblais à la vision imagière d'une armé de ces créatures ce jetant sur moi... Je ferma les yeux et fonça les sourcils pour essayer de faire disparaître de ma rétine cette vision d'horreur. Lorsque j'ouvris de nouveau les yeux et plongea de nouveau mon regard dans le sien je décida alors de lui répondre à contre cœur en serrant les dents, je commençais à en avoir marre de devoir parler, c'est tellement plus agréable d'écrire et moins fatiguant :
"Je ne sais pas, si vos explications servent à m'effrayer pour m’empêcher de recommencer à me promener la nuit, ou si elles son réelles, mais..." Je fronça les sourcils et serra les dents de plus belle pour me forcer un peu plus."en aucun cas je n'avais dans l'idée de me promener la nuit dans cette forêt, je voulais seulement dessiner ce magnifique champs de fleurs dans le quel vous vous êtes affalé, et je n'avais pas du tout remarquer que le temps avait filer à cette vitesse. A présentent, je m'excuse par avance si je suis offensante, mais il m'est en réalité insupportable de parler et je penses me retirer pour rentrer en sûreté comme vous allez surement me conseiller"
Je l'observa et fus intrigué tout à coup par sa manière de s'habiller ou plutôt, de son absence de vêtement, il portait seulement un bout de tissu rouge illustré de flammes, au niveau de son entre jambe, je pencha la tête légèrement comme un animal intrigué, le regard vide comme à mon habitude, puis je m'approcha doucement de lui pour réoccuper mes affaires, je tourna une page pour écrire dessus la question qui me turlupinait car je n'avais plus envie de parler:
Pourquoi ne portez vous presque rien sur vous ?
Je pris mon carnet de la main droite puis le tourna vers lui pour lui montrer ma question.
Invité
Invité
Lun 6 Aoû 2018 - 1:00
Elle semblait réceptive à mes explications plus que douteuses, c’était donc une très bonne chose si je parvenais à me faire comprendre d’elle, en tout cas sur la nature d’un lycan au sens stricte du terme.
Chloris - Je ne sais pas, si vos explications servent à m'effrayer pour m’empêcher de recommencer à me promener la nuit, ou si elles sont réelles, mais…[...] en aucun cas je n'avais dans l'idée de me promener la nuit dans cette forêt, je voulais seulement dessiner ce magnifique champs de fleurs dans le quel vous vous êtes affalé, et je n'avais pas du tout remarquer que le temps avait filer à cette vitesse. A présentent, je m'excuse par avance si je suis offensante, mais il m'est en réalité insupportable de parler et je penses me retirer pour rentrer en sûreté comme vous allez surement me conseiller.
Ôkamiô - Tu disais ? Ahahah oui elle a l’air totalement convaincu par ce que tu lui a dit ahahah.
Il avait raison de rire sans aucuns doutes, car visiblement je passais pour quelqu’un au mieux étrange et malsain et dans le pire des cas pour l’un des dangereux lycans qui jouait juste avec sa proie. Ce n’était vraiment pas évident d’expliquer des choses aux gens, je n’étais pas doué pour parler tout simplement je pense.
Finalement elle approcha de moi pour me tendre une sorte de carnet sur lequel était inscrite une question vis à vis de l’absence de mes vêtements.
Ôkamiô - Ahahahah!!! En fait j’suis sûr !!! elle te prend juste pour un putain de gros pervers ahahahah !
Je crois que c’était vraiment ma fête ce soir… Déjà que je tombais sur une fille et que j’ai du reprendre une forme humain nue, mais en plus de cela elle soulignait cet état de fait, mais encore pire, mon alter ego se foutait royalement de ma gueule encore une fois.
Ôkamiro - Et bien c’est que… quand on se transforme nous… on déchire nos fringues, alors autant ne pas en porter avant de se transformer…
J’étais toujours aussi mou malgré cette gêne à peine présente en mon fort intérieur. Il y avait finalement très peu de sujet qui pouvaient me gêner… et en y réfléchissant bien, il n’y en avait aucun en fait. Je n’étais pas du genre à s'embarrasser des convenances, pas que je ne les respectai pas sciemment, mais je n’avais juste aucune vraies limites de définies socialement parlant. N’aimant m’exprimer qu’au travers de la cuisine, je ne m’embarrasse jamais des contraintes des règles sociales.
Ôkamiô - Par contre… pourquoi elle écrit celle-là ? Elle a un grain ou quoi ?
C’est vrai que c’était étrange que de soudainement se mettre à écrire alors que nous parlions, mais elle avait peut-être un début d’extinction de voix si cela se trouvait. En tout cas elle avait une jolie écriture, des doigts fins et pourtant à les voir, vigoureux et aguerri à écrire à de légère et subtile calles marquant un penchant pour le dessin de toute évidence
Ôkamiô - Bah oui bien sûr et puis si c’est pas ça, c’est peut-être qu’elle a peur d’avoir mauvaise haleine, non mais t’es con quoi ?! Elle est grillée du casque celle-là, lache l’affaire Ôkamiro !
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