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Raphaël de La Roche#99094#99094#99094#99094#99094#99094#99094
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Race : Level B
Couleur : #00cc66
Avatar : Aoi Kaji - kiniro no corda
Date d'inscription : 19/12/2012
Nombre de messages : 1327
Emploi/loisirs : Écrivain & professeur de violon
Yens : 1284
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Sam 27 Oct 2018 - 1:04
Un voile de tristesse assombrit mon visage tandis qu’Okamiro apportait quelques précisions à mon récit. La création des lycans resterait à jamais une tâche bien sombre sur notre palmarès. Pourtant, il n’y avait que quelques vampires qui étaient impliqués. C’était effrayant de constater à quel point la soif de pouvoir et l’ego démesuré des miens pouvaient conduire à de telles inepties. Mais mon ami avait raison ; nous ne pouvions changer le passé. Il fallait plutôt se tourner vers l’avenir et réparer les erreurs qui pouvaient l’être. En soi, nouer des liens avec cette nouvelle race et leur tendre la main en ces temps difficiles était un très bon début.
- Les vampires n’étaient que des exécutants, malheureusement. Certes mus par la folie des grandeurs et l’appât du gain, mais pas les instigateurs. De ce que j’ai compris, c’est un groupe d’humain qui a tout orchestré. Je ne sais pas comment ils ont réussi à créer une espèce viable et … quasi immortelle, dirons nous. Et à dire vrai je préfère ne pas le savoir.
Nul besoin de mener une enquête pour comprendre qu’ils avaient fait de nombreuses tentatives infructueuses, qui impliquaient un nombre considérable de victimes. Quoiqu’il en soit, les lycans étaient là aujourd’hui. Et ils souffraient désormais d’un mal inconnu qui menaçait toute la population de Nakanoto aujourd’hui. Si je pouvais attraper le responsable de cette épidémie, qui avait engendré la mort de ma fiancée… Le souvenir du doux sourire d’Emeraude m’apaisa un peu. Il ne fallait pas y penser. Je devais me concentrer sur le présent, sur l’avenir, et sur tous ceux qui restaient autour de moi. Okamiro repartit en cuisine pour préparer la suite de notre repas, nous laissant de nouveau seul Chloris et moi. Elle me fit part de son désir d’ouvrir une boutique de fleur, pour faire honneur à sa grand-mère de coeur. Je lui souris tendrement.
- C’est un beau projet. J’espère qu’il portera ses fruits. Si jamais tu as besoin d’aide, n’hésite pas à me demander, surtout.
J’entendis ensuite les commentaires de mon ami. Sa voix et son vocabulaire étaient nettement différents. J’en déduisis qu’il avait fait place à Okamio, sa seconde personnalité. Et effectivement, un regard vers la cuisine confirma qu’il revêtait son bandeau fétiche. J’étais quelque peu fasciné par cette dissension qui l’habitait. D’autant plus qu’une aura d’Alpha émanait de lui lorsqu’il se manifestait. Je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant. Mais ça me faisait plaisir d’avoir son soutien indéfectible.
- ça marche, Okamio, je prends note, merci ! dis-je à son attention sans avoir besoin d’élever la voix, puisqu’il disposait d’une ouïe aussi fine que la mienne.
Le lycan revint avec une nouvelle tournée de boisson, le même jus pour Chloris, et un cockail particulier pour moi, à base de champagne et de sang. Je le remerciai d’un sourire avant de me saisir du verre pour en observer la couleur et la texture. J’humai le dessus pour m’imprégner des arômes. Du gingembre, bien vu… Ses compétences culinaires n’étaient plus à prouver, décidément. Je levai ensuite mon verre en souriant à ma protégée.
- “Tchin”, oui. “Santé” marche également et c’est plus courant dans mon milieu.
Je bus une gorgée ; c’était absolument délicieux. Le parfum de l’hémoglobine était enivrant. Je passai ma langue sur mes lèvres pour ne louper aucun goutte. A peine eus-je terminé mon verre que le lycan revenait avec la suite. L’odeur du plat me donna l’eau à la bouche bien avant de l’avoir dans mon champ de vision. Il déposa devant moi un canard au sang revisité. Et à en juger par l’apparence et les arômes qui s’en dégagaient, il s’était inspiré de la Tour d’Argent, où j’avais déjà pu en consommer avant de quitter la France. Je pris le temps de goûter pour parfaire mon analyse ; j’opinai au commentaire de la jeune femme. C’était tout simplement exquis. Même le plus prestigieux restaurant de mon pays n’arrivait pas à ce niveau. Et j’étais pourtant un fin connaisseur.
- Oui, c’est délicieux. Le genre de plat qu’on prend le temps de déguster. Okamiro s’est surpassé, je dois dire.
Je pris mon temps pour consommer ce plat d’une qualité unique, qui avait le grand avantage de pouvoir me sustenter. Pourtant, mon assiette se retrouva rapidement vidée de son contenu. Je jetai un regard hillard sur celle de Chloris qui subissait le même sort. Malgré nos belles promesses, nous n’arrivions pourtant pas à nous freiner dans cette dégustation.
- Eh bien je vois que tu y as mis autant d’entrain que moi. Je ne sais pas ce qu’il nous réserve en dessert, mais j’avoue être totalement séduit par sa cuisine.
Je reposai couteau et fourchette dans mon assiette, veillant à ne pas les croiser -une vieille superstition hérité de mon père. Puis je m’essuyai la bouche avec la serviette en tissu rouge prévue à cet effet. Je pus ensuite reprendre la conversation là où nous l’avions laissée.
- As-tu une idée de l’endroit où t’installer ? Et d’un nom pour ta boutique ? Je peux t’aider à chercher, si besoin.
Je me découvrais avec surprise une réelle envie, presque un besoin de participer à cette formidable entreprise qui lui tenait à coeur. Et finalement, ce n’était pas plus mal. Je n’étais jamais plus performant pour vivre qu’en prenant soin de ceux qui m’entouraient.
- Les vampires n’étaient que des exécutants, malheureusement. Certes mus par la folie des grandeurs et l’appât du gain, mais pas les instigateurs. De ce que j’ai compris, c’est un groupe d’humain qui a tout orchestré. Je ne sais pas comment ils ont réussi à créer une espèce viable et … quasi immortelle, dirons nous. Et à dire vrai je préfère ne pas le savoir.
Nul besoin de mener une enquête pour comprendre qu’ils avaient fait de nombreuses tentatives infructueuses, qui impliquaient un nombre considérable de victimes. Quoiqu’il en soit, les lycans étaient là aujourd’hui. Et ils souffraient désormais d’un mal inconnu qui menaçait toute la population de Nakanoto aujourd’hui. Si je pouvais attraper le responsable de cette épidémie, qui avait engendré la mort de ma fiancée… Le souvenir du doux sourire d’Emeraude m’apaisa un peu. Il ne fallait pas y penser. Je devais me concentrer sur le présent, sur l’avenir, et sur tous ceux qui restaient autour de moi. Okamiro repartit en cuisine pour préparer la suite de notre repas, nous laissant de nouveau seul Chloris et moi. Elle me fit part de son désir d’ouvrir une boutique de fleur, pour faire honneur à sa grand-mère de coeur. Je lui souris tendrement.
- C’est un beau projet. J’espère qu’il portera ses fruits. Si jamais tu as besoin d’aide, n’hésite pas à me demander, surtout.
J’entendis ensuite les commentaires de mon ami. Sa voix et son vocabulaire étaient nettement différents. J’en déduisis qu’il avait fait place à Okamio, sa seconde personnalité. Et effectivement, un regard vers la cuisine confirma qu’il revêtait son bandeau fétiche. J’étais quelque peu fasciné par cette dissension qui l’habitait. D’autant plus qu’une aura d’Alpha émanait de lui lorsqu’il se manifestait. Je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant. Mais ça me faisait plaisir d’avoir son soutien indéfectible.
- ça marche, Okamio, je prends note, merci ! dis-je à son attention sans avoir besoin d’élever la voix, puisqu’il disposait d’une ouïe aussi fine que la mienne.
Le lycan revint avec une nouvelle tournée de boisson, le même jus pour Chloris, et un cockail particulier pour moi, à base de champagne et de sang. Je le remerciai d’un sourire avant de me saisir du verre pour en observer la couleur et la texture. J’humai le dessus pour m’imprégner des arômes. Du gingembre, bien vu… Ses compétences culinaires n’étaient plus à prouver, décidément. Je levai ensuite mon verre en souriant à ma protégée.
- “Tchin”, oui. “Santé” marche également et c’est plus courant dans mon milieu.
Je bus une gorgée ; c’était absolument délicieux. Le parfum de l’hémoglobine était enivrant. Je passai ma langue sur mes lèvres pour ne louper aucun goutte. A peine eus-je terminé mon verre que le lycan revenait avec la suite. L’odeur du plat me donna l’eau à la bouche bien avant de l’avoir dans mon champ de vision. Il déposa devant moi un canard au sang revisité. Et à en juger par l’apparence et les arômes qui s’en dégagaient, il s’était inspiré de la Tour d’Argent, où j’avais déjà pu en consommer avant de quitter la France. Je pris le temps de goûter pour parfaire mon analyse ; j’opinai au commentaire de la jeune femme. C’était tout simplement exquis. Même le plus prestigieux restaurant de mon pays n’arrivait pas à ce niveau. Et j’étais pourtant un fin connaisseur.
- Oui, c’est délicieux. Le genre de plat qu’on prend le temps de déguster. Okamiro s’est surpassé, je dois dire.
Je pris mon temps pour consommer ce plat d’une qualité unique, qui avait le grand avantage de pouvoir me sustenter. Pourtant, mon assiette se retrouva rapidement vidée de son contenu. Je jetai un regard hillard sur celle de Chloris qui subissait le même sort. Malgré nos belles promesses, nous n’arrivions pourtant pas à nous freiner dans cette dégustation.
- Eh bien je vois que tu y as mis autant d’entrain que moi. Je ne sais pas ce qu’il nous réserve en dessert, mais j’avoue être totalement séduit par sa cuisine.
Je reposai couteau et fourchette dans mon assiette, veillant à ne pas les croiser -une vieille superstition hérité de mon père. Puis je m’essuyai la bouche avec la serviette en tissu rouge prévue à cet effet. Je pus ensuite reprendre la conversation là où nous l’avions laissée.
- As-tu une idée de l’endroit où t’installer ? Et d’un nom pour ta boutique ? Je peux t’aider à chercher, si besoin.
Je me découvrais avec surprise une réelle envie, presque un besoin de participer à cette formidable entreprise qui lui tenait à coeur. Et finalement, ce n’était pas plus mal. Je n’étais jamais plus performant pour vivre qu’en prenant soin de ceux qui m’entouraient.
J'écris en #00cc66
Invité
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Sam 27 Oct 2018 - 12:49
Je me suis lancé sur les dessert dès que j’eus servit leur plat, il fallait du temps pour pouvoir le faire, même si j’avais de bon équipement. J’avais décidé de terminer leur repas avec un dessert glacé, c’était une idée parfaite étant donné que nous allions sur les beaux jours, estivaux même et après un bon repas, c’était toujours agréable de finir avec un sorbet. Les gens seraient étonné de ce que l’on peut faire avec les bon outils et avec des sorbetière dernier cris, plus besoin de placer ses préparation pendant des heures au congélateur pour faire des glaces maison.
Cela faisait parti intégrante de mon menu de dégustation pour les vampires, un sorbet au sang ! C’était une idée véritablement délicieuse et facilitant en plus de cela la préparation en soi à cause de la composition même du sang. À cause de ses composant, on pouvait se passer de fixateur pour sorbet pour figer le tout et le glucose naturellement présent dedans permettant pour les vampires d’apporter juste le sucre qu’il fallait pour leur papilles. Je n’avais pratiquement besoin de toucher à rien, mais un chef qui ne transforme pas son produit un minimum n’est pas digne d’être appelé chef. Je portais mon sang à légère ébullition, frémissant en sommes, avant d’y mettre du gingembre frais finement ciselé ainsi qu’un peu de menthe, de coriandre, de combawa, de basilic, un peu de jus de citron vert et tout de même un soupçon de sirop de pomme pour lier les desserts. Je laissai le tout infuser doucement et donc je me rabattais sur la préparation du sorbet pour Chloris.
Je faisais infuser, depuis qu’elle m’avait dit qu’elle appréciait la pomme, des Granny Smith dans du jus de citron. Bien entendu il aurait normalement fallu une nuit pour avoir un effet, alors pour aller plus vite, il j’avais fait le vide dans la boite où je les avais mise avec une pompe à air. C’était une technique de cuisine moléculaire, ainsi la durée du repas en elle même avait permis de faire ce qu’une nuit était nécessaire avant. J’ai fait revenire du sucre et de l’eau dans une casserole afin de faire un sirop. Une fois celui-ci prêt, je l’ai versé sur les pommes avant de mixer le tout.
J’entendais du coin de l’oreille les compliments qu’ils faisaient du plat et j’étais extatique à l’évocation de cela. Ces compliments étaient des bûches qui alimentaient le brasier de ma passion pour ce que j’étais en train de faire.
Ôkamiô ▬ J’espère qu’il vous restera encore de la place pour le dessert !
Ôkamiro ▬ Oh.. quelqu’un a-t-il déjà… rendu une assiette… sans la finir ?
Ôkamiô ▬ Ahah ! Bien dit mon gars !Cela étant fait, j’ai mis les préparations dans deux sorbetières et je suis passé à la suite du travail qui m'attendait. J’ai eu l’idée de lier ensemble les deux dessert, comme ils semblaient passer un agréable moment à discuter tout les deux.
J’entendais par ailleurs qu’elle voulait ouvrir une boutique de fleurs, mais ne savais pas encore où le faire.
Ôkamiô ▬ C’est pas les coins qui manquent pour ouvrir une boutique ! Tout le vieux quartier culturel où s’trouve l’église est presque à l’abandon. C’est pas cher et ça redonnerai du cachet !J’ai récolté la pulpe d’abricots frais que j’ai chauffé avec la gélatine avant de mixer le tout et de le gazer au siphon.
J’ai fait chauffé un peu de beurre dans une poêle jusqu’à ce qu’il prenne une bonne couleur noisette, prenant le parti de faire rôtir ce qu’il me restait en tranche de pommes marinées.
Lorsque les sorbets furent prêts, j’ai disposé dans chaque assiette une boule du sorbet que je leur avais réservé. J’ai disposé la mousse d’abricot autour des deux sorbets comme un socle sur lequel allait venir la décoration.
Autour du sorbet au sang pour Raphaël je disposai deux tranches de pommes rôtis, ainsi que qu’une fraise, framboise, cerise et quelques groseilles.
Sur le sorbet à la pomme je râpai un peu gingembre frais pour donner un peu plus de relief au tout et en hommage à son souhait d’ouvrir une boutique de fleur, je déposais quelques fleurs de menthe et de coriandre ainsi que de soucis. J’avais réussis à lier les deux plats en partageant certaine fringances sous différents angles.
Je m’approchais d’eux pour leur servir les assiette creuses dans lesquelles se trouvaient leur sorbets.
Ôkamiô ▬ Bon dégustation ! Vous prendrez un café ou un thé gourmand après ça ?
© Etilya sur DK RPG
Invité
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Jeu 1 Nov 2018 - 10:40
“Quasi immortel !?”
Je suis stupéfaite par les propos de mon prédateur, mais je ne relance pas le sujet immédiatement à voix haute, je dois d'abord digérer l'information. En effet, je commence à comprendre la crainte de ce genre de créatures devenu folle pour certaines. Je regarde avec inquiétude Raphaël et commence à penser qu'en effet les vampires ne sont peut-être pas les plus dangereux.
“Mais… pourquoi créer des créatures quasi immortel ? Et pourquoi aussi dangereuse !?”
Je me sens un peu mal de poser ce genre de question en présence d'une personne concerné que je commence à apprécier, aussi, je lui présente un petit sourire gêné pour lui signifier que ce propos n'était pas vraiment contre lui. Je n'ai rien contre les lycaons en particulier, je suis seulement terrorisé du danger potentiel des sujets malade dont il m'avait parlé par le passé.
J'ai, malgré mon stress engendré par la discussion, remarqué la tristesse réapparue dans les yeux de mon prédateur. Repense-t-il à cette personne ? Sa mort, a-t-elle un rapport avec le sujet dont non parlons actuellement ? Je n'ose pas le lui demander, risquant d'embuer encore d'avance son regard. Puis nous avons parlé de mon idée de refaire la fleuristerie de grand mère Kikyo, cette pensée eue l'air de plaire à Raphaël, et ce dernier me propose son aide pour pouvoir mettre mon magasin en place. Pourquoi pas, je ne sais finalement pas quels sont les prix des pas-de-porte à Nakanoto, il est fort à parier que je n'ai finalement regroupé assez d'argent pour mettre en place mon idée… puis je pourrais toujours le rembourser plus tard.
Après la dégustation de nos plats respectifs, je pus voir avec joie que le vampire avait repris un peu son sourire et ce, grâce à Okamiro qui avait plutôt bien envoyé ses propos pour le rassurer. Je ris légèrement à la remarque de Raphaël sur le faîte d'avoir vidé l'assiette bien plus vite que nous le voulions, en effet difficile de déguster lorsque les goûts sont aussi délectables que cela et qu'on ne remarque pas à quel point les aliments s'enfilent à la suite surtout au fil de nos conversations. Je pose une main délicatement sur ma bouche et lui réponds tout en rougissant légèrement.
“Hum, moui, impossible de se retenir, et tellement bon ! Je n'ai même pas remarqué que j'avais déjà fini.”
Raphaël me demande par la suite, si j'avais déjà une idée pour le placement de ma boutique ainsi que son nom. En effet, ne connaissant encore que peut les alentours, je ne risque pas de savoir où implanter mon magasin, surtout que cette ville est tellement gigantesque comparé au petit village où j'ai grandi.J'agite légèrement la tête de droite à gauche pour montrer mon désarroi sur le sujet. Je n'ai vraiment aucune idée ni de placement ni de nom. Quoi que… pour le nom, j'aimerais lui donner un thème floral. Peut-être quelques chose avec le nom de grand-mère et la fleur qui me représente. Le platycodon et le cosmo.
“Pour le placement je n'en ai aucune idée, mais pour ce qui est du nom, je viens de penser…
Je pose délicatement une main sur mon menton, marquant ma réflexion.
"J'ai envi de lui donner le nom de nos deux fleurs, à moi et Kikyo. Le Cosmo et le Platycodon. Mais je ne sais pas encore comment le tourner."
J'entends le lycaon, crier depuis sa cuisine, qu'il espère que nous avons encore de la place pour le dessert. Bien entendu, je sens la pression sur mon estomac que la quantité de nourriture à engendré, mais je me dois de déguster tous ses plats jusqu'au dernier, même si je n'arriverais peut-être pas à finir le dessert. J'acquiesce aux propos d'Okamiro d'un mouvement de tête lui présentant mon plus beau sourire d'enfant.
C'est alors qu'en finissant nos plats, il me propose un lieu pour ma boutique. Le quartier culturel, intéressant, à l'abandon, peut cher, près de l'église. Je pourrais me donner la joie de redonner vie et couleurs dans ses lieux, cela serait vraiment intéressant. J'attends de voir malgré tout l'avis de Raphaël puis pose mes yeux sur le plat apporté par notre cuisinier.
Deux magnifiques sorbets, tous deux différents l'un de l'autre. Le mien est sur le thème des fleurs. Je vois que notre conversation l'a beaucoup inspiré pendant sa cuisine. De la pomme, de l'abricot, quel morceau de gingembre et… trois types de fleurs différentes. Je regarde attentivement pour les reconnaître : des fleurs de menthe, je reconnais celles de soucis, mais la troisième, j'ai un peu de mal. Je penche légèrement la tête de côté pour les regarder dans les moindres détails et essayer de les reconnaître… Mais oui ! Du coriandre ! Je n'ai juste pas l'habitude de voir les fleurs de cette plante, blanche, les pétales partant de manière étrange si on les compare à certaines autres fleurs.
“Une petite tisane de tilleul pour moi, si vous avez, ce sera parfait.”
Ai-je répondu à la proposition de thé ou de café, mais les deux ont un goût qui me déplaît, j'ai toujours préféré les simples infusions.
Je prends ma cuillère être les doigts, plonge cette dernière dans le sorbet, prenant soin d'emporter quelques fleurs avec, et ferme les yeux avant de le faire rentrer dans ma bouche. Une véritable explosion de saveurs. Je souris et contracte légèrement le visage dû à la sensation de froid, le goût est exquis et je lâche un léger bruit montrant à quel point le goût est agréable pour moi.
Je suis stupéfaite par les propos de mon prédateur, mais je ne relance pas le sujet immédiatement à voix haute, je dois d'abord digérer l'information. En effet, je commence à comprendre la crainte de ce genre de créatures devenu folle pour certaines. Je regarde avec inquiétude Raphaël et commence à penser qu'en effet les vampires ne sont peut-être pas les plus dangereux.
“Mais… pourquoi créer des créatures quasi immortel ? Et pourquoi aussi dangereuse !?”
Je me sens un peu mal de poser ce genre de question en présence d'une personne concerné que je commence à apprécier, aussi, je lui présente un petit sourire gêné pour lui signifier que ce propos n'était pas vraiment contre lui. Je n'ai rien contre les lycaons en particulier, je suis seulement terrorisé du danger potentiel des sujets malade dont il m'avait parlé par le passé.
J'ai, malgré mon stress engendré par la discussion, remarqué la tristesse réapparue dans les yeux de mon prédateur. Repense-t-il à cette personne ? Sa mort, a-t-elle un rapport avec le sujet dont non parlons actuellement ? Je n'ose pas le lui demander, risquant d'embuer encore d'avance son regard. Puis nous avons parlé de mon idée de refaire la fleuristerie de grand mère Kikyo, cette pensée eue l'air de plaire à Raphaël, et ce dernier me propose son aide pour pouvoir mettre mon magasin en place. Pourquoi pas, je ne sais finalement pas quels sont les prix des pas-de-porte à Nakanoto, il est fort à parier que je n'ai finalement regroupé assez d'argent pour mettre en place mon idée… puis je pourrais toujours le rembourser plus tard.
Après la dégustation de nos plats respectifs, je pus voir avec joie que le vampire avait repris un peu son sourire et ce, grâce à Okamiro qui avait plutôt bien envoyé ses propos pour le rassurer. Je ris légèrement à la remarque de Raphaël sur le faîte d'avoir vidé l'assiette bien plus vite que nous le voulions, en effet difficile de déguster lorsque les goûts sont aussi délectables que cela et qu'on ne remarque pas à quel point les aliments s'enfilent à la suite surtout au fil de nos conversations. Je pose une main délicatement sur ma bouche et lui réponds tout en rougissant légèrement.
“Hum, moui, impossible de se retenir, et tellement bon ! Je n'ai même pas remarqué que j'avais déjà fini.”
Raphaël me demande par la suite, si j'avais déjà une idée pour le placement de ma boutique ainsi que son nom. En effet, ne connaissant encore que peut les alentours, je ne risque pas de savoir où implanter mon magasin, surtout que cette ville est tellement gigantesque comparé au petit village où j'ai grandi.J'agite légèrement la tête de droite à gauche pour montrer mon désarroi sur le sujet. Je n'ai vraiment aucune idée ni de placement ni de nom. Quoi que… pour le nom, j'aimerais lui donner un thème floral. Peut-être quelques chose avec le nom de grand-mère et la fleur qui me représente. Le platycodon et le cosmo.
“Pour le placement je n'en ai aucune idée, mais pour ce qui est du nom, je viens de penser…
Je pose délicatement une main sur mon menton, marquant ma réflexion.
"J'ai envi de lui donner le nom de nos deux fleurs, à moi et Kikyo. Le Cosmo et le Platycodon. Mais je ne sais pas encore comment le tourner."
J'entends le lycaon, crier depuis sa cuisine, qu'il espère que nous avons encore de la place pour le dessert. Bien entendu, je sens la pression sur mon estomac que la quantité de nourriture à engendré, mais je me dois de déguster tous ses plats jusqu'au dernier, même si je n'arriverais peut-être pas à finir le dessert. J'acquiesce aux propos d'Okamiro d'un mouvement de tête lui présentant mon plus beau sourire d'enfant.
C'est alors qu'en finissant nos plats, il me propose un lieu pour ma boutique. Le quartier culturel, intéressant, à l'abandon, peut cher, près de l'église. Je pourrais me donner la joie de redonner vie et couleurs dans ses lieux, cela serait vraiment intéressant. J'attends de voir malgré tout l'avis de Raphaël puis pose mes yeux sur le plat apporté par notre cuisinier.
Deux magnifiques sorbets, tous deux différents l'un de l'autre. Le mien est sur le thème des fleurs. Je vois que notre conversation l'a beaucoup inspiré pendant sa cuisine. De la pomme, de l'abricot, quel morceau de gingembre et… trois types de fleurs différentes. Je regarde attentivement pour les reconnaître : des fleurs de menthe, je reconnais celles de soucis, mais la troisième, j'ai un peu de mal. Je penche légèrement la tête de côté pour les regarder dans les moindres détails et essayer de les reconnaître… Mais oui ! Du coriandre ! Je n'ai juste pas l'habitude de voir les fleurs de cette plante, blanche, les pétales partant de manière étrange si on les compare à certaines autres fleurs.
“Une petite tisane de tilleul pour moi, si vous avez, ce sera parfait.”
Ai-je répondu à la proposition de thé ou de café, mais les deux ont un goût qui me déplaît, j'ai toujours préféré les simples infusions.
Je prends ma cuillère être les doigts, plonge cette dernière dans le sorbet, prenant soin d'emporter quelques fleurs avec, et ferme les yeux avant de le faire rentrer dans ma bouche. Une véritable explosion de saveurs. Je souris et contracte légèrement le visage dû à la sensation de froid, le goût est exquis et je lâche un léger bruit montrant à quel point le goût est agréable pour moi.
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Sam 24 Nov 2018 - 23:53
J’haussai les épaules à la question de Chloris. Je pouvais comprendre sa stupéfaction. Son esprit candide et dépourvu de malice ne pouvait certainement pas imaginer une telle chose. Crée une race immortelle… Je n’avais pas tous les éléments sur les motivations de mes pairs, mais les informations que je possédais me suffisaient déjà bien assez.
- Je ne sais pas, Chloris. Sans doute pour jouer aux apprentis sorciers, satisfaire leur égo en arrivant à créer la vie, les utiliser comme servants… Tous les vampires sont loin d’être aussi sympathiques que moi, sur bien des égards.
La remarque d’Okamio me fit sourire ; bien sûr que j’aurais encore de la place pour le dessert. Et puis je n’étais pas du genre à laisser quelque chose dans mon assiette. La nourriture, surtout ainsi préparée, était bien trop précieuse pour être gâchée de la sorte. Chloris me fit part de ses choix pour le nom de la boutique. L’idée du cosmos et du platycodon me paraissait bien. Comment les agencer pour que le rendu fût attrayant… Mélanger les deux me paraissait un peu alambiqué. En revanche, il y avait toujours moyen de les utiliser pour le logo de la boutique.
- Je peux réfléchir à la question si tu veux. Après, tu peux aussi utiliser ces deux fleurs pour créer le logo de ta boutique, le symbole qui sera présent sur l’enseigne et sur d’autres supports. Ça serait aussi un bon moyen de lui rendre hommage.
Okamio suggéra d’établir la boutique de fleur de Chloris dans le quartier culturel. Un choix judicieux ; les emplacements n’étaient pas chers, et cela redonnerait un peu de cachet à ses vieux bâtiments. C’était un bon endroit pour débuter. J’opinai donc pour appuyer la proposition de mon ami.
- Il n’a pas tort, ce sera sans doute moins cher, et je suis certain que ta boutique attirera du monde. Il manque un peu de vie, ce vieux quartier.
Le lycan nous apporta le dessert. Il s’agissait de deux sorbets, chacun préparé pour correspondre nos goûts spécifiques. Celui de Chloris était à la pomme, selon l’odeur, tandis que le mien… le constituant principal ne faisait aucun doute. Il nous demanda si nous désirions quelque chose pour terminer le repas. Après une courte réflexion, j’acquiesçai.
- Je prendrai un café, s’il te plaît. Et tu pourras m’apporter l’addition en même temps.
Okamio repartit dans sa cuisine. Je me saisis alors de ma cuillère pour goûter cette préparation unique en son genre. En plus du sang, je notai de la pomme, outre les quartiers déjà posés sur le sorbet, mais aussi du gingembre. Je distinguai également de nombreuses saveurs plus discrètes, majoritairement des herbes. C’était tout simplement exquis. Dire que Junya avait profité plusieurs années du talent culinaire d’Okamio. J’y avais bien sûr eu droit lors de mes visites, mais je l’enviais un peu, sur le coup.
- Ça t’as plu ? demandai-je à Chloris en reposant ma cuillère lorsque j’eus terminé.
A en juger par son assiette vide, oui. Je souris. Je ne regrettais pas d’avoir mis le nez dehors pour venir goûter, enfin, les plats préparés par Okamiro dans son restaurant tout neuf. C’était une très bonne initiative de la part de mon chef de clan de l’avoir financé, et plus que généreuse également. Et sa position était stratégique ; en plein milieu de la forêt, dans un endroit reculé, à l’écart des regards indiscrets, idéal pour des créatures surnaturelles. Le maître des lieux nous apporta nos boissons chaudes. Je l’en remerciai d’un sourire avant de porter à ma bouche le café.
- Ça s’est bien passé, finalement, tu vois. Il n’y avait pas de raison de s’inquiéter.
Je disais ça par rapport à son stress au départ. Elle craignait de paniquer parmi tous ces « prédateurs » comme elle nous appelait. Mais au final, le repas s’était bien déroulé.
- Je ne sais pas, Chloris. Sans doute pour jouer aux apprentis sorciers, satisfaire leur égo en arrivant à créer la vie, les utiliser comme servants… Tous les vampires sont loin d’être aussi sympathiques que moi, sur bien des égards.
La remarque d’Okamio me fit sourire ; bien sûr que j’aurais encore de la place pour le dessert. Et puis je n’étais pas du genre à laisser quelque chose dans mon assiette. La nourriture, surtout ainsi préparée, était bien trop précieuse pour être gâchée de la sorte. Chloris me fit part de ses choix pour le nom de la boutique. L’idée du cosmos et du platycodon me paraissait bien. Comment les agencer pour que le rendu fût attrayant… Mélanger les deux me paraissait un peu alambiqué. En revanche, il y avait toujours moyen de les utiliser pour le logo de la boutique.
- Je peux réfléchir à la question si tu veux. Après, tu peux aussi utiliser ces deux fleurs pour créer le logo de ta boutique, le symbole qui sera présent sur l’enseigne et sur d’autres supports. Ça serait aussi un bon moyen de lui rendre hommage.
Okamio suggéra d’établir la boutique de fleur de Chloris dans le quartier culturel. Un choix judicieux ; les emplacements n’étaient pas chers, et cela redonnerait un peu de cachet à ses vieux bâtiments. C’était un bon endroit pour débuter. J’opinai donc pour appuyer la proposition de mon ami.
- Il n’a pas tort, ce sera sans doute moins cher, et je suis certain que ta boutique attirera du monde. Il manque un peu de vie, ce vieux quartier.
Le lycan nous apporta le dessert. Il s’agissait de deux sorbets, chacun préparé pour correspondre nos goûts spécifiques. Celui de Chloris était à la pomme, selon l’odeur, tandis que le mien… le constituant principal ne faisait aucun doute. Il nous demanda si nous désirions quelque chose pour terminer le repas. Après une courte réflexion, j’acquiesçai.
- Je prendrai un café, s’il te plaît. Et tu pourras m’apporter l’addition en même temps.
Okamio repartit dans sa cuisine. Je me saisis alors de ma cuillère pour goûter cette préparation unique en son genre. En plus du sang, je notai de la pomme, outre les quartiers déjà posés sur le sorbet, mais aussi du gingembre. Je distinguai également de nombreuses saveurs plus discrètes, majoritairement des herbes. C’était tout simplement exquis. Dire que Junya avait profité plusieurs années du talent culinaire d’Okamio. J’y avais bien sûr eu droit lors de mes visites, mais je l’enviais un peu, sur le coup.
- Ça t’as plu ? demandai-je à Chloris en reposant ma cuillère lorsque j’eus terminé.
A en juger par son assiette vide, oui. Je souris. Je ne regrettais pas d’avoir mis le nez dehors pour venir goûter, enfin, les plats préparés par Okamiro dans son restaurant tout neuf. C’était une très bonne initiative de la part de mon chef de clan de l’avoir financé, et plus que généreuse également. Et sa position était stratégique ; en plein milieu de la forêt, dans un endroit reculé, à l’écart des regards indiscrets, idéal pour des créatures surnaturelles. Le maître des lieux nous apporta nos boissons chaudes. Je l’en remerciai d’un sourire avant de porter à ma bouche le café.
- Ça s’est bien passé, finalement, tu vois. Il n’y avait pas de raison de s’inquiéter.
Je disais ça par rapport à son stress au départ. Elle craignait de paniquer parmi tous ces « prédateurs » comme elle nous appelait. Mais au final, le repas s’était bien déroulé.
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Dim 25 Nov 2018 - 15:02
Il était temps pour moi de passer la main à nouveau, après tout j’avais réussi à servir les deux tourtereaux sans mal et avec beaucoup de qualité dans les assiettes, j’avais quand même bien le droit de me reposer un peu maintenant. J’ai porté la main à mon foulard pour ensuite le retirer ainsi rendre les commande à ami d’infortune.
C’était toujours un incorrigible beau parleur, c’était nous et non lui seul, mais fire la nuance était sans compliqué pour lui.
Ôkamiô ▬ Yoh ! C’est vache ça!Quoi qu’il en soit je me suis attelé à préparer un café, pour Raphael, j’ai opté pour un Panama Esméralda Geisha, un café parfumé avec des notes floral en bouche. C’était idéal pour coller avec la conversation qu’ils avaient sur la futur boutique de fleur de Chloris. Pour elle, ce fut une infusion de tilleul, rien de plus simple, je le faisait pousser et sécher moi-même pour les tisane.
Ce ne fût pas long avant de les servir et d’apporter la note à Raphael qui me l’avait demandé, discrètement mise dans un petit étui de cuir comme cela se fait pour ne pas la rendre visible pour les autres.
Comme ce furent mes derniers clients de la soirée, j’en profitais pour me joindre à eux tout en restant du côté cuisine du comptoir. Je m’étais pris une limonade faite maison avec des glaçons car mine de rien, cela échauffe un petit peu que d’être autant actif en cuisine et seul.
Ôkamiô ▬ Seul ?Oui enfin, tout était relatif bien entendu.
Ôkamiro ▬ Pour cette histoire de boutique de fleurs… je suis certain que le quartier culturel est une bonne idée… Sans vouloir être trop cynique… le Père Kobayashi… je suis certain qu’il adorerait avoir un accord avec une fleuriste pour… enfin voilà...Je pris une gorgée de ma limonade glacée avant de reprendre le fil de la conversation, c’était rare que j’implique autant dans une conversation en plus de ça.
Ôkamiô ▬ On applaudit l’idiot de service ! T’es con ou t’en fait exprès ?! Tu parle comme ça du mec qui va enterrer l’ex-copine de Raph ?! Comme ça, au calme… Tu sais qu’il avait une tête de six pied d’long en entrant et qu’on l’a pas vu parce qu’il broie du noir ?
Ôkamiro ▬ Au bout d’un moment… éviter à tout prix des sujets qui rapprochent de celui de la mort d’Emeraude… ça va être un handicap… un peu comme essayer de t’ignorer...
Ôkamiro ▬ En tout cas… l’avantage d’être immortel, ce sont les placement bancaires… je suis l’un des plus gros propriétaire terriens du coin en matière de culture… Si tu veux, je peux te céder un terrain pour y construire une pépinière… ça a du bon d’être autonome...C’est ensuite que j’ai percuté que la petite n’avait pas dû être à l’aise en arrivant, mais comme souvent, je ne remarquais pas vraiment ce genre de détails à moins qu’ils ne soient évidents. J’ai donc très naturellement repris.
Ôkamiro ▬ Tu avais peur en venant ici ?
“Après l’effort, le réconfort !”
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Mar 18 Déc 2018 - 14:42
Pour Raphaël, cette idée de créer une telle entité, était tout aussi étrange que pour moi, je ne comprends décidément pas pourquoi certains vampires aient pu avoir cette sordide idée, surtout si c'est seulement la joie de donner la vie ! Autant mettre au monde son propre enfant, cela paraît moins dangereux à mon humble avis. Je tourne de nouveau le regard vers mon plat, les yeux dans le vague, j'ai envi de comprendre, mais je fini par me résigner dans l'idée que mon esprit, ma manière d'être, ne peut pas associer cela à de la logique.
Raphaël a l'air plutôt intéressé par mon idée de boutique et son emplacement, qu'Ôkamiro eu l'idée de proposer. Pour lui, l'idée de ces deux fleurs seraient plus intéressante pour le logo de la maison plutôt que pour le nom. Je conçois que mon idée reste quelques peu compliquée, mais j'aimerais tellement trouver un nom qui s'en approche, rien que pour marquer la signification de ces deux fleurs…
“Et… Si je cherchais à présenter leur signification dans le nom de la boutique ? Peut être pas forcément la signification des fleurs comme l'entend tout fleuriste, mais plutôt comme moi je l'entend…
Je tourne légèrement ma cuillère sur le dessert en cherchant l'inspiration.
“Le cosmos, en français, c'est ce que l'on vois dans le ciel, la nuit, c'est la voix lactée, les étoiles, les planètes, le système solaire et tout ce qui s'en rapproche. Kikyo, c'est le platycodon, naturellement cette fleur est bleu, comme le ciel en pleine journée par un beau temps, dégagé”
Je réfléchis à voix haute, pratiquement perdu dans mes pensées. Je fini par porter une nouvelle bouchée à mes lèvres, pour profiter de la fraîcheur du dessert. Mes yeux sont toujours perdus dans le vague. Je ne sais pas combien de temps je suis resté ainsi, à réfléchir, mais lorsque j'entendis la voix de Raphaël, prononcer mon nom, je revins à moi.
“Oh, hum oui c'était très bon ! ”
J'arbore un large sourire pour lui montrer ma joie. Je n'avais même pas remarqué que j'avais déjà fini mon assiette et que ma tisane était déjà arrivée.
Ôkamiro est intrigué par la remarque que mon prédateur m'a lancé.
“Hum, oui… Imaginer la possibilité… D'autant de prédateurs dans un lieu aussi fermé… Cela me faisait un peu peur… Et surtout leur odeur…”
Je pose les mains entre mes jambes et les frottent l'une contre l'autre, le regard dirigé vers le bas, pour signifier ma gène.
Raphaël a l'air plutôt intéressé par mon idée de boutique et son emplacement, qu'Ôkamiro eu l'idée de proposer. Pour lui, l'idée de ces deux fleurs seraient plus intéressante pour le logo de la maison plutôt que pour le nom. Je conçois que mon idée reste quelques peu compliquée, mais j'aimerais tellement trouver un nom qui s'en approche, rien que pour marquer la signification de ces deux fleurs…
“Et… Si je cherchais à présenter leur signification dans le nom de la boutique ? Peut être pas forcément la signification des fleurs comme l'entend tout fleuriste, mais plutôt comme moi je l'entend…
Je tourne légèrement ma cuillère sur le dessert en cherchant l'inspiration.
“Le cosmos, en français, c'est ce que l'on vois dans le ciel, la nuit, c'est la voix lactée, les étoiles, les planètes, le système solaire et tout ce qui s'en rapproche. Kikyo, c'est le platycodon, naturellement cette fleur est bleu, comme le ciel en pleine journée par un beau temps, dégagé”
Je réfléchis à voix haute, pratiquement perdu dans mes pensées. Je fini par porter une nouvelle bouchée à mes lèvres, pour profiter de la fraîcheur du dessert. Mes yeux sont toujours perdus dans le vague. Je ne sais pas combien de temps je suis resté ainsi, à réfléchir, mais lorsque j'entendis la voix de Raphaël, prononcer mon nom, je revins à moi.
“Oh, hum oui c'était très bon ! ”
J'arbore un large sourire pour lui montrer ma joie. Je n'avais même pas remarqué que j'avais déjà fini mon assiette et que ma tisane était déjà arrivée.
Ôkamiro est intrigué par la remarque que mon prédateur m'a lancé.
“Hum, oui… Imaginer la possibilité… D'autant de prédateurs dans un lieu aussi fermé… Cela me faisait un peu peur… Et surtout leur odeur…”
Je pose les mains entre mes jambes et les frottent l'une contre l'autre, le regard dirigé vers le bas, pour signifier ma gène.
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Sam 5 Jan 2019 - 16:23
Rapidement, Okimario apporta les boissons chaudes qui venaient conclure ce repas d’exception. J’avais mis du temps à me décider, et la présence de Chloris m’y avait en grande partie encouragé, mais je ne regrettais pas d’être venu goûter à la cuisine de mon ami lupin. Il avait un talent inné, un don rare pour la gastronomie, et il eut été gâché de le laisser dans l’ombre. Il déposa une tasse de café devant moi ; les effluves floraux parvinrent aussitôt à mes narines, et je ne pus retenir un sourire en coin, faisant le lien avec la conversation actuelle. Quant à Chloris, je reconnus à l’odeur une tisane au tilleul, simple, mais agréable. Il déposa l’addition à côté, masquée dans un étui de cuir. Je pris l’anse de ma tasse pour en apprécier une gorgée de son contenu. J’avais pris l’habitude en Angleterre, et au Japon plus encore, de consommer beaucoup de thé. Mais un bon café était toujours salutaire, surtout aussi succulent.
La remarque du lycan apporta un léger malaise sur la table. Mon regard se noya dans l’océan ocre de la caféine. Toutefois, il n’avait pas tort. La proximité de l’Eglise apportait un partenariat idéal pour les tristes événements à célébrer, malheureusement plus nombreux en ces temps sombres. Mais je ne devais pas me laisser abattre à la moindre allusion au triste sort de ma fiancée. Le monde ne cessait pas de tourner, quoi qu’il arrive, et il serait égoïste de le lui reprocher.
- Il n’a pas tort. Je suis sûr que le prêtre Kobayashi serait enchanté à l’idée de travailler avec toi pour la suite. Et ça faciliterait sans doute tes débuts.
Puis Okamiro lui fit une généreuse proposition. J’haussai les sourcils, un peu surpris par cet élan de bienveillance. Toutefois, il n’appartenait qu’à ma protégée d’accepter ou refuser l’offre qui lui faisait. Cependant, celle-ci semblait perdu dans ses pensées et ne dut pas capter immédiatement de quoi il parlait. Elle revint à elle quand je lui demandai si elle avait apprécié le repas. Ce à quoi elle répondit par l’affirmative, m’arrachant un sourire. Puis le lycan mit le doigt sur l’appréhension de Chloris à venir dans son restaurant. Je ressentis tout de suite l’embarras qui l’étouffait et décidai d’y mettre un terme en changeant de sujet.
- Que penses-tu de la proposition d’Okamiro, Chloris ? Quant à obtenir un terrain pour avoir ta propre pépinière ?
Tandis qu’elle y réfléchissait, je sortis l’addition de son étui pour en vérifier le contenu, avant de sortir mon chéquier pour payer son dû à mon ami. Au bout d’une minute, je lui tendis le papier décoré de mon élégante écriture et de ma signature reconnaissable. Puis je repris une gorgée de café, ne me lassant pas de ses arômes qui éveillaient toutes mes papilles. Puis je repensais au nom de la boutique de la jeune biche.
- Tu pourrais peut-être appeler ta boutique « le Cosmos bleu » ? ça évoque à la fois ta fleur préférée et la couleur de celle de Kikyo.
Ça sonnait beaucoup « le Lotus Bleu », un titre célèbre d’Hergé relatant une des nombreuses aventures de Tintin, le célèbre journaliste belge. Cette comparaison me fit sourire ; elle ignorait certainement cette référence, entre son amnésie et sa vie quelque peu isolée dans le village de sa grand-mère de cœur. Il faudrait peut-être que je les lui fisse lire à l’avenir. Quand j’eus terminé ma tasse, je la reposai délicatement dans sa coupelle.
- Je ne doute pas que tu trouveras un nom qui sied parfaitement à ton commerce, ce n’est qu’une question de temps, ne t’en fais pas.
Mais nous parlions, et l’heure avançait. Non pas que j’eus un millier de choses à faire qui m’attendaient, mais je pensais surtout à Okamiro qui devait avoir besoin de se reposer après s’être autant activé en cuisine… Quand bien même les lycans étaient particulièrement endurants. Je me levai donc, initiant le mouvement du départ.
- Bien, nous allons y aller. Merci pour ce repas, Okamiro, c’était divin. Je ne manquerai pas de revenir à l’occasion.
Je tournai la tête vers Chloris, n’attendant plus qu’elle pour m’éclipser.
La remarque du lycan apporta un léger malaise sur la table. Mon regard se noya dans l’océan ocre de la caféine. Toutefois, il n’avait pas tort. La proximité de l’Eglise apportait un partenariat idéal pour les tristes événements à célébrer, malheureusement plus nombreux en ces temps sombres. Mais je ne devais pas me laisser abattre à la moindre allusion au triste sort de ma fiancée. Le monde ne cessait pas de tourner, quoi qu’il arrive, et il serait égoïste de le lui reprocher.
- Il n’a pas tort. Je suis sûr que le prêtre Kobayashi serait enchanté à l’idée de travailler avec toi pour la suite. Et ça faciliterait sans doute tes débuts.
Puis Okamiro lui fit une généreuse proposition. J’haussai les sourcils, un peu surpris par cet élan de bienveillance. Toutefois, il n’appartenait qu’à ma protégée d’accepter ou refuser l’offre qui lui faisait. Cependant, celle-ci semblait perdu dans ses pensées et ne dut pas capter immédiatement de quoi il parlait. Elle revint à elle quand je lui demandai si elle avait apprécié le repas. Ce à quoi elle répondit par l’affirmative, m’arrachant un sourire. Puis le lycan mit le doigt sur l’appréhension de Chloris à venir dans son restaurant. Je ressentis tout de suite l’embarras qui l’étouffait et décidai d’y mettre un terme en changeant de sujet.
- Que penses-tu de la proposition d’Okamiro, Chloris ? Quant à obtenir un terrain pour avoir ta propre pépinière ?
Tandis qu’elle y réfléchissait, je sortis l’addition de son étui pour en vérifier le contenu, avant de sortir mon chéquier pour payer son dû à mon ami. Au bout d’une minute, je lui tendis le papier décoré de mon élégante écriture et de ma signature reconnaissable. Puis je repris une gorgée de café, ne me lassant pas de ses arômes qui éveillaient toutes mes papilles. Puis je repensais au nom de la boutique de la jeune biche.
- Tu pourrais peut-être appeler ta boutique « le Cosmos bleu » ? ça évoque à la fois ta fleur préférée et la couleur de celle de Kikyo.
Ça sonnait beaucoup « le Lotus Bleu », un titre célèbre d’Hergé relatant une des nombreuses aventures de Tintin, le célèbre journaliste belge. Cette comparaison me fit sourire ; elle ignorait certainement cette référence, entre son amnésie et sa vie quelque peu isolée dans le village de sa grand-mère de cœur. Il faudrait peut-être que je les lui fisse lire à l’avenir. Quand j’eus terminé ma tasse, je la reposai délicatement dans sa coupelle.
- Je ne doute pas que tu trouveras un nom qui sied parfaitement à ton commerce, ce n’est qu’une question de temps, ne t’en fais pas.
Mais nous parlions, et l’heure avançait. Non pas que j’eus un millier de choses à faire qui m’attendaient, mais je pensais surtout à Okamiro qui devait avoir besoin de se reposer après s’être autant activé en cuisine… Quand bien même les lycans étaient particulièrement endurants. Je me levai donc, initiant le mouvement du départ.
- Bien, nous allons y aller. Merci pour ce repas, Okamiro, c’était divin. Je ne manquerai pas de revenir à l’occasion.
Je tournai la tête vers Chloris, n’attendant plus qu’elle pour m’éclipser.
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Dim 6 Jan 2019 - 1:44
J’étais un peu perplexe à l’idée d’avoir pu froisser Raphael, mais il avait habilement rebondit sur ce que j’avais dit en dépit de ma maladresse. C’était très réconfortant de penser qu’il pouvait être en train de reprendre du poil de la bête.
Ôkamiô ▬ Dit plutôt que tu as eu une chance insolente sur ce coup là oui.Oui, c’était un fait, j’avais surtout eu de la chance qu’il le prenne aussi bien avant la mine sombre que je lui ai connu dernièrement. Toutefois, il y avait du bon de le voir sourire aussi franchement que ce soir en la présence de cette jeune femme dont je ne m’expliquait toujours pas vraiment la présence ici. Je ne le pensais pas être homme à se trouver une nouvelle conquête aussi vite après le deuil, donc c’est qu’il y avait autre chose sans aucun doute. Toutefois, elle était humaine et il l’avait amené ici dans un restaurant qui aurait pu être rempli de vampires ou de lycans.
Ôkamiô ▬ Pose la putain de question qui te brûle les lèvres ! Tu sais que tu me gonfle à force à garder tout pour toi ! Tu sais déjà que c’était super louche depuis qu’elle t’as dit le connaître !Il n’avait pas tort, d’autant plus que je commençait à trouver sa façon de s’exprimer quelque peu étrange pour quelqu’un de son âge. Je sais que l’humain a un bon odorat, mais de là à faire allusion à l’odeur des gens dans un restaurant ou à s’exprimer comme si elle était une proie, je commençais à trouver ça beaucoup trop bizarre pour en rester là. Aussi, bien qu’elle ne m’ait pas répondu directement à ma question et que Raphael était prêt à partir après m’avoir payé, je décidais de poser ma question.
Ôkamiro ▬ Es-tu humaine Chloris ? … Je demande ça… car je commence à me poser la question… Tu sens comme une humaine, mais tu t’exprime de façon étrange… pourtant tu n’es clairement pas une vampire non plus...Je savais bien que c’était une question très directe, pour ne pas dire trop directe venant de moi, qui n’est pas pour habitude de vraiment commencer une conversation, mais surtout de la subir. Je savais également que Raphael avait changé de sujet pour ne pas trop indisposer la jeune fille surement, mais si le fait de partager ma tête avait un avantage, c’était de m’avoir appris que parfois pour avancer, il faut crever les abcès. J’étais totalement inculte sur beaucoup de domaine, mais je n’étais pas particulièrement fermé à l’idée que d’autres êtres que des vampires ou des lycans puissent exister dans le monde. En outre, j’aimerai bien savoir si Raphael avait pris le risque d’amener une humaine dans mon restaurant pour vampires et lycans, juste parce qu’il l’aimait bien, ou si c’était parce qu’elle était un peu plus qu’humaine comme je commençais à le penser.
“Question indiscrète”
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Dim 10 Fév 2019 - 19:01
Visiblement mon moment absentéisme m'avait coûté beaucoup sur notre conversation. J'ai cru entendre Raphaël qui abordé le sujet d'un prêtre du nom de Kobayashi, qui serait prêt à m'aider pour l'ouverture de mon magasin et heureux de travailler avec moi. Un prêtre qui travaillerait en fleuristerie ? Je crois que je n'ai vraiment pas suivi cette discussion. C'est alors qu'il me parle également d'un terrain offert par Ôkamiro pour que je puisse y installer une pépinière et donc créer moi même mes fleurs. C'est un peu… Énorme pour moi comme idée. Certes elle me plaît beaucoup, mais suis-je capable d'en gérer autant toute seule ? Même à deux avec ce prêtre… Cela deviendrait vite compliqué. Il faudrait entretenir les plantations, les nourrir, les arroser, surveiller la température, tout ça tout en tenant une boutique de fleurs, vendant, confectionnant et mettant en valeur la boutique. Je ne sais pas si je suis réellement apte à cela mais… Raphaël à l'air de croire en moi.
“Je ne sais pas si je serai capable de tenir autant toute seule.”
Mes mains se serrent entre les jambes, montrant à quel point je me sens déstabilisé par toutes ses propositions.
“Vous me voyez vraiment capable de tenir à la fois une boutique et une pépinière ?”
Mon regard passé simultanément de Ôkamiro à Raphaël, leur montrant que je leur parle à tous deux, puis je m'arrête sur Ôkamiro.
“Veuillez m'excuser mon moment d'absence mais qui est le prêtre Kobayashi ? Si j'ai bien compris vous avez parlez qui aimerais m'aider… Mais pourquoi un prêtre aiderait une simple enfant comme moi à mettre en place une fleuristerie ?
Je le sens perdue ou en train d'hésiter à dire quelque chose. Pendant ce temps, Raphaël avait ramassé le petit étui en cuir pour ensuite sortir un chéquier, payer l'addition puis me parler de son idée pour le nom de la fleuristerie. “Le Cosmos bleu”, mes yeux brilles en entendant Raphaël chercher pour moi, l'idée que cela l'intéresse à ce point me réchauffe le cœur et me donne envie de me serrer contre lui, ce que je ne fait pas bien entendu car il est peut convenant d'agir ainsi. Le Cosmos bleu, ce nom me plaît vraiment et il vient du premier être que j'ai connu, du plus important.
“Oui, il me plaît bien, j'aime beaucoup ce nom”
Lui ai-je répondu avec le plus beau sourire que je puisse lui montrer.
Nous ou apprêtions à partir lorsqu'Okamiro finit par se décider à me poser sa question. Je sentais bien que quelque chose l'intriguait mais je n'imaginais pas qu'il me poserai cette question. Mr Smith m'avait bien spécifié que je ne devais pas dire ce que je suis, que les changelins doivent rester un secret, c'est ce qui nous à permis de survivre jusqu'ici face aux autre danger je devrais donc éviter dans parler ici. Je me retourne doucement vers le lupin avec un petit sourire en coin timide.
“Je ne suis pas humaine non. Je ne suis pas non plus un vampire, soyez en certain, mais j'ai un odorat bien plus développé que la norme et une faculté plutôt particulière. Si un jour vous revenez nous rendre visite, chez Raphaël, là où je serais certaine de ne pas être écouté par d'autres, je vous expliquerais peut-être ce que je suis.”
Je lui souris délicatement tout en lui faisant une révérence pour le saluer, puis je le retourne vers mon prédateur pour courir dans sa direction et lui attraper le bras pour le serrer contre moi. Je sais que ce n'ai peut-être pas très bien d'agir ainsi, mais j'avais envie de lui montrer ma joie d'être à ses côtés, de lui montrer que s'il est triste je suis là pour lui redonner le sourire… Enfin s'il le souhaite bien sûr.
“Je ne sais pas si je serai capable de tenir autant toute seule.”
Mes mains se serrent entre les jambes, montrant à quel point je me sens déstabilisé par toutes ses propositions.
“Vous me voyez vraiment capable de tenir à la fois une boutique et une pépinière ?”
Mon regard passé simultanément de Ôkamiro à Raphaël, leur montrant que je leur parle à tous deux, puis je m'arrête sur Ôkamiro.
“Veuillez m'excuser mon moment d'absence mais qui est le prêtre Kobayashi ? Si j'ai bien compris vous avez parlez qui aimerais m'aider… Mais pourquoi un prêtre aiderait une simple enfant comme moi à mettre en place une fleuristerie ?
Je le sens perdue ou en train d'hésiter à dire quelque chose. Pendant ce temps, Raphaël avait ramassé le petit étui en cuir pour ensuite sortir un chéquier, payer l'addition puis me parler de son idée pour le nom de la fleuristerie. “Le Cosmos bleu”, mes yeux brilles en entendant Raphaël chercher pour moi, l'idée que cela l'intéresse à ce point me réchauffe le cœur et me donne envie de me serrer contre lui, ce que je ne fait pas bien entendu car il est peut convenant d'agir ainsi. Le Cosmos bleu, ce nom me plaît vraiment et il vient du premier être que j'ai connu, du plus important.
“Oui, il me plaît bien, j'aime beaucoup ce nom”
Lui ai-je répondu avec le plus beau sourire que je puisse lui montrer.
Nous ou apprêtions à partir lorsqu'Okamiro finit par se décider à me poser sa question. Je sentais bien que quelque chose l'intriguait mais je n'imaginais pas qu'il me poserai cette question. Mr Smith m'avait bien spécifié que je ne devais pas dire ce que je suis, que les changelins doivent rester un secret, c'est ce qui nous à permis de survivre jusqu'ici face aux autre danger je devrais donc éviter dans parler ici. Je me retourne doucement vers le lupin avec un petit sourire en coin timide.
“Je ne suis pas humaine non. Je ne suis pas non plus un vampire, soyez en certain, mais j'ai un odorat bien plus développé que la norme et une faculté plutôt particulière. Si un jour vous revenez nous rendre visite, chez Raphaël, là où je serais certaine de ne pas être écouté par d'autres, je vous expliquerais peut-être ce que je suis.”
Je lui souris délicatement tout en lui faisant une révérence pour le saluer, puis je le retourne vers mon prédateur pour courir dans sa direction et lui attraper le bras pour le serrer contre moi. Je sais que ce n'ai peut-être pas très bien d'agir ainsi, mais j'avais envie de lui montrer ma joie d'être à ses côtés, de lui montrer que s'il est triste je suis là pour lui redonner le sourire… Enfin s'il le souhaite bien sûr.
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Sam 16 Fév 2019 - 23:06
Chloris état en proie au doute, quant à sa capacité à gérer seule une pépinière en plus d’une boutique. C’était normal, à son âge, alors qu’elle venait à peine de reprendre contact avec la civilisation, en dehors du village où elle avait vécu ces dernières années. Elle avait peut-être raison. Il lui faudrait sans doute commencer en douceur pour s’habituer à toute cette activité. Et puis, rien ne l’empêcherait par la suite d’acquérir un terrain pour y bâtir une pépinière. Au final, ça lui offrait déjà une belle perspective d’évolution pour les quelques années à venir. Là dessus, je ne m’inquiétais pas.
- Je pense que tu peux le faire. Mais ne t’inquiète pas Chloris. Tu peux très bien commencer avec la boutique, et plus tard, si le coeur t’en dis et si tu t’en sens capable, cultiver tes propres plantes. C’est à toi de choisir.
Je compris à son regard qu’elle s’était quelque peu égarée dans la conversation, l’esprit préoccupé par cette histoire de pépinière. De toute manière, il commençait à se faire tard. Je n’en souffrais nullement, habitué à vivre la nuit la plupart du temps. Mais pour une créature diurne comme elle, il commençait certainement à être difficile de lutter contre la fatigue. Surtout qu’elle avait eu quelques angoisses à maîtriser en arrivant ici. Son esprit devait être éprouvé.
- Le père Kobayashi est arrivé il y a quelques mois pour reprendre la gestion de l’église du quartier culturel. C’est un homme bon et généreux, et sa Foi ne pourra que l’encourager à aider une personne dans le besoin. Par ailleurs, on a toujours besoin de fleurs pour les mariages, ou… pour les enterrements. Donc, je pense que la proximité d’une fleuriste lui faciliterait la tâche pour l’organisation des cérémonies.
Je souris à Chloris avant de clore le sujet, ne souhaitant pas rester sur l’image d’une scène sinistre comme celle que j’avais vécu lors des obsèques de ma fiancée. Nous étions sur le point de partir lorsque mon ami lycanthrope posa une question inattendue à ma protégée. Elle était pourtant légitime ; Chloris avait tout d’une humaine, jusqu’à l’odeur, mais percevait bien mieux son environnement que le commun des mortels. Je me tournai vers elle, lui laissant le soin de répondre ce qu’elle souhaitait. Moi-même je ne savais pas ce qu’elle était exactement ; à la fois humaine, et biche, sans doute. Mais cela m’importait peu. Elle était Chloris avant tout, et c’était l’essentiel à retenir.
Je saluai le discours qu’elle lui apporta. Ses mots étaient très bien choisi. Pour quelqu’un qui n’avait jamais été à l’aise à l’oral, c’était une belle évolution. Je lui souris affectueusement avant de poser mon regard sur Okamiro.
- Oui, tu n’auras qu’à passer à la villa un de ces jours. Fais-moi signe quand tu voudras venir.
Le bruit des pas précipités de Chloris me distraya. Je tournai la tête juste à temps pour la voir se blottir contre moi en m’emprisonnant le bras. D’abord surpris, je clignai plusieurs fois des yeux. Puis mon visage s’adoucit et je posai une main sur sa tête avec tendresse. ça me faisait plaisir de la voir si enthousiaste subitement, malgré les circonstances.
- Bien, nous allons te laisser Okamiro. Encore merci pour le repas, je m’en souviendrai longtemps. Bonne soirée et à bientôt j'espère !
Je tendis la main pour serrer amicalement la sienne, puis j’entraînai Chloris avec moi une fois qu’elle eut fait ses adieux. Nous laissâmes ainsi dernière nous le Fangtasia, un restaurant hors du commun, pour des gens hors du commun. Cette soirée resterait gravée dans nos mémoires à tous les deux, à n’en pas douter. Et d’autant plus dans mon cas, car c’était l’un de mes premiers pas vers la lumière ; la douce lueur de l’existence qui se rappelait à moi.
- Je pense que tu peux le faire. Mais ne t’inquiète pas Chloris. Tu peux très bien commencer avec la boutique, et plus tard, si le coeur t’en dis et si tu t’en sens capable, cultiver tes propres plantes. C’est à toi de choisir.
Je compris à son regard qu’elle s’était quelque peu égarée dans la conversation, l’esprit préoccupé par cette histoire de pépinière. De toute manière, il commençait à se faire tard. Je n’en souffrais nullement, habitué à vivre la nuit la plupart du temps. Mais pour une créature diurne comme elle, il commençait certainement à être difficile de lutter contre la fatigue. Surtout qu’elle avait eu quelques angoisses à maîtriser en arrivant ici. Son esprit devait être éprouvé.
- Le père Kobayashi est arrivé il y a quelques mois pour reprendre la gestion de l’église du quartier culturel. C’est un homme bon et généreux, et sa Foi ne pourra que l’encourager à aider une personne dans le besoin. Par ailleurs, on a toujours besoin de fleurs pour les mariages, ou… pour les enterrements. Donc, je pense que la proximité d’une fleuriste lui faciliterait la tâche pour l’organisation des cérémonies.
Je souris à Chloris avant de clore le sujet, ne souhaitant pas rester sur l’image d’une scène sinistre comme celle que j’avais vécu lors des obsèques de ma fiancée. Nous étions sur le point de partir lorsque mon ami lycanthrope posa une question inattendue à ma protégée. Elle était pourtant légitime ; Chloris avait tout d’une humaine, jusqu’à l’odeur, mais percevait bien mieux son environnement que le commun des mortels. Je me tournai vers elle, lui laissant le soin de répondre ce qu’elle souhaitait. Moi-même je ne savais pas ce qu’elle était exactement ; à la fois humaine, et biche, sans doute. Mais cela m’importait peu. Elle était Chloris avant tout, et c’était l’essentiel à retenir.
Je saluai le discours qu’elle lui apporta. Ses mots étaient très bien choisi. Pour quelqu’un qui n’avait jamais été à l’aise à l’oral, c’était une belle évolution. Je lui souris affectueusement avant de poser mon regard sur Okamiro.
- Oui, tu n’auras qu’à passer à la villa un de ces jours. Fais-moi signe quand tu voudras venir.
Le bruit des pas précipités de Chloris me distraya. Je tournai la tête juste à temps pour la voir se blottir contre moi en m’emprisonnant le bras. D’abord surpris, je clignai plusieurs fois des yeux. Puis mon visage s’adoucit et je posai une main sur sa tête avec tendresse. ça me faisait plaisir de la voir si enthousiaste subitement, malgré les circonstances.
- Bien, nous allons te laisser Okamiro. Encore merci pour le repas, je m’en souviendrai longtemps. Bonne soirée et à bientôt j'espère !
Je tendis la main pour serrer amicalement la sienne, puis j’entraînai Chloris avec moi une fois qu’elle eut fait ses adieux. Nous laissâmes ainsi dernière nous le Fangtasia, un restaurant hors du commun, pour des gens hors du commun. Cette soirée resterait gravée dans nos mémoires à tous les deux, à n’en pas douter. Et d’autant plus dans mon cas, car c’était l’un de mes premiers pas vers la lumière ; la douce lueur de l’existence qui se rappelait à moi.
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