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Dim 28 Avr 2019 - 20:48
Sumire était une femme exceptionnelle. Une geisha au charme sans nul pareil de mon point de vue, la plus belle créature de toute la création. Que ce soit le dieu unique ou les Kami qui l’ont sculpté dans la matière, elle était de loin tout ce qu’il me fallait. Pas seulement belle, mais également raffinée et élégante. De ces femmes qui sont capable de faire se sentir minable n’importe qui à leur côté avec leur grâce et leur culture. Versée dans les arts traditionnels que toute geisha d’antan se devait de maîtriser, elle dispose ainsi de beaucoup de talents idéaux pour l’espionnage ancestral. C’était quelque peu désuet à l’époque actuelle où plus le temps passait, moins la culture ancestrale était d’actualité et respectée. C’était un peu comme ma propre lignée qui avait fait en sorte de me transmettre une tenue toute droit sortie d’une collection de jeune se costumant en combattant du passé.
Malgré cette culture plus moderne, plus vive et rapide, elle ne s’est pas laissée happée par la chose et n’était pas devenu l’une de ces geishas qui forment l’essentiel de celles qu’on nomme ainsi. Beaucoup de maisons de geishas avaient changé avec le temps et la seconde guerre, avec la présence américaine, apportant ce culte de la prostituée. Elle non, pas Sumire, elle était une authentique geisha, de celles qui n’ont même pas vu un homme nu avant ça et ne se sont jamais dévêtue autre part que dans une chambre privée et à l’abri des regards. Oh bien entendu depuis qu’elle avait rejoints les chevaliers des ombres, elle s’était surement changé un paquet de fois dans les vestiaires pour femmes, mais ce n’était pas pareil. Et moi, je l’avais amené ici, dans ce osen, nue, comme moi, tout en lui massant actuellement le pied.
Je laissais passer mes doigts le long de ses cuisses avant de redescendre au niveau de son pied et de changer de pied dans le but qu’elle se repose. Elle semblait terriblement bien appréciée la chose à en juger ce qu’elle a laissé échapper. J’étais content qu’elle apprécie ce massage aussi intime. Je ne pouvais retenir un sourire de satisfaction, teinté de tendresse et d’affection en la regardant.
Sumire s'est redressée, la moitié de son corps sortant de l’eau, dévoilant son imposante et voluptueuse poitrine humine. L’eau venait souligner chacune de ses courbes comme plusieurs rivières dévalant montagne en torrent. L’eau ruisselait sur elle pour retourner au bain, tombant de sa poitrine en une petite pluie de gouttelettes se formant sous sa poitrine si généreuse. L'eau de l'onsen lui arrivait légèrement au dessus du bassin, ce qui suffit à cacher ce qu'il fallait pour conserver une certaine pudeur que je n'avais pas eu pour elle. C'était peut être l'objet de sa gêne à mon retour dans l'eau avec le sake juste avant.
Elle s’est empressée de venir derrière moi pour commencer à me masser les épaules avec une dextérité que je devinais, lui avoir été enseigné lors de sa formation en tant que geisha. Ses pouces agiles savaient parfaitement où se positionner pour offrir le maximum de douceur et de force pour dénouer tous ces muscles tendus par une longue journée de labeur. Je sens son opulente poitrine entrer en contact avec mon dos, offrant une délicate caresse tandis qu’elle me chuchote quelques mots agréables à l’oreille. C’était de bonne guerre que de me prendre de cours ainsi. Je me laissais faire tandis que ses mains parcouraient mes épaules et ma nuque, massant ces cervicales noueuses se décrispant en un temps records, la poussant à descendre le long de mon dos.
Lorsque ses mains passaient sur mes tatouages, je sentais que le massage n’en était plus un, mais qu’elle parcourait ces desseins inscris dans ma chair, comme absorbée par eux. Elle se laissait guider par ces tatouages jusqu’en bas de mon dos, mais malgré l’envoutement, je ne pouvais pas m’empêcher de rapprocher mes mains en laissant aller mes bras en arrière.
Riku ▬ Peut être que ce soir, si tu veux, je te laisserai parcourir mes tatouages s’ils te fascinent toujours autant. Lui dis-je non sans un ton teinté d’humour pour la taquiner.
Lorsque celles de Sumire atteignirent mes fesses, je n’ai pas mu m’empêcher de passer les miennes sur les hanches de ma compagne de cœur. Je la savais d’ordinaire plutôt timide, mais là elle commençait à se laisser un peu plus aller, mais où voulait-elle bien qu’on aille ici ?
“Tentation”
© Etilya sur DK RPG
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Mer 1 Mai 2019 - 15:11
Des frissons parcourent la totalité de mon être. Riku vient de poser ses mains sur mes hanches et me serrer fort contre lui. Mon cœur s'emballe de plus en plus car j'étais loin d'imaginer, lorsque j'avais commencé ce moment de plaisir rien que pour lui, qu'il allait apprécier à ce point. Suite à sa réaction je me crispe au niveau des mains et enfonce, sans le vouloir, mes ongles dans sa peau.
Sumire ▬ Oh ! hum… Je suis désolé je ne voulais pas !
Je lâche prise puis recule un peu pour reprendre mes esprits.
Sumire ▬ Je ne m’attendais pas à ce que tu réagisse de la sorte...
Je m’assoie, toujours derrière lui, sur un petit rebord naturellement creusé dans la roche, à l’intérieur de la source. Mes jambes serrées l’une contre l’autre, mes deux mains appuyé dessus, le regard bas, je me sens totalement démunie. Il est pourtant totalement normal de se toucher dans un couple, mais je suis tellement peu habitué au contacte ainsi qu’à la nudité des autres que je ne sais pas comment réagir. Il y a en moi comme une gêne et en même temps un bien être, cette douceur que j’ai ressentie que seul Riku peut m’apporter dans ces instants était si agréable, j’ai envi de la ressentir à nouveau mais mon corps frissonne à cette idée. Je ne suis peut-être pas prête… Pourtant cela fait plusieurs mois maintenant, il faudra bien que je le sois un jour ou l’autre, je ne suis plus une enfant et depuis très longtemps.
Je serre les poings sur mes genoux, comme pour me donner du courage avant de prononcer à haute voix ce que je ressens.
Sumire ▬ Je… Je dois t’avouer que je ne suis pas alaise avec la nudité. J’ai beau être une geisha, je pense que tu dois savoir, depuis le temps où nous nous connaissons, que je ne suis pas le genre de geisha que les européens côtoient… Je suis de celle qui présente la beauté des choses et mes connaissances pour le plaisir des yeux et des sens… Mais en aucun cas les hommes avaient le droit de me toucher ou de me forcer à les toucher… Même les autres geisha ont rarement pu me voir nue sauf pour m’aider dans mes préparatifs et les leurs.
Je prends un instant pour respirer et finir de “m’expliquer”
Sumire ▬ Enfin… Tout ça pour te dire que tu ne dois pas penser que tu as fais quelque chose de mal, juste que je suis un peu prude au niveau de la nudité mais qu’avec le temps je vais finir par m’y faire.
Je relève doucement les yeux dans sa direction avec un grand sourire teinté d'inquiétude, espérant le voir tourné dans ma direction.
“La vérité”
© Etilya sur DK RPG
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Mer 1 Mai 2019 - 16:32
En y réfléchissant, j’ai peut-être légèrement été trop vite avec elle. Sa réaction lorsque mes mains sont entrées en contact avec ses hanches a été immédiate. Ses ongles se sont enfoncés dans ma chair légèrement, ce qui bien que surprenant sur le coup ne fut pas non plus vraiment désagréable. Son mouvement de recule ensuite fut plus dommage, car j’ai compris que j’avais peut-être été un peu trop loin, emporté par l’ambiance de ce bain et de ce massage qu’elle me prodiguait.
Je me suis retourné tout de suite pour la voir et elle était assise dans l’eau, sans doute sur un petit rocher de présent à cet endroit, la mine basse et l’air songeuse. Je l’avais sans doute blessé. C’est alors qu’elle est entrée dans le vif du sujet en m’expliquant bien qu’elle avait été une geisha dans le plus pur esprit de ce noble et ancestral métier. Une dame de compagnie qui n’avait jamais connu les plaisirs de la chair et encore moins la nudité d’autrui mis à part celle d’autres geishas comme elle lors de leurs préparations.
Riku ▬ Excuse-moi Sumire, je ne voulais pas te gêner.
Elle n’avait jamais vu d’homme nu avant moi et ne savait pas bien comment réagir face à la situation plus que gênante qu’offrait ce bain entre amoureux. Nous partagions un excellent moment d’intimité à deux et je ne voulais pas qu’il finisse ainsi, par un moment terriblement gênant. Elle insista toutefois bien sur le fait que je n’avais rien fait de mal, mais que cela était de sa faute. Je n’étais pas d’accord avec elle. Elle n’avait rien à se reprocher. Elle s’était préservée toutes ces années pour son futur époux surement, faisant fi de tout ce qui était du domaine intime. C’était également à cause de son passé en tant que chasseuse de vampires qu’elle n’avait pas eu le temps de vivre d’histoires d’amour et aller plus loin.
Riku ▬ Tout va bien Sumire. Tu n’as rien à te reprocher ma chérie.
Je me suis approché d’elle, sans sortir de l’eau et agresser sa vue avec mon attribut masculain étant encore dans tous ses états. J’ai pris son visage entre mes mains avant de poser délicatement mes lèvres contre les siennes pour lui faire sentir à nouveau tout l’amour qui m’animait.
Riku ▬ Je t’avoue que je m’en veux d’avoir induit une situation pareil. Je me doutais bien de ce que tu m’as avoué. En tant que prêtre... aller plus loin serait rompre mes vœux de surcroît... chasteté et célibat... ce sont normalement les préceptes que j’ai accepté lors de mon ordination.
Je réfléchissais à tout ce qui était possible, mais sans parvenir à choisir entre elle et la foi qui avait guidé mes pas toute ma vie. J’aurai pu me reconvertir en moine, prêtre au temple Shinto, mais je ne pouvais pas abandonner ma paroisse, ces vampires qui la composaient et tous les autres. J’étais conscient que la religion chrétienne était parsemée de lacune et qu’un Dieu unique avait pensé le monde, créé tout un tas d’anges et de petites mains qui pouvaient être ces Kamis que je respectais tant.
Cette pensée me plongeait dans une forme de réflexion mélancolique. Ai-je fait le bon choix de vie ? J’étais prêtre, mais tellement spécial dans le fond que j’en vint à me demander si j’avais vraiment ma place en tant que tel. Mon Dieu était celui que je priais et je voyais dans la Bible beaucoup de bons enseignements, mais tout autant que dans beaucoup d’autres religions. Je me suis ensuite ressaisi, avec l’intime conviction que j’avais fait le bon choix. J’étais chrétien comme mon père, parce que je pensais que cette religion avait des lacunes et que je pouvais aider à penser celle-ci autrement. Je n’avais pas dédié ma vie à l’église, mais à Dieu et à ceux qui vivent sur Terre.
Riku ▬ Ce que je redoute le plus Sumire... c’est de ne pas pouvoir te combler. Je... je t’aime tellement... Je ne me vois pas vivre sans partager ma vie avec toi, mais à moins de faire preuve de sournoiserie, je ne vois pas comment arriver à nos fins. Quoiqu’il en soit, je tiens à te présenter mes excuses pour cette situation. Je voulais que nous passions un instant romantique avant les célébrations du monastère.
“Dilemme”
© Etilya sur DK RPG
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Mar 7 Mai 2019 - 10:06
Riku essaye de me rassurer. Pour lui, ce qui vient de se passer, n'est en rien ma faute, et pourtant… J'ai pris le temps de le masser, et certainement d'une manière qui a fini par lui donner envi d'agir ou de réagir de la sorte, et en plus je lui précise par la suite que je ne suis pas du tout prête en m'éloignant de lui, je reste un minimum fautive de la situation… puis ce dernier finit par me faire pas de ses doutes, comment faire pour vivre notre amour en plein jour ? À moins de sournoiserie de notre par je ne vois pas non plus… Je ne connais pas réellement les lois religieux de son église, mais du peu que j'en ai entendu, les prêtres n'ont pas le droit au mariage ni au plaisir charnel.
Sumire ▬ Oui en effet comme tu le dis à moins de contrer vos loi d'une manière ou d'une autre… Il n'y a pas grand chose à faire si nous voulons nous montrer.
Je l'embrasse à mon tour, langoureusement et avec passion, retourne me rassoir sur le petit rocher, puis baisse de nouveau le regard pour fixer l'eau embrumé de la source et prendre un temps de réflexion. Alors quoi ? Un faux ancien mariage ? Pas certaine que cela fonctionne… Ou alors, tout simplement une vue à deux dans le même bâtiment avec une quelconque raison fausse ? Dans tous les cas il aura tromperie et mensonge… Mais qui suis-je pour blâmer cela ? Alors que j'ai passé ma vie à agir de la sorte…
Fini de tergiverser ! Je me redresse, le dos droit, le regard dans sa direction, un sourire charmeur au bord des lèvres, puis je m'avance vers lui, debout dans la source, laissant seulement voir la naissance de mon bassin. L'eau bloque un peu mon mouvement ce qui ne me rend que plus gracieuse et finalement me gêne peu. Je prends son visage entre mes mains, mes longs ongles caressant sa douce peau. Je lui souris toujours de la même manière, puis fini par me décider de parler.
Sumire ▬ Tu es aussi peu fautif que moi, et nous allons trouver un moyen pour la suite de notre histoire. Mais pour l'instant je propose de sortir et retourner voir tes amis qui doivent ce demander ce que nous devenons, la nuit est bien avancé et nos amis les étoiles ainsi que la lune son déjà au rendez-vous.
En effet, malgré les légères lueurs de lampion, la pénombre commençait à se faire bien sentir, on ne voyais pas à cent mètres devant nous et ce, sûrement à cause de la brume provoqué par les eaux chaudes. Sans attendre sa réponse, je le lâche puis lui tourne le dos en direction de la sorti pour aller chercher ma serviette et la fit voler autour de moi pour la mettre sur mon dos.
C'est alors qu'une nuée de lucioles c'est élevé tout autour de moi, illuminant complètement la pénombre. Je suis resté là, bouche bé à admirer le spectacle. La source prenait une autre couleur, et une multitude de variation lumineuses sous le joug de ces petites créatures. Je me tourne doucement vers lui, lui lance un sourire avec douceur ainsi que ces quelques mots.
Sumire ▬ Tu le savais, n'est-ce pas ?
“Clairvoyance et petites créatures”
© Etilya sur DK RPG
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Mar 7 Mai 2019 - 10:39
Je savais qu’elle se sentait vraiment mal à l’idée d’être responsable de toute la situation, il n’y avait qu’à voir son air un peu attristé se perdre dans l’eau et la brume de cet endroit envoûtant pour savoir qu’elle y pensait.
Elle en connaissait peu sur les règles de l’église et ce n’était pas vraiment étrange car par ici bien qu’il y eût toujours eu un peu de chrétiens, il n’y avait autant de religieux que dans un lointain passé maintenant. Cela ne rajoutait que plus à l’étrangeté de ma foi au regard de bien des gens au Japon d’ailleurs.
Toutefois, il y avait bien un moyen de vivre notre amour au grand jour, mais cela était une chose compliquée qui allait devoir se préparer un peu comme subterfuge. Je dépends officiellement de l’église catholique orientale ce qui signifie qu’il y a quelques lois vaticanes qui ne s’appliquent pas tout à fait normalement à nous. En outre, le droit d’être un prêtre et marié. Si nous arrivons à prouver que notre mariage remonte à avant mon ordination, alors le mariage resterait tout à fait valable et cela n’impliquerait de notre part que de falsifier des papiers et les inclure dans les registres de l’église catholique orientale. En pensant à cela, de son côté, Sumire s’était relevé, l’air charmeuse et partait en direction de la sortie du bain pour que nous retournâmes en direction du monastère à cause de l’heure qui commençait à être tardive.
C’est à ce moment-là que des lucioles ont jailli d’un peu partout en repérant se point de chaleur animale se déplaçant maintenant hors de l’eau et attiré par cette chaleur. Elles gravitaient autour de ma bien aimée comme une farandole lumineuse. Elle s’est retournée vers moi pour savoir si j’étais au courant de ça. J’ai acquiescé d’un sourire tout en me rapprochant d’elle, saisissant une serviette à mon tour pour me couvrir en la nouant à ma taille. Je la pris dans mes bras par derrière tout en lui chuchotant tout doucement à l’oreille.
Riku ▬ Il y a beaucoup de luciole dans le coin et les moines en élèvent pour les lâcher tout autour du monastère lors du nouvel an. Elles sont venues autour de toi comme pour parer ta nudité de merveilleux atours mon amour.
Malgré mon érection encore présente, cachée par la serviette mais appuyée tout contre elle, je passais cette gêne pour la tourner vers moi et la regarder droit dans les yeux. Le cadre était vraiment parfait. La source était faiblement baignée de la lumière douce des lampions et le monastère n’était plus qu’une silhouette lointaine marqué par quelques lumières radieuses mais floues à cause de la brume de la source chaude. Des lucioles nous offraient une dance pour nous éclairer et nous réunir à l’intérieure de celle-ci.
Riku ▬ Je t’aime Sumire... Veux-tu devenir ma femme ?
“La seule question qui compte”
© Etilya sur DK RPG
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Mar 4 Juin 2019 - 20:37
Riku était bel et bien l’ auteur de ce subterfuge lumineux. Cette nuée de lucioles m’entoure et me suis dans le moindre de mes mouvements, comme attirée par ma chaleur corporelle. Mes yeux brillent et restent fixé sur eux, je suis totalement hypnotisé et émerveillé par cette farandole luisante lorsque j’entends Riku, déjà dans mon dos, me chuchotant à l’oreille ses explications sur leurs présences en si grand nombre. Je rougis pour son compliment si romantique puis me retourne doucement vers lui, essayant de détacher mon regard de ce spectacle si merveilleux qu’il me donne envie de le peindre.
Mon bien aimé finit par prendre les devant et me tourne de force, mais néanmoins avec douceur, dans sa direction, me fixant droit dans les yeux, comme s’il souhaitait m’annoncer, ou me demander quelque chose d’important.
Je plaque mes mains contre ma poitrine, espérant garder ma serviette en place, je ne sais pas pourquoi je ne souhaite pas le voir tomber, alors qu’il sait déjà, dès à présent, à quoi je ressemble dans les moindre détails. Le décor qui nous entour est flouté par les vapeurs sortant de la source et malgré tout, joliment mis en valeur par les petites créature lumineuses ainsi que les lampions, mais ce qui est encore plus mis en valeur ce soir, est l’amour de ma vie, Riku, me fixant, m’annonçant avec un grand sérieux, et son calme légendaire, qu’il souhaite que nous nous marions.
Une grande bouffée de chaleur monte dans tout mon corps, et je devien certainement aussi rouge que cette fleur dont on m’a affublé le surnom. Je ne sais pas comment réagir, tant de questions me viennent et je ne suis en premier temps pas certaine de la possibilité que cette requête puisse être mise en oeuvre. Je garde une de mes main plaqué entre mes deux seins, serrant fort la serviette. J’ai vraiment chaud et halète de plus en plus, j’ai même l’impression d’être sur le point de tourner de l’oeil, serais-je resté trop longtemps dans l’eau chaude ? ou est-ce simplement la demande de Riku qui me met dans tous mes états ? J’ai pourtant subis des choses bien plus choquantes et impressionnantes dans ma vie, alors pourquoi une demande en mariage me mettrais dans cette état ?
J’essaye de sourire le plus possible pour montrer ma joie à cette homme, mais je finis vite par me sentir aller. Mes jambes tremble, ma tête tourne. Faite que cela s'arrête ! je veux pouvoir lui répondre normalement sans paraître comme une petite fragile sans aucune résistance émotionnelle ! Je fini par me baisser doucement puis à tatonner derrière moi pour trouver l’appuie d’une pierre sur laquelle je puis m'asseoir. Ça y est ! Je peux enfin essayé de reprendre mes esprits pour finir par lui répondre mais j’ai débord cette question qui me brûle les lèvres.
Sumire ▬ Pouvons-nous vraiment nous marier ou à tu une idée derrière la tête
Je me sens encore un peu fragile, ce tournie ne c’est pas encore totalement arrêté. J’inspire un grand coup, ferme les yeux quelques second, puis je fini par lui donner, malgré tous ces soucis, ma réponse avec une grande joie que je ne su contenir.
Sumire ▬ Mais OUI ! Bien sûr que je le souhaite mon amour !
Je prends son visage entre mes mains pour l’embrasser de toutes mes forces et avec passion malgré mon souffle court.
“Une demande retournante”
© Etilya sur DK RPG
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Mer 5 Juin 2019 - 1:38
Ma fiancée... qu’il était bon de pouvoir penser à elle sous ce nouveau jour, un peu comme si une nouvelle page de notre vie allait pouvoir s’écrire entièrement à deux. Elle allait pouvoir devenir ma femme maintenant, après toutes ces années à rêver d’une telle chose, à imaginer ma vie avec elle lorsque j’ai été contraint de partir pour la Chine, maintenant nous y étions enfin. Depuis nos retrouvailles cet instant était destiné à se produire, même s’il a fallu que le temps fasse son office pour cela.
Riku ▬ C’est génial Sumire ! Je suis si heureux !
En pensant à tout ça j’en oubliais presque l’instant présent, mes lèvres contre les siennes dans un instant passionné. Après avoir eu l’air de défaillir, elle était en train de me montrer toute l’étant de son amour moi après ce gigantesque oui qui avait brièvement effacé sa question à propos de la faisabilité même de ce projet.
Riku ▬ Tu me connais... je ne t’aurais pas proposé sans une idée derrière la tête. Mais il va falloir mentir, fabriquer des faux et également... dieu me pardonne... s’introduire par effraction dans un endroit consacré...
En vérité, tout çà était déjà très bien planifié dans ma tête et je n’avais d’avance absolument aucun regret à l’idée de faire tout ce qu’il fallait pour pouvoir parvenir à vivre avec la femme que j’aime au grand jour et pour toujours.
Il faudra que nous antidations le mariage lorsque nous nous marierons et donc faire ça avec un prêtre ou un moine qui sera de notre côté, mais celui qui s’est occupé de l’enterrement de ma grand-mère est un vieil ami de la famille si jamais elle voulait un mariage shinto. La date doit obligatoirement être antérieure à mon ordination, mais ce ne sera pas un problème car je ne suis prêtre que depuis six ans seulement, pour les besoins de ma formation d’assassin sacré.
Une fois ce document en notre possession, il faudra que je m’introduise dans le siège de l’église catholique d’orient pour pouvoir mettre en place ce document dans leurs archives, pour qu’en cas de délation de ma relation avec ma femme par une grenouille de bénitier tout soit en ordre. C’est à cette seule condition, que notre union pourra être à la fois officielle et tout à fait normale.
Dieu dit qu’il ne faut pas travestir la vérité et que mentir salit l’âme, peu importe la raison, mais également que l’homme est d’une nature faillible. C’est dans sa nature de travestir la vérité et la plus importante qu’il s’évertue à cacher, c’est le message d’amour que le créateur nous envoie. Toutes les cultures du monde sont d’accord sur l’amour que nous portes les dieux et les anges, mais il n’y a pas de plus sombre que la volonté des puissants à faire en sorte de modifier le message le plus important du monde.
Le créateur me pardonnera s’il en est conscient, il me pardonnera de faire tout ça dans l’unique but de vivre ma vie avec la femme qui m’est destinée.
Riku ▬ Mais tout ça peut attendre !
J’ai passé mes mains autour de sa taille sans même me soucier de quoi que ce soit et je l’ai soulevé du sol en la serrant tout contre moi, faisant passer ses jambes autour de ma taille et je l’ai embrassé comme si ma vie en dépendait. C’était le plus beau jour de ma vie, de notre vie.
Je me fichais bien à ce moment-là des festivités qui allaient bientôt commencer au monastère, même si c’était un spectacle que je tenais à montrer à ma fiancée.
“Instant de grâce”
© Etilya sur DK RPG
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Ven 28 Juin 2019 - 20:16
Riku avait déjà tout planifié, et finalement mon inquiétude était vite passé aux oubliettes avec son explication.
J'étais tout de même surprise, mentir ? Travestir des documents ? Et s'introduire dans un endroit consacré sans autorisation !? Cela était très étonnant sortant de sa bouche, je ne m'attendais pas à ce qu'il soit capable de cela, surtout avec son statut et sa croyance actuel.
Sumire ▬ Es-tu vraiment sûr et certain de vouloir faire cela ? Si jamais nous sommes découvert la punition en retour sera très grave, surtout pour toi, avec ton grade actuel.
Une nouvelle inquiétude avait germé dans mon esprits, je ne souhaitais pas, mais alors vraiment pas, qu'il s'attire quoi que ce soit comme problème par ma faute, je ne me le pardonnerais jamais.
Entre temps se dernier n'avait qu'une idée en tête, me montrer toute sa joie vis-à-vis de la situation, il était tellement heureux que j'accepte sa demande, qu'il m'avait attrapé par la taille, soulève du sol pour me coller contre lui, mes jambes autour de ses hanches.
Les bras autour de son coup, les yeux écarquillé, surprise par la scène, et toute cette situation, je finis par lui sourire après quelques secondes. Je l'embrasse, puis redescend pour me tourner en direction du monastère.
Sumire ▬ Bon, la nuit est bien avancé, il se fait tard, et je pense que t'es amis vont finir par en avoir marre de nous attendre. Nous pourrions discuter plus en détail du sujet un peu plus tard. J'aimerais savoir comment tu souhaite procéder, par contre j'espère vraiment que tu ne risque rien.
Je commence à le connaître bien, et je pense que les idées qu'il a en tête actuellement pour ce "mariage falsifié" son mûrement réfléchi et ceux depuis des semaines, voir des mois. J'ai confiance en lui, il est intelligent et rusé cela devrait bien ce passer, et nous pourrons enfin vivre notre amour au grand jour, sans avoir peur des regards.
Je m'étire un peu, repasse mes vêtements, toujours caché derrière un rocher, puis je l'attends pour ensuite nous diriger de nouveau vers le monastère.
Sumire ▬ Je ne t'ai toujours pas parlé de mon idée de tatouage au faite !
Je venais de me retourner dans sa direction avec un petit sourire fière.
“ Inquiétude et intrigue ”
© Etilya sur DK RPG
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Sam 29 Juin 2019 - 14:00
J'étreins ma future épouse dans bras. Nous étions là, entourés tout deux par la brume nous habillant de son délicat manteau, cachant partiellement notre nudité dont nous n’avions cure à ce moment-là. Seul comptait sa réponse qui était positive et les explications de mon plan bien conçu.
Elle avait la tête sur les épaules malgré l’évidente euphorie qu’était la nôtre en ce moment de grâce qui consacrait notre amour en toute intimité. Nos ancêtres auraient surement été outré de voir dans quelles conditions nous nous sommes avoués la nature de nos sentiments une première fois et avec quelle proximité nous vivions jusque-là. Ces ancêtres devaient être catastrophés alors de voir comment nos promesses de mariages furent échangées à l’instant. Pourtant, j’y voyais une grande poésie que de faire cela dans l’instant, dans le plus simple appareil pour nous deux, juste amoureux et rien de plus.
Quoi qu’il en soit, il fallait que je réponde à ses inquiétudes qui étaient tout à fait justifiées compte tenu de la situation et de mes explications.
Elle redescendit bien vite après nos embrassades pour évoquer une chose tout à fait pertinente, nous allions finir par rater toutes les festivités pour le nouvel an à force de rester ici entre nous et il était plus que temps d’y retourner en effet.
Je la laissais se vêtir derrière un rocher tandis que je me suis dirigé vers nos affaires pour sortir un kimono de soirée que je n’avais pas encore enfilé devant elle. Je le gardais pour les occasions spéciales. C’était un très grand kimono noir avec un cercle doré dans le dos servant à mettre en valeur un symbole de yin et yang.
Je me dirigeais vers elle pour lui tendre mon bras, qu’elle passe le sien dans celui-ci. Après quoi nous avons commencé à marcher en direction du monastère. Elle relança le sujet sur son idée de tatouage et il est vrai que je commençai à me poser beaucoup de questions sur ce qu’elle allait pouvoir faire comme tatouage et surtout où elle pouvait bien souhaiter se le faire faire.
J’accorde beaucoup d’importance au symbolisme dans la vie comme en art et étant que se faire tatouer revient à inscrire une chose de façon irrévocable dans sa chair, cela doit avoir une importance énorme, sans quoi, ce n’est qu’esthétique finalement.
Elle avait la tête sur les épaules malgré l’évidente euphorie qu’était la nôtre en ce moment de grâce qui consacrait notre amour en toute intimité. Nos ancêtres auraient surement été outré de voir dans quelles conditions nous nous sommes avoués la nature de nos sentiments une première fois et avec quelle proximité nous vivions jusque-là. Ces ancêtres devaient être catastrophés alors de voir comment nos promesses de mariages furent échangées à l’instant. Pourtant, j’y voyais une grande poésie que de faire cela dans l’instant, dans le plus simple appareil pour nous deux, juste amoureux et rien de plus.
Quoi qu’il en soit, il fallait que je réponde à ses inquiétudes qui étaient tout à fait justifiées compte tenu de la situation et de mes explications.
Riku ▬ La punition peut en effet être grande, mais nous ne nous ferons pas prendre. J’ai travaillé sur les plans des lieux et les archives de l’Eglise d’Orient n’est pas ce qu’on peut appeler un bâtiment sécurisé pour tout dire. Nous n’aurons pas trop de problème pour y mettre le papier d’archive.
Elle redescendit bien vite après nos embrassades pour évoquer une chose tout à fait pertinente, nous allions finir par rater toutes les festivités pour le nouvel an à force de rester ici entre nous et il était plus que temps d’y retourner en effet.
Riku ▬ Tu as raison, nous aurons le loisir d’en reparler une autre fois. Tout est soigneusement pensé et verra un plan précis être mis au point pour parvenir à nos fins mon amour.
Je la laissais se vêtir derrière un rocher tandis que je me suis dirigé vers nos affaires pour sortir un kimono de soirée que je n’avais pas encore enfilé devant elle. Je le gardais pour les occasions spéciales. C’était un très grand kimono noir avec un cercle doré dans le dos servant à mettre en valeur un symbole de yin et yang.
Je me dirigeais vers elle pour lui tendre mon bras, qu’elle passe le sien dans celui-ci. Après quoi nous avons commencé à marcher en direction du monastère. Elle relança le sujet sur son idée de tatouage et il est vrai que je commençai à me poser beaucoup de questions sur ce qu’elle allait pouvoir faire comme tatouage et surtout où elle pouvait bien souhaiter se le faire faire.
Riku ▬ Dis-moi tout mon amour, je suis impatient de savoir ce que tu veux finalement te faire faire et pouquoi.
J’accorde beaucoup d’importance au symbolisme dans la vie comme en art et étant que se faire tatouer revient à inscrire une chose de façon irrévocable dans sa chair, cela doit avoir une importance énorme, sans quoi, ce n’est qu’esthétique finalement.
“Amour et douceur”
© Etilya sur DK RPG
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Mer 24 Juil 2019 - 15:58
Je m'étais retournée dans sa direction, les mains jointes dans mon dos, un sourire béat aux lèvres.
Je suis vraiment heureuse et fière de mon idée, et certaine que ce tatouage aura vraiment une signification importante pour moi et pour lui. Je me penchais un peu vers lui, le visage de côté, pour bien scruter son expression. Il avait l'air impatient de connaître mon idée et cela me faisait extrêmement plaisir. Je me redresse, puis prend quelques instant pour réfléchir à comment j'allais lui expliquer au mieux les détails, mais il n'y avait pas trente-six explications à donner, le tatouage était plutôt simple et sans trop de détails complexe, par contre… Je ne sais pas encore où me le faire, sur quel partie de mon corps… Tampis ! Il me donnera bien quelques conseils pour.
Sumire ▬ Je souhaiterais un lycoris, avec toutes ses nuances de rouge et de vert qui se doit de l'accompagner, et il séparera un ying et yang en deux par sa tige.
J'avais dans l'idée que sa représentation était ce que mes parents avaient voulu faire de moi et qui nous avez séparés au début de notre histoire.
Sumire ▬ Par contre, ne me demande pas où je veux le faire je n'en ai aucune idée.
Ai-je ajouté en me frottant le menton pour signifier ma réflection sur le sujet. Je me suis ensuite avancé vers lui pour prendre son bras tendu dans les miens, poitrine compressé tout contre, et lui emboîter le pas.
Sumire ▬ Très jolie kimono très chers.
Pendant notre retour au monastère, je réfléchissais encore à sa réponse vis à vis des risque de ce qu'il souhaitait entreprendre pour falsifier les documents de notre mariage. D'après lui les églises comme la sienne ne protègent que très peu leur document. Je suis étonné d'apprendre cela, alors que pour les nôtre, du moins du peu que je connais, il y a toujours un moine pour les surveiller.
Sumire ▬ Quel tristesse de donner aussi peu d'importance au document de l'église.
Ai-je chuchoté sans le remarquer en regardant le sol.
Puis une autre question me taraudait et je m'empresse alors de la lui poser sans attendre.
Sumire ▬ Mais, comment allons nous nous marier ? Je veux dire… Sous quel religion ? La mienne, qui est également ton ancienne religion ? Ou la tienne ? Je ne connais pas très bien ta religion actuel, et ne sais pas comment cela fonctionne… Ou allons nous procéder à un mariage à double religion ?
Je ne sais pas si cette question avait réellement du sans, je ne sais même pas si cela existe, j'avous être un peu perdu, avec une situation telle que la nôtre. Je suis inquiète, comment mes parents allaient prendre cette annonce ? Doit-on le leur annoncer d'ailleurs ? Où les tenir à l'écart ? Mes ancêtres vont-ils me maudire d'agir ainsi ? et pourtant je suis si euphorique à l'idée de me marier avec l'homme de ma vie que cela finissait par effacer toutes mes suspicions.
“Le lycoris, ce que j'étais”
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