Mistress of Cards - Elysabeth
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Elysabeth Dwight Hodgkin#106415#106415#106415#106415#106415#106415#106415
Vampire level A - Clan Dwight Hodgkin
Race : Vampire sang-pur
Couleur : #E30B5C
Avatar : Jabami Yumeko - Gambling School
Date d'inscription : 18/09/2021
Nombre de messages : 33
Emploi/loisirs : Mannequin - Patronne de casino
Yens : 63
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Sam 18 Sep 2021 - 12:19
Elysabeth R. Dwight Hodgkin
« La vie est un jeu, et j'en maîtrise les règles »
feat Jabami Yumeko (Gambling School) | Fiche d'identité ᚕ Nom(s) : Dwight Hodgkin ᚕ Prénom(s) : Elysabeth Roselia ᚕ Date de naissance : 11/01/1813 ᚕ Surnom(s) : Ely, Lyzzy ᚕ Orientation sexuelle : Bisexuelle ᚕ Race : Vampire level A ᚕ Métier : Administre le Domaine Dwight Hodgkin en l’absence de Bradley. Mannequin pour de très prestigieuses marques de vêtements de luxe. Propriétaire de casinos ᚕ Nationalité : Américaine ᚕ Famille/meute : Dwight Hodgkin ᚕ Pouvoir(s) : Divination : Elle a hérité ce pouvoir de son père et n’en est guère ravie. Elle est capable de recevoir des visions de l’avenir de façon incontrôlée ou sinon au prix de considérables efforts de concentration. Psychométrie : Elle est capable de lire la charge d’un objet ou d’un lieu pour retracer son passé ou son histoire au prix d’une très intense concentration en fonction du cheminement à retracer. Par exemple, par un simple contact elle peut voir très facilement le tireur d’une fusillade s’étant produite la veille, mais il lui faudra un très long moment pour avoir une vision claire de ce à quoi ressemblait à neuf une église en ruine vieille de huit cent ans. Sens aiguisés : Elle a hérité de ce pouvoir comme son frère Bradley. Tous ses sens sont plus performants encore que ceux d'un lycan ou d'un vampire. Elle aime par-dessus tout combiner son acuité visuelle avec sa kinesthésie sur-développée pour décrypter les gens autour d'une table de jeu. Métallokinésie : elle peut contrôler le métal sous toutes ses formes. Elle ne peut pas le créer, mais le plier à sa volonté, d'une simple poudre de fer à un pont d'acier, cela reste puissant et bien pratique dans le monde actuel. |
Physique
« Les apparences sont trompeuses »
Fier comme un paon, il guidait sa future victime. Une cible de premier choix, comme jamais il n'en avait croisé. Elle était jeune, probablement vingt-cinq ans. Sa taille surpassait de loin la moyenne habituelle pour le sexe faible. Il la dominait à peine de quelques centimètres et pourtant il avoisinait déjà le mètre quatre-vingt-dix. Et ses courbes ! Il devinait ses formes voluptueuses sous sa robe pourpre au décolleté révélateur. Une femme bien en chair. Mais, par-dessus tout, sa beauté. Une véritable déesse incarnée. Un charme irrésistible qui attisait les désirs les plus insensés. Avec ces deux pupilles ambrées qui le fixaient d'une candeur affligeante. Dès qu'il l'avait vue, il n'avait plus pensé qu'à la conquérir. La posséder. L'exposer comme son plus grand trophée. Et il en avait pourtant. Des stars. Des mannequins. Des femmes haut placées. Il se plaisait à les séduire, les déposséder, pour démontrer sa supériorité et replacer les femmes à leur véritable place : sous lui. Littéralement.
Les voilà désormais dans la chambre. Il la tira jusqu'au sommier et se retourna pour la dévorer des yeux. Il leva une main pour caresser ses joues rebondies, son nez aquilin, son menton volontaire. Sa main descendit sur son cou gracile, puis sur ses larges épaules. Son autre main saisit la sienne et il frôla du bout des lèvres ses longs doigts de pianiste. Il la voulait maintenant. Il en brûlait jusqu'à se consumer. Alors sans plus attendre il goûta sauvagement ses lèvres pulpeuses, en passant une main dans sa longue chevelure d'ébène. Son autre main vint apprécier la courbe de ses reins bien dessinée, jusqu'à ses fesses rebondies. Indifférent à ses protestations, il poursuivit son exploration jusqu'à ses cuisses, relevant sans concession le drapé de son vêtement. L'autre main fit glisser le haut pour dévoiler son corps nu. Et il s'écarta un instant pour en admirer les moindres coutures. Sa poitrine généreuse dépassait ses espérances. Son ventre légèrement rebondi était parfait. Ses hanches n'avaient rien à envier à Aphrodite. Ses jambes élancées d'athlètes feraient verdir Atalante. Elle avait tout pour elle, rien à envier à personne, et maintenant il allait en profiter.
Il la coucha sur le lit sans délicatesse, lisant avec un plaisir malsain la détresse dans son regard d'ordinaire si assuré, alors que son ravissant visage se teintait de peur et d'incompréhension. C'était ce qu'il préférait. Cet instant où la situation se retournait. Où il devenait le dominant suprême. Ce moment de puissance inégalable. Et elle ne pouvait rien contre lui. Se défendre ni maintenant, ni plus tard. C'était jouissif. Il la libéra un instant pour se déshabiller. Elle en profita pour amorcer une tentative de fuite. Mais il la rattrapa avant qu'elle ne put atteindre la porte. Ramenée de force sur le sommier, elle ne put qu'accepter son sort, alors qu'il se penchait sur elle pour satisfaire son désir.
La voix sensuelle de sa conquête s'éleva pour l'implorer, puis se mua en cri rauque alors qu'elle montait dans les aigus dès son premier assaut. Une douce symphonie qui l'embrasa davantage. A mesure qu'il prenait son pied, les suppliques de sa victime changeaient. Mais il n'y prêtait pas attention, concentré sur son office. Au paroxysme de son plaisir, son rugissement de mâle fut supplanté par celui de sa chose. La tête rejetée en arrière, les paupières closes, elle riait. Un rire suave, satisfait, moqueur. Et elle ouvrit les yeux pour darder sur lui des iris pourpres. Une poigne sans aucune mesure lui attrapa les poignets, et d'un geste elle le projeta à plat dos pour lui grimper dessus et le bloquer entre ses cuisses fermes. Ses lèvres se relevèrent, dévoilant des canines dangereusement longues, et d'un ongle devenu griffe, elle caressa sa gorge. Son visage affichait une expression diabolique, les traits déformés par l'extase.
« A mon tour de jouer »
Et le voile de l'innocence se déchira, révélant la prédatrice tapie dans l'ombre : moi.
Les voilà désormais dans la chambre. Il la tira jusqu'au sommier et se retourna pour la dévorer des yeux. Il leva une main pour caresser ses joues rebondies, son nez aquilin, son menton volontaire. Sa main descendit sur son cou gracile, puis sur ses larges épaules. Son autre main saisit la sienne et il frôla du bout des lèvres ses longs doigts de pianiste. Il la voulait maintenant. Il en brûlait jusqu'à se consumer. Alors sans plus attendre il goûta sauvagement ses lèvres pulpeuses, en passant une main dans sa longue chevelure d'ébène. Son autre main vint apprécier la courbe de ses reins bien dessinée, jusqu'à ses fesses rebondies. Indifférent à ses protestations, il poursuivit son exploration jusqu'à ses cuisses, relevant sans concession le drapé de son vêtement. L'autre main fit glisser le haut pour dévoiler son corps nu. Et il s'écarta un instant pour en admirer les moindres coutures. Sa poitrine généreuse dépassait ses espérances. Son ventre légèrement rebondi était parfait. Ses hanches n'avaient rien à envier à Aphrodite. Ses jambes élancées d'athlètes feraient verdir Atalante. Elle avait tout pour elle, rien à envier à personne, et maintenant il allait en profiter.
Il la coucha sur le lit sans délicatesse, lisant avec un plaisir malsain la détresse dans son regard d'ordinaire si assuré, alors que son ravissant visage se teintait de peur et d'incompréhension. C'était ce qu'il préférait. Cet instant où la situation se retournait. Où il devenait le dominant suprême. Ce moment de puissance inégalable. Et elle ne pouvait rien contre lui. Se défendre ni maintenant, ni plus tard. C'était jouissif. Il la libéra un instant pour se déshabiller. Elle en profita pour amorcer une tentative de fuite. Mais il la rattrapa avant qu'elle ne put atteindre la porte. Ramenée de force sur le sommier, elle ne put qu'accepter son sort, alors qu'il se penchait sur elle pour satisfaire son désir.
La voix sensuelle de sa conquête s'éleva pour l'implorer, puis se mua en cri rauque alors qu'elle montait dans les aigus dès son premier assaut. Une douce symphonie qui l'embrasa davantage. A mesure qu'il prenait son pied, les suppliques de sa victime changeaient. Mais il n'y prêtait pas attention, concentré sur son office. Au paroxysme de son plaisir, son rugissement de mâle fut supplanté par celui de sa chose. La tête rejetée en arrière, les paupières closes, elle riait. Un rire suave, satisfait, moqueur. Et elle ouvrit les yeux pour darder sur lui des iris pourpres. Une poigne sans aucune mesure lui attrapa les poignets, et d'un geste elle le projeta à plat dos pour lui grimper dessus et le bloquer entre ses cuisses fermes. Ses lèvres se relevèrent, dévoilant des canines dangereusement longues, et d'un ongle devenu griffe, elle caressa sa gorge. Son visage affichait une expression diabolique, les traits déformés par l'extase.
« A mon tour de jouer »
Et le voile de l'innocence se déchira, révélant la prédatrice tapie dans l'ombre : moi.
Caractère
« Plaisir non partagé n'est plaisir qu'à moitié. »
Je sais. Il ne faut pas jouer avec la nourriture. Combien de fois me l'a-t-on répété ? Mais c'est plus fort que moi. J'adore briser leurs illusions. Tous ces mâles en manque de puissance qui s'imaginent au-dessus des lois. Les criminels qui échappent toujours aux condamnations. Les hommes de pouvoir qui en abusent pour escroquer, briser, démunir plus petits qu'eux. Ceux qui se croient tout puissants. J'aime par-dessus tout renverser la situation. J'aime entendre leur rythme cardiaque s'emballer. Sentir l'odeur de la peur. Goûter leur sang bonifié par la rage. ça me plaît. Et je fais toujours ce qui me plaît.
« Alors, qu'est-ce que ça fait d'être une victime ? »
Sadique, moi ? Parfaitement. Je l'assume. Manipulatrice, totalement. Je joue de mes charmes pour piéger mes adversaires. Ils me croient jeune. Ils me croient naïve. Ils me croient idiote. Et ils s'en mordent toujours les doigts au final. Je joue parfaitement des apparences. Autant chez les miens, que chez les mortels. Personne ne se doute que derrière cette attitude tantôt innocente, tantôt joueuse, se cache un esprit brillant qui les analyse à chaque instant. La moindre pulsation de votre cœur. Le moindre frémissement de paupière. Ce tremblement du menton. Rien n'échappe à mes sens qui dépassent de loin ceux d'un sang-pur, à l'instar de mon frère. Je lis votre corps comme dans un livre. J'en profite à mes avantages, et souvent à vos dépens.
J'attrapai ma proie par les cheveux pour la plaquer contre la tête de lit et l'attacher avec des liens. Il remuait comme un vermisseau pour se soustraire vainement à mon emprise.
« Oh, oui, débats-toi, ça ne rend l'exercice que plus excitant ! »
C'est vrai ça. Ce serait presque frustrant qu'il se laisse faire sans rien dire. Je préfère quand ils se débattent jusqu'à lire le désespoir dans leurs yeux et les voir abandonner le combat face au précipice de leur existence. Ah. C'est tellement jouissif.
Il poussa un hurlement pour alerter le voisinage. Je posai aussitôt une main sur sa bouche, plaçant mon index sur la mienne.
« Chuuuut, trésor, tu vas réveiller les voisins ! Et ça me fâcherait. Tu ne veux pas me fâcher. »
Ouh non, il ne veut pas me fâcher. Je gère mal la frustration. Quand on me retire ce que je désire depuis longtemps, je peux entrer dans des colères noires. Il vaut mieux ne pas rester dans les parages. Comment ça, moi, capricieuse ? Oui, d'accord, je le reconnais. Il m'arrive souvent d'avoir des lubies étranges et de faire tout un cinéma pour les satisfaire. Rien que pour taquiner mon Brady. J'adore le faire tourner en bourrique. C'est trop drôle quand il affiche cette petite moue dépitée.
Après avoir immobilisé ses bras, je m'occupai de ses jambes, brisant son tibia lorsqu'il tenta de me frapper à la tête.
« Ttttt. On reste sage. »
Puis je m'installai à califourchon sur lui. Je humai sa peur avec délectation. C'est à mon tour de prendre mon pied en profitant de sa détresse. Je devais en profiter tant qu'il était en état. Je fermai les yeux, bouche ouverte, tandis que mon bassin s'activait.
On me dit lascive. Lubrique. C'est vrai. J'aime les relations charnelles, que ce soit avec mes proies, ou de véritables amants. Elles procurent des sensations si délicieuses. Et vous savez quoi ? Je me fiche totalement de ce qu'en disent les autres. J'affirme ma nature de femme libérée. Sans complexe.
Après ces quelques minutes d'exaltation, je levai mes mains, griffes dégainées. J'avais profité de lui. Maintenant il était temps de passer à la deuxième phase. Cette pièce m'avait déjà appris tout ce qu'il faisait subir à ses victimes. Chaque objet était chargé d'un lourd souvenir. Je penchai la tête sur le côté en la secouant.
« Ahlala. Un homme séduisant comme toi. Quel gâchis. »
Je caressai son torse de mes griffes, traçant des sillons pourpres sur sa peau délicate. Ses gémissements étouffés sonnaient comme une véritable symphonie. Je levai la tête vers le plafond, les yeux fermés, savourant cet instant.
Si j'aime la torture ? Uniquement lorsque pratiquée sur des gens qui le méritent. Les entendre hurler de douleur, à l'instar de leurs victimes… ça m'excite. Un monstre, moi ? Hahaha. Ne soyez pas si terre à terre. La vie n'est ni noire, ni blanche, mais parsemée de…cinquante nuances de gris. Oui je me trouve drôle. Et j'aime l'humour, sous toutes ses formes. Subtile. Fin. Graveleux. Salace. Noir. J'aime qu'on me fasse rire. Il y a vraiment peu de choses en ce monde qui soient capables de m'offenser. D'ailleurs il vaut mieux éviter de m'irriter… Je suis très rancunière, vous voyez. La vengeance est un plat qui se mange froid.
« Alors, alors, à quelle sauce vais-je te manger, hum ? »
Il commençait à comprendre que je ne comptais pas le laisser en vie.
Ha. Quel espoir naïf. Il pense vraiment que je me donne tout ce mal juste pour le punir ? Non. Comme je l'ai dit, j'aime jouer avec ma nourriture. Je suis une hédoniste à l'état pur. Toute source de plaisir est à croquer à pleines dents. Le sexe, la nourriture humaine, la boisson, le divertissement, les jeux du casino… La vie est faite pour être savourée. Autrement, l'éternité serait bien triste sans toutes ces saveurs, vous ne trouvez pas ?
« Alors, qu'est-ce que ça fait d'être une victime ? »
Sadique, moi ? Parfaitement. Je l'assume. Manipulatrice, totalement. Je joue de mes charmes pour piéger mes adversaires. Ils me croient jeune. Ils me croient naïve. Ils me croient idiote. Et ils s'en mordent toujours les doigts au final. Je joue parfaitement des apparences. Autant chez les miens, que chez les mortels. Personne ne se doute que derrière cette attitude tantôt innocente, tantôt joueuse, se cache un esprit brillant qui les analyse à chaque instant. La moindre pulsation de votre cœur. Le moindre frémissement de paupière. Ce tremblement du menton. Rien n'échappe à mes sens qui dépassent de loin ceux d'un sang-pur, à l'instar de mon frère. Je lis votre corps comme dans un livre. J'en profite à mes avantages, et souvent à vos dépens.
J'attrapai ma proie par les cheveux pour la plaquer contre la tête de lit et l'attacher avec des liens. Il remuait comme un vermisseau pour se soustraire vainement à mon emprise.
« Oh, oui, débats-toi, ça ne rend l'exercice que plus excitant ! »
C'est vrai ça. Ce serait presque frustrant qu'il se laisse faire sans rien dire. Je préfère quand ils se débattent jusqu'à lire le désespoir dans leurs yeux et les voir abandonner le combat face au précipice de leur existence. Ah. C'est tellement jouissif.
Il poussa un hurlement pour alerter le voisinage. Je posai aussitôt une main sur sa bouche, plaçant mon index sur la mienne.
« Chuuuut, trésor, tu vas réveiller les voisins ! Et ça me fâcherait. Tu ne veux pas me fâcher. »
Ouh non, il ne veut pas me fâcher. Je gère mal la frustration. Quand on me retire ce que je désire depuis longtemps, je peux entrer dans des colères noires. Il vaut mieux ne pas rester dans les parages. Comment ça, moi, capricieuse ? Oui, d'accord, je le reconnais. Il m'arrive souvent d'avoir des lubies étranges et de faire tout un cinéma pour les satisfaire. Rien que pour taquiner mon Brady. J'adore le faire tourner en bourrique. C'est trop drôle quand il affiche cette petite moue dépitée.
Après avoir immobilisé ses bras, je m'occupai de ses jambes, brisant son tibia lorsqu'il tenta de me frapper à la tête.
« Ttttt. On reste sage. »
Puis je m'installai à califourchon sur lui. Je humai sa peur avec délectation. C'est à mon tour de prendre mon pied en profitant de sa détresse. Je devais en profiter tant qu'il était en état. Je fermai les yeux, bouche ouverte, tandis que mon bassin s'activait.
On me dit lascive. Lubrique. C'est vrai. J'aime les relations charnelles, que ce soit avec mes proies, ou de véritables amants. Elles procurent des sensations si délicieuses. Et vous savez quoi ? Je me fiche totalement de ce qu'en disent les autres. J'affirme ma nature de femme libérée. Sans complexe.
Après ces quelques minutes d'exaltation, je levai mes mains, griffes dégainées. J'avais profité de lui. Maintenant il était temps de passer à la deuxième phase. Cette pièce m'avait déjà appris tout ce qu'il faisait subir à ses victimes. Chaque objet était chargé d'un lourd souvenir. Je penchai la tête sur le côté en la secouant.
« Ahlala. Un homme séduisant comme toi. Quel gâchis. »
Je caressai son torse de mes griffes, traçant des sillons pourpres sur sa peau délicate. Ses gémissements étouffés sonnaient comme une véritable symphonie. Je levai la tête vers le plafond, les yeux fermés, savourant cet instant.
Si j'aime la torture ? Uniquement lorsque pratiquée sur des gens qui le méritent. Les entendre hurler de douleur, à l'instar de leurs victimes… ça m'excite. Un monstre, moi ? Hahaha. Ne soyez pas si terre à terre. La vie n'est ni noire, ni blanche, mais parsemée de…cinquante nuances de gris. Oui je me trouve drôle. Et j'aime l'humour, sous toutes ses formes. Subtile. Fin. Graveleux. Salace. Noir. J'aime qu'on me fasse rire. Il y a vraiment peu de choses en ce monde qui soient capables de m'offenser. D'ailleurs il vaut mieux éviter de m'irriter… Je suis très rancunière, vous voyez. La vengeance est un plat qui se mange froid.
« Alors, alors, à quelle sauce vais-je te manger, hum ? »
Il commençait à comprendre que je ne comptais pas le laisser en vie.
Ha. Quel espoir naïf. Il pense vraiment que je me donne tout ce mal juste pour le punir ? Non. Comme je l'ai dit, j'aime jouer avec ma nourriture. Je suis une hédoniste à l'état pur. Toute source de plaisir est à croquer à pleines dents. Le sexe, la nourriture humaine, la boisson, le divertissement, les jeux du casino… La vie est faite pour être savourée. Autrement, l'éternité serait bien triste sans toutes ces saveurs, vous ne trouvez pas ?
Histoire
« La vie est un jeu. Encore faut-il en connaître les règles... »
Les yeux de ma proie roulaient dans leurs orbites, fiévreux de peur. D'un coup de langue, je récupérai le sang qui coulait sur mes mains, tout en lorgnant sur le psychopathe. Je veillais à ne pas trop l'abîmer, pour ne pas faire couler trop d'hémoglobine. Ce serait bête de gâcher un tel nectar. Il fallait qu'il lui en restât suffisamment dans les veines pour étancher ma soif. Et celle-ci grandissait. L'humain tenta de s'exprimer, mais il n'en sortit que des mots déformés par son bâillon. Seule mon ouïe hors du commun me permit d'en comprendre le sens. Et Maîtresse vampire, par l'odeur alléchée, lui tint à peu près ce langage.
« Folle ? Oui, peut-être. Les chiens ne font pas des chats, comme on dit. Mes parents n'étaient pas très sains d'esprit, tu sais. Enfin, ma mère surtout. Elle avait des penchants douteux. Elle aimait bien saigner les jeunes vierges et accuser à tort ses rivales. La comtesse Bathory, ça te parle ? Ah, cette vieille folle…. Je me souviens l'avoir surprise une fois dans une situation compromettante avec l'une de ses proies. Je devais avoir à peine onze ans à l'époque. Il y a des images qui vous marquent toute une vie. Elle attribuait plus d'affection à ses proies qu'à sa propre fille ! T'imagine à quel point c'est déroutant pour une enfant.
Et mon père, lui… C'était un connard de première. Il a exilé mon frère aîné, Bradley, juste parce qu'il n'avait pas de pouvoir plus intéressant que celui de Frederick, mon second frère, qui avait développé une puissante télékinésie. Et il a fait de Freddy son héritier. Et moi, il ne m'a jamais considérée autrement que comme sa propriété, une fille tout juste bonne à marier à un futur chef de clan. Il a passé sa vie à pourrir la mienne.
Pour commencer, il m'a privé de mon premier amant, un serviteur très connaisseur qui comblait mon manque d'affection à la perfection… Enfin bref, quand le vioc l'a découvert, il l'a tout simplement exécuté et interdit l'accès à mes appartements à tout homme de la maisonnée. Bien sûr je ne me suis pas laissée faire. Puisque je ne pouvais pas voir d'homme, je me suis tournée vers ma dame de chambre. Et quand il l'a découvert, il m'a convoquée pour déclarer mes fiançailles avec mon frère Freddy ! Un vrai salaud. Car normalement, chez les vampires, on fiance toujours son premier né en premier. Encore une fois il insultait Brady. Et moi bien sûr, on s'en fout, hein. En plus je ne pouvais pas dire non devant toute la cour. Et il a remplacé ma dame de chambre par une femme frigide et acariâtre. Franchement j'ai rêvé toute la nuit que je décapitais mon père.
Mais je n'en suis pas restée là. J'ai œuvré dans l'ombre pour faire revenir mon frère Bradley, en manipulant Freddy. Je l'ai amadoué, séduit, puis je lui ai glissé les mots à l'oreille dans son sommeil, tous les jours, jusqu'à ce qu'il ose en parler à notre père. »
Je grimaçai.
« Ce fut un échec total. Non seulement mon père n'a pas écouté un traître mot de son argumentaire, mais il a tout de suite flairé mon intervention. Pour me punir, il a rompu nos fiançailles et m'a donné à l'héritier d'un autre clan en Angleterre. C'était en 1935 de mémoire. J'ai quitté le domaine familial le lendemain, de force, par bateau. Exilée, moi ! »
Je frappai ma proie de rage.
« En plus ces Backloy… Leur manoir est désuet, austère, ancré dans les traditions. Et c'était un piètre amant de surcroît… Je me suis fait chier comme un rat mort. Le seul moment où je me suis amusée, c'est quand mon fiancé m'a emmenée à Monaco. Là, j'ai découvert les casinos. Ah ! Le plaisir du jeu ! C'est formidable ! Presque autant que la chasse ou le sexe. J'ai vite découvert mon talent pour décrypter mes adversaires de jeu.
Au début, j'écrivais à mes parents. Je ne sais pas trop pourquoi… C'était idiot. A quoi bon me donner cette peine pour ces vieux schnoques qui ne m'ont jamais accordé un regard ? Ils n'ont jamais répondu à mes lettres et n'ont jamais pris mes appels. J'ai fini par abandonner. C'est pour ça que j'ai su très tard ce qui leur était arrivé. Assassinés par des aristocrates du clan pendant la guerre froide… Franchement, apprendre leur mort ne m'a fait ni chaud ni froid. Bon, j'ai peut-être ressenti un peu de pitié pour Freddy. J'étais presque contente, en fait. Plus de vieux pour me dicter ma conduite et me fiancer à n'importe qui ! Quelle ironie du sort quand j'y pense. Lui qui avait un puissant pouvoir de divination n'a même pas anticipé sa propre mort. »
Je rejetai ma tête en arrière pour libérer un éclat de rire extatique. Il me fallut quelques secondes pour me reprendre.
« Enfin bref. C'est mon frère Bradley qui a découvert le pot aux roses en 1974. Il a fait payer chèrement cet affront. Pas par vengeance, il en avait rien à foutre non plus des vieux. Mais par principe. On ne renverse pas la famille au pouvoir. D'ailleurs ils le paient toujours aujourd'hui. Ah, il est si créatif lorsqu'il s'agit de torturer des gens ! Presque autant que moi... Après le procès, il a rapatrié tous les vampires exilés par mon père. Et donc, moi aussi. J'ai donc pu le rencontrer pour la première fois en 1979. T'imagine un peu, rencontrer mon frère après 166 ans ! Et quel homme ! Quel charisme ! »
Je soupirai d'envie en me mordant la lèvre inférieure. Mes griffes glissèrent vers mon bassin pour marquer la chair de ma victime.
« Ce retour aux sources a sonné le glas de ma captivité. Plus de fiançailles, plus d'ordres, plus de limites ! Ou presque. Je suis devenue mannequin, avec mon corps de rêve, pour les plus grandes marques de vêtement. Et je prends un malin plaisir à les faire tourner en bourrique en tant qu'égérie de luxe. J'ai pu monter ma propre affaire de casinos, aussi. J'en possède un certain nombre aujourd'hui, sur plusieurs continents. Las Vegas, Monaco, Genève… Bon, j'ai quelques soucis avec un mafieux qui se croit tout permis. Mais rien dont je ne puisse venir à bout. Je suis Elysabeth Dwight Hodgkin, que diable !
Il n'y a qu'une seule autre personne qui me résiste. C'est Bradley. J'ai tout essayé, hein. Mais cet idiot me traite comme une gamine. Il se montre plus affectueux envers Rosalie, son infante. L'humaine qu'il a transformé si tu préfères. Au début j'étais morte de jalousie, et puis quand j'ai compris qu'elle non plus ne parvenait pas à ses fins, ça m'a calmée. Maintenant on est amies, je suppose. Quelque chose comme ça. Mais je ne peux pas m'empêcher de la garder à l'œil. Je ne voudrais pas qu'elle l'ait avant moi. Et... »
Un bruit familier m'interrompit en pleine tirade. Je tournai un oeil sombre sur l'origine de cette distraction. Enfoui au tréfond de mon sac à main Gucci, mon téléphone vibrait et sonnait comme un diable. Je me levai en toute hâte, furieuse de cette interruption, et fouillai dans mes affaires jusqu'à mettre la main dessus.
« Qu'est-ce que vous comprenez pas dans "je ne veux pas être dérangée" ?! … »
Un timbre de voix grave m'envoya chier à l'autre bout du fil. Mon visage s'éclaira aussitôt d'un sourire enjoué.
« OH… Brady c'est toi ! Fallait le dire plus tôt ! Je te manquais c'est ça ? tu avais besoin d'entendre ma voix pour te réconforter ?»
Bien sûr que non, mais bon, l'espoir fait vivre comme on dit. En vérité, il m'appelait pour une raison toute autre. Et quelle raison.
« Pardon… tu peux répéter ? … Non je ne suis pas sourde, inutile de hurler. Mais je voulais juste que tu le redises. C'est tellement jouissif ! »
Je ris aux éclats alors qu'il me raccrochait au nez. Oh grand Dieu, c'est trop bon. J'en oubliai presque ma proie du soir. Me rappelant de son existence, je posai sur lui un regard avide, dénué de toute humanité. Je reposai ensuite mon téléphone et me rapprochai lentement de lui.
« Désolée mon chou, on va devoir écourter cette petite discussion. Vois-tu, il se passe quelque chose d'exceptionnel. Mon frère a besoin de moi. Et pour rien au monde je ne manquerai l'occasion de lui montrer à quel point il ne peut pas se passer de moi. »
Comprenant que je précipitai sa fin, le psychopathe recommença à se tortiller comme un vermisseau sur les draps trempés de sueur et de sang. HA ! Comme si cette ridicule initiative pourrait t'occtroyer un sursis. Pauvre petite chose. Je te plaindrais presque, si tu n'avais pas violé autant de femmes. Quoique… non, en fait, je n'ai pas assez de compassion pour ça. Je lui sautai dessus, vive comme l'éclair, pour planter mes crocs dans la peau tendre de son cou. Je drainai en quelques secondes la totalité de son fluide vital, me procurant une nouvelle once de plaisir, avant de relâcher sa tête molle en m'essuyant la bouche.
« Mouais. J'ai connu mieux. ça, c'est parce qu'il n'a pas assez macéré dans la terreur. J'espère mon Brady que tu as réellement besoin de moi ! »
Sur cette note de fin, j'abandonnai son cadavre encore fumant pour aller me doucher. Puis je me rhabillai en vitesse, sans toutefois négliger mon apparence, et je quittai la chambre comme si de rien n'était. J'adressai un signe de tête entendu à "l'employé" chargé du ménage, qui travaillait à mon compte. Je n'allais tout de même pas nettoyer moi-même. Je regagnai ensuite la limousine qui m'attendait à l'angle de la grande avenue. Je grimpai dans la voiture le sourire aux lèvres, tandis que le véhicule m'emmenait à l'aéroport pour regagner le manoir familial.
Bradley veut que je le rejoigne d'ici la fin de la semaine. Enfin… depuis le temps que j'attends ça ! Juste le temps de préparer mes affaires et de régler quelques détails en tant qu'intendante. Et ensuite… Nakanoto me tend les bras, et je compte bien lui rendre une étreinte chaleureuse, foi d'Elysabeth Dwight Hodgkin !
« Folle ? Oui, peut-être. Les chiens ne font pas des chats, comme on dit. Mes parents n'étaient pas très sains d'esprit, tu sais. Enfin, ma mère surtout. Elle avait des penchants douteux. Elle aimait bien saigner les jeunes vierges et accuser à tort ses rivales. La comtesse Bathory, ça te parle ? Ah, cette vieille folle…. Je me souviens l'avoir surprise une fois dans une situation compromettante avec l'une de ses proies. Je devais avoir à peine onze ans à l'époque. Il y a des images qui vous marquent toute une vie. Elle attribuait plus d'affection à ses proies qu'à sa propre fille ! T'imagine à quel point c'est déroutant pour une enfant.
Et mon père, lui… C'était un connard de première. Il a exilé mon frère aîné, Bradley, juste parce qu'il n'avait pas de pouvoir plus intéressant que celui de Frederick, mon second frère, qui avait développé une puissante télékinésie. Et il a fait de Freddy son héritier. Et moi, il ne m'a jamais considérée autrement que comme sa propriété, une fille tout juste bonne à marier à un futur chef de clan. Il a passé sa vie à pourrir la mienne.
Pour commencer, il m'a privé de mon premier amant, un serviteur très connaisseur qui comblait mon manque d'affection à la perfection… Enfin bref, quand le vioc l'a découvert, il l'a tout simplement exécuté et interdit l'accès à mes appartements à tout homme de la maisonnée. Bien sûr je ne me suis pas laissée faire. Puisque je ne pouvais pas voir d'homme, je me suis tournée vers ma dame de chambre. Et quand il l'a découvert, il m'a convoquée pour déclarer mes fiançailles avec mon frère Freddy ! Un vrai salaud. Car normalement, chez les vampires, on fiance toujours son premier né en premier. Encore une fois il insultait Brady. Et moi bien sûr, on s'en fout, hein. En plus je ne pouvais pas dire non devant toute la cour. Et il a remplacé ma dame de chambre par une femme frigide et acariâtre. Franchement j'ai rêvé toute la nuit que je décapitais mon père.
Mais je n'en suis pas restée là. J'ai œuvré dans l'ombre pour faire revenir mon frère Bradley, en manipulant Freddy. Je l'ai amadoué, séduit, puis je lui ai glissé les mots à l'oreille dans son sommeil, tous les jours, jusqu'à ce qu'il ose en parler à notre père. »
Je grimaçai.
« Ce fut un échec total. Non seulement mon père n'a pas écouté un traître mot de son argumentaire, mais il a tout de suite flairé mon intervention. Pour me punir, il a rompu nos fiançailles et m'a donné à l'héritier d'un autre clan en Angleterre. C'était en 1935 de mémoire. J'ai quitté le domaine familial le lendemain, de force, par bateau. Exilée, moi ! »
Je frappai ma proie de rage.
« En plus ces Backloy… Leur manoir est désuet, austère, ancré dans les traditions. Et c'était un piètre amant de surcroît… Je me suis fait chier comme un rat mort. Le seul moment où je me suis amusée, c'est quand mon fiancé m'a emmenée à Monaco. Là, j'ai découvert les casinos. Ah ! Le plaisir du jeu ! C'est formidable ! Presque autant que la chasse ou le sexe. J'ai vite découvert mon talent pour décrypter mes adversaires de jeu.
Au début, j'écrivais à mes parents. Je ne sais pas trop pourquoi… C'était idiot. A quoi bon me donner cette peine pour ces vieux schnoques qui ne m'ont jamais accordé un regard ? Ils n'ont jamais répondu à mes lettres et n'ont jamais pris mes appels. J'ai fini par abandonner. C'est pour ça que j'ai su très tard ce qui leur était arrivé. Assassinés par des aristocrates du clan pendant la guerre froide… Franchement, apprendre leur mort ne m'a fait ni chaud ni froid. Bon, j'ai peut-être ressenti un peu de pitié pour Freddy. J'étais presque contente, en fait. Plus de vieux pour me dicter ma conduite et me fiancer à n'importe qui ! Quelle ironie du sort quand j'y pense. Lui qui avait un puissant pouvoir de divination n'a même pas anticipé sa propre mort. »
Je rejetai ma tête en arrière pour libérer un éclat de rire extatique. Il me fallut quelques secondes pour me reprendre.
« Enfin bref. C'est mon frère Bradley qui a découvert le pot aux roses en 1974. Il a fait payer chèrement cet affront. Pas par vengeance, il en avait rien à foutre non plus des vieux. Mais par principe. On ne renverse pas la famille au pouvoir. D'ailleurs ils le paient toujours aujourd'hui. Ah, il est si créatif lorsqu'il s'agit de torturer des gens ! Presque autant que moi... Après le procès, il a rapatrié tous les vampires exilés par mon père. Et donc, moi aussi. J'ai donc pu le rencontrer pour la première fois en 1979. T'imagine un peu, rencontrer mon frère après 166 ans ! Et quel homme ! Quel charisme ! »
Je soupirai d'envie en me mordant la lèvre inférieure. Mes griffes glissèrent vers mon bassin pour marquer la chair de ma victime.
« Ce retour aux sources a sonné le glas de ma captivité. Plus de fiançailles, plus d'ordres, plus de limites ! Ou presque. Je suis devenue mannequin, avec mon corps de rêve, pour les plus grandes marques de vêtement. Et je prends un malin plaisir à les faire tourner en bourrique en tant qu'égérie de luxe. J'ai pu monter ma propre affaire de casinos, aussi. J'en possède un certain nombre aujourd'hui, sur plusieurs continents. Las Vegas, Monaco, Genève… Bon, j'ai quelques soucis avec un mafieux qui se croit tout permis. Mais rien dont je ne puisse venir à bout. Je suis Elysabeth Dwight Hodgkin, que diable !
Il n'y a qu'une seule autre personne qui me résiste. C'est Bradley. J'ai tout essayé, hein. Mais cet idiot me traite comme une gamine. Il se montre plus affectueux envers Rosalie, son infante. L'humaine qu'il a transformé si tu préfères. Au début j'étais morte de jalousie, et puis quand j'ai compris qu'elle non plus ne parvenait pas à ses fins, ça m'a calmée. Maintenant on est amies, je suppose. Quelque chose comme ça. Mais je ne peux pas m'empêcher de la garder à l'œil. Je ne voudrais pas qu'elle l'ait avant moi. Et... »
Un bruit familier m'interrompit en pleine tirade. Je tournai un oeil sombre sur l'origine de cette distraction. Enfoui au tréfond de mon sac à main Gucci, mon téléphone vibrait et sonnait comme un diable. Je me levai en toute hâte, furieuse de cette interruption, et fouillai dans mes affaires jusqu'à mettre la main dessus.
« Qu'est-ce que vous comprenez pas dans "je ne veux pas être dérangée" ?! … »
Un timbre de voix grave m'envoya chier à l'autre bout du fil. Mon visage s'éclaira aussitôt d'un sourire enjoué.
« OH… Brady c'est toi ! Fallait le dire plus tôt ! Je te manquais c'est ça ? tu avais besoin d'entendre ma voix pour te réconforter ?»
Bien sûr que non, mais bon, l'espoir fait vivre comme on dit. En vérité, il m'appelait pour une raison toute autre. Et quelle raison.
« Pardon… tu peux répéter ? … Non je ne suis pas sourde, inutile de hurler. Mais je voulais juste que tu le redises. C'est tellement jouissif ! »
Je ris aux éclats alors qu'il me raccrochait au nez. Oh grand Dieu, c'est trop bon. J'en oubliai presque ma proie du soir. Me rappelant de son existence, je posai sur lui un regard avide, dénué de toute humanité. Je reposai ensuite mon téléphone et me rapprochai lentement de lui.
« Désolée mon chou, on va devoir écourter cette petite discussion. Vois-tu, il se passe quelque chose d'exceptionnel. Mon frère a besoin de moi. Et pour rien au monde je ne manquerai l'occasion de lui montrer à quel point il ne peut pas se passer de moi. »
Comprenant que je précipitai sa fin, le psychopathe recommença à se tortiller comme un vermisseau sur les draps trempés de sueur et de sang. HA ! Comme si cette ridicule initiative pourrait t'occtroyer un sursis. Pauvre petite chose. Je te plaindrais presque, si tu n'avais pas violé autant de femmes. Quoique… non, en fait, je n'ai pas assez de compassion pour ça. Je lui sautai dessus, vive comme l'éclair, pour planter mes crocs dans la peau tendre de son cou. Je drainai en quelques secondes la totalité de son fluide vital, me procurant une nouvelle once de plaisir, avant de relâcher sa tête molle en m'essuyant la bouche.
« Mouais. J'ai connu mieux. ça, c'est parce qu'il n'a pas assez macéré dans la terreur. J'espère mon Brady que tu as réellement besoin de moi ! »
Sur cette note de fin, j'abandonnai son cadavre encore fumant pour aller me doucher. Puis je me rhabillai en vitesse, sans toutefois négliger mon apparence, et je quittai la chambre comme si de rien n'était. J'adressai un signe de tête entendu à "l'employé" chargé du ménage, qui travaillait à mon compte. Je n'allais tout de même pas nettoyer moi-même. Je regagnai ensuite la limousine qui m'attendait à l'angle de la grande avenue. Je grimpai dans la voiture le sourire aux lèvres, tandis que le véhicule m'emmenait à l'aéroport pour regagner le manoir familial.
Bradley veut que je le rejoigne d'ici la fin de la semaine. Enfin… depuis le temps que j'attends ça ! Juste le temps de préparer mes affaires et de régler quelques détails en tant qu'intendante. Et ensuite… Nakanoto me tend les bras, et je compte bien lui rendre une étreinte chaleureuse, foi d'Elysabeth Dwight Hodgkin !
Et toi, mon enfant ?
« La big boss »
Je suis... ᚕ Pseudo : Etilya, Raphy, Raphy-ki ᚕ Age : 28 ans ᚕ Disponibilités : le soir en semaine et le week-end ᚕ Prédéfini ? oui ᚕ Double compte ? Raph, Mia, Shinji, Farah, Aaren, Raiden, Mike (ça en fait du peuple) ᚕ Comment t'es arrivé(e) ? ᚕ Tu penses quoi du forum ? ᚕ Code du règlement : |
Etilya sur DK RPG
Alessio O. Di Altiero#106418#106418#106418#106418#106418#106418#106418
Vampire Level A - Chef du clan di Altiero
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Avatar : Prince Dragon Phoenix de My Mystic Dragons
Date d'inscription : 12/03/2014
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Emploi/loisirs : Chef Di Altiero, Vulcanologue et Historien d'Art
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Dim 19 Sep 2021 - 0:29
Chère amie, vous êtes la bienvenue parmi nous !
J'ai hâte de pouvoir partager un RP ^^
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Invité
Invité
Lun 20 Sep 2021 - 12:40
Qu'il est plaisant de pouvoir compter sur sa chère soeur ! Bienvenue à toi dans la cour des grands ! Il est temps de faire couler le sang !
Invité
Invité
Mar 21 Sep 2021 - 20:30
Validation
« By John »
Bienvenue officiellement parmi nous !
Salutation à toi nouveau venu et bienvenu dans le cercle !
Te voilà validé(e), enfin ! Félicitations ! Maintenant que tu fais partie intégrante de la famille, tu vas pouvoir profiter pleinement du forum et de toutes les merveilles (ou dangers fufu) qui sillonnent Nakanoto.
Mais, ne t'inquiète pas ! Tu ne seras pas seul(e) dans cette aventure. Voici notre petit guide rien que pour toi (même si c'est toi qui l'a écrit
Enjoy !
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→ Recenser son avatar Cette étape est obligatoire. ~Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à solliciter le staff (même si tu en es la leader).
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