Metuselah Shidara#92477#92477#92477#92477#92477#92477
Vampire Level A - Chef du clan Shidara
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Dim 14 Sep 2014 - 18:21
Avec un sourire amusé aux lèvres, Metuselah pousa la porte d'un bar dont il avait entendu parlé. Oui, oui, un bar, antre de perdition! il était rare de le voir vagabonder dans ses endroits-là, et encore plus rare de le voir s'introduire en ces lieux manquant singulièrement de style. Même pas suffisamment de sang bleu pour se remplir la panse. Un endroit inutile, de cela le rang A l'avait toujours considéré ainsi, remplit de créatures de rangs inférieurs ou de microbes dont la seule existence néfastes n'avaient d'autre choix que de choisir comment ils allaient disparaître. Et encore, cela, c'était quand la zone se montrait gentil avec ses habitants. Un trou à merde, rempli de rat, avec pour seul coté agréable certains bar apparemment contrebalançant les autres; L'équilibre, en somme. Mais c'était un lieu communément fréquenté par les vampires, ainsi que les lycans, et rien que cette coexistence le faisait vomir -ou presque-. depuis quand le lion s'associe-t-il avec le cafard? en tout cas, cela en amusait beaucoup? Il avait même entendu dire que les toutous et le nobles de certaines familles commençaient à s'apprécier... Bêrk! quand il en avait entendu parler, il n'avait même pas dissimuler sa répugnance. Juste retenu son cri d'indignation.
Et de fait, sans une très bonne raison, rien, je dit bien RIEN hormis sa famille, ne l'aurait forcé à mettre les pieds dans ce trou à rat.
Hors, c'était bien de cela dont il s'agissait. De la famille. Ou, plus précisément, de ce qu'il en restait. Apparemment, l'un de ses enfants s'étaient amusé avec une femme il y avait longtemps, et cela avait donné naissance avec une fille dont il se moquait jusqu'à la dernière chaussette. Bon, Metuselah n'était pas d'accord. De un parce que c'était une fille, donc potentiellement un vagin à combler, par sa présence si nécessaire, afin de pérégriner le sang et accessoirement de satisfaire des envies passagères. De deux parce que c'était sans nul doute une futur femme à marié pour relations intéressantes. Et enfin, elle avait son sang indirectement. Bon, dilué et dégueulassé par les pulsions et désirs malsains de son fils, certes, mais des milligrammes tout de même. Et un fragment de son essence.
Les cheveux longs cachés dans son grand manteau noir, le vampire passa la porte du bar ou la demoiselle était sensé se trouver selon les informations qu'il avait reçu, et dont il ignorait jusqu'au nom de famille. le prénom lui avait au moins été donné par la mère elle-même, qu'il avait... disons.. sauvé pendant un temps.
Son fils avait voulu la faire sienne, Metuselah l'avait broyé pour en faire son esclave (et violée au passage, une aussi belle fleur) pour l'"offrir" à son fils. celui-ci avait finit par l'abattre de dégout. Ah la la, les jeunes...
cependant, à peine eut-il passé le seuil de la porte qu'il s'arrêta, la voix d'une sirène vibrant à ses oreilles. les consonances étaient un plaisir, et la voix en elle-même, un délice, attirant son regard vers la chanteuse. une magnifique jeune femme qui semblait même y prendre plaisir. Trop belle pour son bien sans doute... en demandant une consommation au barman, il s'enquit du nom de la chanteuse, ce qui, au passage, confirma ses suppositions. il s'agissait bien de celle qu'il cherchait.La regardant un instant, il n'appliqua un fragment de son charisme sur elle que quand elle eut finit de chanter, tranquillement assit. Pas l'imposant, non, pas l'intimidant. Non, un charisme de velours, se posant délicatement sur elle, la caressant, l'invitant, sans un son, sans un bruit, à venir le rejoindre... le sang-pur attendit patiemment, demandant au passage ce que la demoiselle préférait. Au rire à venir, son regard sanglant empala à la naissance l'hilarité. Et sa voix, ce ne fut que quand la demoiselle fut suffisamment proche pour entendre qu'il murmura, sachant pertinemment que son ouïe le percevrait dans le brouahaha...
Vous en remontreriez aux Muses, damoiselle Shidara. compliments...
Et de fait, sans une très bonne raison, rien, je dit bien RIEN hormis sa famille, ne l'aurait forcé à mettre les pieds dans ce trou à rat.
Hors, c'était bien de cela dont il s'agissait. De la famille. Ou, plus précisément, de ce qu'il en restait. Apparemment, l'un de ses enfants s'étaient amusé avec une femme il y avait longtemps, et cela avait donné naissance avec une fille dont il se moquait jusqu'à la dernière chaussette. Bon, Metuselah n'était pas d'accord. De un parce que c'était une fille, donc potentiellement un vagin à combler, par sa présence si nécessaire, afin de pérégriner le sang et accessoirement de satisfaire des envies passagères. De deux parce que c'était sans nul doute une futur femme à marié pour relations intéressantes. Et enfin, elle avait son sang indirectement. Bon, dilué et dégueulassé par les pulsions et désirs malsains de son fils, certes, mais des milligrammes tout de même. Et un fragment de son essence.
Les cheveux longs cachés dans son grand manteau noir, le vampire passa la porte du bar ou la demoiselle était sensé se trouver selon les informations qu'il avait reçu, et dont il ignorait jusqu'au nom de famille. le prénom lui avait au moins été donné par la mère elle-même, qu'il avait... disons.. sauvé pendant un temps.
Son fils avait voulu la faire sienne, Metuselah l'avait broyé pour en faire son esclave (et violée au passage, une aussi belle fleur) pour l'"offrir" à son fils. celui-ci avait finit par l'abattre de dégout. Ah la la, les jeunes...
cependant, à peine eut-il passé le seuil de la porte qu'il s'arrêta, la voix d'une sirène vibrant à ses oreilles. les consonances étaient un plaisir, et la voix en elle-même, un délice, attirant son regard vers la chanteuse. une magnifique jeune femme qui semblait même y prendre plaisir. Trop belle pour son bien sans doute... en demandant une consommation au barman, il s'enquit du nom de la chanteuse, ce qui, au passage, confirma ses suppositions. il s'agissait bien de celle qu'il cherchait.La regardant un instant, il n'appliqua un fragment de son charisme sur elle que quand elle eut finit de chanter, tranquillement assit. Pas l'imposant, non, pas l'intimidant. Non, un charisme de velours, se posant délicatement sur elle, la caressant, l'invitant, sans un son, sans un bruit, à venir le rejoindre... le sang-pur attendit patiemment, demandant au passage ce que la demoiselle préférait. Au rire à venir, son regard sanglant empala à la naissance l'hilarité. Et sa voix, ce ne fut que quand la demoiselle fut suffisamment proche pour entendre qu'il murmura, sachant pertinemment que son ouïe le percevrait dans le brouahaha...
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Mer 29 Oct 2014 - 9:22
Rencontre familiale
L'honneur de la famille. C'est ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie.
Aujourd'hui, comme tout les jours, je me lève et je circule doucement dans ma grande maison. J'ai tellement l'habitude d'y circuler que je peux le faire sans encombre, sans même me prendre les pieds dans les objets se trouvant là. Être aveugle, vivre de cette façon n'est pas donner à tout le monde et de plus vivre ainsi n'est pas géniale, mais je n'ai pas vraiment d'autre choix de vivre avec cet handicap et c'est ainsi que j'ai du tout simplement apprendre à vivre de la sorte.
Encore une fois Louisa n'est pas loin, je sens son parfum volé dans l'air. C'est un avantage d'avoir l'odorat si affûter surtout quand on a perdu le sens de la vue, vous ne trouvez pas ? Je crois que c'est comme ça pour celui qui perde un sens, les autres se solidifient.
Je suis un vampire et comme tous les vampires malheureusement, j'ai besoin de sang pour survivre. Je devrais plutôt dire pour vivre, enfin continué à vivre. La vie est parfois si cruelle avec vous. Mais, j'ai tout de même un petit avantage comparé à certains de mon espèce, un don, un pouvoir. Je pense que cela est certainement dû au faite que je sois née level B et d'appartenir à une famille aristocrate. C'est tout ce qui me reste en somme, mon héritage. Je n'ai jamais su si ma mère possédait le même pouvoir que moi et je pense malheureusement que je ne le saurais jamais.
Depuis, que j'ai découvert ce don, je peux enfin me nourrir sans plus ou moins faire de mal à qui conte. Je dois dire que je souffre en silence, rien qu'a l'idée de savoir que je pourrais causer du mal à une personne. Bien entendu, depuis pas mal de temps, je me garde bien de le dire, de le montrer et encore moins de laisser paraître ce que je ressens devant les gens. J'ai trouvé une arme, c'est une sorte de carapace pour ne pas souffrir. Je devrais plutôt dire pour que personne ne puisse me faire souffrir d'avantage. Alors, je cache tout ce que je ressens et du coup, je suis souvent sur la défensif et craintif. Pour ma part du coup, c'est plus facile de côtoyer le monde. Les autres disent que je crains le monde. Que je suis parfois méchante en parole, ce qui en réalité n'est pas le cas, mais si je vous blèse sans le vouloir, ne m'en voulez pas, je n'ai trouvé que cette façon pour ne plus devoir souffrir. Même si ce n'est pas toujours vrai.
Je sors alors de mes pensées et je sens un sourire naître sur mon visage, la voix d'Elena se fait entendre, elle me demande si tout va bien. Pour la rassurer, je hausse doucement la tête, je souris toujours, le son de sa voix me fait comprendre qu'elle se fait encore du souci pour moi. J'ai senti l'odeur du médecin. Mon ami, le docteur comme j'aime l'appeler. Il est passé, il y a pas longtemps, je suis un peu triste qu'il ne soit pas resté. J'aurais aimé déjeuner en sa compagnie, mais bon, je dois supposer qu'il a dû avoir une urgence. J'avance doucement vers la salle de bains, ou son déposé comme le fait souvent Elena ou mon ami les vêtements que je porterais aujourd'hui. Je me demande parfois, qu'est-ce que je ferais sans eux, je crois même que je porterais n'importe quoi si je ne les avais pas. Dans un sens, cela me serait égal de porter n'importe quoi, mais hélas avec un métier comme le mien, je ne peux pas me le permettre. La classe et la beauté, y sont malheureusement lier. La classe est associée les vêtements que je porte, la beauté, je ne peux hélas pas vous répondre. Je ne peux même pas vous dire si je suis belle ? Quoique, je m'en fiche un peu de la beauté extérieur, je préféré largement celle du cœur.
Je peux enfin sortir de la salle de bains, j'ai pris une bonne douche, je me suis habillé comme une grande fille, avec le temps, on apprend à se débrouiller un peu seul. Enfin, pour certaines choses du moins. Ne pas voir, ne me permet pas toujours de pouvoir tout faire, mais au moins je peux compter sur Elena.
L'horloge vient de sonner, il est donc l'heure pour moi d'aller travailler. J'enfile mon manteau, prends ma canne, même si je préférais ne pas m'en servir. Mais, cet objet est celui qui me permet de me déplacer sans l'aide de quelqu'un. Quelque chose qui est devenu très utile avec le temps. Elena, viendra me joindre un peu plus tard. Pour ma part, je n'ai pas le droit de faire attendre mon public.
Je descends d'un pas léger la rue qui me conduit un peu plus loin au bar où je travaille toutes les nuits. Heureusement, que je fais quelque chose qui me plais et en même temps me permet de me nourrir. Enfin, pas vraiment, je ne sais pas encore utiliser correctement mon pouvoir, je donnerais n'importe quoi pour pouvoir l'utiliser quand bon me semble et pas à tout bout chant, j'ai l'impression pour le moment de ne pas être maître de mon don et c'est bien dommage.
Pendant que je marche vers mon lieu de travail, je me demande qu'elle surprise, ce fichu pouvoir va encore me donner.
Comprenez bien qu'a chaque fois, j'étais consterné quand je terminais de chanter et que je me retrouvais entouré d'inconnus, dont la plupart d'entre eux étaient des hommes. Certains mêmes sont devenus mes victimes au fil du temps, enfin ma source de nourriture, si je peux appeler cela comme ça. Je n'aime pas trop utiliser ce terme même si c'est en partie, c'est la vérité. Quand je les entends autour de moi et que je me rappelle de leur voix, inconsciemment, je me sens soulager de n'entendre aucune crainte, ni trace de souvenir dans leur voix de ce que j'ai pu leur faire subir. C'est aussi un soulagement, de savoir qu'ils sont encore en vie et qu'ils vont bien, enfin, je l'espère. Parce que malheureusement, je ne peux pas le voir.
J'arrive enfin à destination, en poussant la porte pour entrer dans le bar ce soir, j'ai mon cœur qui bat la chamade comme à chaque fois. J'entends déjà, le vais et viens des serveuses. Je sens les regards sur moi, lorsque je passe la porte, je ne vois peut-être pas, mais je peux percevoir les mouvements, si petits sont-ils. C'est curieux, mais cela me dérange. Ce n'est pas parce que je ne vois pas qu'ils peuvent se permettent de me regarder de la sorte, j'image leur regard ébahis à mon entrée, enfin ce n'est que supposition. Mais, simplement le fait d'attendre de la surprise ou leurs messes basses dont je me passerais bien de vous répéter. Cette hypothèse est fondée d'une certaine façon.
Il est temps pour moi de me diriger vers le vestiaire, même si je n'en ai pas vraiment besoin. C'est une simple habitude que j'ai prise. Je pense que c'est pour éviter de croiser trop de monde. Je me prépare, bon pas comme tout le monde le fait, parce, je suis déjà prête. Disons, que je suis déjà habillé, me maquiller ne servirais à rien. Puisque je ne peux pas voir. Je me souviens encore des paroles d'Elena "Tu n'as pas besoin de te faire belle, encore moins de maquillage. Parce que la beauté est naturelle chez toi." Un sourire se niche aux creux de mes lèvres en me souvenant de ça. Mais, je dois me concentrer avant de monter sur scène.
Malgré le fait que j'ai l'habitude, j'ai tout de même le trac. Je pense que toutes personnes qui passent par là ressent cela. Je monte doucement les marches qui me conduisent sur scène. Je laisse mes pas me guider jusqu'à mon micro. J'attends les voix se taire doucement et je ressens une sorte de vent, le vide se fait alors dans la salle, seule la respiration se fait entendre. Le rideau vient de s'ouvrir. Encore et toujours, cette impression que tous les regards se posent sur moi. Dans un sens, c'est normal, puisque je suppose que c'est moi qu'ils sont venus entendre chanter. Je ferme les yeux, je me concentre encore une fois et j'ouvre la bouche pour laisser enfin s'exprimer ma chanson.
Quand je chante, je ne fais plus attention à rien. Cela me détend et je me sens si bien. Je sais au fond de moi, ce qui se passera une fois ma chanson finie. J'aimerais tellement que pour une fois tout soit différent.
Je sens venir la fin de ma mélodie, ma voix se tait pour laisser aux applaudissements. Je peux enfin descendre de scène et me préparer à ce qui vient après.
Alors que je m'attendais à être assiégé par des fans, je suis surprise que rien ne viens à l'horizon. Non, cette fois-ci, c'est moi qui ne suis pas dans mon assiette. Je me sens toute étrange comme-ci pour une fois, c'est moi qui étais hypnotisé. Je n'arrive même pas à contrôler mes pas qui me conduise, je ne sais pas où. Je me laisse tout simplement guider, comme si je n'étais plus maître de mon corps. Inconsciemment, je souris, je me dis que pour une fois c'est moi qui suis hypnotisé.
Je me dirige vers le bar, attirer vers celui-ci comme une invitation muette. Alors que je sens une présence, j'entends dans un murmure :
"Vous en remontreriez aux Muses, damoiselle Shidara. compliments..."
Je stoppe d'un seul coup, comme paralyser. Ce nom est celui de mon père, celui qui a tué ma mère. Celui qui a t'en faire souffrir ma mère. Je ne sais pas qui il est ? Mais, surement un membre de la famille ou pire ? Mon père ? Je souhaite de tout cœur que ce ne soit pas lui. Je me demande bien ce qu'il me veut. Je m'avance doucement en titubant. M'appuyant contre le bord du bar pour ne pas tomber. Peux importe qui il est, je ne le laisserais pas me faire de mal.
" Merci beaucoup, mais qui êtes-vous ? Comment connaissiez-vous cette partie de ma vie ? " C'est sur la défensive que je m'adresse à cet inconnu. Je n'ai plus que cette arme pour me défendre et puis je peux compter sur le barman pour me défendre s'il m'arrivait quelque chose dans le bar.
Je dois avouer que je m'en veux de l'avoir parlé de la sorte, mais depuis pas mal de temps, je suis toujours sur mes gardes. Toujours à être sur la défensive. Pourtant, quelque chose me dit que ce n'est pas prés de finir cette histoire.
Metuselah Shidara#92629#92629#92629#92629#92629#92629
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Dim 2 Nov 2014 - 18:22
Un fin sourire apparut sur les lèvres du sang noble. Il ne s'inquiétait pas pour sa petite fille, qui avait réagit à peu prêt comme il s'y attendait, avec même quelques bonus: si il n'avait aucun doute quand à sa réaction de surprise, l'odeur de peur, lui, n'était ni attendut ni désiré. Mais cela en devenait même ennuyant, à cause de l'environnement: la voir se tenir ainsi contre le bar attirait l'attention du gérant, qui, auparavant subjugué par sa voix et par son corps, était à présent terrifié par le duo intimidant formé la la famille.
une sorte d'aura entourait les vampires. beauté, force, intelligence... au final, le sang-pur ne put s'empêcher de penser que le handicape de la jeune femme, son aveuglement, la dôtait d'un charme étrange. une sorte de... faiblesse? qui provoquait inconsciemment le désir de la protéger. Et, effectivement, si elle accomplissait son devoir, le Chef devrait veiller sur elle. Les autres membres de la famille en profiteraient sinon, à commencer par le paternel...
celui-là alors. un vrai problème.
Se levant momentanément, il prit un tabouret pour le mettre prêt de la jeune femme, et s'empara de la main de cette dernière avec douceur pour la guider afin qu'elle s'asseoit. Elle pourrait se dégager qu'il ne s'en souciait guère, mais la politesse et la galanterie demeurait une chose qui pouvait être accomplis sans trop d'arrières pensées. Après tout, comme le disait Metuselah, ce n'est pas parce qu'on viole, émascule et étripe que l'on doit se passer des bonnes manières. Cruel, peut-être, mais avec classe, s'il vous plait.
Assied-toi donc... nous avons beaucoup de chose à nous dire. Et détend-toi un peu, je ne vais pas te mordre, aussi croquante sois-tu.
A la suite de quoi, il revint s'asseoir, et tendit vers elle la boisson précédemment commandé, avant de boire dans son propre verre. Il attendit un instant, avant de finalement reprendre la parole, s'adressant vers la jeune femme tout en faisant attention du coin de l'oeil à ce que tous ne puisse pas suivre cette conversation... ou noter ceux qui, se montrant un peu trop curieux, ne passeront pas le lendemain. Le tutoiement était venu le plus naturellement possible, et il put entreprendre, une fois l'attention de la jeune femme à 100% pour sa noble personne, de lui expliquer ce qu'il en était.
N'est-il pas normal pour celui qui dirige de connaître ses proches? Je suis ton grand-père, Aleandra. Metuselah Shidara est mon nom... et Aleandra Shidara est le tien.
Je suis venu en ce lieu afin de te voir. J'ai conscience que tu as du souffrir d'avoir perdu ta mère, mais...
La, le rang A grimaça légèrement. le terme qu'il s'apprétait à employer allait lui déchirer la gorge. Il espérait juste ne pas essuyer de refus. Autrement, comment dire...
Autrement le désappointement serait de taille conséquente.
mais je te... demande... de prendre la place qui t'attends chez les tiens.
cela peut sembler brut, mais tu peux y réfléchir si tu en as besoin. Et je suis à ton écoute si tu as des besoins ou des questions.
Tu es une perle rare. Aussi belle que ta mère, tu as aussi sa bienveillance. De ton père tu as cette passion qui guide ta chanson... Ce qui est un défaut chez lui est un talent qui te renforce.
je t'ai laissée grandir, te nourrir d'expérience et découvrir la vie. je t'ai laissée évoluer par toi-même. A présent...
Il finit en posant sa main sur celle de la jeune femme, comme une sorte d'encouragement.
A présent, je veux voir la suite par moi-même. Et apprendre à te connaître, toi qui a grandit hors des murs de notre famille.
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Mer 12 Nov 2014 - 18:48
Rencontre familiale
L'honneur de la famille. C'est ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie.
Alors que je prends appui contre le bar pour ne pas m'évanouir suite au murmure de l'homme qui se tiens prés de moi. Je sens l'agitement du barman. Je sais déjà qu'au moindre faux pas venant de cet homme, il prendra ma défense. Une fois que j'ai pu trouver le courage pour remercier l'homme et lui lancer les paroles qui brulent mes lèvres, je murmure au barman de pas s'en mêler et que tout ira bien.
Je ne tiens pas à attirer encore plus les regards, surtout qu'ils sont déjà persistants. Je les sens sur moi, j'aimerais tellement que ces gens arrêtent de m'ausculter de la sorte, c'est énervant. J'ai l'impression qu'ils me déshabiller. Cet étrange n'est-ce pas ? Vous vous demandez sans doute comment je vais pour le savoir ? Et bien ce n'est pas bien compliquer. Je n'ai pas besoin de mes yeux pour le deviner parce, je peux tout simplement percevoir leur mouvement.
Ce n'est pas génial, j'aimerais parfois leur dire d'arrêter, mais pour le moment, il faut que je calme les affolements de mon cœur. Je dois dire, que je savais qu'un jour ou l'autre, mon père reviendra me chercher, mais jamais, je n'aurais cru que cela arrive après si longtemps, avec le temps, j'avais cru qu'on m'avait oublié et que je pouvais vivre sans cette peur. Je me rends compte que je me suis largement trompé. Maintenant, il me reste plus qu'a savoir ce que cet inconnu me veut.
Pendant que je cherche un moment, de trouver quelque chose pour m'asseoir, je sens qu'il s'approche de moi. Paralyser par la peur, je ne bouge pas. Je perçois le mouvement d'un tabouret. Puis, c'est une main qui vient prendre la mienne. Je suis surprise par ce geste, je ne sais trop comment réagir en somme. Disons qu'un geste si familier, c'est rare que cela m'arrive. La seule fois où j'ai eu droit à ce geste, c'était quand ma mère était encore en vie. Après, je n'avais plus jamais accordé à qui compte de se permettre un tel acte en vers ma personne. Les seuls gestes que je pouvais encore autoriser, c'était de me prendre par le bras pour me guider afin que je puisse rentrer chez moi. Il fallait aussi avouer qu'ils en payaient de leur personne pour m'avoir aider. Puisque je me nourrissais de leur sang après cela. Ce n'était pas gentil, mais j'en avais besoin pour survivre.
Je me laisse faire, il me conduit vers le tabouret. Sans rien rajouté de plus, je m'assois. J'ai l'impression de réagir comme une marionnette, mais pour le moment, je n'ai pas encore la force de faire quoique ce soit.
Je suppose qu'il a dû retourner s'asseoir. Puisqu'il me dit :
"Assied-toi donc... nous avons beaucoup de chose à nous dire. Et détend-toi un peu, je ne vais pas te mordre, aussi croquante sois-tu."
Je m'installe alors convenablement, je sais maintenant que je vais pouvoir enfin réagir s'il tente quelque chose. Je dois dire que ces paroles si drôles soit-elles ne m'aident pas vraiment à contrôler cette crainte qui habite désormais mon corps. Comme d'habitude, j'essaye d'agir comme si je n'avais pas sentiments, c'est ma carapace, ce qui me protège du mal de l'extérieur et pour le moment, ce n'est pas lui qui me fera baisser ma garde.
C'est là qu'il me tend ensuite la boisson que j'ai commende. Toujours comme un pantin, je prends le verre et je me permets de tremper mes lèvres dans le liquide froid. J'espère que cette boisson m'apaisera au moins un peu. Mais, c'était sans conter sur ce qu'il allait rajouter :
N'est-il pas normal pour celui qui dirige de connaître ses proches? Je suis ton grand-père, Aleandra. Metuselah Shidara est mon nom... et Aleandra Shidara est le tien.Je suis venu en ce lieu afin de te voir. J'ai conscience que tu as du souffrir d'avoir perdu ta mère, mais...
Alors, là je suis complétement ébahie par ses paroles que j'ai presque failli m'étrangler avec ma boisson. J'aimerais intervenir pour lui crier ce que je ressens, mais je suis comme paralysé. Je n'arrive pas à articuler quoique ce soit. Du coup, pour le moment, je n'ai pas vraiment d'autre choix que de le laisser continuer sur sa lancée.
mais je te... demande... de prendre la place qui t'attends chez les tiens. Cela peut sembler brut, mais tu peux y réfléchir si tu en as besoin. Et je suis à ton écoute si tu as des besoins ou des questions.Tu es une perle rare. Aussi belle que ta mère, tu as aussi sa bienveillance. De ton père tu as cette passion qui guide ta chanson... Ce qui est un défaut chez lui est un talent qui te renforce.
je t'ai laissée grandir, te nourrir d'expérience et découvrir la vie. je t'ai laissée évoluer par toi-même. A présent...
Et il termine ses paroles tout en posant sa main sur la mienne, comme s'il voulait m'encourager avant de rajouter.
A présent, je veux voir la suite par moi-même. Et apprendre à te connaître, toi qui a grandit hors des murs de notre famille.
Sans est trop, je suis scotché sur ma chaise, mes yeux doivent certainement lancer des éclairs. Je ne suis pas vraiment en colère contre lui, non, c'est à mon géniteur que j'en veux. Je ne sais pas comment réagir, si je laisse parler mon cœur, je n'aurai plus de protection. Pourtant, une partie de moi me dit de laisser découvrir ce que je suis. À l'entendre, il a connu ma mère, exactement comme Elena la décrivais. Cette femme bienfaitrice que je suis sous mon masque. Une autre partie, me crie méfiance. Je vais donc commencer par me méfier et peut-être que doucement, si je peux lui faire confiance, je baisserai ma garde peu à peu. Maintenant me reste plus qu'à découvrir si je peux lui faire confiance ou pas.
J'essaye de calmer les affolements de mon cœur, je dois à tout prix éviter de lui hurler dessus. Il faut que je lui parle calmement, sur la défensif, mais pas trop être brusque, je lui dois au moins le respect d'être mon grand-père.
Je me retourne vers lui, curieusement, je n'ai pas retiré ma main de la sienne. Je viens seulement de m'en rendre compte, trop tard pour que je la retire. Soit, un petit peut de gentillesse ne peut pas me faire de mal. Enfin, je l'espère de tout cœur.
Prenant donc mon courage à deux mains, je lui réponds avec de l'amertume dans la voix. J'aurais aimé, le dissimuler, mais je n'arrive pas à tout contrôler.
" Je ne sais pas. Je ne sais même pas comment, je dois vous appeler et en plus, je ne sais même pas si je peux vous faire confiance ? Qu'est qui me dit que ce n'est pas un piège ? Que vous êtes juste venu pour me faire du mal où je ne sais quoi ? Vous voulez peut-être m'obliger à me marier ou pire me tuer ? Si vous voulez que j'accepte, je dois pouvoir vous faire confiance et j'aimerais si c'est possible avoir des garanties."
J'avais terminé ma phrase un peu plus calmement. Je ne pouvais plus rien rajouter, j'étais sur le bord de fondre en larmes, mais je devais tenir bon. Ma main tremblait dans la sienne trahissant certainement ma faiblesse et ma gentillesse.
Metuselah Shidara#92685#92685#92685#92685#92685#92685
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Jeu 13 Nov 2014 - 23:26
Comme Metuselah s'y attendait, sa petite fille recevait beaucoup trop d'information pour elle, et peinait à décortiquer le tout. Bien évidemment, sans compter les fabuleuses capacités cérébrales de la jeune femme, tout à fait apte à recevoir les informations délivrés par le vampire et à y répondre. Mais elle mit un certains temps à accomplir ce dernier fait, et ce en omettant quelque chose qui ne passa point inaperçu aux yeux du jeune homme: elle n'avait pas retiré sa main de la sienne, ce qui signifiait qu'elle ne refusait pas pour autant sa proposition.
Une bonne chose, se dit le vampire. Avec un refus immédiat en terme de contact corporel, la tâche aurait été des plus hardus. Le fait que cela continue signifiait qu'elle restait ouverte, ce qui était un sacré avantage. Surtout qu'elle semblait avoir du mal à répondre. D'ailleurs, le sang pur la contempla durant tout le temps qu'elle mit à répondre, l'étudiant. Il n'y avait pas d'autre terme: il l'observait sous toutes les coutures, que ce soit juste la goutte de sueur au coin du front ou la petite veine au niveau du cou, signe de la tension que ressentait la demoiselle.
le fait d'avoir dévoiler son identité semblait l'avoir mise en garde, et quand elle parla, le ton à laquelle elle s'adressa à son grand-père éclaira un peu ce dernier quand au ressentis de la jeune femme. Oh, il est vrai qu'avec ses paroles, révélatrices, en elles-même, de ses pensées, le sang-pur pouvait se faire une idée réellement complête des pensées de la demoiselle.
Avec un sourire serein, Metuselah laissa un temps mariner la jeune femme. déja, pour voir si elle avait une chose à rajouter, et de l'autre, car il réfléchissait à comment répondre au mieux à sa question. sa réponse résonna cependant avec un amusement certains dans la voix.
Que de question, que de question... par où commencer?
Buvant une gorgée avant de se polir les paumes, sa réponse fut cependant rapide, ne désirant pas, non plus, faire mijoter sa petite fille.... même si la tentation de la faire patienter encore un temps était grande, tout dans son stress et son appréhension.
Commençons par le début... appelle-moi grand-père, ou papy si tu préfères. Ou une appellation honoraire au vu de mon titre de chef de famille, les trois passeront en privée -évite juste que m'appeler papy en soirée cela serait agréable-
Un petit rire salua cette plaisanterie auto-faite, avant de poursuivre vers un domaine plus... piquant.
Pour la confiance, hey bien...c'est à toi de voir si tu désires me l'accorder ou pas. je vais mettre les choses aux clair: en tant que chef de famille, j'attend des membres une loyauté exemplaire. Et une obéissance parfaite, ayant malheureusement rarement le premier point...
Je vais être franc: si je t'ordonne de te marier, tu devras t'exécuter. Mais ce n'est pas dans l'ordre du jour, et je tiens à conserver autant que possible les membres de ma famille. Quand à te faire de mal... ma foi, je ne crois guère en tirer un quelconque bénéfice.
En revanche, je dois t'avouer ne pas savoir quel type de garantie je pourrais te donner... mais je suis tout ouïe. Et, à dire vrai, quand on a quelque chose à me dire ou me demander, je préfère que cela soit fait plutôt que regarder mon dos avec la tentation -malheureusement trop commune- de planter un poignard dedans.
Cela ne sera point rose, c'est certains. Toutefois, et bien que ma famille ne soit pas trop pour ta présence, je préfère te savoir parmi nous que dans la nature... Et si je me souciais de l'opinion familiale, voila longtemps que je serais mort de toute manière...
De fait, la seule garantie que je pourrais te donner serait mon appréciation. Quand au degré de celle-ci, cela t'appartiens...
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Mer 19 Nov 2014 - 9:54
Rencontre familiale
L'honneur de la famille. C'est ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie.
J'attendais une réponse à ma question et il paraissait mettre du temps pour y répondre. Est-ce pour me dérouter ? Si c'était réellement son intention, il l'avait réussi. J'étais chamboulé par toutes les autres questions qui s'apparaissaient dans mon esprit et le faite qu'il mit du temps à répondre, ne m'aidai pas du tout. J'étais perturbé par tout cela. Prendre ou ne prendre ma place dans cette famille ? Cette question me torturait la tête. Il fallait peut-être poser le pour ou le contre. J'y ferais certainement plus clair.
Sortant de mes pensées, portant mes lèvres à mon verre pour y boire une gorgée, peut-être qu'elle m'aiderait à rafraichir ma tête.
C'est à ce moment-là qu'il décida de répondre et il mettait du temps. Je l'écoutais sans l'interrompre, figeai dans un monde d'ombre. Je pouvais seulement imaginer ce qu'il fessait, ou deviner certains de ses gestes, mais pas plus.
Parfois, j'aimerais voir. Me rendre compte de la beauté du monde. Au fond de moi, je sais que cela ne pourra jamais se réaliser. Jamais, je ne pourrais revoir ; je dois vivre de cette façon. Alors, j'essaye de mettre des couleurs sur ce qui m'entourent, des odeurs ; mes sentiments pour pouvoir savoir à quoi tout cela pourrait bien ressembler.
J'entendis même son rire pour plaisantes certainement avant de continuer ;
Pour la confiance, hey bien...C'est à toi de voir si tu désires me l'accorder ou pas. Je vais mettre les choses aux clair: en tant que chef de famille, j'attends des membres une loyauté exemplaire. Et une obéissance parfaite, ayant malheureusement rarement le premier point...
Je vais être franc : si je t'ordonne de te marier, tu devras t'exécuter. Mais ce n'est pas dans l'ordre du jour, et je tiens à conserver autant que possible les membres de ma famille. Quant à te faire de mal... Ma foi, je ne crois guère en tirer un quelconque bénéfice.
En revanche, je dois t'avouer ne pas savoir quel type de garantie je pourrais te donner...C'est à toi de voir si tu désires me l'accorder ou pas. Et, à dire vrai, quand on a quelque chose à me dire ou me demander, je préfère que cela soit fait plutôt que regarder mon dos avec la tentation -malheureusement trop commune de planter un poignard dedans.
Cela ne sera point rose, c'est certain. Toutefois, et bien que ma famille ne soit pas trop pour ta présence, je préfère te savoir parmi nous que dans la nature... Et si je me souciais de l'opinion familiale, voilà longtemps que je serais mort de toute manière...
De fait, la seule garantie que je pourrais te donner serait mon appréciation. Quant au degré de celle-ci, cela t'appartient...
Au moins, j'étais au courant de ce qu'il attendrait de moi. Le fait d'entendre le mot "Mariage" et "Ordonne" ne me plaisait pas vraiment. Être obéissante, je ne sais pas non plus si j'arrivais. J'avais tellement pris l'habitude d'être libre que j'hésitai encore sur ma décision. Mon cœur balançait entre l'envie de le suivre et celui de refuser.
J'avais en somme une seule chose à faire, lui faire confiance. Je devais en savoir d'avantage sur lui pour pouvoir faire mon choix correctement. Au moins, je devais avouer qu'il avait été honnête. Du coup, pour la confiance s'était bien partis.
Je sentis un léger sourire naître sur mes lèvres, sa main était toujours dans la mienne. Je me décidai de la retirer sans geste brusque. Me retournant vers lui et prit enfin la parole.
" " Merci de cette honnête. Pourtant, malgré tout cela, je n'arrive pas à me décider sur ce que je voudrais faire. Je fais moi aussi être honnête avec toi, j'hésite entre te suivre ou rester. Pour être sur de pouvoir faire le bon choix. J'aimerais te demander quelque chose et sincèrement, j'aimerais que tu ne le prennes pas mal..."
Je me tus un instant, reprenant mon souffle pour reprendre la parole
" J'aimerais que tu me permettes de caresser ton visage. Comme je viens de le dire, ce n'est rien de mal, c'est simplement ma façon pour moi de voir à quoi tu ressembles ?"
Je ne savais pas comment il allait le prendre, mais j'espère au moins qu'il ne prenne pas mal ma demande.
Metuselah Shidara#92719#92719#92719#92719#92719#92719
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Sam 22 Nov 2014 - 1:39
Quand elle décida de retirer sa main, cela ne provoqua nul inquiétude dans le coeur de Metuselah. Elle le retirait avec douceur, et ne semblait être mû ni par la peur ni par la colère, mais plutôt, comme il pouvait le sentir, par la perplexité. Un bon point, qui aménageait au mieux le reste de la discussion. Et quand elle prit la parole, ce fut avec attention et bonté qui l'écouta. Il se tendit cependant un instant. A la façon dont elle l'annonçait, il s'attendait à une question concernant sa famille, délicate, et dont la réponse ne lui plairait sans doute pas. Hors, une question dont la réponse ne plairait pas était un point négatif à rajouter aux prétextes pour ne pas venir.
Aussi, quand elle lui fit part de sa demande, ce fut avec un certain relâchement qu'il l'accueillit. Il s'attendait à tellement pire sérieusement... le toucher? juste? au visage? certes, la question semblait bizarre, mais quand elle termina sa phrase, les indices se remirent en place: les yeux regardant dans le vide -de beaux yeux d'ailleurs-, la demande étrange... elle était donc aveugle. Un détail qu'il ignorait, mais qu'il comprenait.
Et qui l'amena à une idée étrange...
Tranquillement, il la regarda de bas en haut, comme l'observant d'un oeil critique pour déterminer quelque chose. Il observait notamment son corps, son splendide corps, qui bougeait avec une harmonie naturelle surprenante. Fine, déliée, la jeune femme disposait de nombreux avantages. sans même parler de sa beauté, indéniable. Si il l'amenait ainsi dans sa famille, ses membres la broieraient sans aucun soucis, surtout avec son aveuglement...
Doucement, comme pour répondre à sa question, il s'empara de la main de la demoiselle et l'amena lui-même vers son visage. Il ne la lacha que peu de temps après, observant son interlocutrice et lui permettant de poursuivre le contact. Puis il prit la parole.
Cela ne me dérange point, rassure-toi... je puis, si tu le désires, te rendre la vue... enfin, si ce n'est pas de naissance. Auquel cas je ne pourrait t'en offrir qu'un... simulacre.
Mais... tu n'es pas fait fait la paix, jeune fille. Pas au naturel. ces mains... ne soit pas choqué, mais... elles sont faites pour tuer.
avec un soupir, il lui caressa la joue à son tour. Elle n'aimerait sans doute pas, mais de fait, la tentation de lui proposer était bien trop grande...
Tu es belle, Aleandra. Mais tu as une beauté partiuclière. Celle du Lotus. le Lotus Rouge...
Tu as la beauté de la mort, c'est... troublant. Fascinant aussi.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'était pa là que de belles paroles. Depuis sa naissance, Metuselah avait été accompagné par la mort: son passage à l'arène, sa longue traque parentale, ses incessants défis. Il avait vu la mort de npmbreuses fois. Et bien qu'il lui ai sourit, ce ne fut que pour le message suivant: pas aujourd'hui...
Il revoyait la beauté des carnages avec son épouse en elle. Sa chevelure était celle des fleuves de sang coulant des champs de bataille, ces yeux aveugles étaient des lames d'acier, à la pureté du diamant, et dôté de la même étrange beauté. Ce corps était proportionné de façon idéal, mais non pour le plaisir. Pour un acte bien plus étonnant. Il était rare de voir ce que l'on pourrait appeler un Tueur Né. Très rare. Mais Metuselah avait le pressentiment que cela était le cas...
Et puis, l'obscurité était l'arme du tueur. Quoi de mieux qu'être né dans l'obscurité pour cela? ce fut donc avec un souffle léger qu'il finit sa phrase Et sa bonté l'empêcherait de faire souffrir inutilement.
... si tu te joins à moi, je t'enseignerais le don qui t'es si naturel. Un don dont tu n'as toi-même point conscience. Ce don te permettras de survivre avec les tiens et de te venger si tu le désires. Ce don, c'est ta force, enfouie si profondément en toi que ta bonté naturel la refoule.
Ce don, ma chère, est celui de retirer des vies...
- Spoiler:
- FAIT HONNEUR A TON SKIN, KATARINAAAAAA!! :p
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Sam 27 Déc 2014 - 15:42
Rencontre familiale
L'honneur de la famille. C'est ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie.
La situation dans laquelle je me trouvais n'était pas facile. J'étais partagé entre l'envie de le suivre et celle de rester. Une famille, c'est ce qu'il m'avait manqué depuis si longtemps, comment ne prendre ça avec tout l'intérêt que cela doit impliquer. Cet homme qui est mon grand-père dégage quelque chose, je ne sais pas ce que c'est, mais j'ai tellement envie de le découvrir. C'est la première fois qu'une personne me fait autant d'effet pour ainsi dire.
La peur au ventre, c'est ce que j'avais eu au moment même ou je lui avais demandé si je pouvais toucher son visage. C'était pour moi, une façon de voir, de savoir à quoi il pouvait bien ressembler. Je suis aveugle, je ne peux hélas pas voir comme tout le monde, je ne peux que mettre des images sur ce que je touche. D'une certaine façon, mes mains sont mes yeux.
Alors que pour toute réponse, il prend ma main dans la sienne pour la déposer sur son visage. Sa main quand à elle, quitte la mienne pour me laisser découvrir son visage, je suis ébahie par ce que je découvre. Il n'est pas rugueux, ni dur. Non, sa peau est douce, un visage bien fait. Un nez merveilleux, les yeux sont bien placer, je suis certaine que cet homme doit être magnifique, dommage que je ne peux le voir. Ma main caresse chaque parcelle de son visage avec délicatesse, dessinant dans mon esprit chaque détail de ce visage si charmant.
Je sais qu'il me regarde, je sens son regard sur moi, alors que je continue mon inspection. Il prend la parole. Elle est rassurante, un sourire se dessine sur mon visage tout en l'écoutant. La suite me retire un Frison, il a du certainement le ressentir sur son visage. Me rendre la vue, c'est un rêve ? Je suis dans un rêve certainement. Non, ce n'est pas un rêve, c'est réel. Ma main est bien sur son visage, elle danse doucement sur celui-ci. Je ne sais quoi répondre, j'ai tellement eut l'habitude de vivre ainsi, que je pourrais me perdre si j'arrivais à revoir, le monde serait différent. Il me ferait même peur. Qui sais ce que l'avenir peut prévoir pour moi ? Pourtant, je ne lui réponds pas immédiatement, je le laisse continuer sur sa lancée. Les mots sont actuellement infranchissables, je suis si émue que je n'arrive plus à prononcer quoique se soit. Le reste de ses paroles est encore plus troublant, je suis faite pour la mort ? C'est étrange, surprenant, inimaginable et pourtant si juste. Je suis un vampire, je n'ai pas été créer pour la vie. Je suis née pour donner la mort. Tout cela me fait peur, j'aimerais ne pas tuer, alors que cela fait des années que c'es le cas. Je tue pour me nourrir, je tue parce que c'est ce liquide si précieux qui me maintient en vie. Bon, cela fait plus ou moins deux ans que ce n'est plus le cas, j'arrive désormais à maintenir mes victimes en vie. Pourtant, je tuais pour que je vive. C'est si consternant tout cela. Je l'écoute encore alors que je me sens si impuissante d'un seul coup, j'ai l'impression d'être perdu dans un autre monde.
Je l'entends soupirer, doucement, je sens sa main venir caresser ma joue à son tour. Cela me procure un autre frison, personne jusqu'à maintenant n'avait eut autant de geste si amical à mon égard, aucun n'avait pu le faire et encore moins eu la permission de le faire.
Tu es belle, Aleandra. Mais tu as une beauté particulière. Celle du Lotus. Le Lotus Rouge...
Tu as la beauté de la mort, c'est... Troublant. Fascinant aussi...... si tu te joins à moi, je t'enseignerai le don qui t'est si naturel. Un don dont tu n'as toi-même point conscience. Ce don te permettra de survivre avec les tiens et de te venger si tu le désires. Ce don, c'est ta force, enfouie si profondément en toi que ta bonté naturelle la refoule.
Ce don, ma chère, est celui de retirer des vies...
Encore une fois, je suis brouillé, j'ai l'impression que tout se mélange, j'ai du mal à emmagasiner tout cela. Ma tête tourne, j'ai le sentiment de tomber. Pourtant doucement je reprends , j'arrive enfin a prononcer quelque mot, ma main quant à elle glisse doucement le long de son nez pour venir caresser ses lèvres, j'ai besoin de tout découvrir, c'est incompréhensible, pourtant j'en aie tellement besoin.
" C'est déroutant tout cela, je ne sais plus que penser, j'ai l'impression d'être perdu." Une larme se met à couler le long de ma joue alors que je continue
" Me rendre la vue sera presque un miracle ? Ce n'est pas que tu n'en as pas le pouvoir, je sais que tu en es capable, mais j'ai peur, peur de ne plus être la même, si ma vue m'était rendue. J'ai peur de tout ce que tu viens de dire Metuselas, j'ai peur que tout ça soit bien réel. J'ai peur d'être un monstre et non une jeune femme qui ne demande que rien d'autre que d'apprendre ce qu'est réellement la vie. J'ai peur de mes capacités, de faire le mauvais choix."
Oui, d'un seul coup. Tout me parait si effrayant. La vie, la mort, la joie, la tristesse, les choix. Ce que je ressens pour cet homme face à moi. Je ne sais même pas, ce qu'est ce sentiment. Je me sens chambouler, ai tel point que j'en perds mes moyens. C'est comme-ci tout était désorganiser dans ma tête au simple contact de cet homme.
S"il savait que tout ce qu'il venait de dire la rendait si vulnérable. J'étais tellement confuse, ce mélange de sentiments, de nouveauté. Ma main continua son dessin, elle dessina longtemps ses lèvres pour ensuite descendre le long de son cou et remonter dans un geste de douceur vers les joues de Metusela. Je ne savais pas trop s'il allait bien prendre ou mal, mais je n'avais plus de repaires, tout ce que j'étais avant qu'il entre dans cette taverne venait de s'envoler. J'étais perdu et en même temps, j'avais le sentiment de tout savoir. Déconcertant, déroutant, si embarrassant.
Alors que ma main continue son voyage sur sa peau, les larmes sur mes joues coulent encore doucement, me donnant un goût salé dans la gorge.
Et dans un murmure, je prononce
" Si je me joins à toi , pourrais-je continuer à chanter ? M'enseignerais-tu d'autre chose que ce don ? "
Maintenant, désormais ma vie était presque entre ses mains. J'étais encore hésitante, malgré que doucement, mon choix allait vers lui. Il fallait que je sois certaine de mes choix.
Metuselah Shidara#92840#92840#92840#92840#92840#92840
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Mar 30 Déc 2014 - 1:51
Bien qu'elle ne puisse le voir, un sourire amusé s'était peint sur les traits du Shidara quand il entendit la complainte de la jeune femme. Mignon, pensa-t-il. Non, plus que cela, la jeune femme était dôté d'une innocence particulière qui ne la rendait pas désagréable à Metuselah, bien au contraire. A chaque fois que le vampire de sang-pur rencontrait une âme aussi pur que l'était son sang, il ne pouvait s'empêcher d'en profiter. Tenter de la posséder corps et âme, la briser, la reconstruire à sa guise, ou encore lui offrir la force et la liberté, sa façon d'agir changeait sans cesse, mais son intérêt, lui, était éternel.
Elle avait peur? l'espace d'un instant, il se dit que c'était la réaction la plus naturelle qu'elle aurait pu avoir. Mais ce qui surprenait l'homme n'était pas que la peur venait de lui, non. Elle venait de l'ignorance de la jeune femme. Et même pas l'ignorance envers sa propre famille, ou la réputation à elle seule aurait du la faire frémir. Elle disait qu'elle avait peur de ce qui se présentait devant elle. Peur de l'avenir.
C'était la sans doute la plus belle des peurs que Metuselah ai vu jusque-la. Car elle était la plus authentique.
D'une certaine façon, elle avait raison, et pour cela, le vampire retirerait futurement sa proposition. Pourquoi encombrer cette demoiselle d'une vue qui ne lui était pas nécessaire? elle voyait si bien par ses autres sens... en revanche, une de ses paroles amusa tant son grand-père qu'il en sortit un petit rire.
Mais, ma chère... nous sommes des monstres. C'est pour cela que retirer des vies humaines nous est si indifférent. et toi-même, tu dois sentir que tu n'as pas ta place parmi eux. N'est-ce pas?
Ce n'était pas vraiment une question. Plus une méthode pour faire réaliser à la jeune femme son rang dans la chaine alimentaire. Il voyait bien qu'elle était d'une innocence et d'une gentillesse rare, mais il voyait aussi qu'elle était divisée. Et plus elle le touchait de ses mains, plus le vampire sentait sa détermination fléchir. Et quand, enfin, elle lui posa sa question finale, la joie qu'éprouva le chef de famille dépassait tout ce qui était envisageable. Il ressentait le plaisir de la victoire, le relachement d'un pari gagné. Et l'appréhension de la suite des évènements.
La nuance?
lui les envisageait à sa façon, donc elles ne pouvaient point lui être désagréable.
Aussi, tout comme elle dessinait ses traits de ses mains, la main droite de Metuselah monta de mettre sur le visage de la jeune femme pour caresser la joue. Dans un temps qui sembla être une éternité, il n'eut qu'eux deux dans cette salle. Et quiconque tenterais de les interrompre aurait le courroux du Metuselah à supporter. Une chose impliquant généralement un déclin favorable au décès prématuré.
Et douloureux, soit dit en passant.
Doucement, le pouce du vampire fit le tour des lèvres d'Aleandra, et ses doigts fins effleura le cou de la jeune femme. Il se retint de ne pas sauter sur sa petite fille, qui, comme il l'avait dit tout à l'heure, était trop belle pour son propre bien. Plus tart, peut-être...
Et puis, comme l'acte n'avait pas l'air de la déranger, mais plus de la troubler, il savourait sans vergogne les sentiments confus de sa proie. Pour une fois qu'il savourait un sentiment qui n'était ni peur ni amour mais plutôt confusion, l'originalité était au rendez-vous.
je t'apprendrais absolument tout ce que tu désires...
Quand à continuer de chanter, je ne vois pas qui pourrait empêcher une Shidara de chanter... un fou sans doute. je n'aime pas laisser un talent se perdre, je te l'ai dit.
Si tu veux apprendre la vie, alors viens, et tu sauras. je ne te demanderais qu'une seule chose, c'est de ne jamais rien regretter...
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Mar 30 Déc 2014 - 19:21
Rencontre familiale
L'honneur de la famille. C'est ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie.
Cette peur que je ressentais, était une peur bien particulière. Je n'avais pas peur de lui, ni de cette famille dont la réputation fessait frémir rien que d'entendre le nom. Non, la peur que je ressentais était tout autre, celle de ce que l'avenir avait prédit pour moi. Mais, aussi de ce que je ressentais pour lui, la peur de ne pas comprendre mes sentiments.
Une peur bien réelle et incompréhensible en un sens. J'avais peur de mes sentiments pour lui, parce qu'au fils du temps les sentiments grandissaient. De plus pendant le temps que je passais avec lui, j'avais l'impression que je n'arrivais plus à contrôler mon corps, ni mes sens. Cela était si troublant. Jamais, je n'avais ressenti cela auparavant. Encore moins, je ne comprenais pas qu'avant personne avait pu se permettre de me toucher de la sorte. Je mettais créer une carapace, une protection contre ses sentiments qui doucement naissait en mon cœur. Face à cet homme, j'avais l'impression que tout ce que j'avais construit jusque maintenant n'existait plus, comme envolée par un simple geste.
Étrange n'est-ce pas ? Comment peut-on imaginer qu'un simple homme peut vous mettre dans tous vos états ?. C'est si captivant. Mettre des mots sur ce que je ressens, pour le moment, je ne peux pas. Parce que je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai réellement. Pourquoi, je régis de la sorte face à lui ? C'est comme-ci, il m'avait ensorcelé, je suis sous son charme. Prête à suivre le moindre de ses caprices. Oui, je ne suis plus maître de mes sentiments, ni de mes gestes. Je n'ai qu'une seule envie, c'est de laisser aller ce que je ressens sortir, même si j'ai peur de tout cela.
La peur, peut parfois vous empêcher de vivre correctement. La peur est de temps en temps un guide qui vous met sur le droit chemin. Mais, si je désirais autre chose ? Si ce désir pouvait se réaliser. Tout ce qu'il me dit est si tentant. C'est comme une main tendue pour vous aider à vous relever. Alors, pourquoi ne pas l'attraper et se laisser guider. Peux importe, ce que pourraient me dire les autres, ce que me dictent mes instincts. Non, je veux suivre ce que me dicte mon cœur et celui-là me crie de le suivre, même si mes instincts me murmurent méfiance.
Je veux me sentir vivante, me sentir protéger. C'est ce que je ressens face à lui. Peut-être que je me trompe ? Peut-être est-ce que j'ai toujours voulu ? Pour avoir les réponses à toutes ses questions, le seul moyen serait de le suivre et j'en ai tellement envie. Peut-être est-ce aussi un caprice ? Quelque chose qui nous tient tellement à cœur, que nous sommes capables du pire pour l'obtenir. Je n'arrive pas à me reconnaitre. Penser de la sorte, n'avais jamais traverser mon esprit.
Sans aucun doute, je suis sous son emprise et peux importe ce que cela puisse me procurer ou me donner. J'ai le désir si ardent de le laisser me montrer tout ce qu'il veut. Ses désirs seront les miens ou peut-être que les miens seront les siens.
"Mais, ma chère... nous sommes des monstres. C'est pour cela que retirer des vies humaines nous est si indifférent. Et toi-même, tu dois sentir que tu n'as pas ta place parmi eux. N'est-ce pas?"
Ses paroles dansent sous mes yeux, je sais qu'au fond de moi, il a raison. J'ai toujours été se monstre, cette meurtrière malgré moi, certes il y a une raison, ma survie. Mais tout meurtre commis à peut-être une raison valable d'être fait ? Seul, je ne trouverais jamais la paix intérieure, mais avec lui, trouverais-je sans doute ma place ? Une famille ? Celle que j'ai perdue ne reviendra jamais, je le sais. Par contre, j'ai la chance d'en avoir une nouvelle. Pourquoi, alors ne tenterais-je pas ? Rien ne peut être pire que cette vie sans avenir qui était ma vie. Avec lui, ma vie serait certainement bien mieux.
Pourquoi refuser ce que j'aie toujours rêvé. Je me permets de lui demander certaines choses qu'il répond avec les mots justes.
"je t'apprendrais absolument tout ce que tu désires...
Quand à continuer de chanter, je ne vois pas qui pourrait empêcher une Shidara de chanter... un fou sans doute. je n'aime pas laisser un talent se perdre, je te l'ai dit.
Si tu veux apprendre la vie, alors viens, et tu sauras. Je ne te demanderais qu'une seule chose, c'est de ne jamais rien regretter..."
Maintenant, plus rien ne me retiens ici. Sa réponse m'a touché au plus haut point. Je n'ai plus de prétexte pour refuser parce que sans même m'en rendre compte, mon cœur avait déjà choisi pendant que mes instincts eux hésitaient.
Sa main quant à elle pendant qu'il parlait, fessait le tour de mes lèvres doucement avec le pouce, sentir ses doigts si fins qui effleurent mon cou, me retire à nouveau un Frison. Comment puis-je résister à un tel appel ?. Non, je ne peux pas et le plus drôle, c'est que je n'en n'ai pas l'envie. De mon côté, ma main danse toujours sur son visage, comme-ci, je voulais graver son image dans ma tête.
Dans un murmure, je finis par lui dire
" Je suis prête et je te suis sans regret."
Je m'en fais le cœur léger, sans regret parce que ce que j'étais avant qu'il entre dans ma vie c'est envoler pour laisser place à une nouvelle femme dont je laisserais Metusela façonner à sa façon. Il sera mon futur avenir, mon mentor.
Fin...
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