Qu'est-ce-que signifie apprivoiser ?
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Kazuo Hatori#103740#103740#103740#103740#103740
Lycan Oméga - Meute Hirano
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Jeu 9 Avr 2020 - 23:11
Oto San a dit que j’allais passer le week-end avec Nii-chan ! c’est cool, parce que ça fait au moins… 15 jours que c’est pas arrivé ! Bon d’accord, la fois dernière c’était une semaine entière, mais c’est pas pareil… J’ai l’impression que ‘to San et aniki s’entendent mieux maintenant. Au début c’était compliqué. En même temps, Daisuke on le connaissait pas. Il est arrivé dans notre vie comme ça, d’un seul coup… Et puis Kazuma il avait pas trop confiance, mais c’est parce qu’il veut me protéger. C’est pour ça qu’il faut pas parler aux inconnus d’ailleurs. Enfin bref, du coup week-end avec Daisuke ! J’ai trop hâte ! faut que je lui montre mes nouveaux Pokémons ! et puis mon Lougaroc qui a évolué ! Mais d’abord, il faut que je m’habille. Je sais pas pourquoi, mais oto-san a insisté pour que je mette des beaux vêtements avant d’y aller. Il a dit que c’était important, alors j’ai pas discuté. Par contre, pas eu le droit de mettre mes beaux habits tout de suite, de peur que je les salisse… Comme si j’allais salir mes vêtements… Du coup j’enfile le pantacourt marron clair (les grands disent beige, mais c’est parce qu’ils aiment bien faire compliqué quand c’est simple) et la chemise blanche… ça aurait été plus simple de mettre la chemise en première en fait…J’entends la sonnette. Mince, Nii-chan est là ! c’est pas grave, je rentre la chemise dans mon pantalon à toute vitesse. Kazuma entre dans ma chambre à ce moment-là. Il sourit en me voyant et réajuste ma tenue. Il m’aide ensuite à mettre les bretelles marrons (marrons pour de vrais, là les grands n’ont pas trouvé de mots pour compliquer la vie). Je vais ensuite à la porte en courant pour faire un câlin à Daisuke. Je vais prendre mon sac pendant qu’il discute avec Kazuma, et hop ! on est parti ! Il fait un grand soleil dehors, vu que c’est l’été ! à Honolulu, mon ancienne maison, il faisait beau presque tout le temps. C’était l’été toute l’année ou presque ! Mais ici y a de la neige en hiver ! et ça c’est trop incroyable ! j’en avais jamais vu avant ! Bon là c’est l’été, donc il y a pas de neige ! Du coup on peut aller à l’Arcadénium à pied pour profiter de la chaleur et du beau temps. Y a pas grand monde dans les rues en ce moment, et les rares gens qui sortent on tous l’air un peu inquiet ou triste. Je sais qu’il se passe un truc grave en ville, j’ai entendu Papi Aki en parler à Oto san… mais j’ai pas entendu quoi… je crois qu’ils m’ont vu parce qu’ils ont parlé d’autre chose après. Ça doit être pour ça qu’il y a si peu de monde. Sur le chemin, je raconte à Daisuke ma semaine, tout ce que j’ai fait, même si concrètement, je sors pas beaucoup depuis que je vais plus à l’école... Oto san m’emmène au parc pour jouer, mais y a pas beaucoup d’autres enfants. Mais bon il se passe quand même des trucs. Par exemple, l’autre jour j’ai attrapé une ENORME bestiole dans le jardin. Papi Aki m’a dit que c’était une cigale. Elle était jolie… du coup je l’ai emmené se promener dans le manoir… Mais la cuisinière, elle a pas dû la trouver jolie, vu comment elle a crié. Bon, je me suis fait gronder, mais c’était drôle ! Par contre j’ai pas retrouvé madame la cigale après… Au bout d’un moment, je me rends compte qu’on va pas du tout dans la direction de chez Aniki. On entre dans la forêt. Je lance un regard interrogateur vers Daisuke, mais il me dit que c’est une surprise. Pfff, c’était bien la peine que je me fasse beau. Parce que du coup, je vais pas pouvoir courir dans la forêt. Du coup j’avance sagement, en tenant la main de Daisuke. Au bout de quelques minutes, je sens une odeur que je reconnais. Une bonne odeur. Et là ça fait tilt dans ma tête ! on est déjà venu ici, c’est la route pour aller au restaurant de la forêt ! han ! alors c’est ça la surprise ? trop bien !!!! Du coup j’accélère le pas, histoire de voir un peu plus vite. Et rapidement, on y est ! Alors qu’on entre dans le restaurant, la serveuse s’approche de nous. Daisuke lui dit qu’on a réservé, au nom d’Hirano… C’est bizarre, c’est pas le nom de famille de Daisuke, ni le mien. Moi j’en ai deux, Kawanui, c’est mon nom de naissance, et Hatori, que j’ai pris quand Kazuma m’a adopté. Peut-être que Daisuke a deux noms aussi… Mais la dame n’a pas de mal à nous retrouver, et nous guide vers une autre salle, apparemment rien que pour nous. Tiens, c’est pas comme d’habitude. Je sens un frisson dans ma nuque, comme si quelque chose n’allait pas. Oto san dit que c’est « l’instinct », c’est quand tu ressens des choses avant qu’elles se passent, ou quelque chose comme ça. En général, quand je sens ce frisson, je me transforme rapidement après, enfin en tout cas mes oreilles repousses. Mais ça va, maintenant j’ai appris à le contrôler. Je souffle un coup et ça va mieux. Je me tourne quand même vers Daisuke, juste pour être sûr. Son sourire m’encourage à rentrer… Alors je rentre… Et là… Rien du tout… C’est quoi cette arnaque ! je crois que mon instinct il est cassé ! parce que là y a rien de spécial. Juste une table normale et des chaises normales. Même pas le bon nombre en plus, y en a 4 alors qu’on est que deux... Vraiment… très déçu. Dans les films ou les mangas, ils ont des instincts comme ça, et puis pouf ! c’est à ce moment là que le méchant il arrive et qu’il faut sauver la ville… Mais là, pas un seul méchant… Même pas un moustique ! Enfin bon, c’est pas grave, je suis encore trop petit pour être un super héros de toute manière. Et puis en plus, s’il y avait eu un méchant, j’aurais pas pu profiter du repas avec Daisuke ! Du coup je pose mon sac avant de m’installer à table. Je tourne ensuite la tête vers Daisuke avec un sourire. « Nii-chan ! tu viens ! sinon y aura plus de place !!! » En vrai, je sais qu’il y aura assez de place, vu qu’ils ont mis trop de chaise ! on aurait été à la maison, je me serais probablement allongé sur les chaises pour que Daisuke puisse pas s’assoir… mais bon, au restaurant il faut bien se tenir, même s’il y a personne d’autres ! du coup je me contente d’agiter les pieds dans le vide et d’attendre… Mais un nouveau frisson dans la nuque me distrait. |
Daisuke Kûdo#103841#103841#103841#103841#103841#103841
Lycan Oméga - Meute Hirano
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Jeu 16 Avr 2020 - 12:49
Qu'est-ce-que signifie apprivoiser ?
Feat Kazuo Hatori, Asuna Hirano & Daisuke Kûdo
Ah là là ! J’étais excité comme une puce. Aujourd’hui, Kazuo allait rencontrer ‘Ka-san. Et bordel, ce fut une grande organisation !
Tout d’abord, j’en avais discuté avec Kazuma Hatori et je lui avais fait par de la volonté d’Asuna de rencontrer le louveteau qu’elle avait mordu. Il faisait parti de sa meute et, comme moi, elle le considérait comme son fils par adoption. Bien sûr, ce ne fut pas facile de le convaincre. Après tout, Asuna avait été mordue. Mais elle n’avait montré aucun signe de folie inhabituel. Mais ce n’était pas assez convaincant. Puis, il y a eu l’annonce officielle. Asuna était porteuse saine et elle n’allait jamais tomber dans la folie. Ca, par contre, avec une petite lettre du Vampidoc, fut plus convaincant. Mais il était vrai que le gars était un infirmier. Du coup, une lettre d’un médecin, ça faisait tout d’suite plus sérieux que notre parole. C’était… compréhensible.
Dès que le feu vert fut donné, il a fallu trouver un lieu. Bizarrement, le Fangtasia fut la première idée qu’on a eue. Et, par chance, Hatori-san le connaissait aussi. Asuna s’était donc arranger pour avoir un espace rien que pour nous. C’était mieux pour une rencontre. Comme elle était amie avec Anzu et l’élève de Lacroix-san, ce ne fut pas trop compliqué.
Bon, aussi, il a fallu préparer Asuna. Parce que le p’tit Loup, en fait, il avait déjà une famille. Et il se retrouvait avec une deuxième. Mais même si c’était un lycan, on ne pouvait pas l’arracher ainsi aux Hatoris. C’était clairement une mauvaise idée. Après, je savais qu’il faisait partie du clan Di Altiero, le vampire auquel Asuna s’était alliée. Cela aidait à avoir la confiance des Hatoris. Mais le but était clairement pas de provoquer des tensions. Et puis, il y avait eu des accords fait pour cette alliance. Un p’tit rappel ne faisait jamais de mal.
Bref, c’était le jour J. Je m’étais donc rendu chez les Hatoris. J’attendis un peu, Ce fut Kazuo qui m’ouvrit, accompagné de son parrain. Le Kabu sauta à mon coup pour un calin avant de repartir aussi vite. Surement pour aller chercher son sac. Ca me laissait le temps de parler une dernière fois avec Hatori Kazuma pour confirmer le déroulement de la journée et de la rencontre. Il savait où venir si besoin et où il serait demain.
Une fois Kazuo de retour en bas, nous nous mîmes en route pour le restaurant. Je vis bien à sa tête qu’il ne savait pas où il allait. Kazuma avait donc gardé le secret. Je vis bien dans son regard qu’il se posait des questions. Pour toute réponse, je dis juste que c’était une surprise. Enfin, il ne fallut pas longtemps pour qu’il reconnaisse le chemin de restaurant de Lacroix. Il accéléra, mais pas moi. Il fallait apprendre la patience, P’tit loup !
Une fois la porte passée, nous sommes accueillis par une serveuse. J’lui annonce que nous avons une réservation au nom d’Hirano. Après quelques secondes, elle nous sourit et nous demande de la suivre pour nous guider dans une pièce. On allait être à part des autres clients, c’était mieux pour la suite. Au passage, je sens la présence d’Asuna. Elle est pas loin. J’lui adresse un clin d’œil avant de reporter mon regard sur le Kabu. Avec un sourire, je l’invite à rentrer dans la pièce. Dedans, une table est dressée, pour quatre personnes. Oh ? Kazuo semblait déçu. Il s’attendait visiblement à autre chose. Patience, petit loup. La surprise n’allait pas tarder.
Nous nous installâmes l’un à côté de l’autre. Je me tournai alors vers lui pour lui parler.
Kazuo fronça les sourcils. J’voyais bien qu’il se demandait qui voulait le rencontrer et pourquoi.
Doucement, je pris sa petite main dans la mienne pour le rassurer. J’attendais son retour pour donner le signal à Asuna. Enfin, vu comment c’était passé ma première rencontre avec le Kabu, j’appréhendais déjà le moment où elle passerait la porte.
Tout d’abord, j’en avais discuté avec Kazuma Hatori et je lui avais fait par de la volonté d’Asuna de rencontrer le louveteau qu’elle avait mordu. Il faisait parti de sa meute et, comme moi, elle le considérait comme son fils par adoption. Bien sûr, ce ne fut pas facile de le convaincre. Après tout, Asuna avait été mordue. Mais elle n’avait montré aucun signe de folie inhabituel. Mais ce n’était pas assez convaincant. Puis, il y a eu l’annonce officielle. Asuna était porteuse saine et elle n’allait jamais tomber dans la folie. Ca, par contre, avec une petite lettre du Vampidoc, fut plus convaincant. Mais il était vrai que le gars était un infirmier. Du coup, une lettre d’un médecin, ça faisait tout d’suite plus sérieux que notre parole. C’était… compréhensible.
Dès que le feu vert fut donné, il a fallu trouver un lieu. Bizarrement, le Fangtasia fut la première idée qu’on a eue. Et, par chance, Hatori-san le connaissait aussi. Asuna s’était donc arranger pour avoir un espace rien que pour nous. C’était mieux pour une rencontre. Comme elle était amie avec Anzu et l’élève de Lacroix-san, ce ne fut pas trop compliqué.
Bon, aussi, il a fallu préparer Asuna. Parce que le p’tit Loup, en fait, il avait déjà une famille. Et il se retrouvait avec une deuxième. Mais même si c’était un lycan, on ne pouvait pas l’arracher ainsi aux Hatoris. C’était clairement une mauvaise idée. Après, je savais qu’il faisait partie du clan Di Altiero, le vampire auquel Asuna s’était alliée. Cela aidait à avoir la confiance des Hatoris. Mais le but était clairement pas de provoquer des tensions. Et puis, il y avait eu des accords fait pour cette alliance. Un p’tit rappel ne faisait jamais de mal.
Bref, c’était le jour J. Je m’étais donc rendu chez les Hatoris. J’attendis un peu, Ce fut Kazuo qui m’ouvrit, accompagné de son parrain. Le Kabu sauta à mon coup pour un calin avant de repartir aussi vite. Surement pour aller chercher son sac. Ca me laissait le temps de parler une dernière fois avec Hatori Kazuma pour confirmer le déroulement de la journée et de la rencontre. Il savait où venir si besoin et où il serait demain.
Une fois Kazuo de retour en bas, nous nous mîmes en route pour le restaurant. Je vis bien à sa tête qu’il ne savait pas où il allait. Kazuma avait donc gardé le secret. Je vis bien dans son regard qu’il se posait des questions. Pour toute réponse, je dis juste que c’était une surprise. Enfin, il ne fallut pas longtemps pour qu’il reconnaisse le chemin de restaurant de Lacroix. Il accéléra, mais pas moi. Il fallait apprendre la patience, P’tit loup !
Une fois la porte passée, nous sommes accueillis par une serveuse. J’lui annonce que nous avons une réservation au nom d’Hirano. Après quelques secondes, elle nous sourit et nous demande de la suivre pour nous guider dans une pièce. On allait être à part des autres clients, c’était mieux pour la suite. Au passage, je sens la présence d’Asuna. Elle est pas loin. J’lui adresse un clin d’œil avant de reporter mon regard sur le Kabu. Avec un sourire, je l’invite à rentrer dans la pièce. Dedans, une table est dressée, pour quatre personnes. Oh ? Kazuo semblait déçu. Il s’attendait visiblement à autre chose. Patience, petit loup. La surprise n’allait pas tarder.
Nous nous installâmes l’un à côté de l’autre. Je me tournai alors vers lui pour lui parler.
Daisu ▬ « Kazuo. Il y a deux personnes qui voudrait te rencontrer. La première est déjà là mais elle attend mon signal avant de rentrer. »
Kazuo fronça les sourcils. J’voyais bien qu’il se demandait qui voulait le rencontrer et pourquoi.
Daisu ▬ « Ce sont mes parents. Ils sont lycans, comme nous. Tu vas surement le sentir. Mais avant tout, j’aimerais que tu n’ais pas peur. Il n’y a aucune raison d’avoir peur. Ils ne veulent pas te faire de mal. Je sais que ce ne sera pas facile, par contre. Mais tu as confiance en moi, n’est-ce pas ? Je ne laisserais personne te faire du mal. Et si tu sens le besoin de te transformer, tu peux. On a réservé cette pièce pourque tu le puisses. Personne ne viendra nous déranger ici. »
Doucement, je pris sa petite main dans la mienne pour le rassurer. J’attendais son retour pour donner le signal à Asuna. Enfin, vu comment c’était passé ma première rencontre avec le Kabu, j’appréhendais déjà le moment où elle passerait la porte.
"Une surprise pas comme les autres"
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Asuna S. Hirano#103947#103947#103947#103947#103947#103947#103947
Lycan Alpha - Meute Hirano
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Sam 2 Mai 2020 - 2:10
Qu’est-ce que signifie apprivoiser ?
Feat Daisuke Kûdo, Kazuo Hatori & Asuna S. Hirano
Ca y est aujourd’hui c’est LE grand jour. Je vais enfin rencontrer mon p’tit dernier. Va d’ailleurs falloir qu’j’lui trouve un pitit surnom, comme je l’ai fait avec Joli Cœur. Enfin p’t’être pas de suite en le voyant, il risque d’avoir un peu peur.
Parce que dans l’fond, Heiji peut dire c’qu’il veut mais p’t’être que ce petit boutchou se souvient de cette soirée funeste. Peut-être pas dans le détail, mais ... y’a quand même des choses qui marquent quoi. Rien ne me certifie qu’il ne se rappellera pas du loup géant qui l’a mordu, ni même qu’évoquer ce soir-là ne provoque pas une réaction négative.
C’est bizarre, mais j’suis à la fois heureuse, excitée et hyper nerveuse ! J’angoisserai presque à l’idée de le rencontrer ce tout petit bout !
J’en ai beaucoup discuté avec Joli Cœur, pour voir comment on pouvait organiser cette rencontre. Il faut dire que le vampire qui s’occupe du p’tit loup est méga méfiant, et qu’il a déjà mis des semaines à accepter mon Joli Cœur. En plus le fait que j’ai été mordu par un infecté ne jouait clairement pas en ma faveur. Heureusement que mon Vampidoc m’a annoncé que j’étais que porteuse saine, donc que j’irai bien, et qu’il m’a fait une lettre pour rassurer le père d’adoption de mon p’tit loup. Ça a plaidé ma cause puisqu’il a accepté à partir de ce moment-là que j’vois le petit boutchou. Il a donc fallu prendre notre temps pour l’organisation ensuite. Joli Cœur a joué les intermédiaires dans ce sens, pour qu’on trouver une date et un lieu qui puisse convenir. C’est comme ça que j’en suis venue à réserver une salle pour toute ma petite meute au Fangtasia, chez Bad Guimauve.
C’est le lieu qui s’est imposé en fait parce que le Hatori connait l’resto, j’connais le proprio & cuisto ainsi que sa co-cheffe de meute, donc la résa c’est super bien passé. En plus mon dernier louveteau y est déjà venu, il sera donc pas en terrain inconnu et se sentira p’t’être un peu moins perdu. Bien sûr Joli Cœur m’avait fait une p’tite piqure de rappel sur le fait que mon louveteau avait déjà une famille et donc que le but était pas de provoquer des tensions. C’est fou comment lui et Vieille Branche peuvent être sur une même longueur quoi ! Parce que le même jour mon compagnon m’avait fait le même rappel sur l’oreiller. Comme tue l’amour c’était parfait !
Comme on l’a convenu avec Joli Cœur, il est allé chercher le petit Kazuo chez le Hatori pour l’amener au resto. Moi ... moi ba j’attends déjà depuis près d’un très long quart d’heure leur arrivé. Bon j’sais bien qu’y’a que Joli Cœur qui va m’reconnaitre mais bon ... j’ai besoin de le voir mon petit dernier avant qu’on soit vraiment face à face. Bon j’suis toute seule et j’pense bien que Joli Cœur souhaitera une explication. Heiji a pensé qu’il fallait peut-être mieux y aller par étape avec le p’tit. Donc il est pas venu cette fois-ci, et j’ai pas insisté parce que dans l’fond j’suis d’accord.
Mes deux bébés entre dans le resto, et Daisuke fait valoir ma réservation et suit la serveuse avec un tout petit garçon. Il est tellement adorable ... Mon Joli Cœur me fait un clin d’œil en me voyant, et j’lui souris en retour. Faut que j’patiente encore un peu. Après tout j’suis plus à quelques minutes près maintenant. J’avance jusqu’à la porte de la salle et j’attends à l’affût du signal de mon aîné pour entrer.
Le temps semble se jouer de moi, et s’étirer autant qu’il le peut. Et enfin la délivrance ! Joli Cœur me donne le signal pour entrer. Même si j’ai envie d’entrer telle une tornade pour les embrasser, j’me force à ouvrir doucement la porte et entrer calmement. J’oublie pas d’refermer derrière moi, parce que le but de cette privatisation, c’est d’permettre au petit dernier de s’transformer si il en a b’soin. Faut d’abord qu’il soit bien lui, moi j’passe après et c’est bien la base. D’abord mes bébés, ma meute.
J’m’approche de la table en souriant doucement. Le p’tit loup ne semble absolument pas rassuré, j’ai même presque l’impression qu’je lui fais peur. Comment lui en vouloir ? J’dois probablement lui rappeler d’horrible souvenir. Y aller en douceur, c’est bien la seule façon de faire par rapport à la situation. J’m’assois face au p’tit loup sans empressement.
« Bonjour Kazuo. Je m’appelle Asuna et je suis la maman d’adoption de Daisuke. Je suis vraiment contente de te rencontrer tu sais. »
J’ose pas aller plus avant, même si j’ai un cadeau pour lui dans mon sac que j’pose au sol à côté de moi. J’pense qu’il vaut mieux y aller par étape et surtout à son rythme. Enfin j’peux lui dire que j’ai un cadeau pour lui au moins. Et puis j’ai suivi les conseils de Joli Cœur pour trouver un cadeau qui pourrait lui plaire vraiment. J’espère que je ne me suis pas trop trompé en le choisissant ... j’ai un doute maintenant. De toute façon l’est trop tard pour reculer. J’sors le paquet d’mon sac et le pose devant lui.
« C’est un cadeau pour toi ... Daisuke m’a dit que tu adores les pokemons. J’espère que ça te plaira. »
J’espère ne pas tout faire de travers.
Parce que dans l’fond, Heiji peut dire c’qu’il veut mais p’t’être que ce petit boutchou se souvient de cette soirée funeste. Peut-être pas dans le détail, mais ... y’a quand même des choses qui marquent quoi. Rien ne me certifie qu’il ne se rappellera pas du loup géant qui l’a mordu, ni même qu’évoquer ce soir-là ne provoque pas une réaction négative.
C’est bizarre, mais j’suis à la fois heureuse, excitée et hyper nerveuse ! J’angoisserai presque à l’idée de le rencontrer ce tout petit bout !
J’en ai beaucoup discuté avec Joli Cœur, pour voir comment on pouvait organiser cette rencontre. Il faut dire que le vampire qui s’occupe du p’tit loup est méga méfiant, et qu’il a déjà mis des semaines à accepter mon Joli Cœur. En plus le fait que j’ai été mordu par un infecté ne jouait clairement pas en ma faveur. Heureusement que mon Vampidoc m’a annoncé que j’étais que porteuse saine, donc que j’irai bien, et qu’il m’a fait une lettre pour rassurer le père d’adoption de mon p’tit loup. Ça a plaidé ma cause puisqu’il a accepté à partir de ce moment-là que j’vois le petit boutchou. Il a donc fallu prendre notre temps pour l’organisation ensuite. Joli Cœur a joué les intermédiaires dans ce sens, pour qu’on trouver une date et un lieu qui puisse convenir. C’est comme ça que j’en suis venue à réserver une salle pour toute ma petite meute au Fangtasia, chez Bad Guimauve.
C’est le lieu qui s’est imposé en fait parce que le Hatori connait l’resto, j’connais le proprio & cuisto ainsi que sa co-cheffe de meute, donc la résa c’est super bien passé. En plus mon dernier louveteau y est déjà venu, il sera donc pas en terrain inconnu et se sentira p’t’être un peu moins perdu. Bien sûr Joli Cœur m’avait fait une p’tite piqure de rappel sur le fait que mon louveteau avait déjà une famille et donc que le but était pas de provoquer des tensions. C’est fou comment lui et Vieille Branche peuvent être sur une même longueur quoi ! Parce que le même jour mon compagnon m’avait fait le même rappel sur l’oreiller. Comme tue l’amour c’était parfait !
Comme on l’a convenu avec Joli Cœur, il est allé chercher le petit Kazuo chez le Hatori pour l’amener au resto. Moi ... moi ba j’attends déjà depuis près d’un très long quart d’heure leur arrivé. Bon j’sais bien qu’y’a que Joli Cœur qui va m’reconnaitre mais bon ... j’ai besoin de le voir mon petit dernier avant qu’on soit vraiment face à face. Bon j’suis toute seule et j’pense bien que Joli Cœur souhaitera une explication. Heiji a pensé qu’il fallait peut-être mieux y aller par étape avec le p’tit. Donc il est pas venu cette fois-ci, et j’ai pas insisté parce que dans l’fond j’suis d’accord.
Mes deux bébés entre dans le resto, et Daisuke fait valoir ma réservation et suit la serveuse avec un tout petit garçon. Il est tellement adorable ... Mon Joli Cœur me fait un clin d’œil en me voyant, et j’lui souris en retour. Faut que j’patiente encore un peu. Après tout j’suis plus à quelques minutes près maintenant. J’avance jusqu’à la porte de la salle et j’attends à l’affût du signal de mon aîné pour entrer.
Le temps semble se jouer de moi, et s’étirer autant qu’il le peut. Et enfin la délivrance ! Joli Cœur me donne le signal pour entrer. Même si j’ai envie d’entrer telle une tornade pour les embrasser, j’me force à ouvrir doucement la porte et entrer calmement. J’oublie pas d’refermer derrière moi, parce que le but de cette privatisation, c’est d’permettre au petit dernier de s’transformer si il en a b’soin. Faut d’abord qu’il soit bien lui, moi j’passe après et c’est bien la base. D’abord mes bébés, ma meute.
J’m’approche de la table en souriant doucement. Le p’tit loup ne semble absolument pas rassuré, j’ai même presque l’impression qu’je lui fais peur. Comment lui en vouloir ? J’dois probablement lui rappeler d’horrible souvenir. Y aller en douceur, c’est bien la seule façon de faire par rapport à la situation. J’m’assois face au p’tit loup sans empressement.
« Bonjour Kazuo. Je m’appelle Asuna et je suis la maman d’adoption de Daisuke. Je suis vraiment contente de te rencontrer tu sais. »
J’ose pas aller plus avant, même si j’ai un cadeau pour lui dans mon sac que j’pose au sol à côté de moi. J’pense qu’il vaut mieux y aller par étape et surtout à son rythme. Enfin j’peux lui dire que j’ai un cadeau pour lui au moins. Et puis j’ai suivi les conseils de Joli Cœur pour trouver un cadeau qui pourrait lui plaire vraiment. J’espère que je ne me suis pas trop trompé en le choisissant ... j’ai un doute maintenant. De toute façon l’est trop tard pour reculer. J’sors le paquet d’mon sac et le pose devant lui.
« C’est un cadeau pour toi ... Daisuke m’a dit que tu adores les pokemons. J’espère que ça te plaira. »
J’espère ne pas tout faire de travers.
"Tout va bien se passer"
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Jeu 21 Mai 2020 - 19:00
Je me calme quand Daisuke me dit qu’il veut que je rencontre des gens. Il a l’air sérieux dis-donc, ça ne lui arrive pas souvent… enfin pas comme ça… du coup je me rassieds bien et arrête de balancer les pied. Je pense qu’il peut voir sur ma tête que je suis intrigué. Ses parents ? et c’est des loups garous en plus ? Je suis assez excité à vrai dire c’est vrai que j’ai jamais rencontré d’autre lycaan… je me demande à quoi ils ressemble… mais du coup… Si c’est des lycaans aussi, ça veut dire que Daisuke et né comme ça ? il a pas été transformé comme moi ? ça doit être bizarre un bébé loup-garou… enfin peut-être pas si différent que moi en fin de compte… Je sais pas trop… et puis pour l’école ça dois pas être pratique du tout… Faudra que je lui demande… en attendant, je me demande comment son ses parents. Vu que Daisuke est super cool, ils doivent aussi être super cool. De toute manière, si ce n’étais pas le cas, j’imagine qu’il me les présenterais pas… En tout cas, je comprends mieux pourquoi je devais bien m’habiller, il faut que je fasse une bonne impression !! Daisuke prend ma main et me demande de donner le signal. Je hoche la tête d’un air sérieux. Une dame entre, une belle dame aux long cheveux blonds. Elle dit s’appeler Asuna… Mais j’entends pas grand-chose en fait… je suis pris d’un nouveau frisson dans la nuque, pourtant il fait pas froid… C’est le même sentiment que tout à l’heure, l’instinct… J’ai pas vraiment peur… enfin si… un peu… d’habitude j’ai peur des inconnus… mais là … je me sent bizarre… à la fois triste et content… mais surtout, j’ai ce sentiment… que je ne comprends pas… Je l’ai déjà ressenti avec Daisuke, mais ce n’était pas aussi fort, aussi... C’est un peu, comme une boule au ventre… et en même temps une chaleur… en fait ce qui me fait le plus bizarre, c’est l’impression de l’avoir déjà vu, mais sans savoir où… c’est même plus que ça… Comme si je savais déjà qui elle était. J’essaie de dire quelque chose, au moins me présenter, ou même saluer, vu que c’est comme ça qu’on dit bonjours au japon… mais je n’y arrive pas. Ma voix est étranglée et j’arrive à peine à hoqueter quelque chose. Je suis comme paralysé, incapable de réagir face à ce sentiment qui est beaucoup trop fort pour moi. Plusieurs minutes passent sans que je ne fasse quoi que ce soit. Sans pouvoir détacher mon attention de la dame. Mon corps refuse de faire quoi que ce soit. Daisuke me parle peut-être, mais si c’est le cas je ne l’entend pas. Je suis comme…débordé par ce que je ressens… comme si j’étais dans un autre monde… Au bout d’un moment, Je me lève timidement de ma chaise, et regarde l’inconnue, l’air intrigué… Je m’approche doucement, pas après pas, sans pouvoir lâcher la femme des yeux… j’ai l’impression que mes jambes vont me lâcher à chaque pas… et pourtant elles tiennent bon… Un pas… Puis un autre… J’arrive finalement devant la dame. J’arrive à peine à bouger. Je lève difficilement les bras, pour saisir le cadeau qu’elle m’a offert. Sans même regarder ce qu’il y a dedans je le pose sur la chaise la plus proche. Je sens une larme couleur sur ma joue, puis une deuxième, puis encore une autre et encore une autre. Je fini par éclater en sanglot et, sans demander la permission, je m’accroche à Asuna, aussi fort que mes petits bras le peuvent. |
Daisuke Kûdo#104115#104115#104115#104115#104115#104115
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Mar 26 Mai 2020 - 10:35
Qu'est-ce-que signifie apprivoiser ?
Feat Kazuo Hatori, Asuna Hirano & Daisuke Kûdo
Le p’tit loup donna son accord et je dis à Asuna d’entrer. Cette dernière ouvrit la porte. Ce qu’il se passa ensuite. On me l’aurait spoilé, je ne l’aurais pas cru tellement c’était inimaginable.
Asuna, de son côté… Bah c’était Asuna. Elle faisait des efforts surhumains pour ne pas sauter sur le petit loup et trop le brusquer. Elle avait même prévu un cadeau pour le Kabu. C’est vrai que, elle et moi, on avait beaucoup discuté à propos de Kazuo. Elle me d’mandait toujours beaucoup de détail à son sujet. Comment il était, ce qu’il aimait. Et à chaque fois que le petit passait du temps avec moi, elle me demandait la fois suivante comment ça s’était passé, triste de ne pas avoir pu nous accompagner. Ceci dit, maintenant que les présentations était faite. On allait pouvoir faire des sorties à trois. Il y avait toujours les Onsens à faire avec le Kabu. Mais j’étais persuadé qu’c’était encore un peu trop tôt pour lui.
En parlant du Kabu, il est celui qui a agit le plus bizarrement. Quand ‘Ka-san fut entrée, il l’avait regardé avec attention. Il ne semblait pas vraiment effrayé. Fasciné, peut-être ? Non, c’était pas vraiment le mot qui convenait le mieux. Bref, tout ça pour dire qu’il était pas comme d’habitude. J’imaginais qu’il se serait caché derrière moi, ou qu’il se serait recroquevillé en boule, sous la table. Non, il restait… immobile, sans rien dire, avec quelque chose que je n’arrivais pas à définir qui le submergeait. Je vis bien à un moment remuer ses lèvres mais aucun son ne sortait, comme s’il avait la gorge nouée. Et moi, je restais là, à observer. Parce que pour la première fois, je ne savais pas comment réagir.
Finalement, le petit loup se lève, doucement de sa chaise et, un pas après l’autre, il s’approcha d’Asuna. Il prit le cadeau en main mais le posa de suite, sans regarder ce que c’était. Décidément, c’était de plus en plus étrange. Lentement, je me lève à mon tour pour aller me placer à côté et voir comment il allait. Je vis une larme couler sur ses joues, puis une autre, puis des sanglots. Et il se jeta finalement sur Asuna pour l’enlacer.
Finalement, c’était peut-être étrange mais c’était loin d’être le pire scénario. Je suis un sourire contrit à Asuna qui semblait être aussi perplexe que moi. Finalement, elle prit le louveteau à bras pour un câlin et je me joignis, coinçant Kabu entre nous deux. Le pauvre Kazuo était submergé. Nous restâmes pendant un instant ainsi, berçant le petit loup, attendant qu’il se calme pour aller ensuite s’assoir et manger un morceau. Après un tel chagrin, le petit allait surement avoir un peu faim.
Asuna, de son côté… Bah c’était Asuna. Elle faisait des efforts surhumains pour ne pas sauter sur le petit loup et trop le brusquer. Elle avait même prévu un cadeau pour le Kabu. C’est vrai que, elle et moi, on avait beaucoup discuté à propos de Kazuo. Elle me d’mandait toujours beaucoup de détail à son sujet. Comment il était, ce qu’il aimait. Et à chaque fois que le petit passait du temps avec moi, elle me demandait la fois suivante comment ça s’était passé, triste de ne pas avoir pu nous accompagner. Ceci dit, maintenant que les présentations était faite. On allait pouvoir faire des sorties à trois. Il y avait toujours les Onsens à faire avec le Kabu. Mais j’étais persuadé qu’c’était encore un peu trop tôt pour lui.
En parlant du Kabu, il est celui qui a agit le plus bizarrement. Quand ‘Ka-san fut entrée, il l’avait regardé avec attention. Il ne semblait pas vraiment effrayé. Fasciné, peut-être ? Non, c’était pas vraiment le mot qui convenait le mieux. Bref, tout ça pour dire qu’il était pas comme d’habitude. J’imaginais qu’il se serait caché derrière moi, ou qu’il se serait recroquevillé en boule, sous la table. Non, il restait… immobile, sans rien dire, avec quelque chose que je n’arrivais pas à définir qui le submergeait. Je vis bien à un moment remuer ses lèvres mais aucun son ne sortait, comme s’il avait la gorge nouée. Et moi, je restais là, à observer. Parce que pour la première fois, je ne savais pas comment réagir.
Finalement, le petit loup se lève, doucement de sa chaise et, un pas après l’autre, il s’approcha d’Asuna. Il prit le cadeau en main mais le posa de suite, sans regarder ce que c’était. Décidément, c’était de plus en plus étrange. Lentement, je me lève à mon tour pour aller me placer à côté et voir comment il allait. Je vis une larme couler sur ses joues, puis une autre, puis des sanglots. Et il se jeta finalement sur Asuna pour l’enlacer.
Finalement, c’était peut-être étrange mais c’était loin d’être le pire scénario. Je suis un sourire contrit à Asuna qui semblait être aussi perplexe que moi. Finalement, elle prit le louveteau à bras pour un câlin et je me joignis, coinçant Kabu entre nous deux. Le pauvre Kazuo était submergé. Nous restâmes pendant un instant ainsi, berçant le petit loup, attendant qu’il se calme pour aller ensuite s’assoir et manger un morceau. Après un tel chagrin, le petit allait surement avoir un peu faim.
"Affection, amour et tendresse"
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Asuna S. Hirano#104249#104249#104249#104249#104249#104249#104249
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Sam 6 Juin 2020 - 22:53
Qu’est-ce que signifie apprivoiser ?
Feat Daisuke Kûdo, Kazuo Hatori & Asuna S. Hirano
Il n’a pas l’air bien mon petit. Il semble terriblement chamboulé par ma présence. C’était p’t’être pas une bonne idée de faire cette rencontre maintenant. J’aurai probablement dû attendre qu’i soit un peu plus grand, qu’ça soit plus facile pour lui. Mais en même temps va bien falloir aider Joli Cœur à l’éduquer en tant que lycan et à se défendre, à chasser et s’amuser sans s’faire mal.
Il est d’abord totalement immobile, avant d’essayer de parler, ‘fin d’articuler quelque chose en fait. Mais rien ne passe ses lèvres. Il n’a aucune réaction autre pour le moment et je lance un regard un peu désemparé à Joli Cœur pour qu’il m’aide. Sauf que voilà, il est dans l’même bateau qu’moi. C’est bien ma veine tient ! Bon bon Asuna ça va bien s’passer, pense à tes enfants, j’sais gérer des petits j’l’ai déjà fait ! Après là ... j’avoue que j’ignore si c’est positif ou non c’t’absence de réaction.
Il finit par venir vers moi, sans me lâcher du regard. Il prend maladroitement mon cadeau, mais il l’ouvre pas. J’me suis trompée ? Il en veut pas c’est ça ? Il le pose sur une chaise à côté. Joli Cœur nous rejoint, inquiet de la tournure des évènements visiblement. Mon tout petit commence à pleurer doucement, avant d’éclater en sanglot et de s’accrocher aussi fort qu’il peut à mes jambes. J’ai la sensation que ses pleures me fendent le cœur. Mon pauvre tout petit ... Joli Cœur me fait un sourire contrit parce qu’il est tout aussi perplexe que moi sur la réaction du petit.
J’peux pas le laisser pleurer comme ça. C’est impossible ! Mon cœur de maman le supporte pas. Je le prends doucement dans mes bras, le portant contre moi. Je positionne sa tête sur épaule après avoir déposé un tendre baiser sur son front. Je le berce délicatement pour l’aider à se calmer, j’murmure même à son oreille.
« Tout va bien Petite Tornade. Sèche tes larmes, tu es avec des gens qui t’aiment. Tu ne crains rien. »
Joli Cœur vient aussi nous enlacer. Le temps s’écoule lentement. Je continue de déposer des baisers sur sa tempe et de lui murmurer des paroles apaisantes en le serrant contre moi. Je ne pensais pas qu’il serait autant submergé par ses émotions et son ressentis. Au fond d’moi, je crois que je sais ce qui le chamboule autant. Il doit sentir qui je suis pour lui, sans forcément être capable de le formuler réellement. C’est ancré en lui, un souvenir sans en être un et dont il n’a conservé qu’une impression. Il doit aussi y avoir son instinct qui lui crie qui je suis, parce que malgré tout nous sommes une meute. Et les omégas d’une meute n’ont pas besoin qu’on leur dise qui est leur alpha, ils le savent.
J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on est ainsi, lorsque mon petit dernier se calme enfin. Il s’écarte un peu dans mes bras, reniflant encore un peu et se frottant les yeux. D’une main, en souriant tendrement, j’essuie les larmes restant sur ses petites joues.
« Ça va un peu mieux Petite Tornade ? »
Il hoche légèrement la tête, encore sous le coup de ses émotions et je le comprends parfaitement. Mon Joli Cœur s’écarte, souriant un peu lui aussi, et je me dirige vers la table, posant mon tout petit sur la chaise qu’il occupait à mon arrivée. Je caresse avec douceur sa joue sans cesser de sourire tendrement.
« Est-ce que tu as un peu faim ? Tu aimerais manger ou boire quelque chose ? »
La seule chose qui m’importe là, c’est de m’assurer qu’il va mieux, qu’il se sent mieux. Je sais que Joli Cœur a exactement la même pensée que moi. Cela prendra le temps qu’il faudra, mais j’avancerai au rythme de ma Petite Tornade. Nous avons le temps devant nous pour cela.
Il est d’abord totalement immobile, avant d’essayer de parler, ‘fin d’articuler quelque chose en fait. Mais rien ne passe ses lèvres. Il n’a aucune réaction autre pour le moment et je lance un regard un peu désemparé à Joli Cœur pour qu’il m’aide. Sauf que voilà, il est dans l’même bateau qu’moi. C’est bien ma veine tient ! Bon bon Asuna ça va bien s’passer, pense à tes enfants, j’sais gérer des petits j’l’ai déjà fait ! Après là ... j’avoue que j’ignore si c’est positif ou non c’t’absence de réaction.
Il finit par venir vers moi, sans me lâcher du regard. Il prend maladroitement mon cadeau, mais il l’ouvre pas. J’me suis trompée ? Il en veut pas c’est ça ? Il le pose sur une chaise à côté. Joli Cœur nous rejoint, inquiet de la tournure des évènements visiblement. Mon tout petit commence à pleurer doucement, avant d’éclater en sanglot et de s’accrocher aussi fort qu’il peut à mes jambes. J’ai la sensation que ses pleures me fendent le cœur. Mon pauvre tout petit ... Joli Cœur me fait un sourire contrit parce qu’il est tout aussi perplexe que moi sur la réaction du petit.
J’peux pas le laisser pleurer comme ça. C’est impossible ! Mon cœur de maman le supporte pas. Je le prends doucement dans mes bras, le portant contre moi. Je positionne sa tête sur épaule après avoir déposé un tendre baiser sur son front. Je le berce délicatement pour l’aider à se calmer, j’murmure même à son oreille.
« Tout va bien Petite Tornade. Sèche tes larmes, tu es avec des gens qui t’aiment. Tu ne crains rien. »
Joli Cœur vient aussi nous enlacer. Le temps s’écoule lentement. Je continue de déposer des baisers sur sa tempe et de lui murmurer des paroles apaisantes en le serrant contre moi. Je ne pensais pas qu’il serait autant submergé par ses émotions et son ressentis. Au fond d’moi, je crois que je sais ce qui le chamboule autant. Il doit sentir qui je suis pour lui, sans forcément être capable de le formuler réellement. C’est ancré en lui, un souvenir sans en être un et dont il n’a conservé qu’une impression. Il doit aussi y avoir son instinct qui lui crie qui je suis, parce que malgré tout nous sommes une meute. Et les omégas d’une meute n’ont pas besoin qu’on leur dise qui est leur alpha, ils le savent.
J’ai l’impression que ça fait une éternité qu’on est ainsi, lorsque mon petit dernier se calme enfin. Il s’écarte un peu dans mes bras, reniflant encore un peu et se frottant les yeux. D’une main, en souriant tendrement, j’essuie les larmes restant sur ses petites joues.
« Ça va un peu mieux Petite Tornade ? »
Il hoche légèrement la tête, encore sous le coup de ses émotions et je le comprends parfaitement. Mon Joli Cœur s’écarte, souriant un peu lui aussi, et je me dirige vers la table, posant mon tout petit sur la chaise qu’il occupait à mon arrivée. Je caresse avec douceur sa joue sans cesser de sourire tendrement.
« Est-ce que tu as un peu faim ? Tu aimerais manger ou boire quelque chose ? »
La seule chose qui m’importe là, c’est de m’assurer qu’il va mieux, qu’il se sent mieux. Je sais que Joli Cœur a exactement la même pensée que moi. Cela prendra le temps qu’il faudra, mais j’avancerai au rythme de ma Petite Tornade. Nous avons le temps devant nous pour cela.
"Ne pleure pas, maman est là"
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Dim 19 Juil 2020 - 19:55
Plusieurs minutes passent sans que je sois capable de dire ou de faire quoi que ce soit d’autre que pleurer. Encore et encore et encore. Laheela a toujours dit que j’étais un pleurnicheur, et je suppose que c’est vrai. Mais là c’est différent. D’habitude je pleure parce que j’ai peur de quelque chose (ce qui arrive souvent) ou parce que j’ai mal quelque part (ce qui arrive moins souvent). Là j’ai pas mal et j’ai pas peur… enfin… Je crois pas… C’est bizarre… D’habitude j’ai peur des inconnus, et je me cache derrière les gens que je connais, souvent Papa ou Daisuke. Alors me jeter dans les bras d’une dame que je n’ai jamais vu… mais en fait… c’est pas une inconnue. Je sais pas qui c’est, mais c’est clairement pas une inconnue. Du coup le fait de la voir, c’est comme si je revoyais quelqu’un que je n’avais pas vu depuis très très longtemps, genre comme si elle était parti en voyage super loin et qu’elle revenait maintenant. Mais ça fait pas de sens parce que je l’ai jamais vu… Plein de choses se passent dans ma tête sans que j’arrive vraiment à la comprendre. Tout ce que je comprends, c’est la chaleur que je ressens alors que Daisuke se joint à nous. Pour une fois, peut-être même pour la première fois depuis l’accident, je n’ai pas peur. Je me sens à ma place. Au bout d’un moment, j’arrive quand même à me calmer un peu et m’écarte d’Asuna. Bien que j’aie encore le hoquet, j’arrive à peu près à respirer normalement et à me contrôler. Je ne me sens plus paralysé comme tout à l’heure. La force bizarre qui me contrôlait semble avoir disparu, du moins en partie. Je hoche la tête quand elle me demande si ça va mieux. Je n’arrive pas encore à parler, car ma gorge est encore nouée. Je me laisse porter jusqu’à ma place par la maman de Daisuke. En temps normal j’aurais dit que c’était pas la peine, que je ne suis pas un bébé. Mais là, sans que je sache pourquoi je n’en ressens pas le besoin. J’essuie mes larmes, et remarque aux griffes sur mes mains que ma transformation a commencées. J’ai dû commencé à me transformé pendant que je pleurais, même si je sais pas exactement quand. J’ai appris à reconnaitre le moment où je vais me transformer grâce à Daisuke, mais j’imagine que là c’était trop fort pour moi. Par reflexe je cache mes oreilles, même si ça sert pas à grand-chose vu que mes cheveux aussi ont poussés et que ma queue de loup a fait son apparition à l’arrière de mon pantalon. Je reste là quelques secondes, jusqu’à e que je réalise que ça sert à rien parce que y a que nous, et qu’Asuna aussi c’est un loup donc bon… Asuna me demande si je veux manger ou boire quelque chose. En vrai j’ai pas plus faim que ça, et j’ai encore la boule dans mon estomac. Mais je pense que ça me ferait du bien quand même. Là tout de suite, je me sens vidé d’avoir autant pleuré, et la seule chose dont j’ai vraiment envie c’est de prendre bouton et d’aller me mettre dans un coin pour faire une sieste. Mais ça se fait pas trop quand on est un grand garçon de faire ce genre de chose… je voudrais pas qu’Asuna pense que je suis qu’un gros bébé, même si c’est pas super bien parti. Du coup je me contente de hocher la tête. Je me sens encore un peu hagard, un peu perdu, même si je sens que je reprends le contrôle et que ma transformation se calme petit à petit. Il ne me reste plus que mes oreilles et ma queue, mais je sais que je ferais pas mieux. Il se passe quelques minutes où je ne dis rien, me contentant de regarder mes pieds qui s’agitent. Finalement, j’arrive à articuler quelques mots. « Dé… désolé pour tout à l’heure… je sais pas ce qui s’est passé… » |
Daisuke Kûdo#104553#104553#104553#104553#104553#104553
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Mer 5 Aoû 2020 - 12:44
Qu'est-ce-que signifie apprivoiser ?
Feat Kazuo Hatori, Asuna Hirano & Daisuke Kûdo
Le kabu avait fini par se calmer. Asuna, faisant parler son instinct maternel, le berçait calmement avec un grand sourire. Elle s’adressait à lui d’une voix calme, presque inaudible, tout en se dirigeant vers la table pour nous installer. Moi, je remarque que Kazuo est juste exténué. Le contrecoup, surement. Peut-être faudrait-il lui proposer de se reposer un petit peu. Bien que, le connaissant, il se plaindrait qu’il n’était plus un bébé. Ah… Kazuo, Kazuo, Kazuo… Un jour, tu comprendras peut-être qu’avoir un moment de faiblesse ne faisait pas de toi un enfant. Au contraire, c’était très mature de reconnaitre d’en avoir un. Même moi, je m’autorisais parfois une sieste de temps en temps, quand je me sentais fatigué. Ça permettait de reprendre la journée en pleine forme.
Quelques minutes de silence passaient encore, alors qu’on était tous à table. Asuna nous couvrait du regard, comme à son habitude. Elle était heureuse de cette rencontre qui, pour l’instant, ne se passait pas si mal que ça. Le kabu, lui, regardait fixement ses pieds qui se balançaient dans le vide. On lui laissait le temps de se remettre, allant à son rythme. Il finit par briser le silence et s’excuser de son comportement. Je lui répondis calmement, lui caressant la tête au passage.
Puisque l’émotion était retombée, il était maintenant temps de faire les présentations, en bonne et due forme.
Je lui adressais un clin d’œil. Il savait maintenant d’où je tirais tout mon savoir.
Il n’était pas vraiment nécessaire de le faire en sens inverse. ‘Ka-san m’avait déjà assez tanné pour en savoir un maximum sur le louveteau. Elle avait tenu à ce que je le lui parle de tout en ce qui le concernait. Comment il était, comment était sa famille d’adoption, comment ça se passait quand on se rencontrait, ce qu’il aimait. C’est d’ailleurs comme ça qu’elle s’était décidée à lui acheter un petit quelque chose venant de l’univers de pokémon. On ne savait toujours pas ce que c’était d’ailleurs. Je pris donc le paquet, que Kazuo avait posé sur une chaise un peu plus tôt, pour le lui tendre.
Quelques minutes de silence passaient encore, alors qu’on était tous à table. Asuna nous couvrait du regard, comme à son habitude. Elle était heureuse de cette rencontre qui, pour l’instant, ne se passait pas si mal que ça. Le kabu, lui, regardait fixement ses pieds qui se balançaient dans le vide. On lui laissait le temps de se remettre, allant à son rythme. Il finit par briser le silence et s’excuser de son comportement. Je lui répondis calmement, lui caressant la tête au passage.
Daisu ▬ « Pas besoin de t’excuser pour ça, voyons ! »
Puisque l’émotion était retombée, il était maintenant temps de faire les présentations, en bonne et due forme.
Daisu ▬ « Kazuo, je te présente donc Asuna Hirano. C’est ma maman. Elle s’est occupée de moi pendant vingt ans et elle m’a appris tout ce que je devais savoir sur les lycans et comment me contrôler. Comme j’ai commencé à le faire avec toi. »
Je lui adressais un clin d’œil. Il savait maintenant d’où je tirais tout mon savoir.
Daisu ▬ « Alors… Elle aime prendre des photos. C’est son travail, d’ailleurs. Elle est payée à prendre des photos de paysages ou de personnes pour des magazines. »
Il n’était pas vraiment nécessaire de le faire en sens inverse. ‘Ka-san m’avait déjà assez tanné pour en savoir un maximum sur le louveteau. Elle avait tenu à ce que je le lui parle de tout en ce qui le concernait. Comment il était, comment était sa famille d’adoption, comment ça se passait quand on se rencontrait, ce qu’il aimait. C’est d’ailleurs comme ça qu’elle s’était décidée à lui acheter un petit quelque chose venant de l’univers de pokémon. On ne savait toujours pas ce que c’était d’ailleurs. Je pris donc le paquet, que Kazuo avait posé sur une chaise un peu plus tôt, pour le lui tendre.
Daisu ▬ « Tiens… Tu ne veux pas savoir ce qu’il y a à l’intérieur ? »
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Jeu 20 Aoû 2020 - 12:53
Qu’est-ce que signifie apprivoiser ?
Feat Daisuke Kûdo, Kazuo Hatori & Asuna S. Hirano
Assis sur sa chaise il se cache les oreilles. Il est trop mignon ! T’as pas b’soin d’te cacher mon bébé ! T’es tellement chou ! P’tain j’aurai dû prendre mon appareil photo pour prendre une photo des mes deux louveteaux ! Tant pis prochaine fois … Oh mais j’y pense ! J’ai mon téléphone portable ! J’peux en faire des photos ! Ok la qualité s’ra pas la même pas pour cette fois-ci ça f’ra l’affaire !
Face à ma demande il hoche doucement la tête. J’suis pas convaincue qu’il ait réellement faim ou soif, mais de toute façon ça lui f’ra du bien. Je peux p’t’être lui proposer de faire une petite sieste mais … est-ce qu’il va pas mal l’prendre ? J’tourne mon regard avec mon Joli Cœur, qui semble pas trop inquiète. Donc c’est qu’ça doit aller. J’crois.
Oh il s’excuse ! Mais c’est qu’il va me faire fondre avec tant de mignonitude !
« Ce n’est rien, tu n’as pas besoin de t’excuser Kazuo, tu n’as rien fait de mal. »
J’lui souris toujours largement et caresse sa joue tendrement. Ah la la, les tous petits ! Ils s’excusent toujours pour un rien ! Le plus souvent, comme là, y’en a même pas besoin ! Manquerait plus qu’il s’excuse d’avoir sa queue et ses oreilles ! Tient p’t’être que j’peux aussi sortir les miennes d’oreilles, pour qu’elles prennent l’air ? Il s’ra p’t’être plus à l’aise ? Aller j’me lance ! Après tout j’suis grande j’fais c’que j’veux ! Et puis on est en famille, tranquillou pilou dans une salle rien qu’pour nous. Donc rien à craindre ! J’sors donc oreilles et queue de louve, toujours souriante.
Joli Cœur en profite pour me présenter officiellement à ma P’tite Tornade. C’est sommaire, mais clair et surtout à la portée d’mon p’tit dernier. C’est surtout ça qui compte ! C’est pas comme si on avait pas plusieurs décennies pour faire connaissance tous les deux ! En plus on allait s’faire d’autre sortie en famille à l’avenir. Enfin si l’vampire accepte, c’que j’espère très très fort.
J’me redresse et dépose un baiser sur la joue d’Joli Cœur. J’sais qu’il est pas forcément fan de mes démonstrations d’affection sortie d’nulle part. Mais il devrait pourtant être habitué d’puis l’temps franchement ! D’toute façon j’vais pas changer ça ! Donc voilà !
J’reporte mon attention sur mon tout petit.
« J’aime faire beaucoup de chose autre que la photo tu sais. En revanche, je ne suis pas très douée en cuisine, je progresse mais Joli Cœur peut te dire que je ne suis pas une bonne cuisinière ! Si tu veux et que tu en as envie, et bien sûr que ton papa accepte, on pourra partager d’autres moments tous les trois. »
Joli Cœur tend mon cadeau à Kazuo. Ah ba oui tient c’est vrai ça ! Il l’a pris mais pas encore ouvert. Oulà la ! J’espère qu’j’me suis pas planté en choisissant ! J’crois qu’j’ai un peu perdu la main pour la tout petit enfin … J’coule un regard à Joli Cœur. P’t’être pas en fait, parce qu’Joli Cœur il est grand en âge mais mentalement … c’est encore un adolescent quoi, clairement. Suffit juste de j’ter un coup d’œil à sa chambre pour s’en convaincre ! Ah mes bébés !
« Daisuke m’a dit ce que tu aimais, mais j’espère que ça va te plaire, ça fait très longtemps que je n’ai pas choisi de cadeau pour un grand garçon comme toi. »
Face à ma demande il hoche doucement la tête. J’suis pas convaincue qu’il ait réellement faim ou soif, mais de toute façon ça lui f’ra du bien. Je peux p’t’être lui proposer de faire une petite sieste mais … est-ce qu’il va pas mal l’prendre ? J’tourne mon regard avec mon Joli Cœur, qui semble pas trop inquiète. Donc c’est qu’ça doit aller. J’crois.
Oh il s’excuse ! Mais c’est qu’il va me faire fondre avec tant de mignonitude !
« Ce n’est rien, tu n’as pas besoin de t’excuser Kazuo, tu n’as rien fait de mal. »
J’lui souris toujours largement et caresse sa joue tendrement. Ah la la, les tous petits ! Ils s’excusent toujours pour un rien ! Le plus souvent, comme là, y’en a même pas besoin ! Manquerait plus qu’il s’excuse d’avoir sa queue et ses oreilles ! Tient p’t’être que j’peux aussi sortir les miennes d’oreilles, pour qu’elles prennent l’air ? Il s’ra p’t’être plus à l’aise ? Aller j’me lance ! Après tout j’suis grande j’fais c’que j’veux ! Et puis on est en famille, tranquillou pilou dans une salle rien qu’pour nous. Donc rien à craindre ! J’sors donc oreilles et queue de louve, toujours souriante.
Joli Cœur en profite pour me présenter officiellement à ma P’tite Tornade. C’est sommaire, mais clair et surtout à la portée d’mon p’tit dernier. C’est surtout ça qui compte ! C’est pas comme si on avait pas plusieurs décennies pour faire connaissance tous les deux ! En plus on allait s’faire d’autre sortie en famille à l’avenir. Enfin si l’vampire accepte, c’que j’espère très très fort.
J’me redresse et dépose un baiser sur la joue d’Joli Cœur. J’sais qu’il est pas forcément fan de mes démonstrations d’affection sortie d’nulle part. Mais il devrait pourtant être habitué d’puis l’temps franchement ! D’toute façon j’vais pas changer ça ! Donc voilà !
J’reporte mon attention sur mon tout petit.
« J’aime faire beaucoup de chose autre que la photo tu sais. En revanche, je ne suis pas très douée en cuisine, je progresse mais Joli Cœur peut te dire que je ne suis pas une bonne cuisinière ! Si tu veux et que tu en as envie, et bien sûr que ton papa accepte, on pourra partager d’autres moments tous les trois. »
Joli Cœur tend mon cadeau à Kazuo. Ah ba oui tient c’est vrai ça ! Il l’a pris mais pas encore ouvert. Oulà la ! J’espère qu’j’me suis pas planté en choisissant ! J’crois qu’j’ai un peu perdu la main pour la tout petit enfin … J’coule un regard à Joli Cœur. P’t’être pas en fait, parce qu’Joli Cœur il est grand en âge mais mentalement … c’est encore un adolescent quoi, clairement. Suffit juste de j’ter un coup d’œil à sa chambre pour s’en convaincre ! Ah mes bébés !
« Daisuke m’a dit ce que tu aimais, mais j’espère que ça va te plaire, ça fait très longtemps que je n’ai pas choisi de cadeau pour un grand garçon comme toi. »
"Moment tendre en famille"
Etilya sur DK RPG
Kazuo Hatori#105006#105006#105006#105006#105006
Lycan Oméga - Meute Hirano
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Emploi/loisirs : écolier/ passe son temps à prendre des photos
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Lun 26 Oct 2020 - 19:13
Je hoche la tête et prend le cadeau dans mes mains. C'est vrai que je l'avais complètement oublié. C'est pas très polis mais en même temps j'étais plus trop moi-même à ce moment là. Je me contrôlait plus trop, alors le cadeau, ça m'est passé au dessus de la tête. Je prend l'emballage enrubanné. Il est dans une boite carré, donc impossible de deviner ce que c'est. Pourtant je suis fort pour deviner les cadeaux en général, mais les cadeau dans des boites carrées c'est pas évident. Et puis on peu pas secouer, au cas où ce serait fragile. J'enlève délicatement le papier cadeau, en tant normal je l'aurais déchiré pour savoir plus vite ce qu'il y a dedans, mais là j'ai pas envie de faire une trop mauvaise impression, même si c'est pas forcément bien parti pour. Mais bon, on essaye quand même. Une fois tout le papier enlevé, j'ouvre la boite et découvre une peluche de Rockruff. Je regarde la peluche, puis Asuna, comme si ce n'étais pas pour moi. Mais pour le coup si, c'est pour moi! Un grand sourire se dessine sur mes lèvres et je commence à gigoter d'excitement. J'ai toujours aimé les peluches, depuis que je suis tout bébé, même si on en a donné pas mal quand j'ai quitté Honolulu. Je sers la peluche contre mon coeur avant de me retourner vers Asuna et Aniki. "Merci, Merci beaucoup!” Je me ravise ensuite et me lève pour m’incliner proprement. J’ai encore un peu de mal avec les codes de politesses au japon, même si je fais des efforts, le naturel reprend parfois le dessus. "Je veux dire… Merci beaucoup, ça me fait très plaisir ! ” je sent mon sourire grimper jusqu’à mes oreilles. enfin, mes oreilles d’humain bien sûr, pas mes oreilles de loup. Sinon ce serait un peu effrayant… Enfin bref, je suis très content, et j’ai un peu de mal à rester en place. J’ai toujours été un peu comme ça, à devoir me défouler quand je suis excité ou énervé, mais depuis ma transformation c’est encore pire. Papa Kazuma dit que j’ai trop d’énergie à dépenser, et c’est aussi pour ça que je dort mal. Akihito dit plutôt que c’est parce que Kazuma contrarie mon rythme naturel, et que je devrais vivre la nuit. Pas trop compris, et comme je l’ai entendu dire pendant que j’allais me chercher un biscuit en pleine nuit alors que j’étais sensé dormir… J’ai pas osé demandé… On vient prendre notre commande, et je prend la même chose que d’habitude, du poulet et des frites. Papa Kazuma m’a déjà dit que j’étais assez grand pour tester de nouvelles choses si je voulais, mais le truc c’est que j’ai pas envie. J’aime bien le poulet moi. En plus chez Akihito on a déjà pas mal de chose à goûter en fait… son chef cuisinier fait beaucoup de choses différentes, surtout avec de la viande rouge, comme c’est des vampires, mais pas que. Avant je mangeais plus du poisson, parce qu’il y en a beaucoup à Hawaï et autant dans la culture japonaise que hawaïenne, mais avec ma transformation ça a un peu changé. Une fois les commandes prises, Je regarde Asuna. Elle est vraiment impressionnante. Je saurais pas dire comment ou pourquoi, mais elle en impose. Et en même temps sa présence est rassurante, apaisante. Je sent qu'il ne peut rien m'arriver. Ça me fait la même chose avec Papa Kazuma et Daïsuke, mais ça a mis du temps. Pour Asuna, c'est presque instantané. Je regarde ses oreilles de loups bouger. C'est pas la première fois que je vois un autre loup sortir ses oreilles. Avec Daïsuke c'est même assez courant, en privé du moins, mais je sais pas pourquoi, je les regarde, comme fasciné. |
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