Diving into a painful memory [23/08/2018]
2 participants
Sarah F. Ryan#106863#106863#106863#106863#106863#106863
Vampire Level A - Clan B. Ryan
Race : Vampire
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Mar 8 Fév 2022 - 8:55
Diving into a painful memory
Feat Alyssa & Sarah F. Lawford
C’est avec un soupir et un mal de crâne plus psychologique que physiologique que la Duchesse Lawford passait les portes de bon secours. Il fallait avouer que les derniers événements en date n’aidaient pas la demoiselle à se porter au mieux. La seule chose clairement positive depuis la fin du mois de Juillet était clairement la possible fin des attaques de lycans fous. En effet, plus un seul article n’était apparu à se sujet dans le journal et aucun nouveau mort n’avait été recensé. Limite, elle avait presque l’impression que, par moment, c’était comme si cela n’avait jamais existé. Mais c’était peut-être qu’une impression. Pour le reste… Et bien, le monde vampirique était tellement chamboulé que cela lui prenait la tête. Et si seulement cela ne concernait que les autres clans… Mais non, Elle n’arrivait pas à faire l’impasse sur les événements du bal de l’annonce de ses fiançailles avec Junya… Ni des révélations qui suivirent. Elle avait bien conscience qu’elle se devait de prendre une décision, et vite. Mais comment pourrait-elle le faire à la légère ? Une véritable prise de tête.
Comme à son habitude depuis qu’elle venait en ces lieux en tant que tutrice d’une certaine vampiresse sous la protection du chef des Chevaliers des Ombres, elle se dirigea d’abord en cuisine et mis chauffer une bouilloire d’eau pour un peu de thé. Elle s’affaira ensuite à sortir un plateau et préparer deux tasses pour son élève et elle, ainsi qu’une théière. Elle prépara une infusion et se chargea du plateau et de son contenu pour monter jusqu’à la chambre d’Alyssa. Sarah signala sa présence par quelques coups sur la porte réparée quelques semaines plus tôt, un peu après sa première visite.
La petite vampiresse ouvrit sans attendre. Sarah lui adressa un sourire et entra doucement dans la pièce. Cette dernière était particulièrement bien rangée. A croire que la petite avait fait un peu de rangement avant sa venue. La Duchesse se souvenait d’une fois où elle avait aperçu des feuilles de notes étalées par terre. Mais elle n’avait fait aucune remarque à se sujet, puisque la petite était encore, en cette période, en pleine session d’examens.
Sans attendre, Sarah posa le plateau sur le bureau et s’installa, regardant attentivement Alyssa.
Les premières sessions qui avaient suivi s’étaient concentré sur certains point de vue du monde vampiriques et sur une présentation un peu plus poussée des différents clans et de leur territoire. Cela restait du survol. Parce qu’il y avait tout de même beaucoup de choses à dire. Et, en réalité, il y avait bien trop de bouleversements ces derniers temps pour vraiment aller au fond des choses. Ce n’était que partie remise, le temps que ça se calme et se stabilise.
Comme à son habitude depuis qu’elle venait en ces lieux en tant que tutrice d’une certaine vampiresse sous la protection du chef des Chevaliers des Ombres, elle se dirigea d’abord en cuisine et mis chauffer une bouilloire d’eau pour un peu de thé. Elle s’affaira ensuite à sortir un plateau et préparer deux tasses pour son élève et elle, ainsi qu’une théière. Elle prépara une infusion et se chargea du plateau et de son contenu pour monter jusqu’à la chambre d’Alyssa. Sarah signala sa présence par quelques coups sur la porte réparée quelques semaines plus tôt, un peu après sa première visite.
Sarah ▬ « Bonsoir, Mitsutsuki-san. C’est l’heure de notre rendez-vous hebdomadaire. »
La petite vampiresse ouvrit sans attendre. Sarah lui adressa un sourire et entra doucement dans la pièce. Cette dernière était particulièrement bien rangée. A croire que la petite avait fait un peu de rangement avant sa venue. La Duchesse se souvenait d’une fois où elle avait aperçu des feuilles de notes étalées par terre. Mais elle n’avait fait aucune remarque à se sujet, puisque la petite était encore, en cette période, en pleine session d’examens.
Sans attendre, Sarah posa le plateau sur le bureau et s’installa, regardant attentivement Alyssa.
Sarah ▬ « Comment allez-vous, aujourd’hui ? Prête pour une nouvelle leçon ? Comment s’est passé votre semaine ? »
Les premières sessions qui avaient suivi s’étaient concentré sur certains point de vue du monde vampiriques et sur une présentation un peu plus poussée des différents clans et de leur territoire. Cela restait du survol. Parce qu’il y avait tout de même beaucoup de choses à dire. Et, en réalité, il y avait bien trop de bouleversements ces derniers temps pour vraiment aller au fond des choses. Ce n’était que partie remise, le temps que ça se calme et se stabilise.
"Remue-ménage"
Etilya sur DK RPG
Mitsutsuki Alyssa#106873#106873#106873
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Dim 13 Fév 2022 - 0:33
Cela allait être une soirée riche en connaissance et bien aisance. La duchesse n'allait pas tarder et ma chambre toujours aussi impersonnel était propre et bien rangé comme à son habitude. Disons qu'il n'était pas compliqué pour moi de rentre cet endroit correct vu le nombre de bien très limité. A force de voir et constaté des choses tout en ayant des bases de plus en plus solide, j'étais devenu admirative de Sarah. Je pense qu'au font elle le savait et je m'en voulais de lui imposer mon éducation même si au fond ce n'est pas moi qui ai demandé l'aide que je recevais. Je l'attendais limite en temps et en heure. Quand je sentis son odeur arriver dans Bonsecours j'étais excité comme une puce. Quand elle toqua j'étais limite derrière la porte et je lui ouvrais rapidement l'accès. Lui faisant un grand sourire sincère je lui fit place pour qu'elle entre dans ma modeste demeure et se mette à ses aises.
Bonsoir sensei, contente de vous revoir, j'avais hâte. Je savais que vous viendriez avec du thé comme à votre habitude alors j'ai préparé une gourmandise pour disons vous remercier déjà de tout ce que vous avez fait pour moi.
Un petit paquet était sur mon bureau. Deux petites assiettes et fourchettes à gâteau accompagnaient cette boite. Il n'était donc pas difficile d'en connaître le contenu de façon générale. J'ouvris la boîte devant elle lui dévoilant mon fameux fraisier. La seule valeur sûr où je ne me ratais jamais en cuisine. Je servis mon professeur en première avant de me servir répondant à sa question enthousiaste.
Je vais bien en dehors du petit soucis que je vous ai confié peu après l'incident de l'université. Mes sens vampiriques sont... instables. Cela me provoque des absences ou des réflexes anticipés parfois au dépens de ma volonté. Je ne sais pas si mon artéfact perd de sa puissance ou s'il est cassé ou si c'est moi. Heureusement...le plus dangereux reste sous contrôle... Sinon oui je suis prête pour la nouvelle leçon. Je suis curieuse de savoir ce que je vais apprendre sur notre espèce aujourd'hui.
J'étais fort attentive. Si au début les leçons avaient des hauts et des bas à cause de mon comportement dans 99% des cas, les leçons se passaient parfaitement bien et je faisais part de mon désaccord calmement pour le 1% restant s'il y en avait un. J'avais commencé à prendre des notes, il y avait tellement à savoir et j'étais tellement absorbé dans mes études que devoir tout retenir du monde vampirique demandait un petit peu trop dans l'immédiat. J'apprenais donc doucement et relisais quand j'avais un doute. Je savais néanmoins que ces écris ne devaient pas tomber dans d'autres mains que les miennes ou celles de mon professeur. De toute façon quand tout sera convenablement ancré dans ma mémoire, les notes seront détruites.
J'étais curieuse de savoir ce que j'allais apprendre néanmoins. J'avais vu les hiérarchies, les structures les plus importantes de notre espèces à notre époque. J'étais tout enjoué à l'idée de la prochaine leçon. En plus se serait un plaisir en dégustant le thé et le fraisier. Je me demandais qu'elle serait la leçon surprise du jour.
J'espère que cela a été pour vous sensei. Vous sembliez tracassé la semaine dernière...
Oui j'étais inquiètes pour Sarah. A vrai dire malgré son côté froid et ses expressions qui la faisait paraître parfois insensible, j'avais remarqué des petits détails à force de l'observer. Je ne savais pas ce qui la tracassait, mais ce n'était surement pas de mon niveau et de toute façon je n'étais même pas encore un premier pieds dans les affaires des vampires. Trop inexpérimentée, trop jeune surement et surtout tête brûlé. Si je me tenais bien devant Sarah, elle s'avait aussi que ce ne serait pas forcément la même chose avec un autre d'autant plus que ma façon de voir la vie était opposé à celle qu'un vampire devrait probablement avoir. Je lui faisait un petit sourire innocent pour lui souhaiter du courage.
Bonsoir sensei, contente de vous revoir, j'avais hâte. Je savais que vous viendriez avec du thé comme à votre habitude alors j'ai préparé une gourmandise pour disons vous remercier déjà de tout ce que vous avez fait pour moi.
Un petit paquet était sur mon bureau. Deux petites assiettes et fourchettes à gâteau accompagnaient cette boite. Il n'était donc pas difficile d'en connaître le contenu de façon générale. J'ouvris la boîte devant elle lui dévoilant mon fameux fraisier. La seule valeur sûr où je ne me ratais jamais en cuisine. Je servis mon professeur en première avant de me servir répondant à sa question enthousiaste.
Je vais bien en dehors du petit soucis que je vous ai confié peu après l'incident de l'université. Mes sens vampiriques sont... instables. Cela me provoque des absences ou des réflexes anticipés parfois au dépens de ma volonté. Je ne sais pas si mon artéfact perd de sa puissance ou s'il est cassé ou si c'est moi. Heureusement...le plus dangereux reste sous contrôle... Sinon oui je suis prête pour la nouvelle leçon. Je suis curieuse de savoir ce que je vais apprendre sur notre espèce aujourd'hui.
J'étais fort attentive. Si au début les leçons avaient des hauts et des bas à cause de mon comportement dans 99% des cas, les leçons se passaient parfaitement bien et je faisais part de mon désaccord calmement pour le 1% restant s'il y en avait un. J'avais commencé à prendre des notes, il y avait tellement à savoir et j'étais tellement absorbé dans mes études que devoir tout retenir du monde vampirique demandait un petit peu trop dans l'immédiat. J'apprenais donc doucement et relisais quand j'avais un doute. Je savais néanmoins que ces écris ne devaient pas tomber dans d'autres mains que les miennes ou celles de mon professeur. De toute façon quand tout sera convenablement ancré dans ma mémoire, les notes seront détruites.
J'étais curieuse de savoir ce que j'allais apprendre néanmoins. J'avais vu les hiérarchies, les structures les plus importantes de notre espèces à notre époque. J'étais tout enjoué à l'idée de la prochaine leçon. En plus se serait un plaisir en dégustant le thé et le fraisier. Je me demandais qu'elle serait la leçon surprise du jour.
J'espère que cela a été pour vous sensei. Vous sembliez tracassé la semaine dernière...
Oui j'étais inquiètes pour Sarah. A vrai dire malgré son côté froid et ses expressions qui la faisait paraître parfois insensible, j'avais remarqué des petits détails à force de l'observer. Je ne savais pas ce qui la tracassait, mais ce n'était surement pas de mon niveau et de toute façon je n'étais même pas encore un premier pieds dans les affaires des vampires. Trop inexpérimentée, trop jeune surement et surtout tête brûlé. Si je me tenais bien devant Sarah, elle s'avait aussi que ce ne serait pas forcément la même chose avec un autre d'autant plus que ma façon de voir la vie était opposé à celle qu'un vampire devrait probablement avoir. Je lui faisait un petit sourire innocent pour lui souhaiter du courage.
Sarah F. Ryan#106877#106877#106877#106877#106877#106877
Vampire Level A - Clan B. Ryan
Race : Vampire
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Mar 15 Fév 2022 - 17:25
Diving into a painful memory
Feat Alyssa & Sarah F. Lawford
En posant le plateau sur le bureau, la Duchesse remarqua la présence de deux assiettes et fourchettes, le tout accompagné d’un petit paquet. Elle n’eut as besoin de poser la moindre question que la réponse arriva d’elle-même. Alyssa avait préparé un gâteau pour accompagner l’habituel thé. Un fraisier, la Duchesse pouvait le reconnaitre des le premier coup d’œil.
Les deux s’affairèrent au service. Les deux allaient d’abord se concentrer sur la petite gourmandise avant de se plonger, comme Sarah l’avait prévu, dans les méandres de l’esprit d’Alyssa. La jeune lady s’installa, de manière élégante, assise sur le lit, laissant la chaise et le bureau à son élève. Cette dernière allait bien, d’une manière générale, sauf si on oubliait le « petit soucis ». Sarah se retint de grimacer. L’incident à l’université. Cela avait fait le tour de la ville. Sarah n’avait pas conscience, ce soir-là, des événements. Elle était restée à la résidence de Junya en pleine préparation pour le bal de la lune de sang. Elle en avait eu vent que le lendemain, en arrivant à Bonsecours. Le Père Riku était venu vers elle pour lui expliquer les mésaventures d’Alyssa la veille. Se retrouver confrontée à tous ce qu’elle haïssait chez les vampires avait été un choc. Mais cela avait permis de faire la distinction en Vampire et les level End.
Quoi qu’il en fût, la jeune fille avait des problèmes avec sa nature vampirique. Toutefois, Sarah ne voyait pas où était le problème. Premièrement, elle ne pouvait pas être malade. Physiquement, du moins. Elle doutait aussi que l’artefact que la vampirette avait au poignait faiblisse. Elle ne connaissait pas ce genre d’objet et ignorait même quand et comment il avait bien pu être créé. En tout cas, Aaren Hermasson avait été très clair à ce sujet : Ce bracelet était prévu pour limiter les capacités d’un vampire sans pour autant les effacer complétement, et sa capacité ne s’effacerait pas avec le temps. Le Chef des Chevaliers des Ombres avait l’air convaincu, au point même d’en savoir plus qu’il n’en disait dessus. Et la Duchesse n’avait aucune raison de remettre sa parole en doute. Il restait donc deux solutions envisageables. Soit c’était psychologique et, alors, Sarah pouvait regretter sérieusement de feu Kjell Mannenheim, soit c’était dû à la lune de Sang. Donc, en clair, elle n’était pas plus avancée.
La Duchesse fut tirée de ses réflexions par la petite Alyssa qui reprit parole. Tracassée la semaine dernière ? Ce n’était pas vraiment le mot. Et ce la ne faisait pas qu’une semaine. Trois chefs de Clans disparus, les révélations, les confidences, l’arrêt brutal du virus lycan et de sa mention dans les journaux. Il y avait clairement besoin de réfléchir. Donc, si, pour la petite, elle avait l’air juste un peu tracassée, cela l’arrangeait bien.
Elle l’alla pas jusqu’à dire qu’elle trouvait le soudain silence sur le sujet suspect. Cela arrangeait les créatures de la nuit qu’ils étaient, elle n’allait donc pas s’en plaindre. Surtout qu’elle avait d’autres chats à fouetter pour l’instant. Et, en vrai, faire une pause dans cette histoire lui permettait de souffler un peu. Alors, au lieu de ruminer encore et encore ses pensées, elle prit un morceau du fraisier pour le goûter. Ce n’était pas le chef d’œuvre d’un chef pâtissier étoilé. Mais c’était une petite douceur préparée avec amour et attention à savourer. Sarah sourit à la petite.
Une simple remarque qui fit sourire la plus jeune des deux.
Sarah ▬ « C’est une délicate attention de votre part, Mitsutsuki-san. »
Les deux s’affairèrent au service. Les deux allaient d’abord se concentrer sur la petite gourmandise avant de se plonger, comme Sarah l’avait prévu, dans les méandres de l’esprit d’Alyssa. La jeune lady s’installa, de manière élégante, assise sur le lit, laissant la chaise et le bureau à son élève. Cette dernière allait bien, d’une manière générale, sauf si on oubliait le « petit soucis ». Sarah se retint de grimacer. L’incident à l’université. Cela avait fait le tour de la ville. Sarah n’avait pas conscience, ce soir-là, des événements. Elle était restée à la résidence de Junya en pleine préparation pour le bal de la lune de sang. Elle en avait eu vent que le lendemain, en arrivant à Bonsecours. Le Père Riku était venu vers elle pour lui expliquer les mésaventures d’Alyssa la veille. Se retrouver confrontée à tous ce qu’elle haïssait chez les vampires avait été un choc. Mais cela avait permis de faire la distinction en Vampire et les level End.
Quoi qu’il en fût, la jeune fille avait des problèmes avec sa nature vampirique. Toutefois, Sarah ne voyait pas où était le problème. Premièrement, elle ne pouvait pas être malade. Physiquement, du moins. Elle doutait aussi que l’artefact que la vampirette avait au poignait faiblisse. Elle ne connaissait pas ce genre d’objet et ignorait même quand et comment il avait bien pu être créé. En tout cas, Aaren Hermasson avait été très clair à ce sujet : Ce bracelet était prévu pour limiter les capacités d’un vampire sans pour autant les effacer complétement, et sa capacité ne s’effacerait pas avec le temps. Le Chef des Chevaliers des Ombres avait l’air convaincu, au point même d’en savoir plus qu’il n’en disait dessus. Et la Duchesse n’avait aucune raison de remettre sa parole en doute. Il restait donc deux solutions envisageables. Soit c’était psychologique et, alors, Sarah pouvait regretter sérieusement de feu Kjell Mannenheim, soit c’était dû à la lune de Sang. Donc, en clair, elle n’était pas plus avancée.
La Duchesse fut tirée de ses réflexions par la petite Alyssa qui reprit parole. Tracassée la semaine dernière ? Ce n’était pas vraiment le mot. Et ce la ne faisait pas qu’une semaine. Trois chefs de Clans disparus, les révélations, les confidences, l’arrêt brutal du virus lycan et de sa mention dans les journaux. Il y avait clairement besoin de réfléchir. Donc, si, pour la petite, elle avait l’air juste un peu tracassée, cela l’arrangeait bien.
Sarah ▬ « Ma foi, ce fut une longue semaine à voir du monde pour parler d’avenir. A vrai dire, la ville semble respirer à nouveau. On entend plus parler de lycan fou. J’ai appris par un ami que la lune rousse a eu, visiblement, un effet sur eux, rendant le virus inopérant. Et les humains ne parlent plus de surnaturel. »
Elle l’alla pas jusqu’à dire qu’elle trouvait le soudain silence sur le sujet suspect. Cela arrangeait les créatures de la nuit qu’ils étaient, elle n’allait donc pas s’en plaindre. Surtout qu’elle avait d’autres chats à fouetter pour l’instant. Et, en vrai, faire une pause dans cette histoire lui permettait de souffler un peu. Alors, au lieu de ruminer encore et encore ses pensées, elle prit un morceau du fraisier pour le goûter. Ce n’était pas le chef d’œuvre d’un chef pâtissier étoilé. Mais c’était une petite douceur préparée avec amour et attention à savourer. Sarah sourit à la petite.
Sarah ▬ « Ce gâteau est excellent. On sent que les fraises ont été fraichement récoltées ! »
Une simple remarque qui fit sourire la plus jeune des deux.
Sarah ▬ « En ce qui concerne la leçon d’aujourd’hui, je me suis dit que faire une pause sur tout ce que je vous apprends sur le monde vampirique pour nous concentrer un peu sur vous. Et pour cela, nous allons devoir rêver un peu. Profitons donc de cette petite douceur bien méritée avant de nous y attaquer, d’accord ? »
"Une petite pause"
Etilya sur DK RPG
Mitsutsuki Alyssa#106887#106887#106887
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Mer 23 Fév 2022 - 18:36
Petit moment privilégier avec ma professeur Le cours n'avait pas commencé ou plutôt, il avait commencé par ma façon de me comporter. Si je n'étais pas encore capable d'agir comme une vampire de mon rang digne de ce nom, je faisais au moins preuve d'un grand respect comme une humaine. Il y avait du boulot et me faire faire un travail pratique de bonnes mœurs avec d'autres vampire de même classe social, j'y était bien loin. En parlant de classe social, en dehors de savoir que j'étais d'une classe social dite noble, on ne savait toujours pas envers qui j'étais affilié ou si j'avais des possessions par héritage quelconque.
Discuter de tout et de rien avec mon professeur me faisait du bien. Si elle n'avait pas continué la conversation sur mon petit soucis c'était soit que ce n'était pas bien grave, soit qu'elle n'avait pas la réponse. La duchesse n'était pas du genre à spéculer des paroles sur des hypothèses, elle préférait des informations concrète ou constaté. Ainsi elle appréciait la douceur que j'avais préparé et j'en reçu un compliment. A vrai dire je lui souriais contente. Cela faisait plaisir d'avoir de la reconnaissance dans mon cas.
Elle me parla aussi de ses petits soucis. Du moins ce qui était de mon niveau bon à savoir. Cela était un soulagement au sujet du surnaturel même si, dernièrement car je n'avais pas eu le choix, j'avais dû me faire découvrir par certaines personnes que je ne voulais pas. Je ne savais pas trop comment ils avaient prit la chose en sachant que je leur avais délibérément mentis. J'avais honte à ce sujet, mais j'avais encore plus peur d'être seule à nouveau. Cela me tracassait un peu le regard que les autres pouvaient avoir sur moi par la simple étiquette vampire. J'avais toujours honte de ce que j'étais aussi, même si je m'étais fait à l'idée que je devrais vivre avec toute ma vie.
C'est un soulagement que ça ne parle plus de surnaturelle, c'est déjà assez épuisant de devoir se cacher et mentir. Je n'aime pas mentir... Sensei... j'ai une crainte... lors de l'incident à l'université je fus forcée de me dévoilé ma nature à deux personnes humaines que je considère comme mes premiers amis... j'ai peur de les affronter de face, leur regard à mon égard ou qu'ils me rejettent. J'ai peur d'être seule à nouveau... En vrai je ne sais pas ce qu'ils pensent de moi j'aimerai savoir mais... ça m'angoisse.
Je pris une pause pour reprendre mes petits esprits avant de reprendre. Avec un sourire pour parler rapidement cuisine.
Si vous devenez accroc à mon fraisier, je pourrais vous en refaire rien que pour vous.
Je commençais à réfléchir au moment où elle parlait de se concentrer sur moi et rêver. Rêver pourquoi ? Un crainte que je repique une crise ? Qu'avait-elle en tête. Je devenais méfiante pour le coup. S'il n'y avait que sur le fait de se concentrer sur moi, j'aurai pensé qu'elle m'aurait appris à agir comme la vampire que je devrais être en cas de discussion avec d'autres compares de notre espèce. Je savourais mon fraisier, du moins ce qu'il en restait vu que j'étais un estomac sur patte, la nourriture humaine mon péché mignon.
Sur moi? Comment ça rêvé ? J'ai promis que je ne piquerais plus de crise et que je me tiendrai correctement à votre égard. Pourquoi refaire comme à notre rencontre?
Il est vrai que je m'inquiétais. Je ne comprenais pas et j'avais besoin d'explications et de raisons sur le fait de replonger dans un état inconscient. Ce n'était pas forcément désagréable. Cependant, le fait de se savoir non maître de son subconscient me déroutait un peu. C'était une prison mental en quelque sorte. Je regardais la duchesse inquiète. J'avais besoin d'être rassuré.
Discuter de tout et de rien avec mon professeur me faisait du bien. Si elle n'avait pas continué la conversation sur mon petit soucis c'était soit que ce n'était pas bien grave, soit qu'elle n'avait pas la réponse. La duchesse n'était pas du genre à spéculer des paroles sur des hypothèses, elle préférait des informations concrète ou constaté. Ainsi elle appréciait la douceur que j'avais préparé et j'en reçu un compliment. A vrai dire je lui souriais contente. Cela faisait plaisir d'avoir de la reconnaissance dans mon cas.
Elle me parla aussi de ses petits soucis. Du moins ce qui était de mon niveau bon à savoir. Cela était un soulagement au sujet du surnaturel même si, dernièrement car je n'avais pas eu le choix, j'avais dû me faire découvrir par certaines personnes que je ne voulais pas. Je ne savais pas trop comment ils avaient prit la chose en sachant que je leur avais délibérément mentis. J'avais honte à ce sujet, mais j'avais encore plus peur d'être seule à nouveau. Cela me tracassait un peu le regard que les autres pouvaient avoir sur moi par la simple étiquette vampire. J'avais toujours honte de ce que j'étais aussi, même si je m'étais fait à l'idée que je devrais vivre avec toute ma vie.
C'est un soulagement que ça ne parle plus de surnaturelle, c'est déjà assez épuisant de devoir se cacher et mentir. Je n'aime pas mentir... Sensei... j'ai une crainte... lors de l'incident à l'université je fus forcée de me dévoilé ma nature à deux personnes humaines que je considère comme mes premiers amis... j'ai peur de les affronter de face, leur regard à mon égard ou qu'ils me rejettent. J'ai peur d'être seule à nouveau... En vrai je ne sais pas ce qu'ils pensent de moi j'aimerai savoir mais... ça m'angoisse.
Je pris une pause pour reprendre mes petits esprits avant de reprendre. Avec un sourire pour parler rapidement cuisine.
Si vous devenez accroc à mon fraisier, je pourrais vous en refaire rien que pour vous.
Je commençais à réfléchir au moment où elle parlait de se concentrer sur moi et rêver. Rêver pourquoi ? Un crainte que je repique une crise ? Qu'avait-elle en tête. Je devenais méfiante pour le coup. S'il n'y avait que sur le fait de se concentrer sur moi, j'aurai pensé qu'elle m'aurait appris à agir comme la vampire que je devrais être en cas de discussion avec d'autres compares de notre espèce. Je savourais mon fraisier, du moins ce qu'il en restait vu que j'étais un estomac sur patte, la nourriture humaine mon péché mignon.
Sur moi? Comment ça rêvé ? J'ai promis que je ne piquerais plus de crise et que je me tiendrai correctement à votre égard. Pourquoi refaire comme à notre rencontre?
Il est vrai que je m'inquiétais. Je ne comprenais pas et j'avais besoin d'explications et de raisons sur le fait de replonger dans un état inconscient. Ce n'était pas forcément désagréable. Cependant, le fait de se savoir non maître de son subconscient me déroutait un peu. C'était une prison mental en quelque sorte. Je regardais la duchesse inquiète. J'avais besoin d'être rassuré.
Sarah F. Ryan#106889#106889#106889#106889#106889#106889
Vampire Level A - Clan B. Ryan
Race : Vampire
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Jeu 24 Fév 2022 - 9:51
Diving into a painful memory
Feat Alyssa & Sarah F. Lawford
Le début de cet échange se passait bien. En réalité, la Duchesse était plutôt contente. Parce que depuis qu’elle rencontrait régulièrement Alyssa, cette dernière s’était un peu plus ouverte auprès d’elle et se confiait un peu plus sur ces problèmes et dilemmes. Sarah comprenait que la demoiselle n’était pas encore tout à fait en harmonie avec sa vraie nature. Mais elle avait bon espoir qu’une année entière à discuter à fréquence hebdomadaire puisse aider la petite à s’accepter elle-même telle qu’elle était.
La Duchesse savait pertinemment de quel événement Alyssa parlait. Cela s’était déroulé le 17 juillet dernier, la veille de leur seconde rencontre. Par conséquent, cette rencontre avait été dédié à cet événement, permettant à la petite de vider, en partie, son sac. Ce jour-là, la discussion avait été très factuelle. Elles ne s’étaient pas attardées sur les états d’âmes de la jeune fille. Sarah préférait attendre qu’elle en parle d’elle-même comme aujourd’hui. Il en avait découlé une longue discussion sur les vampires ayant perdu la raison, comme ceux qui avaient attaqués l’université. Sarah nota de revenir sur le sujet avant de l’endormir. Elle devait d’abord expliciter le programme de la séance, sur lequel la vampirette avait assez mal réagi. D’un regard sévère, Sarah reprit parole.
Sarah souffla intérieurement. Elle devait retrouver son calme. Cette séance n’était pas une punition. Mais elle avait bien conscience que cela ne serait pas une partie de plaisir pour son interlocutrice. Elle reprit donc la parole, avant que celle-ci ne puisse ajouter quoique ce soit.
Le regard de la Lady s’ancra dans celui de la vampirette. Elle attendit sa réaction. Si cette dernière se calmait et collaborait, elles pourraient avancer ensemble pour le bien de la vampirette. Sinon, elle l’endormirait sans préavis. Toutefois, elle espérait vraiment ne pas devoir arriver à une telle extrémité, comme lors de leur première rencontre.
La Duchesse savait pertinemment de quel événement Alyssa parlait. Cela s’était déroulé le 17 juillet dernier, la veille de leur seconde rencontre. Par conséquent, cette rencontre avait été dédié à cet événement, permettant à la petite de vider, en partie, son sac. Ce jour-là, la discussion avait été très factuelle. Elles ne s’étaient pas attardées sur les états d’âmes de la jeune fille. Sarah préférait attendre qu’elle en parle d’elle-même comme aujourd’hui. Il en avait découlé une longue discussion sur les vampires ayant perdu la raison, comme ceux qui avaient attaqués l’université. Sarah nota de revenir sur le sujet avant de l’endormir. Elle devait d’abord expliciter le programme de la séance, sur lequel la vampirette avait assez mal réagi. D’un regard sévère, Sarah reprit parole.
Sarah ▬ « Cessez ! Et ne tirez pas de conclusions hâtives ! Ai-je dit que c’était une punition ? Laissez-moi le temps de vous expliquer la raison de cette séance. Oui, aujourd’hui, nous allons travailler sur vous. Voyez comment vous réagissez avant même que je puisse vous donner plus de détails. Trouvez-vous cela normal ? Je n’ai à aucun moment dit que c’était une punition. Pire encore, je prends le temps de vous prévenir afin de vous préparer au mieux. Le monde n’existe pas pour vous persécuter ! Alors arrêtez de jouer les martyrs. »
Sarah souffla intérieurement. Elle devait retrouver son calme. Cette séance n’était pas une punition. Mais elle avait bien conscience que cela ne serait pas une partie de plaisir pour son interlocutrice. Elle reprit donc la parole, avant que celle-ci ne puisse ajouter quoique ce soit.
Sarah ▬ « Vous avez parlé de l’attaque du camus. Et vous avez vu les vampires qui ont attaqués les étudiants. Nous avons déjà eu cette discussion auparavant et vous savez ce qui différencie eux de nous : la raison. Contrairement à eux, nous sommes capables de raisonner et de ne pas se jeter sur le premier quidam qui passe pour assouvir notre soif.
Cependant, vous savez aussi pourquoi nous nous voyons régulièrement. Une fois, vous avez perdu la raison, ce qui vous a rendue aussi dangereuse que les vampires qui ont attaqués le campus. Vous êtes devenue une bête sauvage pour une raison précise. Et il est nécessaire de comprendre cette raison afin de vous aider à ce que ça n’arrive plus. Le but est que vous puissiez être entièrement autonome afin de vous faire la place dans ce monde que vous méritez.
Je sais pertinemment que cette séance sera éprouvante pour vous. Et je regrette que vous deviez faire avec un tel traumatisme. Personne ne devrait vivre cette expérience car personne ne le mérite. Vous êtes quelqu’un de bien, Miss Mitsutsuki, qui méritez une vie meilleure. Et pour cela, j’ai besoin que nous collaborions, ensemble. Vous m’avez déjà prouvé que vous pouvez être adulte. Ne me montrez pas que j’ai tort. »
Le regard de la Lady s’ancra dans celui de la vampirette. Elle attendit sa réaction. Si cette dernière se calmait et collaborait, elles pourraient avancer ensemble pour le bien de la vampirette. Sinon, elle l’endormirait sans préavis. Toutefois, elle espérait vraiment ne pas devoir arriver à une telle extrémité, comme lors de leur première rencontre.
"Régression"
Etilya sur DK RPG
Mitsutsuki Alyssa#106899#106899#106899
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Mar 8 Mar 2022 - 0:30
Evidemment, il n'en fallut pas longtemps à la duchesse pour me réprimander. Comme prévu, j'avais dépassé les bornes. J'avais tout simplement parlé trop vite. Je fis ma petite tête de victime désolée et baissais les yeux.
Veuillez m'excuser...
J'écoutais à présent avec attention la duchesse. Je me contenais pour ne pas péter un nouveau scandale. J'écoutais les douloureuses consignes de cette leçon et aussi de l'affaire du campus pour laquelle, elle me rappelait les bêtes assoiffés de sang que sont les Ends. J'en ravalais ma salive et aussi je comprenais où elle voulait en venir. Elle voulais par un rêve me faire revivre une fois de plus le passé douloureux. J'en ferais presque une crise d'anxiété tellement je ne voulais pas y aller. Je savais aussi que si je me débâtais ce serait plus douloureux encore. J'avais beaucoup à perdre à me débattre, la confiance de mon sensei avant tout et son aide également. J'avais bien compris au fur et à mesure des leçons qu'elle... disons qu'elle m'apportait l'éducation et un soutient psychologique qui de base ne faisait pas partie de son entente avec Hermansson-sama. Elle en faisait plus que ce qui lui était demandé. Je ne savais pas ce qu'elle avais à y gagner comme intérêt si ce n'était une meilleure image d'y avoir éduqué et formé une vampirette dépourvu de famille et de clan de A à Z. Une fierté personnelle en quelque sorte. Cependant ce n'était que la duchesse à qui cela profitait. De mon côté l'éducation reçu et le soutien me permettais d'avancer et d'apprendre des choses capitales. J'étais fière d'être son élève.
L'histoire du campus est... soupire... Elle n'était pas facile, je n'ai pas vraiment envie de revenir dessus si ce n'est que j'ai cru que je sombrerai à nouveau en End et que si c'était le cas je ne serais peut-être pas revenu cette fois-ci. Je ne sais pas... c'était bizarre... la situation m'a dépassé... Je précise que j'avais bu ma ration de sang avant que vous en doutiez.
Je relevais mes petits yeux rouge cramoisi qui se plongeaient dans les yeux mauve de mon sensei. Je savais ce qu'elle attendait venant de moi et je me résignais. Je me plaçais cependant confortablement pour ne pas finir cul tendu au sol comme à notre première rencontre. Le rêve sera moins brutale. J'avais confiance en elle et peut-être qu'en voyant mon passé à travers mes yeux, elle ressentira et comprendra la douleur et le traumatisme ressentie. Même si ce n'était qu'un souvenir, j'allais avoir mal. Je le vivais déjà naturellement lorsque je fermais les yeux. Je n'avais pas besoin de dormir, mais j'avais pris le pli à vivre auprès des humains alors j'avais des rêves et des cauchemars. C'était bien le seul moyen pour elle de déceler une possible raison de mon épisode de folie.
Je suis prête sensei. Encore une chose... je ne sais pas si votre pouvoir vous fait ressentir ce que je peux ressentir dans le rêve, mais... si c'est le cas, ce sera dur pour vous aussi. C'est une journée de souvenir que vous vous apprêtez à voir.
J'étais assise sur ma chaise de bureau, croisais mes mains sur le bureau devant moi et posais délicatement ma tête sur mes mains. Je ne quittais pas les yeux de la duchesse de mon regard. J'essayais de déceler un réconfort avant d'y plonger. J'avais peur et j'étais fortement anxieuse de ce souvenir. Je le vivais déjà assez fréquemment dans mon sommeil. Me l'infliger de façon bonus me perturbait d'avantage.
Veuillez m'excuser...
J'écoutais à présent avec attention la duchesse. Je me contenais pour ne pas péter un nouveau scandale. J'écoutais les douloureuses consignes de cette leçon et aussi de l'affaire du campus pour laquelle, elle me rappelait les bêtes assoiffés de sang que sont les Ends. J'en ravalais ma salive et aussi je comprenais où elle voulait en venir. Elle voulais par un rêve me faire revivre une fois de plus le passé douloureux. J'en ferais presque une crise d'anxiété tellement je ne voulais pas y aller. Je savais aussi que si je me débâtais ce serait plus douloureux encore. J'avais beaucoup à perdre à me débattre, la confiance de mon sensei avant tout et son aide également. J'avais bien compris au fur et à mesure des leçons qu'elle... disons qu'elle m'apportait l'éducation et un soutient psychologique qui de base ne faisait pas partie de son entente avec Hermansson-sama. Elle en faisait plus que ce qui lui était demandé. Je ne savais pas ce qu'elle avais à y gagner comme intérêt si ce n'était une meilleure image d'y avoir éduqué et formé une vampirette dépourvu de famille et de clan de A à Z. Une fierté personnelle en quelque sorte. Cependant ce n'était que la duchesse à qui cela profitait. De mon côté l'éducation reçu et le soutien me permettais d'avancer et d'apprendre des choses capitales. J'étais fière d'être son élève.
L'histoire du campus est... soupire... Elle n'était pas facile, je n'ai pas vraiment envie de revenir dessus si ce n'est que j'ai cru que je sombrerai à nouveau en End et que si c'était le cas je ne serais peut-être pas revenu cette fois-ci. Je ne sais pas... c'était bizarre... la situation m'a dépassé... Je précise que j'avais bu ma ration de sang avant que vous en doutiez.
Je relevais mes petits yeux rouge cramoisi qui se plongeaient dans les yeux mauve de mon sensei. Je savais ce qu'elle attendait venant de moi et je me résignais. Je me plaçais cependant confortablement pour ne pas finir cul tendu au sol comme à notre première rencontre. Le rêve sera moins brutale. J'avais confiance en elle et peut-être qu'en voyant mon passé à travers mes yeux, elle ressentira et comprendra la douleur et le traumatisme ressentie. Même si ce n'était qu'un souvenir, j'allais avoir mal. Je le vivais déjà naturellement lorsque je fermais les yeux. Je n'avais pas besoin de dormir, mais j'avais pris le pli à vivre auprès des humains alors j'avais des rêves et des cauchemars. C'était bien le seul moyen pour elle de déceler une possible raison de mon épisode de folie.
Je suis prête sensei. Encore une chose... je ne sais pas si votre pouvoir vous fait ressentir ce que je peux ressentir dans le rêve, mais... si c'est le cas, ce sera dur pour vous aussi. C'est une journée de souvenir que vous vous apprêtez à voir.
J'étais assise sur ma chaise de bureau, croisais mes mains sur le bureau devant moi et posais délicatement ma tête sur mes mains. Je ne quittais pas les yeux de la duchesse de mon regard. J'essayais de déceler un réconfort avant d'y plonger. J'avais peur et j'étais fortement anxieuse de ce souvenir. Je le vivais déjà assez fréquemment dans mon sommeil. Me l'infliger de façon bonus me perturbait d'avantage.
Sarah F. Ryan#106904#106904#106904#106904#106904#106904
Vampire Level A - Clan B. Ryan
Race : Vampire
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Lun 14 Mar 2022 - 18:32
Diving into a painful memory
Feat Alyssa & Sarah F. Lawford
Aussitôt que la Duchesse avait commencé ses remontrances, Alyssa rentra la tête dans ses épaules et baissa les yeux, s’excusant de suite. Sarah, elle, prit une longue inspiration et soupira intérieurement. La petite fournissait des efforts, elle en était témoin. Mais elle retombait bien trop vite dans ses travers, au grand dam de l’aristocrate qui devait alors remettre les points sur les i. Cela restait très fatiguant mentalement, il fallait l’avouer. Un coup, elle avait l’impression de discuter avec une adulte qui voulait avancer et trouver sa place dans ce monde cruel et, la seconde d’après, elle faisait face à nouveau à la petite gamine immature et capricieuse qu’elle avait rencontré la première fois.
Cette dernière fit d’ailleurs savoir, de manière plus correcte, qu’elle ne souhaitait pas revenir sur le sujet de l’attaque du campus. Souhait que la préceptrice comprenait que trop bien. Il y avait toutefois un point encore à clore.
Encore une fois, la Duchesse soupira. Ce revirement de situation était encore un bel exemple de l’effort qu’elle devait fournir. Avec cette demoiselle, c’était tour-à-tour la carotte et le bâton. Vivement qu’elle puisse se passer de ce dernier… Mais bizarrement, Sarah était sûre que ce n’était pas demain la veille. En vrai, cela lui rappela un détail raconté avec fierté par la petite. Ce qui avait engendré une énième réprimande de Sarah envers cette dernière.
A vrai dire, c'était parfois à se demander comment la petite pouvait rester en vie vu comment elle se mettait elle-même dans des situations absurdes et improbables. Sarah espérait vraiment qu'elle finirait par se calmer sur ce point. Sinon, la Duchesse ne donnait pas cher de ses cendres.
Alyssa indiqua qu’elle était prête à s’endormir. Sarah lui sourit avant de la faire tomber dans un sommeil profond. Elle la rejoignit ensuite très vite dans le rêve. Toute deux était l’une à côté de l’autre, dans une obscurité totale, un vide intersidéral. Seules les demoiselles étaient visibles et présentes.
La petite s’exécuta. Le décor se mit à changer. Des couleurs apparurent, dessinant une pièce de ce que l’aristocrate supposait être l’orphelinat où la petite avait grandi. Quand le décor fut posé, elle passa sa main sur l’épaule de la vampirette. Ensemble, elles regardèrent le souvenir, comme des spectatrices extérieures aux événements, des fantômes assistant à la scène. La Duchesse restait en permanence à côté d’Alyssa, gardant un main rassurante et réconfortrice sur son épaule et son dos.
Cette dernière fit d’ailleurs savoir, de manière plus correcte, qu’elle ne souhaitait pas revenir sur le sujet de l’attaque du campus. Souhait que la préceptrice comprenait que trop bien. Il y avait toutefois un point encore à clore.
Sarah ▬ « Je comprends tout à fait. Toutefois, vous avez fait par plus tôt de la crainte du rejet de deux de vos amis humains et de ne pas pouvoir les affronter de face. Toutetois, de ce que vous m’avez raconté… Il me semble qu’il y avait une louve avec vous, qui a révélé aussi sa véritable nature. Et que vous avez été rejoint par le… fils, si ma mémoire ne me joue pas des tours, de cette dernière. Fils qui est le petit ami d’un de vos deux amis. Je pense que celui-ci devait donc être un minimum au courant du surnaturel. Surtout s’il savait qu’il sortait avec un lycan. Je ne pense donc pas que votre condition de vampire fera qu’il s’éloigne de vous. Vous devriez aller le voir pour en discuter. Profitez un peu des vacances avant la reprise des cours pour échanger autour d’une glace. C’est mon conseil. Quant au deuxième, laisser lui le temps de digérer l’information. Il a du bien se rendre compte que, même si vous étiez une vampire, vous n’êtes pas comme ces monstres qui ont remué le campus. Et vous faites tout pour apprendre à vous contrôler et devenir une grande dame. Je suis certain que vous pouvez devenir une grande doctoresse ou magistrate. Peut-être même les deux, mais je pense que cela vous prendra tout de même plus de temps que vous le désirez. Ce n’est pas grave, parce que vous avez l’éternité pour marquer les esprits… en bien. »
Encore une fois, la Duchesse soupira. Ce revirement de situation était encore un bel exemple de l’effort qu’elle devait fournir. Avec cette demoiselle, c’était tour-à-tour la carotte et le bâton. Vivement qu’elle puisse se passer de ce dernier… Mais bizarrement, Sarah était sûre que ce n’était pas demain la veille. En vrai, cela lui rappela un détail raconté avec fierté par la petite. Ce qui avait engendré une énième réprimande de Sarah envers cette dernière.
Sarah ▬ « A vrai dire, s'ils avaient une chose pour laquelle il refuserait de vous voir, c'est plutôt pour le comportement puérile et irresponsable dont vous avez fait preuve ce jour-là alors que vous vies étaient en danger. Comme je vous l'ai dit, je comprends que le fait que cette lycane ne vous ait pas plu. Mais comportement était bien pire que le sien en cet instant. »
A vrai dire, c'était parfois à se demander comment la petite pouvait rester en vie vu comment elle se mettait elle-même dans des situations absurdes et improbables. Sarah espérait vraiment qu'elle finirait par se calmer sur ce point. Sinon, la Duchesse ne donnait pas cher de ses cendres.
Alyssa indiqua qu’elle était prête à s’endormir. Sarah lui sourit avant de la faire tomber dans un sommeil profond. Elle la rejoignit ensuite très vite dans le rêve. Toute deux était l’une à côté de l’autre, dans une obscurité totale, un vide intersidéral. Seules les demoiselles étaient visibles et présentes.
Sarah ▬ « Bien… Passons à l’étape délicate. Je vais vous demander, si vous le voulez bien, de vous concentrer sur vos souvenirs. Fermez les yeux si nécessaires. Je sais que ce ne sera pas simple. Mais rappelez-vous que ce n’est juste qu’un souvenir. Je suis là à vos côtés et il ne vous arrivera rien. »
La petite s’exécuta. Le décor se mit à changer. Des couleurs apparurent, dessinant une pièce de ce que l’aristocrate supposait être l’orphelinat où la petite avait grandi. Quand le décor fut posé, elle passa sa main sur l’épaule de la vampirette. Ensemble, elles regardèrent le souvenir, comme des spectatrices extérieures aux événements, des fantômes assistant à la scène. La Duchesse restait en permanence à côté d’Alyssa, gardant un main rassurante et réconfortrice sur son épaule et son dos.
"Dernier point avant d'attaquer"
Etilya sur DK RPG
Mitsutsuki Alyssa#106961#106961#106961
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Lun 25 Juil 2022 - 13:24
Je n'en dit pas plus au sujet des évènements de l'université et je me devais de réfléchir avant de répondre. Cela pouvait attendre plus tard. J’écoutais Sarah sensei malgré l’anxiété qui me gagnait. Elle se faisait très proche et rassurante et quand on y pense si moi je pouvais engendrer des changements, elle pouvait contrôler le rêve alors ça devrai aller non ? Elle me demandait de lui livrer mon point faible et ma plus grande peur. Je fis alors l’effort demandé et les souvenirs devenaient nets.
Mon moi du passé ouvrais les yeux dans son lit à l'orphelinat. J'avais 15 ans à cette époque. Comme chaque jour, dans sa robe de nuit, elle se regardait dans le miroir au réveille. Le regard était triste, l'espoir d'être adopté se perdait fortement.
Il se disait que si on n’était pas adopté dans notre plus jeune âge, personne ne nous adopterait. C'est ce qui se disait entre orphelins. Jamais ou alors un cas exceptionnel, un enfant de plus de 8 ans était adopté par une famille. Mon cas particulier, étant différente des autres orphelins, l'histoire d'adoption était compliquée. J'avais bien compris de la part d'Harold qu'il faisait en sorte d'éloigner les potentiels parents adoptifs de moi, car ils ne savaient pas. Harold, celui qui m'a recueilli, m'a offert l'orphelinat comme toit où il travaillait. Un lieu où il pouvait garder un oeil sur moi et mes origines. Je ne savais pas avec qui il avait des contacts ni même comment il savait pour mon espèce, mais il trouvait toujours moyen pour me nourrir et me réconforter ou m'écouter. Je savais aussi que les autres humains ne savaient pas, que je ne devais le dire à personne sous aucun prétexte ce que j'étais.
Les autres filles étaient plus ou moins à se dépêcher à se battre limite pour la salle de bain, la surveillante toujours à nous réprimander. Elle me disait de me dépêcher une fois de plus pour le petit déjeuner. Mon moi passé faisait sa toilette et s'habillais rapidement, en rang, elle descendait avec les autres à la cantine pour prendre le petit déjeuner. Elle avait un appétit factice d'ogre où elle se gavait de sucre. C'était limite le meilleur moment de sa journée. Elle avait un sentiment de joie le matin au moment de manger. Puis ce fut l'heure des cours. Elle voyait tout ce qui était élémentaire à son niveau.
Ce n’était pas parce que j'étais orpheline que j'échappais à l'éducation de l'école au sein même de l'orphelinat. Rien de bien particulier dans ce moment de souvenir jusqu'à ce que la récréation de 10 heures arrive.
A ce moment, elle était dehors, mais elle était aussi seule plus ou moins toujours à attendre bêtement à regarder le portail non loin que quelqu'un vienne la chercher ou simplement ses parents. Mais rien, encore un jour de plus. Elle ressentait d'autres vampires à l'extérieur du mur. Pourquoi ne venaient-ils pas? Au bout d'un moment elle serra les dents une fois de plus par la colère et serrais le poing. Elle se retenait de pleurer. Les filles laissaient la Alyssa du passé à l'écart car elle était bizarre selon eux et les garçons s'en foutait sauf pour ceux qui aimaient l'embêter chaque jour histoire d'enfoncer le clou.
Seconde session de cours où il n'y avait rien à signaler. Un peu avant midi comme à chaque jour, Harold la convoquait à son bureau qu'il fermait sous clés, à ce moment il sortit une poche de sang pour elle qui se mit à boire avec une certaine expression de dégout envers le sang et elle-même à chaque gorgé. Elle ne s'acceptait déjà plus depuis plusieurs années et éprouvait le dégoût d'agir en vampire. Elle faisait part de ses problèmes et sa détresse ou même de choses anodines pour un humain, mais d'une importance capitale pour elle de pouvoir s'exprimer sans mentir ou se cacher. Elle avait le droit à son câlin et la caresse de la tête et contente elle avait à nouveau de la force pour la journée. Seule inquiétude actuel était que dans 3 ans, elle devrait partir. Elle aurait des difficultés certaines en quittant l'orphelinat et il lui le répétait qu’elle devait réfléchir à son avenir tout en prenant en compte sa situation particulière.
La journée aurait pu être comme tous les autres jours. Hélas, un évènement allait tout faire basculer.
Une fois arrivée au quartier libre de la journée et aux heures de visites pour les potentiels futurs parents. Elle restait isolée dans sa chambre. Après le repas de midi, elle commençait à me sentir bizarre, ressentait des vertiges, c'était comme si elle était en train de changer. La sensation était bizarre, elle avait l'impression qu’elle était en train de bouillir de l'intérieur. Elle se disait que tout cela allait passer lorsque sans comprendre pourquoi ni même comment, elle devenait lumineuse. Attention pas comme si elle était une ampoule, enfin pas encore, mais plutôt comme un écran de télévision auquel au touchait le bouton luminosité pour le faire monter dans le plus. Au début elle paniquait. Elle ne savait pas quoi faire. Elle voulait appeler à l'aide, mais si c'était un truc surnaturel ou autre chose du genre. Elle paniquait et elle angoissait, puis à un moment alors qu’elle souhaitait de toutes ses forces de ne plus briller en serrant fortement ses mains comme si elle priait, elle ne brilla plus sauf ses mains qui brillaient plus fort vraiment comme une lumière. Elle mis à gigoter ses mains en paniquant voulant que la lumière parte. Et c'est ce qu'elle fit, mais pas comme elle l'avait espéré, le coup partit tout seul et un petit impacte se format contre le mur.
Elle était bouche bé et ne comprenait pas. Est-ce elle qui avait fait ça ? Elle se disait que si l'impact se voyait quand les autres reviendraient, Elle allait prendre pour son grade et pire encore, la cause de l'impact. Injustifiable, pour une enfant de son âge et "humaine" de surcroit. Elle ne brillait plus, ni ses mains, mais inconsciemment, elle ressentait une petite envie de soif. Cela pouvait paraître normal vu que j'avais bu ma poche il avait environ 5 heures. Au niveau de ses mains elle ressentait cette chaleur, cette lumière qui l'avait traversé. Elle regardait ses mains, elles paraissaient normales. Puis, elle essayait de comprendre ce qui lui arrivait. A ce moment, vu qu’elle était normale, elle quittait la chambre pour revoir Harold, lui expliquer ce qui en était, de la chose bizarre qu’elle avait vue ou ce qu’elle avait peut-être fait. Il ne comprenait pas vraiment et pensait qu’elle racontait une bêtise qui amusait encore la galerie peut-être et quand elle lui a dit que qu’elle brillait, il rigola en disant que qu’elle était la petite lumière de noël et que qu’elle brillait de par sa présence. C'était réconfortant, mais il n'y était pas du tout ou alors il ne savait pas du tout que ce genre de chose était possible? En tout cas, il toucha le front de la Alyssa du passé pour voir si elle était malade ou autre et qu’elle n'avait rien. Il devait penser qu’elle fabulait. Et quand elle lui racontait pour le trou, il soupira, la réprimandait un peu en pensant qu’elle aurait frappé de son poing. M'enfin il me disait qu'il en touchera un mot à ses connaissances tout de même et elle repartit dans sa chambre s'isoler.
Elle était frustré de ne pas être cru et un peu en colère. Elle concentrait cette colère qu’elle voulait évacuer et la à nouveau ses mains se mirent à briller. Son énervement se calmait, mais la curiosité augmentait, elle pensait à faire briller plus ou briller moins et la chose se produisait. Si elle se disait qu’elle voulait briller cela se faisait. Elle remarquait aussi que la chaleur autour de moi augmentait. Elle était une espèce de lumière vivante. Il ne manquait plus qu'on l'accroche à un poteau la nuit. Elle jouait avec la capacité encore et encore. La soif grandissait encore et encore, elle se sentait fatiguer à force de jouer avec cette capacité dont elle ne connaissait rien. Au bout d'un moment elle entendit un bruit dans les escaliers, de panique elle tirait comme si j'avais eu une arme à feu dans le mur rajoutant un second impact dans le but de faire disparaître la lumière.
A ce moment de revoir les souvenir, l’angoisse m’envahissait. Assez pour que je ravale déjà ma salive. Ma petite main chercha la veste de Sarah pour l’agripper fortement. La duchesse ne devait pas être dupe. Si son élève faisait ça, c’est que le moment fatidique du souvenir approchait à grand pas. Si certains éléments étaient plus ou moins importants avant ce moment comme le fait que ses pouvoirs se sont manifesté tardivement et sans supervision des siens, les choses auraient déjà pu être plus graves bien avant. Ajoutant à ceci la solitude et des émotions mauvaise nourris par le temps compréhensible qu’elle en voulait un peu à tout le monde et surtout les siens. Elle avait besoin de quelqu’un pour la comprendre et il n’y avait absolument personne. Recentrons nous sur les souvenirs à présent.
La peur et l'anxiété augmentait fortement, et une odeur humaine la rendait un peu plus sensible, elle ne comprenait pas et ses crocs se mirent à lui faire mal. Alors qu’elle devait les cacher ceux-ci ne le voulaient plus vraiment. La peur l'envahissait et à ce moment l'un des garçons de l'orphelinat tout aussi âgé qu’elle, habitué de l'embêter arriva et passa la porte du dortoir des filles. A ce moment, elle s'énervait à lui dire de foutre le camp qu'il n'avait rien à faire là et son instinct fut un peu plus fort quand elle repoussait sa main alors qu'il me cherchait surement des noises dans un jeu de force ou je ne sais guère. Dans ce geste vif et rapide alors que son odeur et elle ne comprenait pas, elle lui provoquait une coupure à cause de ses ongles. Il commençait à saigner de cette coupure alors qu'il lui disait qu’elle était folle de réagir comme ça. L'odeur de son sang la dérangeait affreusement, elle avait de plus en plus soif et c'était pire avec sa proximité.
Du côté spectateur, je redoutais tellement ce moment que le souvenir commença à manquer de stabilité. J’avais du mal à me concentrer, je refaisais une crise et instinctivement par le besoin de ressentir une présence, j’enlaçais et me blottit contre Sarah avec des larmes de crocodile serrant fortement l’étreinte comme si j’allais user de toute ma force vampirique. Le souvenir restait malgré l’instabilité suffisamment stable pour que Sarah puisse voir la scène. Quant à moi je ne voulais plus regarder, je le revoyais assez souvent dans mes cauchemars.
Avant même qu’elle puisse comprendre ce qui se passe, le garçon la regardait stupéfait, effrayé. Les canines de vampire bien sortie en évidence elle fit un pas vers lui alors qu’elle n'avait plus aucun contrôle de ses mouvements ou de sa parole, sa vue se brouillait comme pour passer en mode chasseur. Sur le moment pour elle s'était un blackout pour tout ce qui allait suivre mais inconsciemment le souvenir se gravait dans sa mémoire pour la hanter à vie. L'instant d'après avant même qu'une nouvelle goute de son sang ne tombe au sol elle était déjà sur lui. Il cria de peur avant un cri de douleur au moment où elle pénétrait avec force sa chaire au niveau de son cou pour l'attaquer à sa jugulaire comme une bête enragé avide de sang. C'était ce qu’elle vivait. Soif, colère, haine, peur, anxiété, prisonnière de son propre corps, elle ne savait pas ce qu’elle faisait. Elle le vidais de son sang, ne lâchant pas sa proie, il hurlait à l'aide pour le peu qu'il peut le faire. Elle le vidait tout jusqu'à la dernière goute telle une vraie frénésie. Peut-être même qu’elle léchait le sang au sol pour ne rien laisser, mais elle cherchait sur un cadavre inerte la moindre goutte de sang résiduel alors que peu à peu, elle reprenait conscience.
Voyant un cadavre à son réveille alors qu’elle était assise sur lui les mains et ma bouche pleine de sang, elle comprenait ce qu’elle venait de faire. Elle savait ce qui avais été fait, mais ce n'étais pas elle, ce n'étais pas sa faute... Si tout était de sa faute, elle avait fait comme dans tout ce qu’elle avait vu dans les livres, elle était un monstre, Elle avait tué et y avait enfoui tout au fond d’elle lorsqu’elle avait perdu la tête, ce sentiment de plaisir et de satisfaction d'avoir chassé et dévoré une proie. Elle hurlait en pleure, incapable de bouger, elle s'en voulait affreusement, le coeur brisé, démolis et limite arraché. Si son coeur pouvait quitter son corps, il était comme la matière la plus lourde au monde. Elle souffrait, se haïssait et se dégoutait encore plus, pire elle se mettait à haïr la nature même de ce qu’elle était vraiment à un point impensable.
Rapidement, Harold en premier suivie de deux surveillants arrivaient devant elle découvrant l'ignoble scène. Harold savait, il redoutait ou n'en croyait pas ses yeux. Les deux autres surveillants étaient paralysés par la peur. Le vieil homme prit les devants pour les faires réagir et les faires s'occuper des autres orphelins et de les occuper loin des dortoirs et qu'il s'occupait disons le d'appeler les urgences et surtout "la police". Bien sur c'était une façon à lui de dire que les connaissances allaient venir.
Elle ne savait pas comment, mais elle s'était retiré du corps inerte du jeune homme, elle revoyait sa terreur, sa souffrance, sa vie le quitter qui lui revenait en tête de quoi rendre fou n'importe qui et se mettre en boule dans un coin les larmes chaude en pleur toujours couvertes de sang à répéter sans cesses qu’elle était désolé. Qu’elle ne voulait pas faire ça. Elle était en état de choc et dans l'incompréhension total en dehors du fais qu’elle était responsable.
Assez rapidement une équipe de Hunters arrivaient à l'orphelinat. On les appelait les chevaliers des ombres. Une espèce d'être humains surentrainé spécialisé dans le paranormal. Le vieil homme les laissait passer, épée et autre lame à la main, elle voyait sa dernière heure arriver, leur lame prenaient une teinte ou réagissait bizarrement à proximité de mon moi passé. Ils se regardaient, ils regardaient Harold, l'un deux s'éloigna pour discuter avec lui de façon très sérieuse peut-être même de façon un peu sèche. Ils semblaient se connaître un peu. Ils parlaient de camoufler la mort du jeune homme, d'étouffer l'affaire pour éviter la panique, de mon cas et bien d'autres. Au bout d'un moment, le hunter qui discutait avec Harold revenait devant la fille apeuré que mon moi passé étais. Elle était toujours incapable de dire autre chose qu’elle était désolé et qu’elle ne voulait pas. Il s'agissait d'un grand homme blond aux yeux bleu qui lui parlait de façon ferme et dur.
Elle n'eux que d'autre choix que d'obéir et suivre menacer par leur lames au moindre geste. Harold, la regardait alors qu’elle le voyait une dernière fois, il baissait les yeux déçu. Elle ne savait pas si c'était parce qu’elle s'en allait pour un aller sans retour ou si s'était parce qu’elle avait commis l'impardonnable. Hors de la vue des personnes qui n'avaient pas vue la scène et en toute discrétion elle fut emmener tel une prisonnière jusqu'au QG, de la un long débat interminable sur son cas particulier. Bon nombre voulaient sa tête sans réfléchir, d'autres sur la réserve et peu à me garder en vie. Finalement dans la finalité, à 1 voie il fut décidé que je reste en vie. Mais ma vie entre quatre murs ne faisait que commencer tout comme ce long cycle de non vie, de problèmes divers, d'auto punition et de tuteur commença pendant 3 longues années. En réalité j'étais plus en captivité avec menace de mort au moindre faux pas jusqu'à ce que récemment le père Riku et Hermansson-sama réévalua mon cas.
****************
En dehors de mon rêve, mon corps inerte ruisselait de larme, si je ne pouvais pas hurler ma détresse et mon mal être à nouveau, mon corps le faisait pour moi. Je ne savais pas combien de temps il avait fallu à Sarah pour voir cette journée, pour moi c'était la pire journée de ma vie encore une fois de trop en plus. J'étais fatigué et je n'en pouvais déjà plus. C'était beaucoup trop. Si le rêve était fini ou si je rêvais encore je voulais juste me reposer contre quelqu'un, une présence réconfortante. Je n'arrivais pas à me pardonner, je pensais bien que je ne le pourrais jamais, mais peut-être apprendre à vivre avec pour ne jamais reproduire cette scène. Une telle chose pourrait être psychologiquement mortelle et réduirait tout les efforts vains.
Mon moi du passé ouvrais les yeux dans son lit à l'orphelinat. J'avais 15 ans à cette époque. Comme chaque jour, dans sa robe de nuit, elle se regardait dans le miroir au réveille. Le regard était triste, l'espoir d'être adopté se perdait fortement.
Il se disait que si on n’était pas adopté dans notre plus jeune âge, personne ne nous adopterait. C'est ce qui se disait entre orphelins. Jamais ou alors un cas exceptionnel, un enfant de plus de 8 ans était adopté par une famille. Mon cas particulier, étant différente des autres orphelins, l'histoire d'adoption était compliquée. J'avais bien compris de la part d'Harold qu'il faisait en sorte d'éloigner les potentiels parents adoptifs de moi, car ils ne savaient pas. Harold, celui qui m'a recueilli, m'a offert l'orphelinat comme toit où il travaillait. Un lieu où il pouvait garder un oeil sur moi et mes origines. Je ne savais pas avec qui il avait des contacts ni même comment il savait pour mon espèce, mais il trouvait toujours moyen pour me nourrir et me réconforter ou m'écouter. Je savais aussi que les autres humains ne savaient pas, que je ne devais le dire à personne sous aucun prétexte ce que j'étais.
Les autres filles étaient plus ou moins à se dépêcher à se battre limite pour la salle de bain, la surveillante toujours à nous réprimander. Elle me disait de me dépêcher une fois de plus pour le petit déjeuner. Mon moi passé faisait sa toilette et s'habillais rapidement, en rang, elle descendait avec les autres à la cantine pour prendre le petit déjeuner. Elle avait un appétit factice d'ogre où elle se gavait de sucre. C'était limite le meilleur moment de sa journée. Elle avait un sentiment de joie le matin au moment de manger. Puis ce fut l'heure des cours. Elle voyait tout ce qui était élémentaire à son niveau.
Ce n’était pas parce que j'étais orpheline que j'échappais à l'éducation de l'école au sein même de l'orphelinat. Rien de bien particulier dans ce moment de souvenir jusqu'à ce que la récréation de 10 heures arrive.
A ce moment, elle était dehors, mais elle était aussi seule plus ou moins toujours à attendre bêtement à regarder le portail non loin que quelqu'un vienne la chercher ou simplement ses parents. Mais rien, encore un jour de plus. Elle ressentait d'autres vampires à l'extérieur du mur. Pourquoi ne venaient-ils pas? Au bout d'un moment elle serra les dents une fois de plus par la colère et serrais le poing. Elle se retenait de pleurer. Les filles laissaient la Alyssa du passé à l'écart car elle était bizarre selon eux et les garçons s'en foutait sauf pour ceux qui aimaient l'embêter chaque jour histoire d'enfoncer le clou.
Seconde session de cours où il n'y avait rien à signaler. Un peu avant midi comme à chaque jour, Harold la convoquait à son bureau qu'il fermait sous clés, à ce moment il sortit une poche de sang pour elle qui se mit à boire avec une certaine expression de dégout envers le sang et elle-même à chaque gorgé. Elle ne s'acceptait déjà plus depuis plusieurs années et éprouvait le dégoût d'agir en vampire. Elle faisait part de ses problèmes et sa détresse ou même de choses anodines pour un humain, mais d'une importance capitale pour elle de pouvoir s'exprimer sans mentir ou se cacher. Elle avait le droit à son câlin et la caresse de la tête et contente elle avait à nouveau de la force pour la journée. Seule inquiétude actuel était que dans 3 ans, elle devrait partir. Elle aurait des difficultés certaines en quittant l'orphelinat et il lui le répétait qu’elle devait réfléchir à son avenir tout en prenant en compte sa situation particulière.
La journée aurait pu être comme tous les autres jours. Hélas, un évènement allait tout faire basculer.
Une fois arrivée au quartier libre de la journée et aux heures de visites pour les potentiels futurs parents. Elle restait isolée dans sa chambre. Après le repas de midi, elle commençait à me sentir bizarre, ressentait des vertiges, c'était comme si elle était en train de changer. La sensation était bizarre, elle avait l'impression qu’elle était en train de bouillir de l'intérieur. Elle se disait que tout cela allait passer lorsque sans comprendre pourquoi ni même comment, elle devenait lumineuse. Attention pas comme si elle était une ampoule, enfin pas encore, mais plutôt comme un écran de télévision auquel au touchait le bouton luminosité pour le faire monter dans le plus. Au début elle paniquait. Elle ne savait pas quoi faire. Elle voulait appeler à l'aide, mais si c'était un truc surnaturel ou autre chose du genre. Elle paniquait et elle angoissait, puis à un moment alors qu’elle souhaitait de toutes ses forces de ne plus briller en serrant fortement ses mains comme si elle priait, elle ne brilla plus sauf ses mains qui brillaient plus fort vraiment comme une lumière. Elle mis à gigoter ses mains en paniquant voulant que la lumière parte. Et c'est ce qu'elle fit, mais pas comme elle l'avait espéré, le coup partit tout seul et un petit impacte se format contre le mur.
Elle était bouche bé et ne comprenait pas. Est-ce elle qui avait fait ça ? Elle se disait que si l'impact se voyait quand les autres reviendraient, Elle allait prendre pour son grade et pire encore, la cause de l'impact. Injustifiable, pour une enfant de son âge et "humaine" de surcroit. Elle ne brillait plus, ni ses mains, mais inconsciemment, elle ressentait une petite envie de soif. Cela pouvait paraître normal vu que j'avais bu ma poche il avait environ 5 heures. Au niveau de ses mains elle ressentait cette chaleur, cette lumière qui l'avait traversé. Elle regardait ses mains, elles paraissaient normales. Puis, elle essayait de comprendre ce qui lui arrivait. A ce moment, vu qu’elle était normale, elle quittait la chambre pour revoir Harold, lui expliquer ce qui en était, de la chose bizarre qu’elle avait vue ou ce qu’elle avait peut-être fait. Il ne comprenait pas vraiment et pensait qu’elle racontait une bêtise qui amusait encore la galerie peut-être et quand elle lui a dit que qu’elle brillait, il rigola en disant que qu’elle était la petite lumière de noël et que qu’elle brillait de par sa présence. C'était réconfortant, mais il n'y était pas du tout ou alors il ne savait pas du tout que ce genre de chose était possible? En tout cas, il toucha le front de la Alyssa du passé pour voir si elle était malade ou autre et qu’elle n'avait rien. Il devait penser qu’elle fabulait. Et quand elle lui racontait pour le trou, il soupira, la réprimandait un peu en pensant qu’elle aurait frappé de son poing. M'enfin il me disait qu'il en touchera un mot à ses connaissances tout de même et elle repartit dans sa chambre s'isoler.
Elle était frustré de ne pas être cru et un peu en colère. Elle concentrait cette colère qu’elle voulait évacuer et la à nouveau ses mains se mirent à briller. Son énervement se calmait, mais la curiosité augmentait, elle pensait à faire briller plus ou briller moins et la chose se produisait. Si elle se disait qu’elle voulait briller cela se faisait. Elle remarquait aussi que la chaleur autour de moi augmentait. Elle était une espèce de lumière vivante. Il ne manquait plus qu'on l'accroche à un poteau la nuit. Elle jouait avec la capacité encore et encore. La soif grandissait encore et encore, elle se sentait fatiguer à force de jouer avec cette capacité dont elle ne connaissait rien. Au bout d'un moment elle entendit un bruit dans les escaliers, de panique elle tirait comme si j'avais eu une arme à feu dans le mur rajoutant un second impact dans le but de faire disparaître la lumière.
A ce moment de revoir les souvenir, l’angoisse m’envahissait. Assez pour que je ravale déjà ma salive. Ma petite main chercha la veste de Sarah pour l’agripper fortement. La duchesse ne devait pas être dupe. Si son élève faisait ça, c’est que le moment fatidique du souvenir approchait à grand pas. Si certains éléments étaient plus ou moins importants avant ce moment comme le fait que ses pouvoirs se sont manifesté tardivement et sans supervision des siens, les choses auraient déjà pu être plus graves bien avant. Ajoutant à ceci la solitude et des émotions mauvaise nourris par le temps compréhensible qu’elle en voulait un peu à tout le monde et surtout les siens. Elle avait besoin de quelqu’un pour la comprendre et il n’y avait absolument personne. Recentrons nous sur les souvenirs à présent.
La peur et l'anxiété augmentait fortement, et une odeur humaine la rendait un peu plus sensible, elle ne comprenait pas et ses crocs se mirent à lui faire mal. Alors qu’elle devait les cacher ceux-ci ne le voulaient plus vraiment. La peur l'envahissait et à ce moment l'un des garçons de l'orphelinat tout aussi âgé qu’elle, habitué de l'embêter arriva et passa la porte du dortoir des filles. A ce moment, elle s'énervait à lui dire de foutre le camp qu'il n'avait rien à faire là et son instinct fut un peu plus fort quand elle repoussait sa main alors qu'il me cherchait surement des noises dans un jeu de force ou je ne sais guère. Dans ce geste vif et rapide alors que son odeur et elle ne comprenait pas, elle lui provoquait une coupure à cause de ses ongles. Il commençait à saigner de cette coupure alors qu'il lui disait qu’elle était folle de réagir comme ça. L'odeur de son sang la dérangeait affreusement, elle avait de plus en plus soif et c'était pire avec sa proximité.
Du côté spectateur, je redoutais tellement ce moment que le souvenir commença à manquer de stabilité. J’avais du mal à me concentrer, je refaisais une crise et instinctivement par le besoin de ressentir une présence, j’enlaçais et me blottit contre Sarah avec des larmes de crocodile serrant fortement l’étreinte comme si j’allais user de toute ma force vampirique. Le souvenir restait malgré l’instabilité suffisamment stable pour que Sarah puisse voir la scène. Quant à moi je ne voulais plus regarder, je le revoyais assez souvent dans mes cauchemars.
Avant même qu’elle puisse comprendre ce qui se passe, le garçon la regardait stupéfait, effrayé. Les canines de vampire bien sortie en évidence elle fit un pas vers lui alors qu’elle n'avait plus aucun contrôle de ses mouvements ou de sa parole, sa vue se brouillait comme pour passer en mode chasseur. Sur le moment pour elle s'était un blackout pour tout ce qui allait suivre mais inconsciemment le souvenir se gravait dans sa mémoire pour la hanter à vie. L'instant d'après avant même qu'une nouvelle goute de son sang ne tombe au sol elle était déjà sur lui. Il cria de peur avant un cri de douleur au moment où elle pénétrait avec force sa chaire au niveau de son cou pour l'attaquer à sa jugulaire comme une bête enragé avide de sang. C'était ce qu’elle vivait. Soif, colère, haine, peur, anxiété, prisonnière de son propre corps, elle ne savait pas ce qu’elle faisait. Elle le vidais de son sang, ne lâchant pas sa proie, il hurlait à l'aide pour le peu qu'il peut le faire. Elle le vidait tout jusqu'à la dernière goute telle une vraie frénésie. Peut-être même qu’elle léchait le sang au sol pour ne rien laisser, mais elle cherchait sur un cadavre inerte la moindre goutte de sang résiduel alors que peu à peu, elle reprenait conscience.
Voyant un cadavre à son réveille alors qu’elle était assise sur lui les mains et ma bouche pleine de sang, elle comprenait ce qu’elle venait de faire. Elle savait ce qui avais été fait, mais ce n'étais pas elle, ce n'étais pas sa faute... Si tout était de sa faute, elle avait fait comme dans tout ce qu’elle avait vu dans les livres, elle était un monstre, Elle avait tué et y avait enfoui tout au fond d’elle lorsqu’elle avait perdu la tête, ce sentiment de plaisir et de satisfaction d'avoir chassé et dévoré une proie. Elle hurlait en pleure, incapable de bouger, elle s'en voulait affreusement, le coeur brisé, démolis et limite arraché. Si son coeur pouvait quitter son corps, il était comme la matière la plus lourde au monde. Elle souffrait, se haïssait et se dégoutait encore plus, pire elle se mettait à haïr la nature même de ce qu’elle était vraiment à un point impensable.
Rapidement, Harold en premier suivie de deux surveillants arrivaient devant elle découvrant l'ignoble scène. Harold savait, il redoutait ou n'en croyait pas ses yeux. Les deux autres surveillants étaient paralysés par la peur. Le vieil homme prit les devants pour les faires réagir et les faires s'occuper des autres orphelins et de les occuper loin des dortoirs et qu'il s'occupait disons le d'appeler les urgences et surtout "la police". Bien sur c'était une façon à lui de dire que les connaissances allaient venir.
Elle ne savait pas comment, mais elle s'était retiré du corps inerte du jeune homme, elle revoyait sa terreur, sa souffrance, sa vie le quitter qui lui revenait en tête de quoi rendre fou n'importe qui et se mettre en boule dans un coin les larmes chaude en pleur toujours couvertes de sang à répéter sans cesses qu’elle était désolé. Qu’elle ne voulait pas faire ça. Elle était en état de choc et dans l'incompréhension total en dehors du fais qu’elle était responsable.
Assez rapidement une équipe de Hunters arrivaient à l'orphelinat. On les appelait les chevaliers des ombres. Une espèce d'être humains surentrainé spécialisé dans le paranormal. Le vieil homme les laissait passer, épée et autre lame à la main, elle voyait sa dernière heure arriver, leur lame prenaient une teinte ou réagissait bizarrement à proximité de mon moi passé. Ils se regardaient, ils regardaient Harold, l'un deux s'éloigna pour discuter avec lui de façon très sérieuse peut-être même de façon un peu sèche. Ils semblaient se connaître un peu. Ils parlaient de camoufler la mort du jeune homme, d'étouffer l'affaire pour éviter la panique, de mon cas et bien d'autres. Au bout d'un moment, le hunter qui discutait avec Harold revenait devant la fille apeuré que mon moi passé étais. Elle était toujours incapable de dire autre chose qu’elle était désolé et qu’elle ne voulait pas. Il s'agissait d'un grand homme blond aux yeux bleu qui lui parlait de façon ferme et dur.
Elle n'eux que d'autre choix que d'obéir et suivre menacer par leur lames au moindre geste. Harold, la regardait alors qu’elle le voyait une dernière fois, il baissait les yeux déçu. Elle ne savait pas si c'était parce qu’elle s'en allait pour un aller sans retour ou si s'était parce qu’elle avait commis l'impardonnable. Hors de la vue des personnes qui n'avaient pas vue la scène et en toute discrétion elle fut emmener tel une prisonnière jusqu'au QG, de la un long débat interminable sur son cas particulier. Bon nombre voulaient sa tête sans réfléchir, d'autres sur la réserve et peu à me garder en vie. Finalement dans la finalité, à 1 voie il fut décidé que je reste en vie. Mais ma vie entre quatre murs ne faisait que commencer tout comme ce long cycle de non vie, de problèmes divers, d'auto punition et de tuteur commença pendant 3 longues années. En réalité j'étais plus en captivité avec menace de mort au moindre faux pas jusqu'à ce que récemment le père Riku et Hermansson-sama réévalua mon cas.
****************
En dehors de mon rêve, mon corps inerte ruisselait de larme, si je ne pouvais pas hurler ma détresse et mon mal être à nouveau, mon corps le faisait pour moi. Je ne savais pas combien de temps il avait fallu à Sarah pour voir cette journée, pour moi c'était la pire journée de ma vie encore une fois de trop en plus. J'étais fatigué et je n'en pouvais déjà plus. C'était beaucoup trop. Si le rêve était fini ou si je rêvais encore je voulais juste me reposer contre quelqu'un, une présence réconfortante. Je n'arrivais pas à me pardonner, je pensais bien que je ne le pourrais jamais, mais peut-être apprendre à vivre avec pour ne jamais reproduire cette scène. Une telle chose pourrait être psychologiquement mortelle et réduirait tout les efforts vains.
Sarah F. Ryan#107318#107318#107318#107318#107318#107318
Vampire Level A - Clan B. Ryan
Race : Vampire
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Couleur : #DBB4EF (FFCC00 en Anglais)
Avatar : Kirigiri Kyouko (Danganronpa)
Date d'inscription : 14/10/2017
Nombre de messages : 189
Yens : 79
Dim 5 Fév 2023 - 14:47
Diving into a painful memory
Feat Alyssa & Sarah F. Lawford
La Duchesse resta silencieuse le temps du rêve. Elle se contenta de regarder la scène d’un point de vue extérieure, juste à côté de son élève, la main posée délicatement sur son épaule en signe de réconfort muet face aux traumatisme dont elle devait faire face. Devant leurs yeux se déroulaient des scènes de vie d’une Alyssa plus jeune, par à-coups confirmant à Sarah le malheur qu’avait vécu la petite. Rien de gai dans des conditions terribles.
Visiblement, la personne qui s’était occupé d’elle avait bien cerné la nature de la petite, mais avait tout fait, inconsciemment ou non, pour fausser ces croyances. Ainsi avait-elle était presque assoiffée, au final, buvant du sang en petite quantité cachée dans de la nourriture et boissons humaines, ne sachant rien des vampires mis à part les légendes et les on-dit. Il n’était, au final, guère étonnant qu’elle se comporte comme elle se comportait maintenant, refusant sa vraie nature.
Finalement, la Duchesse poussa un long soupir à en faire frissonner les morts. Elle avait vu ce qu’elle avait besoin de voir. Si elle avait comprit depuis un moment ce qu’il en était, le cas d’Alyssa ne pouvait pas être plus limpide qu’en cet instant. Décidant donc qu’elle en avait vu assez, il était temps maintenant pour elle de faire preuve de mimétise, abandonna les capacités copiées de Junya.
L’effet fut direct. Les deux demoiselles se retrouvèrent, l’une en face de l’autre. La plus jeune des yeux était en larmes d’avoir dû revivre des événements traumatisants. Sans attendre, la Duchesse sortit un mouchoir pour le tendre à Alyssa et resservit deux tasses de thé tant que ce dernier était encore chaud. Seul quelques bruits troublèrent le silence qui s’était installé dans la pièce, le simple but de ce dernier n’étant que de laisser à l’étudiante le temps de se remettre de ses vives émotions.
Sarah sirota sa tasse, puis une autre, tout en gardant son regard sur son élève. Il était évident que, exceptionnellement, la séance d’aujourd’hui allait se terminer ici. Alyssa était dans l’incapacité de continuer. Elle n’avait besoin que de repos et de réconfort. Peut-être un rien de sang aussi. Mais nul doute que de proposer en cet instant ne ferait que la braquer plus qu’elle ne l’était d’habitude et la mettrait en de moins bonne disposition qu’elle ne l’était actuellement. Toutefois, cependant, Sarah voulait avant toute chose lui donner un espoir. Un espoir que le pouvoir qu’elle possédait pouvait être contrôler sans risquer de faire du mal aux autres. Une simple démonstration… Quand Alyssa serait prête.
Visiblement, la personne qui s’était occupé d’elle avait bien cerné la nature de la petite, mais avait tout fait, inconsciemment ou non, pour fausser ces croyances. Ainsi avait-elle était presque assoiffée, au final, buvant du sang en petite quantité cachée dans de la nourriture et boissons humaines, ne sachant rien des vampires mis à part les légendes et les on-dit. Il n’était, au final, guère étonnant qu’elle se comporte comme elle se comportait maintenant, refusant sa vraie nature.
Finalement, la Duchesse poussa un long soupir à en faire frissonner les morts. Elle avait vu ce qu’elle avait besoin de voir. Si elle avait comprit depuis un moment ce qu’il en était, le cas d’Alyssa ne pouvait pas être plus limpide qu’en cet instant. Décidant donc qu’elle en avait vu assez, il était temps maintenant pour elle de faire preuve de mimétise, abandonna les capacités copiées de Junya.
L’effet fut direct. Les deux demoiselles se retrouvèrent, l’une en face de l’autre. La plus jeune des yeux était en larmes d’avoir dû revivre des événements traumatisants. Sans attendre, la Duchesse sortit un mouchoir pour le tendre à Alyssa et resservit deux tasses de thé tant que ce dernier était encore chaud. Seul quelques bruits troublèrent le silence qui s’était installé dans la pièce, le simple but de ce dernier n’étant que de laisser à l’étudiante le temps de se remettre de ses vives émotions.
Sarah sirota sa tasse, puis une autre, tout en gardant son regard sur son élève. Il était évident que, exceptionnellement, la séance d’aujourd’hui allait se terminer ici. Alyssa était dans l’incapacité de continuer. Elle n’avait besoin que de repos et de réconfort. Peut-être un rien de sang aussi. Mais nul doute que de proposer en cet instant ne ferait que la braquer plus qu’elle ne l’était d’habitude et la mettrait en de moins bonne disposition qu’elle ne l’était actuellement. Toutefois, cependant, Sarah voulait avant toute chose lui donner un espoir. Un espoir que le pouvoir qu’elle possédait pouvait être contrôler sans risquer de faire du mal aux autres. Une simple démonstration… Quand Alyssa serait prête.
"Pause méritée"
Etilya sur DK RPG
Mitsutsuki Alyssa#107329#107329#107329
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Nombre de messages : 78
Yens : 173
Dim 19 Fév 2023 - 16:41
Il n'en fut pas longtemps pour arriver à la fin de ce souvenir de l'enfer. Aussi, Sarah me tendit un mouchoir que je saisis avec résilience. J'essuyais mes larmes en essayant de me calmer avec du mal encore une fois. Je voyais ma sensei préparer à nouveau dans se rêve du thé. Bien qu'une illusion, pour le subconscient et le conscient s'était tout comme une réalité qui rappelait l'arôme et l'odeur de cette fine fumée de chaleur qui s'échappait de la tasse. Enfin calmée, je n'avais pas dit un seul mot. En revanche mes actes parlaient d'eux même. Je m'étais vraiment rapprocher de Sarah bien plus que ce que j'étais censé le faire en tant qu'élève envers son sensei. J'étais littéralement à côté d'elle pour ne pas ainsi dire collé. J'étais calme, je ne disais rien même si d'un point de vue bienséance on pouvait repasser, mais qui pourrait me le reprocher en cette instant? Certainement pas ma sensei puisqu'elle était désireuse de connaitre mon passé. Voyons cela comme une dette instantané remboursé au caprice de la jeune vampirette que j'étais.
Je me sentais bien ou du moins rassuré et ce assez pour que j'arrive à braver outre certainement des limites que au fur et a mesure et ce inconsciemment je franchissais. Mais ce n'étais pas des limites réprimandables, mais plutôt corrigeable selon la situation et la personne. Je commençais à m'attacher très sérieusement à Sarah et ce bien plus que je ne le devrais. Etait-ce une résultante de trouver une personne qui représente absolument tout ce qui me manquait dans ma vie ou était-ce par la sincérité des gestes et des actes ressentis ? Je n'en savais rien. Peut-être que ma sensei ne s'en rendait pas compte non plus ou alors que cela ne la dérangeait pas ? Je n'avais pas les réponses, pas plus que je n'avais les questions à celles-ci. C'était ainsi et c'est tout. Si j'étais toujours endormis dans la réalité. Dans le rêve j'avais fini mon thé et revivre mon malheur m'avais épuisé dans le rêve. C'était curieux mais la dernière chose que je me souviens, c'est que dans le rêve je me suis endormis contre ma sensei. J'étais en sécurité à ses côtés assez, pour trouver un sommeil profond. Ce doux rêve dans le rêve prendrait fin à mon retour à la réalité, j'en avais conscience.
Je voulais juste profiter un peu de mon caprice juste un bref instant. Je me promettais de faire des efforts à mon réveil. Je boirai un peu de sang si elle me le proposerai et à défaut je lui demanderai d'en boire un peu. Je sentais que tant que c'était elle, faire un pas ou deux en avant serait possible et pour la remercier d'être la pour moi. Nulle doute que j'étais prête à me faire gronder pour le manque de bienséance juste pour la remercier en la serrant fort dans mes bras lorsqu'elle me réveillerait dans la réalité. J'étais un peu plus prête chaque jour à lui offrir un nouveau sourire et des progrès.
Je me demandais bien la suite ce que j'allais apprendre de nouveau sur notre espèce. J'avais toujours l'impression d'être constamment au sommet de l'iceberg malgré le fait que je creusais profondément un peu plus à chaque fois. C'étais complexe peut-être qu'il me faudrait bien des nombreuses années pour comprendre toute l'étendue. Je savais cependant que cet instant avait un but, un but bien plus important pour la suite et l'avancé dans les leçons. Beaucoup de choses m'échappaient encore sur moi même ou sur le monde vampirique et nul doute que le voile sera peu à peu levé.
Finalement le rêve prit fin et comme attendu le réflexe fut immédiat pour ne pas dire surprenant. Je m'étais levé avant de me réfugier contre l'épaule de la duchesse lui offrant peut être la plus belle récompense et la plus grande intensité d'émotions et d'attache. Je ne disais pas un mot et je ne voulais pas la lâcher non plus mais je me devais d'être raisonnable. J'avais déjà assez abusé de la gentillesse et de non bienséance pour aujourd'hui. Je la lâchais pour me redresser comme si je devais m'excuser d'avoir été trop loin avant de dire doucement.
Je prendrai un peu de sang si vous le demander, je ne râlerai pas.
Je me sentais bien ou du moins rassuré et ce assez pour que j'arrive à braver outre certainement des limites que au fur et a mesure et ce inconsciemment je franchissais. Mais ce n'étais pas des limites réprimandables, mais plutôt corrigeable selon la situation et la personne. Je commençais à m'attacher très sérieusement à Sarah et ce bien plus que je ne le devrais. Etait-ce une résultante de trouver une personne qui représente absolument tout ce qui me manquait dans ma vie ou était-ce par la sincérité des gestes et des actes ressentis ? Je n'en savais rien. Peut-être que ma sensei ne s'en rendait pas compte non plus ou alors que cela ne la dérangeait pas ? Je n'avais pas les réponses, pas plus que je n'avais les questions à celles-ci. C'était ainsi et c'est tout. Si j'étais toujours endormis dans la réalité. Dans le rêve j'avais fini mon thé et revivre mon malheur m'avais épuisé dans le rêve. C'était curieux mais la dernière chose que je me souviens, c'est que dans le rêve je me suis endormis contre ma sensei. J'étais en sécurité à ses côtés assez, pour trouver un sommeil profond. Ce doux rêve dans le rêve prendrait fin à mon retour à la réalité, j'en avais conscience.
Je voulais juste profiter un peu de mon caprice juste un bref instant. Je me promettais de faire des efforts à mon réveil. Je boirai un peu de sang si elle me le proposerai et à défaut je lui demanderai d'en boire un peu. Je sentais que tant que c'était elle, faire un pas ou deux en avant serait possible et pour la remercier d'être la pour moi. Nulle doute que j'étais prête à me faire gronder pour le manque de bienséance juste pour la remercier en la serrant fort dans mes bras lorsqu'elle me réveillerait dans la réalité. J'étais un peu plus prête chaque jour à lui offrir un nouveau sourire et des progrès.
Je me demandais bien la suite ce que j'allais apprendre de nouveau sur notre espèce. J'avais toujours l'impression d'être constamment au sommet de l'iceberg malgré le fait que je creusais profondément un peu plus à chaque fois. C'étais complexe peut-être qu'il me faudrait bien des nombreuses années pour comprendre toute l'étendue. Je savais cependant que cet instant avait un but, un but bien plus important pour la suite et l'avancé dans les leçons. Beaucoup de choses m'échappaient encore sur moi même ou sur le monde vampirique et nul doute que le voile sera peu à peu levé.
Finalement le rêve prit fin et comme attendu le réflexe fut immédiat pour ne pas dire surprenant. Je m'étais levé avant de me réfugier contre l'épaule de la duchesse lui offrant peut être la plus belle récompense et la plus grande intensité d'émotions et d'attache. Je ne disais pas un mot et je ne voulais pas la lâcher non plus mais je me devais d'être raisonnable. J'avais déjà assez abusé de la gentillesse et de non bienséance pour aujourd'hui. Je la lâchais pour me redresser comme si je devais m'excuser d'avoir été trop loin avant de dire doucement.
Je prendrai un peu de sang si vous le demander, je ne râlerai pas.
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|