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Dim 15 Sep 2019 - 15:31
L’esprit enfiévré, Lin ne peut s’empêcher de repenser de nouveau à ses romans. Le vampire représentait à lui tout seul un souvenir ancré dans la mémoire. Concrètement, il était impossible de ne pas le regarder. Même l’esprit perdu, la jeune femme ne le lâchait jamais des yeux.
Si on ne pouvait qu’admirer une lionne qui chasse sans broncher, bloquer sa respiration devant la course d’un guépard, soupirer devant la grâce d’un tigre, qu’elle réaction avoir devant un vampire ? C’était presque gênant de le trouver si terriblement attractif.
Elle a chaud, elle a soif, et pourtant, pour rien au monde elle n’arrêterait cette danse. Il s’étire, elle l’admire. Elle a presque envie de le toucher, voir comment ses muscles fonctionnent du bout des doigts, c’était si dangereux. Instinctivement, elle grogna sous l’attente alors qu’elle n’attendait qu’un seul instant. Elle s’humidifia légèrement le bout des lèvres du bout de la langue. C’était étrange, elle accueillait chaque sensation toujours plus intense qu’en solitaire et chaque découverte de son esprit curieux.
La gourmandise était-elle vraiment un vilain défaut ?
Il arrive, elle ne l’écoute pas vraiment, qu’est-ce qu’il a dit ? Mince, elle s’en fichait éperdument alors qu’elle regarde presque avec stupeur sa tête descendre. Oh ! Elle rougit instinctivement mais, la gêne perd vite du terrain alors qu’un électro choque lui parcours le corps de bas en haut. Elle gémit en rapprochant automatiquement son corps de l’élément déclencheur. C’était soudain, c’était puissant et mon dieu, si cours. Elle ouvre de nouveaux ses yeux sur un Metuselah qui prend du territoire.
Il était hypnotisant. Affolant. Elle avale sa salive alors qu’un nouveau gémissement né au loin sous la pression marquante des baisers du vampire. Si sa raison ne savait pas quoi faire de son corps, ce dernier agissait de son propre chef. Si la vierge en elle craignait l’instant, son mauvais côté n’attendait que ça. Avait-on tous cette part animal en nous ?
Car finalement, dans cet instant, qui était le moins humains des deux ?
Il l’a regardait comme si ce n’était que le début. Allait-elle perdre d’avantage la raison, l’idée même lui coupa le cours d’un instant la respiration de concert avec un autre contact. Elle ferma les yeux pour reprendre une respiration. Il approchait.
L’air se bloqua dans ses poumons, c’était vif, c’était bref mais, la douleur était bien présente. Elle poussa un couinement qui lui permit d’expirer l’air qu’elle avait commencé à concentrer et elle ouvrit des yeux étonnés.
Toutes les femmes avaient un jour ou l’autre eut cette conversation avec ses copines. La première fois, c’était rarement une histoire de plaisir. C’était comme si, s’accrocher au regard de Metuselah était la seule solution pour ne pas avoir envie de dire stop. Elle avait, le temps d’un instant, oublié toutes les histoires. Elle ne voulait pas du tout faire partie de ce clan des premières fois où la douleur ne partait qu’après plusieurs relations sexuelles.
Elle grogna. C’était hors de question.
Lindiya pouvait être la plus têtue des femmes.
Si Metuselah représentait à lui tout seule une source de plaisir, il n’y avait aucune raison pour que ça n’opère pas à cet instant. D’un sourire déterminé, Lin embrasse de nouveau le vampire au-dessus d’elle.
Elle était persuadée que la douleur n’était qu’éphémère, ce n’était qu’une réaction automatique du corps que de se contracter d’avantage face à un corps étranger, de devenir donc plus douloureux et anxiogène. Elle soupire, bien satisfaite de ressentir encore cette passion qui l’anime depuis son réveil. La jeune femme peut dorénavant affirmer qu’elle pourrait vendre son âme au diable pour ressentir ce feu ardent, c’était comme une chaleur au creux du ventre qui fait tout fondre sous son passage – surtout l’esprit.
Un mouvement, la douleur n’est plus qu’un lointain souvenir. Elle reprend sa respiration, une fois, deux fois, comme si ça allait l’aider à comprendre ce qu’elle ressentait. C’était comme comblée un espace non habituée à une intrusion de la sorte. Elle ne put s’empêcher de rire doucement.
« Mince. Je me sens… comme… remplie. » Murmura-t-elle doucement en reprenant sa respiration mais, la sensation était toujours présente.
Elle se mordilla la lèvre. Bah quoi ? Personne ne l’avait prévenu. On ne lui avait pas dit qu’au début, Béatrice aurait tendance à lui lancer ce genre de signaux. C’était comme un « au secours je me noie » que son intimité lui envoyait. Concrètement, elle accueillait en elle un corps étranger. Finalement, c’est un peu comme prendre une autre assiette alors qu’on avait déjà bien assez mangé pour la soirée.
Pourquoi fallait-il toujours qu’elle tourne toutes les situations à l’humour ? Ça devenait infernal, elle devait travailler sur elle-même. Toutes ses émotions, toutes ses sensations étaient décuplés pendant cette soirée. Son humour n’allait certainement pas rester dans son coin, aussi nul soit-il.
Une caresse, un nouveau suçon par-ci, par-là, et la faim finit forcément par pointer le bout de son nez. Et quand les premières vagues de plaisir arrivèrent, Lin ne put s’empêcher de gémir en réponse. Son cœur reprenait de nouveau un rythme intenable. La jeune étudiante avait l’impression qu’à chaque mouvement, des sensations contradictoires l’empêchaient de comprendre rationnellement ce qui était en train de se produire.
Elle ferma les yeux de nouveau alors qu’elle accueillait le plaisir qui la consumait de nouveau. Alors que d’un mouvement, il allait pour s’enlever, quoi de mieux pour faire languir une femme après tout, elle grogna en enroulent ses jambes autours de lui. Du bout du pied – on peut mettre cela sur la souplesse de la jeune femme ou l’adresse – elle le rapprocha d’elle. Elle ne comptait certainement pas le laisser s’éloigner d’elle. Finalement, en obtempérant, elle ouvrit de nouveau les yeux en inspirant de nouveau. Elle ne comprenait pas du tout ce qui se passait dans son corps, à part que c’était foutrement bon.
Le vampire jouait à merveille avec le corps de la jeune femme qui répondait à chaque intention. Une morsure même brève, lui donnait irrémédiablement envie de se cambrer. Et l’absence totale de contrôle sur son corps lui empêchait d’interdire à son corps de bouger. Lin perdait complètement la tête, en demandait encore plus, en voulait toujours plus, c’était comme si chaque nouvelle sensation ouvrait des portes défendues. La dernière allait sûrement la tuer de folie. Avait-elle peur ? Oh que non.
Plus la tension monte, plus la douleur devient un nouvel allié. La pression gênante des suçons, ne fait qu’augmenter la pression dans son bas ventre. Les frôlements du bout des doigts ne font plus effet sur sa peau enflammée, elle ne ressent que concrètement les mouvements brutes et déterminés qui font monter en elle une douloureuse tension appréciable.
C’est comme une pression en elle qui ne demande qu’à exploser mais qui n’y arrive pas. C’était comme si elle avait besoin d’aide, d’un concours de circonstance adéquat pour qu’il se résorbe et la soulage d’avantage. Elle se sentait à bout de nerf, comme si, ne pas y parvenir allait forcément l’énerver. C’était presque une course, l’arrivée, son explosion.
A chaque instant, à chaque mouvement, elle rapprochait encore et encore son corps à celui du vampire, trouvant des ondes grâce à des contacts non prémédités. N’écoutant que son instinct, le corps de la jeune femme répond au mouvement du vampire par des ondulations qui lui permet à chaque fois de ressentir plus. C’était moins doux et clairement moins reposant mais, le résultat était là. La jeune femme ne comprenait pas vraiment que la tension augmente d’avantage. Elle qui pensait la résorbait s’en était tout autre.
Et alors qu’elle se sentait complètement acculé, sans savoir quoi faire, quoi demander, quoi attendre, la magie de Metuselah opéra. Une morsure, une seule, sur le bout d’un sein devenu sensible au moindre mouvement, ne peut qu’envoyer une onde mordante à son bas ventre. Une ondulation de sa part, un mouvement de hanche bien donné, un frottement formidablement bien mené, elle ne respire plus, elle ouvre la bouche mais, ce n’est que pour lâcher le gémissement le plus rauque qu’elle est pu entendre de sa part.
Ça l’emportait, ça l’envoyait valser au fond de son être, ça explosait, c’était… une vague de plaisir époustouflante. Toutes les couleurs les plus vives du monde n’étincelait même pas assez pour le peindre, c’était comme un ouragan, une tempête qui hurlait en elle, soufflait, encore, encore, encore pour exploser dans un final grandiose, au son d’un millier d’instrument, des milliers de trompette.
Et le final, elle gémit alors qu’une vague douce venez lui lécher le bout de l’intimité, elle pouvait encore en avoir plus, elle en était certaine. C’était évident. C’était inévitable. C’était indéniable. C’était obligatoire. Nécessaire, exigée et irrémédiablement demandé.
« Wouawouh ! »
Ouais fallait que ça sorte. La jeune femme se mit à rire de pur bonheur. C’était la sensation la plus comblant au monde. Elle avait craint que l’orgasme ne soit que passager mais, c’était un coup de poing dans son intimité. Le final était fulgurant. L’après… une mer calme, des vagues douces continuaient à lui lécher l’intérieur, tout son corps se sentait lévité, elle était sur un nuage, un nuage de bien-être qui ne prendrait fin qu’une fois la plage de quittait.
Elle sentait du bout des doigts que ce n’était pas très loin que finalement, seul la fatigue humaine pouvait l’empêcher d’en demander et d’en vouloir jusqu’à la nuit des temps. La jeune femme était complètement enflammée, pouvait-elle être rassasié complètement ? Pouvait-elle un jour dire non à ce qui venait de lui être mis sous les yeux ? Elle n’en avait aucune idée.
Quand elle posa ses yeux sur le vampire au-dessus d’elle, elle savait que tout ce qui venait de lui arriver était prémédité. Elle ferma les yeux sous une nouvelle vague qui lui donna des frissons jusqu’aux confins de son être.
« Encore »
Est-ce que c’était une question ou une affirmation. Elle n’en avait aucune idée. Elle savait juste qu’elle en voulait encore plus, qu’elle n’abandonnerait qu’une fois morte de fatigue et clairement, elle ne l’était pas encore. De plus, elle le savait par avance, sa curiosité allait finir par la perdre. Ce n’était que le début, elle en avait parfaitement consciente mais, elle savait également, que ne lâcherait pas le morceau.
« Montres moi en encore plus, s’il-te-plait. Il y a bien plus, non ? On peut même jouer aux vampires et à la victime ! » finit-t-elle en riant. « Sans mourir. » était-il important de préciser.
Metuselah Shidara#101905#101905#101905#101905#101905#101905
Vampire Level A - Chef du clan Shidara
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Emploi/loisirs : Chef de la Famille Shidara
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Jeu 17 Oct 2019 - 0:59
Il existait deux choses, de toute son existence, que Metuselah Shidara plaçait aisément au-dessus de tout ce qui pouvait arriver. La première était le sang. Non pas le sang qui coulait d'une gorge vers une autre dans le but de satisfaire sa soif, non. Pour extatique que soit ce divin nectar, le vampire avait une soif bien plus secrète : la soif de bataille.
Sang, sueur, souffrance, collisions, confrontation, sens aux aguets, réflexes aux maximum, les moindres limites de son corps amené à l'extrême limite de ses possibilités quand cela était possible. Que cela soit face à un humain , un vampire ou un lycan, le ballet dansant de la mort était une œuvre d'art qui manquait au vieil homme en ce temps de paix et de coalition.
Bien qu'il ne l'avouerait jamais publiquement, le Shidara éprouvait toujours une certaine satisfaction à regarder des films d'arts martiaux. La beauté, le style, qui s'en dégageait, couplé à cui pouvait s'avérer efficace quand on regardait attentivement et mettait certaines choses précises en application était une inspiration sans borne.
La seconde saveur de sa vie n'était autre que le sexe. Le fait de s'enfermer dans le sanctuaire intime d'une femme était une satisfaction infini, et plus grand encore, une communion dont il ne savait se lasser. Sa satisfaction, son propre désir à se jeter ainsi dans l'intimité d'une femme était si fort, si satisfaisant chez lui que sa propre femme avait fini par accepter son impossibilité à le satisfaire pleinement.
Luxure et Gourmandise, deux péchés capitaux unis en un seul individus, de cela peu de vampire le nierait.
Et c'est pour cela, oui, pour cette saveur personnelle, que il avait finit par pénétrer la jeune femme.
Vierge.
Sentant la fleur se teindre de sang sous son corps, il stoppa un instant. Bien entendu, il savait que chaque femme avait sa propre faculté à « accepter » leurs premières fois. Mais il n'aurait toutefois jamais pensé que la demoiselle, si vive et si naturelle, aurait fait preuve de cette qualité, de ce don que le doyen recueillait avec plaisir.
C'était un don qui méritait récompense.
L'espace d'un instant, elle ne bougea point, alors que le vampire, sans bouger, se satisfaisait de sa position.
Sentir les parrois frémir autour de son intimité était une sensation dont il ne saurait se lasser. Mais plus encore, il se sentait... dedans.
Connaissez-vous l'allégorie de la lame et du fourreau ? Et bien Lindiya était son fourreau ce soir, pour son plus grand plaisir. Etait-ce du à son jeune âge ou à son état, mais le vieil homme se trouvait actuellement dans un sanctuaire pour sa présence.
Un sanctuaire qui, de prime abord, le refusait. La pression que Metuselah ressentait en bas était fort, et le corps de la jeune femme trahissait un fait simple : retirer l’étranger.
Cependant, il était un vampire. Un vieux vampire. Il ne céderait pas devant un col renégat tentant de le jeter dehors.
Cette chaleur, cette humidité, et cette odeur... mmh, mmmh !
Si Lin s'était arrêté pour reprendre souffle, son vis-a-vis avait posé pour deux raisons : lui permettre de prendre une pause était l'un d'eux.
La seconde était de humer cette odeur. Cette odeur qui se dégageait d'en bas, ce mélange de cyprine amer et de la ferraille sanguine, ce goût envoûtant pour l'homme comme le vampire, unie en une seule présence. Fort peu en quantité, toutefois, rendant cette odeur encore trop négligeable. Mais cela apportait déjà un début, une petite fragrance envoûtante.
Une fragrance dont il désirerait volontiers plus.
Comme mû par cette 'valeur', il commença à bouger doucement, allant même suçoter un peu la nuque de la jeune femme.
La saveur de la sueur se mélangeant à l'odeur pourrait rebuter pas mal de personnes, mais en son cas, c'était des détails en plus dans leurs danses intimes.
Toutefois, le début fut une suite de gémissement qui le surprit légèrement. Comme si la jeune femme, poussée peut-être par un masochisme encore jusque-là jamais dévoilé, se retrouvait déchirer entre souffrance et plaisir.
Avec une petite léchouille, l'homme tenta de la provoquer un peu. Oh, bien sur, c'était une provocation innocente : retirer l'objet étranger, petit à petit, comme pour lui dire 'vas-y, tu en veux ?'
Si il y avait bien une chose que Metuselah Shidara savait de la jeune femme, c'était bien qu'elle ne savait refuser les petits défis. Et cela ne se fit pas attendre, alors même qu'il sentait la jeune femme s'agripper à lui avec la vigueur d'un serpent.
Mais, petit à petit, le vampire, voyant qu'elle acceptait son existence de plus en plus facilement, décida de détendre la bride à sa propre personne.
Frappant de ses hanches entre les cuisses de la jeune femme, au départ, cela était au rythme de la respiration de la jeune femme.
Puis au fur et à mesure que cette dernière avait de l'aisance à respirer, le vampire se lâcha.
Le frottement mutuelle des peau s'intensifièrent, alors même que les parois se raffermissaient sur sa verge, comme pour le retirer du corps. Et alors même que les lèvres inférieurs de la jeune femme semblait crier victoire pour l'en retirer, l'homme rentrait à nouveau.
Doucement au début, puis de plus en plus fort.
Chaque rentrée était une destruction interne, faisant gicler du sang mélangée à la liqueur intime. Mais plus encore, chaque frappe était de plus en plus fluide.
Plus aisé, moins opposé, plus accompagnée.
Certains instants out il se sentait pleinement accepté, il demeura un instant, réalisant des torsions de ses hanches pour aller viser les parties intimes qu'il n'avait pas encore pu toucher. Chaque femme, en un sens, avait son point faible. Des petits a-coups pour le trouver, des petites mitrailles pour frotter.
Et bien sur, en haut, la gourmandise avait prit place.
Sentir la peau de la jeune femme, en sueur, sous lui, était fabuleux. La douceur féminine était encore meilleur à ressentir que le satin ou la soie, incomparable au toucher, et la femme ne faisait pas exception. Sa douche plus tôt l'avait nettoyée, et comme elle comprenait fort peu d'impureté, cela était un délice de toucher.
A onduler, les corps, se touchant, se frottant, le vampire pouvait toucher. Et si la jeune femme semblait satisfaite de son contact à lui, cette peau était bien une des choses qui amenait l'homme à aimer la femme.
De fait, il serait devenu fou, peut-être que le vieux vampire aurait-il finit par écorcher des femmes pour s'en satisfaire.
Mais quel gâchis ce serait ! Leurs intimités étaient le sanctuaire de sa verge, leurs seins, les lunes de sa vue et les montagnes foulés par ses membres !
Et ce sang, ce délicieux sang. En activité, le sang dans le corps de la jeune femme circulait à vive allure, rougeoyant sa couleur beige, et pour un vampire, cela pouvait s'avérer fort, fort alléchant.
Telle alléchant qu'il ne put s'empêcher d'apposer une dent sur son sein, faisant couler une petite goutte qu'il lécha une fois qu'elle eu atteint le téton, en passant d'un coup de hanche ascendant pour la redresser.
Les résultats sur la jeune femme furent extraordinaire, mais le vampire ne portait point son attention sur elle actuellement. Ses mains frottant son dos, son ascension intime à la limite, et le milieu du corps de la jeune femme cambré à la limite de sa souplesse, Metuselah se redressa d'un coup.
Aaah... Cette odeur... amère et métallique...
Cette saveur... Cette goutte de nectar coulant dans sa gorge.
Et ce corps... Arqué, si beau, si... doux entre ses mains.
Et sa frustration.
Grrr.
Alors même qu'elle glissa, rendu par trop humide suite à son orgasme, elle arborait un sourire extatique pour sa première fois, une satisfaction qui lui fit se demander s'il l'avait pas brisé. Non que cela lui aurait été désagréable, cela dit, c'était amusant de briser des femmes par le plaisir.
…
Quand il entendit le petit mot, encore, il jeta un cou d’œil à sa lance.
Avec un sourire carnassier, il passa le doigt dessus, récupérant un peu de sang et de cyprine, avant de lécher ce dernier.
Le regard qu'avait le doyen était tout sauf calme. La flamme dans ses yeux brillaient de mille feu.
Ca tombe bien, j'en avais pas fini avec toi...
Vampire et victime, hein ?
D'un geste de la main, il saisit la jambe de la jeune femme, avant de la retourner, pour se retrouver dos à elle et fesses au premier plan.
Une main sur sa colonne vertébrale, il se glissa à nouveau vers son intimité, bien que cette fois-ci, deux lobes de chaires soient proéminents.
Qu'a cela ne tienne.
Son corps entre les cuisses de Lin, il se pencha en avant pour saisir les bras de cette dernière et la bloquer contre le lit.
S'assurant ainsi qu'elle ne puisse plus bouger par la force physique comme elle l'entendant, il visa, puis laissa litérallement son bas de corps s'abattre sur elle.
La ou avait il y était allé doucement, la, sa lame pénétra le fourreau avec une violence inouïe.
Ce dernier, frémissant encore de son orgasme, du avoir affaire à une pénétration semblable en force à une chute. Soigneusement visée, mais tout aussi violente.
Et ce fut cette même acte qui fut répété. Plusieurs fois.
Décidant de laisser de la moue à Lin... Non, désirant l'entendre et la voir, il tira sur ses poignets pour la redresser le plus possible, alors que de chute ses coups de hanches devinrent des frappes sonores.
Le bas de son corps provoquait un bruit de clap érotique en frappant chaque fois les fesses de la jeune femme. Si on avait que l'ouïe, on aurait pu croire qu'il donnait des fessées. Mais la vérité était tout autre.
La vérité était que il se mouvait avec la frustration de vouloir se défouler. Sentir son être serré par l'intimité de la jeune femme, sentir sa propre gourmandise, son désir de recevoir a semence.
Le sourire carnassier de l'homme ne daignait même plus donner léchouilles et suçons. Il tirait, afin de coller le dos de la jeune femme contre son torse, afin de sentir leurs FUSION, somme si il rentrait en elle en totalité pour ressortir par l'autre coté.
Plus. Plus. Son bas de ventre en frémissait. En gémissait.
Inconsciemment, sa vivacité devint inhumaine, la seule raison qu'il lui demeurait encore était de ne pas la casser physiquement.
Mais en son âme en conscience, il avait lâché un coté plus... bestiale envers la jeune femme.
Il s’arrêta toutefois, à quelques instants, aussi brutalement que ses coups de hanches.
Sentir son intimité... au chaud en elle... Puis découvrir à nouveau son intérieur... Le redécouvrit... Par a-coup...
Quelques frappes pour jauger sa réactivité corporelle... ses points faibles... Pour pouvoir y trouver une satisfaction sadique dans le bruit sortant de sa gorge... La ou d'autres entendaient des râles, c'était une opéra pour le vampire de plusieurs siècles, dont il ne se lassait pas.
Quelque soit le liquide coulant, quelque soit les cris, lui-même désirait SA chose.
Un frisson. Le frisson qui arrivait. Qui lui parcourait l'échine, alors que il sentait quelque chose s'accumuler en bas.
Il se retint. S’arqua en avant dans ses coups. Ralentit un peu.
Frissonna. Trembla
Avant de, finalement, se détendre d'un coup, frappant une fois. Une seconde. Une troisième...
MEEEEURT!
Se relâcher. Enfin.
Laisser jaillir ce qu'il retenait. Laisser son corps se vider, se soulager.
Sans lâcher les poignets de Lindiya, sans autre désir de se satisfaire, enfin, alors qu'elle en faisait de même.
Pendant un instant, sous le relâchement, son corps entier se tendit, et le haut de son corps s'arqua en arrière, se séparant du dos de la jeune femme.
Il ne se retira point, se contentant de ne plus bouger pendant quelques instants, avant de, finalement, libérer la jeune femme.
Voila pourquoi il ne pourrait jamais se lasser de sexe.
Et son corps était parfaitement d'accord avec lui.
Voyant que, bien que s'étant relâché une fois, et en elle, le vampire respira un bon corps, avant de regarder la jeune femme d'un air carnassier.
La gourmandise était un péché capital, disait-on.
…Aaah... Toujours vivante ?
Et toujours affamée ?
Parce que dans son cas...
Il était lancé.
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Mer 22 Jan 2020 - 20:48
Clac. Clic. Crac. Lindiya s’étire, savoure ses premières vagues de désir qu’elle a pu ressentir, on peut dire que Metulesah lui avait mis l’eau à la bouche. La jeune femme appréciait globalement l’expérience, c’était comme ouvrir la boîte de Pandore. Métaphore que sa meilleure amie française aimait beaucoup utiliser quand elle décrivait ses rocambolesque partie de jambe en l’air. Sulfureuse avec ce grain de folie des pays hispanique, sa jeune amie avait très vite ouvert les portes du plaisir sexuelle.
Devant un bon café, Lindiya appréciait chaque histoire, chaque « potin », chaque détail croustillant que son amie lui mettait sous les dents. Elles riaient souvent, c’était à qui posséder les meilleures mains, les meilleurs reins et surtout, le plus important sex appeal. Si notre étudiante était novice en la matière, elle était très loin d’être gênée dans ce type de conversation, elle se permettait même parfois de petite appréciation.
Au bar, souvent, elle écoutait toutes ses amies françaises rougir en pensant à leur dernière histoire et paille à la bouche, elle essayait de s’imaginer cet instant qui semblait si intense, destructeur et aphrodisiaque. Mais, même si beaucoup se complaisait dans la sensualité, Joanna lui chuchotait souvent à l’oreille qu’il existait plus intéressant.
C’était, d’après l’espagnol, le « brute », le « bestial » et qui – malgré son aspect animal – abordait une partie du plaisir charnelle à la limite de la perte de conscience. Lindiya frémissait toujours, alors qu’elle l’écoutait lui donner chaque détail, chaque contact et jeu sexuelle auquel, elle avait pu jouer. S’il arrivait à la jeune femme de froncer le nez devant certains aspects de sa vie sexuelle qu’elle pouvait trouver dégradant, Joanna lui montrait son petit doigt, le bougeait de droite à gauche en la sermonnant :
« Goute au fruit défendu, mon amie. Tu verras, on en reparlera. Tu viendras toi-même la réclamer la fessée. »
D’un revers de main, la lycéenne balayait l’idée.
Et pourtant, devant cette étrange soirée, Lindiya repense de nouveau à cette conversation. Au sourire affamée de son amie qui n’attendait qu’une prochaine fois, elle repense à toutes ces soirées endiablées qu’elle lui avait raconté au self. La plupart du temps, la jeune étudiante qu’était Lin écoutait, avide de plus de détail, avide d’appréhender une sexualité qu’elle n’avait encore jamais exploré. Pourquoi ? Qu’avait-elle donc peur d’y trouver ? Avait-elle peur de la douleur, de l’absence d’humanité, de se transformer en objet, en simple et pitoyable représentation du fruit défendu.
D’une inspiration, la jeune femme tente tant bien que mal de retrouver ses esprits devant un Metuselah plus qu’intéressé par sa proposition. Que recherchait-elle ?
Un seul mot.
Plaisir.
Lindiya ne comprenait pas cette obsession, ne comprenait pas l’intérêt de relation charnelle, bien trop habitué à l’aspect douloureux et traumatisant de son passé. Ce soir, elle voulait tout explorer. L’impossible et l’inconcevable étaient les bienvenus. Une décence ? Où ? Lindiya n’en avait jamais eu. Une fierté ? Mieux valait la mettre de côté très tôt pour ne pas finir la corde au cou. La motivation ? La connaissance.***
« Arrête de me regarder comme ça, Lin, j’te jure c’est le pied ! »
« Non mais Jo, arrête, comme ça d’un coup, et toi alors ? Ton intimité, hein ? Excuse-moi mais, je trouve ça brutal et complètement machiste. »
« Hm non. Te braque pas, il y a une différence total entre le sexe forcé et consentie. Dans le consentie, tu édictes une règle, s’amuser. S’amuser dans le respect de son partenaire, aucun interdit, que des possibilités. Et ma chérie, je te parie une pizza que tu vas adorer. Pire que ça, tu vas supplier pour en avoir plus. »
« On y croit… Pu…. »***
« TAIN ! »
Même prévisible, l’intrusion reste tout aussi brutale. Lindiya ne s’était pas du tout préparée à ce cocktail explosif qui prenait dangereusement forme en elle. Et pourtant, à cet instant, joue contre le lit, yeux fermés comme pour éloigner toute influence visuelle extérieur, la jeune femme assimile le feu ardant qui grouille en elle.
Crotte. Merde. Putain. Non. Oui. Bordel de merde.
Lindiya oublie totalement d’où elle vient, où elle est, avec qui, comment, où et pourquoi. Son corps et son esprit se concentre sur un seul point : son plaisir. D’où venait-il concrètement ? Lin est incapable de mettre le doigt dessus. En haut. Non en bas. A droite ? Mais non, merde, à gauche. Maintenant. Non plus là. Mais non, c’était le tout. Plus Metuselah s’enfonce brutalement plus elle gémit, grogne, soupire, crie, supplie, croasse, remue.
C’est un sentiment nouveau et dangereux, une drogue parmi les drogues. L’appréhension s’évanouie, la tendresse est mise au placard, l’amour au banc du parc public, l’attention sur le plaisir qui monte en flèche. La jeune femme en vient totalement à oublier son partenaire. Ce n’était plus « il » mais, un cruel et formel « je ». Elle n’attend qu’une chose : le summum.
Brutale, la douleur pointe doucereusement le bout de son nez, caresse l’intimité de la jeune femme et délivre une hormone qui rend avide du prochain coup de rein. Et plus, il fait son affaire, plus l’orgasme approche. De ce fait ?
Comment ne pas supplier cette douleur de ramener ses fesses une nouvelle fois. Il fallait même qu’elle y aille un petit plus franchement.
Obéissante ou obéissant, on se demandait, douleur ou Metuselah, qu’importe, l’effet était le même, la cadence monte en flèche. Simone, quant à elle – oui on parle bien de l’orgasme – affiche fièrement un air victorieux alors qu’elle ravage Lindiya de part en part. Différent du précédent, Simone était plus ravageuse. C’était comme un tsunami. On ne peut que gémir, fermer les yeux pour accueillir les vagues salvatrices, bloquer sa respiration, gémir encore et accepter qu’elle s’éloigne au loin. A la prochaine, ma vieille. Car Lindiya comptait bien redire bonjour à cette charmante Simone le plus rapidement possible.
La respiration de nouveau au rendez-vous, l’étudiante s’affaisse dans son lit en ronronnant de bonheur mais complètement lessivée. Fait de coton doux, le corps de la jeune femme flotte dans un océan de nuage, la laissant complètement à la ramasse et seule face à sa conscience. Ah non, conscience aussi prend un bain dans un sauna au loin. La maligne.
Lin ouvre un œil, tout en attendant que son corps lui réponde de nouveau peu à peu. Elle est complètement paralysée mais, cela ne l’inquiète pas le moins du monde.
« …Aaah... Toujours vivante ? »
Hm. C’est vrai qu’elle n’est pas vraiment toute seule. D’un soupir, elle arrive enfin à faire bouger ses doigts. Elle bouge sa tête de l’autre côté. D’un bâillement, elle récupère l’usage de ses bras, ce qui lui permet enfin de se passer les mains sur le visage et dans les cheveux, comme si ça allait l’aider à reprendre plus rapidement du poil de la bête.
« Incroyable. Mais ouais, en vie. »
D’un nouveau soupir, elle n’était faite que de ça de toute façon, Lin finit par sentir ses jambes qui flageole alors qu’elle se redresse. Elle s’étire en grognant et, ouvre des yeux choquées alors qu’elle sent un truc chaud couler le long de ses jambes.
« Wow ! Wow ! Wow mais c’est quoi ça ! » Elle se retourne vers Metuselah surprise. « Garde ce qui t’appartient oh ! »
Elle file sous la douche en grognant.
« Super le cadeau, ça c’est un final de feu d’artifice dantesque. Je vais le proposer pour le 14 juillet, tenez, j’ai trouvé l’apothéose les gars, mais oui ! De la semence de… vampire ! Jurez, ça va faire fureur. Eurk mais c’est pas humain ça ! » grogne-t-elle tout en se lavant.
Une fois fait et satisfaite du résultat, la jeune femme noue une serviette autours de sa taille, enfile une culotte parfaite pour la nuit et retourne dans la pièce pour se diriger illico presto vers son frigo. Elle sort deux despe bien fraiche, les ouvre, en pose une sur le côté histoire de laisser Metuselah se servir ou non, et vide la moitié de la sienne avec plaisir.
« ça va, Béatrice a quand même apprécié la douche et va probablement devenir meilleur ami avec Simone, je n’en doute pas. » finit-elle en baillant.
D’un regard, Lin décide de poser sa bière sur son plan de travail. Ses petites mains tremble encore un peu, Simone avait fait des ravages dans son organisme.
D’un mouvement de tête, la jeune femme décide de présenter son intérieur à la bête sexuel toujours présente.
« Mon frigo, si tu veux un truc. Ma salle de bain, profite, la douche est chaude. Mon lit, si tu veux dormir. Enfin si tu dors. Ma porte d’entrée, si tu veux partir, je comprendrais »
Et maintenant, qu’elle avait fait son rôle d’hôte du soir, la jeune femme finit sa bière, jette sa serviette qui avait accompli son devoir à la perfection sur le dossier de sa chaise, fait deux pas et se jette sous ses draps en ronronnant. Car malgré sa bonne humeur, la jeune femme était complétement à cour de batterie. La cause était toute trouvée et saluée. Elle en était certaine, elle allait dormir du sommeil du juste. Et c’était tant mieux.
Metuselah Shidara#104298#104298#104298#104298#104298#104298
Vampire Level A - Chef du clan Shidara
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Date d'inscription : 25/08/2014
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Emploi/loisirs : Chef de la Famille Shidara
Yens : 199
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Ven 12 Juin 2020 - 0:10
Petit claquement de canines agacée.
En un sens, il comprenait. Ce n'était pas la première fois qu'il assistait à la Petite Mort de l'une de ses … disons, proie, et cela le satisfaisait toujours autant. En un sens, cela était un hommage invisible à deux mille ans d'expériences et de longues années accordées à son immortalité au sexe.
Bien la seule chose qui parvenait encore à le faire vibrer depuis … longtemps, en fait.
Trop longtemps.
Cela dit, si elle était beaucoup trop calme à son goût, il savait surtout qu'il devait avoir consommer énormément de son énergie. C'était toujours le petit coté agaçant avec les humaines : moins d'énergie qu'eux. D'un autre coté, ce que c'était amusant. Et puis, elle était mignonne.
Entre autre chose.
Se couchant sur le coté, il décida de l'observer un petit peu. Une fois leur pucelage retiré, les humaines avaient toujours des réactions intéressantes. Les vampires, cela variait, en général, entre une certaine timidité ou une impatience bien trop grande pour leur race. Mais les humaines ?
Que des réactions différentes, est en général, fort amusante.
Il ne fut pas déçu.
Regardant avec un haussement de sourcil la jeune femme aller vers sa douche, il dut appeler à lui un grand effort de volonté pour ne pas éclater de rire devant la scène. C'était une autre échelle de priorité, que fort peu de personne lors de leurs première fois aurait ne serait-ce que songer. Mais c'était amusant. Avait-elle peur d'un petit dhampire intempestif naissant de ses entrailles ?
Il profita toutefois de ce laps de temps pour caresser du doigt sa verge détendue, ramassant le sang du pucelage de la demoiselle, avant de le léger.
Aaah, ce sang de première fois... C'était un nectar sous une autre forme. Beaucoup qualifiait cela de fétiche, mais dans son cas, cela avait un arôme salé, plutôt acidifiée, avec une petite teneur en énergie vitale, tout ce qu'il fallait pour attiser les papilles gustatives.
Une des raisons qui faisait que, à une époque, il se livrait à de petits massacres une fois cela accomplit, d'ailleurs.
Il eu une nouvelle pensée amusante en la voyant bouger partout, le faisant sourire de toutes ses dents. Avant qu'il ne puisse s'empêcher une remarque sordide.
Ca peut s'arranger. Tu veux que je repasse pour le 14 juillet ? Promis, cette fois je ramène les pilules du lendemain.
Moui.
Ça pouvait très clairement s'arranger en effet.
Il l'avait déjà noter dans son agenda mental, en fait.
Et au vu du tremblement de la main, la seule perspective du jour approchant serait...
… Okay, note à soit-même : repasser quelques jours avant.
Il n'allait pas soulever le petit détail évident comme quoi il était effectivement pas humain, cela avait l'air de lui passer au-dessus de la tête sans s'arrêter.
Se levant pour prendre la desperado, il la rangea dans le frigo, ne désirant nullement lui prendre, à elle qui avait déjà bien peu, , avant de se retourner vers la jeune femme, s'étirant.
Cela dit, moi je suis toujours opérationnel, c'est pas aussi peu qui va...
...
Son regard s'arrêta sur le haut nu de Lindiya, écrasée sur le lit, apparemment écroulée et inconsciente.
…
Avec un petit rire, amusé, Metuselah alla se réinstaller prêt de Lin, prit ses bras, et la tira un peu vers lui, avant de se coucher à son tour auprès de son...
Moui, on pourrait dire semi-cadavre, à ce stade.
Calant la tête de la jeune femme contre son torse et son corps contre le sien, il passa ses bras autour de lui et se mit à caresser les cheveux en soupirant.
Avant de pousser un petit ricanement amusé.
Partir maintenant, et manquer de te voir te ramasser la gueule le lendemain quand tu vas marcher en canard ?
Jamais, Lindiya.
Et j'ai un téléphone pour enregistrer ça.
En attendant, choupette...
Dors bien, je veille sur toi.
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