Cauchemar en cuisine ? [13/07/18]
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Izaya Manabu#106161#106161#106161
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Ven 16 Juil 2021 - 10:57
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Tard dans l’après-midi, un jeune homme, chargé d’une lourde de caisse, se rendait calmement en direction de l’église. Il était habillé sobrement d’un short et d’un t-shirt. Sur son nez, ses lunettes glissaient tout doucement, l’obligeant un instant à s’arrêter, sur le côté de la route, pour les remonter. Il n’était pas contre, ceci dit. Il était, après tout, bien chargé. La caisse était remplie de vivres, fraichement récoltés par le sanctuaire. « Pourquoi donc ? », pourrait-on se demander. Simplement pour venir en aide à Bonsecours.
Bien qu’il y eût une grande différence de culte entre l’église et le temple, les deux représentants avaient disposaient tous deux d’une grande ouverture d’esprit et de très grandes qualités humaines communes. Oh, il ne fallait pas aller jusqu’à dire qu’ils étaient amis. Ou peut-être que si. Dans tous les cas, quand Bonsecours fut remis sur pied pour accueillir toute personne dans le besoin ne disposant pas d’un toit au-dessus de la tête la nuit Ryu Manabu avait tout de suite proposé son aide. Ainsi, dès le lendemain, il commença à parler d’une collecte de denrées auprès de ses visiteurs, pour venir en aide à son prochain. Aujourd’hui, le père avait donc demandé à son fils de conduire le résultat de la collecte au père Riku afin que ce dernier en fasse bon usage.
Il décida à reprendre la route, reprenant le carton à bras. Il franchit les dernières centaines de mètres qui le séparaient de sa destination. Izaya jeta un rapide coup d’œil dans la cour à la recherche du responsable. Mais pas la moindre trace d’une aura bleue. Etrange, le père faisait toujours son possible pour venir l’accueillir quand il se présentait.
Le jeune homme soupira. Voilà qui l’embêtait grandement. Il n’allait tout de même pas déposer son fardeau en plein milieu de tout. Heureusement, il savait où se trouvait les cuisines, pour y avoir déjà donné un coup de main. Il lui fallait juste une âme charitable qui accepte de bien vouloir lui tenir les portes.
Des âmes, il y en avait bien une. Jeune fille, aura rouge, plutôt bien couverte pour un beau jour d’été. C’était à se demander si elle n’avait pas trop chaud. Il ne savait pas si elle était charitable mais la réponse ne saurait venir qu’en posant la question. Il se dirigea d’un pas sûr vers elle et l’apostropha simplement.
Il ne restait plus qu’à espérer qu’elle ne soit pas mal lunée ou dans une humeur non-coopérative. Il n’avait pas envie de trainer dans le coin.
Bien qu’il y eût une grande différence de culte entre l’église et le temple, les deux représentants avaient disposaient tous deux d’une grande ouverture d’esprit et de très grandes qualités humaines communes. Oh, il ne fallait pas aller jusqu’à dire qu’ils étaient amis. Ou peut-être que si. Dans tous les cas, quand Bonsecours fut remis sur pied pour accueillir toute personne dans le besoin ne disposant pas d’un toit au-dessus de la tête la nuit Ryu Manabu avait tout de suite proposé son aide. Ainsi, dès le lendemain, il commença à parler d’une collecte de denrées auprès de ses visiteurs, pour venir en aide à son prochain. Aujourd’hui, le père avait donc demandé à son fils de conduire le résultat de la collecte au père Riku afin que ce dernier en fasse bon usage.
Il décida à reprendre la route, reprenant le carton à bras. Il franchit les dernières centaines de mètres qui le séparaient de sa destination. Izaya jeta un rapide coup d’œil dans la cour à la recherche du responsable. Mais pas la moindre trace d’une aura bleue. Etrange, le père faisait toujours son possible pour venir l’accueillir quand il se présentait.
Le jeune homme soupira. Voilà qui l’embêtait grandement. Il n’allait tout de même pas déposer son fardeau en plein milieu de tout. Heureusement, il savait où se trouvait les cuisines, pour y avoir déjà donné un coup de main. Il lui fallait juste une âme charitable qui accepte de bien vouloir lui tenir les portes.
Des âmes, il y en avait bien une. Jeune fille, aura rouge, plutôt bien couverte pour un beau jour d’été. C’était à se demander si elle n’avait pas trop chaud. Il ne savait pas si elle était charitable mais la réponse ne saurait venir qu’en posant la question. Il se dirigea d’un pas sûr vers elle et l’apostropha simplement.
Izaya ▬ « Excuse-moi. Je dois déposer cette caisse en cuisine. Accepterais-tu de bien vouloir me tenir les portes ? »
Il ne restait plus qu’à espérer qu’elle ne soit pas mal lunée ou dans une humeur non-coopérative. Il n’avait pas envie de trainer dans le coin.
"Colis hebdomadaire"
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Mitsutsuki Alyssa#106191#106191#106191
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Mar 27 Juil 2021 - 15:10
Voilà, que j'en avais plein les pieds de cette journée de fou. À tout faire pour aisément prendre des notes pour les différents cours. Quelle idiote je faisais. J'avais insisté bêtement devant Nathan pour m'inscrire sur deux cursus. Le résultat était que j'avais deux fois plus de travail que n'importe qui. Bon en soit j'avais des droits sur des aides, mais là dans le sens responsabilité, j'avais fait fort. Dans mon ignorance, j'étais certaine de pouvoir me retrouver dans des situations toujours plus inconfortables. Je voulais avoir raison, pour la peine, j'allais subir l'année universitaire.
Je pensais rentrer tranquillement dans ma chambre lorsqu'une personne m'interpellait. C'était vraiment impensable. Encore? Qu'est-ce qu'ils ont tous à vouloir m'approcher en ce moment ? Eux qui m'évitaient comme la peste autant que je ne me permettais pas l'intrusion dans leur petite vie tranquille. M'enfin bref, une aide aussi anodine que celle-ci ne serait pas un souci. Tant que je n'ai rien de vampirique à faire, j'étais sereine. J'approchais alors pour lui ouvrir le passage.
Pas de soucis.
Je lui ouvris la première porte vers les cuisines communes, il n'y en avait pas des masses de toute façon. Encore une ou deux et je pourrais retourner vaquer à mes occupations de nouvelle étudiante. Il fallait rester calme et éviter la conversation. Néanmoins, je l'avais brièvement observé. Il semblait être quelqu'un de simple et plus encore ses lunettes. Oui, oui ses lunettes. Trop de simplicité tuait la simplicité. C'était comme-ci, il cherchait à se cacher derrière. Allez savoir, je m'occupais à observer les choses qui ne servent à rien comme un passe-temps. Il devrait peut-être penser à les retirer, mais ce n'était que mon opinion de vampirette réservée qui parlait. Je passais alors mon temps à brièvement l'observer de curiosité. Mes semblables en feraient peut-être un casse-croute, ce n'était guère mon cas. En vrai, je connaissais très peu les humains et pour même dire, je les imitais parfois pour apprendre quelque chose. Je faisais avec les moyens du bord.
Maintenant, que j'y pensais, la plupart des portes étaient battantes alors il n'y avait pas réellement besoin de moi. À moins qu'il ne connaisse pas les lieux. Finalement, je trouvais les humains parfois étrange et lui n'en faisait pas exception. Non, il y avait quelque chose de différent cette fois. Je n'arrivais cependant pas à dire quoi. Il était trop sûr de lui ? Non, ça devait être autre chose. Je devenais pensive alors que j'ouvrais les portes comme-ci j'étais possédée.
Enfin, la cuisine, j'allais pas m'attarder. J'avais des cours à réviser et puis j'étais mal à l'aise avec ce mystérieux humain. Je commençais à reculer comme-ci je faisais un moonwalk vers la sortie de la cuisine alors qu'il posait enfin sa marchandise. Je pris alors mon plus beau sourire de petite vampirette afin de m'échapper de ce moment.
Bon et bien, ma mission est terminée....alors... je vais... m'en aller...
Je reculais et au lieu d'arriver au niveau de la porte de sortie je fis tomber deux ou trois casserole que je ramassa avec un léger stresse avant d'arriver enfin à la porte et sortir. Puis finalement, mes petites mains se refis visible et je le regardais en ne laissant que ma tête de visible.
Bonne journée...
Je m'éclipsa à nouveau avant de refaire la même.
Et au revoir...
Puis je m'éclipsa encore une fois avant de réapparaître.
...Désolé...
M'éclipse encore une fois, mais non loin de la cette fois-ci pour reprendre mon souffle. C'était dur, mais je pensais avoir régler le malentendu. D'ailleurs pourquoi je reprends mon souffle? Je n'ai pas de nécessité de respirer. Mmm... c'était embarrassant ce départ. J'espérais qu'il ne l'avait pas mal prit.
Je pensais rentrer tranquillement dans ma chambre lorsqu'une personne m'interpellait. C'était vraiment impensable. Encore? Qu'est-ce qu'ils ont tous à vouloir m'approcher en ce moment ? Eux qui m'évitaient comme la peste autant que je ne me permettais pas l'intrusion dans leur petite vie tranquille. M'enfin bref, une aide aussi anodine que celle-ci ne serait pas un souci. Tant que je n'ai rien de vampirique à faire, j'étais sereine. J'approchais alors pour lui ouvrir le passage.
Pas de soucis.
Je lui ouvris la première porte vers les cuisines communes, il n'y en avait pas des masses de toute façon. Encore une ou deux et je pourrais retourner vaquer à mes occupations de nouvelle étudiante. Il fallait rester calme et éviter la conversation. Néanmoins, je l'avais brièvement observé. Il semblait être quelqu'un de simple et plus encore ses lunettes. Oui, oui ses lunettes. Trop de simplicité tuait la simplicité. C'était comme-ci, il cherchait à se cacher derrière. Allez savoir, je m'occupais à observer les choses qui ne servent à rien comme un passe-temps. Il devrait peut-être penser à les retirer, mais ce n'était que mon opinion de vampirette réservée qui parlait. Je passais alors mon temps à brièvement l'observer de curiosité. Mes semblables en feraient peut-être un casse-croute, ce n'était guère mon cas. En vrai, je connaissais très peu les humains et pour même dire, je les imitais parfois pour apprendre quelque chose. Je faisais avec les moyens du bord.
Maintenant, que j'y pensais, la plupart des portes étaient battantes alors il n'y avait pas réellement besoin de moi. À moins qu'il ne connaisse pas les lieux. Finalement, je trouvais les humains parfois étrange et lui n'en faisait pas exception. Non, il y avait quelque chose de différent cette fois. Je n'arrivais cependant pas à dire quoi. Il était trop sûr de lui ? Non, ça devait être autre chose. Je devenais pensive alors que j'ouvrais les portes comme-ci j'étais possédée.
Enfin, la cuisine, j'allais pas m'attarder. J'avais des cours à réviser et puis j'étais mal à l'aise avec ce mystérieux humain. Je commençais à reculer comme-ci je faisais un moonwalk vers la sortie de la cuisine alors qu'il posait enfin sa marchandise. Je pris alors mon plus beau sourire de petite vampirette afin de m'échapper de ce moment.
Bon et bien, ma mission est terminée....alors... je vais... m'en aller...
- Spoiler:
Je reculais et au lieu d'arriver au niveau de la porte de sortie je fis tomber deux ou trois casserole que je ramassa avec un léger stresse avant d'arriver enfin à la porte et sortir. Puis finalement, mes petites mains se refis visible et je le regardais en ne laissant que ma tête de visible.
Bonne journée...
Je m'éclipsa à nouveau avant de refaire la même.
Et au revoir...
Puis je m'éclipsa encore une fois avant de réapparaître.
...Désolé...
M'éclipse encore une fois, mais non loin de la cette fois-ci pour reprendre mon souffle. C'était dur, mais je pensais avoir régler le malentendu. D'ailleurs pourquoi je reprends mon souffle? Je n'ai pas de nécessité de respirer. Mmm... c'était embarrassant ce départ. J'espérais qu'il ne l'avait pas mal prit.
Izaya Manabu#106213#106213#106213
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Mar 3 Aoû 2021 - 17:08
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Mal lunée, elle ne l’était pas. La demoiselle ainsi apostrophée s’avança et tient la porte, ouvrant ainsi le passage. Izaya passa, chargé de sa caisse, sans encombre. Ensemble, ils se frayèrent un chemin jusqu’en cuisine, en silence. Certes, il aurait pu trouver un moyen d’entrer tout seul. Mais il restait tout de même compliqué de pousser une porte les bras occupé. Il remercia simplement la demoiselle et très vite, ils arrivèrent en cuisine. Sans attendre, il posa la boite sur le plan de travail. Il ne restait maintenant qu’à ranger.
Alors qu’il s’affairait, la demoiselle attira son attention. En effet, sa mission était terminée. Le jeune homme ouvrit la bouche pour la remercier encore une fois mais il fut interrompu, trop tôt, par les casseroles tombant dans un vacarme bruyant. Elle s’empressa de les ramasser pour filer comme une flèche en direction de la sortie. Elle refit, toutefois, plusieurs fois quelques petites intervention. Après des excuses, sa tête ne fit de réapparition.
De son côté, Izaya regardait la porte avec des yeux ronds. Qu’est-ce c’était que ce cirque ? Il était loin de comprendre son comportement. Avait-elle simplement fui sa présence ? Pour quelle obscure raison, il n’en savait rien. En tout cas, elle venait de faire en sorte qu’il la catalogue en tant que jeune fille étrange. Très sérieusement, il ne savait pas où le père Riku l’avait trouvée.
Il soupira longuement, Autant ne pas y prêter plus attention que ça. Il savait qu’il allait très certainement la recroiser. Après tout, elle avait l’air de vivre ici, puisqu’elle semblait connaitre les lieux. Ce qui était triste, d’une certaine manière. Sa vie n’avait pas du être toute rose pour se retrouver si jeune dans un tel endroit. Enfin, elle n’avait visiblement pas envie de faire connaissance. Et Izaya n’était pas là pour ça. Il se reconcentra sur sa tâche, rangeant les conserves apportées plus tôt dans les armoires. Ensuite, il se lancerait à la préparation d’une soupe, comme à chaque fois. Il n’était pas des plus doués pour la cuisine. Mais s’il pouvait donner un coup de main, il le faisait volontiers.
Une fois la caisse vide, il se lança dans la recherche des pommes-de-terres et d’un économe. Et commença à les éplucher, une par une. La tâche allait être longue, mais il fallait bien cela pour tous les personnes qui se nourrissaient ici.
Enfin, il ne fallait pas désespéré pour si peu. Un autre bénévole pouvait bien arrivé un peu plus tard. Arcand-kun, par exemple, et sa belle aura bleue. Lui aussi aidait volontiers à chaque occasions qui se présentait.
Alors qu’il s’affairait, la demoiselle attira son attention. En effet, sa mission était terminée. Le jeune homme ouvrit la bouche pour la remercier encore une fois mais il fut interrompu, trop tôt, par les casseroles tombant dans un vacarme bruyant. Elle s’empressa de les ramasser pour filer comme une flèche en direction de la sortie. Elle refit, toutefois, plusieurs fois quelques petites intervention. Après des excuses, sa tête ne fit de réapparition.
De son côté, Izaya regardait la porte avec des yeux ronds. Qu’est-ce c’était que ce cirque ? Il était loin de comprendre son comportement. Avait-elle simplement fui sa présence ? Pour quelle obscure raison, il n’en savait rien. En tout cas, elle venait de faire en sorte qu’il la catalogue en tant que jeune fille étrange. Très sérieusement, il ne savait pas où le père Riku l’avait trouvée.
Il soupira longuement, Autant ne pas y prêter plus attention que ça. Il savait qu’il allait très certainement la recroiser. Après tout, elle avait l’air de vivre ici, puisqu’elle semblait connaitre les lieux. Ce qui était triste, d’une certaine manière. Sa vie n’avait pas du être toute rose pour se retrouver si jeune dans un tel endroit. Enfin, elle n’avait visiblement pas envie de faire connaissance. Et Izaya n’était pas là pour ça. Il se reconcentra sur sa tâche, rangeant les conserves apportées plus tôt dans les armoires. Ensuite, il se lancerait à la préparation d’une soupe, comme à chaque fois. Il n’était pas des plus doués pour la cuisine. Mais s’il pouvait donner un coup de main, il le faisait volontiers.
Une fois la caisse vide, il se lança dans la recherche des pommes-de-terres et d’un économe. Et commença à les éplucher, une par une. La tâche allait être longue, mais il fallait bien cela pour tous les personnes qui se nourrissaient ici.
Izaya ▬ « Dommage qu’elle soit partie si vite. Un coup de main aurait été le bienvenu… »
Enfin, il ne fallait pas désespéré pour si peu. Un autre bénévole pouvait bien arrivé un peu plus tard. Arcand-kun, par exemple, et sa belle aura bleue. Lui aussi aidait volontiers à chaque occasions qui se présentait.
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Dim 22 Aoû 2021 - 0:23
Je reprenais mon souffle après ce moment malaisant. Néanmoins, j'avoue ne pas trop savoir comment engager des conversations. De plus, cet humains me rendait anxieuse et me rendait maladroite. Il semblait simple mais il semblait dégager un certain...charisme. Finalement, je me ravisais doucement et je profitais du petit hublot des portes battante de la cuisine pour... disons l'espionner. Il rangeait les denrées et s'apprêtait à faire la cuisine ?! LA CUISINE!!! Je cherchais un moyen pour disons revenir comme une fleurs. La tâche de comment m'y prendre fut rapide, je me dépêcha pour aller chercher ce dont j'avais besoin avant de revenir au niveau de la cuisine. Je pris une inspiration et entra à nouveau dans la cuisine.
J'avançais vers cet humain mystérieux en récupérant de quoi éplucher des patates. Il y en avait vraiment beaucoup. Arrivant à son niveau équipé de mon tablier chat noir je me mis a éplucher avec lui des patates sans un mot. Je prenais un peu mon temps. Je pourrais éplucher plus vite s'il n'était pas la en usant de ma vitesse et mes réflexes de vampire. Cependant, il était hors de question puisque je faisais en sorte d'agir comme une humaine. J'essayais de rester concentré sur ma tâche étant assez timide. Cependant, rester ainsi pendant un certain temps... il fallait bien briser la glace un jour. Je décidais de me lancer alors dans une discussion. Je n'étais pas très doué quand il s'agissait de lancer une conversation. Mais quand faut y aller, il faut y aller.
A...Alyssa...
Et voila comment se couvrir de honte ou être embarrassé juste à cause de la timidité. Avais-je bien fait? J'en doutais. Je ne savais pas de quoi parler. Je n'avais pas d'anecdote où de chose à raconter. Comment pouvaient bien faire les autres personnes pour parler entre eux ? Moi, je n'avais pas de sujet précis en tête ou un schéma de conversation. Et pourtant, c'était une occasion de sociabiliser un peu. Pour une seconde fois que quelqu'un m'avait approché. Je devais peut-être chercher à rectifier le tir ? Mais comment ? Je n'avais pas fait bonne impression il y avait quelque minutes plus tôt. Je me demandais bien ce qu'il pouvait penser de moi maintenant. Le pire dans l'histoire c'est d'être bloqué comme je l'étais.
Je commençais à stresser toute seule de mon incompétence sociale. Aussi, lorsque les patates furent terminé d'être épluché et lavé, je laissais le champ libre au mystérieux humain de s'occuper de l'idée qu'il avait en tête. Quand à moi je pris l'initiative. Je regardai ce qu'il y avait comme ingrédient. Et je fis un sourire. C'est dans un bordel sonore que je sortais fouet, saladier doseur, et pas mal d'ingrédient pour un gâteau.
Parfait!
Dans une assurance certaine et par des dosages connu sur le bout des doigts, j'enchaînais la préparation de fraisier pour tous. Je savais ce que je faisais et à vrai dire j'étais semble t-il bien à l'aise avec la préparation de tout ceci. En revanche, je ne savais pas trop ce que l'humain essayait de préparer dans la grande marmite. Une espèce de soupe avec des pommes de terres ? Je ne m'attardais pas trop dans la devinette de savoir ce qu'il pouvait bien préparer. J'avais un certain nombre de gâteaux à finir dans un temps imparti. Encore une fois, je me bridais. Pour l'espace de quelques minutes, j'espérais que personne ne soit dans les parages. Je pourrais préparer les gâteaux plus vite s'il n'était pas présent.
J'avançais vers cet humain mystérieux en récupérant de quoi éplucher des patates. Il y en avait vraiment beaucoup. Arrivant à son niveau équipé de mon tablier chat noir je me mis a éplucher avec lui des patates sans un mot. Je prenais un peu mon temps. Je pourrais éplucher plus vite s'il n'était pas la en usant de ma vitesse et mes réflexes de vampire. Cependant, il était hors de question puisque je faisais en sorte d'agir comme une humaine. J'essayais de rester concentré sur ma tâche étant assez timide. Cependant, rester ainsi pendant un certain temps... il fallait bien briser la glace un jour. Je décidais de me lancer alors dans une discussion. Je n'étais pas très doué quand il s'agissait de lancer une conversation. Mais quand faut y aller, il faut y aller.
A...Alyssa...
Et voila comment se couvrir de honte ou être embarrassé juste à cause de la timidité. Avais-je bien fait? J'en doutais. Je ne savais pas de quoi parler. Je n'avais pas d'anecdote où de chose à raconter. Comment pouvaient bien faire les autres personnes pour parler entre eux ? Moi, je n'avais pas de sujet précis en tête ou un schéma de conversation. Et pourtant, c'était une occasion de sociabiliser un peu. Pour une seconde fois que quelqu'un m'avait approché. Je devais peut-être chercher à rectifier le tir ? Mais comment ? Je n'avais pas fait bonne impression il y avait quelque minutes plus tôt. Je me demandais bien ce qu'il pouvait penser de moi maintenant. Le pire dans l'histoire c'est d'être bloqué comme je l'étais.
Je commençais à stresser toute seule de mon incompétence sociale. Aussi, lorsque les patates furent terminé d'être épluché et lavé, je laissais le champ libre au mystérieux humain de s'occuper de l'idée qu'il avait en tête. Quand à moi je pris l'initiative. Je regardai ce qu'il y avait comme ingrédient. Et je fis un sourire. C'est dans un bordel sonore que je sortais fouet, saladier doseur, et pas mal d'ingrédient pour un gâteau.
Parfait!
Dans une assurance certaine et par des dosages connu sur le bout des doigts, j'enchaînais la préparation de fraisier pour tous. Je savais ce que je faisais et à vrai dire j'étais semble t-il bien à l'aise avec la préparation de tout ceci. En revanche, je ne savais pas trop ce que l'humain essayait de préparer dans la grande marmite. Une espèce de soupe avec des pommes de terres ? Je ne m'attardais pas trop dans la devinette de savoir ce qu'il pouvait bien préparer. J'avais un certain nombre de gâteaux à finir dans un temps imparti. Encore une fois, je me bridais. Pour l'espace de quelques minutes, j'espérais que personne ne soit dans les parages. Je pourrais préparer les gâteaux plus vite s'il n'était pas présent.
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Lun 6 Sep 2021 - 9:20
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Ses pensées durent être écoutées car la demoiselle revint un peu plus tard, équipée d’un tablier. Izaya la regarda, elle est son aura rouge vif, passer les portes de la cuisine, puis prendre un autre économe et le rejoindre à sa tâche. Si elle ne dit le moindre mot, ce fut le cas aussi du garçon. Et c’est en silence, face-à-face, qu’ils s’occupaient du petit monticule de pommes-de-terres.
Finalement, un mot troubla le silence. Ou un prénom pour être plus exact. Le fils du Grand prêtre du temple Kazuhide releva la tête vers la jeune fille prénommée, semble-t-il, Alyssa. Elle ne semblait pas à l’aise et du rouge apparaissait au niveau de ses joues. N’avait-elle donc pas l’habitude du contact ? Pourtant, elle devait en voir du monde, dans cet endroit.
Il ne donna pas plus d’information. Il ne savait pas si elle connaissait ledit temple. Il ne l’y avait jamais vu, en tout cas. Après, comme pour l’église, il y avait du monde qui y passait. Alors s’il devait retenir tous les visages… Il n’y aurait plus de place dans sa mémoire pour ces cours. Sa sœur était plus douée à ce petit jeu, par contre. Mais elle allait plus facilement vers les visiteurs que lui.
Ils continuèrent, le silence revenu. Plus aucun mot ne fut prononcé, jusqu’au moment où la dernière patate fut épluchée. Izaya prit alors une grande bassine pour les installées dedans et commença à les laver minutieusement. Il les laissa, par la suite, tremper quelques peu, pour retirer l’excédent d’amidon, pour se rendre au frigo. A quoi allait-il faire sa soupe ? C’était le grand mystère du jour. Enfin, si on omettait le comportement étrange de sa compagne de fortune. Cette dernière était d’ailleurs bien active vu le bruit incessant qu’elle provoquait.
Les carottes semblaient encore fraiches. A vrai dire, elle semblait être récoltées récemment. Le chou lui, commençait à noircir ici et là. Il était donc temps de le préparer. Il trouva aussi des poireaux donc certains commençaient à se faire vieux. Il les sortit sans attendre du froid pour les poser sur l’espace de travail. Il prit aussi du céleri et des oignons, ainsi que quelques branches du bouquet de persil. Il avait maintenant tous les ingrédients nécessaires.
Il s’installa à nouveau, un grand couteau de cuisine à la main, pour préparer les légumes quand une exclamation sonore attira son attention. Toujours en face, la jeune Alyssa était entourée de matériel de cuisine, de sucre, de farine, d’œufs, de lait… Visiblement, elle allait se mettre à la pâtisserie. Izaya revint rapidement à son chou, le découpant habillement, avec un peu d’attention. La jeune fille, elle, s’activaient, sûr de ses gestes. Quoi qu’elle préparât, ce n’était surement pas la première fois.
Oui, parce que le silence, c’était bien. Mais Izaya voyait là une belle occasion de la faire parler un peu.
Finalement, un mot troubla le silence. Ou un prénom pour être plus exact. Le fils du Grand prêtre du temple Kazuhide releva la tête vers la jeune fille prénommée, semble-t-il, Alyssa. Elle ne semblait pas à l’aise et du rouge apparaissait au niveau de ses joues. N’avait-elle donc pas l’habitude du contact ? Pourtant, elle devait en voir du monde, dans cet endroit.
Izaya ▬ « Manabu Izaya. J’habite au Temple qui se trouve non loin. »
Il ne donna pas plus d’information. Il ne savait pas si elle connaissait ledit temple. Il ne l’y avait jamais vu, en tout cas. Après, comme pour l’église, il y avait du monde qui y passait. Alors s’il devait retenir tous les visages… Il n’y aurait plus de place dans sa mémoire pour ces cours. Sa sœur était plus douée à ce petit jeu, par contre. Mais elle allait plus facilement vers les visiteurs que lui.
Ils continuèrent, le silence revenu. Plus aucun mot ne fut prononcé, jusqu’au moment où la dernière patate fut épluchée. Izaya prit alors une grande bassine pour les installées dedans et commença à les laver minutieusement. Il les laissa, par la suite, tremper quelques peu, pour retirer l’excédent d’amidon, pour se rendre au frigo. A quoi allait-il faire sa soupe ? C’était le grand mystère du jour. Enfin, si on omettait le comportement étrange de sa compagne de fortune. Cette dernière était d’ailleurs bien active vu le bruit incessant qu’elle provoquait.
Les carottes semblaient encore fraiches. A vrai dire, elle semblait être récoltées récemment. Le chou lui, commençait à noircir ici et là. Il était donc temps de le préparer. Il trouva aussi des poireaux donc certains commençaient à se faire vieux. Il les sortit sans attendre du froid pour les poser sur l’espace de travail. Il prit aussi du céleri et des oignons, ainsi que quelques branches du bouquet de persil. Il avait maintenant tous les ingrédients nécessaires.
Il s’installa à nouveau, un grand couteau de cuisine à la main, pour préparer les légumes quand une exclamation sonore attira son attention. Toujours en face, la jeune Alyssa était entourée de matériel de cuisine, de sucre, de farine, d’œufs, de lait… Visiblement, elle allait se mettre à la pâtisserie. Izaya revint rapidement à son chou, le découpant habillement, avec un peu d’attention. La jeune fille, elle, s’activaient, sûr de ses gestes. Quoi qu’elle préparât, ce n’était surement pas la première fois.
Izaya ▬ « Qu’est-ce que tu prépares de bon comme gâteau ? »
Oui, parce que le silence, c’était bien. Mais Izaya voyait là une belle occasion de la faire parler un peu.
"Soupe et dessert"
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Mer 6 Oct 2021 - 19:26
A son tour il se présenta. J'avais enfin un nom à poser sur ce mystérieux humain qui venait faire la cuisine. Bon en soit on n'irait pas loin et clairement ma timidité avait le dessus. J'étais un peu intimidée et je n'arrivais pas vraiment à le déchiffrer. En soit il continuait de s'occuper du plat principal. Je ne voyais toujours pas où il voulait en venir. Cependant, il me disait venir d'un temple. Un temple ? Je ne savais pas ce que c'était ni même où s'était. A vrai dire, je ne savais pas comment je devais réagir à cette déclaration en dehors de passer pour une idiote une fois de plus.
Le silence revenait un petit temps alors que j'étais concrètement absorbé dans la préparation du dessert qui plairait à tout le monde. Puis à un instant d'inattention ou d'être absorbé par ma tâche. Il revient me parler finalement ce qui me surprit un peu et il me mis dans ma surprise et ma timidité. A tel point qu'en gigotant, un peu en panique comme un ver de terre avec mon fouet et je parlais bien de celui utilisé en cuisine, je lui répondis.
Un...un fraisier...!!! Je dois me dépêcher... à cause... à cause du repos demander au gâteau au frigo s'il veut être prêt pour les résidents!
Oui, ce délicieux fraisier chantilly. Divin et original ! Léger, aérien, mousseux et riche en fruits, il va épater les papilles. Une recette facile qui a un succès fou !
Composé de sa génoise moelleuse, une crème vanille à la chantilly, de nombreuses fraises et d’une chantilly légère et aérienne... C'était à la fois le gâteau parfait mais surtout pour moi un réel plaisir à le préparer. Mais bon, je comptais bien en garder deux parts pour la fin. J'étais peut être assez timide, mais tout de même gentille et ce mystérieux humain avait bien droit à sa part.
Je cherchais vraiment à faire vite , vite. J'étais élancé et je savais ce que je faisais. En soit pour gagner de précieuses minutes, je pourrais usé de mes capacités de naissance, mais je ne pouvais pas. Parce qu'il était présent et que je ne voulais pas être découverte. Le père Riku m'avait accueilli, mais je ne voulais pas créer la panique. Je risquerais surtout de perdre le dernier toit qui pourrait me loger en attendant. Je restais concentré néanmoins, je repris brièvement la parole pour relancer sur une chose que je ne savais pas.
Désolé, je ne connais pas le temple, je ne connais pas grand chose de cette ville...
Suite à cela je me taisais. Je ne savais pas trop de quoi parler et surtout, j'avais un léger stresse de devoir finir dans les temps. En comptant l'heure et le temps de repos nécessaire ce serait juste en espérant qu'il aurait un peu de retard dans la préparation de son repas, cela m'aiderait à faire patienter les gens en un sens. Je n'avais qu'une seule idée en tête : Un fraisier chantilly délicieux, doux, frais et bien fruité !
Le silence revenait un petit temps alors que j'étais concrètement absorbé dans la préparation du dessert qui plairait à tout le monde. Puis à un instant d'inattention ou d'être absorbé par ma tâche. Il revient me parler finalement ce qui me surprit un peu et il me mis dans ma surprise et ma timidité. A tel point qu'en gigotant, un peu en panique comme un ver de terre avec mon fouet et je parlais bien de celui utilisé en cuisine, je lui répondis.
Un...un fraisier...!!! Je dois me dépêcher... à cause... à cause du repos demander au gâteau au frigo s'il veut être prêt pour les résidents!
Oui, ce délicieux fraisier chantilly. Divin et original ! Léger, aérien, mousseux et riche en fruits, il va épater les papilles. Une recette facile qui a un succès fou !
Composé de sa génoise moelleuse, une crème vanille à la chantilly, de nombreuses fraises et d’une chantilly légère et aérienne... C'était à la fois le gâteau parfait mais surtout pour moi un réel plaisir à le préparer. Mais bon, je comptais bien en garder deux parts pour la fin. J'étais peut être assez timide, mais tout de même gentille et ce mystérieux humain avait bien droit à sa part.
Je cherchais vraiment à faire vite , vite. J'étais élancé et je savais ce que je faisais. En soit pour gagner de précieuses minutes, je pourrais usé de mes capacités de naissance, mais je ne pouvais pas. Parce qu'il était présent et que je ne voulais pas être découverte. Le père Riku m'avait accueilli, mais je ne voulais pas créer la panique. Je risquerais surtout de perdre le dernier toit qui pourrait me loger en attendant. Je restais concentré néanmoins, je repris brièvement la parole pour relancer sur une chose que je ne savais pas.
Désolé, je ne connais pas le temple, je ne connais pas grand chose de cette ville...
Suite à cela je me taisais. Je ne savais pas trop de quoi parler et surtout, j'avais un léger stresse de devoir finir dans les temps. En comptant l'heure et le temps de repos nécessaire ce serait juste en espérant qu'il aurait un peu de retard dans la préparation de son repas, cela m'aiderait à faire patienter les gens en un sens. Je n'avais qu'une seule idée en tête : Un fraisier chantilly délicieux, doux, frais et bien fruité !
Izaya Manabu#106521#106521#106521
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Mar 26 Oct 2021 - 13:06
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Un fraisier… Qu’est-ce que c’était encore de ça, encore ? Izaya n’était pas inculte au point de ne pas connaitre cette pâtisserie. Il savait que cela existait. Mais il n’avait aucune idée d’à quoi cela ressemblait. Ce n’était pas son domaine de prédilection. A vrai dire, il cuisinait simplement parce qu’il le fallait et pas par envie. Enfin si, il y avait une envie : celle de rendre service. Mais ceci mis à part…
Pour en revenir au gâteau, il se posa donc une série de question. Était-ce ce gâteau avec des boudoirs tout autour ? Non, il ne voyait pas l’ingrédient sur l’espace de travail. C’était peut-être le nom du gâteau roulé avec des fraises à l’intérieur. Ou peut-être était-ce le nom qu’on donnait à la tarte aux fraises. La demoiselle avait l’air de faire une pâte. Et il savait que celle d’une tarte devait reposer. Il se contenta d’acquiescer silencieusement, l’expression neutre. Au pire, il verrait à la sortie du four ce qu’était exactement un fraisier.
Le silence revenu, il commença à s’occuper des poireaux. Seul le son du couteau contre la planche et du fouet cognant dans le saladier se faisaient entendre. Pendant un court un instant, le jeune homme crut que cela perdurerait ainsi, jusqu’à la fin des tâches. Il fut toutefois dans le tort. Puisque la demoiselle reprit la parole. Elle ne connaissait ni le temple, ni la ville de manière générale.
Il n’allait pas affirmer qu’il en connaissait tous les secrets mais il connaissait très bien la surface.
Pour en revenir au gâteau, il se posa donc une série de question. Était-ce ce gâteau avec des boudoirs tout autour ? Non, il ne voyait pas l’ingrédient sur l’espace de travail. C’était peut-être le nom du gâteau roulé avec des fraises à l’intérieur. Ou peut-être était-ce le nom qu’on donnait à la tarte aux fraises. La demoiselle avait l’air de faire une pâte. Et il savait que celle d’une tarte devait reposer. Il se contenta d’acquiescer silencieusement, l’expression neutre. Au pire, il verrait à la sortie du four ce qu’était exactement un fraisier.
Le silence revenu, il commença à s’occuper des poireaux. Seul le son du couteau contre la planche et du fouet cognant dans le saladier se faisaient entendre. Pendant un court un instant, le jeune homme crut que cela perdurerait ainsi, jusqu’à la fin des tâches. Il fut toutefois dans le tort. Puisque la demoiselle reprit la parole. Elle ne connaissait ni le temple, ni la ville de manière générale.
Izaya ▬ « Oh… Tu es nouvelle dans le coin, donc. Le temple est dédié à Kazuhide, le kami local protecteur de la ville. Mon père est le kannushi. Le temple se trouve non loin de l’église. Nous sommes des voisins du père Riku. Quant à la ville. Et bien, je suppose que tu auras vite l’occasion de visiter dans les semaines à venir. Elle est belle et sympathique. Très cosmopolite. Ce qui est un fait très étrange pour le pays. De manière générale, les gaijin ne sont pas très appréciés. A Nakanoto, ils sont très bien accueillis, au contraire. La ville dispose d’une université mondialement reconnue. Le quartiers commerçant est très hétéroclite. Celui des restaurants et des bars aussi. On peut y trouver des établissements typiquement japonais comme d’autres plus occidentaux. Des salons de thé anglais, par exemple… Ou il y a ce pub qui a ouvert récemment.
Il y a aussi plein d’endroit où se changer les idées. Un complexe sportif et un parc d’attractions. Il y a aussi de très beaux coins naturels à visiter, comme les montagnes, la forêt ou le lac. Je peux te conseiller quelques adresses, si tu veux. Je suis né et j’ai grandi dans cette ville. »
Il n’allait pas affirmer qu’il en connaissait tous les secrets mais il connaissait très bien la surface.
"Nakanoto"
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Ven 31 Déc 2021 - 20:50
J'avais dû mal m'exprimer. A sa réponse, je le voyais tout de suite mais je me devais de rectifier le tir. Il me parlait néanmoins de la ville et sa façon de fonctionner dans les grandes lignes. En vrai il me prenait vraiment pour une étrangère. Bon c'est un peu ma faute de rester une personne enfermée aussi. Je le laissais terminer sa grande tirade alors que je préparais déjà la suite de mon gâteau dans le saladier. La génoise étant déjà prête, ne me restait que le plus gros du gâteau finalement. Je commençais à mettre toute cette crème de vanille sur la génoise ainsi que les fraises que j'avais coupé en deux plus tôt. Progressivement le gâteau ressemblait à quelque chose. Juste que c'était long ce moment du fait de la taille pour tout ces résidents.
Ex...Excuse moi...vous...vous méprenez... Je ne suis pas Gaijin, je suis née ici...dans cette ville...j'évite de...sortir.. Néanmoins, merci pour la visite guidé dans les grandes lignes.
Je l'observais parfois dans l'avancement de son plat. Si en soit c'était simple, il y avait beaucoup de légume à préparer. Cela allait surement devenir un plat excellent. Je n'allais pas dire que j'étais une grande cuisinière mais j'aimais faire la cuisine. M'enfin cela dépendra de si quelqu'un connaissant ma réputation de désastre culinaire débarque pour me jeter hors de cette cuisine. J'avais néanmoins un sourire serin. Faire de la cuisine était à la fois un divertissement et une chose amusante. Disons que le mystérieux jeune homme avec moi avait une présence agréable bien que ce serait de courte durée surtout si je touche à la préparation de son plat et que je me suis limité qu'à l'épluchage des pommes de terre.
Donc ... vous êtes de cette ville vous aussi. Cela... ne pas être facile tout les jours.
Je m'appliquait sur mon gâteau qui visuellement devenait très appétissant j'avais presque fini de mettre la crème vanille et les fraises, il était temps de préparer la chantilly. En soit vu qu'il était là et que je feintais d'être humaine, je lui demanderait de l'aide pour porter le gâteau d'une taille hors norme jusqu'au frigo. C'était compliqué de ne rien faire de vampirique. L'emporte pièce était placé et nécessaire pour ne pas se casser la gueule et surtout que le gâteau se fasse de lui même. Je faisais la décoration du dis gâteau à l'aide de la chantilly. Je redoutais le moment où il ne me resterait qu'à l'aider pour son plat. Il me détesterait si à cause de moi les résidents se plainaient une fois de plus.
La chantilly étant placé le gâteau faisait saliver n'importe qui. J'étais doué pour la pâtisserie m'enfin exclusivement se gâteau. Allez savoir pourquoi. Etais-je un cas désespérée ou ma condition de vampire qui ne me faisait pas voir les choses comme il le faudrait? Je n'en savais rien. Il était temps de mettre ce parfait dessert au frigo. J'étais finalement dans les temps de justesse. Mais au moins grâce à cette inconnu j'avais réussi à me faufiler dans la cuisine.
J'aurai besoin d'aide pour le mettre au frais. Puis.. Puis-je demander de l'aide pour... porter ? C'est... lourd.
Je faisais un sourire innocent et niait, mais j'étais surtout une belle menteuse. Trop lourd mon oeil. Mais bon j'étais face à un humain et il ne devait pas savoir ce que j'étais.
Ex...Excuse moi...vous...vous méprenez... Je ne suis pas Gaijin, je suis née ici...dans cette ville...j'évite de...sortir.. Néanmoins, merci pour la visite guidé dans les grandes lignes.
Je l'observais parfois dans l'avancement de son plat. Si en soit c'était simple, il y avait beaucoup de légume à préparer. Cela allait surement devenir un plat excellent. Je n'allais pas dire que j'étais une grande cuisinière mais j'aimais faire la cuisine. M'enfin cela dépendra de si quelqu'un connaissant ma réputation de désastre culinaire débarque pour me jeter hors de cette cuisine. J'avais néanmoins un sourire serin. Faire de la cuisine était à la fois un divertissement et une chose amusante. Disons que le mystérieux jeune homme avec moi avait une présence agréable bien que ce serait de courte durée surtout si je touche à la préparation de son plat et que je me suis limité qu'à l'épluchage des pommes de terre.
Donc ... vous êtes de cette ville vous aussi. Cela... ne pas être facile tout les jours.
Je m'appliquait sur mon gâteau qui visuellement devenait très appétissant j'avais presque fini de mettre la crème vanille et les fraises, il était temps de préparer la chantilly. En soit vu qu'il était là et que je feintais d'être humaine, je lui demanderait de l'aide pour porter le gâteau d'une taille hors norme jusqu'au frigo. C'était compliqué de ne rien faire de vampirique. L'emporte pièce était placé et nécessaire pour ne pas se casser la gueule et surtout que le gâteau se fasse de lui même. Je faisais la décoration du dis gâteau à l'aide de la chantilly. Je redoutais le moment où il ne me resterait qu'à l'aider pour son plat. Il me détesterait si à cause de moi les résidents se plainaient une fois de plus.
La chantilly étant placé le gâteau faisait saliver n'importe qui. J'étais doué pour la pâtisserie m'enfin exclusivement se gâteau. Allez savoir pourquoi. Etais-je un cas désespérée ou ma condition de vampire qui ne me faisait pas voir les choses comme il le faudrait? Je n'en savais rien. Il était temps de mettre ce parfait dessert au frigo. J'étais finalement dans les temps de justesse. Mais au moins grâce à cette inconnu j'avais réussi à me faufiler dans la cuisine.
J'aurai besoin d'aide pour le mettre au frais. Puis.. Puis-je demander de l'aide pour... porter ? C'est... lourd.
Je faisais un sourire innocent et niait, mais j'étais surtout une belle menteuse. Trop lourd mon oeil. Mais bon j'étais face à un humain et il ne devait pas savoir ce que j'étais.
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Dim 6 Fév 2022 - 17:21
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Izaya releva la tête, sourcils froncés, regardant avec attention la demoiselle. Il y avait visiblement un malentendu quelque part. Oui, il avait parlé des étrangers, m’ais d’une manière générale. Il n’avait pas dit ceci pour elle de manière générale. Il ne savait rien d’elle.
Il ne s’excusa pas. Il n’avait pas à en faire de son point de vue. Il n’en attendait pas non plus de la demoiselle. Après tout, c’était juste un simple quiproquo. Ce n’était pas le premier de l’histoire, ni le dernier. Et il n’y avait pas mort d’hommes. Il retourna son attention su les poireaux, qu’il avait presque fini de couper grossièrement. D’un geste assuré, il prit le tout pour les mettre dans un bol avant de s’attaquer au chou. Il fallait d’abord le nettoyer un peu.
Entre temps, la demoiselle reprit la conversation. En effet, il était né ici. Par contre, il ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire par « ne pas être facile tous les jours ». Qu’est-ce qui n’était pas facile ? Nakanoto était une ville simple. Certes, il y avait cette histoire de vampires et de loups-garous… Non, Lycans, disait les journaux. La jeune fille devait parler de ça. Au début, lui-même avait cru à une sorte de canular. Mais avec les derniers événements, il commençait à douter et à y croire tout doucement.
Il avait fini de nettoyer le chou et il ne lui restait plus qu’à l’émincer. Ce qu’il s’apprêtait à faire avant de se faire interpeler pour transporter le gâteau. Izaya leva à nouveau la tête. En effet, ce machin avait l’air… gros. C’était à se demander comment elle aurait bien pu faire toute seule. Il répondit d’un simple signe de tête avant d’ouvrir le frigo et de commencer à faire de la place. Après tous, il allait pas juste le mettre n’importe comment. Ça devait surement se placer à plat. Une fois la réorganisation finie, il alla prendre la pièce et le plaça dans le frigo. Il ne restait plus qu’à la demoiselle de nettoyer et ranger son matériel. Le père Riku autorisait l’utilisation de la cuisine. Mais la première règle était tout de même que les utilisateurs la garde en ordre.
Il finit par se replacer devant le plan de travail et éminça sans attendre le chou, avant de le réserver à son tour avec les poireaux.
Izaya ▬ « Je ne disais pas ça pour vous. Juste une constatation générale. Il ne fallait pas le prendre personnellement. »
Il ne s’excusa pas. Il n’avait pas à en faire de son point de vue. Il n’en attendait pas non plus de la demoiselle. Après tout, c’était juste un simple quiproquo. Ce n’était pas le premier de l’histoire, ni le dernier. Et il n’y avait pas mort d’hommes. Il retourna son attention su les poireaux, qu’il avait presque fini de couper grossièrement. D’un geste assuré, il prit le tout pour les mettre dans un bol avant de s’attaquer au chou. Il fallait d’abord le nettoyer un peu.
Entre temps, la demoiselle reprit la conversation. En effet, il était né ici. Par contre, il ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire par « ne pas être facile tous les jours ». Qu’est-ce qui n’était pas facile ? Nakanoto était une ville simple. Certes, il y avait cette histoire de vampires et de loups-garous… Non, Lycans, disait les journaux. La jeune fille devait parler de ça. Au début, lui-même avait cru à une sorte de canular. Mais avec les derniers événements, il commençait à douter et à y croire tout doucement.
Izaya ▬ « Vous parlez de cette histoire de surnaturel ? Bah, il suffit de ne pas trainer la nuit en ville. Ces créatures n’aiment pas la lumière du jour, non ? »
Il avait fini de nettoyer le chou et il ne lui restait plus qu’à l’émincer. Ce qu’il s’apprêtait à faire avant de se faire interpeler pour transporter le gâteau. Izaya leva à nouveau la tête. En effet, ce machin avait l’air… gros. C’était à se demander comment elle aurait bien pu faire toute seule. Il répondit d’un simple signe de tête avant d’ouvrir le frigo et de commencer à faire de la place. Après tous, il allait pas juste le mettre n’importe comment. Ça devait surement se placer à plat. Une fois la réorganisation finie, il alla prendre la pièce et le plaça dans le frigo. Il ne restait plus qu’à la demoiselle de nettoyer et ranger son matériel. Le père Riku autorisait l’utilisation de la cuisine. Mais la première règle était tout de même que les utilisateurs la garde en ordre.
Izaya ▬ « Voilà ! Cet immense gâteau fera très certainement plaisir aux résidents. Cela leur mettra du baume au cœur. »
Il finit par se replacer devant le plan de travail et éminça sans attendre le chou, avant de le réserver à son tour avec les poireaux.
"Surnaturel"
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Lun 7 Fév 2022 - 23:01
Il avait répondu de façon instantané à ma réponse, comme s'il savait qu'il risquait de toucher une corde sensible ou une donnée erronée. Peut-être étais-ce une façon pour lui d'en apprendre de façon indirect sur moi. Pourtant il ne semblait pas s'occuper de la vie privé d'autrui. Il se justifiait alors comme quoi c'était une façon général. Il a eu peur de me vexée? Je n'y prêtais pas plus attention que ça puis il reprit la parole suite à mon autre déclaration. Intérieurement j'eu le frisson dès qu'il parla du surnaturel. Avais-je dit quelque chose de bizarre? Non je parlais bien de mon ressentie surtout, mais... je repris alors la parole pour remettre la conversation dans une situation banale. Je ne pouvais pas me faire griller aussi facilement pour ça ni même me dévoiler. Aussi je profitais d'avoir fini le gâteau et son aide pour le mettre au frigo avant de reprendre la conversation qui était sur pause, le temps d'avoir sensiblement réfléchis au sens de ses mots.
Oh ce gâteau le fera, c'est ma plus grande réussite.
Je souris à ma phrase car j'en avais la certitude. Maintenant que j'avais terminé mon gâteau, j'arrivais au moment du risque. Celui où involontairement je risquais de faire raté le plat de cet homme mystérieux. Je me devais de gagner un peu de temps.
Pour revenir à ce que vous me disiez tout à l'heure vous êtes partie dans une histoire de surnaturel. En soit moi je parlais du fais que la ville est immense et que c'est facile de se perdre. C'était mon ressenti. Pour revenir à votre question, je ne sais même pas quel est l'histoire. Outre ce qu'on a tous vu à la télé. Elles n'aiment pas la lumière du jour ?
Je me faisais volontairement plus bête que je ne l'étais. J'aimais bien le soleil moi. Je vois pas en quoi on détestait ça. Bon d'accord en cas de forte chaleur et un soleil d'enfer, j'étais un peu plus sensible aux coup de soleil que les humains. Je mettais toujours de la crème ou couvrais mon corps à cet effet. Puis bon pour une fois que je n'étais pas la plus ignorante, je trouvais son résonnement mignon. Je comprenais mieux pourquoi les créatures surnaturelle et pas que les vampires pouvaient passer inaperçu. Que se passerait-il néanmoins le jours où ces excuses et mensonges ne fonctionneront plus ? Rien que d'y penser j'angoissais dans un coin de ma tête.
Moi qui ai déjà du mal à sortir dehors à me dire ça, je ne vais plus oser avec votre histoire de surnaturel. J'arrive déjà à me perdre en ville si je ne suis pas la carte...
Je faisais ma petite mine honteuse. Autant dévoilé un peu de ma personnalité cruche et peureuse pour ne pas paraître suspecte tout en essayant de savoir un peu ce qu'il sait. Ainsi, si je venais à le croiser à nouveau, je serais pertinemment quoi faire pour qu'il ne se doute de rien. Mon anonymat était ma sécurité et celle de l'opération des hunters de s'occuper de moi. Les humains dans leur peur généralisé voudraient se débarrasser de moi par peur. Ce que je comprenais tout à fait.
Oh ce gâteau le fera, c'est ma plus grande réussite.
Je souris à ma phrase car j'en avais la certitude. Maintenant que j'avais terminé mon gâteau, j'arrivais au moment du risque. Celui où involontairement je risquais de faire raté le plat de cet homme mystérieux. Je me devais de gagner un peu de temps.
Pour revenir à ce que vous me disiez tout à l'heure vous êtes partie dans une histoire de surnaturel. En soit moi je parlais du fais que la ville est immense et que c'est facile de se perdre. C'était mon ressenti. Pour revenir à votre question, je ne sais même pas quel est l'histoire. Outre ce qu'on a tous vu à la télé. Elles n'aiment pas la lumière du jour ?
Je me faisais volontairement plus bête que je ne l'étais. J'aimais bien le soleil moi. Je vois pas en quoi on détestait ça. Bon d'accord en cas de forte chaleur et un soleil d'enfer, j'étais un peu plus sensible aux coup de soleil que les humains. Je mettais toujours de la crème ou couvrais mon corps à cet effet. Puis bon pour une fois que je n'étais pas la plus ignorante, je trouvais son résonnement mignon. Je comprenais mieux pourquoi les créatures surnaturelle et pas que les vampires pouvaient passer inaperçu. Que se passerait-il néanmoins le jours où ces excuses et mensonges ne fonctionneront plus ? Rien que d'y penser j'angoissais dans un coin de ma tête.
Moi qui ai déjà du mal à sortir dehors à me dire ça, je ne vais plus oser avec votre histoire de surnaturel. J'arrive déjà à me perdre en ville si je ne suis pas la carte...
Je faisais ma petite mine honteuse. Autant dévoilé un peu de ma personnalité cruche et peureuse pour ne pas paraître suspecte tout en essayant de savoir un peu ce qu'il sait. Ainsi, si je venais à le croiser à nouveau, je serais pertinemment quoi faire pour qu'il ne se doute de rien. Mon anonymat était ma sécurité et celle de l'opération des hunters de s'occuper de moi. Les humains dans leur peur généralisé voudraient se débarrasser de moi par peur. Ce que je comprenais tout à fait.
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