Cauchemar en cuisine ? [13/07/18]
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Izaya Manabu#106864#106864#106864
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Mar 8 Fév 2022 - 9:23
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Bien qu’il ne la regardât pas en cet instant, Izaya pouvait sentir la fierté qui émanait de la petite demoiselle qui partageait actuellement sa présence dans la cuisine de Bonsecours. Il ne savait pas d’où cela venait. Peut-être l’avait-elle particulièrement bien réussi. Peut-être n’était-elle pas si douée que ça en cuisine habituellement. Il ne saurait le dire et il n’aurait certainement pas la réponse à cette question de sitôt. Enfin, ce n’était pas comme si ça attisait sa curiosité.
De retour à sa préparation, il s’attendait à ce que la fille prenne congé de lui, vu son comportement. Mais, à sa grande surprise, elle resta pour continuer la conversation. Ainsi, elle parlait plus tôt de la taille de la ville. Il se contenta, dans un premier temps, de lever la tête vers elle avant de hausser un sourcil. Sans indication aucune, il ne pouvait deviner le fin fond de sa pensée. Forcément que la première chose qui lui venait à l’esprit, dans le contexte actuel, était le surnaturel.
Ainsi, elle trouvait la ville trop grande. Il était vrai que si elle n’avait pas l’habitude de sortir auparavant, elle manquait peut-être de repères. Rien qui ne pouvait se régler facilement en réalité. Elle semblait toutefois honteuse de se fait. Il n’y avait pourtant aucune à dire qu’elle se perdait en ville, si elle n’en avait pas l’habitude.
Il avait, entre-temps, finit d’éplucher ces carottes et de les couper grossièrement, il ne restait plus qu’à mettre le tout dans une grosse marmite. Il en sortit une du placard qu’il remplit d’eau. Il lava rapidement tous les légumes fraichement préparés avant de les plonger dans l’eau et d’allumer le gaz. Un peu d’assaisonnement… Voilà, il ne restait plus qu’à attendre une bonne heure, que le tout soit cuit et tendre. L’avantage était que la mention d’études lui avait donné une nouvelle idée de sujet de conversation à lancer. Enfin, si l’interlocutrice voulait toujours discuter, bien sûr.
De retour à sa préparation, il s’attendait à ce que la fille prenne congé de lui, vu son comportement. Mais, à sa grande surprise, elle resta pour continuer la conversation. Ainsi, elle parlait plus tôt de la taille de la ville. Il se contenta, dans un premier temps, de lever la tête vers elle avant de hausser un sourcil. Sans indication aucune, il ne pouvait deviner le fin fond de sa pensée. Forcément que la première chose qui lui venait à l’esprit, dans le contexte actuel, était le surnaturel.
Ainsi, elle trouvait la ville trop grande. Il était vrai que si elle n’avait pas l’habitude de sortir auparavant, elle manquait peut-être de repères. Rien qui ne pouvait se régler facilement en réalité. Elle semblait toutefois honteuse de se fait. Il n’y avait pourtant aucune à dire qu’elle se perdait en ville, si elle n’en avait pas l’habitude.
Izaya ▬ « Eh bien… Sans préciser que vous parliez de la taille de la ville, il était difficile pour moi de le deviner. Donc oui, la première chose qui m’est venu en tête est le surnaturel. Moi, j’ai l’habitude de m’y promener. Je vis ici depuis ma naissance, je la connais. A force de vous y promener, vous finirez par y trouver vos repères et vous ne vous y perdrez plus. C’est juste une question de temps.
Par contre, « quelle histoire » ? Vous dites vous-même que vous en avez entendu parler à la télé. Donc, vous êtes au courant. Des personnes sont retrouvées agressées par des créatures. Ils parlaient même d’attaques d’ours, au départ. Mais ces chevaliers traqueurs de créatures sont apparus pour en parler. On ne peut pas les rater. Ils se promènent en ville et on y fait mention au moins une fois par semaine à la télévision et les journaux. Et oui, apparemment, elles n’aiment pas la lumière du soleil. Ils disent que ça les affaiblit. Personnellement, je ne pense pas en avoir déjà rencontré. Je me fis donc à ce qui est dit, à défaut de pouvoir me faire ma propre idée par moi-même. Après tout, on m’a toujours appris à remettre en doute les sources et études… »
Il avait, entre-temps, finit d’éplucher ces carottes et de les couper grossièrement, il ne restait plus qu’à mettre le tout dans une grosse marmite. Il en sortit une du placard qu’il remplit d’eau. Il lava rapidement tous les légumes fraichement préparés avant de les plonger dans l’eau et d’allumer le gaz. Un peu d’assaisonnement… Voilà, il ne restait plus qu’à attendre une bonne heure, que le tout soit cuit et tendre. L’avantage était que la mention d’études lui avait donné une nouvelle idée de sujet de conversation à lancer. Enfin, si l’interlocutrice voulait toujours discuter, bien sûr.
Izaya ▬ « En parlant d’études… Vous en faites ? Je suis à l’université de Nakanoto en polytechnique, spécialisation en astrophysique. »
"Incohérence ?"
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Mitsutsuki Alyssa#106871#106871#106871
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Ven 11 Fév 2022 - 0:56
Je semblais avoir attiré sa curiosité. Il voulait en savoir plus, mais je ne pouvais hélas rien dire. Ce n'était pas de mon ressort à moins que je dévoile ma nature pour lui en parler. Je ne pouvais pas le faire hélas pour lui. En espérant qu'il ne rencontre pas une créature surnaturelle malintentionné Le sujet du surnaturelle semblait être un point important pour lui vu comment il en parlait. C'est surement parce qu'il ne connait pas qu'il était aussi curieux. Vraiment, me concernant, j'aurai préféré être comme lui et ne rien savoir.
Mmm je vois. J'essayerai les chemins simple alors. Voyez-vous je n'ai pas un très bon sens de l'orientation non plus.
Vous savez... le fait qu'ils en parlent à la télé... je me dit que c'est disons la nouvelle mode pour les journalistes. Mais en réfléchissant avec du recule, ça veut dire qu'ils existent surement depuis aussi longtemps que nous. En soit ça fait peur, déjà que j'ai peur juste sortir de base, mais si vous pensez qu'il y a moins de risque à la lumière du soleil, je vais vous croire même si ce n'est pas sûr. Après, je vois plus de gens mourir de maladie ou d'accidents aux infos, alors peut-être qu'ils sont très peu ?
Je l'observais faire cette soupe que je ne connaissais pas. En soit je me disais que je devrais éviter même de la toucher pour le bien des résidents. Il fallait éviter tout soucis. Alors que je regardais la dite soupe commencer sa cuisson, le mystérieux jeune homme reprit la parole sur un sujet sur lequel je pouvais discuter. JE refis un sourire innocent avant de reprendre la parole pour être fière de lui dire ce que je faisais. Une minute ? Cela veut dire que je le croiserai à l'université ? Il me parlait d'étude en polytechnique pour lesquelles je n'avais strictement aucune idée de ce que c'était. Peut-être qu'il pourrait m'expliquer sa passion et son choix d'étude.
Polytechnique...? Pardon, je ne sais pas en quoi ça consiste. Oui, j'en fais... ça prends tout mon temps. Disons que cette partie de cuisine est une petite pause. Je suis un cursus de droit et de médecine. C'est très dur de suivre deux cursus, mais je m'en sors au détriment du temps libre. Je ne sais pas trop ce que je veux vraiment faire, mais je veux aider les personnes dans le besoin. Pour le moment je n'ai aucune préférence, mais les deux me plaisent.
J'espérais qu'il me parle de son cursus pour lequel je ne connaissais rien et qui n'était pas forcément des plus intuitives à deviner la nécessité. Je commençais à être un peu à l'aise. J'espérais juste qu'il lâche l'affaire sur le surnaturelle. J'étais un peu fatigué de mentir. D'ici environ une heure l'heure du repas aura sonné pour les résidents de Bonsecours. Je savais au font de moi cette heure serait bénéfique pour le fraisier, j'espérais juste que le repos juste serait suffisant. A vrai dire je ne savais pas trop quoi faire à part nettoyer mon bordel sur le plan de travail et en dehors de ça, lorsque j'aurai fini. Rien ne justifierais ma présence sauf pour le gâteau quoique les résidents auraient des sueurs froides sur la qualité du repas s'ils me voyaient sortir de la cuisine. Certes ce n'était pas le luxe, mais plutôt une oeuvre caritative et de bienveillance humaine. Encore fallait-il que ce soit mangeable tout de même.
Mais bon, pas vue en cuisine et pas pris égal aucun soucis.
Mmm je vois. J'essayerai les chemins simple alors. Voyez-vous je n'ai pas un très bon sens de l'orientation non plus.
Vous savez... le fait qu'ils en parlent à la télé... je me dit que c'est disons la nouvelle mode pour les journalistes. Mais en réfléchissant avec du recule, ça veut dire qu'ils existent surement depuis aussi longtemps que nous. En soit ça fait peur, déjà que j'ai peur juste sortir de base, mais si vous pensez qu'il y a moins de risque à la lumière du soleil, je vais vous croire même si ce n'est pas sûr. Après, je vois plus de gens mourir de maladie ou d'accidents aux infos, alors peut-être qu'ils sont très peu ?
Je l'observais faire cette soupe que je ne connaissais pas. En soit je me disais que je devrais éviter même de la toucher pour le bien des résidents. Il fallait éviter tout soucis. Alors que je regardais la dite soupe commencer sa cuisson, le mystérieux jeune homme reprit la parole sur un sujet sur lequel je pouvais discuter. JE refis un sourire innocent avant de reprendre la parole pour être fière de lui dire ce que je faisais. Une minute ? Cela veut dire que je le croiserai à l'université ? Il me parlait d'étude en polytechnique pour lesquelles je n'avais strictement aucune idée de ce que c'était. Peut-être qu'il pourrait m'expliquer sa passion et son choix d'étude.
Polytechnique...? Pardon, je ne sais pas en quoi ça consiste. Oui, j'en fais... ça prends tout mon temps. Disons que cette partie de cuisine est une petite pause. Je suis un cursus de droit et de médecine. C'est très dur de suivre deux cursus, mais je m'en sors au détriment du temps libre. Je ne sais pas trop ce que je veux vraiment faire, mais je veux aider les personnes dans le besoin. Pour le moment je n'ai aucune préférence, mais les deux me plaisent.
J'espérais qu'il me parle de son cursus pour lequel je ne connaissais rien et qui n'était pas forcément des plus intuitives à deviner la nécessité. Je commençais à être un peu à l'aise. J'espérais juste qu'il lâche l'affaire sur le surnaturelle. J'étais un peu fatigué de mentir. D'ici environ une heure l'heure du repas aura sonné pour les résidents de Bonsecours. Je savais au font de moi cette heure serait bénéfique pour le fraisier, j'espérais juste que le repos juste serait suffisant. A vrai dire je ne savais pas trop quoi faire à part nettoyer mon bordel sur le plan de travail et en dehors de ça, lorsque j'aurai fini. Rien ne justifierais ma présence sauf pour le gâteau quoique les résidents auraient des sueurs froides sur la qualité du repas s'ils me voyaient sortir de la cuisine. Certes ce n'était pas le luxe, mais plutôt une oeuvre caritative et de bienveillance humaine. Encore fallait-il que ce soit mangeable tout de même.
Mais bon, pas vue en cuisine et pas pris égal aucun soucis.
Izaya Manabu#106872#106872#106872
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Ven 11 Fév 2022 - 8:48
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Izaya hocha simplement de la tête quand elle parla de chemins simples. C’était un bon début. Commencer par les alentours pour apprendre à reconnaitre le quartier et pouvoir s’y repérer, puis élargir petit à petit la zone. En vrai, il n’y avait pas trente-six solutions.
Elle revient ensuite sur le surnaturel. Une nouvelle mode ? Cette manière de parler était bien futile et frivole, comme si ce n’était qu’un canular, une vaste blague à l’échelle d’une ville. Franchement, qu’elle aille dire ça aux familles des victimes, Izaya était certaines qu’elle serait bien reçue. Non, en vrai, si les infos en parlaient, c’était surtout parce que les morts se multipliaient. Le jeune homme n’allait pas dire qu’il avait tout suivi avec attention, tout de même. Mais, malgré tout, il lui avait été impossible de faire sans en savoir un minimum. D’abord les morts inexpliquées, où les journalistes parlaient d’attaque d’ours. Puis les vidéos d’affrontement entre deux créatures. Ensuite, il y avait eu cette histoire au bal d’Halloween organisé par le Maire. Izaya n’y était pas allé mais cela avait fait couler beaucoup d’encre. Enfin, il y avait eu cette apparition d’un groupuscule sorti de l’ombre qui semblait, selon toute vraisemblance, bien connaitre le sujet.
En cet instant, Izaya se sentait bien trop affecté et de la colère commençait à gronder au plus profond de son être. Mais il vivait au temple, ils voyaient les morts qui augmentaient de plus en plus ces derniers mois. Et, s’il n’avait pas tenu les statistiques, il était certains qu’il y en avait plus tués, visiblement, par des créatures dont il ne savait que très peu, que par maladie, accident ou vieillesse. Il était certain que le père Riku ne devait pas être mieux loti de son côté.
Entre-temps, il avait bien fait de lancer la conversation sur le sujet des études. Il fallait donc expliquer ce qu’était la polytechnique. Voilà une chose qui ne l’étonna pas. Toutefois, ce n’était pas si simple à expliquer, surtout en quelques mots. Cependant, la demoiselle lui donnait matière à illustrer ses propos.
Elle revient ensuite sur le surnaturel. Une nouvelle mode ? Cette manière de parler était bien futile et frivole, comme si ce n’était qu’un canular, une vaste blague à l’échelle d’une ville. Franchement, qu’elle aille dire ça aux familles des victimes, Izaya était certaines qu’elle serait bien reçue. Non, en vrai, si les infos en parlaient, c’était surtout parce que les morts se multipliaient. Le jeune homme n’allait pas dire qu’il avait tout suivi avec attention, tout de même. Mais, malgré tout, il lui avait été impossible de faire sans en savoir un minimum. D’abord les morts inexpliquées, où les journalistes parlaient d’attaque d’ours. Puis les vidéos d’affrontement entre deux créatures. Ensuite, il y avait eu cette histoire au bal d’Halloween organisé par le Maire. Izaya n’y était pas allé mais cela avait fait couler beaucoup d’encre. Enfin, il y avait eu cette apparition d’un groupuscule sorti de l’ombre qui semblait, selon toute vraisemblance, bien connaitre le sujet.
Izaya ▬ « Par ils, vous parlez des créatures ou des morts que celles-ci semblent provoquer ? Nous n’avons pas les mêmes sources, visiblement. Enfin, je suppose qu’il ne vaut mieux pas s’étendre plus longtemps sur le sujet. »
En cet instant, Izaya se sentait bien trop affecté et de la colère commençait à gronder au plus profond de son être. Mais il vivait au temple, ils voyaient les morts qui augmentaient de plus en plus ces derniers mois. Et, s’il n’avait pas tenu les statistiques, il était certains qu’il y en avait plus tués, visiblement, par des créatures dont il ne savait que très peu, que par maladie, accident ou vieillesse. Il était certain que le père Riku ne devait pas être mieux loti de son côté.
Entre-temps, il avait bien fait de lancer la conversation sur le sujet des études. Il fallait donc expliquer ce qu’était la polytechnique. Voilà une chose qui ne l’étonna pas. Toutefois, ce n’était pas si simple à expliquer, surtout en quelques mots. Cependant, la demoiselle lui donnait matière à illustrer ses propos.
Izaya ▬ « Médecine et Droits ? J’imagine que cela ne doit pas être simple, en effet. Surtout que vous devez avoir assez bien de cours qui se chevauchent. J’imagine sans mal que vous ayez peu de temps libre. Faites juste attention à ne pas vous surmener. Peut-être trouverez vous votre voie au fur et à mesure des années.
En ce qui concerne la Polytechnique… Et bien, voyez-vous, dans un cursus normal, on étudie de manière générale une seule et unique science, même si cette dernière rassemble plusieurs autres en son sein. Par exemple, vous étudiez la Médecine. Mais, pour cela, vous avez des cours de Biologie, de Chimie et de Physique, je suppose. Parce que des notions qu’elles offrent sont nécessaires à votre parcours. En Polytechnique, on étudie pas une seule science, mais plusieurs. J’ai donc eu de la physique, de la chimie, de l’informatique, science littéraires et linguistiques, pour ensuite finir par se spécialiser tout doucement à la fin de nos études. Le but est de devenir un ingénieur civil. J’aimerais personnellement travailler pour la JAXA*. »
*JAXA : Japan Aerospace Exploration Agency
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Dim 20 Fév 2022 - 1:07
C'était génial de lui même il voulait en arrêter là sur les créatures surnaturelle et ça m'arrangeait. Il ne me restait qu'à lui répondre à sa question et s'en serait fini. J'avoue que ce qui m'intéressait le plus à présent était de parler étude. En soit le fait qu'il me parle de ce qu'il faisait m'aidait à comprendre ce qu'il faisait exactement. J'apprenais des choses aussi. Je pourrai surement me documenter à l'avenir sur le sujet pour en apprendre d'avantage de ce qui se fait dans le domaine et l'intérêt aussi. En tout cas je semblais l'avoir touché sur sa passion. Cela se voyait, il aimait vraiment ce qu'il faisait. Au moins lui avait une idée tracé de ce qu'il voudrait faire plus tard ce qui n'était pas mon cas.
Je parlais des créatures, en soit je n'ai aucune source, je fais des suppositions par rapport à ce qui a été dit à la télé. Mais vous avez raison parlons de chose plus intéressante. Je vois que vous êtes un passionné de vos études.
Je me met à rire un peu, sincèrement, ma main devant ma bouche comme pour étouffer le rire. En soit ce n'était pas drôle, mais c'est de voir la tête de passionné qu'il avait. Il avait la tête dans les étoiles dirons nous.
Je cerne mieux votre domaine d'étude. C'est plutôt poussé. J'avoue que ce serait hors de ma portée. Je vous souhaite tout le courage de réussir surtout que vous sembliez être déjà décidé dans votre avenir.
Oui les deux à la fois. A vrai dire je ne sais pas lequel des deux dans la finalité m'attirera le plus, mais je veux aider. Ce n'est pas simple, mais disons que je suis une machine à apprendre. Je retiens très vite les cours et je m'avance ou plutôt je rattrape mon retard d'inscription tardive. En respectant mon planning, je devrais avoir suffisamment rattrapé pour les examens et éviter les soutiens et rattrapage. J'aimerai profiter de l'été pour vraiment rattraper le tout sans être perturbé par un à côté. Ca ira mieux à la rentrée où je pourrai être au même niveau que tout le monde.
Je réfléchissais un moment avant de reprendre la parole sur les études. En repensant au fait qu'il apprenait plusieurs sciences.
J'y pense, avec toutes les sciences à étudier, le temps d'études doit être plutôt long, voir plus long que la médecine je suppose. Non ? Parce que je sais que j'ai déjà plusieurs années, mais pour vous ?
J'étais tout de même assez curieuse. Néanmoins, à force de discuter et discuter les minutes passèrent et j'avais prit l'initiative en commençant à prendre les assiettes et les charger dans le chariot. Il était temps de préparer le service de la cantine pour les résidents. Plus vite s'était fait, plus le service serait facile. En revanche je pensais au fait que si les autres résidents me voyaient, ils allaient flipper.
Quand le service arrivera, je resterai en cuisine pour préparer les parts de gâteau. Ayant commencé avec un peu de retard, les résidents devront passer une seconde fois pour prendre le dessert.
Je trouvais une excuse à moitié vrai afin de ne pas être vue. Je ne voulais pas créer la panique culinaire. Je savais que je n'étais pas doué. Mais tout ne pouvait pas être mauvais surtout que les retours sur mon fraisier étaient vraiment sincère, il était bon. Mais pourquoi je ratais tout le reste ? Peut-être qu'un jour je m'en sortirai mieux. Mais ce ne serait certainement pas aujourd'hui et il ne fallait pas que je touche à la soupe du bienfaiteur. Je m'en voudrai de gâcher ses efforts.
Je parlais des créatures, en soit je n'ai aucune source, je fais des suppositions par rapport à ce qui a été dit à la télé. Mais vous avez raison parlons de chose plus intéressante. Je vois que vous êtes un passionné de vos études.
Je me met à rire un peu, sincèrement, ma main devant ma bouche comme pour étouffer le rire. En soit ce n'était pas drôle, mais c'est de voir la tête de passionné qu'il avait. Il avait la tête dans les étoiles dirons nous.
Je cerne mieux votre domaine d'étude. C'est plutôt poussé. J'avoue que ce serait hors de ma portée. Je vous souhaite tout le courage de réussir surtout que vous sembliez être déjà décidé dans votre avenir.
Oui les deux à la fois. A vrai dire je ne sais pas lequel des deux dans la finalité m'attirera le plus, mais je veux aider. Ce n'est pas simple, mais disons que je suis une machine à apprendre. Je retiens très vite les cours et je m'avance ou plutôt je rattrape mon retard d'inscription tardive. En respectant mon planning, je devrais avoir suffisamment rattrapé pour les examens et éviter les soutiens et rattrapage. J'aimerai profiter de l'été pour vraiment rattraper le tout sans être perturbé par un à côté. Ca ira mieux à la rentrée où je pourrai être au même niveau que tout le monde.
Je réfléchissais un moment avant de reprendre la parole sur les études. En repensant au fait qu'il apprenait plusieurs sciences.
J'y pense, avec toutes les sciences à étudier, le temps d'études doit être plutôt long, voir plus long que la médecine je suppose. Non ? Parce que je sais que j'ai déjà plusieurs années, mais pour vous ?
J'étais tout de même assez curieuse. Néanmoins, à force de discuter et discuter les minutes passèrent et j'avais prit l'initiative en commençant à prendre les assiettes et les charger dans le chariot. Il était temps de préparer le service de la cantine pour les résidents. Plus vite s'était fait, plus le service serait facile. En revanche je pensais au fait que si les autres résidents me voyaient, ils allaient flipper.
Quand le service arrivera, je resterai en cuisine pour préparer les parts de gâteau. Ayant commencé avec un peu de retard, les résidents devront passer une seconde fois pour prendre le dessert.
Je trouvais une excuse à moitié vrai afin de ne pas être vue. Je ne voulais pas créer la panique culinaire. Je savais que je n'étais pas doué. Mais tout ne pouvait pas être mauvais surtout que les retours sur mon fraisier étaient vraiment sincère, il était bon. Mais pourquoi je ratais tout le reste ? Peut-être qu'un jour je m'en sortirai mieux. Mais ce ne serait certainement pas aujourd'hui et il ne fallait pas que je touche à la soupe du bienfaiteur. Je m'en voudrai de gâcher ses efforts.
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Jeu 24 Fév 2022 - 18:46
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Izaya se retient de faire une quelconque remarque sur le sujet qu’elle remettait encore et encore sur le tapis. Intérieurement, il roula des yeux. Elle semblait réellement faire de cette histoire une anecdote ou une farce, ce qui le rebutait au plus au point. De toute façon, cette fille avait un grain. Elle le disait passionné par ses études et semblait en rire comme si c’était une blague tordante. Certes, Izaya aimait ce qu’il apprenait et il avait déjà une vision concrète de ce qu’il comptait faire plus tard. Mais de là à parler de passion. Le jeune homme avait toujours eu la tête sur les épaules. Cette fille semblait tellement dans son monde que cela n’aurait servi à rien. Pourtant, elle ferait mieux, peut-être, de redescendre un peu sur terre avant que la chute ne se fasse d’elle-même. Cela lui éviterait des belles désillusions.
Alyssa reprit parole. En effet, c’était assez poussé, puisque cela inculquait une grande culture générale pour laquelle il fallait parfois s’accrocher. A côté, elle lui répondit qu’elle suivait donc bien deux cursus. Une machine à apprendre ? Il voudrait bien voir cela. Il en doutait même très fort. Il savait que les deux demandaient de nombreuses heures de travail. Déjà, il savait que les deux disposaient d’un horaire complet. Ainsi, il devait y avoir au moins un des cursus où elle ne pouvait pas être présente. Où alors elle devait partager sa présence entre les deux. Avec un peu de chance, elle avait peut-être quelques heures de cours qui ne devait pas se chevaucher. Mais cela devait être de l’ordre de 4 ou 6h grand maximum. Ce qu’elle ne voyait pas en journée, elle devait donc le voir le soir et les jours de repos. En plus, il avait appris qu’elle avait du retard lors de son inscription. Voilà un cas qui promettait d’être intéressant.
Il leva la tête vers elle, la regardant avec attention. Elle semblait être en pleine réflexion.
Quant à sa remarque sur le fait qu’elle resterait en cuisine. Il haussa simplement des épaules. Ce n’était pas lui qui s’occupait du service. Il avait toujours autre chose qui lui trottait en tête.
Il pouvait voir à sa tête qu’elle ne voyait pas où il voulait en venir. Il leva la tête, poussant la réflexion à voix haute.
Alyssa reprit parole. En effet, c’était assez poussé, puisque cela inculquait une grande culture générale pour laquelle il fallait parfois s’accrocher. A côté, elle lui répondit qu’elle suivait donc bien deux cursus. Une machine à apprendre ? Il voudrait bien voir cela. Il en doutait même très fort. Il savait que les deux demandaient de nombreuses heures de travail. Déjà, il savait que les deux disposaient d’un horaire complet. Ainsi, il devait y avoir au moins un des cursus où elle ne pouvait pas être présente. Où alors elle devait partager sa présence entre les deux. Avec un peu de chance, elle avait peut-être quelques heures de cours qui ne devait pas se chevaucher. Mais cela devait être de l’ordre de 4 ou 6h grand maximum. Ce qu’elle ne voyait pas en journée, elle devait donc le voir le soir et les jours de repos. En plus, il avait appris qu’elle avait du retard lors de son inscription. Voilà un cas qui promettait d’être intéressant.
Il leva la tête vers elle, la regardant avec attention. Elle semblait être en pleine réflexion.
Izaya ▬ « Plutôt long ? Non, quatre années pour le Bachelor, comme pour le reste. Suivi par la suite d’un Master et éventuellement d’un Doctorat. Mais je n’en aurais pas besoin. Médecine, si je me souviens bien, c’est six ans pour le Bachelor. »
Quant à sa remarque sur le fait qu’elle resterait en cuisine. Il haussa simplement des épaules. Ce n’était pas lui qui s’occupait du service. Il avait toujours autre chose qui lui trottait en tête.
Izaya ▬ « N’empêche… Tu dois être Wonder Woman. »
Il pouvait voir à sa tête qu’elle ne voyait pas où il voulait en venir. Il leva la tête, poussant la réflexion à voix haute.
Izaya ▬ « Bah oui. Tu suis deux cursus. Sachant que les scientifiques ont réussi à estimer qu’une année d’études représentait approximativement 1.800 heures de travail pour un étudiant. Donc, tu dois logiquement en fournir le double pour cette année. Et pour les suivantes aussi, du coup si tu veux continuer sur cette voie. En supposant dix heures de travail par jours, cela équivaudrait donc à 360 jours de travail par an. Ce qui laisse cinq jours de repos. Et quatorze heures par jour pour dormir, manger et éventuellement souffler. Faut-être surhumain pour tenir un tel rythme… »
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Ven 8 Avr 2022 - 2:38
Il m'expliquait alors un peu son parcours et ce qui lui restait à accomplir. Ce n'était pas rien. En soit, il avait donc quatre années à faire à minima bien que la suite ne l'intéressait pas vraiment. Du moins selon ses dires. Pourtant, s'il devait étudier plusieurs sciences, pourquoi aurait-il moins d'années d'études? Cela m'échappais plus que de raison. Il parlait alors de l'un de mes cursus à savoir la médecine pour une durée minimal de six années. Mon cursus médecine a dû l'intéresser lorsqu'il entra à l'université. Il devait donc en savoir autant que moi vis à vis de la brochure je supposais. Malgré l'aide de Nathan, je remarquais que j'ignorais beaucoup de chose. Je devais vraiment être bizarre parfois aux yeux des autres.
Il me regardait ensuite en disant que j'étais Wonder Woman. Mon regard était remplis de question, je ne comprenais pas. M'enfin, il me rappela que je travaillais mes cours en mode surrégime à faire deux cursus. Je compris alors ma stupidité. Je voulais bien faire, mais en un sens je faisais des choses qu'aucun être humain serait capable de faire à moins d'étirer l'année pour rajouter environ une demi année supplémentaire. Il fallait reconnaitre que ce mystérieux humain me surprenait. Il avait tout calculé ça en une fraction de seconde. Il devait être très intelligent mais quelque peu naïf de ne se douter de rien, ça en devenait mignon. Encore une fois j'en suis sur que j'aurai dû me taire pour ce qui allait suivre.
Wonder Woman ? C'est quoi ?
Pour me conformer à l'image de l'heureuse ignorante, j'étais définitivement la première. Il suffisait de gratter ne serait-ce qu'un tout petit peu pour découvrir que je ne connaissais rien de la vie et que ma culture générale ne volait vraiment pas haut. Hélas pour moi, ce jeune homme avait tendance à toucher les points sensible par simple curiosité maladive. Il me fatiguait mon pauvre petit cerveau bien plus que n'importe qui d'autre. Je ne donnais pas cher de ma peau qu'il finisse par peu à peu découvrir mon secret à force si j'étais amené à le fréquenter souvent. Peut-être que découvrir d'une manière douce ce que je suis alors qu'il saurait qui je suis avant, pourrait aider à ne pas être repoussé... encore... Je n'avais jamais essayé cette méthode. Mais vu sa perspicacité et sa curiosité, il devrait comprendre petit à petit. Quoique... il semblait s'aveugler lui même ou disons que je n'étais pas non plus honnête et que je l'orientais pour qu'il se trompe. Mais s'était pour son bien. L'ignorance avait du bon pour les humains et je les enviais.
Et bien en faite, la médecine est le cursus qui me demande le plus de travail. Le droit, il me suffit pour dire ça de façon grotesque de simplement lire le cour pour l'assimiler. C'est plus les exercices pratiques que je dois travailler. Alors oui c'est dur, je ne peux pas non plus assister à tout les cours, mais ayant plus de facilité pour le droit, c'est les cours pour lesquelles je sacrifie ma présence au profit de la médecine.
Je sais aussi que je finirai surement un jour avec regret d'abandonner l'un des deux cursus, mais j'aime les deux et je n'ai pas envie d'en arrêter un. Alors pour le moment je fais les deux.
Après je ne pense pas qu'il faut être surhumain, mais avoir un planning strict. D'ailleurs ce moment est spécialement un écart exceptionnel à mon planning. Je devrai surement vous remercier?
Je lui fit un sourire sincère qui montrait que j'étais contente d'être là et qu'en un sens je faisais un écart spécialement pour lui. Car j'aurai bien pu ne pas revenir en cuisine. Mais bon, il m'avait offert une opportunité de finir en cuisine pour ce début de soirée alors autant en profiter et le récompenser. J'arrivais en deux ou trois pas à côté de lui me mis sur la pointe de pieds dû à ma petite taille pour déposer un bisous sur sa joue avant de retourner à mes occupations de nettoyer mon plan de travail. Le service ne devrait plus trop tarder à commencer maintenant.
Il me regardait ensuite en disant que j'étais Wonder Woman. Mon regard était remplis de question, je ne comprenais pas. M'enfin, il me rappela que je travaillais mes cours en mode surrégime à faire deux cursus. Je compris alors ma stupidité. Je voulais bien faire, mais en un sens je faisais des choses qu'aucun être humain serait capable de faire à moins d'étirer l'année pour rajouter environ une demi année supplémentaire. Il fallait reconnaitre que ce mystérieux humain me surprenait. Il avait tout calculé ça en une fraction de seconde. Il devait être très intelligent mais quelque peu naïf de ne se douter de rien, ça en devenait mignon. Encore une fois j'en suis sur que j'aurai dû me taire pour ce qui allait suivre.
Wonder Woman ? C'est quoi ?
Pour me conformer à l'image de l'heureuse ignorante, j'étais définitivement la première. Il suffisait de gratter ne serait-ce qu'un tout petit peu pour découvrir que je ne connaissais rien de la vie et que ma culture générale ne volait vraiment pas haut. Hélas pour moi, ce jeune homme avait tendance à toucher les points sensible par simple curiosité maladive. Il me fatiguait mon pauvre petit cerveau bien plus que n'importe qui d'autre. Je ne donnais pas cher de ma peau qu'il finisse par peu à peu découvrir mon secret à force si j'étais amené à le fréquenter souvent. Peut-être que découvrir d'une manière douce ce que je suis alors qu'il saurait qui je suis avant, pourrait aider à ne pas être repoussé... encore... Je n'avais jamais essayé cette méthode. Mais vu sa perspicacité et sa curiosité, il devrait comprendre petit à petit. Quoique... il semblait s'aveugler lui même ou disons que je n'étais pas non plus honnête et que je l'orientais pour qu'il se trompe. Mais s'était pour son bien. L'ignorance avait du bon pour les humains et je les enviais.
Et bien en faite, la médecine est le cursus qui me demande le plus de travail. Le droit, il me suffit pour dire ça de façon grotesque de simplement lire le cour pour l'assimiler. C'est plus les exercices pratiques que je dois travailler. Alors oui c'est dur, je ne peux pas non plus assister à tout les cours, mais ayant plus de facilité pour le droit, c'est les cours pour lesquelles je sacrifie ma présence au profit de la médecine.
Je sais aussi que je finirai surement un jour avec regret d'abandonner l'un des deux cursus, mais j'aime les deux et je n'ai pas envie d'en arrêter un. Alors pour le moment je fais les deux.
Après je ne pense pas qu'il faut être surhumain, mais avoir un planning strict. D'ailleurs ce moment est spécialement un écart exceptionnel à mon planning. Je devrai surement vous remercier?
Je lui fit un sourire sincère qui montrait que j'étais contente d'être là et qu'en un sens je faisais un écart spécialement pour lui. Car j'aurai bien pu ne pas revenir en cuisine. Mais bon, il m'avait offert une opportunité de finir en cuisine pour ce début de soirée alors autant en profiter et le récompenser. J'arrivais en deux ou trois pas à côté de lui me mis sur la pointe de pieds dû à ma petite taille pour déposer un bisous sur sa joue avant de retourner à mes occupations de nettoyer mon plan de travail. Le service ne devrait plus trop tarder à commencer maintenant.
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Mer 20 Juil 2022 - 12:36
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Parfois, il fallait s’avouer que certaines situations étaient grotesques. Celle-ci en faisait clairement partie. Bien qu’Izaya n’en sache rien, Alyssa faisait tout pour préserver son secret. Mais à vouloir trop en faire, n’était-ce pas la meilleure façon de se ramasser au final ?
Pour l’instant, Izaya la trouvait juste trop présomptueuse et mettait ceci sur le compte d’une immaturité flagrante. Pour lui, elle commençait seulement les études à l’université, avait surestimé ses compétences en s’inscrivant à deux cursus et allait bien vite déchanter une fois la première session d’examen passée. Franchement, rare étaient les personnes qui suivaient plusieurs cours en même temps. Il n’était même pas certains de connaitre une personne de ce genre ici à Nakanoto. Enfin… Cela n’allait pas changer sa vie d’en connaitre une, donc…
Un écart, hein ? Et elle disait qu’elle devait le remercier ?
Il laissa sa phrase en suspens un instant. Devait-il répondre ? En vrai, il pensait que non. Il n’était pour rien dans son envie culinaire. Et elle était libre de quitter la cuisine. Il allait faire de même une fois la soupe finie, d’ailleurs. Il se contenta d’hausser les épaules. Qu’elle le remercie ou pas, cela lui faisait ni chaud, ni froid. Donc si ça pouvait lui faire plaisir, qu’elle le fasse. Et si elle ne faisait pas, il n’allait pas en pleurer.
L’attention se reporta sur la soupe. Elle n’était pas encore cuite, prête à être passée au mixeur. Il se replaça, adossé contre le rebord du plan de travail, cherchant un nouveau sujet de conversation. Ceci dit, aucun ne lui vint en tête. Il était honnête avec lui-même : il n’était pas du genre à parler pour ne rien dire et n’était pas un adepte de la discussion. Ils avaient parlé des études, de la situation, de la ville, de ce qu’ils faisaient. En vrai, c’était déjà pas mal, selon son point de vue. Izaya attendit donc qu’elle relance la conversation. Si pas, il attendrait que la soupe soit prête et il lui souhaiterait une bonne fin de journée. Parce que si la demoiselle en face de lui avait un planning strict, elle devrait bientôt retourner à ses révision, non ?
Pour l’instant, Izaya la trouvait juste trop présomptueuse et mettait ceci sur le compte d’une immaturité flagrante. Pour lui, elle commençait seulement les études à l’université, avait surestimé ses compétences en s’inscrivant à deux cursus et allait bien vite déchanter une fois la première session d’examen passée. Franchement, rare étaient les personnes qui suivaient plusieurs cours en même temps. Il n’était même pas certains de connaitre une personne de ce genre ici à Nakanoto. Enfin… Cela n’allait pas changer sa vie d’en connaitre une, donc…
Un écart, hein ? Et elle disait qu’elle devait le remercier ?
Izaya ▬ « Ah ? Ce n’est pourtant pas moi qui vous ai soufflé l’idée de faire un gâteau, il me semble ? Je ne suis pas certain qu’il soit donc de rigueur de me remercier. Mais si vous y tenez… »
Il laissa sa phrase en suspens un instant. Devait-il répondre ? En vrai, il pensait que non. Il n’était pour rien dans son envie culinaire. Et elle était libre de quitter la cuisine. Il allait faire de même une fois la soupe finie, d’ailleurs. Il se contenta d’hausser les épaules. Qu’elle le remercie ou pas, cela lui faisait ni chaud, ni froid. Donc si ça pouvait lui faire plaisir, qu’elle le fasse. Et si elle ne faisait pas, il n’allait pas en pleurer.
L’attention se reporta sur la soupe. Elle n’était pas encore cuite, prête à être passée au mixeur. Il se replaça, adossé contre le rebord du plan de travail, cherchant un nouveau sujet de conversation. Ceci dit, aucun ne lui vint en tête. Il était honnête avec lui-même : il n’était pas du genre à parler pour ne rien dire et n’était pas un adepte de la discussion. Ils avaient parlé des études, de la situation, de la ville, de ce qu’ils faisaient. En vrai, c’était déjà pas mal, selon son point de vue. Izaya attendit donc qu’elle relance la conversation. Si pas, il attendrait que la soupe soit prête et il lui souhaiterait une bonne fin de journée. Parce que si la demoiselle en face de lui avait un planning strict, elle devrait bientôt retourner à ses révision, non ?
"Ni chaud ni froid"
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Dim 31 Juil 2022 - 22:26
Il ne restait plus grand chose à faire si ce n'est que la grande marmite de soupe soit prête. Nous étions arrivée dans un moment où il ne restait plus qu'à attendre. Je ne savais pas trop comment combler le vide qui se profilait au fur et à mesure. Il est vrai que j'avais fort à faire plus tard, mais il était également pour moi de trouver une occasion de rester un peu plus longtemps. Ce serait bête qu'il parte comme ça sans profiter d'une part de fraisier. Je m'étais donné du mal pour le finir dans les temps et il serait dommage qu'il parte les mains vides. Un moyen de remercier sa bonté.
Certes, mais tu m'as donné une occasion d'être en cuisine. Alors, si j'insiste pour te remercier. Préparer des bons petits plat n'est absolument pas mon fort et à juste titre je suis la personne que les autres résidents redoutent voir en cuisine. Tu arrives à offrir un moment de convivialité et un repas chaud pour tous les résidents. JE ne saurais faire pareil. En revanche les gourmandise c'est mon truc mais on ne me laisse pas l'occasion de faire mes preuves. Oh je sais qu'avec ce que je viens de dire tu vas douter de mon gâteau mais je t'assure qu'il n'en est rien et que tu seras agréablement surpris. Et puis, ça fait longtemps que je n'avais pas discuté avec quelqu'un. Je tiens à t'offrir cette part de gâteau.
Je lui souriais à nouveau, j'étais sincère. En vrai je ne savais plus trop quoi dire, nous avions plus ou moins épuisé les sujets de conversation et se regarder dans le blanc des yeux. La situation en deviendrait gênante et je ne savais pas trop comment réagir si c'était le cas. Je regardais le temps de repos du gâteau. Il me restait à surveiller qu'il ait bien prit, du moins suffisamment que je puis découper une part sans porter atteinte à la structure afin d'offrir à Izaya ce que j'avais promis.
Je pris le mal en patience de quelques minutes malaisante de ne rien dire. La cuisine était silencieuse outre la soupe qui bouillait dans la marmite. A un moment je pris un couteau et m'approcha du frigo afin de vérifier le fraisier. Il avait fière allure. Il était encore un peu frais dans sa conception mais ça semblait être bon pour y découper une part.
J'allais chercher un Tupperware en plastique jetable et son couvercle. Je découpais une part du fraisier et ce proprement avant de fermer la boîte. C'était un peu gênant pour moi ce que j'allais faire, je n'avais jamais rien offert de ma vie et encore moins à un garçon plus ou moins de mon âge. Je cherchais les mots alors que m'approchant de lui je tendis mes deux mains tenant la boite vers lui inclinant légèrement la tête.
Ce... c'est pour toi. Pour te remercier et tenir ma promesse. Tu le mangeras quand tu auras un petit creux.
J'attendis tranquillement qu'il accepte cette part de gâteau. Il est vrai que malheureusement le temps défilait et que je risquais de prendre un certain retard si je m'éternisais au niveau de mes révisions. C'est dommage m'enfin il m'a dit qu'il était à l'université donc on se reverra surement.
Bien, excuse-moi, je dois te laisser. J'ai des révisions qui m'attendent. Passe une agréable soirée Izaya.
Arrivant à son niveau je déposais un rapide petit baiser sur sa joue avant de me précipiter d'un pas léger vers la sortie de la cuisine. Je m'inclinais une dernière fois pour le saluer.
On se verra à l'université.
Je fis un dernier sourire et passa la porte avant de repartir en direction de ma chambre pour une soirée intensive de révision.
Certes, mais tu m'as donné une occasion d'être en cuisine. Alors, si j'insiste pour te remercier. Préparer des bons petits plat n'est absolument pas mon fort et à juste titre je suis la personne que les autres résidents redoutent voir en cuisine. Tu arrives à offrir un moment de convivialité et un repas chaud pour tous les résidents. JE ne saurais faire pareil. En revanche les gourmandise c'est mon truc mais on ne me laisse pas l'occasion de faire mes preuves. Oh je sais qu'avec ce que je viens de dire tu vas douter de mon gâteau mais je t'assure qu'il n'en est rien et que tu seras agréablement surpris. Et puis, ça fait longtemps que je n'avais pas discuté avec quelqu'un. Je tiens à t'offrir cette part de gâteau.
Je lui souriais à nouveau, j'étais sincère. En vrai je ne savais plus trop quoi dire, nous avions plus ou moins épuisé les sujets de conversation et se regarder dans le blanc des yeux. La situation en deviendrait gênante et je ne savais pas trop comment réagir si c'était le cas. Je regardais le temps de repos du gâteau. Il me restait à surveiller qu'il ait bien prit, du moins suffisamment que je puis découper une part sans porter atteinte à la structure afin d'offrir à Izaya ce que j'avais promis.
Je pris le mal en patience de quelques minutes malaisante de ne rien dire. La cuisine était silencieuse outre la soupe qui bouillait dans la marmite. A un moment je pris un couteau et m'approcha du frigo afin de vérifier le fraisier. Il avait fière allure. Il était encore un peu frais dans sa conception mais ça semblait être bon pour y découper une part.
J'allais chercher un Tupperware en plastique jetable et son couvercle. Je découpais une part du fraisier et ce proprement avant de fermer la boîte. C'était un peu gênant pour moi ce que j'allais faire, je n'avais jamais rien offert de ma vie et encore moins à un garçon plus ou moins de mon âge. Je cherchais les mots alors que m'approchant de lui je tendis mes deux mains tenant la boite vers lui inclinant légèrement la tête.
Ce... c'est pour toi. Pour te remercier et tenir ma promesse. Tu le mangeras quand tu auras un petit creux.
J'attendis tranquillement qu'il accepte cette part de gâteau. Il est vrai que malheureusement le temps défilait et que je risquais de prendre un certain retard si je m'éternisais au niveau de mes révisions. C'est dommage m'enfin il m'a dit qu'il était à l'université donc on se reverra surement.
Bien, excuse-moi, je dois te laisser. J'ai des révisions qui m'attendent. Passe une agréable soirée Izaya.
Arrivant à son niveau je déposais un rapide petit baiser sur sa joue avant de me précipiter d'un pas léger vers la sortie de la cuisine. Je m'inclinais une dernière fois pour le saluer.
On se verra à l'université.
Je fis un dernier sourire et passa la porte avant de repartir en direction de ma chambre pour une soirée intensive de révision.
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Jeu 4 Aoû 2022 - 18:24
Cauchemar en cuisine ?
Feat Alyssa & Izaya Manabu
13 Juillet 2018 - 17h
Izaya regarda la demoiselle avec un expression circonspecte. Décidément, elle était véritablement à part des autres et le jeune homme ne savait pas si c’était une bonne ou une mauvaise chose. Il décide de ne rien ajouter, acceptant simplement la part de gâteau.
En réalité, il la trouvait vraiment étrange. Une partie d’elle semblait montrer une assurance un peu trop exacerbée et une autre un cruel manque de confiance en soir. Alors, certes, tout le monde n’était pas logé à la même enseigne et chacun avait ses facilités et ses difficultés. Ceci étant pensé, si elle était capable de préparer un gâteau, elle pouvait donc apprendre à cuisiner. Elle devait donc juste apprendre avec quelqu’un de suffisamment patient et calme pour lui apprendre. Et il doutait fortement qu’il était cette personne, en tout cas.
Le silence s’étira pendant que la soupe cuisait et que le gâteau prenait. Au bout d’un moment, il arrêta le gaz et passa la soupe au mixeur. Ainsi, il pouvait la laisser tranquillement dans la casserole, elle serait prête pour le repas de ce soir. La demoiselle, elle, coupa un morceau de gâteau qu’lle plaça dans un récipient et le tendit à Izaya.
Il posa le plat à nouveau dans le frigo. Avant de partir, il se devait de laver la vaisselle afin de laisser la cuisine tel qu’il avait trouvé. La jeune demoiselle, elle, prétexta devoir retourner à ses révisions. Izaya n’en fit pas tout une histoire et lui souhaita à elle aussi une bonne soirée.
Elle s’approcha de lui, posant un baiser sur sa joue. Mais quelle mouche lui passait donc par la tête à cette fille ? Il la regarda comme si elle venait d’une autre planète alors qu’elle s’inclinait pour le saluer. Elle passa ensuite la porte, le laissant en tête-à-tête avec l’évier. Cette fille était décidément bien bizarre. Il ne savait pas s’il serait amené à la revoir un jour. Il y avait des chances que oui. Et à cette idée, il ne savait pas s’il devait se réjouir ou non. Dans tous les cas, il décida de ne pas se prendre la tête avec cela maintenant.
Une fois la vaisselle finie, il récupéra son morceau de gâteau et quitta les lieux sans oublier d’éteindre la lumière. Il était maintenant temps pour lui de rentrer. Son père et sa sœur l’attendaient au temple pour le repas.
En réalité, il la trouvait vraiment étrange. Une partie d’elle semblait montrer une assurance un peu trop exacerbée et une autre un cruel manque de confiance en soir. Alors, certes, tout le monde n’était pas logé à la même enseigne et chacun avait ses facilités et ses difficultés. Ceci étant pensé, si elle était capable de préparer un gâteau, elle pouvait donc apprendre à cuisiner. Elle devait donc juste apprendre avec quelqu’un de suffisamment patient et calme pour lui apprendre. Et il doutait fortement qu’il était cette personne, en tout cas.
Le silence s’étira pendant que la soupe cuisait et que le gâteau prenait. Au bout d’un moment, il arrêta le gaz et passa la soupe au mixeur. Ainsi, il pouvait la laisser tranquillement dans la casserole, elle serait prête pour le repas de ce soir. La demoiselle, elle, coupa un morceau de gâteau qu’lle plaça dans un récipient et le tendit à Izaya.
Izaya ▬ « Merci ! Je suis certain de l’apprécier ! »
Il posa le plat à nouveau dans le frigo. Avant de partir, il se devait de laver la vaisselle afin de laisser la cuisine tel qu’il avait trouvé. La jeune demoiselle, elle, prétexta devoir retourner à ses révisions. Izaya n’en fit pas tout une histoire et lui souhaita à elle aussi une bonne soirée.
Izaya ▬ « Bon courage pour tes révisions. Et une bonne soirée à toi aussi. »
Elle s’approcha de lui, posant un baiser sur sa joue. Mais quelle mouche lui passait donc par la tête à cette fille ? Il la regarda comme si elle venait d’une autre planète alors qu’elle s’inclinait pour le saluer. Elle passa ensuite la porte, le laissant en tête-à-tête avec l’évier. Cette fille était décidément bien bizarre. Il ne savait pas s’il serait amené à la revoir un jour. Il y avait des chances que oui. Et à cette idée, il ne savait pas s’il devait se réjouir ou non. Dans tous les cas, il décida de ne pas se prendre la tête avec cela maintenant.
Une fois la vaisselle finie, il récupéra son morceau de gâteau et quitta les lieux sans oublier d’éteindre la lumière. Il était maintenant temps pour lui de rentrer. Son père et sa sœur l’attendaient au temple pour le repas.
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