Mitsutsuki Alyssa#106924#106924#106924
Vampire Level B - Clan B. Ryan
Date d'inscription : 06/03/2021
Nombre de messages : 78
Yens : 173
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Lun 30 Mai 2022 - 21:30
2018
Ce fus l'années de ma réel naissance en ce monde. En effet après 18 années de vis recluse entre quatre murs, j'allais enfin découvrir le monde qui m'entourait malgré moi. Etant sous la garde des chevaliers des ombres depuis maintenant trois ans, le chef des chevaliers prit une décision drastique afin de me réintégrer dans le monde. Chose que je ne voulais pas et fus forcé dans un premier temps de faire, il prit contact avec une vampire de haut rang afin de m'inculquer et m'éduquer de la meilleurs manière qui soit ainsi que m'enseigner mon héritage naturel d'être ce que je suis et détestais être à savoir un vampire. Les débuts n'étaient pas facile en grande partie à cause de moi. Toujours à cause de moi en réalité. Je fus forcé de m'instruire afin de m'intégrer à la vie active, me sociabiliser et me confronter à ce monde ouvert pour lequel je ne connaissais rien. C'est à ce moment que beaucoup d'évènement se sont produit. Comme si mon existence y était pour quelque chose, mais ce n'était que pur hasard. Je fis la rencontre de mes premiers amis et j'ose avouer que ce n'étais pas facile puisque si cacher ma nature vampirique était assez facile, je ne pouvais pas cacher mon manque d'éducation et mes caprices enfantin. Les évènements se sont enchaînés très vite. Alors que je pensais que tout tournerait bien normalement, un évènement plus connu sous le nom d'incident universitaire fit surface. Un évènement traumatisant qui m'obligea à prendre conscience de la réalité. Je fus confronté à mes plus grande peur à ce moment, comme le fait que ma nature soit dévoilé ou même voir en direct ce que je devenais et étais capable de faire si je devenais victime de ma raison à savoir les levels End. A cause d'eux l'université est devenue un véritable abattoir. Quand on sait que des forces de l'ombre avaient le pouvoir de manipuler les évènements à leur guise, il était certains que la vision que je me faisait n'était qu'un doux rêve et que je m'embarquait dans une histoire impensable. Nous nous en sommes tous sortie dans notre groupe et s'était in extrémis. Je pus observer la réaction des humains à mon égard et je pris conscience de certaines chose à ce moment. Cet évènement avait été traumatisant. Si les humains avaient tout oublié grâce à une magie, mes souvenirs me hantais les êtres surnaturelle avec qui j'avais tissé des liens. Cet années fus alors assez compliqué à gérer pour moi. Cependant, je ne savais pas que l'avenir me réservait des surprises.
Un grand changement de quatre années...
Après les événements de l’université ayant conduit à un nouveau souvenir traumatisant, j’eu la chance d’avoir toujours le soutiens de ma sensei pour progresser dans sa vie comme pour surmonter les problèmes. Un point important, les événements en questions furent effacés de la mémoire de certaines personnes, en particulier les humains. Pour ma part cela m’arrangeais pour garder secret ma nature dévoilé par Asuna. Le bémol, des souvenirs en lien avec le paranormal avaient été perdu et de fait, les relations étaient bizarre.
Concernant mon premier ami Nathan, il oublia tout me concernant sur mon espèce et le plus grave était sur son petit ami. Je lui ai laissé du temps pour apprendre a vivre et accepter à nouveau le surnaturel avec Daisuke. Au terme de deux ans, j’avais profité d’être seulement nous deux pour lui avouer la vérité. Cela me faisait mal de lui mentir alors que je savais que malgré les événements 2 ans plus tôt, il m’avait déjà accepté comme je suis.
Pour Izaya, c’était plus compliqué, il avait été traumatisé par les événements. Il comprenait les choses, mais avait du mal à vivre avec. Je me suis retenue de tout lui dire jusqu’à ce qu’il soit prêt. Je suis alors encore dans l’obligation de lui mentir provisoirement. J’espère qu’il m’acceptera malgré ma nature. Je vais devoir être persuasive pour lui faire comprendre le surnaturelle. Il est malgré lui lié à tout ca.
Pour Aaren ses souvenirs me concernant sont intacts, il semblait cependant avoir raté un épisode suite aux événements. De ce que j’ai cru comprendre, le petit ami de Nathan qui est également son disciple, lui aurait rafraichit la mémoire. Autre information, j’ai appris que mon premier ami n’est autre que son fils. Bizarrement, s’il est content que je m’adapte enfin à la vie, j’ai bien l’impression qu’il pourrait m’en vouloir s’il arrivait quelque chose à son fils.
Après avoir trouvé le courage de me confronter au passé, j’ai décidé de retourner à la case départ, j’avais besoin de savoir et de comprendre des choses. Je suis retourné à l’orphelinat pour accepter mes erreurs. L’accueil fut mitigé parmi les anciens personnels encore présent et au courant de l’incident quelques années en arrière. Finalement j’ai appris que mon bienfaiteur celui a qui je devais la vie, Harold était tombé gravement malade dans son âge avancé et qu’il était admit à l’hôpital afin de lui faire gagner du temps. Il était tout pour moi, au fond bien qu’il n’y avait rien d’officiel, c’était mon grand-père. C’était lui qui s’occupait de moi en particulier durant mon enfance et connaissait le secret. Je me suis rendu à l’hôpital où j’ai pu lui rendre visite une ultime fois. De la il m’a dit tout ce qu’il avait sur le coeur comme s’il savait que c’était ses derniers instant. Il me rappela l’origine de mon prénom et que c’était lui qui me l’avait attribué. Il espérait que je trouve ma place dans ce monde et que je sois heureuse plus que tout. Il semblait fier de moi en remarquant des progrès dans ma facon d’être et je lui expliquais tout dans les moindres détails. S’il ne la connaissait pas, il fit l’éloge de Sarah qui était ma sensei en disant qu’elle avait réussi là ou les autres avaient échoué dans son dernier effort, il m’avoua à quel point il m’aimait comme sa petite fille, que je comprenne, saisisse et accepte ce que j’étais car ce n’était pas ce qui me définissait qui définissait qui j’étais et que de toute facon on ne pouvait pas plaire à tout le monde. Ses paroles firent un déclic en moi me permettant d’avancer pour l’avenir. Il m’offrit un collier lui appartenant représentant sa religion par un pendentif. Main dans la main, j’assistais malgré moi à l’extinction de sa flamme. Les larmes coulèrent, mais je me réjouissais qu’il soit en paix. J’eu malgré tout un peu de mal à le laisser partir. Je passais beaucoup de temps devant sa tombe chaque jour essayant d’avoir un autre signe par éclaire de lucidité dans ses dernières paroles.
Avec le temps je me suis rapprochée de la meute Hirano et surtout d’Asuna. Si les débuts avec elle était difficiles on a fini par se comprendre au point qu’elle devienne ma confidente. J’avais retiré la barrière de proximité que j’avais fixé et disons qu’elle était encore plus curieuse et encore plus collante, mais cela ne me dérangeait pas car je ressentais sa bienveillance et je me sentais étrangement en sécurité. Elle m’aida dans mon cursus universitaire qu’était la médecine. A ce propos à force de trop donner dans deux cursus simultané j’ai fini par craquer de fatigue et bien que j’aime le droit, je l’ai stoppé car je me sentais plus à l’aise avec les cours médicaux. Autre point, Asuna étant la chef de sa meute, elle a décidé de m’y intégrer. En un sens c’est un peu une grande famille qui vie, qui protège et obéit à l’alpha. Apparemment mon cas est particulier puisque n’étant pas lycane ce principe m’échappe un peu, mais j’en saisie le concept. Disons que j’étais la vampirette des loups. Encore une bonne idée pour ne pas faire comme tout le monde et faire grincer des dents certaines personnes. Asuna est devenue comme une seconde mère pour moi. C’était ma maman louve. De ce que je comprenais par chemin indirect, j’étais observé dans mon processus de réintégration. Maman louve parlait souvent avec un vampire avec qui il y aurait une alliance depuis bien longtemps et que se même vampire avait une entente avec ma sensei. De se fait tout ce qui se savait chez l’un était su chez l’autre. Limite si parfois, elles n’échangeaient pas en direct. Point positif de faire partie de la meute, je pouvais user du nom Hirano en cas de contacte avec les lycans. Je gardais volontairement certains de mes vêtements avec l’odeur d’Asuna afin d’être cru. La meute comprenait dans le lot Daisuke forcément avec qui les jeux de chamaillerie se faisaient monnaie courante. Je ne savais pas trop dire s’il m’appréciait ou non mais disons que mon comportement avait tendance à l’irritée. Cela ne m’empêchait pas d’aller le voir pour des conseils parfois. Il y avait également le petit de la meute Kazuo, lorsque je l’ai vu pour la première fois j’ai craqué. Je le vois comme mon petit frère et à vrai dire j’avais tendance à le couver et le chouchouter fortement, en grandissant il semble que ma proximité le gêne. Surement parce qu’il était dans sa période d’adolescence. Même maman louve se faisait repousser parfois.
Après cela, les progrès dans mon apprentissage de ma condition de vampire étaient forts en progrès. Cela semblait plaire à ma sensei que je décide enfin d’avancer ne demeurant qu’un seul souci, celui du clan. En effet, dans mes 4 années d’apprentissage, beaucoup de chose ce sont passés. Si pour peu de chose il y avait du bien, la majorité avait mal tourné dans le gouvernement de mon espèce. Deux clans se faisait la guerre mettant les humains dans le panier à victime, d’autres clans fermaient les yeux ou étaient bien trop occupé avec leurs graves soucis en interne. Néanmoins, il y avait du bon dans tout ca. Ma sensei, la duchesse Sarah F. Lawford avait accédé au rang de chef de clan et aurait pris le nom de famille Ryan. A partir de ce moment, mes cours de bienséance se réduisaient pour lui permettre de diriger son clan. Bien que je fus félicité de mes progrès fulgurant, la savoir à présent débordé par ses obligations et simplement de ne plus la voir souvent créait un manque insupportable. Je m’étais malgré moi attaché à elle. Je ne pouvais pas laisser l’histoire s’arrêter ainsi. Il me fallut du temps pour réfléchir. Finalement j’étais sur le point de faire quelque chose d’impensable. Je me suis rendu chez elle où du moins sur le territoire de son clan afin d’obtenir une audience. Il était impensable de se dire que juste pour le simple fait de vouloir la revoir, j’allais droit dans une gueule de loup, moi une « sans clan ». Cette position plutôt insipide me rendait vulnérable dans le monde vampirique. Si mon rang pouvait plus ou moins me permettre d’avoir le dessus, le nombre, l’expérience et la maîtrise des pouvoirs de mes semblables appartenant au clan pouvaient avoir le dessus et m’éliminer. Je devais trouver une parade afin d’entrer et d’avoir une occasion de la revoir. Je prétextais alors vouloir prêter allégeance même si dans ma tête ce n’était pas envers le clan pour lequel j’en avais rien à faire, mais bien être au service exclusif et personnel de ma sensei Sarah Ryan afin que de n’obéir qu’a elle et personne d’autre. Audacieux comme coup de pocker, une insulte pour ceux qui embrasse à bras ouvert de servir « le clan ». Je devais paraître bien égoïste aux yeux de tous quand mes paroles seraient prononcées.
Arrivant devant elle enfin, je me retenais de lui sauter dessus tellement je me présentais comme elle me l’avait appris. J’étais alors la devant elle un genou à terre pour espérer qu’elle accepte ma demande. Je lui devais tant. Sans elle, j’haïrais encore entièrement cette espèce à laquelle j’appartenais malgré moi. J’espérais que dans ma demande j’avais été claire et qu’elle ne croit pas que je vienne comme une monnaie d’échange mais bien de ma propre volonté. C’était elle que je voulais servir. Pas une autre personne, pas un clan, mais elle. Il était tout à fait juste que je récompense son dur labeur de m’avoir supportée tout ce temps moi une jeune vampire perdue. Je ne savais pas pourquoi, mais je redoutais, une réponse négative de sa part, une peur de perde la seule vampire qui m’ai comprise, m’ait écouté, m’ai redressé sur la bonne voie. Ma demande semblait avoir fait son effet, je ne l’avais jamais vu exprimer une émotion par son visage d’habitude si impassible.
“Ecoutez…”
“C’est très honorable de votre part. Mais je ne vous en demande pas autant. Ne me prêtez pas allégeance simplement pour un service rendu à Aaren Hermansson. Si cela a été délicat au début, ce fut vraiment un plaisir pour moi de passer du temps avec vous, une fois par semaine, d’apprendre à vous connaître. Vous êtes quelqu’un de vraiment formidable et altruiste, au fond de vous. Pendant un long moment, ce dont vous aviez besoin, c’est simplement une personne avec laquelle discuter, confier vos doutes et vos craintes, apprendre, comme un parent, en quelque sorte et…”
Lorsque ma sensei, non la duchesse, non la nouvelle cheffe du clan me répondit, je sentais une déchirure se provoquer. Ainsi elle me voyait arriver comme une espèce de monnaie d’échange ou que ma demande était non caractérisé.
“Je ne sais pas si vous serez d’accord, ou si je suis la personne la mieux placée pour assumer ce rôle, mais j’aimerais… Si vous acceptez… vous adopter, être cette parente que vous n’avez jamais eu.”
Alors qu’elle terminait sa tirade sur ses derniers mots que j’avais entre entendu sans prêté une réel attention du fais que je n’avais pas encore analysé sa demande, je fis une dernière erreur de comportement, non pas parce qu’elle me repoussait ou non, non loin de là mais je devais, j’étais obligé de montrer ma conviction.
« JE ME FICHE D’HERMANSSON-SAMA JE VIENS DE MA PROPRE VOLONTE !!! C’EST MOI QUI SUIS RE… heum ? »
J’avais relevé ma tête pour la fixé dans les yeux j’avais bien compris ce que j’avais compris ? Je me sentais honteuse que je fis un signe pour baisait la tête à en demander pardon. Ce que je ne comprenais pas c’est ce qui se passait ensuite. Mon corps ne m’écoutait plus, mes yeux s’humidifiaient et finalement des larmes incontrôlé coulais sur mon visage jusqu’à tomber au sol. Mon cœur battait comme jamais il n’avait réagit. Il me semblait essayer de parler. Je restais cependant sans voix comme la fois où elle m’avait coupé la parole pour que j’arrête d’hurler il y a maintenant une éternité dans ma mémoire forte en souvenir depuis notre rencontre. Pourtant elle n’y était pour rien.
Je n’arrivais plus à parler, je n’arrivais plus à bouger, mais mon interlocutrice pouvait tout observer. Mes expressions et surtout une émotion unique que personne n’avait encore jamais observé. Pas de cette intensité.
J’étais rempli d’une douce chaleur en moi, que je découvrais pour la toute première fois. Mon visage bien qu’humidifié de la petite pleurnicharde que j’ai toujours été, resplendissait de mes larmes et d’un sourire sincère et étiré tellement la sensation de bonheur pouvait se lire.
Je désirais me rapprochais d’elle, je voulais la saisir, mais mon corps était paralysé de se surplus d’émotion positive. Je voulais lui hurler oui, oui de tout mon cœur.
A ce moment, Sarah me prit dans ses bras, s’était différent d’habitude quand je craquais, s’était proche, s’était chaud. Mes bras s’enroulaient instinctivement autour d’elle pour être plus proche. Finalement je réussissais enfin à prononcer une phrase ou plutôt un mot répété comme si je devais rattraper le retard pour toute les fois ou je ne l’avais pas dit.
« Ma…maman…maman ! Maman !... »
Je ne me souvenais plus exactement combien de fois je l’avais appelé maman en revanche je sais que ce moment magique m’avait fortement épuisé. Il n’en fallu pas longtemps pour que je sois désigné comme sa fille devant le clan. Si en soit j’étais gêné et rougissais espérant avoir un moment pour me cacher, je l’aurai fait. En prime, le fait d’être sa fille faisait de moi membre du clan, je compris après coup que dans le bonheur je m’étais fait avoir. Cependant m’acclimaté en tant que fille d’une mère de haute noblesse était un peu difficile. Elle était stricte, mais compréhensive et rapidement je rattrapais ce retard d’éducation à ses côtés. Elle prit le temps de m’entraîner personnellement à la maîtrise et au contrôle de mon pouvoir tout en cherchant à réduire ce problème de soif de sang constant à chaque utilisation bien que plusieurs fois je passais End brièvement. Anomalie ou non en réalité le problème de mon pouvoir était qu’il était trop puissant pour un level B. Mère usa de son pouvoir pour copier le mien et elle n’avait aucun souci pour user à pleine puissance sans contre coup. Il me suffisait de compenser avec encore plus d’entraînement jusqu’à ce que je fusse capable de renforcer mon corps et mon esprit. Il semblerait même que ma maîtrise ne se limite pas à tout détruire, mais que mon pouvoir puisse prendre différente forme. Ainsi encore aujourd’hui je m’entraine. Je me sentais aimée et je la voyais tout les jours à mon réveille. Le plus important dans mon adoption fût le moment ou elle me convoqua et fit sortir tout le monde. Tout ça pour disons être elle-même en tant que mère avec sa fille. C’était les documents d’adoption. Tout était officiel. De mon jeune âge et étant aux yeux des humains une humaine, pas besoin de falsifier pour se rajeunir et bien d’autre stratagème. Ma réaction fut immédiate je pris ma mère dans mes bras encore plus heureuse que jamais. Je crois bien que maman fit l’un de ses rares sourires. J’avais enfin un vrai nom de famille. Je ne m’appelais plus Alyssa Mitsutsuki, mais bien Alyssa Ryan la fille de Sarah Ryan et j’en étais fière.
Ce fus l'années de ma réel naissance en ce monde. En effet après 18 années de vis recluse entre quatre murs, j'allais enfin découvrir le monde qui m'entourait malgré moi. Etant sous la garde des chevaliers des ombres depuis maintenant trois ans, le chef des chevaliers prit une décision drastique afin de me réintégrer dans le monde. Chose que je ne voulais pas et fus forcé dans un premier temps de faire, il prit contact avec une vampire de haut rang afin de m'inculquer et m'éduquer de la meilleurs manière qui soit ainsi que m'enseigner mon héritage naturel d'être ce que je suis et détestais être à savoir un vampire. Les débuts n'étaient pas facile en grande partie à cause de moi. Toujours à cause de moi en réalité. Je fus forcé de m'instruire afin de m'intégrer à la vie active, me sociabiliser et me confronter à ce monde ouvert pour lequel je ne connaissais rien. C'est à ce moment que beaucoup d'évènement se sont produit. Comme si mon existence y était pour quelque chose, mais ce n'était que pur hasard. Je fis la rencontre de mes premiers amis et j'ose avouer que ce n'étais pas facile puisque si cacher ma nature vampirique était assez facile, je ne pouvais pas cacher mon manque d'éducation et mes caprices enfantin. Les évènements se sont enchaînés très vite. Alors que je pensais que tout tournerait bien normalement, un évènement plus connu sous le nom d'incident universitaire fit surface. Un évènement traumatisant qui m'obligea à prendre conscience de la réalité. Je fus confronté à mes plus grande peur à ce moment, comme le fait que ma nature soit dévoilé ou même voir en direct ce que je devenais et étais capable de faire si je devenais victime de ma raison à savoir les levels End. A cause d'eux l'université est devenue un véritable abattoir. Quand on sait que des forces de l'ombre avaient le pouvoir de manipuler les évènements à leur guise, il était certains que la vision que je me faisait n'était qu'un doux rêve et que je m'embarquait dans une histoire impensable. Nous nous en sommes tous sortie dans notre groupe et s'était in extrémis. Je pus observer la réaction des humains à mon égard et je pris conscience de certaines chose à ce moment. Cet évènement avait été traumatisant. Si les humains avaient tout oublié grâce à une magie, mes souvenirs me hantais les êtres surnaturelle avec qui j'avais tissé des liens. Cet années fus alors assez compliqué à gérer pour moi. Cependant, je ne savais pas que l'avenir me réservait des surprises.
Un grand changement de quatre années...
Après les événements de l’université ayant conduit à un nouveau souvenir traumatisant, j’eu la chance d’avoir toujours le soutiens de ma sensei pour progresser dans sa vie comme pour surmonter les problèmes. Un point important, les événements en questions furent effacés de la mémoire de certaines personnes, en particulier les humains. Pour ma part cela m’arrangeais pour garder secret ma nature dévoilé par Asuna. Le bémol, des souvenirs en lien avec le paranormal avaient été perdu et de fait, les relations étaient bizarre.
Concernant mon premier ami Nathan, il oublia tout me concernant sur mon espèce et le plus grave était sur son petit ami. Je lui ai laissé du temps pour apprendre a vivre et accepter à nouveau le surnaturel avec Daisuke. Au terme de deux ans, j’avais profité d’être seulement nous deux pour lui avouer la vérité. Cela me faisait mal de lui mentir alors que je savais que malgré les événements 2 ans plus tôt, il m’avait déjà accepté comme je suis.
Pour Izaya, c’était plus compliqué, il avait été traumatisé par les événements. Il comprenait les choses, mais avait du mal à vivre avec. Je me suis retenue de tout lui dire jusqu’à ce qu’il soit prêt. Je suis alors encore dans l’obligation de lui mentir provisoirement. J’espère qu’il m’acceptera malgré ma nature. Je vais devoir être persuasive pour lui faire comprendre le surnaturelle. Il est malgré lui lié à tout ca.
Pour Aaren ses souvenirs me concernant sont intacts, il semblait cependant avoir raté un épisode suite aux événements. De ce que j’ai cru comprendre, le petit ami de Nathan qui est également son disciple, lui aurait rafraichit la mémoire. Autre information, j’ai appris que mon premier ami n’est autre que son fils. Bizarrement, s’il est content que je m’adapte enfin à la vie, j’ai bien l’impression qu’il pourrait m’en vouloir s’il arrivait quelque chose à son fils.
Après avoir trouvé le courage de me confronter au passé, j’ai décidé de retourner à la case départ, j’avais besoin de savoir et de comprendre des choses. Je suis retourné à l’orphelinat pour accepter mes erreurs. L’accueil fut mitigé parmi les anciens personnels encore présent et au courant de l’incident quelques années en arrière. Finalement j’ai appris que mon bienfaiteur celui a qui je devais la vie, Harold était tombé gravement malade dans son âge avancé et qu’il était admit à l’hôpital afin de lui faire gagner du temps. Il était tout pour moi, au fond bien qu’il n’y avait rien d’officiel, c’était mon grand-père. C’était lui qui s’occupait de moi en particulier durant mon enfance et connaissait le secret. Je me suis rendu à l’hôpital où j’ai pu lui rendre visite une ultime fois. De la il m’a dit tout ce qu’il avait sur le coeur comme s’il savait que c’était ses derniers instant. Il me rappela l’origine de mon prénom et que c’était lui qui me l’avait attribué. Il espérait que je trouve ma place dans ce monde et que je sois heureuse plus que tout. Il semblait fier de moi en remarquant des progrès dans ma facon d’être et je lui expliquais tout dans les moindres détails. S’il ne la connaissait pas, il fit l’éloge de Sarah qui était ma sensei en disant qu’elle avait réussi là ou les autres avaient échoué dans son dernier effort, il m’avoua à quel point il m’aimait comme sa petite fille, que je comprenne, saisisse et accepte ce que j’étais car ce n’était pas ce qui me définissait qui définissait qui j’étais et que de toute facon on ne pouvait pas plaire à tout le monde. Ses paroles firent un déclic en moi me permettant d’avancer pour l’avenir. Il m’offrit un collier lui appartenant représentant sa religion par un pendentif. Main dans la main, j’assistais malgré moi à l’extinction de sa flamme. Les larmes coulèrent, mais je me réjouissais qu’il soit en paix. J’eu malgré tout un peu de mal à le laisser partir. Je passais beaucoup de temps devant sa tombe chaque jour essayant d’avoir un autre signe par éclaire de lucidité dans ses dernières paroles.
Avec le temps je me suis rapprochée de la meute Hirano et surtout d’Asuna. Si les débuts avec elle était difficiles on a fini par se comprendre au point qu’elle devienne ma confidente. J’avais retiré la barrière de proximité que j’avais fixé et disons qu’elle était encore plus curieuse et encore plus collante, mais cela ne me dérangeait pas car je ressentais sa bienveillance et je me sentais étrangement en sécurité. Elle m’aida dans mon cursus universitaire qu’était la médecine. A ce propos à force de trop donner dans deux cursus simultané j’ai fini par craquer de fatigue et bien que j’aime le droit, je l’ai stoppé car je me sentais plus à l’aise avec les cours médicaux. Autre point, Asuna étant la chef de sa meute, elle a décidé de m’y intégrer. En un sens c’est un peu une grande famille qui vie, qui protège et obéit à l’alpha. Apparemment mon cas est particulier puisque n’étant pas lycane ce principe m’échappe un peu, mais j’en saisie le concept. Disons que j’étais la vampirette des loups. Encore une bonne idée pour ne pas faire comme tout le monde et faire grincer des dents certaines personnes. Asuna est devenue comme une seconde mère pour moi. C’était ma maman louve. De ce que je comprenais par chemin indirect, j’étais observé dans mon processus de réintégration. Maman louve parlait souvent avec un vampire avec qui il y aurait une alliance depuis bien longtemps et que se même vampire avait une entente avec ma sensei. De se fait tout ce qui se savait chez l’un était su chez l’autre. Limite si parfois, elles n’échangeaient pas en direct. Point positif de faire partie de la meute, je pouvais user du nom Hirano en cas de contacte avec les lycans. Je gardais volontairement certains de mes vêtements avec l’odeur d’Asuna afin d’être cru. La meute comprenait dans le lot Daisuke forcément avec qui les jeux de chamaillerie se faisaient monnaie courante. Je ne savais pas trop dire s’il m’appréciait ou non mais disons que mon comportement avait tendance à l’irritée. Cela ne m’empêchait pas d’aller le voir pour des conseils parfois. Il y avait également le petit de la meute Kazuo, lorsque je l’ai vu pour la première fois j’ai craqué. Je le vois comme mon petit frère et à vrai dire j’avais tendance à le couver et le chouchouter fortement, en grandissant il semble que ma proximité le gêne. Surement parce qu’il était dans sa période d’adolescence. Même maman louve se faisait repousser parfois.
Après cela, les progrès dans mon apprentissage de ma condition de vampire étaient forts en progrès. Cela semblait plaire à ma sensei que je décide enfin d’avancer ne demeurant qu’un seul souci, celui du clan. En effet, dans mes 4 années d’apprentissage, beaucoup de chose ce sont passés. Si pour peu de chose il y avait du bien, la majorité avait mal tourné dans le gouvernement de mon espèce. Deux clans se faisait la guerre mettant les humains dans le panier à victime, d’autres clans fermaient les yeux ou étaient bien trop occupé avec leurs graves soucis en interne. Néanmoins, il y avait du bon dans tout ca. Ma sensei, la duchesse Sarah F. Lawford avait accédé au rang de chef de clan et aurait pris le nom de famille Ryan. A partir de ce moment, mes cours de bienséance se réduisaient pour lui permettre de diriger son clan. Bien que je fus félicité de mes progrès fulgurant, la savoir à présent débordé par ses obligations et simplement de ne plus la voir souvent créait un manque insupportable. Je m’étais malgré moi attaché à elle. Je ne pouvais pas laisser l’histoire s’arrêter ainsi. Il me fallut du temps pour réfléchir. Finalement j’étais sur le point de faire quelque chose d’impensable. Je me suis rendu chez elle où du moins sur le territoire de son clan afin d’obtenir une audience. Il était impensable de se dire que juste pour le simple fait de vouloir la revoir, j’allais droit dans une gueule de loup, moi une « sans clan ». Cette position plutôt insipide me rendait vulnérable dans le monde vampirique. Si mon rang pouvait plus ou moins me permettre d’avoir le dessus, le nombre, l’expérience et la maîtrise des pouvoirs de mes semblables appartenant au clan pouvaient avoir le dessus et m’éliminer. Je devais trouver une parade afin d’entrer et d’avoir une occasion de la revoir. Je prétextais alors vouloir prêter allégeance même si dans ma tête ce n’était pas envers le clan pour lequel j’en avais rien à faire, mais bien être au service exclusif et personnel de ma sensei Sarah Ryan afin que de n’obéir qu’a elle et personne d’autre. Audacieux comme coup de pocker, une insulte pour ceux qui embrasse à bras ouvert de servir « le clan ». Je devais paraître bien égoïste aux yeux de tous quand mes paroles seraient prononcées.
Arrivant devant elle enfin, je me retenais de lui sauter dessus tellement je me présentais comme elle me l’avait appris. J’étais alors la devant elle un genou à terre pour espérer qu’elle accepte ma demande. Je lui devais tant. Sans elle, j’haïrais encore entièrement cette espèce à laquelle j’appartenais malgré moi. J’espérais que dans ma demande j’avais été claire et qu’elle ne croit pas que je vienne comme une monnaie d’échange mais bien de ma propre volonté. C’était elle que je voulais servir. Pas une autre personne, pas un clan, mais elle. Il était tout à fait juste que je récompense son dur labeur de m’avoir supportée tout ce temps moi une jeune vampire perdue. Je ne savais pas pourquoi, mais je redoutais, une réponse négative de sa part, une peur de perde la seule vampire qui m’ai comprise, m’ait écouté, m’ai redressé sur la bonne voie. Ma demande semblait avoir fait son effet, je ne l’avais jamais vu exprimer une émotion par son visage d’habitude si impassible.
“Ecoutez…”
“C’est très honorable de votre part. Mais je ne vous en demande pas autant. Ne me prêtez pas allégeance simplement pour un service rendu à Aaren Hermansson. Si cela a été délicat au début, ce fut vraiment un plaisir pour moi de passer du temps avec vous, une fois par semaine, d’apprendre à vous connaître. Vous êtes quelqu’un de vraiment formidable et altruiste, au fond de vous. Pendant un long moment, ce dont vous aviez besoin, c’est simplement une personne avec laquelle discuter, confier vos doutes et vos craintes, apprendre, comme un parent, en quelque sorte et…”
Lorsque ma sensei, non la duchesse, non la nouvelle cheffe du clan me répondit, je sentais une déchirure se provoquer. Ainsi elle me voyait arriver comme une espèce de monnaie d’échange ou que ma demande était non caractérisé.
“Je ne sais pas si vous serez d’accord, ou si je suis la personne la mieux placée pour assumer ce rôle, mais j’aimerais… Si vous acceptez… vous adopter, être cette parente que vous n’avez jamais eu.”
Alors qu’elle terminait sa tirade sur ses derniers mots que j’avais entre entendu sans prêté une réel attention du fais que je n’avais pas encore analysé sa demande, je fis une dernière erreur de comportement, non pas parce qu’elle me repoussait ou non, non loin de là mais je devais, j’étais obligé de montrer ma conviction.
« JE ME FICHE D’HERMANSSON-SAMA JE VIENS DE MA PROPRE VOLONTE !!! C’EST MOI QUI SUIS RE… heum ? »
J’avais relevé ma tête pour la fixé dans les yeux j’avais bien compris ce que j’avais compris ? Je me sentais honteuse que je fis un signe pour baisait la tête à en demander pardon. Ce que je ne comprenais pas c’est ce qui se passait ensuite. Mon corps ne m’écoutait plus, mes yeux s’humidifiaient et finalement des larmes incontrôlé coulais sur mon visage jusqu’à tomber au sol. Mon cœur battait comme jamais il n’avait réagit. Il me semblait essayer de parler. Je restais cependant sans voix comme la fois où elle m’avait coupé la parole pour que j’arrête d’hurler il y a maintenant une éternité dans ma mémoire forte en souvenir depuis notre rencontre. Pourtant elle n’y était pour rien.
Je n’arrivais plus à parler, je n’arrivais plus à bouger, mais mon interlocutrice pouvait tout observer. Mes expressions et surtout une émotion unique que personne n’avait encore jamais observé. Pas de cette intensité.
J’étais rempli d’une douce chaleur en moi, que je découvrais pour la toute première fois. Mon visage bien qu’humidifié de la petite pleurnicharde que j’ai toujours été, resplendissait de mes larmes et d’un sourire sincère et étiré tellement la sensation de bonheur pouvait se lire.
Je désirais me rapprochais d’elle, je voulais la saisir, mais mon corps était paralysé de se surplus d’émotion positive. Je voulais lui hurler oui, oui de tout mon cœur.
A ce moment, Sarah me prit dans ses bras, s’était différent d’habitude quand je craquais, s’était proche, s’était chaud. Mes bras s’enroulaient instinctivement autour d’elle pour être plus proche. Finalement je réussissais enfin à prononcer une phrase ou plutôt un mot répété comme si je devais rattraper le retard pour toute les fois ou je ne l’avais pas dit.
« Ma…maman…maman ! Maman !... »
Je ne me souvenais plus exactement combien de fois je l’avais appelé maman en revanche je sais que ce moment magique m’avait fortement épuisé. Il n’en fallu pas longtemps pour que je sois désigné comme sa fille devant le clan. Si en soit j’étais gêné et rougissais espérant avoir un moment pour me cacher, je l’aurai fait. En prime, le fait d’être sa fille faisait de moi membre du clan, je compris après coup que dans le bonheur je m’étais fait avoir. Cependant m’acclimaté en tant que fille d’une mère de haute noblesse était un peu difficile. Elle était stricte, mais compréhensive et rapidement je rattrapais ce retard d’éducation à ses côtés. Elle prit le temps de m’entraîner personnellement à la maîtrise et au contrôle de mon pouvoir tout en cherchant à réduire ce problème de soif de sang constant à chaque utilisation bien que plusieurs fois je passais End brièvement. Anomalie ou non en réalité le problème de mon pouvoir était qu’il était trop puissant pour un level B. Mère usa de son pouvoir pour copier le mien et elle n’avait aucun souci pour user à pleine puissance sans contre coup. Il me suffisait de compenser avec encore plus d’entraînement jusqu’à ce que je fusse capable de renforcer mon corps et mon esprit. Il semblerait même que ma maîtrise ne se limite pas à tout détruire, mais que mon pouvoir puisse prendre différente forme. Ainsi encore aujourd’hui je m’entraine. Je me sentais aimée et je la voyais tout les jours à mon réveille. Le plus important dans mon adoption fût le moment ou elle me convoqua et fit sortir tout le monde. Tout ça pour disons être elle-même en tant que mère avec sa fille. C’était les documents d’adoption. Tout était officiel. De mon jeune âge et étant aux yeux des humains une humaine, pas besoin de falsifier pour se rajeunir et bien d’autre stratagème. Ma réaction fut immédiate je pris ma mère dans mes bras encore plus heureuse que jamais. Je crois bien que maman fit l’un de ses rares sourires. J’avais enfin un vrai nom de famille. Je ne m’appelais plus Alyssa Mitsutsuki, mais bien Alyssa Ryan la fille de Sarah Ryan et j’en étais fière.
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