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Mar 25 Fév 2020 - 12:13
Récolte alchimique sans soucis ?
Ft. Elämehiel
Il ne cherchait pas à freiner des liens d’amitié, au contraire. Il supposait une chose : étant trop rapide, elle avait dû s’ouvrir trop subitement à des liens qui, avec le temps, s’étaient avérés comme inexistants ou unidirectionnels. Dans un sens, il voulait empêcher qu’elle ressente une solitude ? Un jour, il remerciera les quelques livres de psychologie qu’il avait lu.
“Pas blessée. Non. Malheureuse ? Garder. Secret. Moi”
Enfin, il avait fait entendre raison. Aurait-elle compris qu’un inconnu n’était pas trop digne de confiance ? Surtout en pleine forêt ? Mais le mot “malheureux” semblait être dénué de sens. Les émotions et sentiments seraient aussi un concept étranger à sa personne ? Non, mais les plus primaires, comme la peur, elle les connaissait, comme ce qui s'était passé juste avant tout ça.
Elle pointa la fleur tenue entre les doigts du sorcier, l’églantine qu’il recherchait depuis ce matin.
“Si. Besoin. Autres. Toi. Revenir. Tard. Ici.”
Il allait répondre par la suite, mais elle fut plus rapide, comme si elle se rendait compte d’une petite erreur dans sa phrase.
“Non. Demain. Forêt. Dangereuse. Plus. Nuit. Toi. Danger.”
Que voulait-elle dire ? Existait-il réellement un danger au sein de la forêt ? À quelle intensité ? Et la nuit serait moins clémente que le jour ? C’était complètement censé. Les animaux sauvages profitaient plus des sorties nocturnes, là où les êtres humains préféreraient la journée pour une meilleure visibilité.
Puis, elle se rapprocha, à nouveau près de lui de seulement quelques centimètres. Il était bien plus grand qu’elle, lui forçant à lever la tête, pour que ses yeux se croisent à nouveau. Soutenant avec plus de facilité le regard de sa locutrice, elle lui parla d’une chose plutôt inattendue.
"Toi. Être. Souvent. Ici ?"
Pas si inattendue, plus quelque chose de triviale, des questions qu’on pose souvent quand on s’intéresse à la personne, en voulant découvrir ses goûts, us et coutumes de sa vie, ses passions, ses projets. Sa question cryptée restait malgré tout compréhensible : elle questionnait si Devdan venait fréquemment dans la forêt. La réponse était déjà assurée dans sa tête.
“Non. Aujourd’hui. Jour. Spécial. Mission. Travail. Trouver. Cueillir. Végétaux. Liste.”
Certains mots allaient encore lui creuser la tête, sans qu’elle y comprenne un seul moment le sens de ce qu’il avait exprimé. Il ne pouvait pas plus condense, sans dire de mots trop compliqués, ou tout détailler, sans quoi elle perdrait la moitié des mots en court de route. Un véritable défi social, mais pas impressionnant et insurmontable pour lui.
Soudain, une idée lui germa dans son esprit. Elle semblait plus ou moins reconnaître la fleur, et son intérêt à sa journée, son objectif… Serait-elle capable de l’aider ? Pouvait-il lui confier la tâche de trouver un peu plus d'églantines pour les ingrédients alchimiques de l’après-midi ? Était-ce l’un des meilleurs choix, pour commencer à établir une relation de confiance, une proximité au sein d’un désistement professionnelle ? Non, si elle était vraiment sincère, elle accepterait sans rechigner, car elle voulait savoir. Elle voulait l’aider.
“Moi. Mission. Toi ?”
Il marquait une pause, pour garder toute son attention à ce qu’il s’apprêtait à dire.
“Prendre. Panier. Trouver. Fleur. Églantine. Mettre. Dans. Panier. Moi. Attendre. Panier. Rempli. Confiance ?”
“Pas blessée. Non. Malheureuse ? Garder. Secret. Moi”
Enfin, il avait fait entendre raison. Aurait-elle compris qu’un inconnu n’était pas trop digne de confiance ? Surtout en pleine forêt ? Mais le mot “malheureux” semblait être dénué de sens. Les émotions et sentiments seraient aussi un concept étranger à sa personne ? Non, mais les plus primaires, comme la peur, elle les connaissait, comme ce qui s'était passé juste avant tout ça.
Elle pointa la fleur tenue entre les doigts du sorcier, l’églantine qu’il recherchait depuis ce matin.
“Si. Besoin. Autres. Toi. Revenir. Tard. Ici.”
Il allait répondre par la suite, mais elle fut plus rapide, comme si elle se rendait compte d’une petite erreur dans sa phrase.
“Non. Demain. Forêt. Dangereuse. Plus. Nuit. Toi. Danger.”
Que voulait-elle dire ? Existait-il réellement un danger au sein de la forêt ? À quelle intensité ? Et la nuit serait moins clémente que le jour ? C’était complètement censé. Les animaux sauvages profitaient plus des sorties nocturnes, là où les êtres humains préféreraient la journée pour une meilleure visibilité.
Puis, elle se rapprocha, à nouveau près de lui de seulement quelques centimètres. Il était bien plus grand qu’elle, lui forçant à lever la tête, pour que ses yeux se croisent à nouveau. Soutenant avec plus de facilité le regard de sa locutrice, elle lui parla d’une chose plutôt inattendue.
"Toi. Être. Souvent. Ici ?"
Pas si inattendue, plus quelque chose de triviale, des questions qu’on pose souvent quand on s’intéresse à la personne, en voulant découvrir ses goûts, us et coutumes de sa vie, ses passions, ses projets. Sa question cryptée restait malgré tout compréhensible : elle questionnait si Devdan venait fréquemment dans la forêt. La réponse était déjà assurée dans sa tête.
“Non. Aujourd’hui. Jour. Spécial. Mission. Travail. Trouver. Cueillir. Végétaux. Liste.”
Certains mots allaient encore lui creuser la tête, sans qu’elle y comprenne un seul moment le sens de ce qu’il avait exprimé. Il ne pouvait pas plus condense, sans dire de mots trop compliqués, ou tout détailler, sans quoi elle perdrait la moitié des mots en court de route. Un véritable défi social, mais pas impressionnant et insurmontable pour lui.
Soudain, une idée lui germa dans son esprit. Elle semblait plus ou moins reconnaître la fleur, et son intérêt à sa journée, son objectif… Serait-elle capable de l’aider ? Pouvait-il lui confier la tâche de trouver un peu plus d'églantines pour les ingrédients alchimiques de l’après-midi ? Était-ce l’un des meilleurs choix, pour commencer à établir une relation de confiance, une proximité au sein d’un désistement professionnelle ? Non, si elle était vraiment sincère, elle accepterait sans rechigner, car elle voulait savoir. Elle voulait l’aider.
“Moi. Mission. Toi ?”
Il marquait une pause, pour garder toute son attention à ce qu’il s’apprêtait à dire.
“Prendre. Panier. Trouver. Fleur. Églantine. Mettre. Dans. Panier. Moi. Attendre. Panier. Rempli. Confiance ?”
:copyright: Belzébuth
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Mar 25 Fév 2020 - 13:40
Non.
Je ne saurais dire pourquoi la réponse m'a ramenée à la réalité et j'ai reculé en chancelant légèrement. C'est donc la seule et unique fois que je le verrais ici ? Mais... Je ne me vois pas descendre en ville au milieu des humains à la recherche d'un inconnu en particulier.
Oui c'est un inconnu.. La réalisation achève de me conforter dans l'idée qu'il fallait que je garde le secret de mes métamorphoses pour moi. Je soupirais pour replacer mes idées au bon endroit dans ma petite tête. Passer du temps seule de la nature nous rend accro à de simples contacts et des tentatives de discussions comme celles-là. Si je n'avais tout de même pas tout compris dans sa phrase, il n'en restait pas moins que j'avais saisi le principal.
Les humains ont quelque chose de fascinant. J'ai envie de l'aider, qui sait ce qu'il pourrait croiser dans la forêt... Avec les odeurs que j'ai senti en étant un aigle près de la ville, il faut dire qu'un simple humain dans la ville ou dans la forêt est autant en danger je suppose. Enfin la forêt je ne pense pas qu'il la connaisse bien.
Sinon il ne viendrait demander de l'aide à une inconnue comme il vient de le faire. Je réfléchis. Restant concentrée sur chaque mot qui sort de sa bouche, ne loupant aucune syllabe, avalant chacun d'eux avec tout l'attention qu'il m'était donné. Cette tâche semblait importante. Je pose ma main sur mon menton. Je claque des doigts en le pointant du doigt, puis le panier.
« Quand. Toi. Vouloir. Plantes ? Beaucoup ? »
Cela me demandait de me transformer pour les retrouver à l'odeur.. Je l'observe de mes grands yeux bleus profonds ourlés de reflets violine en ajoutant.
« Toi. Partir. Pendant ? »
S'il ne part pas. Je me verrais obligée de m'en aller plus loin pour pouvoir me transformer. EN un sens, cela ne serait pas plus problématique d'un côté. Je suis tout de même gênée à l'idée qu'il attende seul dans la nature. Qui sait, ce qu'il pourrait croiser.
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Mar 25 Fév 2020 - 17:53
Récolte alchimique sans soucis ?
Ft. Elämehiel
Ses mots devaient résonner dans sa tête. Elle semblait très pensive, fermant les yeux, tenant son menton. Chaque dire, chaque syllabe devait être comme une épreuve. Quand cela prit plus de sens une fois tout analysé, elle fit un bruit de claquement de doigts, puis pointa l’objet pouvant contenir les églantines.
“Quand. Toi. Vouloir. Plantes ? Beaucoup ?”
Il commençait de plus en plus à comprendre, même avec si peu d’informations. Sa capacité à décrypter et réassembler les dires de Miel, venait de plus en plus rapidement. Pouvait-il faire de même ? Ajouter quelques mots pour lier d’autres mots ?
Il n’eut pas de temps pour répondre, car celle-ci prit la parole en première.
“Toi. Partir. Pendant ?”
Elle était prête à l’aider. L’occasion devait être saisie. Si Devdan laissait cette chance s'évader, il allait passer un bon bout de temps à trouver cette fleur. Par chance, sa future amie (si on pouvait considérer cette éventualité), devait avoir une bonne connaissance de la flore printanière en milieu montagnard.
“Moi. Attendre ici. Méditer. Reposer. Fermer yeux. Toi revenir quand fini.”
Passer à l’étape supérieur en terme de dialogue, il pouvait par la suite se rendre compte des progrès linguistiques d'Elä. Il s’assit près du rocher, ferma les yeux, et se mit à respirer lentement, inspirant longuement, et expirant pour la même durée. Cela paraissait à un exercice de respiration comme pour être zen et détendre ses chakras, comme le ferait un bouddhiste. Mais il utilisait cette façon de faire pour permettre à son flux magique d’être plus stable, de ressentir chaque pulsation de sa magie en son être.
Il ouvrit les yeux, et regarda autour pour voir que la jeune fille était partie. Il sourit avant de se replonger dans sa phase méditatoire.
Il pensait à tout ce qui s’était passé : sa recherche fructueuse mais inachevée à cause d’une fleur, sa rencontre incroyable avec une “native”, la communication plus que bancale dans les deux parties, et enfin, une “quête commune”, même si cela ressemblait plus à un appel à l’aide pour quelqu’un qui s’y connaissait mieux que lui. Cela lui fit un peu grincer des dents, de devoir reposer sur une parfaite inconnue pour l’aider, le léger poids d’un échec le perturbait dans sa transe. Mais il chassa vite cette idée saugrenue, en justifiant cela par un moyen de voir si Miel pouvait revenir, avec toutes les instructions qu’il avait énoncé.
Puis, un contact extérieur le ramena, lui ouvrit les yeux lentement, pour y voir un panier rempli d’églantines devant lui : elle le tenait à bout de bras, toute sourire. Devdan se leva, s’étirant un peu dans tous les sens, et pris le panier, tout souriant lui aussi.
“Merci Elämehiel. Maintenant, je vais rentrer pour rapporter tout ça à mon travail.”
Le sorcier allait chercher mes deux autres paniers, et commençait à prendre les devants pour reprendre le chemin sinueux, dans le sens inverse. Il s’arrêta quelques secondes, il semblait avoir oublié quelque chose. Son manteau !
“Au fait, garde mon manteau… Et ça aussi.”
Il sortit de sa poche une petite carte, là où il travaillait en tant que neurochirurgien : dessus, l’adresse, son nom entier, ainsi qu’une petite carte explicative de l’endroit de l’hôpital, ainsi que de la section qu’il occupait, toutes ses informations étaient inscrites dessus. Même un numéro de téléphone.
Il le tendit à ce qu’il pouvait considérer, sa connaissance amicale.
“Dessus et dessous. Tout sur moi. Si problème. Venir me voir.”
toujours affichant sa joie, il se retourna, et partit vers le chemin du retour, faisant un signe d’au revoir, tout en marchant vers le trajet retour. Heureusement, il annonçait du beau temps aujourdh'ui..
“Quand. Toi. Vouloir. Plantes ? Beaucoup ?”
Il commençait de plus en plus à comprendre, même avec si peu d’informations. Sa capacité à décrypter et réassembler les dires de Miel, venait de plus en plus rapidement. Pouvait-il faire de même ? Ajouter quelques mots pour lier d’autres mots ?
Il n’eut pas de temps pour répondre, car celle-ci prit la parole en première.
“Toi. Partir. Pendant ?”
Elle était prête à l’aider. L’occasion devait être saisie. Si Devdan laissait cette chance s'évader, il allait passer un bon bout de temps à trouver cette fleur. Par chance, sa future amie (si on pouvait considérer cette éventualité), devait avoir une bonne connaissance de la flore printanière en milieu montagnard.
“Moi. Attendre ici. Méditer. Reposer. Fermer yeux. Toi revenir quand fini.”
Passer à l’étape supérieur en terme de dialogue, il pouvait par la suite se rendre compte des progrès linguistiques d'Elä. Il s’assit près du rocher, ferma les yeux, et se mit à respirer lentement, inspirant longuement, et expirant pour la même durée. Cela paraissait à un exercice de respiration comme pour être zen et détendre ses chakras, comme le ferait un bouddhiste. Mais il utilisait cette façon de faire pour permettre à son flux magique d’être plus stable, de ressentir chaque pulsation de sa magie en son être.
Il ouvrit les yeux, et regarda autour pour voir que la jeune fille était partie. Il sourit avant de se replonger dans sa phase méditatoire.
Il pensait à tout ce qui s’était passé : sa recherche fructueuse mais inachevée à cause d’une fleur, sa rencontre incroyable avec une “native”, la communication plus que bancale dans les deux parties, et enfin, une “quête commune”, même si cela ressemblait plus à un appel à l’aide pour quelqu’un qui s’y connaissait mieux que lui. Cela lui fit un peu grincer des dents, de devoir reposer sur une parfaite inconnue pour l’aider, le léger poids d’un échec le perturbait dans sa transe. Mais il chassa vite cette idée saugrenue, en justifiant cela par un moyen de voir si Miel pouvait revenir, avec toutes les instructions qu’il avait énoncé.
Puis, un contact extérieur le ramena, lui ouvrit les yeux lentement, pour y voir un panier rempli d’églantines devant lui : elle le tenait à bout de bras, toute sourire. Devdan se leva, s’étirant un peu dans tous les sens, et pris le panier, tout souriant lui aussi.
“Merci Elämehiel. Maintenant, je vais rentrer pour rapporter tout ça à mon travail.”
Le sorcier allait chercher mes deux autres paniers, et commençait à prendre les devants pour reprendre le chemin sinueux, dans le sens inverse. Il s’arrêta quelques secondes, il semblait avoir oublié quelque chose. Son manteau !
“Au fait, garde mon manteau… Et ça aussi.”
Il sortit de sa poche une petite carte, là où il travaillait en tant que neurochirurgien : dessus, l’adresse, son nom entier, ainsi qu’une petite carte explicative de l’endroit de l’hôpital, ainsi que de la section qu’il occupait, toutes ses informations étaient inscrites dessus. Même un numéro de téléphone.
Il le tendit à ce qu’il pouvait considérer, sa connaissance amicale.
“Dessus et dessous. Tout sur moi. Si problème. Venir me voir.”
toujours affichant sa joie, il se retourna, et partit vers le chemin du retour, faisant un signe d’au revoir, tout en marchant vers le trajet retour. Heureusement, il annonçait du beau temps aujourdh'ui..
:copyright: Belzébuth
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Mar 25 Fév 2020 - 18:35
Attendre ici. J'ai inspiré profondément et j'ai hoché la tête en le regardant faire. S’asseoir, clore ses paupières. Observer l'expression sereine de son visage. Je me suis éloignée par précaution et je me suis métamorphosée après avoir posé sa veste au sol, je ne voudrais pas la faire disparaître. J'ai suspendu celle-ci à une de mes cornes en me rendant compte que l'odeur qui l'imprégnait était très particulière. C'est un humain. Qui sent comme moi. Il sent comme moi mais en plus fort. C'est très perturbant.
Remettant mes idées en place j'ai bondis pour rejoindre les églantines en me guidant grâce à l'odeur de celle qu'il avait détaché de mes cheveux. Je suis redevenue humaine près d'elles, pour les cueillir délicatement. Remplissant le panier du mieux que je peux. Il fallait ensuite revenir à lui. J'ai soupiré. J'allais me guider à l'odeur pour ne pas prendre trois heures.
Une métamorphose plus tard et je traversais la forêt en sens inverse. Presque arrivée je me suis stoppée nette. Je ne pouvais tout de même pas me montrer à lui en étant en ibex, me transformer de nouveau, enfiler son manteau et ensuite l'atteindre. Avant cela j'ai respiré son odeur pour m'en imprégner. La graver dans ma mémoire.
Je lui ai tendu le panier comme demandé. Il l'a pris et m'a donné un bout de carton alors que j'allais me défaire de son manteau pour le lui rendre. Il ajoutait des mots petit à petit et j'arrivais de plus en plus à comprendre, sans pour autant assimiler leur utilisation en tant que telle.
Je l'ai regardé partir. Dans mon for intérieur, je me demandais quand je le reverrais. Parce qu'évidemment j'ai envie de le revoir. Comprendre pourquoi il a une odeur si spécifique. Je serre la veste comme une enfant. Devrais-je la lui rendre lorsque l'on se reverra ? Une chose est sûre j'en prendrais grand soin. Je souris en observant le ciel. Il fait beau, j'espère pour lui que la pluie ne tombera pas par surprise.Fin du rp.
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