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Mar 16 Fév 2021 - 1:22
J’étais indécise quant à la suite de cette soirée, mais je n’étais vraiment pas contre prendre un peu de bon temps, faire une parenthèse de tous nos tracas. C’était simple que de se laisser aller au plaisir aussi élémentaire et basique que celui de la chair s’exprimant. Mais je ne voulais vraiment pas choquer mon amie et il m’était apparu comme une évidence de placer un signal authentique de mon accord et de lui laisser prendre la décision. Nous sommes deux femmes fortes, au caractère plus trempé que le plus dur des aciers, mais j’avais cette faiblesse en moi ce soir et elle cette frustration, cette rage qui voulait s’exprimer. Pouvais-je lui accorder tout ce qu’elle voudrait ce soir si elle le demandait ? Certainement, pour elle, pourquoi pas.
En réponse à mon geste, avec une légère latence, elle sortit de l’eau un peu plus pour se mettre sur ses genoux devant moi et m’attraper la cuisse de sa main gauche avec douceur, sans insistance aucune tandis que son autre main passa sur ma hanche droite. Nos lèvres se séparèrent et c’est là qu’elle susurra quelques mots à mon oreille. Je pouvais sentir le désir en elle grandissant, convertissant sa rage peu à peu pour pouvoir l’évacuer de façon plus intéressante. C’est suite à cela que sa main s’aventura plus avant, remontant ma cuisse pour se frayer un chemin vers d’autres horizons, plus doux encore.
Je décidais de répondre très favorablement à cela en m’approchant un peu plus d’elle, passant mes jambes autour de sa taille, m’asseyant sur ses genoux, offrant ma fleur qui déployant ses pétales sous l’eau comme pour y inviter ses doigts à y butiner. Je plongeai mon regard noisette dans ses yeux de feu qui me regardaient en coin jusque-là, me dressant à sa hauteur, passant ma main droite sur sa joue, la laissant courir à la naissance de ses cheveux humines et glisser sur eux tandis que de l’autre main je guidais ta tête pour rapprocher nos lèvres à nouveaux.
Ma poitrine rencontra bien vite celle de Riven, bien plus opulente et généreuse, mais qui avec nos corps en mouvement l’un contre l’autre venaient s’entrechoquer et osciller ensemble. Ce contact répété commençait à faire monter ma tension et à me rendre fiévreuse. Je laissais courir mes mains tour à tour sur son visage et ses flancs avant de recommencer encore et encore dans des saccades lentes et délicates au rythme de ses propres caresses qu’elle me prodiguait avec beaucoup d’attention.
Jusqu’où allions-nous encore aller, je ne pouvais pas encore le savoir, mais j’étais prête à la suivre dans la plus torride des passions fugaces qui soit.
En réponse à mon geste, avec une légère latence, elle sortit de l’eau un peu plus pour se mettre sur ses genoux devant moi et m’attraper la cuisse de sa main gauche avec douceur, sans insistance aucune tandis que son autre main passa sur ma hanche droite. Nos lèvres se séparèrent et c’est là qu’elle susurra quelques mots à mon oreille. Je pouvais sentir le désir en elle grandissant, convertissant sa rage peu à peu pour pouvoir l’évacuer de façon plus intéressante. C’est suite à cela que sa main s’aventura plus avant, remontant ma cuisse pour se frayer un chemin vers d’autres horizons, plus doux encore.
Je décidais de répondre très favorablement à cela en m’approchant un peu plus d’elle, passant mes jambes autour de sa taille, m’asseyant sur ses genoux, offrant ma fleur qui déployant ses pétales sous l’eau comme pour y inviter ses doigts à y butiner. Je plongeai mon regard noisette dans ses yeux de feu qui me regardaient en coin jusque-là, me dressant à sa hauteur, passant ma main droite sur sa joue, la laissant courir à la naissance de ses cheveux humines et glisser sur eux tandis que de l’autre main je guidais ta tête pour rapprocher nos lèvres à nouveaux.
Irina ▬ Laissons-nous aller dans ce cas... Murmurai-je avant qu’on ne soit lier par un nouveau baiser.Je forçais l’entrer de ses lèvres pour nous lancer dans lent balais humide au sein de sa bouche, puis la laissant venir en mon sein également avec beaucoup de douceur et de sensualité.
Ma poitrine rencontra bien vite celle de Riven, bien plus opulente et généreuse, mais qui avec nos corps en mouvement l’un contre l’autre venaient s’entrechoquer et osciller ensemble. Ce contact répété commençait à faire monter ma tension et à me rendre fiévreuse. Je laissais courir mes mains tour à tour sur son visage et ses flancs avant de recommencer encore et encore dans des saccades lentes et délicates au rythme de ses propres caresses qu’elle me prodiguait avec beaucoup d’attention.
Jusqu’où allions-nous encore aller, je ne pouvais pas encore le savoir, mais j’étais prête à la suivre dans la plus torride des passions fugaces qui soit.
Etilya sur DK RPG
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Lun 1 Mar 2021 - 2:13
La silhouette lascive d'Irina venait se déposer comme une fleur sur mes cuisses alors que ses jambes enlaçaient mon buste pour m'offrir son accord. Ses caresses sur mon visage et ma chevelure glissaient comme un morceau de coton sur ma colère pour l'attendrir. Je retrouvais ainsi rapidement le contact de ses yeux tandis qu'elle cherchait ma bouche de nouveau. Plus entreprenante, sa langue franchit doucement la barrière de mes lèvres entrouvertes tandis que je posais une main sur son dos pour la retenir un peu plus fort tout en ancrant mes doigts sur sa peau. Cela faisait combien de temps que nous nous connaissions, déjà ? Deux ans. Un peu plus. Notre première rencontre n'avait pas été tendre et nos échanges passés non plus. Nous n'avions jamais été compatissantes ni même compassionnelles l'une envers l'autre. Le travail avant tout. L'étiquette, plus que le reste. Et pourtant...
Je pouvais sentir sa poitrine contre la mienne. Son cœur sur le mien. S'il restait calme pour le moment, il ne tendait qu'à s'emballer encore sur cette étreinte. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas partagé un tel moment, aussi doux, aussi sensuel. Je crépitais intérieurement, retenant mes flammes qui ne souhaitaient que grandir toujours. Qu'avais-je envie de faire de toi ce soir, Irina ? Mon esprit cherchait ses vices, ses travers, ses souhaits non assouvis. Toutes ces facettes que je dissimulais à la vue du monde entier et qui pourtant, me faisaient irradier d'excitation. Il me fallait bien un moyen pour extérioriser mes ardeurs et j'avais jeté mon dévolu sur des penchants particuliers. Devrais-je t'en faire part, Irina ? Te montrer ? Je savais pertinemment que tu étais loin d'être une petite joueuse mais la balance se tenait entre nous deux ce soir. C'était différent des inconnus avec qui tu t'amusais bien que je ne pouvais prétexter te connaître réellement.
J'avais envie de te découvrir autrement qu'à travers nos dualités farouches et tourbillonnantes. Je sentais son corps tanguer lentement contre le mien, comme une invitation que personne ne saurait ignorer. Un mouvement que j'accompagnais sur son rythme, lentement, doucement, pour faire grandir notre alliance du moment. Ses mains n'hésitaient pas à parcourir le territoire de mes sens sur lequel je lui laissais le libre accès. Ma paume logée sur son dos glissait sur sa cambrure alors que ma seconde se faisait plus désirée, toujours en attente sur le bas de son ventre. Nos souffles se mêlaient davantage, plus accélérés mais toujours aussi contenus. Je doutais de pouvoir la détacher de moi à ce stade, pas maintenant. Alors je décidai que mes doigts devaient se faire plus généreux bien que j'y mettais une latence sur une note de cruauté exquise. Délicatement, mon majeur commençait sur son entrejambe, appuyant légèrement sur les plus grandes pétales pour réveiller son bouton d'or. Je m'aventurai ainsi sur son autre bouche plus sensible, sur laquelle j'effectuais quelques pressions pour la faire saliver. Sa cadence se mettait à tanguer un peu plus, désireuse d'en savoir plus sur mon excursion. J'y ajoutais donc mon index pour écarter l'ouverture qui protégeait ce point si sensible, pour venir le serrer entre mes deux doigts et procéder à des vas et viens de haut en bas, vers son antre, puis de bas en haut toujours en stimulant ce nerf si musclé d'excitation en le pinçant entre l'étau de mes doigts. Mon autre main, en bas de son dos, la poussant contre moi pour l'inviter à faire danser son bassin.
Quelle attente douloureuse lorsque vous vous éveillez peu à peu au plaisir. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir moi-même ces palpitations qui venaient me provoquer. Mais j'étais plutôt habile lorsqu'il s'agissait de faire languir jusqu'à ce que je me laisse enfin conquérir. Qu'est ce que tu ressentais, Irina ? Veux-tu que j'aille plus loin encore, explorer ton intimité ? Cette grotte humide et désireuse d'être conquise ?
Je poussais un petit soupir chaud de mon côté, à peine audible, tout en sillonnant la courbure de cette langue vibrante. J'avais envie de t'attacher sur mon lit de luxe pour te maltraiter si fort et intensément de ma frustration de la plus sulfureuse des manières. Sur cette pensée, mon majeur guettait l'entrée de ton antre tout en poursuivant de taquiner ce fruit divin donné à chaque femme. Puis, confortablement, il faisait son entrée sur le devant de la scène en ouvrant les petits rideaux d'un décor plus secret. Je venais y prendre mon ticket pour caresser cette muqueuse sensible qui accueillait déjà son spectateur dans un baiser humide et ému. A cet accueil, j'entrepris ainsi d'appuyer le bout de mon doigt contre cette paroi délicate mais très réactive à mes caresses. Mon propre désir commençait à s'affoler quelque peu, mais je ne devais pas donner satisfaction tout de suite. Pas trop vite. Alors ton invité continuait ses amitiés en glissant sur ce terrain glissant pour te travailler encore tandis que mon index se redressait pour appuyer sur ce bouton gourmand. Il fallait faire preuve de doigté -sans vilains jeux de mots- pour attiser le plaisir similaire à une douleur lente mais délicieuse au fond. Je guettais néanmoins les réactions de ton corps désireux et ce souffle léger qui sortait de ta bouche alors que nos baisers devenaient plus fiévreux à mesure que je travaillais tes sensations. Mais tu étais de celle qui ne se laissait pas emporter si facilement alors je me demandais jusqu'à quel point tu accepterai de te laisser bercer par mon étreinte et mes caresses. J'avais envie de plus, terriblement plus. Toutefois je me devais aussi d'écouter chacune de tes expirations, chacun des murmures de tes envies et chaque mouvement de hanches qui insistait sur ce visiteur qui ne se décidait pas encore à aller plus profondément entre tes cuisses. Invite moi, Irina.
Je pouvais sentir sa poitrine contre la mienne. Son cœur sur le mien. S'il restait calme pour le moment, il ne tendait qu'à s'emballer encore sur cette étreinte. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas partagé un tel moment, aussi doux, aussi sensuel. Je crépitais intérieurement, retenant mes flammes qui ne souhaitaient que grandir toujours. Qu'avais-je envie de faire de toi ce soir, Irina ? Mon esprit cherchait ses vices, ses travers, ses souhaits non assouvis. Toutes ces facettes que je dissimulais à la vue du monde entier et qui pourtant, me faisaient irradier d'excitation. Il me fallait bien un moyen pour extérioriser mes ardeurs et j'avais jeté mon dévolu sur des penchants particuliers. Devrais-je t'en faire part, Irina ? Te montrer ? Je savais pertinemment que tu étais loin d'être une petite joueuse mais la balance se tenait entre nous deux ce soir. C'était différent des inconnus avec qui tu t'amusais bien que je ne pouvais prétexter te connaître réellement.
J'avais envie de te découvrir autrement qu'à travers nos dualités farouches et tourbillonnantes. Je sentais son corps tanguer lentement contre le mien, comme une invitation que personne ne saurait ignorer. Un mouvement que j'accompagnais sur son rythme, lentement, doucement, pour faire grandir notre alliance du moment. Ses mains n'hésitaient pas à parcourir le territoire de mes sens sur lequel je lui laissais le libre accès. Ma paume logée sur son dos glissait sur sa cambrure alors que ma seconde se faisait plus désirée, toujours en attente sur le bas de son ventre. Nos souffles se mêlaient davantage, plus accélérés mais toujours aussi contenus. Je doutais de pouvoir la détacher de moi à ce stade, pas maintenant. Alors je décidai que mes doigts devaient se faire plus généreux bien que j'y mettais une latence sur une note de cruauté exquise. Délicatement, mon majeur commençait sur son entrejambe, appuyant légèrement sur les plus grandes pétales pour réveiller son bouton d'or. Je m'aventurai ainsi sur son autre bouche plus sensible, sur laquelle j'effectuais quelques pressions pour la faire saliver. Sa cadence se mettait à tanguer un peu plus, désireuse d'en savoir plus sur mon excursion. J'y ajoutais donc mon index pour écarter l'ouverture qui protégeait ce point si sensible, pour venir le serrer entre mes deux doigts et procéder à des vas et viens de haut en bas, vers son antre, puis de bas en haut toujours en stimulant ce nerf si musclé d'excitation en le pinçant entre l'étau de mes doigts. Mon autre main, en bas de son dos, la poussant contre moi pour l'inviter à faire danser son bassin.
Quelle attente douloureuse lorsque vous vous éveillez peu à peu au plaisir. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir moi-même ces palpitations qui venaient me provoquer. Mais j'étais plutôt habile lorsqu'il s'agissait de faire languir jusqu'à ce que je me laisse enfin conquérir. Qu'est ce que tu ressentais, Irina ? Veux-tu que j'aille plus loin encore, explorer ton intimité ? Cette grotte humide et désireuse d'être conquise ?
Je poussais un petit soupir chaud de mon côté, à peine audible, tout en sillonnant la courbure de cette langue vibrante. J'avais envie de t'attacher sur mon lit de luxe pour te maltraiter si fort et intensément de ma frustration de la plus sulfureuse des manières. Sur cette pensée, mon majeur guettait l'entrée de ton antre tout en poursuivant de taquiner ce fruit divin donné à chaque femme. Puis, confortablement, il faisait son entrée sur le devant de la scène en ouvrant les petits rideaux d'un décor plus secret. Je venais y prendre mon ticket pour caresser cette muqueuse sensible qui accueillait déjà son spectateur dans un baiser humide et ému. A cet accueil, j'entrepris ainsi d'appuyer le bout de mon doigt contre cette paroi délicate mais très réactive à mes caresses. Mon propre désir commençait à s'affoler quelque peu, mais je ne devais pas donner satisfaction tout de suite. Pas trop vite. Alors ton invité continuait ses amitiés en glissant sur ce terrain glissant pour te travailler encore tandis que mon index se redressait pour appuyer sur ce bouton gourmand. Il fallait faire preuve de doigté -sans vilains jeux de mots- pour attiser le plaisir similaire à une douleur lente mais délicieuse au fond. Je guettais néanmoins les réactions de ton corps désireux et ce souffle léger qui sortait de ta bouche alors que nos baisers devenaient plus fiévreux à mesure que je travaillais tes sensations. Mais tu étais de celle qui ne se laissait pas emporter si facilement alors je me demandais jusqu'à quel point tu accepterai de te laisser bercer par mon étreinte et mes caresses. J'avais envie de plus, terriblement plus. Toutefois je me devais aussi d'écouter chacune de tes expirations, chacun des murmures de tes envies et chaque mouvement de hanches qui insistait sur ce visiteur qui ne se décidait pas encore à aller plus profondément entre tes cuisses. Invite moi, Irina.
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Lun 1 Mar 2021 - 11:30
Je sens que Riven a décidé de prendre son temps avec moi et de me faire languir, mais je savoure d’autant plus ses précieux et délicat attouchements. Ses longs doigts fins arpentent avec douceur mon bas-ventre que je fais se mouvoir pour elle sur ses cuisses. Elle se décide donc à faire avancer son soldat majeur entre mes lèvres affamées, ce qui suffit dès lors à me convaincre de ses intentions maintenant. Je la laisse utiliser ce premier aventurier flatter la bête de quelques caresses et susciter un premier intérêt. J’étais captivée par la délicatesse des caresses de Riven à cet instant alors je lui rendais un baiser chaud et doux en retour, ne cessant de lier nos langues l’une avec l’autre, parcourant son corps, ses formes, son visage de mes mains pour qu’elle sente sa réalité et celle de l’instant.
Quand son index se joint à la bataille, il lui permet de mettre à nu ce point faible situé au-dessus de mon antre qui demeurait caché jusque-là par son manteau de chair. Je la sens l’enserrer de ses doigts et c’est dans cette prise en tenaille délectable que je me laisse aller un peu plus entre les mains expertes de mon amie. Son autre main descend dans mon dos pour m’inviter à une danse d’un autre genre. Il ne m’en faut pas plus alors que mon bouton d’or est pris dans un étau me faisant vaciller pour me mettre à onduler sur elle. J’attends presque les moments où elle enserrer le plus fort mon clitoris pour faire les mouvements les plus amples qui avaient raison de moi. Dans cette saccade, mon buste se détache du sien tout en maintenant mon bassin sur elle et en mouvement, accentuant ma cambrure. Je basculai en arrière, mais j’agrippai avec force l’opulente et généreuse poitrine de Riven. Ces deux globes fabuleux avaient une douceur sans pareil. Je laissai mes deux mains glisser sur eux avant d’atteindre leur extimité érogène que j’enserrai puissamment dans mes doigts avant de revenir tout contre elle et de lui voler de nouveaux baisers si chauds.
Elle en vient alors à glisser doucement son majeur à l’intérieur de moi. Tel un aventurier timide, il ne s’éloigne pas trop de l’entrée encore. Cependant ses caresses sur les parois de l’antre sont douces et euphorisantes. Je pourrais très bien faire en sorte de résister à Riven encore et encore, dans un jeu de conquête et d’égo comme nous savons si bien le faire elle et moi. Cependant, j’avais envie de profiter de cet instant, de ses caresses et d’elle. Je voulais qu’elle se sente au mieux, partager avec elle ce moment en lui laissant évacuer un peu sa frustration dans son plaisir sexuel. Elle voulait me faire languir toujours plus, comme je le faisais avec les hommes, mais je n’étais pas dans l’envie de faire trainer les choses plus longtemps. Désolée, ma Riven, mais ce soir, j’ai décidé de m’abandonner et de ne pas pasticher mon plaisir sous les traits de l’indifférence.
J’agrippe ses épaules de mes deux mains avant de ramener mon bassin tout près du sien, propulsant son majeur au fond de la caverne. Je m’empalais sur son doigt comme je le ferai sur la hampe d’un beau mâle avant de commencer à faire onduler mon bassin dans une danse du ventre ressemblant à des coups de boutoir à son encontre. Cela m’obligea à me redresser de ma stature, ce qui assise sur elle signifiait faire passer ma poitrine par-dessus la sienne et je ne pus résister à user de mes mains sur ses épaules pour la faire plonger dans mes collines douces. Sons souffle chaud et excité était des plus doux sur mes seins. Alors que son doigt grattait un bouton caché ayant le plus d’effet sur moi, je décidai de rester fixée sur la décision que j’ai prise. Je laissai ainsi échapper les gémissements puissants que ces caresses provoquaient à son oreille.
Quand son index se joint à la bataille, il lui permet de mettre à nu ce point faible situé au-dessus de mon antre qui demeurait caché jusque-là par son manteau de chair. Je la sens l’enserrer de ses doigts et c’est dans cette prise en tenaille délectable que je me laisse aller un peu plus entre les mains expertes de mon amie. Son autre main descend dans mon dos pour m’inviter à une danse d’un autre genre. Il ne m’en faut pas plus alors que mon bouton d’or est pris dans un étau me faisant vaciller pour me mettre à onduler sur elle. J’attends presque les moments où elle enserrer le plus fort mon clitoris pour faire les mouvements les plus amples qui avaient raison de moi. Dans cette saccade, mon buste se détache du sien tout en maintenant mon bassin sur elle et en mouvement, accentuant ma cambrure. Je basculai en arrière, mais j’agrippai avec force l’opulente et généreuse poitrine de Riven. Ces deux globes fabuleux avaient une douceur sans pareil. Je laissai mes deux mains glisser sur eux avant d’atteindre leur extimité érogène que j’enserrai puissamment dans mes doigts avant de revenir tout contre elle et de lui voler de nouveaux baisers si chauds.
Elle en vient alors à glisser doucement son majeur à l’intérieur de moi. Tel un aventurier timide, il ne s’éloigne pas trop de l’entrée encore. Cependant ses caresses sur les parois de l’antre sont douces et euphorisantes. Je pourrais très bien faire en sorte de résister à Riven encore et encore, dans un jeu de conquête et d’égo comme nous savons si bien le faire elle et moi. Cependant, j’avais envie de profiter de cet instant, de ses caresses et d’elle. Je voulais qu’elle se sente au mieux, partager avec elle ce moment en lui laissant évacuer un peu sa frustration dans son plaisir sexuel. Elle voulait me faire languir toujours plus, comme je le faisais avec les hommes, mais je n’étais pas dans l’envie de faire trainer les choses plus longtemps. Désolée, ma Riven, mais ce soir, j’ai décidé de m’abandonner et de ne pas pasticher mon plaisir sous les traits de l’indifférence.
J’agrippe ses épaules de mes deux mains avant de ramener mon bassin tout près du sien, propulsant son majeur au fond de la caverne. Je m’empalais sur son doigt comme je le ferai sur la hampe d’un beau mâle avant de commencer à faire onduler mon bassin dans une danse du ventre ressemblant à des coups de boutoir à son encontre. Cela m’obligea à me redresser de ma stature, ce qui assise sur elle signifiait faire passer ma poitrine par-dessus la sienne et je ne pus résister à user de mes mains sur ses épaules pour la faire plonger dans mes collines douces. Sons souffle chaud et excité était des plus doux sur mes seins. Alors que son doigt grattait un bouton caché ayant le plus d’effet sur moi, je décidai de rester fixée sur la décision que j’ai prise. Je laissai ainsi échapper les gémissements puissants que ces caresses provoquaient à son oreille.
Irina ▬ Plus.. De … faux... semblants... Dis-je à chaque fois entrecoupée de gémissements. Libé...rons-nous... Lui susurrais-je à l’oreille.
Etilya sur DK RPG
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Mer 10 Mar 2021 - 15:48
Il était fascinant de constater finalement à quel point deux corps pouvaient intimement communiquer, se répondre et se comprendre sur des caresses. Nous n’avions pas tant besoin de parler. J’avançais mes intentions les plus tendres avec une lenteur mesurée pour lancer un appel à la frustration. A quoi pouvions-nous bien ressembler vue de l’extérieur ? Cette vision exquise de la sentir trembler sur mes excès de douceur me fouettait le sang à tel point que je me devais de conserver une emprise sur moi-même. Je me connaissais assez pour savoir que cet enlacement pouvait me tordre d’une pulsion conquérante. Mais je ne voulais pas me montrer trop entreprenante, trop brutale, tout du moins pas sans l’accord de ses gémissements.
Je me surprenais alors à faire preuve de patience et de contrôle dans l’unique but seulement de prendre soin de cette femme entre mes bras. Généralement j’arborais cette attitude féline dans l’intention même de mieux blesser, mieux détruire ensuite. Ma colère se diluait totalement dans une ardeur qui n’avait pas d’autre commandement que notre désir. Sous l’assaut de ma visite encore timide entre ses cuisses, son bassin reculait pour mieux inviter son visiteur à explorer les coulisses de son théâtre. Mais mon majeur n’était même pas encore décidé à se mettre sous les projecteurs. Sur cette latence irrésistible, ses deux mains prirent leur appui sur ma poitrine généreuse qu’elle attrapait sans ménagement. Son visage terrible se crispait sur cette fièvre qui tendait à grimper alors que je l’empêchais encore d’atteindre une température bien plus brûlante. Comme pour manifester son mécontentement et me pousser sur une tension plus envahissante, ses doigts vinrent prendre en tenaille les deux points culminants de mes globes de chair qui se mirent à durcir sous l’effet de cette attaque délicieuse.
Puis sa silhouette retomba un peu plus contre moi pour posséder ma bouche, ma langue et tout ce qui pouvait bien manifester son intérêt. Je sentais le nectar de son fruit baver sur ma main, se faisant plus insistant, plus envieux et plus impatient. Je lui donnais donc enfin raison en filant mon doigt plus loin sur mon excursion, dans cette caverne humide dont les parois vibraient en pleurant. Je devinais aisément que je ne saurais pas la faire languir davantage alors qu’elle tressautait sur un mouvement de hanche plus fort pour y propulser son spectateur du moment. Ses paumes prenaient ainsi appui sur mes épaules pour enfouir le bout de mon nez entre ses seins. J’y faisais donc balader ma langue sur l’une de ces douces collines, venant esquisser un frémissement sur la pointe de cette petite montagne ensoleillée.
Tu semblais si exaltée à mesure que ta voix poussait sur des notes plus aigües. Plus de faux semblant ? Je laissais échapper un petit « hum » satisfait alors que je mordais ta nuque sur cette fine couche de peau. Je jouais sur la dextérité de mon majeur qui se repliait pour venir caresser ce coin de muqueuse plus rugueux et terriblement érogène. Mon ongle allait pour le piquer, l’éveiller et le stimuler pour l’énerver d’un mécontentement outrageant. J’y effectuais une rotation précise puis sur un va et viens plus intense, j’y insérais également mon index pour plus de sensations. Ton buste se relevait pour onduler et accompagner l’emprise de mes allers et retours incessants, rapides et saccadés sur cette pente glissante. J’agressais et tapais au fond de cette tanière enragée, qui bavait et faisait couler un filet de son excitation. Mais je ne pouvais pas seulement te contenter de cela. Ton corps appelait à l’aide, insatisfait par cette seule démonstration. Si je pouvais jouer de mes doigts encore un moment, il fallait au moins que je sache satisfaire tous tes sens d’une façon plus particulière encore à la hauteur de tes espérances de ce soir. Il ne s’agissait que d’un amuse-bouche, une introduction et ce bain ne me convenait plus.
-Alors suis-moi et laisse moi te manifester mon unique affection, susurrai-je au creux de son oreille avant de mettre un terme à la balade derrière les rideaux de son intimité en la quittant.
Je commençais à devenir tendue et les crocs me sortaient à travers tous les pores de mon être. Je la repoussais alors délicatement pour m’arracher de cette eau troublée par notre échange corporelle. Ma silhouette émergea ainsi et je posais un pied en dehors de ce bain dans l’optique de rejoindre des plaisirs plus forts et plus saisissants. Un endroit où je la conviais le temps d’une nuit. Je jetais un coup d’œil derrière mon épaule pour la contempler un court instant et m’assurer qu’elle me suive. Une fois à mes côtés, je lui pris la main pour l’amener sous des contemplations plus mystiques.
Nous étions trempées toutes les deux mais ce n’était pas un problème. Je nous dirigeais tout droit vers la pièce la plus sombre et la plus somptueuse certainement de tout mon petit royaume. Au fond d’un couloir, tapissé de flambeaux qui s’allumaient, encourageant notre passage. Une porte rouge. Un sanctuaire de torture. Un repère de vices. Il me tardait de l’atteindre en sa compagnie. Nous frôlions ainsi le seuil de cette entrée plongée dans l’obscurité avant que les flammes ne se mettent à vibrer pour notre accueil. Sans plus de cérémonie, je me tournais vers elle pour lui attraper délicatement le menton en l’incitant à coucher son corps sur mon lit de duchesse. Je grimpais ensuite sur elle lentement, comme une ombre qui glissait sur sa chair, et l’observais avec un petit sourire aux lèvres avant de m’abaisser sur son front pour y déposer un serment de respect et d’affection. Une révérence importante et primordiale qu’il ne fallait pas s’épargner.
Puis mes paupières se plissèrent dans une malice bien perceptible alors qu’un « clic » se fit entendre. Une menotte mordit son poignet. J’aurais pu y mettre les deux mais j’avais remarqué qu’une seule demeurait plus intéressant pour les sens. Et pour les yeux… J’avais ce côté voyeur et vicieux que je ne pouvais pas me retirer. Voir une proie se débattre était une forme d’extase que je ne saurais nier. Mais envisager d’exacerber les sensations d’Irina en l’observant se tortiller sur un supplice, en se touchant frénétiquement, restait fatalement une vision trop alléchante pour ne pas m’y plier. Je lui laissais donc cette liberté. Sur cette réflexion, j’appuyais sur une commande en tête de lit qui laissait apparaître un miroir immense au-dessus de notre tête. Le décor se tenait prêt, retenant lui-même son souffle.
Si cela faisait néanmoins trop pour elle, je pouvais encore l’en épargner mais ce ne serait pas vivre l’expérience jusqu’au bout. Je descendais ensuite mon museau au centre de ses seins, puis sur son ventre avant d’aller sincèrement me saisir de sa vulve sur une pleine bouche sans plus d’attente et de langueur. Ma langue enfournait sa cavité encore tiède alors que j’écartais les pétales de cette flore transpirante pour mieux y couler ma sainte parole. Je lui soufflais mes mots les plus doux tout en y mettant une nuance de brutalité en appuyant sur les points importants de mon discours avec discipline et précision.
Cela ne faisait que commencer pour nous deux.
Je me surprenais alors à faire preuve de patience et de contrôle dans l’unique but seulement de prendre soin de cette femme entre mes bras. Généralement j’arborais cette attitude féline dans l’intention même de mieux blesser, mieux détruire ensuite. Ma colère se diluait totalement dans une ardeur qui n’avait pas d’autre commandement que notre désir. Sous l’assaut de ma visite encore timide entre ses cuisses, son bassin reculait pour mieux inviter son visiteur à explorer les coulisses de son théâtre. Mais mon majeur n’était même pas encore décidé à se mettre sous les projecteurs. Sur cette latence irrésistible, ses deux mains prirent leur appui sur ma poitrine généreuse qu’elle attrapait sans ménagement. Son visage terrible se crispait sur cette fièvre qui tendait à grimper alors que je l’empêchais encore d’atteindre une température bien plus brûlante. Comme pour manifester son mécontentement et me pousser sur une tension plus envahissante, ses doigts vinrent prendre en tenaille les deux points culminants de mes globes de chair qui se mirent à durcir sous l’effet de cette attaque délicieuse.
Puis sa silhouette retomba un peu plus contre moi pour posséder ma bouche, ma langue et tout ce qui pouvait bien manifester son intérêt. Je sentais le nectar de son fruit baver sur ma main, se faisant plus insistant, plus envieux et plus impatient. Je lui donnais donc enfin raison en filant mon doigt plus loin sur mon excursion, dans cette caverne humide dont les parois vibraient en pleurant. Je devinais aisément que je ne saurais pas la faire languir davantage alors qu’elle tressautait sur un mouvement de hanche plus fort pour y propulser son spectateur du moment. Ses paumes prenaient ainsi appui sur mes épaules pour enfouir le bout de mon nez entre ses seins. J’y faisais donc balader ma langue sur l’une de ces douces collines, venant esquisser un frémissement sur la pointe de cette petite montagne ensoleillée.
Tu semblais si exaltée à mesure que ta voix poussait sur des notes plus aigües. Plus de faux semblant ? Je laissais échapper un petit « hum » satisfait alors que je mordais ta nuque sur cette fine couche de peau. Je jouais sur la dextérité de mon majeur qui se repliait pour venir caresser ce coin de muqueuse plus rugueux et terriblement érogène. Mon ongle allait pour le piquer, l’éveiller et le stimuler pour l’énerver d’un mécontentement outrageant. J’y effectuais une rotation précise puis sur un va et viens plus intense, j’y insérais également mon index pour plus de sensations. Ton buste se relevait pour onduler et accompagner l’emprise de mes allers et retours incessants, rapides et saccadés sur cette pente glissante. J’agressais et tapais au fond de cette tanière enragée, qui bavait et faisait couler un filet de son excitation. Mais je ne pouvais pas seulement te contenter de cela. Ton corps appelait à l’aide, insatisfait par cette seule démonstration. Si je pouvais jouer de mes doigts encore un moment, il fallait au moins que je sache satisfaire tous tes sens d’une façon plus particulière encore à la hauteur de tes espérances de ce soir. Il ne s’agissait que d’un amuse-bouche, une introduction et ce bain ne me convenait plus.
-Alors suis-moi et laisse moi te manifester mon unique affection, susurrai-je au creux de son oreille avant de mettre un terme à la balade derrière les rideaux de son intimité en la quittant.
Je commençais à devenir tendue et les crocs me sortaient à travers tous les pores de mon être. Je la repoussais alors délicatement pour m’arracher de cette eau troublée par notre échange corporelle. Ma silhouette émergea ainsi et je posais un pied en dehors de ce bain dans l’optique de rejoindre des plaisirs plus forts et plus saisissants. Un endroit où je la conviais le temps d’une nuit. Je jetais un coup d’œil derrière mon épaule pour la contempler un court instant et m’assurer qu’elle me suive. Une fois à mes côtés, je lui pris la main pour l’amener sous des contemplations plus mystiques.
Nous étions trempées toutes les deux mais ce n’était pas un problème. Je nous dirigeais tout droit vers la pièce la plus sombre et la plus somptueuse certainement de tout mon petit royaume. Au fond d’un couloir, tapissé de flambeaux qui s’allumaient, encourageant notre passage. Une porte rouge. Un sanctuaire de torture. Un repère de vices. Il me tardait de l’atteindre en sa compagnie. Nous frôlions ainsi le seuil de cette entrée plongée dans l’obscurité avant que les flammes ne se mettent à vibrer pour notre accueil. Sans plus de cérémonie, je me tournais vers elle pour lui attraper délicatement le menton en l’incitant à coucher son corps sur mon lit de duchesse. Je grimpais ensuite sur elle lentement, comme une ombre qui glissait sur sa chair, et l’observais avec un petit sourire aux lèvres avant de m’abaisser sur son front pour y déposer un serment de respect et d’affection. Une révérence importante et primordiale qu’il ne fallait pas s’épargner.
Puis mes paupières se plissèrent dans une malice bien perceptible alors qu’un « clic » se fit entendre. Une menotte mordit son poignet. J’aurais pu y mettre les deux mais j’avais remarqué qu’une seule demeurait plus intéressant pour les sens. Et pour les yeux… J’avais ce côté voyeur et vicieux que je ne pouvais pas me retirer. Voir une proie se débattre était une forme d’extase que je ne saurais nier. Mais envisager d’exacerber les sensations d’Irina en l’observant se tortiller sur un supplice, en se touchant frénétiquement, restait fatalement une vision trop alléchante pour ne pas m’y plier. Je lui laissais donc cette liberté. Sur cette réflexion, j’appuyais sur une commande en tête de lit qui laissait apparaître un miroir immense au-dessus de notre tête. Le décor se tenait prêt, retenant lui-même son souffle.
Si cela faisait néanmoins trop pour elle, je pouvais encore l’en épargner mais ce ne serait pas vivre l’expérience jusqu’au bout. Je descendais ensuite mon museau au centre de ses seins, puis sur son ventre avant d’aller sincèrement me saisir de sa vulve sur une pleine bouche sans plus d’attente et de langueur. Ma langue enfournait sa cavité encore tiède alors que j’écartais les pétales de cette flore transpirante pour mieux y couler ma sainte parole. Je lui soufflais mes mots les plus doux tout en y mettant une nuance de brutalité en appuyant sur les points importants de mon discours avec discipline et précision.
Cela ne faisait que commencer pour nous deux.
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Mer 10 Mar 2021 - 16:57
Riven est une personne difficile à satisfaire, terriblement exigeante qu’elle est. Je ne puis arriver à mes fins que d’une seule manière, en m’abandonnant à elle. Sa personnalité si dominante ne pourrait pas tolérer ce soir un quelconque refus de ma part et ce n’est pas mon envie. Ma sollicitation à son oreille produit son effet et elle dévoile sa satisfaction en plantant ses crocs dans la nuque de sa proie tout en faisant courir son majeur sur les parois de ma caverne aux merveilles comme une pianiste virtuose de son instrument.
Je sens qu’elle touche au but de son exploration, arrivant au point le plus essentiel de l’endroit qu’elle visite depuis un moment, invitant son index à rejoindre son partenaire aventurier. Je ne peux qu’onduler mon bassin au rythme frénétique de ses agressions sublimes, lui montrant tout mon obédience à cette prêtresse mettant mon âme au supplice. Je suis tremblante de désir sous ses assauts virtuose, interprétant le chant qu’elle veut m’arracher à la perfection. Je n’arrive et ne veux pas retenir le moindre gémissement qu’elle espère extraire de ma personne.
Bien que j’accompagne du mieux que je peux ses mouvements avec mon bassin, je ne peux pas m’empêcher également de me montrer farouche. Tel un serpent enserrant sa proie dans ses anneaux, je fais en sorte que cette caverne chaude ressert ses aventuriers dans ses chairs pour mieux les sentir.
Elle finit par se lasser de l’endroit où nous sommes et se dégage de mon étreinte, libérant le corridor chaud et humide qu’elle a brillamment conquit plus tôt. La voyant sortir de l’eau ainsi, se redressant et finissant par me tourner le dos pour quitter ce bain, je n’ai pas pu résister. J’ai laissé glisser mes doigts le long de son dos dans son mouvement jusqu’à pouvoir flatter sa croupe avec doucement, mais non sans espièglerie en lui assénant une légère fessée. Elle m’invite très vite à la suivre et nous nous éloignons de cette pièce, trempées jusqu’aux os, mais cela nous est totalement égal. Ce qui compte, c’est la distance qui nous sépare du cœur de son royaume, là où elle compte bien à ce qu’on finisse ce que nous avons commencé.
Me voilà alors dans l’antre de la bête. Peu de gens ont foulé ce sol et peuvent en témoigner. Ce lit est bien à la hauteur de l’égo et la magnificence de ma douce camarade. C’est chaleureux, mais je peux sentir le vice qui habite l’endroit et qui répond pratiquement à l’appel de sa maîtresse qui commence peu à peu à se libérer de sa tension. Elle se tourne vers moi et m’attrape le menton entre ses doigts fins et délicats comme elle le ferait d’une proie. Si c’était là ton plaisir Riven, je suis curieuse de découvrir tes vices cachés, ceux que tu as envie de partager avec moi et de me faire subir. Elle me fait avancer jusqu’à son lit pour me coucher dessus sur le dos. L’eau imbibe doucement les draps, mais ce n’est que partie remise avant qu’ils ne sèchent suite à nos ébats et ne s’imbibent autrement.
Elle me grimpe dessus et glisse sur moi comme une ombre, frôlant chair dans une délicate et délectable caresse. Je frissonne au contact de sa voluptueuse et opulente poitrine qui parcours en décaler la surface de mon corps. Elle me regarde et me sourit avant de déposer un baiser sur mon front, aussi délicat qu’adorable. Cependant sa signification est toute autre. Ce baiser est un signe de protection, un serment qu’elle me fait pour me promettre son respect et son affection, le tout avant qu’un clic ne se fasse entendre et qu’elle n’arbore un air de pure malice. Je sais maintenant qu’elle a décidé de se lâcher et je réponds à son baiser sa promesse et son sourire avec un léger pincement de lèvres excité.
Cette menotte à mon poigner m’invite à plusieurs suppositions, mais comme je n’en vois pas d’autre venir pour m’entraver d’avantage, je devine ce qu’elle cherche à obtenir de moi. Ses caresses me manquent et je me dois de lui signaler de la plus douce des façons pour elle. Ne pouvant pas me redresser pour l’atteindre à cause de cette chaîne, je décide de faire glisser ma main libre vers mon bas ventre pour atteindre une fleur débordante de nectar. Son regard qui se pose sur moi et me dévore ne me rend que plus fiévreuse alors que j’ai envie d’elle. Je sens ce qui se cache derrière ses yeux pleins de satisfaction à l’idée d’avoir le dessus sur moi pendant que je m’offre en spectacle. Mais je joue mon numéro à la perfection commençant même à gémir sous les assauts de mes propres caresses solitaires. Je me débrouille bien seule, mais je veux lui envoyer le message qu’il est temps de me rejoindre au plus vite pour poursuivre ce qu’elle a commencé dans le bain. Ma détresse est grande alors que j’ai frôlé l’extase plus tôt, mais je veux qu’elle me fasse vibrer.
D’un geste subtil au niveau de la tête de lit, elle actionne un appareillage des grandes occasions dévoilant un miroir au-dessus de nos têtes. C’était donc ce genre de personne. Je ne pouvais que marquer ma surprise d’un regard plus qu’éloquent à son encontre, ce genre qui dit “mais qu’elle coquine tu fais en fait !” mais sans qu’aucun mot ne soit nécessaire à prononcer. Je peux me contempler moi-même en plein attouchement, une sorte de paroxysme de l’activité narcissique que suppose ces caresses.
Elle vient finit par descendre, emprunter le chemin direct entre le col montagneux, direction la vallée fluviale. Je laisse s’éloigner ma libre pour fureter avec son corps passant avant d’écarter un peu plus les jambes pour déployer ma fleur à son arriver. Sa pitance ainsi offerte, la bête ne s’est pas faite attendre bien longtemps et sa langue est venir se saisir de son trophée sans plus de cérémonie. Sa fièvre coulait en moi à mesure que sa langue ne laboure ce sillon de plaisir.
Cette menotte qui m’entravait très partiellement mettait au défi l’espionne que j’étais par le passé et j’avais envie de lui jouer un tour malgré tout le bien qu’elle me prodigue. Si elle veut me dompter ce soir alors il faut que je lui oppose la résistance qu’elle espère. Je peux sentir en elle sans user de mon pouvoir cette envie de montrer sa force et déployer sa succulente dictature sur moi. Je profite de ma souplesse et de mon entrainement passé pour utiliser mes jambes afin de la faire basculer sur le côté et me retrouver à califourchon sur son visage. Cette position et cet effort ne font que me tordre le bras pris par la menotte, mais je savoure cet instant de quelques coups de bassins rageur sur son museau avant qu’elle ne se décide à reprendre le dessus. Entre douceur et douleur, mon cœur vacille et je ne peux retenir ces eaux s’échappant de cette grotte dont elle flatte l’appétit depuis un petit moment déjà...
Etilya sur DK RPG
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Sam 13 Mar 2021 - 23:25
Si elle s’était montrée plutôt docile jusqu’à maintenant, ma petite Irina ne semblait pas se laisser amadouer aussi impunément. En même temps, je savais encore à qui j’avais à faire. Elle me le fit amplement comprendre alors que sur un coup de rein bien manié, elle asseyait sa position sur ma bouche avec une note d’insolence et d’insatiabilité fiévreuse. Mes mains vinrent alors se saisir de ses deux cuisses alors que j’y plantais mes ongles pour mieux l’assaillir de mes assauts répétés sur le bout de ma langue. Son dos se cambrait et s’arquait pour venir cueillir son plaisir tandis que ma muqueuse se jouait de ce bouton doré qui s’étirait et frissonnait à mon contact. Je sentais même ces picotements qui donnaient la sensation d’un léger courant électrique quand je le pinçais entre mes lèvres pour le serrer tendrement entre mes dents ensuite. Je la travaillais ainsi, sur des caresses humides et des coups de crocs pour la faire grimper en température. Je faisais rugir son intimité en sillonnant chaque parcelle de ces sillons si tendres dans lesquels se déversaient la substance de son excitation.
Une danse sensuelle se jouait entre ma stimulation et ce bourgeon qui ne demandait qu’à s’épanouir en jutant de plaisir. Je buvais ainsi directement à la fontaine de jouvence, cette eau salvatrice tandis que je m’accaparais le naufrage de ses sanglots. Je m’hydratais de ce que sa fontaine voulait bien m’offrir en échange de mes soins prodigués. J’ondulais légèrement sous elle alors que ma frustration tendait à exaspérer mon propre corps mis sous une tension bien palpable.
Je stoppais ensuite tout à coup mon œuvre en la scrutant de ce regard carnassier et enflammé qui ne présageait qu’une malice de ma part. D’un geste brusque, je tirais brutalement sur la chaine où elle se trouvait attachée pour la mettre sur une posture inconfortable et la basculer sur le côté. Pas très fair-play mais tu saurais m’excuser cette mesquinerie.
J’avais une surprise pour toi.
Je quittais par la suite la chaleur de sa silhouette en demande pour m’éloigner plus loin au fond de la pièce. De toute évidence, tu ne sortirais pas de là avant d’avoir joui si fort que ton corps en perdrait même l’orientation. Je me confondais donc dans l’ombre en ouvrant une armoire remplie de délices qui n’attendaient que d’être entrepris. Voyons voyons… Je m’emparais de quelques fantaisies qui trônaient sur une étagère. J’en trouvais une à mon goût dont je m’harnachais au passage, représentant une ceinture qui portait l’imitation du glaive masculin d’une taille plus que convenable. Je revenais alors vers elle avec un cadeau bonus tandis que ma poitrine opulente faisait de nouveau pression sur la sienne. Je lui arrachais un autre baiser sur l’instant tandis que mes doigts regagnaient rapidement le chemin de son intimité pour y glisser un vibromasseur qui n’avait de la taille qu’un demi-doigt mais qui faisait l’affaire quand il s’agissait d’énerver davantage sa concubine. Le petit objet coquin se mit ainsi à frétiller pour diffuser son bonheur entre ses cuisses qui se resserrèrent instinctivement pour en ressentir davantage les ondes. Mais je ne le permettrais pas. Toujours logée au creux de ses jambes, mes lèvres glissèrent sur sa nuque et mes paumes vinrent s’emparer de ses deux globes de chair souffrants du manque d’attention pour les empoigner. Je prenais le temps pour faire grimper toujours plus sa consternation à mon égard. Sa lassitude d’être émoustillée pour ne recevoir que des miettes de mon vice qui ne lui permettait pas encore de s’épanouir totalement. Un vilain scénario qui n’évoluerait que sur ma volonté ou sur la manifestation de ses caprices.
Tandis que le petit jouet poursuivait son rôle à la perfection en gigotant en elle avec turbulence, je descendais ma main sur son mont de vénus en continuant de maltraiter son téton de l’autre. Je m’allongeais quelque peu sur le côté, sur sa cuisse, pour l’écarter plus tout en me posant le long d’elle. Une jonglerie s’ensuivit alors que je pinçais la pointe érectile de son sein et que j’appuyais sur le bouton douloureux qui tremblait sous mon frottement circulaire. Puis plus frénétiquement, je l’agressais plus fort sur une pression plus intense. Quelle magnificence de la voir se tordre de convulsion sans pour autant parvenir à ses fins. Elle était agrippée à mon étreinte, sur ma morsure de serpent fourbe qui injectait son venin flamboyant pour lui brouiller l’esprit et mettre ses sensations à rude épreuve. Je lui soufflais dans l’oreille sur des gémissements infâmes alors que je surveillais toujours ses moindres mouvements même imperceptibles. Mon doigt s’agitait toujours sur des secousses plus violentes sur son clitoris à fleur de nervosité. Il s’agaçait, se tendait et frémissait tandis que sa caverne suintait d’une transpiration claire qui trempait le drap d’une tâche.
Naturellement, j’oscillais également pour accompagner sa torture divine sur ce même mouvement, complètement portée par ce spectacle excitant. Le voyeurisme et le narcissisme qui s’accompagnaient ne faisant que générer un cocktail puissant qui pulsait dans mes veines. Je la touchais si intensément, face à ce beau miroir qui trônait au-dessus de nos têtes, que même les anges tournaient le regard.
Une danse sensuelle se jouait entre ma stimulation et ce bourgeon qui ne demandait qu’à s’épanouir en jutant de plaisir. Je buvais ainsi directement à la fontaine de jouvence, cette eau salvatrice tandis que je m’accaparais le naufrage de ses sanglots. Je m’hydratais de ce que sa fontaine voulait bien m’offrir en échange de mes soins prodigués. J’ondulais légèrement sous elle alors que ma frustration tendait à exaspérer mon propre corps mis sous une tension bien palpable.
Je stoppais ensuite tout à coup mon œuvre en la scrutant de ce regard carnassier et enflammé qui ne présageait qu’une malice de ma part. D’un geste brusque, je tirais brutalement sur la chaine où elle se trouvait attachée pour la mettre sur une posture inconfortable et la basculer sur le côté. Pas très fair-play mais tu saurais m’excuser cette mesquinerie.
J’avais une surprise pour toi.
Je quittais par la suite la chaleur de sa silhouette en demande pour m’éloigner plus loin au fond de la pièce. De toute évidence, tu ne sortirais pas de là avant d’avoir joui si fort que ton corps en perdrait même l’orientation. Je me confondais donc dans l’ombre en ouvrant une armoire remplie de délices qui n’attendaient que d’être entrepris. Voyons voyons… Je m’emparais de quelques fantaisies qui trônaient sur une étagère. J’en trouvais une à mon goût dont je m’harnachais au passage, représentant une ceinture qui portait l’imitation du glaive masculin d’une taille plus que convenable. Je revenais alors vers elle avec un cadeau bonus tandis que ma poitrine opulente faisait de nouveau pression sur la sienne. Je lui arrachais un autre baiser sur l’instant tandis que mes doigts regagnaient rapidement le chemin de son intimité pour y glisser un vibromasseur qui n’avait de la taille qu’un demi-doigt mais qui faisait l’affaire quand il s’agissait d’énerver davantage sa concubine. Le petit objet coquin se mit ainsi à frétiller pour diffuser son bonheur entre ses cuisses qui se resserrèrent instinctivement pour en ressentir davantage les ondes. Mais je ne le permettrais pas. Toujours logée au creux de ses jambes, mes lèvres glissèrent sur sa nuque et mes paumes vinrent s’emparer de ses deux globes de chair souffrants du manque d’attention pour les empoigner. Je prenais le temps pour faire grimper toujours plus sa consternation à mon égard. Sa lassitude d’être émoustillée pour ne recevoir que des miettes de mon vice qui ne lui permettait pas encore de s’épanouir totalement. Un vilain scénario qui n’évoluerait que sur ma volonté ou sur la manifestation de ses caprices.
Tandis que le petit jouet poursuivait son rôle à la perfection en gigotant en elle avec turbulence, je descendais ma main sur son mont de vénus en continuant de maltraiter son téton de l’autre. Je m’allongeais quelque peu sur le côté, sur sa cuisse, pour l’écarter plus tout en me posant le long d’elle. Une jonglerie s’ensuivit alors que je pinçais la pointe érectile de son sein et que j’appuyais sur le bouton douloureux qui tremblait sous mon frottement circulaire. Puis plus frénétiquement, je l’agressais plus fort sur une pression plus intense. Quelle magnificence de la voir se tordre de convulsion sans pour autant parvenir à ses fins. Elle était agrippée à mon étreinte, sur ma morsure de serpent fourbe qui injectait son venin flamboyant pour lui brouiller l’esprit et mettre ses sensations à rude épreuve. Je lui soufflais dans l’oreille sur des gémissements infâmes alors que je surveillais toujours ses moindres mouvements même imperceptibles. Mon doigt s’agitait toujours sur des secousses plus violentes sur son clitoris à fleur de nervosité. Il s’agaçait, se tendait et frémissait tandis que sa caverne suintait d’une transpiration claire qui trempait le drap d’une tâche.
Naturellement, j’oscillais également pour accompagner sa torture divine sur ce même mouvement, complètement portée par ce spectacle excitant. Le voyeurisme et le narcissisme qui s’accompagnaient ne faisant que générer un cocktail puissant qui pulsait dans mes veines. Je la touchais si intensément, face à ce beau miroir qui trônait au-dessus de nos têtes, que même les anges tournaient le regard.
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Dim 14 Mar 2021 - 12:51
De ma position sur ses lèvres, je sens la chaleur de son désir qui pourlèche mes babines avidement en accompagnant les pérégrinations de mes reins sur son visage. C’est alors qu’elle ne se démonte pas un instant et plante ses ongles dans mes cuisses en les agrippant telle des serres rageuses se refermant sur sa proie. Elle commence à prendre goût cette audace dont je fais l’effort en me tordant le poignet et dont j’espère bientôt faire les frais. Avidement et doucement ses lèvres se referment dans le creuset de plaisir des miennes, attirant en leur sein le bouton rouge de mon plaisir. Ses dents viennent se fermer sur ce dernier avec douceur et une décharge électrique prend le dessus contrôlant mes saccades à chaque fois qu’elle vient pour le croquer.
Je suis avide de ses baisers brulants au cœur de mon intimité et dès que j’en ai l’occasion je me plante sur elle, enfouissant une partie d’elle à l’intérieur de moi, ma fleur devenue ainsi carnivore et avide de sentir sa longue aussi loin que possible, mes pétales se déployant de part et d’autre d’elle. Telle une tuyauterie qui fuit je n’en peux plus et déverse mon plaisir sur elle, la pluie ruisselant de mes pétales jusqu’à son museau, ses joues et les draps. Je rugis mon plaisir avec elle avant qu’elle ne stoppe tout d’une façon aussi surprenante que brutale. Je me retrouve étendue à nouveau sur le lit, la chaîne reliant la menotte à mon poignet venant me tirer sur le côté et lui permettant de me faire basculer.
Ce n’est pas très fair-play de sa part mais cela n’est que plus intéressant. Telle une tigresse entravée, je suis repose sur mon flanc en la regardant s’éloigner de moi et passer dans le fond de la chambre. Elle ouvre une armoire que je devine être le coffre abritant les trésors exotiques qu’elle réserve aux personnes triées sur le volet pour ton bon plaisir. Je la vois sortir plusieurs objets qui ne font que décupler un peu plus mon envie d’elle, mais le paroxysme vient alors qu’elle commence à enfiler ce harnais. Ainsi donc elle dispose également de ce genre de choses. Lorsqu’elle se retourne avec cette verge factice d’une belle taille, mon excitation ne l’est pas elle.
Telle une petite chatte apprivoisée, je me fais ronronner pour son bon plaisir, passant ma main libre entre mes cuisses et lui montrer à quel point elle me manque. Je m’offre à elle en cadeau servile, mais la pénétration aurait été trop simple pour qu’elle n’arrive déjà. Non, elle choisit de grimper sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne déjà en émoi. Le simple contact de saillants contre les miens vient à me déclencher un léger spasme. Elle m’arrache un autre baiser portant mon parfum intime et je ne résiste pas alors qu’elle décolle ses lèvres des miennes à venir l’assaillir d’un coup de langue pour récupérer avidement ma rosée perlant encore sur sa joue. C’est là que je sens ses doigts enfoncer en mon sein un dispositif ayant pour but de mettre au supplice ma caverne humide. Les vibrations sont un délice qui ne me fait que serrer mes jambes un peu plus pour en savourer la moindre secousse. Mais cela m’est impossible car entre mes jambes se trouve Riven, démone parmi les démones. Elle m’empêche de pleinement savourer les délicieuses vibrations en mon sein et nargue en même temps ma nuque de ses lèvres. Ses mains se mettent alors à l’ouvrage sur ma poitrine et je peux sentir alors tout contre mon vendre le silicone de sa lame pendante grâce à la position qui est sienne. Elle enserre ma poitrine avec ses doigts, comme des bataillons prêts à l’assaut et il ne se fait pas attendre. La saveur de ses caresses est immense. Elle pétrit ces deux miches de mains avec amour comme un boulanger d’exception et mon désir ne fait que grimper un nouveau cran. De ma main libre je décide de me saisir également de l’un de ses seins qui me fait tant envie.
Elle s’allonge un peu sur le côté, écartant un peu plus ma cuisse pour libérer la voie vers ce qu’elle recherche avidement alors que son outil gigote encore en moi frénétiquement et manque de m’arracher avec violence ce qu’elle veut. Ses assauts répétés commencent à avoir raison de mon esprit et redoublent d’intensité encore et encore. Je ne peux pas arriver à garder mon corps son contrôle et je ne fais que convulser en suivant le rythme qu’elle décide pour moi. Lorsque mon regard s’ouvre pour voir ce qu’il y a voir, il se pose sur le reflet de cette scène invraisemblable. Je peux la voir titiller la pointe érogène de mon sein en même temps que ce mont de Vénus qu’elle a conquis sans mal.
Je décide alors qu’il est temps d’abandonner la lutte et de laisser ce plaisir monter et me dépasser, libérer ce barrage et les eaux tumultueuses qui ne sont qu’à peine retenues depuis un moment et détrempent les draps. Je me cramponne avec ma main à ce que je peux et ce qu’il y a de plus proche n’est autre que le sein et sa pointe de Riven. Je ne peux pas m’empêcher de l’enserrer encore et encore dans cet étau de mes doigts alors que je me libère dans un profond rugissement de plaisir. Sous l’euphorie ultime de ces caresses violentes me stimulant de toute part je n’en peux plus et doit laisser jaillir de ma fleur mon extase comme un geyser fugace et convulser pour le plaisir des yeux de Riven. Dans le même temps je ne contrôle qu’à peine mon envie de lui partager cela. Je ne sais pas si sa défense mentale est levée ou nom et à quel point cela atténuera sa sensation mais je ne manque pas de lui partager un bref instant ce souvenir simultanée du plaisir immense qu’elle a généré.
Malgré ce premier round de haute voltige, j’en veux plus, beaucoup plus...
Je suis avide de ses baisers brulants au cœur de mon intimité et dès que j’en ai l’occasion je me plante sur elle, enfouissant une partie d’elle à l’intérieur de moi, ma fleur devenue ainsi carnivore et avide de sentir sa longue aussi loin que possible, mes pétales se déployant de part et d’autre d’elle. Telle une tuyauterie qui fuit je n’en peux plus et déverse mon plaisir sur elle, la pluie ruisselant de mes pétales jusqu’à son museau, ses joues et les draps. Je rugis mon plaisir avec elle avant qu’elle ne stoppe tout d’une façon aussi surprenante que brutale. Je me retrouve étendue à nouveau sur le lit, la chaîne reliant la menotte à mon poignet venant me tirer sur le côté et lui permettant de me faire basculer.
Ce n’est pas très fair-play de sa part mais cela n’est que plus intéressant. Telle une tigresse entravée, je suis repose sur mon flanc en la regardant s’éloigner de moi et passer dans le fond de la chambre. Elle ouvre une armoire que je devine être le coffre abritant les trésors exotiques qu’elle réserve aux personnes triées sur le volet pour ton bon plaisir. Je la vois sortir plusieurs objets qui ne font que décupler un peu plus mon envie d’elle, mais le paroxysme vient alors qu’elle commence à enfiler ce harnais. Ainsi donc elle dispose également de ce genre de choses. Lorsqu’elle se retourne avec cette verge factice d’une belle taille, mon excitation ne l’est pas elle.
Telle une petite chatte apprivoisée, je me fais ronronner pour son bon plaisir, passant ma main libre entre mes cuisses et lui montrer à quel point elle me manque. Je m’offre à elle en cadeau servile, mais la pénétration aurait été trop simple pour qu’elle n’arrive déjà. Non, elle choisit de grimper sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne déjà en émoi. Le simple contact de saillants contre les miens vient à me déclencher un léger spasme. Elle m’arrache un autre baiser portant mon parfum intime et je ne résiste pas alors qu’elle décolle ses lèvres des miennes à venir l’assaillir d’un coup de langue pour récupérer avidement ma rosée perlant encore sur sa joue. C’est là que je sens ses doigts enfoncer en mon sein un dispositif ayant pour but de mettre au supplice ma caverne humide. Les vibrations sont un délice qui ne me fait que serrer mes jambes un peu plus pour en savourer la moindre secousse. Mais cela m’est impossible car entre mes jambes se trouve Riven, démone parmi les démones. Elle m’empêche de pleinement savourer les délicieuses vibrations en mon sein et nargue en même temps ma nuque de ses lèvres. Ses mains se mettent alors à l’ouvrage sur ma poitrine et je peux sentir alors tout contre mon vendre le silicone de sa lame pendante grâce à la position qui est sienne. Elle enserre ma poitrine avec ses doigts, comme des bataillons prêts à l’assaut et il ne se fait pas attendre. La saveur de ses caresses est immense. Elle pétrit ces deux miches de mains avec amour comme un boulanger d’exception et mon désir ne fait que grimper un nouveau cran. De ma main libre je décide de me saisir également de l’un de ses seins qui me fait tant envie.
Elle s’allonge un peu sur le côté, écartant un peu plus ma cuisse pour libérer la voie vers ce qu’elle recherche avidement alors que son outil gigote encore en moi frénétiquement et manque de m’arracher avec violence ce qu’elle veut. Ses assauts répétés commencent à avoir raison de mon esprit et redoublent d’intensité encore et encore. Je ne peux pas arriver à garder mon corps son contrôle et je ne fais que convulser en suivant le rythme qu’elle décide pour moi. Lorsque mon regard s’ouvre pour voir ce qu’il y a voir, il se pose sur le reflet de cette scène invraisemblable. Je peux la voir titiller la pointe érogène de mon sein en même temps que ce mont de Vénus qu’elle a conquis sans mal.
Je décide alors qu’il est temps d’abandonner la lutte et de laisser ce plaisir monter et me dépasser, libérer ce barrage et les eaux tumultueuses qui ne sont qu’à peine retenues depuis un moment et détrempent les draps. Je me cramponne avec ma main à ce que je peux et ce qu’il y a de plus proche n’est autre que le sein et sa pointe de Riven. Je ne peux pas m’empêcher de l’enserrer encore et encore dans cet étau de mes doigts alors que je me libère dans un profond rugissement de plaisir. Sous l’euphorie ultime de ces caresses violentes me stimulant de toute part je n’en peux plus et doit laisser jaillir de ma fleur mon extase comme un geyser fugace et convulser pour le plaisir des yeux de Riven. Dans le même temps je ne contrôle qu’à peine mon envie de lui partager cela. Je ne sais pas si sa défense mentale est levée ou nom et à quel point cela atténuera sa sensation mais je ne manque pas de lui partager un bref instant ce souvenir simultanée du plaisir immense qu’elle a généré.
Malgré ce premier round de haute voltige, j’en veux plus, beaucoup plus...
Etilya sur DK RPG
Invité
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Jeu 25 Mar 2021 - 18:42
La symphonie se fit plus haute et plus forte à mesure que je passais l'offensive en m'acharnant sur ce petit organe charnu et rougit de volonté. Sa paume s'attachait ainsi à ma poitrine pour prendre ses appuis pour me solliciter davantage alors que l'autre restait prisonnière. Son bas ventre commençait à convulser plus fort alors que les vibrations étendaient toujours sa malice entre ses cuisses en accompagnement de mon traitement insoutenable. Ses gémissements se firent moins timides, plus intenses et poussés tandis qu'elle recherchait ses intérêts en se cramponnant à moi. Quel plaisir insoupçonné que d'entendre ses rugissements de petite chatte folle en pleine exaltation. Mais je n'avais pas le temps d'y accorder de la raison, bien trop attentive à la chasse que je lui faisais encaisser sous la pulpe de mes doigts devenus plus brutaux.
Finalement sur cette continuité musicale ardente, la chanson fut poussée à son sommet alors que de cette fontaine explorée, son eau de jouvence en débordait tout à coup dans un jet furibond. Toutefois, je ne m'attendais pas à cet exploit me coupe le souffle à mon tour alors que je lâchais un cri surpris et inondé de satisfaction pleine et très humide à mon tour. Cette petite garce avait superposé son ressenti en me la transmettant en direct. Je n'avais pas levé mon sort, même pas par précaution, parce que je lui donnais à cet instant une bénédiction sacrée. Cet élan de frénésie me traversa ainsi soudainement d'un seul coup. Ces deux crachats de notre extase commune se mêlèrent ainsi à mes draps mouillés comme d'un parfait petit lac créée à partir seulement de nos plaisirs. Avec une brutalité évidente, l'humeur mauvaise peut-être, j'attrapais d'une main de fer sa gorge pour l'obliger à me regarder en maintenant son menton fermement. Délicatement je venais retirer le mécanisme glissé sur ses muqueuses pour l'en extraire et le glisser sur une pente plus caverneuse, sur le chemin qui précédait ce territoire déjà inondé par les eaux féminines. Elle en voulait plus et elle en était déterminée. Sur tous les terrains donc, Irina arrachait sans une once d'hésitation ce qu'elle désirait. Je le sentais en épinglant son regard noisette de mes prunelles bleutées.
Je la retournais ensuite violemment sur le côté en gratifiant la présence de mes seins sur son dos transpirant. Ma main gauche claquait sa prise sur le dessous de sa cuisse tendre que je relevais plus haut afin que mon attribut siliconé puisse faire son entrée en scène. D'abord lentement, j'y pénétrais seulement le bout du gland artificiel sur des légères secousses alors que je m'accoudais sur mon avant bras droit pour me tenir. Doucement, je mettais au défi sa patience une nouvelle fois en faisant danser mon bassin sensuellement mais avec une latence qui pourrait rendre folle ma concubine. Si ses supplications m'encourageaient à y aller crescendo alors qu'elle se mouvait comme un serpent attendant sa pitance, je me refusais pour le moment de répondre à son agonie. Je lui donnais ainsi un coup de croc sur l'épaule en faisant grimper la température de mon corps à un point suffisant pour lui donner plus de fièvre encore. La stimulation s'étendait sur chaque parcelle de la toile blanche qu'était sa silhouette, sur les deux entrées de son intimité ne demandaient qu'à d'être dérobés totalement. Dans l'attente, le petit jouet se faisait toujours aussi joyeux entre ses fesses tandis que mon navire de la disgrâce ne rentrait pas encore à bon port pour naviguer sur ce liquide clair. Je la faisais languir, je lui soufflais des atrocités mesquines mais excitantes au creux de l'oreille pour l'affoler. Même un homme n'aurait pas pu dire plus sale. Je savais pertinemment que je le paierai à un moment donné mais les conséquences n'en seraient que plus succulentes.
L'épée se plantait seulement à demi, la faisant geindre comme une tigresse effarouchée par des instincts primaires. J'évitais ses secousses sur un rictus à mesure qu'elle lançait l'assaut pour se faire empaler sans ménagement sur des couinements exaspérés. Mais je sentais que la révolte allait finir par éclater. Il ne fallait jamais faire attendre le Secret trop longtemps.
Finalement sur cette continuité musicale ardente, la chanson fut poussée à son sommet alors que de cette fontaine explorée, son eau de jouvence en débordait tout à coup dans un jet furibond. Toutefois, je ne m'attendais pas à cet exploit me coupe le souffle à mon tour alors que je lâchais un cri surpris et inondé de satisfaction pleine et très humide à mon tour. Cette petite garce avait superposé son ressenti en me la transmettant en direct. Je n'avais pas levé mon sort, même pas par précaution, parce que je lui donnais à cet instant une bénédiction sacrée. Cet élan de frénésie me traversa ainsi soudainement d'un seul coup. Ces deux crachats de notre extase commune se mêlèrent ainsi à mes draps mouillés comme d'un parfait petit lac créée à partir seulement de nos plaisirs. Avec une brutalité évidente, l'humeur mauvaise peut-être, j'attrapais d'une main de fer sa gorge pour l'obliger à me regarder en maintenant son menton fermement. Délicatement je venais retirer le mécanisme glissé sur ses muqueuses pour l'en extraire et le glisser sur une pente plus caverneuse, sur le chemin qui précédait ce territoire déjà inondé par les eaux féminines. Elle en voulait plus et elle en était déterminée. Sur tous les terrains donc, Irina arrachait sans une once d'hésitation ce qu'elle désirait. Je le sentais en épinglant son regard noisette de mes prunelles bleutées.
Je la retournais ensuite violemment sur le côté en gratifiant la présence de mes seins sur son dos transpirant. Ma main gauche claquait sa prise sur le dessous de sa cuisse tendre que je relevais plus haut afin que mon attribut siliconé puisse faire son entrée en scène. D'abord lentement, j'y pénétrais seulement le bout du gland artificiel sur des légères secousses alors que je m'accoudais sur mon avant bras droit pour me tenir. Doucement, je mettais au défi sa patience une nouvelle fois en faisant danser mon bassin sensuellement mais avec une latence qui pourrait rendre folle ma concubine. Si ses supplications m'encourageaient à y aller crescendo alors qu'elle se mouvait comme un serpent attendant sa pitance, je me refusais pour le moment de répondre à son agonie. Je lui donnais ainsi un coup de croc sur l'épaule en faisant grimper la température de mon corps à un point suffisant pour lui donner plus de fièvre encore. La stimulation s'étendait sur chaque parcelle de la toile blanche qu'était sa silhouette, sur les deux entrées de son intimité ne demandaient qu'à d'être dérobés totalement. Dans l'attente, le petit jouet se faisait toujours aussi joyeux entre ses fesses tandis que mon navire de la disgrâce ne rentrait pas encore à bon port pour naviguer sur ce liquide clair. Je la faisais languir, je lui soufflais des atrocités mesquines mais excitantes au creux de l'oreille pour l'affoler. Même un homme n'aurait pas pu dire plus sale. Je savais pertinemment que je le paierai à un moment donné mais les conséquences n'en seraient que plus succulentes.
L'épée se plantait seulement à demi, la faisant geindre comme une tigresse effarouchée par des instincts primaires. J'évitais ses secousses sur un rictus à mesure qu'elle lançait l'assaut pour se faire empaler sans ménagement sur des couinements exaspérés. Mais je sentais que la révolte allait finir par éclater. Il ne fallait jamais faire attendre le Secret trop longtemps.
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Ven 26 Mar 2021 - 11:12
Je ne me suis pas retenue avec elle, car je lui ai promis de m’abandonner à elle toute entière, à faire tomber la moindre de mes barrières cette nuit. Je n’ai pas contenu mon intense désir car je veux te transmettre à quel point ce que tu me fais est bon Riven. Je veux que tu ressentes mon appétit féroce pour ces caresses expertes don tu fais usage sur ma personne effarouchée. Et c’est avec ce cris que je t’arrache que je comprends que tu t’es livrée autant à moi que je l’ai fait. Il n’y a pas de barrière entre nous et je peux te montrer ce que c’est vraiment que d’arriver à me posséder, moi, celle qui possède l’esprit des gens. On plaisir t’es subordonné, emprisonné et offert en totalité et je gage que mon extase te submerge autant que moi tandis que je te sens jaillir rageusement depuis ton antre sur ton harnais jusqu’aux drap où ton sirop se mélange au mien.
Elle se saisit de moi avec brutalité, mauvaise d’avoir perdue pied pendant un instant par ma faute et de ne pas avoir dompter ma félinité sauvage. Elle m’attrape à la gorge ce qui ne fait qu’augmenter mon plaisir alors que je suis contrainte et forcée de la regarder, plongeant mon regard noisette dans ses yeux azurés. Mes lèvres se desserrent dans un sourire conquit, laissant sortir très légèrement cette langue qui cherche à atteindre celles de mon bourreau. Je sens sa main venir se saisir de ce trésor enfouit dans cette caverne marine ayant déjà laisser échapper les eaux. Sans même rompre le contact visuel, connaissant déjà par cœur le chemin serpentant entre cette vallée vers l’autre plus basse elle dirigea l’attention de son souffre. Je la sens s’arrêter devant cette porte, ce sas d’une autre sorte mais dont les défenses ont déjà été vaincu par mes propres sécrétions. Mus le désir de la sentir elle, je ne peux résister à donner un léger coup de bassin pour sentir son index se lancer brièvement dans une sombre aventure en poussant son vibrant acolyte en mon séant. Je ne peux pas plus résister à faire virer une nouvelle fois mes yeux à l’émeraude scintillante en lui partageant l’émoi qui est le mien un bref instant. Ce tourment de sentiment et d’excitation, de dévotion et supplication qui est le mien.
Elle me retourne violemment sur le côté et je peux à nouveau sentir sa poitrine se caler tout contre mon dos humide. La sensation de cette divine proximité m’ensorcelle et m’enivre à nouveau. Sa main gauche vient se saisir de ma cuisse et la relève un peu plus haut. Je décide de l’aider un peu dans sa besogne en soutenant ma jambe à la hauteur souhaitée. Je sens alors ce bout bombé et siliconé qui vient tâter mes chairs, caresser mes pétales gonflés, chauds et humides de par le désir que m’inspire la présence et les caresses précédentes de Riven. Les ondulations saccadées de ma partenaire sont là pour me faire languir, et ça marche. Son timide soldat reste à l’entrée de cet horizon de plaisir qui est le mien, mais avec notre proximité je peux sentir le corps de Riven s’échauffer de plus en plus, son plaisir montant lentement en pression à mesure que le mien augmente. De ma main libre je viens maintenir sa tête lors d’un énième coup de croc sur peau de porcelaine pour qu’elle maintienne son office, avouant mon envie d’être sienne un peu plus et ne résistant pas à libérer une nouvelle fois mon pouvoir pour lui montrer à un tout autre niveau.
La perversité de Riven est finalement sans commune mesure et ses mots sont un divin supplice à mes oreilles rendues fiévreuse. Mes gémissements maintenant son plus chargés encore qu’avant grâce au va et va viens sensuel qu’elle effectue en moi en plus de cette stimulation dans mon obscurité. Je ne fais que suivre ses dires en lui livrant de façon soupirée les tréfonds sordides de mes envies avec elle.
Elle ne manque pas de me faire gindre comme une jeune effarouchée désireuse d’en avoir plus encore alors qu’elle se refuse à moi. J’essaye d’accompagner ses mouvements pour la faire pénétrer plus avant et la sentir totalement en moi, mais elle s’y refuse encore et encore. Cette divine frustration ne fait qu’accentuer mon désir pour elle et mes mains s’égarent encore et encore sur mon corps, venant attraper mon bouton de rose pour le stimuler à défaut d’en sentir davantage en moi.
Alors que mes lèvres cherchent à joindre les siennes depuis le début de notre nouvelle danse, je réussi enfin à lui voler un baiser. C’est là que se situe ma contre-attaque car la chaîne me contraint à rester dans ses serres. Je décide de lui partager un condensé de ma situation depuis qu’elle m’échauffe l’esprit en limant timidement mes entrailles. Mais aussi la montée en puissance de tout à l’heure que je ramène à son bon souvenir avant de lui partager mes fantasmes les plus audacieux pour elle et moi ce soir don je devine assez aisément qu’elle saurait les exaucer avec son armoire à délice. J’espère que ces assauts dans son esprit lui plaisent car c’est ça me posséder totalement. Comprends-tu Riven à quel point partager ma couche et ces instants avec moi n’a rien n’a voir avec le reste du monde ? Je l’avoue, je te toise légèrement du regard un bref instant, confortée narcissiquement en sachant que je suis une expérience unique.
D’un ton chaud et annexé à sa volonté, je lui dis qu’il est tant qu’elle me possède totalement, mais d’une manière particulièrement avilissante pour ma personne en mon comparante à un simple quadrupède docile. Je te supplie ma Rive d’être toi et d’abandonner ta raison cette nuit de sensations uniques que nous allons partager car il n’y plus rien d’autre qui puisse compter pour moi en cet instant.
Elle se saisit de moi avec brutalité, mauvaise d’avoir perdue pied pendant un instant par ma faute et de ne pas avoir dompter ma félinité sauvage. Elle m’attrape à la gorge ce qui ne fait qu’augmenter mon plaisir alors que je suis contrainte et forcée de la regarder, plongeant mon regard noisette dans ses yeux azurés. Mes lèvres se desserrent dans un sourire conquit, laissant sortir très légèrement cette langue qui cherche à atteindre celles de mon bourreau. Je sens sa main venir se saisir de ce trésor enfouit dans cette caverne marine ayant déjà laisser échapper les eaux. Sans même rompre le contact visuel, connaissant déjà par cœur le chemin serpentant entre cette vallée vers l’autre plus basse elle dirigea l’attention de son souffre. Je la sens s’arrêter devant cette porte, ce sas d’une autre sorte mais dont les défenses ont déjà été vaincu par mes propres sécrétions. Mus le désir de la sentir elle, je ne peux résister à donner un léger coup de bassin pour sentir son index se lancer brièvement dans une sombre aventure en poussant son vibrant acolyte en mon séant. Je ne peux pas plus résister à faire virer une nouvelle fois mes yeux à l’émeraude scintillante en lui partageant l’émoi qui est le mien un bref instant. Ce tourment de sentiment et d’excitation, de dévotion et supplication qui est le mien.
Elle me retourne violemment sur le côté et je peux à nouveau sentir sa poitrine se caler tout contre mon dos humide. La sensation de cette divine proximité m’ensorcelle et m’enivre à nouveau. Sa main gauche vient se saisir de ma cuisse et la relève un peu plus haut. Je décide de l’aider un peu dans sa besogne en soutenant ma jambe à la hauteur souhaitée. Je sens alors ce bout bombé et siliconé qui vient tâter mes chairs, caresser mes pétales gonflés, chauds et humides de par le désir que m’inspire la présence et les caresses précédentes de Riven. Les ondulations saccadées de ma partenaire sont là pour me faire languir, et ça marche. Son timide soldat reste à l’entrée de cet horizon de plaisir qui est le mien, mais avec notre proximité je peux sentir le corps de Riven s’échauffer de plus en plus, son plaisir montant lentement en pression à mesure que le mien augmente. De ma main libre je viens maintenir sa tête lors d’un énième coup de croc sur peau de porcelaine pour qu’elle maintienne son office, avouant mon envie d’être sienne un peu plus et ne résistant pas à libérer une nouvelle fois mon pouvoir pour lui montrer à un tout autre niveau.
La perversité de Riven est finalement sans commune mesure et ses mots sont un divin supplice à mes oreilles rendues fiévreuse. Mes gémissements maintenant son plus chargés encore qu’avant grâce au va et va viens sensuel qu’elle effectue en moi en plus de cette stimulation dans mon obscurité. Je ne fais que suivre ses dires en lui livrant de façon soupirée les tréfonds sordides de mes envies avec elle.
Elle ne manque pas de me faire gindre comme une jeune effarouchée désireuse d’en avoir plus encore alors qu’elle se refuse à moi. J’essaye d’accompagner ses mouvements pour la faire pénétrer plus avant et la sentir totalement en moi, mais elle s’y refuse encore et encore. Cette divine frustration ne fait qu’accentuer mon désir pour elle et mes mains s’égarent encore et encore sur mon corps, venant attraper mon bouton de rose pour le stimuler à défaut d’en sentir davantage en moi.
Alors que mes lèvres cherchent à joindre les siennes depuis le début de notre nouvelle danse, je réussi enfin à lui voler un baiser. C’est là que se situe ma contre-attaque car la chaîne me contraint à rester dans ses serres. Je décide de lui partager un condensé de ma situation depuis qu’elle m’échauffe l’esprit en limant timidement mes entrailles. Mais aussi la montée en puissance de tout à l’heure que je ramène à son bon souvenir avant de lui partager mes fantasmes les plus audacieux pour elle et moi ce soir don je devine assez aisément qu’elle saurait les exaucer avec son armoire à délice. J’espère que ces assauts dans son esprit lui plaisent car c’est ça me posséder totalement. Comprends-tu Riven à quel point partager ma couche et ces instants avec moi n’a rien n’a voir avec le reste du monde ? Je l’avoue, je te toise légèrement du regard un bref instant, confortée narcissiquement en sachant que je suis une expérience unique.
D’un ton chaud et annexé à sa volonté, je lui dis qu’il est tant qu’elle me possède totalement, mais d’une manière particulièrement avilissante pour ma personne en mon comparante à un simple quadrupède docile. Je te supplie ma Rive d’être toi et d’abandonner ta raison cette nuit de sensations uniques que nous allons partager car il n’y plus rien d’autre qui puisse compter pour moi en cet instant.
Etilya sur DK RPG
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Lun 5 Avr 2021 - 14:07
La douleur. Je la sentais grimper tout autant que je jouais à la souffler dans les chaires larmoyantes d'Irina. J'avais la sensation que mon corps me brûlait furieusement et qu'il se trouvait sous une tension survoltée qui ne se dissipait pas. Sur ce baiser volé, j'avais amplement deviné qu'elle cherchait à m'attirer, à étrangler mon contrôle pour le faire voler en éclat à mesure que son corps m'invitait à la combler. Toutes ses pensées qu'elle déclenchait à mon intention venait se formaliser dans mon propre esprit comme un harcèlement des désirs que le Secret me soumettait et m'ordonnait pratiquement de réaliser avec la menace de son sort me faisant trembler l'âme. J'avais toujours eu pour habitude de me contenir dans tout ce que j’entreprenais. Je me retenais d'être en colère, je me retenais d'être triste, je me retenais simplement d'éprouver. Mais ces supplications hurlantes et bouillonnantes qui tourbillonnaient sur les délices de mon fantasme, me faisaient céder petit à petit pour ouvrir une brèche sur un contrôle maniaque et omniprésent.
Elle diluait l'acier de mon bouclier habituel dans l'alcool de ses réclamations bien plus enivrantes qu'une bouteille de vodka. Ces murmures outrageants glissèrent à mon oreille comme un sortilège du vice tandis qu'elle se mettait sur une posture scandaleuse de celle qui attend son heure dans une dévotion totale. Ce fut à mes yeux un spectacle bien trop alléchant pour parvenir à y résister. Je me redressais ainsi derrière elle en plaquant ma main sur sa nuque pour plaquer sa joue sur le drap soyeux de nos ébats. Je fis apparaître une nuée de flammèche sur mes doigts qui vinrent mordre la peau de son dos soyeux sur une brûlure piquante et vive avant de me saisir de sa chevelure comme vous harnacheriez un canasson. J'expédiais ensuite l'objet de mes ardeurs entre les rideaux de son cortège qui bavait ses émois débordant. Je transpirais sur elle tandis que ma raison s'assombrissait pour laisser la place à la frénésie de ce moment. J'y enfilais ma queue furieusement pour sacraliser mon ascension sur le territoire de sa bouche transpirante de perles cristallines. Je cambrais mes reins à répétition pour taper voracement sur ses profondes entrailles alors que je tenais toujours d'une main sa tignasse blonde. Je m'y adonnais toujours plus fort et plus vite avec endurance sur une respiration haletante avec la ferme volonté de la faire plus sale encore. Je m'acharnais donc sur cette tâche en la secouant de mes attaques agressives sur des coups de bassins intrusifs pour venir taper la profondeur de cette gorge qui la grattait. L'engin accessoirisé venait se heurter sur les parois de cette entrée exquise sur un bruit de succions d'où se dégageait l'odeur d'un nectar aphrodisiaque qui coulait sur ce tronc qui me chatouillait les narines. Une effluve de sexe qui embaumait l'ambiance et mes sens sur une touche de supplice.
Je me redressais ensuite sur les genoux tout en me malaxant la poitrine sur des râles fiévreux. L'intensité de cette fusion obscène me faisait transpirer l'entrecuisse bien qu'à mon grand damne, je me voyais prise d'un étrange sentiment de rage agonisante. Je demeurais moi-même prisonnière de la fièvre que j'injectais dans nos veines respectives mais je poursuivais de labourer ses champs pour y récolter ses gémissements. Ses hanches claquaient contre les miennes et je ne pouvais m'empêcher d'observer ce va et vient fougueux qui s'échangeait entre mon glaive et ce fourreau trempé sur une œillade voyeuse et succulente. La satisfaction même de me voir la faucher ainsi faisaient jaillir ces contractions entre mes cuisses à mesure que je la perçais de mes assauts. J'avais l'impression de prendre feu comme une torche humaine, dépossédée de moi-même mais remplie d'une braise embrasée. J'ondulais en elle sur des secousses violentes et toniques en me touchant rageusement à mon tour instinctivement. Je la remplissais de ma présence, de mon mât qui s'insérait en elle pour ressortir et y entrer de nouveau avec une hâte non dissimulée. Je raclais ses tréfonds avec impolitesse alors que ma poitrine retombait sur son dos. Je glissais alors un doigt dans sa bouche tout en m’émerveillant de cette union où nous nous enlacions pleinement. Je l'incendiais, la carbonisais de ma fougue désormais qui ne se retenait plus dans son obsession de la pénétrer avec délire. Je la sentais souffrir de mon déchaînement tandis que je me déchargeais de cris pour accompagner les siens. Une emprise vorace qui se déversait dans ses tripes, remontant aussi jusqu'à mon ventre dans une boucle des partages du plaisir. Je déferlais ma sentence brutale et exacerbée en humant le parfum de ses cheveux toujours en la tirant, la choquant de mon offensive.
Je ne pouvais pas espérer plus belle négociation finalement, ou plus bel engagement de nos deux parties. Cette vibration si extatique qui nous emportait en dehors de nos limites respectives.
Elle diluait l'acier de mon bouclier habituel dans l'alcool de ses réclamations bien plus enivrantes qu'une bouteille de vodka. Ces murmures outrageants glissèrent à mon oreille comme un sortilège du vice tandis qu'elle se mettait sur une posture scandaleuse de celle qui attend son heure dans une dévotion totale. Ce fut à mes yeux un spectacle bien trop alléchant pour parvenir à y résister. Je me redressais ainsi derrière elle en plaquant ma main sur sa nuque pour plaquer sa joue sur le drap soyeux de nos ébats. Je fis apparaître une nuée de flammèche sur mes doigts qui vinrent mordre la peau de son dos soyeux sur une brûlure piquante et vive avant de me saisir de sa chevelure comme vous harnacheriez un canasson. J'expédiais ensuite l'objet de mes ardeurs entre les rideaux de son cortège qui bavait ses émois débordant. Je transpirais sur elle tandis que ma raison s'assombrissait pour laisser la place à la frénésie de ce moment. J'y enfilais ma queue furieusement pour sacraliser mon ascension sur le territoire de sa bouche transpirante de perles cristallines. Je cambrais mes reins à répétition pour taper voracement sur ses profondes entrailles alors que je tenais toujours d'une main sa tignasse blonde. Je m'y adonnais toujours plus fort et plus vite avec endurance sur une respiration haletante avec la ferme volonté de la faire plus sale encore. Je m'acharnais donc sur cette tâche en la secouant de mes attaques agressives sur des coups de bassins intrusifs pour venir taper la profondeur de cette gorge qui la grattait. L'engin accessoirisé venait se heurter sur les parois de cette entrée exquise sur un bruit de succions d'où se dégageait l'odeur d'un nectar aphrodisiaque qui coulait sur ce tronc qui me chatouillait les narines. Une effluve de sexe qui embaumait l'ambiance et mes sens sur une touche de supplice.
Je me redressais ensuite sur les genoux tout en me malaxant la poitrine sur des râles fiévreux. L'intensité de cette fusion obscène me faisait transpirer l'entrecuisse bien qu'à mon grand damne, je me voyais prise d'un étrange sentiment de rage agonisante. Je demeurais moi-même prisonnière de la fièvre que j'injectais dans nos veines respectives mais je poursuivais de labourer ses champs pour y récolter ses gémissements. Ses hanches claquaient contre les miennes et je ne pouvais m'empêcher d'observer ce va et vient fougueux qui s'échangeait entre mon glaive et ce fourreau trempé sur une œillade voyeuse et succulente. La satisfaction même de me voir la faucher ainsi faisaient jaillir ces contractions entre mes cuisses à mesure que je la perçais de mes assauts. J'avais l'impression de prendre feu comme une torche humaine, dépossédée de moi-même mais remplie d'une braise embrasée. J'ondulais en elle sur des secousses violentes et toniques en me touchant rageusement à mon tour instinctivement. Je la remplissais de ma présence, de mon mât qui s'insérait en elle pour ressortir et y entrer de nouveau avec une hâte non dissimulée. Je raclais ses tréfonds avec impolitesse alors que ma poitrine retombait sur son dos. Je glissais alors un doigt dans sa bouche tout en m’émerveillant de cette union où nous nous enlacions pleinement. Je l'incendiais, la carbonisais de ma fougue désormais qui ne se retenait plus dans son obsession de la pénétrer avec délire. Je la sentais souffrir de mon déchaînement tandis que je me déchargeais de cris pour accompagner les siens. Une emprise vorace qui se déversait dans ses tripes, remontant aussi jusqu'à mon ventre dans une boucle des partages du plaisir. Je déferlais ma sentence brutale et exacerbée en humant le parfum de ses cheveux toujours en la tirant, la choquant de mon offensive.
Je ne pouvais pas espérer plus belle négociation finalement, ou plus bel engagement de nos deux parties. Cette vibration si extatique qui nous emportait en dehors de nos limites respectives.
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