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Farah Neferet Assaad#106251#106251#106251#106251#106251#106251#106251
Changelin Serpent - Civil
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Mar 10 Aoû 2021 - 23:11
Les grands esprits se rencontrent
feat Kaiya Lovzanski
Kaiya semble séduite par mon discours sur l'Égypte et ses mystères, et je n'en suis que plus enthousiaste. Il est vraiment stimulant de pouvoir converser avec une habitante locale de mon pays natal et son histoire riche de plusieurs millénaires. Je serai en tout cas ravie de reprendre le sujet plus tard en compagnie de Mama. Elle aussi sera contente de conter ses histoires à une japonaise, j'en suis certaine. Je hoche donc vigoureusement la tête en signe d'accord. En plus j'adore le thé.
Si elle se montre aussi curieuse pour les mythes égyptiens, je ne doute pas qu'elle saura apprécier ses plaisirs gastronomiques. Ils sont certes très différents des saveurs locales, et rien ne dit qu'elle aimera tout. Mais j'espère qu'elle y trouvera son bonheur. De toute façon, il faut goûter pour se faire une idée.
L'allusion à une future potentielle collaboration m'arrache un sourire émerveillé et j'aurais bien frappé dans mes mains sous l'émotion, si je n'avais pas les bras chargés de livres. Je me contente de hocher la tête.
La conversation s'oriente ensuite sur la conférence de ce dimanche qui approche à grands pas. Je pensais d'abord Kaiya sceptique sur les rumeurs qui courent en ce moment, mais finalement, ses doutes se portent surtout sur ce qu'elle soulève comme une étrange coïncidence au niveau du timing. Je penche la tête sur le côté, pensive. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle.
Oui, c'est un peu hypocrite de dire ça quand j'appartiens moi-même à un peuple d'origine surnaturelle. Mais il faut bien sauver les apparences un petit peu. Je m'humecte les lèvres avant de grimacer en sentant les muscles de mes bras protester. Rester debout sans bouger avec une telle charge, ils n'apprécient pas. Je serais bien rentrée dans la salle des profs pour attendre ma mère, qu'elle puisse me ramener en voiture, mais je ne souhaite pas pour autant quitter ma nouvelle camarade, qui ne doit pas s'éloigner de son groupe. Mon regard glisse sur ce qui m'entoure et s'arrête sur un banc qui longe un parterre de fleurs.
Je m'approche du banc, le dépoussière un peu pour ne pas tâcher la couverture de mes emprunts, puis je dépose mon fardeau sur le bois blanc. Je retire ensuite mon sac qui tire sur mes épaules, avant de m'asseoir en me massant les bras. Dieu que ça fait du bien.
Pour le coup je n'en sais vraiment pas plus. Ma mère me tient volontairement à l'écart des informations qu'elle peut récolter par le Conseil, et je ne cherche pas à en savoir plus. J'angoisse déjà bien assez facilement, inutile de me rajouter une source d'anxiété en découvrant les sombres mystères de ces légendes.
"Oui avec grand plaisir ! Vous pourriez passer chez moi un après-midi, je vous ferai goûter les spécialités de chez moi comme ça."
Si elle se montre aussi curieuse pour les mythes égyptiens, je ne doute pas qu'elle saura apprécier ses plaisirs gastronomiques. Ils sont certes très différents des saveurs locales, et rien ne dit qu'elle aimera tout. Mais j'espère qu'elle y trouvera son bonheur. De toute façon, il faut goûter pour se faire une idée.
L'allusion à une future potentielle collaboration m'arrache un sourire émerveillé et j'aurais bien frappé dans mes mains sous l'émotion, si je n'avais pas les bras chargés de livres. Je me contente de hocher la tête.
"Ce serait formidable en effet ! L'avenir nous le dira !"
La conversation s'oriente ensuite sur la conférence de ce dimanche qui approche à grands pas. Je pensais d'abord Kaiya sceptique sur les rumeurs qui courent en ce moment, mais finalement, ses doutes se portent surtout sur ce qu'elle soulève comme une étrange coïncidence au niveau du timing. Je penche la tête sur le côté, pensive. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle.
"Hmmm, je ne sais pas… Le programme de son intervention est très flou. Rien ne dit qu'il va parler du code génétique des lycans. Il s'agit peut-être simplement d'une rétrospective sur l'improbabilité scientifique de l'existence d'une telle race. Personnellement, j'attends de voir avant de porter un jugement sur le contenu d'un discours. Je suis curieuse d'en savoir plus. En tout cas, jusqu'à ce que les journaux en parlent, je n'étais pas vraiment au courant de toutes ces histoires. Jusqu'il y a peu, les vampires et les loup-garous relevaient du mythe pour moi, haha."
Oui, c'est un peu hypocrite de dire ça quand j'appartiens moi-même à un peuple d'origine surnaturelle. Mais il faut bien sauver les apparences un petit peu. Je m'humecte les lèvres avant de grimacer en sentant les muscles de mes bras protester. Rester debout sans bouger avec une telle charge, ils n'apprécient pas. Je serais bien rentrée dans la salle des profs pour attendre ma mère, qu'elle puisse me ramener en voiture, mais je ne souhaite pas pour autant quitter ma nouvelle camarade, qui ne doit pas s'éloigner de son groupe. Mon regard glisse sur ce qui m'entoure et s'arrête sur un banc qui longe un parterre de fleurs.
"ça ne vous dérange pas si on s'assoit quelques minutes ? ça commence à faire lourd, haha."
Je m'approche du banc, le dépoussière un peu pour ne pas tâcher la couverture de mes emprunts, puis je dépose mon fardeau sur le bois blanc. Je retire ensuite mon sac qui tire sur mes épaules, avant de m'asseoir en me massant les bras. Dieu que ça fait du bien.
"Vous disiez que les loup-garous sont apparus en novembre… vous avez l'air bien renseignée sur ce qui se passe en ce moment. Mais à mon avis, ils ne sont pas arrivés du jour au lendemain. ça se trouve, ils existent depuis très longtemps, mais leur existence a été mise en lumière très récemment suite à cette fameuse nuit d'Halloween. Un peu comme les vampires et cette rumeur qui court depuis l'histoire de la vidéo..."
Pour le coup je n'en sais vraiment pas plus. Ma mère me tient volontairement à l'écart des informations qu'elle peut récolter par le Conseil, et je ne cherche pas à en savoir plus. J'angoisse déjà bien assez facilement, inutile de me rajouter une source d'anxiété en découvrant les sombres mystères de ces légendes.
"Interrogations"
Etilya sur DK RPG
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Mer 11 Aoû 2021 - 14:20
Les grands esprits se rencontrent
Farah semble être totalement conquise par l’idée de me dévoiler un peu plus de détails sur l’histoire de son peuple et de ses subtilités. C’est une perspective des plus enrichissante qui m’assaille maintenant, celle de passer une après-midi avec cette demoiselle des plus gentilles pour parler de ça et goûter des spécialités. Je songe alors qu’il serait peut-être possible qu'Ôkamiro connaisse également des spécialités de son pays et qu’il pourrait en préparer en guise de remerciement pour m’accueillir. Toutefois, alors que cette pensée se présente à mon esprit, se songe au fait que je ne peux pas accepter sans l’aval de mes tuteurs... ”Cette invitation me remplit de joie, mais je ne peux pas accepter tout de suite. Il faut que j’en parle à mes tuteurs pour avoir la permission. Mais je pense qu’ils devraient dire oui.“ Je présume un peu vite de l’accord d’Anzu et Ôkamiro, mais rien n'est impossible, après tout, je suis bien à l’université aujourd’hui car j’ai prouvé que je suis capable de me contenir.
L’euphorie nous prend aux tripes toutes les c’est évident. J’arrive à sentir la sincérité de Farah dans ses mots alors qu’elle révèle ses espoirs sur l’avenir que nous pourrions avoir toutes les deux. Ce serait vraiment très formidable en effet de me faire une amie si chère que ce serait dans l’avenir une collègue exceptionnelle.
Nous sommes d’accord sur un point, la logique prime et il ne faut présumer de rien, c’est une caractéristique de la pensée d’une personne que j’estime le plus, toujours conserver l’esprit critique. Le fait qu’il intervienne en effet ne prouve pas qu’il va parler de ces créatures à un niveau génétique, mais ça n’en reste pas moins assez curieux comme coïncidence qu'il soit là lors d’un confinement militaire pour traiter d’un sujet qui n’est devenu public que depuis quelques mois. Il est possible toutefois comme elle l’avance qu’il parle de ce sujet de façon spéculative en avançant les différents points d’impossibilité de trouver ces êtres à l'état naturel. Mais s'il parle plus en profondeur du sujet, il faudra que j'en parle à Anzu et Ôkamiro. ” C’est vrai, tu as raison. Il a peut-être étudié le sujet sous cet angle. Pour moi aussi c’est tout nouveau de considérer ces créatures comme une réalité.“ Et c’est peu dire même.
J’acquiesce de la tête alors qu'elle suggère de nous asseoir sur un banc qui se trouve tout près. Mais alors qu’elle dépoussière le banc j’ai comme un mal de crâne assez fulgurant. Non, en fait ce sont mes oreilles le problème. Il y a la fin d’un cours sans doute et beaucoup de monde passe par cette place qui se bonde de personnes traversant le campus pour se rendre à leur prochaine leçon. Il y a de la musique, des appels téléphoniques, des conversation bruyantes, des éclats de rire et plus encore. J’entends tout à cause de mes capacités auditives je suppose. Je ne me suis pas assez concentré pour contenir mon être à ce qu'il semblait et ça m’oblige à me tenir la tête momentanément. Il faut que je me calme un instant avant de retrouver le sourire tout en espérant que ça ne s’est pas trop vu.
”Je pense que vous avez raison. Cette espèce ne peut pas être apparue en novembre dernier. Mais il est donc peu probable qu’un scientifique humain étranger ait des informations là-dessus. Enfin en tout cas, vous verrez bien le contenu de la conférence.
Pour ma part je dois dire que j’ai vu la fameuse vidéo, ainsi que les quelques vidéos qui parfois apparaissent avant de disparaître. Mais ça semble tellement irréel tout ça.... “
L’euphorie nous prend aux tripes toutes les c’est évident. J’arrive à sentir la sincérité de Farah dans ses mots alors qu’elle révèle ses espoirs sur l’avenir que nous pourrions avoir toutes les deux. Ce serait vraiment très formidable en effet de me faire une amie si chère que ce serait dans l’avenir une collègue exceptionnelle.
Nous sommes d’accord sur un point, la logique prime et il ne faut présumer de rien, c’est une caractéristique de la pensée d’une personne que j’estime le plus, toujours conserver l’esprit critique. Le fait qu’il intervienne en effet ne prouve pas qu’il va parler de ces créatures à un niveau génétique, mais ça n’en reste pas moins assez curieux comme coïncidence qu'il soit là lors d’un confinement militaire pour traiter d’un sujet qui n’est devenu public que depuis quelques mois. Il est possible toutefois comme elle l’avance qu’il parle de ce sujet de façon spéculative en avançant les différents points d’impossibilité de trouver ces êtres à l'état naturel. Mais s'il parle plus en profondeur du sujet, il faudra que j'en parle à Anzu et Ôkamiro. ” C’est vrai, tu as raison. Il a peut-être étudié le sujet sous cet angle. Pour moi aussi c’est tout nouveau de considérer ces créatures comme une réalité.“ Et c’est peu dire même.
J’acquiesce de la tête alors qu'elle suggère de nous asseoir sur un banc qui se trouve tout près. Mais alors qu’elle dépoussière le banc j’ai comme un mal de crâne assez fulgurant. Non, en fait ce sont mes oreilles le problème. Il y a la fin d’un cours sans doute et beaucoup de monde passe par cette place qui se bonde de personnes traversant le campus pour se rendre à leur prochaine leçon. Il y a de la musique, des appels téléphoniques, des conversation bruyantes, des éclats de rire et plus encore. J’entends tout à cause de mes capacités auditives je suppose. Je ne me suis pas assez concentré pour contenir mon être à ce qu'il semblait et ça m’oblige à me tenir la tête momentanément. Il faut que je me calme un instant avant de retrouver le sourire tout en espérant que ça ne s’est pas trop vu.
”Je pense que vous avez raison. Cette espèce ne peut pas être apparue en novembre dernier. Mais il est donc peu probable qu’un scientifique humain étranger ait des informations là-dessus. Enfin en tout cas, vous verrez bien le contenu de la conférence.
Pour ma part je dois dire que j’ai vu la fameuse vidéo, ainsi que les quelques vidéos qui parfois apparaissent avant de disparaître. Mais ça semble tellement irréel tout ça.... “
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Farah Neferet Assaad#106362#106362#106362#106362#106362#106362#106362
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Mer 15 Sep 2021 - 22:05
Les grands esprits se rencontrent
feat Kaiya Lovzanski
Kaiya est très enthousiaste à l'idée de passer chez moi. Bien sûr, comme elle le mentionne, il lui faudra l'accord de ses tuteurs, mais cela ne devrait pas poser de problème, semble-t-il. Je comprends qu'elle doive rendre des compte. En ce moment il est plus prudent de prévenir ses parents de ses allers et venues. S'ils devaient juger que cette sortie trop loin de chez elle présenterait trop de risque je ne leur en voudrait pas. Après tout, ce n'est qu'une proposition, elle n'engage personne et rien ne nous oblige à la mettre en œuvre dans la semaine.
Je la vois se prendre soudainement la tête entre ses mains, souffrant visiblement d'une soudaine migraine. Je lui jette un regard inquiet.
Toutefois elle se remet vite de cette douleur passagère et m'indique de ne point m'en faire pour sa santé. Je ne la connais pas, mais je décide de faire confiance en mon instinct, qui me souffle que ce n'était que passager. Mon regard accroche le groupe d'élèves qui vient de sortir d'un cours et je m'humecte les lèvres, percevant au passage les nouvelles fragrances qui les accompagnent. Kaiya me ramène à la réalité avec une réflexion certes pertinente.
Information ou désinformation ? Peut être que ce virologue n'est pas celui qu'il prétend. Peut être qu'il n'est pas humain et cherche à tromper son auditoire, ou à noyer le poisson. J'avoue être dubitative. Mais c'est peut être parce que je l'ai déjà vu à l'œuvre un jour dans un amphithéâtre et que j'ai été captivée par le contenu de son cours. Je ne suis sans doute pas objective. Je frissonne en entendant Kaiya parler de cette vidéo.
Angoissée comme je suis, je risquerais réellement de considérer n'importe quel passant comme un monstre sanguinaire et je serais terrifiée à chaque instant. Ce ne serait pas une vie. Même s'il est bien de se méfier et d'avoir peur lorsque la sécurité est en jeu, il ne faut pas non plus s'empêcher de vivre.
J'ai beau appartenir au monde du surnaturel, je ne me sens pas plus préparée à cette réalité. Les sorciers ont existé et ont survécu, ce n'est pas un problème. Mais des creatures immortelles comme les vampires et les lycans… nous autres changelins ne sommes pas de taille pour y faire face. Pas seuls en tout cas. À supposer qu'une race autre soit capable de les confronter.
Je pose mes mains sur mes épaules pour me les frictionner.
Un sourire chaleureux illumine mon visage en cet instant tandis que mes mains descendent sur mes genoux. Elle a été la meilleure chose qui me soit arrivée depuis que je suis ici -ça, et le retour de mon cousin, bien sûr. On a tant en commun, elle et moi. Toutes les deux plus jeunes que la majorité des étudiants, toutes les deux diplômées à quinze ans, toutes les deux d'une nature différente du commun des mortels… Mon regard glisse sur Kaiya et je fixe ses prunelles brillantes d'intelligence. A peu de choses près, elle aussi nous ressemble. Je suis sûre qu'elles s'entendraient à merveille toutes les deux.
Je la vois se prendre soudainement la tête entre ses mains, souffrant visiblement d'une soudaine migraine. Je lui jette un regard inquiet.
"Est-ce que ça va ?"
Toutefois elle se remet vite de cette douleur passagère et m'indique de ne point m'en faire pour sa santé. Je ne la connais pas, mais je décide de faire confiance en mon instinct, qui me souffle que ce n'était que passager. Mon regard accroche le groupe d'élèves qui vient de sortir d'un cours et je m'humecte les lèvres, percevant au passage les nouvelles fragrances qui les accompagnent. Kaiya me ramène à la réalité avec une réflexion certes pertinente.
"Hmm. Je n'avais pas vu les choses sous cet angle. On peut en effet s'interroger sur l'objectif de cette conférence… Je verrai le moment venu. Je tâcherai de prendre un maximum de notes pour vous faire un compte rendu aussi complet que possible."
Information ou désinformation ? Peut être que ce virologue n'est pas celui qu'il prétend. Peut être qu'il n'est pas humain et cherche à tromper son auditoire, ou à noyer le poisson. J'avoue être dubitative. Mais c'est peut être parce que je l'ai déjà vu à l'œuvre un jour dans un amphithéâtre et que j'ai été captivée par le contenu de son cours. Je ne suis sans doute pas objective. Je frissonne en entendant Kaiya parler de cette vidéo.
"Je ne l'ai pas vue en ce qui me concerne et je n'ai pas vraiment cherché à la voir. Je suis trop impressionnable, je serais capable d'en faire des cauchemars haha."
Angoissée comme je suis, je risquerais réellement de considérer n'importe quel passant comme un monstre sanguinaire et je serais terrifiée à chaque instant. Ce ne serait pas une vie. Même s'il est bien de se méfier et d'avoir peur lorsque la sécurité est en jeu, il ne faut pas non plus s'empêcher de vivre.
"Mais, oui, même avec cette preuve en image, on a du mal à y croire. En même temps, toutes les histoires que l'on croyait appartenir aux mythes s'avèrent vraies pour la plupart. C'est terrifiant d'imaginer toutes ces puissances brutes à l'œuvre… tout ce dont ces choses doivent être capables… On se sent tellement impuissant d'un seul coup."
J'ai beau appartenir au monde du surnaturel, je ne me sens pas plus préparée à cette réalité. Les sorciers ont existé et ont survécu, ce n'est pas un problème. Mais des creatures immortelles comme les vampires et les lycans… nous autres changelins ne sommes pas de taille pour y faire face. Pas seuls en tout cas. À supposer qu'une race autre soit capable de les confronter.
"Dans ces conditions, il n'est pas surprenant que certains préfèrent nier la vérité. C'est un mécanisme de défense courant pour protéger son esprit d'un fait trop choquant. Sans quoi ils deviendraient fous, d'une façon ou d'une autre."
Je pose mes mains sur mes épaules pour me les frictionner.
"Moi j'essaie de ne pas y penser. Je suis prudente bien sûr, Mama veille à ce que je ne prenne aucun risque. Mais il faut bien continuer à vivre. Et puis j'ai des personnes de confiance avec qui parler en cas de besoin. Ma mère bien sûr, Monsieur Smith et Monsieur Rhodes également, et ma meilleure amie Taichi aussi. On a la même façon de penser, alors on se comprend tellement bien."
Un sourire chaleureux illumine mon visage en cet instant tandis que mes mains descendent sur mes genoux. Elle a été la meilleure chose qui me soit arrivée depuis que je suis ici -ça, et le retour de mon cousin, bien sûr. On a tant en commun, elle et moi. Toutes les deux plus jeunes que la majorité des étudiants, toutes les deux diplômées à quinze ans, toutes les deux d'une nature différente du commun des mortels… Mon regard glisse sur Kaiya et je fixe ses prunelles brillantes d'intelligence. A peu de choses près, elle aussi nous ressemble. Je suis sûre qu'elles s'entendraient à merveille toutes les deux.
"Et vous, comment vous gérez cette situation ?"
"Qui se ressemble s'assemble"
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Lun 20 Sep 2021 - 12:17
Les grands esprits se rencontrent
Je ne suis pas encore trop habituée à ces sens qui sont les miens maintenant et parfois je relâche un peu trop mon attention et ces derniers prennent le pas sur moi. Ce n’est que passager, mais entendre autant de choses dans tous les sens a quelque chose de perturbant en plus d’être douloureux.
”Oui ça va bien. Juste un petit mal de tête passager. Rien de grave. “
Ça m’arrive tous les jours, plusieurs fois par jour depuis que nous avons été transformées avec ma sœur. Je crois que c’est un coup à prendre. Je fais en sorte de reprendre le contrôle en soufflant un bon coup pour que mes oreilles cessent de n’en faire qu’à leur tête.
Ma nouvelle amie me fait part de son avis sur la question de ce chercheur et de sa présence ici. Je crois que j’ai fait naître le doute dans son esprit, ou en tout cas titiller sa réserve. Ce n’est à mon sens pas sans raison qu’il est ici. Cette conférence est peut-être orchestrée dans le but de nous rassurer tous au sujet de ce qu’il se passe, mais avec un tel esprit venant de l’étranger, c’est un peu louche non ?
”J’ai déjà hâte de lire ces notes dans ce cas ! “
Ce sera une bonne raison de revoir Farah une autre fois en tous les cas. J’aime beaucoup sa façon d’être et de parler, mais j’ai comme une boule au ventre soudainement. Et si je perdais le contrôle une fois le soleil couché un jour où je suis avec elle ? Que je deviens un de ces monstre qui la fait cauchemarder la nuit ? C’est une pensé qui se trouve dans mon esprit depuis qu’on nous a transformé. Si je perds le contrôle sur l’animal qui est à l’intérieur de moi, je pourrai très bien tuer des gens innocents au même titre que ceux qui sont malades.
”Je te comprends. J’ai vu la vidéo dès que possible et c’est très impressionnant. Mais je dois bien avouer que j’ai longtemps cru qu’il s’agissait d’une vidéo faite pour faire de la pub pour un film sur les loups-garous de prévu. Je n’ai pas cru pendant vraiment longtemps qu’il s’agissait bien d’une attaque terrible ayant eu lieu à Halloween. “
La vidéo a tourné sur internet. Elle a été effacée de nombreuses fois et repostée par d’autres internautes qui l’ont enregistré dès qu’elle a été publiée initialement. C’est vrai que je peux comprendre Farah de ne pas avoir voulu regarder des images aussi violentes. C’est digne d’un film d’horreur grand budget et c’est clairement ce qui a été perçu par les gens. Un petit groupe de personnes sur le net a commencé à se poser de sérieuses questions, mais c’est en ville que ça parle le plus. Je n’ai jamais donner de crédit à cette vidéo et à celles qui sont apparues après, en pleine rue.
” Comme tu le dis, oui c’est ça, même avec les images on a du mal à croire qu’il s’agisse d’images authentiques. En même temps, c’est difficile de croire que des créatures comme celles-ci existent vraiment. “
C’est exactement ce qu’elle délivre comme pensé. Nous sommes dans le déni lorsqu’on n’accepte pas ce qu’il se passe vraiment. Il y a des créatures qui rodent la nuit pour s’attaquer à des innocents ou se battre avec d’autres êtres tout droit sortis de l’imaginaire collectif.
”Ah oui, en effet c’est le déni ça. C’est vrai qu’on peut clairement dire qu’il s’agit d’une forme de déni de nier avec force ce qu’il se passe dans la région. “
Comment je gère ça ? Et bien je dois dire qu’être une louve maintenant aide beaucoup à relativiser ce qu’il se passe ville pour tout dire. Dommage que je doive garder ça pour moi en cet instant. Mais c’est pourtant vrai. Avant j’avais presque peur que ce ne soit vrai, car si c’était une réalité, alors ça impliquait tellement de danger qu’il valait mieux ne pas y penser. Maintenant, j’ai l’impression de faire partie du problème.
”Dans mon cas c’est l’inverse, j’y pense tout le temps vu qu’on vivait dans la périphérie de la ville, dans les bois et maintenant chez nos tuteurs... bah nous sommes encore plus loin dans les bois. Autant dire que ce n’est pas évident de ne pas trop y penser. Mais comme tu le dis il faut continuer de vivre, on ne peut pas s’arrêter.
Après c’est plus facile peut être pour moi de gérer la situation, vu que je me déplace souvent avec ma sœur jumelle et qu’on en parle dès qu’on a besoin ça nous permet d’évacuer un peu le stress de la situation. “
”Oui ça va bien. Juste un petit mal de tête passager. Rien de grave. “
Ça m’arrive tous les jours, plusieurs fois par jour depuis que nous avons été transformées avec ma sœur. Je crois que c’est un coup à prendre. Je fais en sorte de reprendre le contrôle en soufflant un bon coup pour que mes oreilles cessent de n’en faire qu’à leur tête.
Ma nouvelle amie me fait part de son avis sur la question de ce chercheur et de sa présence ici. Je crois que j’ai fait naître le doute dans son esprit, ou en tout cas titiller sa réserve. Ce n’est à mon sens pas sans raison qu’il est ici. Cette conférence est peut-être orchestrée dans le but de nous rassurer tous au sujet de ce qu’il se passe, mais avec un tel esprit venant de l’étranger, c’est un peu louche non ?
”J’ai déjà hâte de lire ces notes dans ce cas ! “
Ce sera une bonne raison de revoir Farah une autre fois en tous les cas. J’aime beaucoup sa façon d’être et de parler, mais j’ai comme une boule au ventre soudainement. Et si je perdais le contrôle une fois le soleil couché un jour où je suis avec elle ? Que je deviens un de ces monstre qui la fait cauchemarder la nuit ? C’est une pensé qui se trouve dans mon esprit depuis qu’on nous a transformé. Si je perds le contrôle sur l’animal qui est à l’intérieur de moi, je pourrai très bien tuer des gens innocents au même titre que ceux qui sont malades.
”Je te comprends. J’ai vu la vidéo dès que possible et c’est très impressionnant. Mais je dois bien avouer que j’ai longtemps cru qu’il s’agissait d’une vidéo faite pour faire de la pub pour un film sur les loups-garous de prévu. Je n’ai pas cru pendant vraiment longtemps qu’il s’agissait bien d’une attaque terrible ayant eu lieu à Halloween. “
La vidéo a tourné sur internet. Elle a été effacée de nombreuses fois et repostée par d’autres internautes qui l’ont enregistré dès qu’elle a été publiée initialement. C’est vrai que je peux comprendre Farah de ne pas avoir voulu regarder des images aussi violentes. C’est digne d’un film d’horreur grand budget et c’est clairement ce qui a été perçu par les gens. Un petit groupe de personnes sur le net a commencé à se poser de sérieuses questions, mais c’est en ville que ça parle le plus. Je n’ai jamais donner de crédit à cette vidéo et à celles qui sont apparues après, en pleine rue.
” Comme tu le dis, oui c’est ça, même avec les images on a du mal à croire qu’il s’agisse d’images authentiques. En même temps, c’est difficile de croire que des créatures comme celles-ci existent vraiment. “
C’est exactement ce qu’elle délivre comme pensé. Nous sommes dans le déni lorsqu’on n’accepte pas ce qu’il se passe vraiment. Il y a des créatures qui rodent la nuit pour s’attaquer à des innocents ou se battre avec d’autres êtres tout droit sortis de l’imaginaire collectif.
”Ah oui, en effet c’est le déni ça. C’est vrai qu’on peut clairement dire qu’il s’agit d’une forme de déni de nier avec force ce qu’il se passe dans la région. “
Comment je gère ça ? Et bien je dois dire qu’être une louve maintenant aide beaucoup à relativiser ce qu’il se passe ville pour tout dire. Dommage que je doive garder ça pour moi en cet instant. Mais c’est pourtant vrai. Avant j’avais presque peur que ce ne soit vrai, car si c’était une réalité, alors ça impliquait tellement de danger qu’il valait mieux ne pas y penser. Maintenant, j’ai l’impression de faire partie du problème.
”Dans mon cas c’est l’inverse, j’y pense tout le temps vu qu’on vivait dans la périphérie de la ville, dans les bois et maintenant chez nos tuteurs... bah nous sommes encore plus loin dans les bois. Autant dire que ce n’est pas évident de ne pas trop y penser. Mais comme tu le dis il faut continuer de vivre, on ne peut pas s’arrêter.
Après c’est plus facile peut être pour moi de gérer la situation, vu que je me déplace souvent avec ma sœur jumelle et qu’on en parle dès qu’on a besoin ça nous permet d’évacuer un peu le stress de la situation. “
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Jeu 7 Oct 2021 - 20:13
Les grands esprits se rencontrent
feat Kaiya Lovzanski
Un simple mal de crâne passager ? J'ai l'impression qu'il y a anguille sous roche, mais je n'insiste pas. Si elle ne souhaite pas en dire plus, c'est qu'elle a ses raisons. Je hoche simplement la tête avec un sourire rassurée avant de passer à autre chose. Kaiya s'enthousiasme sur la lecture prochaine de mes notes, ce qui ne manque pas de m'amuser. Mais cela nous ferait une bonne raison pour se revoir prochainement. Il faudra que j'organise cela dans mon agenda. Encore faut-il que j'ai un moyen de contacter ma nouvelle camarade… Enfin, il n'y a qu'un seul lycée en ville donc je suppose que je n'aurai qu'à m'y rendre à la sortie des cours, si c'est compatible avec mon agenda.
Kaiya avoue avoir cru un certain temps que la vidéo était un canular, ou un fan made. Peut-être aurais-je cru la même chose si je n'avais pas déjà un pied dans le surnaturel. Quand vous appartenez à un peuple capable de prendre la forme et l'odeur d'un ou de plusieurs animaux, il serait bien mal avisé de considérer comme absurde l'existence d'autres espèces du lore légendaire. Je ne peux pas la juger pour ça. J'aurais certainement réagi de la même façon à sa place. Je hoche la tête à son discours.
Je m'en veux un peu de lui mentir à demi, mais je n'ai pas le choix. Elle risquerait de se poser des questions si je lui annonçais de but en blanc que j'y avais cru dès le début sans même jeter un oeil à cette vidéo. Ou bien me prendrait-elle simplement pour une illuminée qui croit à tout ce qu'elle entend… Quoiqu'il en soit je ne suis pas ce que je prétends être, mais c'est pour la bonne cause.
Ses révélations sur ses conditions de vie me font tourner la tête vers elle, le visage stupéfié. Je suis presque horrifiée à l'idée qu'elle ait vécu dans les bois seule avec sa soeur avant de trouver refuge chez leurs tuteurs… encore plus loin dans la forêt. C'est un mode de vie périlleux compte tenu de la situation actuelle…
A dire vrai je ne vois pas trop comment. A ma connaissance il n'y a que des hunters capables de se défendre efficacement, et encore, de ce que m'a dit Mama, les lycans ne peuvent pas être tués. A moins d'être plus qu'un simple humain. Je frissonne à cette pensée. Peut-être est-ce la clé de l'énigme… Je secoue la tête. Non, mon imagination commence à me jouer des tours.
Je me souviens soudainement que Shani est officiellement ma petite soeur. Je ne peux donc pas prétendre être fille unique dans ces conditions. Je me mords la lèvre inférieure, le regard rivé sur la fontaine de la place, avant de rectifier mon discours.
Très grand frère, même, nous avons treize ans d'écart mine de rien. Je suis bien contente qu'il se soit installé en ville. Je me sens soudainement bien moins seule et plus en sécurité. Cela me rappelle les bons moments de partage lors de nos rares réunions, et ça me réchauffe le cœur.
Kaiya avoue avoir cru un certain temps que la vidéo était un canular, ou un fan made. Peut-être aurais-je cru la même chose si je n'avais pas déjà un pied dans le surnaturel. Quand vous appartenez à un peuple capable de prendre la forme et l'odeur d'un ou de plusieurs animaux, il serait bien mal avisé de considérer comme absurde l'existence d'autres espèces du lore légendaire. Je ne peux pas la juger pour ça. J'aurais certainement réagi de la même façon à sa place. Je hoche la tête à son discours.
"Oui, c'est difficile à croire."
Je m'en veux un peu de lui mentir à demi, mais je n'ai pas le choix. Elle risquerait de se poser des questions si je lui annonçais de but en blanc que j'y avais cru dès le début sans même jeter un oeil à cette vidéo. Ou bien me prendrait-elle simplement pour une illuminée qui croit à tout ce qu'elle entend… Quoiqu'il en soit je ne suis pas ce que je prétends être, mais c'est pour la bonne cause.
Ses révélations sur ses conditions de vie me font tourner la tête vers elle, le visage stupéfié. Je suis presque horrifiée à l'idée qu'elle ait vécu dans les bois seule avec sa soeur avant de trouver refuge chez leurs tuteurs… encore plus loin dans la forêt. C'est un mode de vie périlleux compte tenu de la situation actuelle…
"Vous vivez dans les bois ? … J'avoue que même si j'adore la nature, j'aurais trop peur à l'heure actuelle de vivre dans la forêt, avec ces créatures folles qui rôdent… Comment faites-vous ? J'imagine que vos tuteurs sont capables de vous protéger de tout ça…"
A dire vrai je ne vois pas trop comment. A ma connaissance il n'y a que des hunters capables de se défendre efficacement, et encore, de ce que m'a dit Mama, les lycans ne peuvent pas être tués. A moins d'être plus qu'un simple humain. Je frissonne à cette pensée. Peut-être est-ce la clé de l'énigme… Je secoue la tête. Non, mon imagination commence à me jouer des tours.
"En tout cas vous avez de la chance d'avoir une soeur sur qui compter. C'est important. Pour ma part je suis…"
Je me souviens soudainement que Shani est officiellement ma petite soeur. Je ne peux donc pas prétendre être fille unique dans ces conditions. Je me mords la lèvre inférieure, le regard rivé sur la fontaine de la place, avant de rectifier mon discours.
"… l'aînée de la famille, ma petite sœur n'a qu'un an et demi, donc je n'ai que ma mère sur qui compter. Et sur Faris bien sûr. Mon cousin Elessar, c'est un peu comme mon grand-frère !"
Très grand frère, même, nous avons treize ans d'écart mine de rien. Je suis bien contente qu'il se soit installé en ville. Je me sens soudainement bien moins seule et plus en sécurité. Cela me rappelle les bons moments de partage lors de nos rares réunions, et ça me réchauffe le cœur.
"La famille c'est sacré"
Etilya sur DK RPG
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Lun 11 Oct 2021 - 15:30
Les grands esprits se rencontrent
Comme moi, Farah est d’accord pour dire que toutes cette histoire est de prime abord difficile à croire quand on s’y intéresse. C’est quand même d’une attaque de loup-garou dont on parle ! Qui n’explose pas de rire quand il entend dire qu’un journal rapporte un carnage causé par une créature de ce genre dans le monde ? Personne ! Parce que cela relève du bon sens que ça n’est pas possible ! Mais finalement, puisque j’en suis devenue une et que les vampires existent, c’est quoi la suite ? Les sorciers ? Les licornes ? Les métamorphes en tous genres ? Dieu ? Les sirènes ou les petits hommes verts pourquoi pas ? C’est un peu comme un monde entier qui vous tombe dessus quand vos certitudes volent en éclat du jour au lendemain et personne n’est prêt à ce que cela arrive.
Pour ma part, je n’ai pas cru à cette histoire quand j’en ai entendu parler et j’ai ridiculisé beaucoup de mes camarades de classe qui en parlaient, convaincus qu’ils étaient que c’était la vérité, le prouvant par A + B que tous ce qui est surnaturel n’est pas réel. Et pourtant... Maintenant je remets absolument tout en question et Farah pourrait être un ange ou un démon déguisé... tout est possible visiblement maintenant.
Ma nouvelle connaissance me ramène sur Terre alors qu’elle me parle de ma vie dans les bois et c’est là que je m’aperçois que j’ai peut-être fait une erreur en étant si franche. ”Heu bah on ne vit pas comme des sauvages, mais oui, la maison de nos parents se trouve dans la périphérie de la ville, dans les bois. Quant à nos tuteurs, ils ont une maison isolée dans la montagne, au cœur de la forêt, c’est une sacrée trotte mine de rien, même en voiture. Mais l’endroit est très sûr en tout cas et nos tuteurs sont bien armés ah ah ! “J’aurais presque une grosse sueur froide qui coule le long de ma tête si je n’avais pas fait une erreur pareille juste avant comme une écervelée. Je voulais être honnête, mais c’est vrai que vivre dans les bois par les temps qui courent c’est un peu risqué. Autant faire passer Okamiro et Anzu pour des fans de chasse au cœur bien accroché pour vivre au milieu des bois. Dire qu’un restaurant s’y trouve ne serait pas bon du tout. Seuls les vampires et les lycans sont au courant pour ce dernier normalement, pas les humains. ”Ce n’est pas facile tous les jours, c’est vrai. On a notre lot de défi au quotidien, mais au moins nous sommes protégées et aimées, c’est déjà ça.“ Evidemment, pour Farah, le lot de défis ce doit être d’imaginer de vivre sans l’eau courante ou l’électricité tout en redoutant les créatures des bois. Il vaut mieux cette demie vérité que de lui dire que nous devons faire avec nos nouveaux instincts nous dictant de chasser lorsque la nuit vient.
Farah a un moment d’arrêt étrange dans son discours alors qu’elle me parle de sa famille en réponse au fait que nous sommes souvent ensemble avec ma jumelle pour éponger la solitude et le stress. C’est un peu comme si elle allait dire une chose, puis une autre. De ce qu’elle me livre finalement, elle serait l’aînée de sa famille, mais j’ai comme un doute à cause de ce moment de flottement. Toutefois, je n’y prête pas plus attention que ça pour le moment. Après tout, je suis bien un être surnaturel qui se cache, je ne vais pas la blâmer si elle ne dit pas tout à une inconnue. Elle a donc une petite sœur d’un an et demi, c’est adorable. ”Oh une petite sœur toutes nouvelles ! Elle s’appelle comment ? “
Pour ma part, je n’ai pas cru à cette histoire quand j’en ai entendu parler et j’ai ridiculisé beaucoup de mes camarades de classe qui en parlaient, convaincus qu’ils étaient que c’était la vérité, le prouvant par A + B que tous ce qui est surnaturel n’est pas réel. Et pourtant... Maintenant je remets absolument tout en question et Farah pourrait être un ange ou un démon déguisé... tout est possible visiblement maintenant.
Ma nouvelle connaissance me ramène sur Terre alors qu’elle me parle de ma vie dans les bois et c’est là que je m’aperçois que j’ai peut-être fait une erreur en étant si franche. ”Heu bah on ne vit pas comme des sauvages, mais oui, la maison de nos parents se trouve dans la périphérie de la ville, dans les bois. Quant à nos tuteurs, ils ont une maison isolée dans la montagne, au cœur de la forêt, c’est une sacrée trotte mine de rien, même en voiture. Mais l’endroit est très sûr en tout cas et nos tuteurs sont bien armés ah ah ! “J’aurais presque une grosse sueur froide qui coule le long de ma tête si je n’avais pas fait une erreur pareille juste avant comme une écervelée. Je voulais être honnête, mais c’est vrai que vivre dans les bois par les temps qui courent c’est un peu risqué. Autant faire passer Okamiro et Anzu pour des fans de chasse au cœur bien accroché pour vivre au milieu des bois. Dire qu’un restaurant s’y trouve ne serait pas bon du tout. Seuls les vampires et les lycans sont au courant pour ce dernier normalement, pas les humains. ”Ce n’est pas facile tous les jours, c’est vrai. On a notre lot de défi au quotidien, mais au moins nous sommes protégées et aimées, c’est déjà ça.“ Evidemment, pour Farah, le lot de défis ce doit être d’imaginer de vivre sans l’eau courante ou l’électricité tout en redoutant les créatures des bois. Il vaut mieux cette demie vérité que de lui dire que nous devons faire avec nos nouveaux instincts nous dictant de chasser lorsque la nuit vient.
Farah a un moment d’arrêt étrange dans son discours alors qu’elle me parle de sa famille en réponse au fait que nous sommes souvent ensemble avec ma jumelle pour éponger la solitude et le stress. C’est un peu comme si elle allait dire une chose, puis une autre. De ce qu’elle me livre finalement, elle serait l’aînée de sa famille, mais j’ai comme un doute à cause de ce moment de flottement. Toutefois, je n’y prête pas plus attention que ça pour le moment. Après tout, je suis bien un être surnaturel qui se cache, je ne vais pas la blâmer si elle ne dit pas tout à une inconnue. Elle a donc une petite sœur d’un an et demi, c’est adorable. ”Oh une petite sœur toutes nouvelles ! Elle s’appelle comment ? “
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Farah Neferet Assaad#106536#106536#106536#106536#106536#106536#106536
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Sam 30 Oct 2021 - 17:16
Les grands esprits se rencontrent
feat Kaiya Lovzanski
Kaiya me confirme qu'elle vit au beau milieu de la forêt. C'est une situation que je trouve à la fois excitante, car j'adore la nature moi aussi, mais aussi effrayante, car on ne sait pas quelles créatures rôdent la nuit dans ce coin de la région. Quel meilleur endroit pour des lycans fous qu'une forêt pour se cacher ? Non, en vérité, je ne préfère pas y penser. En plus, d'après ma nouvelle amie, ses tuteurs ont de quoi se défendre. Hum, je suis un peu sceptique sur la question, mais j'imagine qu'ils s'en sortent, sinon, Kaiya ne serait pas aussi sereine.
Je ne peux qu'acquiescer à son analyse de la situation. Etre aimé et protégé, en ces temps sombre, c'est vraiment l'essentiel. Je sais que tout le monde n'a pas cette chance. Moi j'ai ma mère pour s'occuper de moi, heureusement. Et Elessar. Et Monsieur Smith et Monsieur Rhodes. Je suis bien entourée, tout comme Kaiya.
"Oui, c'est ce qui compte au final."
Mais à force de parler famille, je l'entraîne sur un terrain glissant pour moi. Et cela ne manque pas. La voilà qui me pose une question sur ma "petite soeur". Machinalement je commence à lisser une mèche de cheveux avec mes doigts, une mauvaise habitude lorsque je suis mal à l'aise. Quelle idée j'ai eu de parler de moi comme ça.
"E-Elle s'appelle Shani… Elle a un peu plus d'un an…"
L'intérêt grandissant de Kaiya pour ma petite soeur ne joue pas en ma faveur. Plus je parle d'elle, plus je pense à ce que j'ai traversé, et plus j'angoisse. Il faut que je trouve une diversion, et vite. Sinon, je sens que je vais faire une crise. Allah soit loué, la sonnerie retentit à cet instant précis, annonçant 16h. Je sursaute à ce dur rappel à la réalité. Mes yeux papillonnent à la recherche d'un point de chute.
"Oh, mais il est déjà si tard ? Je ne vois plus ta classe… J'espère qu'ils ne sont pas partis loin, je ne voudrais pas que tu les ai perdu par ma faute…"
En ce qui me concerne, je n'ai plus d'obligation pour la journée. Je devais juste repasser par la salle des professeurs avant de rentrer avec ma mère, chargée de mes livres d'étude. Mais Kaiya est en visite avec son lycée, elle ne devrait pas trop s'attarder sans quoi on risque de la chercher partout, et j'aurai l'air bien bête. Je me lève prestement et récupère mon fardeau avant de faire face à la lycéenne.
"Viens, je vais t'aider à les retrouver. Ainsi nous pourrons terminer ce petit tour de l'Université !"
J'ouvre la marche vers le centre de la place, le dernier endroit où je me souviens avoir vu son groupe. Certes je ne lui ai pas vraiment demandé son avis, mais c'est vraiment l'occasion en or pour échapper au sujet de discussion qui me dérange le plus. Et puis je ne pense pas qu'elle y soit véritablement opposée non plus. Sauvée par le gong comme on dit !
"Sauvée par le gong"
Etilya sur DK RPG
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Mar 2 Nov 2021 - 15:24
Les grands esprits se rencontrent
Être entourée par des personnes qui tiennent à nous est une chose qui me réchauffe le cœur depuis qu’Anzu et Ôkamiro veillent sur nous. Je dois dire que je n'avais pas ressentis ça depuis nos parents et ça fait du bien. Anzu est déjà comme une mère avec nous et Oka... bon lui c'est spécial, mais le pauvre ce n’est pas sa faute. D’un côté il est trop sérieux et sans émotions et de l'autre il n'y a que de l'émotion sans jamais de réflexion. Ce n’est pas évident, mais ce climat si particulier, ces explosions de fougues et de bagarre entre les deux alphas qui se lancent de fions au visage à longueur de temps, c’est finalement une véritable famille...
Quelque chose ne tourne pas rond d’un coup. Il y a une sorte de malaise qui s’installe alors qu’on parle de sa sœur je le vois bien. Elle se met d’un coup à bafouiller en jouant avec ses cheveux. Je fais pareil quand je suis mal à l’aise. Cela ne m’arrive pas souvent, ou seulement quand il s’agit de parler de moi et non des études. Je crois que parler de sa sœur l’embête un peu en fin de compte. Il doit y avoir un truc, mais bon il vaut mieux que je la laisse tranquille. En plus de ça, nous venons de nous rencontrer et ce n’est pas parce qu’on a le même âge et les mêmes ambitions dans un sens que je dois tout savoir d’elle. Ça ne se fait.
Elle change de sujet en un temps records. Même Anzu ne fait pas aussi vite quand on aborde la question de sa relation avec Ôkamiro. La gêne est extrême, mais je me laisse guider par ses mots. Il faut dire qu’elle a aussi un peu raison. A force de papoter le temps est passé à une vitesse folle et il se trouve que je n’ai aucune idée d’où peu bien se trouver ma classe. Ce n’est pas si grave en fin de compte, j’aime bien Farah et c’est une bonne journée rien qu’avec sa rencontre. ”Ne t’en fais pas “ Lui dis-je avec le sourir. ” Ils ne doivent pas être très loin. Et puis avec de la chance, peut-être que ça ne sera pas ma classe très longtemps encore ah ah ! “ Je lui emboite le pas pour retrouver mon groupe et ne pas faire mauvais genre non plus auprès de mon professeur, mais mon désir à l’état d’étincelle est devenu un brasier ardent ! Je veux quitter ce foutu lycée pour embrasser ma vocation immédiatement ! J’ai réussi les concours nationaux avec brio et il n’y a pas de raison que je doive m’imposer une année à stagner au lycée alors que je devrais déjà être à l'université moi aussi ! Je veux y aller ! Anzu n’était pas hostile à faire les démarches, mais je ne sais pas jusqu’à quel point elle accepterait. Est-ce que je pourrais m’installer sur le campus ? Ou devrais-je rester dans les bois ? C’est encore à voir. ” Je suis le guide ! J’espère qu’ils sont très loin et bien cachés pour prolonger notre échange ! “
Quelque chose ne tourne pas rond d’un coup. Il y a une sorte de malaise qui s’installe alors qu’on parle de sa sœur je le vois bien. Elle se met d’un coup à bafouiller en jouant avec ses cheveux. Je fais pareil quand je suis mal à l’aise. Cela ne m’arrive pas souvent, ou seulement quand il s’agit de parler de moi et non des études. Je crois que parler de sa sœur l’embête un peu en fin de compte. Il doit y avoir un truc, mais bon il vaut mieux que je la laisse tranquille. En plus de ça, nous venons de nous rencontrer et ce n’est pas parce qu’on a le même âge et les mêmes ambitions dans un sens que je dois tout savoir d’elle. Ça ne se fait.
Elle change de sujet en un temps records. Même Anzu ne fait pas aussi vite quand on aborde la question de sa relation avec Ôkamiro. La gêne est extrême, mais je me laisse guider par ses mots. Il faut dire qu’elle a aussi un peu raison. A force de papoter le temps est passé à une vitesse folle et il se trouve que je n’ai aucune idée d’où peu bien se trouver ma classe. Ce n’est pas si grave en fin de compte, j’aime bien Farah et c’est une bonne journée rien qu’avec sa rencontre. ”Ne t’en fais pas “ Lui dis-je avec le sourir. ” Ils ne doivent pas être très loin. Et puis avec de la chance, peut-être que ça ne sera pas ma classe très longtemps encore ah ah ! “ Je lui emboite le pas pour retrouver mon groupe et ne pas faire mauvais genre non plus auprès de mon professeur, mais mon désir à l’état d’étincelle est devenu un brasier ardent ! Je veux quitter ce foutu lycée pour embrasser ma vocation immédiatement ! J’ai réussi les concours nationaux avec brio et il n’y a pas de raison que je doive m’imposer une année à stagner au lycée alors que je devrais déjà être à l'université moi aussi ! Je veux y aller ! Anzu n’était pas hostile à faire les démarches, mais je ne sais pas jusqu’à quel point elle accepterait. Est-ce que je pourrais m’installer sur le campus ? Ou devrais-je rester dans les bois ? C’est encore à voir. ” Je suis le guide ! J’espère qu’ils sont très loin et bien cachés pour prolonger notre échange ! “
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Farah Neferet Assaad#106725#106725#106725#106725#106725#106725#106725
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Sam 27 Nov 2021 - 12:58
Les grands esprits se rencontrent
feat Kaiya Lovzanski
Kaiya ne réagit pas à mon changement subit d'attitude. Si elle l'a remarqué, elle ne dit rien devant mon soudain malaise, et je lui en suis reconnaissante. Me pousser davantage dans cette direction n'aurait pas eu d'effet bénéfique. L'angoisse sous jacente menace de prendre le dessus à tout instant. Dans ces moments il faut que je me concentre sur autre chose. Je me remémore les conseils du docteur Yamada à ce sujet. Je dois me créer une bulle mentale pour m'isoler des ondes négatives. La reprise de la marche m'aide un peu. Mes pas réguliers m'offrent un rythme bienvenu sur lequel me focaliser.
Je souris néanmoins quand Kaiya parle de sa classe. Je sais suffisamment lire entre les lignes pour comprendre qu'elle souhaiterait entrer rapidement à l'université, quitte à se passer de la dernière année de lycée en laissant sa soeur derrière elle. Ce ne doit pas être une décision facile, mais je comprends qu'on ait besoin parfois de s'émanciper, de prendre un peu de hauteur et de recul pour mieux appréhender l'avenir. Ce n'est pas forcément négatif, de prendre un peu de distance avec ses proches. Parfois c'est l'occasion de mieux se retrouver ensuite.
Que dire de plus face à cette possibilité qui cache, je n'en doute pas, une détermination ardente ? Je la comprends. Moi aussi j'avais besoin de sauter les étapes. Mes professeurs avaient dépisté tôt mon haut potentiel, me permettant d'accéder rapidement au diplôme national pour stimuler mon esprit toujours plus avide de connaissances. J'avais sauté trois niveaux par rapport au cycle habituel de scolarité. Un fait rare, d'autant plus pour des pays où l'instruction des femmes est une avancée ethnique et culturelle récente. Je suis fière d'en faire partie, presque qu'autant que d'être changelin.
Je perçois, entre deux réflexions, la volonté maquillée de Kaiya de prolonger notre discussion. Je partage en partie son vœu. Mais je sens encore le malaise quelque part dans mon cœur, même si ma bulle mentale est en place et m'aide à me préserver. Alors je suis plutôt mitigée. Mais ce n'est pas contre elle… ça vient de moi. J'espère que ça ne se voit pas car je ne voudrais qu'elle prenne ma réaction pour de la lassitude.
Il est indispensable de passer les concours nationaux pour prétendre à l'inscription de l'université. Si elle semble motivée à ce point c'est qu'elle doit déjà avoir les clés. On n'est jamais plus déterminé qu'à l'approche de notre objectif.
Je suis sincère, même si la gêne plane encore entre nous. En plus je suis certaine qu'elle s'entendra bien avec Taichi. Nous formerions un super trio ! Des étoiles plein les yeux, je mets quelques secondes à réagir lorsqu'un adulte fait brièvement irruption dans mon champ de vision.
De ma main libre, je pointe du doigt le concerné, mais il disparaît très vite à l'angle du bâtiment administratif. Saperlotte, c'est qu'ils sont pressés !
Je souris néanmoins quand Kaiya parle de sa classe. Je sais suffisamment lire entre les lignes pour comprendre qu'elle souhaiterait entrer rapidement à l'université, quitte à se passer de la dernière année de lycée en laissant sa soeur derrière elle. Ce ne doit pas être une décision facile, mais je comprends qu'on ait besoin parfois de s'émanciper, de prendre un peu de hauteur et de recul pour mieux appréhender l'avenir. Ce n'est pas forcément négatif, de prendre un peu de distance avec ses proches. Parfois c'est l'occasion de mieux se retrouver ensuite.
"Je vous le souhaite ! Je réponds simplement."
Que dire de plus face à cette possibilité qui cache, je n'en doute pas, une détermination ardente ? Je la comprends. Moi aussi j'avais besoin de sauter les étapes. Mes professeurs avaient dépisté tôt mon haut potentiel, me permettant d'accéder rapidement au diplôme national pour stimuler mon esprit toujours plus avide de connaissances. J'avais sauté trois niveaux par rapport au cycle habituel de scolarité. Un fait rare, d'autant plus pour des pays où l'instruction des femmes est une avancée ethnique et culturelle récente. Je suis fière d'en faire partie, presque qu'autant que d'être changelin.
Je perçois, entre deux réflexions, la volonté maquillée de Kaiya de prolonger notre discussion. Je partage en partie son vœu. Mais je sens encore le malaise quelque part dans mon cœur, même si ma bulle mentale est en place et m'aide à me préserver. Alors je suis plutôt mitigée. Mais ce n'est pas contre elle… ça vient de moi. J'espère que ça ne se voit pas car je ne voudrais qu'elle prenne ma réaction pour de la lassitude.
"Vous comptez donc demander à vos tuteurs de rejoindre l'université en cours d'année ? Je suppose que vous avez déjà les résultats nécessaires pour y entrer ?"
Il est indispensable de passer les concours nationaux pour prétendre à l'inscription de l'université. Si elle semble motivée à ce point c'est qu'elle doit déjà avoir les clés. On n'est jamais plus déterminé qu'à l'approche de notre objectif.
"J'espère qu'ils accepteront ! Cela nous permettra de nous croiser de temps en temps, peut-être même aurons-nous des cours en commun."
Je suis sincère, même si la gêne plane encore entre nous. En plus je suis certaine qu'elle s'entendra bien avec Taichi. Nous formerions un super trio ! Des étoiles plein les yeux, je mets quelques secondes à réagir lorsqu'un adulte fait brièvement irruption dans mon champ de vision.
"Oh, ne serait-ce pas votre professeur ?"
De ma main libre, je pointe du doigt le concerné, mais il disparaît très vite à l'angle du bâtiment administratif. Saperlotte, c'est qu'ils sont pressés !
"Le début de la fin"
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Lun 29 Nov 2021 - 14:36
Les grands esprits se rencontrent
Farah est une jeune fille vraiment très gentille et ça se voit. Elle me souhaite de réussir, c’est vraiment quelque chose qui fait chaud au cœur. Ce n’est pas que les autres personnes de mon âge ne m’ont jamais dit ça, mais je dois bien avouer que comme Anya, les filles de ma classe semblent plus intéressées par leur popularité que par leur avenir. C’est vraiment réconfortant de rencontrer Farah, qui a mon âge et qui semble aussi déterminée que je peux l’être dans ses projets. C’est vraiment plaisant et j’espère bien pouvoir vite rejoindre les bancs de l’université pour la revoir. ”Merci beaucoup !“ Ce qui serait vraiment formidable, c’est bien de pouvoir au plus vite venir ici et mener à bien mes études. J’espère bien pouvoir revoir Farah et vérifier si je me suis faite des idées ou si elle est bien le genre de personne avec qui je pourrais un peu plus avoir d’atomes crochus afin de nouer une véritable amitié avec elle.
J’espère qu’Anzu et Ôkamiro voudront bien me faire quitter le lycée pour commencer l’université dans la volée car c’est vraiment mon rêve. Aujourd’hui j’essaye de leur montrer que je peux me contrôler et que c’est une réussite. Je n’ai pas envie de laisser la bête en moi sortir et faire des bêtises et malgré ce petit passage avec mon ouïe, je n’ai pas à me plaindre de ma retenue. ”Je n’ai pas pour habitude de me vanter, mais je me suis plus que bien classé en passant le concours national de fin de lycée en candidate libre. Si je ne me suis pas trompée dans mes comptes, je devrais pouvoir bénéficier de la bourse au mérite qu’elle octroie de temps en temps, ce qui aiderait mes tuteurs à accepter... enfin j’espère... “ De ce que j’ai compris, Ôkamiro a l’air d’avoir pas mal d’argent de côté, mais je ne sais pas trop pour Anzu étant donné qu’elle est pharmacienne. Le fait est que maintenant qu’ils forment une sorte de couple, mais je ne suis pas certaine que leurs fonds s’accordent. Je ne sais pas si c’est dans leur idée de nous payer des études aussi chères si jamais c’est ce que je veux en plus ! Le stress me gagne momentanément malgré le fait qu’Anzu m’a déjà parlé du fait qu’elle me soutiendrait peu importe mes envies et mes choix futures, mais je ne sais pas si c’était des paroles pour me rassurer et me montrer qu’elle ne m’en voulait pas de l’avoir insulté malgré moi ou bien une promesse de sa part.
Farah me redonne le sourire en évoquant le fait qu’elle souhaite bien pouvoir me croiser à nouveau sur le campus ou même avoir des cours en commun avec moi. Un grand sourire se dessine alors sur mon visage également et je ne peux contenir ma joie plus longtemps. ”Oh ! Vous voulez bien qu’on se revoit alors ? Ce serait vraiment bien ! “ Peut-être que j’ai devant moi ma première véritable amie, qui sait ? Le temps nous laissera voir si cela se passe ainsi ou si nous ne resterons que simples connaissances.
L’étudiante égyptienne me signe avec son doigt pour désigner un homme en pensant qu’il peut s’agir de mon professeur et je en regardant, je dois bien avouer qu’elle a raison. ” Oui c’est bien lui, avec ma classe qui le suit. Je vous remercie pour m’avoir guider sur le campus et aider à retrouver mon groupe. C’est très gentil de votre part. J'espère que nous nous reverrons ! “ Je m’incline humblement devant Farah avant de prendre la direction de mon groupe pour rentrer dans le rang. C’est une rencontre que je ne suis pas près d’oublier !
J’espère qu’Anzu et Ôkamiro voudront bien me faire quitter le lycée pour commencer l’université dans la volée car c’est vraiment mon rêve. Aujourd’hui j’essaye de leur montrer que je peux me contrôler et que c’est une réussite. Je n’ai pas envie de laisser la bête en moi sortir et faire des bêtises et malgré ce petit passage avec mon ouïe, je n’ai pas à me plaindre de ma retenue. ”Je n’ai pas pour habitude de me vanter, mais je me suis plus que bien classé en passant le concours national de fin de lycée en candidate libre. Si je ne me suis pas trompée dans mes comptes, je devrais pouvoir bénéficier de la bourse au mérite qu’elle octroie de temps en temps, ce qui aiderait mes tuteurs à accepter... enfin j’espère... “ De ce que j’ai compris, Ôkamiro a l’air d’avoir pas mal d’argent de côté, mais je ne sais pas trop pour Anzu étant donné qu’elle est pharmacienne. Le fait est que maintenant qu’ils forment une sorte de couple, mais je ne suis pas certaine que leurs fonds s’accordent. Je ne sais pas si c’est dans leur idée de nous payer des études aussi chères si jamais c’est ce que je veux en plus ! Le stress me gagne momentanément malgré le fait qu’Anzu m’a déjà parlé du fait qu’elle me soutiendrait peu importe mes envies et mes choix futures, mais je ne sais pas si c’était des paroles pour me rassurer et me montrer qu’elle ne m’en voulait pas de l’avoir insulté malgré moi ou bien une promesse de sa part.
Farah me redonne le sourire en évoquant le fait qu’elle souhaite bien pouvoir me croiser à nouveau sur le campus ou même avoir des cours en commun avec moi. Un grand sourire se dessine alors sur mon visage également et je ne peux contenir ma joie plus longtemps. ”Oh ! Vous voulez bien qu’on se revoit alors ? Ce serait vraiment bien ! “ Peut-être que j’ai devant moi ma première véritable amie, qui sait ? Le temps nous laissera voir si cela se passe ainsi ou si nous ne resterons que simples connaissances.
L’étudiante égyptienne me signe avec son doigt pour désigner un homme en pensant qu’il peut s’agir de mon professeur et je en regardant, je dois bien avouer qu’elle a raison. ” Oui c’est bien lui, avec ma classe qui le suit. Je vous remercie pour m’avoir guider sur le campus et aider à retrouver mon groupe. C’est très gentil de votre part. J'espère que nous nous reverrons ! “ Je m’incline humblement devant Farah avant de prendre la direction de mon groupe pour rentrer dans le rang. C’est une rencontre que je ne suis pas près d’oublier !
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