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Raphaël de La Roche#92866#92866#92866#92866#92866#92866#92866
Vampire Level B - Clan B. Ryan
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Avatar : Aoi Kaji - kiniro no corda
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Emploi/loisirs : Écrivain & professeur de violon
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Dim 18 Jan 2015 - 10:04
Je la voyais hésiter devant un tel festin. En avais-je trop fait ? Je dois vous paraître ridicule, mais vous savez, lorsque vous êtes amoureux, vous avez toujours peur de faire un faux pas. Je ne souhaitais que son bonheur, la voir sourire, la voir heureuse, entendre son rire cristallin. Et en tant qu’amoureux transis, il fallait que tout soit parfait, ou presque. Je pris les devants afin de l’encourager. Même si la nourriture humaine ne me remplissait pas l’estomac, cela ne m’empêchait pas d’en apprécier les saveurs. La France était d’ailleurs réputée pour sa cuisine gastronomique. La Tour d’Argent, l’un des plus grands restaurants gastronomiques –bien loin de remplir l’estomac certes – situé au cœur de Paris, était réputé pour la qualité et l’esthétique de ses plats –mais pas pour ses prix bon marchés, loin de là. Tout ça pour dire qu’il m’arrivait de temps en temps, aujourd’hui comme dans le passé, de déguster des plats. Et puis, en le cas présent, il fallait bien que je goutasse mes préparations.
Mon geste, celui d’engouffrer l’œuf mimosa, la fit éclater de rire. J’en souris ; le son de sa voix restera toujours parmi la plus magnifique des symphonies à mes oreilles. Je mâchai, attentif à la texture et aux saveurs. J’’étais satisfait ; elle serait probablement enchantée par les saveurs. Je la laissai ensuite choisir à sa guise l’ordre des plats qu’elle voudrait déguster. Mais je la vis se troubler lorsque je la prévins qu’il ne lui faudrait pas trop s’attarder à table. Ah, elle m’avait soudain l’air impatient de connaître la suite des événements. Moi aussi, j’attendais avec enthousiaste la véritable surprise. Mais, pour elle comme pour vous, c’était une surprise, et je n’en parlerai pas plus.
- Ne t’inquiète pas, nous sommes dans les temps. Ne te presse pas, il serait dommage de faire une indigestion parce que tu auras mangé trop vite.
Emeraude se décida finalement pour la soupe. Je m’en doutais, en réalité. Je savais qu’elle aimait ça, et par une nuit fraîche comme celle-ci, il m’avait paru logique que son choix se portât dessus. A son expression, je devinai qu’elle la trouvât délicieuse. J’en étais ravi ; il aurait été embarrassant pour tous les deux que la soupe fût infecte. Je l’observais se servir un peu de chaque plat, immobile et silencieux, avec toutefois un léger sourire en coin. Ça aussi, je m’en doutais. Je la connaissais trop bien, ma chère Emy. J’étais presque sûr qu’elle souhaiterait goûter à tous les plats, de peur de passer à côté d’un délice, ou tout simplement parce qu’elle ne savait pas quoi choisir. L’embarras du choix, comme on dit. Elle prenait de petites portions, mais la diversité des plats joua contre elle. Son assiette se trouva bien vite remplie. Elle leva des yeux penauds sur moi. Je ris devant son embarras.
- Ce n’est pas grave si tu ne termines pas, ma douce. Je demanderai à Seito d’emballer le reste, comme ça tu pourras le ramener chez toi et ça te fera ton repas de la nuit, pour le travail. Ainsi il n’y aura pas de gâchis. Et puis, tu n’es pas obligée de goûter à tout juste pour me faire plaisir, tu sais.
Je disais ça, mais la connaissant, je savais bien qu’elle le ferait tout de même. J’appuyai mon menton sur la main tout en l’observant planter sa fourchette dans le premier met. Même ce simple geste me paraissait splendide. On dit que l’amour donnait des ailes ; je voulais bien le croire. J’étais prêt à tout pour elle. On dit aussi qu’il rendait bête, et aveugle. Oui, j’imaginais bien l’état actuel de gelé de mon cerveau. Mais aveugle ? à ses défauts, très certainement, mais pas à sa beauté. Mes yeux profitaient de chacun de ses détails. Elle resterait toujours la plus belle, quand bien même elle fût loin de l’idéal féminin. Je finis par me ressaisir et me redressai. Elle semblait manger avec délectation, mais je ne pus m’empêcher de lui demander :
- ça te plait ? Je n’ai pas l’habitude de cuisiner, alors j’espère que le repas te convient.
Trop modeste ? Peut-être… mais dans un sens, je savais qu’elle trouvait ça adorable et, riez si vous le voulez, j’en profitais un peu. Mes yeux glissèrent jusqu’à la voûte céleste, ornée de milliers d’étoiles, compagnes éternelle de l’astre lunaire. Le ciel était dégagé, m’offrant une vue imprenable sur ce spectacle nocturne. Il n’y avait pas à dire, la nuit elle aussi recelait de nombreuses merveilles.
- Il fait frais mais il n’y a pas un seul nuage à l’horizon… Cette nuit est magnifique, comme si elle se prêtait elle aussi à cette soirée. N’est-ce pas merveilleux, mon ange ?
Je la regardai à nouveau, la contemplant avec douceur en pleine dégustation. J’avais une chance infinie de l’avoir rencontré. Plus je passais de temps à ses côtés, et plus mes blessures intérieures se pansaient. Subsistait le souvenir de Sophie, et de mon frère bien sûr –dont je sentais en moi une satisfaction intense – mais la douleur et le poids de l’absence des êtres aimés s’apaisaient peu à peu. A présent, je ne vivais que pour elle.
Mon geste, celui d’engouffrer l’œuf mimosa, la fit éclater de rire. J’en souris ; le son de sa voix restera toujours parmi la plus magnifique des symphonies à mes oreilles. Je mâchai, attentif à la texture et aux saveurs. J’’étais satisfait ; elle serait probablement enchantée par les saveurs. Je la laissai ensuite choisir à sa guise l’ordre des plats qu’elle voudrait déguster. Mais je la vis se troubler lorsque je la prévins qu’il ne lui faudrait pas trop s’attarder à table. Ah, elle m’avait soudain l’air impatient de connaître la suite des événements. Moi aussi, j’attendais avec enthousiaste la véritable surprise. Mais, pour elle comme pour vous, c’était une surprise, et je n’en parlerai pas plus.
- Ne t’inquiète pas, nous sommes dans les temps. Ne te presse pas, il serait dommage de faire une indigestion parce que tu auras mangé trop vite.
Emeraude se décida finalement pour la soupe. Je m’en doutais, en réalité. Je savais qu’elle aimait ça, et par une nuit fraîche comme celle-ci, il m’avait paru logique que son choix se portât dessus. A son expression, je devinai qu’elle la trouvât délicieuse. J’en étais ravi ; il aurait été embarrassant pour tous les deux que la soupe fût infecte. Je l’observais se servir un peu de chaque plat, immobile et silencieux, avec toutefois un léger sourire en coin. Ça aussi, je m’en doutais. Je la connaissais trop bien, ma chère Emy. J’étais presque sûr qu’elle souhaiterait goûter à tous les plats, de peur de passer à côté d’un délice, ou tout simplement parce qu’elle ne savait pas quoi choisir. L’embarras du choix, comme on dit. Elle prenait de petites portions, mais la diversité des plats joua contre elle. Son assiette se trouva bien vite remplie. Elle leva des yeux penauds sur moi. Je ris devant son embarras.
- Ce n’est pas grave si tu ne termines pas, ma douce. Je demanderai à Seito d’emballer le reste, comme ça tu pourras le ramener chez toi et ça te fera ton repas de la nuit, pour le travail. Ainsi il n’y aura pas de gâchis. Et puis, tu n’es pas obligée de goûter à tout juste pour me faire plaisir, tu sais.
Je disais ça, mais la connaissant, je savais bien qu’elle le ferait tout de même. J’appuyai mon menton sur la main tout en l’observant planter sa fourchette dans le premier met. Même ce simple geste me paraissait splendide. On dit que l’amour donnait des ailes ; je voulais bien le croire. J’étais prêt à tout pour elle. On dit aussi qu’il rendait bête, et aveugle. Oui, j’imaginais bien l’état actuel de gelé de mon cerveau. Mais aveugle ? à ses défauts, très certainement, mais pas à sa beauté. Mes yeux profitaient de chacun de ses détails. Elle resterait toujours la plus belle, quand bien même elle fût loin de l’idéal féminin. Je finis par me ressaisir et me redressai. Elle semblait manger avec délectation, mais je ne pus m’empêcher de lui demander :
- ça te plait ? Je n’ai pas l’habitude de cuisiner, alors j’espère que le repas te convient.
Trop modeste ? Peut-être… mais dans un sens, je savais qu’elle trouvait ça adorable et, riez si vous le voulez, j’en profitais un peu. Mes yeux glissèrent jusqu’à la voûte céleste, ornée de milliers d’étoiles, compagnes éternelle de l’astre lunaire. Le ciel était dégagé, m’offrant une vue imprenable sur ce spectacle nocturne. Il n’y avait pas à dire, la nuit elle aussi recelait de nombreuses merveilles.
- Il fait frais mais il n’y a pas un seul nuage à l’horizon… Cette nuit est magnifique, comme si elle se prêtait elle aussi à cette soirée. N’est-ce pas merveilleux, mon ange ?
Je la regardai à nouveau, la contemplant avec douceur en pleine dégustation. J’avais une chance infinie de l’avoir rencontré. Plus je passais de temps à ses côtés, et plus mes blessures intérieures se pansaient. Subsistait le souvenir de Sophie, et de mon frère bien sûr –dont je sentais en moi une satisfaction intense – mais la douleur et le poids de l’absence des êtres aimés s’apaisaient peu à peu. A présent, je ne vivais que pour elle.
Invité
Invité
Lun 23 Fév 2015 - 16:59
<< Pour toi, ma douce >>
feat : Pseudo
"Ne t’inquiète pas, nous sommes dans les temps. Ne te presse pas, il serait dommage de faire une indigestion parce que tu auras mangé trop vite."
Je l'écoutai avec plaisir tout en dégustant ma soupe, elle était délicieuse sans aucun doute. J'ai souvent entendu dire que quand le repas est préparé avec amour, étrangement on le ressent dans le mets. C'est peut-être cela qui rend tout ce qu'il m'a préparé alléchant et si goûteux. Je suis et je le répète encore et encore la plus heureuse de toutes les femmes. Je me permis de l'admirer du coin de l'oeil tout en plongeant ma cuillère dans ce merveilleux liquide qui me réchauffait un peu. J'avais trouvé une curieuse façon de faire honneur à tous ses plats. J'avais à peine fini ma soupe, que me voilà une assiette à la main pour la remplir de tout ce qui se trouvait sur la table, il y avait tellement de mets que ma pauvre petite assiette en fut vite remplie. Je pus m’empêcher d’éclater de rire à la vue de mon assiette tout en m'excusant auprès de Raphael parce que je venais de jouer la gourmande et que je pense que j'aurais du mal à la vider.
Comme à son habitude, il me rassura. Me disant que je n'étais pas obligé de la terminer et le fait qu'il me propose d'en ramener chez moi me mit encore une fois du baume au coeur.
Je mangeais avec plaisir, je devais dire que c'était vraiment délicieux et je ne pouvais pas m'empêcher de faire en sorte de terminer mon assiette, j'avais appris à terminer mes repas quand j'étais petite. Peut-être était-ce la raison ? En partie oui, l'autre c'était tout simplement parce qu'il avait certainement mis tout son coeur à l’ouvrage de ses mets que je ne pouvais pas décevoir le mal qu'il s'était donné. Je le suivais toujours du regard pendant que je me délecter du splendide repas qu'il m'avait offert. Rien à dire, ces plats était simplement divin. Alors, comment ne pas être un petit peu gourmande dans ces cas-là. Ce n'est pas un pêcher, mais un devoir, celui de faire plaisir à son bien aimer. Vous n'êtes pas de mon avis ? Peu importe, je fais de toute façon ce qui me plaît.
Cette façon de vivre ainsi, je le dois à Raphael, avec lui tout me semble si simple, merveilleux. C'est comme-ci je me trouvais dans un autre univers et que nous seuls existons. Je garde dans ma mémoire chaque petite parcelle du temps que nous passons ensemble et me met déjà à penser à ce qui sera prévu le lendemain. Tout cela, pour dire que la vie est belle quand on est amoureux. Ce sentiment de se sentir encore plus vivant que vous l'êtes. Se sentir comme si vous étiez sur un nuage qui flotte dans les airs. Je me sens légère comme-ci toutes les peines et les douleurs disparaissaient à son contact.
Pendant que je continue ma dégustation, il me demande alors comment je trouve ses plats. J'aimerais lui répondre, mais malheureusement j'ai la bouche pleine et comme toutes personnes de bonne famille, on nous apprend à ne pas parler le bouge plein. Mais, parfois, nous n'avons pas besoin de parler, un simple échange de regards et tout ce lit dans celui-ci. Je suis certaine qu'il a vu dans mon regard que cela est succulent. Pendant que je continue mon voyage des saveurs, je suis son regard qui me conduit à un merveilleux spectacle, le ciel, est dégagé, les étoiles brillent dans le ciel comme les paillettes que j'ai dans les yeux. Je ne peux pas m'empêcher d'être émerveillé par cet astre lunaire qui fait briller ses rayons dans la chevelure blonde de Raph, le faisant ressembler un ange.
"Il fait frais mais il n’y a pas un seul nuage à l’horizon… Cette nuit est magnifique, comme si elle se prêtait elle aussi à cette soirée. N’est-ce pas merveilleux, mon ange ? "
" Oui, c'est un merveilleux spectacle tout comme tu es merveilleux mon Coeur." Lui dis-je à mon tour tout en terminant mon assiette, je n'en crois pas mes yeux, j'ai réussi à tout avaler et sans avoir du mal. À croire, que je suis réellement une gourmande. Je rougis de surprise tout en sentant son regard se poser sur moi. Je ne peux m’empêcher de le regarder à mon tour. Nos yeux se croisent à nouveau. je sens alors naître un petit frison au creux de mon dos. Sans aucun doute, le destin m'a donné une immense joie de l'avoir rencontré. J'ai l'impression que sans lui, je ne suis rien. Qu'il est devenu l'air que je respire, la chanson qui me lève le matin, le moteur qui me permet d'avancer et qui fait battre mon coeur au tam-tam du sien. Comme-ci son coeur était devenu le mien. Nos coeurs se sont unis dans un même refrain celui de l'amour.
Je l'écoutai avec plaisir tout en dégustant ma soupe, elle était délicieuse sans aucun doute. J'ai souvent entendu dire que quand le repas est préparé avec amour, étrangement on le ressent dans le mets. C'est peut-être cela qui rend tout ce qu'il m'a préparé alléchant et si goûteux. Je suis et je le répète encore et encore la plus heureuse de toutes les femmes. Je me permis de l'admirer du coin de l'oeil tout en plongeant ma cuillère dans ce merveilleux liquide qui me réchauffait un peu. J'avais trouvé une curieuse façon de faire honneur à tous ses plats. J'avais à peine fini ma soupe, que me voilà une assiette à la main pour la remplir de tout ce qui se trouvait sur la table, il y avait tellement de mets que ma pauvre petite assiette en fut vite remplie. Je pus m’empêcher d’éclater de rire à la vue de mon assiette tout en m'excusant auprès de Raphael parce que je venais de jouer la gourmande et que je pense que j'aurais du mal à la vider.
Comme à son habitude, il me rassura. Me disant que je n'étais pas obligé de la terminer et le fait qu'il me propose d'en ramener chez moi me mit encore une fois du baume au coeur.
Je mangeais avec plaisir, je devais dire que c'était vraiment délicieux et je ne pouvais pas m'empêcher de faire en sorte de terminer mon assiette, j'avais appris à terminer mes repas quand j'étais petite. Peut-être était-ce la raison ? En partie oui, l'autre c'était tout simplement parce qu'il avait certainement mis tout son coeur à l’ouvrage de ses mets que je ne pouvais pas décevoir le mal qu'il s'était donné. Je le suivais toujours du regard pendant que je me délecter du splendide repas qu'il m'avait offert. Rien à dire, ces plats était simplement divin. Alors, comment ne pas être un petit peu gourmande dans ces cas-là. Ce n'est pas un pêcher, mais un devoir, celui de faire plaisir à son bien aimer. Vous n'êtes pas de mon avis ? Peu importe, je fais de toute façon ce qui me plaît.
Cette façon de vivre ainsi, je le dois à Raphael, avec lui tout me semble si simple, merveilleux. C'est comme-ci je me trouvais dans un autre univers et que nous seuls existons. Je garde dans ma mémoire chaque petite parcelle du temps que nous passons ensemble et me met déjà à penser à ce qui sera prévu le lendemain. Tout cela, pour dire que la vie est belle quand on est amoureux. Ce sentiment de se sentir encore plus vivant que vous l'êtes. Se sentir comme si vous étiez sur un nuage qui flotte dans les airs. Je me sens légère comme-ci toutes les peines et les douleurs disparaissaient à son contact.
Pendant que je continue ma dégustation, il me demande alors comment je trouve ses plats. J'aimerais lui répondre, mais malheureusement j'ai la bouche pleine et comme toutes personnes de bonne famille, on nous apprend à ne pas parler le bouge plein. Mais, parfois, nous n'avons pas besoin de parler, un simple échange de regards et tout ce lit dans celui-ci. Je suis certaine qu'il a vu dans mon regard que cela est succulent. Pendant que je continue mon voyage des saveurs, je suis son regard qui me conduit à un merveilleux spectacle, le ciel, est dégagé, les étoiles brillent dans le ciel comme les paillettes que j'ai dans les yeux. Je ne peux pas m'empêcher d'être émerveillé par cet astre lunaire qui fait briller ses rayons dans la chevelure blonde de Raph, le faisant ressembler un ange.
"Il fait frais mais il n’y a pas un seul nuage à l’horizon… Cette nuit est magnifique, comme si elle se prêtait elle aussi à cette soirée. N’est-ce pas merveilleux, mon ange ? "
" Oui, c'est un merveilleux spectacle tout comme tu es merveilleux mon Coeur." Lui dis-je à mon tour tout en terminant mon assiette, je n'en crois pas mes yeux, j'ai réussi à tout avaler et sans avoir du mal. À croire, que je suis réellement une gourmande. Je rougis de surprise tout en sentant son regard se poser sur moi. Je ne peux m’empêcher de le regarder à mon tour. Nos yeux se croisent à nouveau. je sens alors naître un petit frison au creux de mon dos. Sans aucun doute, le destin m'a donné une immense joie de l'avoir rencontré. J'ai l'impression que sans lui, je ne suis rien. Qu'il est devenu l'air que je respire, la chanson qui me lève le matin, le moteur qui me permet d'avancer et qui fait battre mon coeur au tam-tam du sien. Comme-ci son coeur était devenu le mien. Nos coeurs se sont unis dans un même refrain celui de l'amour.
Raphaël de La Roche#93122#93122#93122#93122#93122#93122#93122
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Jeu 2 Avr 2015 - 18:45
Je l’observais en silence alors qu’elle dégustait ce repas que je luis avais préparé avec un grand soin. J’y avais mis, il faut bien le dire, tout mon amour, et je n’étais pas un cuisinier régulier, donc c’était une première pour moi, du moins à cette échelle. D’habitude je me contentais des restaurants gastronomiques, ou des quelques collations préparées par Seito, ou que je trouvais lors de petites soirées ou réceptions. Sinon, je m’alimentais de sang, comme tous les vampires. Donc les repas « nourriciers » étaient assez simples, de ce côté-là. Je lui demandai alors si ces mets étaient à son goût. Mais bien sûr, elle avait la bouche pleine alors elle se contenta d’un regard soutenu qui se suffisait à lui-même. C’était ça qui était merveilleux avec elle. Nous n’avions pas besoin de mots pour nous comprendre. Un simple contact visuel pouvait suffire, car l’un comme l’autre y faisait passer toutes ses pensées et sentiments.
Je ne lui offris, comme commentaire, qu’un sourire satisfait et rassuré. C’était ainsi que nous communiquions depuis sept mois. Il coulait entre nous une compréhension mutuelle assez spectaculaire, qui renforçait d’autant plus cet amour inébranlable qui nous liait l’un l’autre. Je le savais, chacun de nous était le souffle de vie de l’autre, sa raison de vivre. Je parvins à la quitter des yeux pour contempler la voûte céleste, scintillant de ses milliards d’étoiles, et illuminée par la lune. Elle suivit mon regard et se joignit à mon émerveillement. Je me sentais si serein, et pourtant, mon esprit se tournait vers la suite des événements. Je doutais encore, mais… dans le doute, il fallait suivre son cœur, n’est-ce pas ?
- Oui, c'est un merveilleux spectacle tout comme tu es merveilleux mon Coeur.
Je plongeai mon regard bleu vert dans le sien en lui souriant. Chaque fois, il me happait, tel un torrent farouche emportant tout sur son passage. Mais il me rassurait, et me couvait de cette chaleur intérieure pour réchauffer mon cœur. Toute une vague de sensations me saisit sur l’instant, même si cela ne se vit pas à l’extérieur. Je pris une inspiration avant de tendre une main pour attraper le grand cru juste devant moi. Je le débouchai et nous servis en vin dans des verres spécifiques. Je me levai ensuite, attrapant le mien au passage, et lui tendis une main pour l’aider à se lever, en vrai gentleman.
- Trinquons à cette soirée, ma chère, à tes dix-neuf ans, et à cette nouvelle année qui s’ouvre à toi. A nous deux, rectifiai-je en souriant. Santé !
Le tintement du verre retentit, clair et pur dans le silence religieux qui nous entourait, comme s’il souhaitait lui aussi immortaliser cet instant. Je savais qu’Emeraude n’était pas très alcool, et elle n’était pas obliger de consommer ce cru en entier. Mais il m’avait paru adapté de fêter son anniversaire à la digne française. Et nous autres les français étions très penchés sur le vin. Je bus une gorgée de mon verre, le savourant comme il se devait.
- Il est vraiment excellent, le caviste n’a pas exagéré en le couvrant d’éloges. Tu n’es pas forcée de tout boire, si tu n’aimes pas mon amour. C’était juste… pour marquer le coup, comme on le dit si bien.
Une irrégularité dans les bruits en contre-bas attira mon attention. Je m’approchai du bord pour jeter un œil au sol, nullement perturbé par la hauteur. A l’agitation qui régnait plus bas, je devinai qu’ils terminaient les derniers préparatifs de la deuxième surprise que je lui réservais. Enfin, ce n’était pas « sa » surprise, dans le sens qu’elle n’était pas la seule à y avoir accès. C’était « une » surprise, puisqu’elle n’en savait encore rien. Je jetai un œil à ma montre pour vérifier. Minuit moins une… Je me tournai à demi vers ma bien-aimée.
- Viens, Emy. Ça va bientôt commencer. Il serait dommage de louper le début.
Je lui tendis une main et l’attirai dans mes bras pour lui voler un tendre baiser. Puis je pris sa main dans la mienne, tenant de la gauche mon verre de vin, et reposai mon regard vers ce qu’il se tramait au sol. Le silence se fit, du moins pour moi car Emeraude ne devait pas percevoir grand-chose de l’activité sonore. Et puis, la première détonation retentit et une lumière dorée se projeta dans le ciel, pour exploser en milles et unes étincelles. Le feu d’artifice mensuel du parc d’attraction venait de débuter.
Je ne lui offris, comme commentaire, qu’un sourire satisfait et rassuré. C’était ainsi que nous communiquions depuis sept mois. Il coulait entre nous une compréhension mutuelle assez spectaculaire, qui renforçait d’autant plus cet amour inébranlable qui nous liait l’un l’autre. Je le savais, chacun de nous était le souffle de vie de l’autre, sa raison de vivre. Je parvins à la quitter des yeux pour contempler la voûte céleste, scintillant de ses milliards d’étoiles, et illuminée par la lune. Elle suivit mon regard et se joignit à mon émerveillement. Je me sentais si serein, et pourtant, mon esprit se tournait vers la suite des événements. Je doutais encore, mais… dans le doute, il fallait suivre son cœur, n’est-ce pas ?
- Oui, c'est un merveilleux spectacle tout comme tu es merveilleux mon Coeur.
Je plongeai mon regard bleu vert dans le sien en lui souriant. Chaque fois, il me happait, tel un torrent farouche emportant tout sur son passage. Mais il me rassurait, et me couvait de cette chaleur intérieure pour réchauffer mon cœur. Toute une vague de sensations me saisit sur l’instant, même si cela ne se vit pas à l’extérieur. Je pris une inspiration avant de tendre une main pour attraper le grand cru juste devant moi. Je le débouchai et nous servis en vin dans des verres spécifiques. Je me levai ensuite, attrapant le mien au passage, et lui tendis une main pour l’aider à se lever, en vrai gentleman.
- Trinquons à cette soirée, ma chère, à tes dix-neuf ans, et à cette nouvelle année qui s’ouvre à toi. A nous deux, rectifiai-je en souriant. Santé !
Le tintement du verre retentit, clair et pur dans le silence religieux qui nous entourait, comme s’il souhaitait lui aussi immortaliser cet instant. Je savais qu’Emeraude n’était pas très alcool, et elle n’était pas obliger de consommer ce cru en entier. Mais il m’avait paru adapté de fêter son anniversaire à la digne française. Et nous autres les français étions très penchés sur le vin. Je bus une gorgée de mon verre, le savourant comme il se devait.
- Il est vraiment excellent, le caviste n’a pas exagéré en le couvrant d’éloges. Tu n’es pas forcée de tout boire, si tu n’aimes pas mon amour. C’était juste… pour marquer le coup, comme on le dit si bien.
Une irrégularité dans les bruits en contre-bas attira mon attention. Je m’approchai du bord pour jeter un œil au sol, nullement perturbé par la hauteur. A l’agitation qui régnait plus bas, je devinai qu’ils terminaient les derniers préparatifs de la deuxième surprise que je lui réservais. Enfin, ce n’était pas « sa » surprise, dans le sens qu’elle n’était pas la seule à y avoir accès. C’était « une » surprise, puisqu’elle n’en savait encore rien. Je jetai un œil à ma montre pour vérifier. Minuit moins une… Je me tournai à demi vers ma bien-aimée.
- Viens, Emy. Ça va bientôt commencer. Il serait dommage de louper le début.
Je lui tendis une main et l’attirai dans mes bras pour lui voler un tendre baiser. Puis je pris sa main dans la mienne, tenant de la gauche mon verre de vin, et reposai mon regard vers ce qu’il se tramait au sol. Le silence se fit, du moins pour moi car Emeraude ne devait pas percevoir grand-chose de l’activité sonore. Et puis, la première détonation retentit et une lumière dorée se projeta dans le ciel, pour exploser en milles et unes étincelles. Le feu d’artifice mensuel du parc d’attraction venait de débuter.
- HRP:
- Voilou voilou, désolée pour la très longue attente >w< Je me suis arrêtée au début du feu d'artifice, comme ça je te laisse le loisir de le décrire dans ton poste, si ça ne t'embête pas =) il dure approximativement dix à quinze minutes, dans mon idée.
Invité
Invité
Jeu 1 Sep 2016 - 15:17
<< Pour toi, ma douce >>
feat : Pseudo
Parfois, il n'y a pas besoin de mot pour exprimé ce que l'on ressent, un seul regard et on se comprends, c'est ce qui était merveilleux avec Raph. Il m'avait demander si j'avais aimer les mets qu'il avait prit soin de préparer avec amour. Lui de son coté, un simple sourire me fit comprendre qu'il était heureux. L'amour est une chose magique et fantastique. C'est vrai aussi que je redoutais par moment le jour où je devrais rencontré ses parents parce qu'on fond de mon cœur, je sais que cela arrivera un jour. Pour le moment, seul comptais le temps que je passais avec lui, le rendre heureux.
Pendant tout se temps, je l'admirais en silence même quand j'eu finis de tout manger. Je le regardais attraper la bouteille de vin et servir deux verre avant de se lever et se diriger vers moi, il me tendis la main pour m'aider à me relever avant de me tendre mon verre. J'avais le cœur qui battait la chamade.
"- Trinquons à cette soirée, ma chère, à tes dix-neuf ans, et à cette nouvelle année qui s’ouvre à toi. A nous deux," rectifiât-il en souriant." Santé !."
Je lui souris
" A nous deux." lui répondis-je amoureusement.
Raph savait que je n'aimais pas beaucoup l'alcool, mais aujourd'hui n'était pas jour ordinaire, je pouvais bien faire une exception et surtout lui faire plaisir. Le pauvre, il c'était tellement donné du mal pour que ma fête d'anniversaire soit parfaite. Alors, ce n'était pas le moment de tout gâcher. Nos deux verres, l'un contre l'autre faires un tintement , un petit bruit léger tel un doux appelle du Crystal. C'était trop beau. Je le plongea mes yeux dans les siens alors qu'il porta son verre à ses lèvres, j'en fis autant. Le liquide dans mon verre me fit grimacer quand il descendit dans ma gorge. Beurkkk décidément, je n'aimais vraiment pas cette boisson. Cependant, je finis doucement mon verre. Je ne voulais pas de gaspillage, je n'aimais pas cela. J'imaginais un sourire sur les lèvres de Raph à la tête que j'avais fait en buvant le vin.
Je n'avais encore rien ajouté quand il rajouta :
"- Il est vraiment excellent, le caviste n’a pas exagéré en le couvrant d’éloges. Tu n’es pas forcée de tout boire, si tu n’aimes pas mon amour. C’était juste… pour marquer le coup, comme on le dit si bien.
Je ne pût m'empêcher de rougir à ses paroles. Je m'en doutais qu'il m'aurait dit cela. Dire que j'avais vider mon verre tout en grimaçant, pas parce que la boisson était mauvais. C'était juste que l'alcool ou le vin n'était pas ma boisson préférer. En un mot, je n'aimais pas trop cela.
" Merci Raph, je voulais moi aussi marqué le coup...en vidant mon verre..." Mes joues avaient prit une couleur rougeâtre. Le vin mettais un peu monté à la tête, cependant je ne penses pas qu'un seul verre de vin pouvais rendre une personne saoul, même pour une personne n'ayant jamais but de sa vie.
C'est là qu'il me tira à lui tout en continuant de sa délicieuse voix :
"- Viens, Emy. Ça va bientôt commencer. Il serait dommage de louper le début.. .
Il m'avait tiré dans ses bras, j'étais tellement proche de lui que mon cœur se mit à battre de plus belle. Je me sentais si bien dans ses bras. Son baiser quand à lui était toujours aussi délicieux. J'étais heureuse, je me sentais si bien. Je me disais que c'était la plus belle fêtes d'anniversaire bien que je doutais fort qu'elle soit encore terminé. Je vis alors la première lueur apparaître dans le ciel, un feux d'artifice. Je ne pu m'empêcher de lever les yeux aux ciel. Je n'avais jamais pensé que cela puisse être aussi beau.
" C'est merveilleux..." murmurais-je aux oreilles de Raph. Ma main dans la sienne venait de se serrer. Pendant que j'admirais le spectacle, je me mis à caresser ses doigts avec ma main.
Pendant tout se temps, je l'admirais en silence même quand j'eu finis de tout manger. Je le regardais attraper la bouteille de vin et servir deux verre avant de se lever et se diriger vers moi, il me tendis la main pour m'aider à me relever avant de me tendre mon verre. J'avais le cœur qui battait la chamade.
"- Trinquons à cette soirée, ma chère, à tes dix-neuf ans, et à cette nouvelle année qui s’ouvre à toi. A nous deux," rectifiât-il en souriant." Santé !."
Je lui souris
" A nous deux." lui répondis-je amoureusement.
Raph savait que je n'aimais pas beaucoup l'alcool, mais aujourd'hui n'était pas jour ordinaire, je pouvais bien faire une exception et surtout lui faire plaisir. Le pauvre, il c'était tellement donné du mal pour que ma fête d'anniversaire soit parfaite. Alors, ce n'était pas le moment de tout gâcher. Nos deux verres, l'un contre l'autre faires un tintement , un petit bruit léger tel un doux appelle du Crystal. C'était trop beau. Je le plongea mes yeux dans les siens alors qu'il porta son verre à ses lèvres, j'en fis autant. Le liquide dans mon verre me fit grimacer quand il descendit dans ma gorge. Beurkkk décidément, je n'aimais vraiment pas cette boisson. Cependant, je finis doucement mon verre. Je ne voulais pas de gaspillage, je n'aimais pas cela. J'imaginais un sourire sur les lèvres de Raph à la tête que j'avais fait en buvant le vin.
Je n'avais encore rien ajouté quand il rajouta :
"- Il est vraiment excellent, le caviste n’a pas exagéré en le couvrant d’éloges. Tu n’es pas forcée de tout boire, si tu n’aimes pas mon amour. C’était juste… pour marquer le coup, comme on le dit si bien.
Je ne pût m'empêcher de rougir à ses paroles. Je m'en doutais qu'il m'aurait dit cela. Dire que j'avais vider mon verre tout en grimaçant, pas parce que la boisson était mauvais. C'était juste que l'alcool ou le vin n'était pas ma boisson préférer. En un mot, je n'aimais pas trop cela.
" Merci Raph, je voulais moi aussi marqué le coup...en vidant mon verre..." Mes joues avaient prit une couleur rougeâtre. Le vin mettais un peu monté à la tête, cependant je ne penses pas qu'un seul verre de vin pouvais rendre une personne saoul, même pour une personne n'ayant jamais but de sa vie.
C'est là qu'il me tira à lui tout en continuant de sa délicieuse voix :
"- Viens, Emy. Ça va bientôt commencer. Il serait dommage de louper le début.. .
Il m'avait tiré dans ses bras, j'étais tellement proche de lui que mon cœur se mit à battre de plus belle. Je me sentais si bien dans ses bras. Son baiser quand à lui était toujours aussi délicieux. J'étais heureuse, je me sentais si bien. Je me disais que c'était la plus belle fêtes d'anniversaire bien que je doutais fort qu'elle soit encore terminé. Je vis alors la première lueur apparaître dans le ciel, un feux d'artifice. Je ne pu m'empêcher de lever les yeux aux ciel. Je n'avais jamais pensé que cela puisse être aussi beau.
" C'est merveilleux..." murmurais-je aux oreilles de Raph. Ma main dans la sienne venait de se serrer. Pendant que j'admirais le spectacle, je me mis à caresser ses doigts avec ma main.
Raphaël de La Roche#94435#94435#94435#94435#94435#94435#94435
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Ven 2 Déc 2016 - 12:50
Je m’attendais à ce qu’elle laissât un fond de vin dans son verre. Je savais que l’alcool n’était pas sa boisson favorite. Cependant elle me fit la surprise de le vider entièrement. Du rose colora ses pommettes au bout de quelques minutes. Elle n’avait pas l’habitude d’en boire, j’en avais conscience, et donc elle ne pouvait sans doute pas supporter une grande quantité à la fois. Mais ces joues colorées accentuaient son charme et je la trouvais encore plus irrésistible. Je lui décrochai un sourire ravi. L’effort qu’elle prodiguait me touchait, comme pour tout ce qu’elle faisait à mon égard. Je l’emmenai ensuite vers le bord, sans trop nous en approcher toutefois, par sécurité. Même s’il y avait une barrière sur la terrasse, il valait mieux éviter, et puis la hauteur risquait de la rendre fébrile. Et je ne souhaitais que son bien-être total.
Calée dans mes bras pour le spectacle pyrotechnique, elle murmura quelques mots pour le qualifier. Je posai ma tête contre la sienne pour toute réponse. J’étais d’accord avec elle, ces myriades de couleurs, ces formes diverses et variées, ces éclats de l’arc-en-ciel… Tout l’ensemble ravissait nos pupilles attentives. Et ce fut avec un sourire tant attendri qu’émerveillé que j’assistai à cette danse céleste. Je sentais les doigts d’Emeraude glisser sur les miens. J’y répondis en la serrant davantage contre moi. Aujourd’hui je savais que je ne pourrais plus me passer de son sourire, de son rire, de sa douceur, ni de sa gentillesse. Il y a encore un an, jamais je n’aurais pensé pouvoir me remettre complètement de la mort de ma femme. Cela faisait tellement d’années que j’en portais le deuil, et aujourd’hui mon cœur me paraissait enfin plus léger. Au début j’avais peur de m’engager, peur de souffrir encore, peur de trahir la mémoire de Sophie, également. Et je me refusais probablement le bonheur, car ni mon frère ni elle ne le connaitraient de nouveau. En un sens, Emeraude m’avait presque sauvé de cet océan de culpabilité qui me rongeait ; j’avais pu tourner la page, sans nécessairement oublier ces années passées avec Sophie. Non, elle occuperait toujours une part de mon cœur, comme mon premier véritable amour. Mais aujourd’hui, il y avait enfin de la place pour une nouvelle relation. Et je sentais tout au fond de moi que mon frère approuvait.
Lorsque le dernier feu du final mourut dans le ciel, je libérai enfin Emeraude de mon étreinte pour applaudir. Même si nous n’étions pas parmi la foule en contre-bas, ça me paraissait la moindre des choses. Je regardai tendrement Emeraude tandis que mes paumes claquaient en rythme. La foule spectatrice dans le parc commença à se disperser. Je jetai un dernier regard au ciel étoilé, avant de me tourner vers ma dulcinée.
- Je pense que ce feu d’artifice était à la hauteur de tes attentes. Je l’espère en tout cas. Même s’il n’a pas pu illuminer le ciel comme tu illumines ma vie. Mais si tu crois que ta soirée est terminée, détrompe-toi.
Je sentais ce moment fatidique approcher. Je le redoutais autant que je l’attendais. C’était très contradictoire comme ressenti. Et il est vrai que je me questionnais encore sur mes intentions. Cependant, cette fois-ci, je ne voulais pas attendre aussi longtemps… Je pris les mains d’Emeraude dans les miennes, l’air un peu plus sérieux. Je la contemplai de nouveau ; ses yeux pétillants, ses lèvres pulpeuses, ses joues roses, son petit nez, son front volontaire… Je baissai le regard sur nos mains enlacées.
- Emeraude…
Ma voix avait pris un ton plus grave, non contrôlé. Je la regardai amoureusement, partagé entre l’appréhension et l’impatience.
- Ça fait un an que nous nous connaissons, et… j’ai l’impression de te connaître depuis bien plus longtemps. Tous ces moments passés ensemble… c’est fou à quel point tu as pris une place prépondérante dans ma vie aujourd’hui. Même si tu ne sais pas encore tout de moi, ou moi de toi… En un sens ça nous laisse l’occasion d’en apprendre toujours plus l’un sur l’autre chaque jour qui passe. Et c’est une belle aventure que de faire une nouvelle découverte chaque soir.
Je fis une courte pause, le temps de trouver les mots et de respirer. J’avais peur qu’un silence prolongé ne coupât mon élan, alors que mon estomac se contractait.
- Et justement… tu vas sans doute trouver ça précipité, hâtif, ou trop précoce, mais… j’ai déjà attendu longtemps, une fois. Mais aujourd’hui… aujourd’hui, je veux profiter avec toi. Que ce soit demain, dans six mois ou dans 2 ans, ton rythme sera le mien. Je veux juste t’avoir à mes côtés, être à tes côtés, partager tout et rien avec toi au quotidien, sans que tu te sentes étouffée pour autant. Alors…
Après cette longue plaidoirie, il ne me restait plus que le clou du spectacle, même si la suite me rendait quelque peu anxieux. Je lui lâchai une main pour présenter ma paume droite vers le ciel. Grâce à mon pouvoir de téléportation, un petit écrin apparut à l’intérieur. Celui-là même que je malmenais en début de soirée, chez moi. J’ouvris le couvercle pour montrer son contenu.
- Est-ce que tu voudrais… être ma moitié pour les prochaines décennies ?
Voilà, je lui avais enfin demandé. Ce n’était pas cette fois dans le classique genou à terre, avec une formulation direct. Je l’avais formulé à ma façon. J’avais conscience que ma demande était peut-être trop précipitée. Cela ne faisait q’un an après tout. Cependant… la première fois j’avais attendu vingt-cinq ans avant de demander la main de Sophie, certes vampires. Aujourd’hui, je voulais profiter de ces instants éphémères avec Emeraude, car sa vie n’était qu’un soupir comparé à la mienne. Mais quel merveilleux soupir… Je guettais sa réaction, partagé entre l’appréhension et l’espoir.
Calée dans mes bras pour le spectacle pyrotechnique, elle murmura quelques mots pour le qualifier. Je posai ma tête contre la sienne pour toute réponse. J’étais d’accord avec elle, ces myriades de couleurs, ces formes diverses et variées, ces éclats de l’arc-en-ciel… Tout l’ensemble ravissait nos pupilles attentives. Et ce fut avec un sourire tant attendri qu’émerveillé que j’assistai à cette danse céleste. Je sentais les doigts d’Emeraude glisser sur les miens. J’y répondis en la serrant davantage contre moi. Aujourd’hui je savais que je ne pourrais plus me passer de son sourire, de son rire, de sa douceur, ni de sa gentillesse. Il y a encore un an, jamais je n’aurais pensé pouvoir me remettre complètement de la mort de ma femme. Cela faisait tellement d’années que j’en portais le deuil, et aujourd’hui mon cœur me paraissait enfin plus léger. Au début j’avais peur de m’engager, peur de souffrir encore, peur de trahir la mémoire de Sophie, également. Et je me refusais probablement le bonheur, car ni mon frère ni elle ne le connaitraient de nouveau. En un sens, Emeraude m’avait presque sauvé de cet océan de culpabilité qui me rongeait ; j’avais pu tourner la page, sans nécessairement oublier ces années passées avec Sophie. Non, elle occuperait toujours une part de mon cœur, comme mon premier véritable amour. Mais aujourd’hui, il y avait enfin de la place pour une nouvelle relation. Et je sentais tout au fond de moi que mon frère approuvait.
Lorsque le dernier feu du final mourut dans le ciel, je libérai enfin Emeraude de mon étreinte pour applaudir. Même si nous n’étions pas parmi la foule en contre-bas, ça me paraissait la moindre des choses. Je regardai tendrement Emeraude tandis que mes paumes claquaient en rythme. La foule spectatrice dans le parc commença à se disperser. Je jetai un dernier regard au ciel étoilé, avant de me tourner vers ma dulcinée.
- Je pense que ce feu d’artifice était à la hauteur de tes attentes. Je l’espère en tout cas. Même s’il n’a pas pu illuminer le ciel comme tu illumines ma vie. Mais si tu crois que ta soirée est terminée, détrompe-toi.
Je sentais ce moment fatidique approcher. Je le redoutais autant que je l’attendais. C’était très contradictoire comme ressenti. Et il est vrai que je me questionnais encore sur mes intentions. Cependant, cette fois-ci, je ne voulais pas attendre aussi longtemps… Je pris les mains d’Emeraude dans les miennes, l’air un peu plus sérieux. Je la contemplai de nouveau ; ses yeux pétillants, ses lèvres pulpeuses, ses joues roses, son petit nez, son front volontaire… Je baissai le regard sur nos mains enlacées.
- Emeraude…
Ma voix avait pris un ton plus grave, non contrôlé. Je la regardai amoureusement, partagé entre l’appréhension et l’impatience.
- Ça fait un an que nous nous connaissons, et… j’ai l’impression de te connaître depuis bien plus longtemps. Tous ces moments passés ensemble… c’est fou à quel point tu as pris une place prépondérante dans ma vie aujourd’hui. Même si tu ne sais pas encore tout de moi, ou moi de toi… En un sens ça nous laisse l’occasion d’en apprendre toujours plus l’un sur l’autre chaque jour qui passe. Et c’est une belle aventure que de faire une nouvelle découverte chaque soir.
Je fis une courte pause, le temps de trouver les mots et de respirer. J’avais peur qu’un silence prolongé ne coupât mon élan, alors que mon estomac se contractait.
- Et justement… tu vas sans doute trouver ça précipité, hâtif, ou trop précoce, mais… j’ai déjà attendu longtemps, une fois. Mais aujourd’hui… aujourd’hui, je veux profiter avec toi. Que ce soit demain, dans six mois ou dans 2 ans, ton rythme sera le mien. Je veux juste t’avoir à mes côtés, être à tes côtés, partager tout et rien avec toi au quotidien, sans que tu te sentes étouffée pour autant. Alors…
Après cette longue plaidoirie, il ne me restait plus que le clou du spectacle, même si la suite me rendait quelque peu anxieux. Je lui lâchai une main pour présenter ma paume droite vers le ciel. Grâce à mon pouvoir de téléportation, un petit écrin apparut à l’intérieur. Celui-là même que je malmenais en début de soirée, chez moi. J’ouvris le couvercle pour montrer son contenu.
- Est-ce que tu voudrais… être ma moitié pour les prochaines décennies ?
Voilà, je lui avais enfin demandé. Ce n’était pas cette fois dans le classique genou à terre, avec une formulation direct. Je l’avais formulé à ma façon. J’avais conscience que ma demande était peut-être trop précipitée. Cela ne faisait q’un an après tout. Cependant… la première fois j’avais attendu vingt-cinq ans avant de demander la main de Sophie, certes vampires. Aujourd’hui, je voulais profiter de ces instants éphémères avec Emeraude, car sa vie n’était qu’un soupir comparé à la mienne. Mais quel merveilleux soupir… Je guettais sa réaction, partagé entre l’appréhension et l’espoir.
Invité
Invité
Sam 3 Déc 2016 - 11:27
<< Pour toi, ma douce >>
feat : Pseudo
On m'avait si souvent parlé des feux d'artifice de leur beauté, la façon dont leur lumière colorait le ciel pour le mettre en fête et l'habiller de mille couleurs. C'était merveilleux, je l'avais d'ailleurs murmuré aux oreilles de Raph. Nous étions serrés l'un contre l'autre, Raph était derrière moi, il me tenait dans ses bras comme pour m'empêcher de partir, cela me plaisait vraiment. Être dans ses bras ainsi serrés contre son cœur était encore plus magique que le feu d'artifice lui-même. J'étais heureuse comme jamais je ne l'avais été et au fil du temps cet amour prenait de l'ampleur et je devais admettre que me sépare de lui à chaque fois pour le retrouver le lendemain devait de plus en plus difficile. Certes, j'avais mon travail, mais cela ne me permettait pas de l'oubli, c'était comme s'il était encré dans mon âme, mon corps. Comme s'il était l'air que je respirais et tout le monde sait que sans air, vous ne pouvez pas vivre. C'était ce que je ressentais. Pendant tout le spectacle, ma main caressait du bout des doigts les siens et lui comme à chacun répondait à mes caresses. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien et je me sentais si bien, protégé, en sécurité comme si plus rien ne pouvait m'arrêter.
Quand le feu s'éteignit dans le ciel, Raph s'éloigna de notre entrainte encore une fois, je sentis cela comme un petit froid, c'était étrange de se sentir ainsi. Le vide qui m'emportait quand je n'était pas près de lui, quand je n'étais pas dans ces bras. Je savais, on fond de moi que tout ira bien et que notre amour perturbera. Cependant, bien qu'il ne m'eût déjà fait pas de mal de surprise, je n'étais pas au bout de l'émerveillement. Je le regardais applaudir et j'en fis autant, pendant ses mains claquaient les unes contre les autres, ses yeux venaient à la rencontre des miens et je sentais une nouvelle fois une joie embaumée, mon cœur, il se serrait petit à petit au rythme des claquements de nos mains qui doucement se turent pendant que les spectateurs se dissipèrent peu à peu.
J'étais aux anges et impatiente en même temps de voir la suite, parce que je sentais que la surprise qu'il m'avait préparée était loin d'être terminé. Je le regardais en silence amoureux, ses yeux tournés vers le ciel puis doucement descendre vers mon visage pour croiser mon regard couleur émeraude. Je lui souris, mon cœur doucement s'affolait ! Est-ce dû au vin que j'avais bu d'une traite ? L'émotion que je ressentais pour lui . Ou bien étais-ce un mélange des deux ? Cela n'avait pas d'importance parce que j'étais heureuse tout simplement. C'est là qu'il décida de rompre le silence et je le laissai parler sans rien dire. À la fin de ses paroles, je souris de plus belle, mon cœur s'affolait davantage, j'avais deviné juste.
" Toi aussi Raph, tu illumines ma vie...tu es la plus belle chose qui me soit arrivée......" lui répondis-je amoureusement et me tue, les émotions étaient si fortes que j'avais du mal à parler.
Cependant, bien que je mette préparer à autre chose, je pense que jamais j'aurais imaginé qu'un de mes rêves se réalise. Il s'approcha de moi et reprit mes mains dans les siennes, cette chaleur à chaque fois envahissait mon corps, c'était vraiment fabuleux se ressent. Jamais je m'en lacerais. Puis, je le fis baisser ses yeux sur nos mains entrelacées comme s'il était gêné. Je trouvais cela mignon. C'est alors qu'il prit la parole, dans sa voix se pouvait ressentir de l'appréhension, mélangé à de l'amour avec une petite touche d'impatience, il était trop choux ainsi, c'est tout ça que j'aimais chez lui et bien plus encore. La joie qu'il m'apportait, le bonheur de se sentir aimé, de partager les mêmes sentiments, les mêmes choses, la sécurité qu'il m'apportait et surtout le fait d'accepter encore un peu plus facilement ma maladie.
Je l'écoutais en silence, les émotions se balançaient dans ma tête. J'avais comme du baume sur le cœur, au fil de ses paroles mon cœur s'affolait de plus belle tellement ses paroles me touchaient et tout ce qu'il me disait était exactement ce que moi je vivais à ses côtés. J'étais émerveillé bien plus encore que quand j'avais les yeux posés sur le ciel teint de toutes ses couleurs. En un mot, je n'avais pas de mot exact pour dire ce que je ressentais à cet instant. Il y avait quelque mot qui se gravait dans ma mémoire, trop hâtif, précipité, précoce...doucement dans ma tête les émotions se bousculaient, affolent mon cœur par la même occasion. J'avais la voix coupée par ses paroles tellement elles étaient justes et fantastiques.
Puis, il me lâcha une main, je ne quittai pas son regard, ne rajoutant rien de peur de briser cette magie qui m'emportait. Je restais là silencieuse, sous le regard amoureux de Raph. Mon regard doucement scruta sa paume vide, puis je vis apparaître une petite boîte mon cœur fit un tour dans ma poitrine. J'avais deviné ce qu'il s'apprêtait à me dire, ne le quittant toujours pas du regard, incapable de prononcer un mot, tant les émotions étaient intenses. Je le regardai ouvrir l'écrin tout en me disant
"- Est-ce que tu voudrais… être ma moitié pour les prochaines décennies ?
J'étais là devant lui, immobile, les larmes se mirent à couler le long de mes joues, ce n'était pas des larmes de tristesse, mais bel et bien de pur bonheur. Mes yeux restaient fixés sur le petit écrin, il avait dans celui-ci, la plus belle de toutes les bagues que j'avais pu imaginer. Il fallait que je calme les battements de mon cœur. Je croisai à nouveau son regard, je devais faire quelque chose, parlé même si les larmes envahissaient mon visage.
"Oui, Raph...de tout mon cœur...je le désir de tout mon être...
Une seule pensée venait de m'envahir, j'avais envie de lui sauter au cou, de l'embrasser, de lui montrer que je l'avais toujours désiré, seulement j'avais peur qu'agissent de la sorte, je fasse valsé dans les airs, le petit écrin qui se trouvaient dans sa main. Pour toute autre réponse, je le regardai amoureusement, incapable de faire un pas de plus. Les larmes aux yeux et heureuse, attendant à mon tour la suite et sa réaction à ma maladresse que j'avais parfois et qui malheureusement fessait partis de moi.
Quand le feu s'éteignit dans le ciel, Raph s'éloigna de notre entrainte encore une fois, je sentis cela comme un petit froid, c'était étrange de se sentir ainsi. Le vide qui m'emportait quand je n'était pas près de lui, quand je n'étais pas dans ces bras. Je savais, on fond de moi que tout ira bien et que notre amour perturbera. Cependant, bien qu'il ne m'eût déjà fait pas de mal de surprise, je n'étais pas au bout de l'émerveillement. Je le regardais applaudir et j'en fis autant, pendant ses mains claquaient les unes contre les autres, ses yeux venaient à la rencontre des miens et je sentais une nouvelle fois une joie embaumée, mon cœur, il se serrait petit à petit au rythme des claquements de nos mains qui doucement se turent pendant que les spectateurs se dissipèrent peu à peu.
J'étais aux anges et impatiente en même temps de voir la suite, parce que je sentais que la surprise qu'il m'avait préparée était loin d'être terminé. Je le regardais en silence amoureux, ses yeux tournés vers le ciel puis doucement descendre vers mon visage pour croiser mon regard couleur émeraude. Je lui souris, mon cœur doucement s'affolait ! Est-ce dû au vin que j'avais bu d'une traite ? L'émotion que je ressentais pour lui . Ou bien étais-ce un mélange des deux ? Cela n'avait pas d'importance parce que j'étais heureuse tout simplement. C'est là qu'il décida de rompre le silence et je le laissai parler sans rien dire. À la fin de ses paroles, je souris de plus belle, mon cœur s'affolait davantage, j'avais deviné juste.
" Toi aussi Raph, tu illumines ma vie...tu es la plus belle chose qui me soit arrivée......" lui répondis-je amoureusement et me tue, les émotions étaient si fortes que j'avais du mal à parler.
Cependant, bien que je mette préparer à autre chose, je pense que jamais j'aurais imaginé qu'un de mes rêves se réalise. Il s'approcha de moi et reprit mes mains dans les siennes, cette chaleur à chaque fois envahissait mon corps, c'était vraiment fabuleux se ressent. Jamais je m'en lacerais. Puis, je le fis baisser ses yeux sur nos mains entrelacées comme s'il était gêné. Je trouvais cela mignon. C'est alors qu'il prit la parole, dans sa voix se pouvait ressentir de l'appréhension, mélangé à de l'amour avec une petite touche d'impatience, il était trop choux ainsi, c'est tout ça que j'aimais chez lui et bien plus encore. La joie qu'il m'apportait, le bonheur de se sentir aimé, de partager les mêmes sentiments, les mêmes choses, la sécurité qu'il m'apportait et surtout le fait d'accepter encore un peu plus facilement ma maladie.
Je l'écoutais en silence, les émotions se balançaient dans ma tête. J'avais comme du baume sur le cœur, au fil de ses paroles mon cœur s'affolait de plus belle tellement ses paroles me touchaient et tout ce qu'il me disait était exactement ce que moi je vivais à ses côtés. J'étais émerveillé bien plus encore que quand j'avais les yeux posés sur le ciel teint de toutes ses couleurs. En un mot, je n'avais pas de mot exact pour dire ce que je ressentais à cet instant. Il y avait quelque mot qui se gravait dans ma mémoire, trop hâtif, précipité, précoce...doucement dans ma tête les émotions se bousculaient, affolent mon cœur par la même occasion. J'avais la voix coupée par ses paroles tellement elles étaient justes et fantastiques.
Puis, il me lâcha une main, je ne quittai pas son regard, ne rajoutant rien de peur de briser cette magie qui m'emportait. Je restais là silencieuse, sous le regard amoureux de Raph. Mon regard doucement scruta sa paume vide, puis je vis apparaître une petite boîte mon cœur fit un tour dans ma poitrine. J'avais deviné ce qu'il s'apprêtait à me dire, ne le quittant toujours pas du regard, incapable de prononcer un mot, tant les émotions étaient intenses. Je le regardai ouvrir l'écrin tout en me disant
"- Est-ce que tu voudrais… être ma moitié pour les prochaines décennies ?
J'étais là devant lui, immobile, les larmes se mirent à couler le long de mes joues, ce n'était pas des larmes de tristesse, mais bel et bien de pur bonheur. Mes yeux restaient fixés sur le petit écrin, il avait dans celui-ci, la plus belle de toutes les bagues que j'avais pu imaginer. Il fallait que je calme les battements de mon cœur. Je croisai à nouveau son regard, je devais faire quelque chose, parlé même si les larmes envahissaient mon visage.
"Oui, Raph...de tout mon cœur...je le désir de tout mon être...
Une seule pensée venait de m'envahir, j'avais envie de lui sauter au cou, de l'embrasser, de lui montrer que je l'avais toujours désiré, seulement j'avais peur qu'agissent de la sorte, je fasse valsé dans les airs, le petit écrin qui se trouvaient dans sa main. Pour toute autre réponse, je le regardai amoureusement, incapable de faire un pas de plus. Les larmes aux yeux et heureuse, attendant à mon tour la suite et sa réaction à ma maladresse que j'avais parfois et qui malheureusement fessait partis de moi.
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Mar 3 Jan 2017 - 19:33
La demande était faite. A présent je guettais sa réaction, appréhendant la suite autant que je l’attendais avec impatience. C’était le paradoxe de l’amour ; il vous faisait rêver autant qu’il vous tourmentait. Mais la vie serait bien ennuyeuse, dans le fond, si tout allait toujours aussi bien, n’est-ce pas ? « Je doute, donc je pense, donc je suis ». Cette citation d’un célèbre philosophe démontrait simplement que le doute faisait partie de notre existence ; que c’était humain, somme toute – façon de parler, dans mon cas… Quoique. Des fois je me demandais en quoi nous étions si différents des humains, mis à part nos aptitudes physiques et régénératrices hors normes. Finalement nous fonctionnions beaucoup comme eux, même si bien sûr nous gardions toujours cet instinct primitif qui nous submergeait lorsque la soif nous prenait. Etait-ce là le seul fossé qui séparait nos deux races ? Je lui demandais de partager ma vie de vampire ; était-ce sûr pour elle, de côtoyer un potentiel prédateur ? Certes jamais je le lui ferais le moindre mal, je savais me maîtriser comme tous mes congénères –ou la plupart du moins – mais le risque 0 n’existait pas. Il me faudrait probablement redoubler de prudence…
Les larmes qui coulèrent sur ses joues m’alertèrent. Je ne la sentais pourtant pas souffrante, ni triste… Ses yeux verts brillaient, pleins de vie et rayonnant de bonheur. Etait-ce simplement des larmes de joie ? Les vampires étaient souvent moins démonstratifs et moins émotifs, et même après plus d’un siècle à côtoyer des humains, je n’étais jamais sûr à cent pour cent de la signification de leurs réactions. Et puis elle me répondit, tout en douceur et en joie parfaitement contenue. Le temps sembla se figer un instant tandis que je saisissais enfin le sens de ses paroles. Puis un sourire lumineux éclaira mon visage. Tout doute s’était évaporé à présent ; et quand bien même j’avais conscience qu’il me faudrait être prudent vis-à-vis de mon instinct vampirique, je ne laissais plus rien, en cet instant, entraver la joie qui me submergeait.
- Ma douce… murmurai-je en posant ma main libre sur le visage d’Emeraude.
Je l’embrassai tendrement, contenant avec peine l’effusion de joie que me procurait sa réponse positive. Puis, voyant qu’elle se tenait toujours immobile, sans doute incapable de bouger à cause de l’émotion, je sortis la bague de son écrin, que je rangeai dans une poche. Puis je saisis sa main gauche pour enfiler le bijou à son annulaire. Je notai avec soulagement que l’anneau lui allait à la perfection. J’avais eu peur de m’être trompé sur sa taille de doigt.
- Elle te va à ravir, Emy…
J’admirai encore un moment la pierre sertie dans une monture d’argent. J’avais passé presque deux heures à faire mon choix dans le magasin. Je l’avais même commandé sur-mesure, en réalité, n’en trouvant pas de méritante pour l’élue de mon cœur. Puis je l’embrassai de nouveau avant de la serrer contre moi. En contre-bas, la foule s’était déjà dispersée et on ne voyait plus dans le ciel que quelques volutes de fumée, seules témoins du feu d’artifice.
Joyeux anniversaire, Emeraude, lui murmurai-je dans le creux de l’oreille avant de me redresser. J’espère que cette soirée t’a comblée.
Je m’écartai pour la contempler en souriant. J’avais du mal à réaliser que nous étions dès à présent fiancés. Je me demandais même si ce n’était pas une folie… mais quelle douce et désirable folie ! Je n’avais plus rien à lui offrir à présent ; ma demande de fiançailles était le clou du spectacle, alors je restai un moment silencieux, ne sachant trop quoi ajouter.
Est-ce que tu désires autre chose, mon amour ?
J’aurais voulu pouvoir suspendre le temps, juste pour prolonger ces instants passés à ses côtés. C’était un peu ridicule, puisque après tout, dans plus ou moins longtemps, nous partagerions le même toi et la même vie. Mais j’en voulais toujours plus ; en plus d’être mon souffle vie, elle était presque comme une drogue. Une drogue douce qui me permettait de revivre après toutes ces années de chagrin, à me morfondre et me culpabiliser. Et, égoïstement, j’étais prêt à tout lui offrir –ou presque- pour la garder un peu plus longtemps auprès de moi ce soir.
Les larmes qui coulèrent sur ses joues m’alertèrent. Je ne la sentais pourtant pas souffrante, ni triste… Ses yeux verts brillaient, pleins de vie et rayonnant de bonheur. Etait-ce simplement des larmes de joie ? Les vampires étaient souvent moins démonstratifs et moins émotifs, et même après plus d’un siècle à côtoyer des humains, je n’étais jamais sûr à cent pour cent de la signification de leurs réactions. Et puis elle me répondit, tout en douceur et en joie parfaitement contenue. Le temps sembla se figer un instant tandis que je saisissais enfin le sens de ses paroles. Puis un sourire lumineux éclaira mon visage. Tout doute s’était évaporé à présent ; et quand bien même j’avais conscience qu’il me faudrait être prudent vis-à-vis de mon instinct vampirique, je ne laissais plus rien, en cet instant, entraver la joie qui me submergeait.
- Ma douce… murmurai-je en posant ma main libre sur le visage d’Emeraude.
Je l’embrassai tendrement, contenant avec peine l’effusion de joie que me procurait sa réponse positive. Puis, voyant qu’elle se tenait toujours immobile, sans doute incapable de bouger à cause de l’émotion, je sortis la bague de son écrin, que je rangeai dans une poche. Puis je saisis sa main gauche pour enfiler le bijou à son annulaire. Je notai avec soulagement que l’anneau lui allait à la perfection. J’avais eu peur de m’être trompé sur sa taille de doigt.
- Elle te va à ravir, Emy…
J’admirai encore un moment la pierre sertie dans une monture d’argent. J’avais passé presque deux heures à faire mon choix dans le magasin. Je l’avais même commandé sur-mesure, en réalité, n’en trouvant pas de méritante pour l’élue de mon cœur. Puis je l’embrassai de nouveau avant de la serrer contre moi. En contre-bas, la foule s’était déjà dispersée et on ne voyait plus dans le ciel que quelques volutes de fumée, seules témoins du feu d’artifice.
Joyeux anniversaire, Emeraude, lui murmurai-je dans le creux de l’oreille avant de me redresser. J’espère que cette soirée t’a comblée.
Je m’écartai pour la contempler en souriant. J’avais du mal à réaliser que nous étions dès à présent fiancés. Je me demandais même si ce n’était pas une folie… mais quelle douce et désirable folie ! Je n’avais plus rien à lui offrir à présent ; ma demande de fiançailles était le clou du spectacle, alors je restai un moment silencieux, ne sachant trop quoi ajouter.
Est-ce que tu désires autre chose, mon amour ?
J’aurais voulu pouvoir suspendre le temps, juste pour prolonger ces instants passés à ses côtés. C’était un peu ridicule, puisque après tout, dans plus ou moins longtemps, nous partagerions le même toi et la même vie. Mais j’en voulais toujours plus ; en plus d’être mon souffle vie, elle était presque comme une drogue. Une drogue douce qui me permettait de revivre après toutes ces années de chagrin, à me morfondre et me culpabiliser. Et, égoïstement, j’étais prêt à tout lui offrir –ou presque- pour la garder un peu plus longtemps auprès de moi ce soir.
Invité
Invité
Jeu 26 Jan 2017 - 15:56
<< Pour toi, ma douce >>
feat : Emy & Raph
Pas une seule seconde, j'avais pensé à notre différence, n'importe qui se trouvent là aurait pu se poser la question, prendre peur de ce que le destin avait décidé pour nous. Notre avenir ! C'est vrai tout compte fait, j'étais une simple humaine sans immortalité contrairement à Raph qui était un immortel, un être qui vivrait encore quand moi, je serais morte. Pourtant pas une seule seconde cela m'avait traverser l'esprit, parce que tout ce qui comptait, c'était le bonheur que j'avais à ces côtés. Vivre avec lui était-ce que j'avais toujours désiré et le plus drôle, c'était que mille et une fois, j'avais rêvé qu'il me fasse sa demande. Mon vœu le plus cher était enfin réalisé ! J'en avais d'autres bien sûr, mais que désirait de plus quand on est la plus heureuse au monde ! Rien, enfin presque rien si ce n'est que vivre au côté de celui qui fait battre votre cœur.
J'avais les larmes aux yeux pendant que je lui répondais que je lui disais oui à ma façon bien sûr. Mon cœur était empli de joie, j'avais le cœur qui s'affolait dans ma poitrine ! Les émotions étaient si fortes que j'en pleurais.
«Ma douce… » me répondit-il tout en déposant une de ses mains sur mon visage.
Sa voix était toujours la plus belle de toutes celles que j'avais pu entendre, a chaque fois, elle me provoquait des frissons, sans oublier que son geste en rajoutait. Je tremblais en plus de pleureurs, mais cela était provoqué par ce que je ressentais pour lui, par l'amour que j'avais à son égard.
J'avais déjà du mal à me contrôler, à gérer tout cela ! Ce fut l'apothéose une fois que ses lèvres viennent rencontrer les miennes. Son baiser était toujours aussi divins, je me laissai emporté par mon amour pour lui et répondit à son baiser avec tout ce que je ressentais. J'avais l'impression de vivre un rêve, de me retrouver dans un autre monde. Un univers ou seul nos deux cœurs s'unissaient pour ne former plus qu'un.
Cependant quand il mit vient au baiser, j'étais immobile, comme impuissante de bouger. J'avais peur pendant un instant que tout cela disparaisse comme si j'avais encore du mal à digérer tout cela. Je savais que c'était réel, que je ne rêvais pas ! Néanmoins, je n'arrivais plus à bouger ! Surement parce que c'était vraiment intense. C'est alors que je le vis sortir la bague de l'écrins, une magnifique bague, sortis d'un petit saphir en forme de cœur. Une bijoux si simples et toute beauté, surprise de découvrir qu'il me connaissait si bien. Comme si j'étais un livre ouvert et qu'il savait tout de moi. C'était d'ailleurs ce qui nous avait unis depuis le début. Le coup de foudre existait et a toujours exister, il était mon âme sœur, mon avenir, mon destin. Je voulais lui appartenir à jamais et de jour en jour, cela se confirmait.
Je l'entendis me dire qu'elle m'allait à merveille, un sourire, le plus beau de tous ceux que j'avais pu avoir apparu sur mon visage. Je portai alors ma main vers mon visage pour l'admirer tout en murmurant dans une douce voix.
« Elle est magnifique mon cœur...»
Me demandant toujours comment avait-il fait pour trouver le bijou que j'avais rêvé avoir ! Elle était la perfection à l'état pur, celle dont j'avais rêvé posséder. J'avais toujours été combler avec lui ! Il s'approcha de moi et me murmura dans le creux de l'oreille un joyeux anniversaire, Émeraude, tout en ajoutant en se redressant ; j'espère que cette soirée t'a comblée.
Oh que oui, elle était plus que comblé, j'étais aux anges tout simplement. Je donnerais beaucoup pour que le temps s'arrête et que cet instant dure une éternité. Seulement, je savais que ce n'était pas possible ! Pourtant, cela me rendait encore plus heureuse, parce que je savais désormais un jour, je deviendrais madame de La Roche. Jamais, j'aurais pu imaginer plus belle chose !
Ses yeux dans les miens, je l'admirais tout en me plongeant dans son regard océan. Puis doucement, nous restâmes un instant ainsi, le silence s'installait laissant place à mes émotions, mon cœur lui battait toujours aussi vide. Rien, n'avait plus d'importance que son regard ! Sa bague sur ma main, la preuve de son amour pour moi. D'un seul coup, je me rendis compte que je n'avais rien à lui offrir ! Alors que lui m'offrait tout ce dont je rêvais.
C'est là qu'il me surpris encore une fois quand il prit la parole pour me demander
«Est-ce que tu désires autre chose, mon amour ? »
«Oui, je....je... j'aimerais t'offrir quelque chose également parce que tu me combles de bonheur, tu es mon âme sœur, celui qui me fait frissonner de joie...En un mot, la plus belle chose qui me soit arriver sur terre...
»
Lui avais-je répondu avant de laisser un silence prendre place. J'avais peur d'aller trop vite, d'en demander beaucoup trop. Seulement contrairement à lui, mon temps était compté bien que cela ne m'avait pas traversé une seule seconde. Seul, mon inconscient s'en était rendu compte, dû ma demande, ou devrais-je dire ! La proposition que je m'attendais à lui faire !
Mon cœur s'affolait dans ma poitrine, mes yeux toujours plongés dans son regard. J'attendais, une réaction de sa part. Me demandant si c'était correct de lui offrir la seule chose que je possédais et qui était aussi pure que tout ce que j'avais pu lui offrir. Comment allait-il le prendre ! En, un mot ! Je n'avais plus envie de le quitter, c'était déjà difficile de m'éloigner de lui avant ! Alors maintenant, même si je n'étais devenue que sa fiancée, les jours qui allaient suivre deviendrais encore plus difficile !
J'avais les larmes aux yeux pendant que je lui répondais que je lui disais oui à ma façon bien sûr. Mon cœur était empli de joie, j'avais le cœur qui s'affolait dans ma poitrine ! Les émotions étaient si fortes que j'en pleurais.
«Ma douce… » me répondit-il tout en déposant une de ses mains sur mon visage.
Sa voix était toujours la plus belle de toutes celles que j'avais pu entendre, a chaque fois, elle me provoquait des frissons, sans oublier que son geste en rajoutait. Je tremblais en plus de pleureurs, mais cela était provoqué par ce que je ressentais pour lui, par l'amour que j'avais à son égard.
J'avais déjà du mal à me contrôler, à gérer tout cela ! Ce fut l'apothéose une fois que ses lèvres viennent rencontrer les miennes. Son baiser était toujours aussi divins, je me laissai emporté par mon amour pour lui et répondit à son baiser avec tout ce que je ressentais. J'avais l'impression de vivre un rêve, de me retrouver dans un autre monde. Un univers ou seul nos deux cœurs s'unissaient pour ne former plus qu'un.
Cependant quand il mit vient au baiser, j'étais immobile, comme impuissante de bouger. J'avais peur pendant un instant que tout cela disparaisse comme si j'avais encore du mal à digérer tout cela. Je savais que c'était réel, que je ne rêvais pas ! Néanmoins, je n'arrivais plus à bouger ! Surement parce que c'était vraiment intense. C'est alors que je le vis sortir la bague de l'écrins, une magnifique bague, sortis d'un petit saphir en forme de cœur. Une bijoux si simples et toute beauté, surprise de découvrir qu'il me connaissait si bien. Comme si j'étais un livre ouvert et qu'il savait tout de moi. C'était d'ailleurs ce qui nous avait unis depuis le début. Le coup de foudre existait et a toujours exister, il était mon âme sœur, mon avenir, mon destin. Je voulais lui appartenir à jamais et de jour en jour, cela se confirmait.
Je l'entendis me dire qu'elle m'allait à merveille, un sourire, le plus beau de tous ceux que j'avais pu avoir apparu sur mon visage. Je portai alors ma main vers mon visage pour l'admirer tout en murmurant dans une douce voix.
« Elle est magnifique mon cœur...»
Me demandant toujours comment avait-il fait pour trouver le bijou que j'avais rêvé avoir ! Elle était la perfection à l'état pur, celle dont j'avais rêvé posséder. J'avais toujours été combler avec lui ! Il s'approcha de moi et me murmura dans le creux de l'oreille un joyeux anniversaire, Émeraude, tout en ajoutant en se redressant ; j'espère que cette soirée t'a comblée.
Oh que oui, elle était plus que comblé, j'étais aux anges tout simplement. Je donnerais beaucoup pour que le temps s'arrête et que cet instant dure une éternité. Seulement, je savais que ce n'était pas possible ! Pourtant, cela me rendait encore plus heureuse, parce que je savais désormais un jour, je deviendrais madame de La Roche. Jamais, j'aurais pu imaginer plus belle chose !
Ses yeux dans les miens, je l'admirais tout en me plongeant dans son regard océan. Puis doucement, nous restâmes un instant ainsi, le silence s'installait laissant place à mes émotions, mon cœur lui battait toujours aussi vide. Rien, n'avait plus d'importance que son regard ! Sa bague sur ma main, la preuve de son amour pour moi. D'un seul coup, je me rendis compte que je n'avais rien à lui offrir ! Alors que lui m'offrait tout ce dont je rêvais.
C'est là qu'il me surpris encore une fois quand il prit la parole pour me demander
«Est-ce que tu désires autre chose, mon amour ? »
«Oui, je....je... j'aimerais t'offrir quelque chose également parce que tu me combles de bonheur, tu es mon âme sœur, celui qui me fait frissonner de joie...En un mot, la plus belle chose qui me soit arriver sur terre...
»
Lui avais-je répondu avant de laisser un silence prendre place. J'avais peur d'aller trop vite, d'en demander beaucoup trop. Seulement contrairement à lui, mon temps était compté bien que cela ne m'avait pas traversé une seule seconde. Seul, mon inconscient s'en était rendu compte, dû ma demande, ou devrais-je dire ! La proposition que je m'attendais à lui faire !
Mon cœur s'affolait dans ma poitrine, mes yeux toujours plongés dans son regard. J'attendais, une réaction de sa part. Me demandant si c'était correct de lui offrir la seule chose que je possédais et qui était aussi pure que tout ce que j'avais pu lui offrir. Comment allait-il le prendre ! En, un mot ! Je n'avais plus envie de le quitter, c'était déjà difficile de m'éloigner de lui avant ! Alors maintenant, même si je n'étais devenue que sa fiancée, les jours qui allaient suivre deviendrais encore plus difficile !
Raphaël de La Roche#95390#95390#95390#95390#95390#95390#95390
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Mar 4 Avr 2017 - 11:50
Au sourire qu’elle m’offrit en contemplant la bague de fiançailles, je sus que j’avais bien choisi. Et j’en fus ravi. Elle chassait d’un souffle les doutes qui m’étreignaient encore le cœur. Nous ne nous connaissions pas depuis si longtemps, pourtant j’avais l’impression que cela faisait des années. J’avais craint qu’elle ne trouvât ma demande trop précipitée, mais elle ne fit aucune remarque sur le sujet. Au contraire, elle paraissait plus qu’enchantée et c’était tout ce qui comptait pour moi. Je venais de passer un cap décisif. Par ma demande en mariage, je tournais enfin la page sur la tragédie qui avait fait chavirer ma vie. Je n’oublierais jamais Sophie ; elle était la première femme que j’avais aimé à la folie, et ce n’était pas un sentiment, ni des souvenirs, qu’on pouvait livrer à l’Oubli. Sophie tiendrait toujours une petite place dans mon cœur. Mais par ses derniers mots avant de rendre son dernier soupir, elle m’avait fait comprendre qu’elle ne souhaitait pas me voir malheureux le reste de ma vie éternelle. Elle souhaitait plus que tout, alors qu’elle rendait l’âme, que je vécus heureux après elle. Et j’avais fini par l’accepter.
Soucieux d’entretenir plus encore son bonheur, en cette soirée de son anniversaire, je lui demandai si elle souhaitait autre chose avant de mettre fin à cette merveilleuse soirée. Elle me répondit presque aussitôt sur un ton hésitant. Ses mots me parurent d’abord confus et je n’en distinguais pas le sens. Je la fixai dans les yeux, légèrement soucieux. Que pouvait-elle bien dire par « t’offrir quelque chose » ? Je ne voyais pas ce qu’elle pouvait m’offrir de plus que sa main, j’avais plus que ce que j’aurais pu désirer. Et puis, je lus la réponse dans son regard. Du moins, je croyais le comprendre. Je gardai un long moment le silence. Et si je me trompais sur ses intentions ? Je m’en trouverais incroyablement honteux… Je ne saurais plus où me mettre et je n’oserais plus me présenter devant elle comme si de rien n’était. N’étant donc pas certain de ses intentions, j’optai pour la prudence. Je pris sa main, contemplant la pierre qui brillait de mille feux sur son annulaire.
- Je t’avais promis il y a longtemps de te montrer la bibliothèque de mon grand-père. Je me dis que ce soir serait l’occasion rêvée.
J’entrelaçai mes doigts avec les siens, sans quitter du regard sa main gracile et finement dessinée. Elle portait si bien cette bague.
- Je peux nous transporter chez moi et je te la ferai visiter, comme ça. Qu’en dis-tu ?
Je reportai mon regard vert-bleu dans le sien. Je me doutais qu’elle accepterait. Plus le temps passait et plus nous nous comprenions facilement, elle et moi. Parfois un simple échange visuel suffisait. Je sentais qu’elle aussi désirait prolonger un peu plus cette soirée. Et nous n’avions ni l’un ni l’autre le souci du lever au matin, puisque je vivais la nuit en tant que vampire, et sa maladie génétique la forçait à fuir le soleil comme la peste.
- Et puis, je t’avoue égoïstement que je n’ai pas envie de te laisser partir, ajoutai-je avec une pointe de malice en souriant.
Je me doutais qu’elle partageait mon sentiment et qu’elle ne pourrait pas dire non. Je la connaissais suffisamment bien pour prévoir ce qu’elle dirait au sujet de la terrasse.
- Ne t’inquiète pas pour la table, le propriétaire du restaurant va s’en occuper, j’ai déjà réglé ces détails avec lui. Au besoin j’enverrai Seito lui donner un coup de main.
Je n’avais pas peur d’abuser des services de mon majordome, car il se serait de toute façon proposé lui-même. A force le côtoyer, il était même devenu un ami, et à certaines occasions, un confident. J’avais une totale confiance en lui, et c’était quelque chose de précieux à notre époque. Je pris Emeraude dans mes bras, déposant un léger baiser sur ses lèvres avant de la serrer contre moi.
- Laisse-toi aller, ma douce.
Sur ces mots rassurants, je me concentrai sur une image de la cour de la villa Amamiya. Puis, une fois confiant, j’activai mon pouvoir. Nous disparûmes de la terrasse pour réapparaître dans le domaine de mon grand-père, avec pour seuls témoins de ce prodige, la Lune et les étoiles.
Soucieux d’entretenir plus encore son bonheur, en cette soirée de son anniversaire, je lui demandai si elle souhaitait autre chose avant de mettre fin à cette merveilleuse soirée. Elle me répondit presque aussitôt sur un ton hésitant. Ses mots me parurent d’abord confus et je n’en distinguais pas le sens. Je la fixai dans les yeux, légèrement soucieux. Que pouvait-elle bien dire par « t’offrir quelque chose » ? Je ne voyais pas ce qu’elle pouvait m’offrir de plus que sa main, j’avais plus que ce que j’aurais pu désirer. Et puis, je lus la réponse dans son regard. Du moins, je croyais le comprendre. Je gardai un long moment le silence. Et si je me trompais sur ses intentions ? Je m’en trouverais incroyablement honteux… Je ne saurais plus où me mettre et je n’oserais plus me présenter devant elle comme si de rien n’était. N’étant donc pas certain de ses intentions, j’optai pour la prudence. Je pris sa main, contemplant la pierre qui brillait de mille feux sur son annulaire.
- Je t’avais promis il y a longtemps de te montrer la bibliothèque de mon grand-père. Je me dis que ce soir serait l’occasion rêvée.
J’entrelaçai mes doigts avec les siens, sans quitter du regard sa main gracile et finement dessinée. Elle portait si bien cette bague.
- Je peux nous transporter chez moi et je te la ferai visiter, comme ça. Qu’en dis-tu ?
Je reportai mon regard vert-bleu dans le sien. Je me doutais qu’elle accepterait. Plus le temps passait et plus nous nous comprenions facilement, elle et moi. Parfois un simple échange visuel suffisait. Je sentais qu’elle aussi désirait prolonger un peu plus cette soirée. Et nous n’avions ni l’un ni l’autre le souci du lever au matin, puisque je vivais la nuit en tant que vampire, et sa maladie génétique la forçait à fuir le soleil comme la peste.
- Et puis, je t’avoue égoïstement que je n’ai pas envie de te laisser partir, ajoutai-je avec une pointe de malice en souriant.
Je me doutais qu’elle partageait mon sentiment et qu’elle ne pourrait pas dire non. Je la connaissais suffisamment bien pour prévoir ce qu’elle dirait au sujet de la terrasse.
- Ne t’inquiète pas pour la table, le propriétaire du restaurant va s’en occuper, j’ai déjà réglé ces détails avec lui. Au besoin j’enverrai Seito lui donner un coup de main.
Je n’avais pas peur d’abuser des services de mon majordome, car il se serait de toute façon proposé lui-même. A force le côtoyer, il était même devenu un ami, et à certaines occasions, un confident. J’avais une totale confiance en lui, et c’était quelque chose de précieux à notre époque. Je pris Emeraude dans mes bras, déposant un léger baiser sur ses lèvres avant de la serrer contre moi.
- Laisse-toi aller, ma douce.
Sur ces mots rassurants, je me concentrai sur une image de la cour de la villa Amamiya. Puis, une fois confiant, j’activai mon pouvoir. Nous disparûmes de la terrasse pour réapparaître dans le domaine de mon grand-père, avec pour seuls témoins de ce prodige, la Lune et les étoiles.
Invité
Invité
Jeu 13 Juil 2017 - 10:17
<< Pour toi, ma douce >>
feat : Emy & Raph
Que dire de plus que sa rencontre me comblait de joie, j'allais bientôt devenir madame de La Roche, un rêve qui devenait réalité. J'étais aux anges dans un autre monde. J'admirais ma bague qui ornait mon doigt, elle était merveilleuse et exactement celle dont j'avais rêvé.
J'avais répondu à sa question avec hésitation, ce qui avait fait qu'il ne réponde pas et m'en pause une autre. Cela ne me fit aucun mal parce que j'avais compris qu'il avait douté de ce que je désirais exactement. Il l'avait cependant peut-être lu dans mon regard, mais je sais que ce n'est pas toujours facile de faire comprendre à l'homme qu'on aime qu'on voudrait passer la nuit avec lui, surtout pour une timide comme moi. J'avais certainement peur qu'il n'accepte pas, enfin par directement et je me serais sentis idiote et mal à l'aise. J'en aurais certainement d'autres occasion pour lui faire comprendre que j'avais envie de lui. Je l'écoutai me faire une autre demande, celle de me montrer sa bibliothèque, mon cœur se mit de plus belle à s'affoler dans ma poitrine. Il me comblait, j'avais tout ce que j'avais désiré et moi de mon coté que ne pouvais-je lui offrir que ce simple cadeau ! Ma pureté, mon amour qui grandissait au fil du temps. J'allais lui répondre quand il rajouta
« Je peux nous transporter chez moi et je te la ferai visiter, comme ça. Qu’en dis-tu ? . »
Nos doigts entrelacés me mirent un baume au cœur. Pendant quelques instants, je me mis à les regarder. Comme si j'avais encore du mal à imaginer que j'étais fiancé, la bague à mon doigt, le confirmait.
««J'en dis que c'est une excellente idée ! . »
Comment ne pas refuser une telle demande et puis je n'avais aucune envie de le quitter. D'ailleurs, il le confirma lui même. Ce qui me rendit encore plus heureuse. C'était toujours ainsi avec nous deux, pas besoin de parler pour que l'on se comprennes, enfin il avait parfois un petit bug mais c'était souvent à cause de moi. Que voulez-vous quand vos yeux dise autre chose que votre bouche, du coup ce n'est pas facile de bien décodé. Je me promis qu'a l'avenir, je ferais en sorte de lui exprimer aussi bien avec les yeux que la voix mes désirs, mes envies ainsi, il n'y aurait plus aucun soucis et surtout bien de mal à l'aise. Je devrais cependant être honnête avec lui, comme je l'ai toujours été et lui parler de mon désir si ardant. Néanmoins, j'attendrais un petit peu que le mal être se soit un peu dissipé et puis je n'avais pas envie de briser cet atmosphère dans laquelle je vivais. En y pensant, j'avais toute ma vie devant moi pour partager mes nuits à ses cotés, alors pourquoi tant d'empressement venant de moi. Etrange n'est-ce pas ! Encore une fois, il me surpris dans ses paroles
« Et puis, je t’avoue égoïstement que je n’ai pas envie de te laisser partir . » avait-il dit avec une pointe de malice dans ses yeux. A chaque fois, ce regard me fessait fondre. Il était magnifique, le plus beaux de tout les hommes que j'avais pu rencontré et mon fiancé désormais. Je me mis à lui sourire et même rougir parce que mon envie venait de refaire surface et cela me rendait un peu timide. C'est vrai, quoi c'est pas facile d'exprimé une chose pareil. Je me vois mal lui dire, *Raph j'ai envie de toi *. Rien que cette pensé et mon visage devenait rouge.
« Alors, je dois l'être également, égoïste parce que je désire rester prés de toi...je n'ai aucune envie de te quitté mon amour. »Mes yeux brillaient de bonheur, nos mains étaient toujours entrelacer, mon doigt orner de sa bague se mit à caresser un de ses doigts. Mes regard exprimait à nouveau mon désir. J'avais encore du mal à lui avoué ce que je voulais lui offrit. Ho que c'est dur, de lui dire que j'aimerais passer la nuit avec lui. Peut-être que cette hésitation que l'on peut lire est là parce que j'ai peur qu'il prennes cela comme déplacer parce que je vais trop vite. Mais pour moi, ce n'est pas cela ! C'est simplement parce que c'est ma façon d'être et je sais qu'il me comprends et qu'il m'accepte avec ses défauts. Il faut tout de même dire que s'il veux attendre, je le ferait ! j'ai juste besoin de savoir s'il à se désir lui aussi pour moi ! Idiote bien sûr que oui, seulement ne veut-il pas briser cette magie tout comme toi ! Je me mis à regardé la table, tout en me demandant s'il fallait que je l'aide à la débarrasser et la surprise, il répondis à mes pensée. Rien à redire là dessus ! il me comprenait et lisait ce que je n'osais dire à voix haute. Il était si adorable, si fabuleux et j'étais lié à lui pour toujours, en tout cas c'était mon vœux le plus cher.
« Ne t’inquiète pas pour la table, le propriétaire du restaurant va s’en occuper, j’ai déjà réglé ces détails avec lui. Au besoin j’enverrai Seito lui donner un coup de main.. »Et rebellotte, je rougies de plus belle si cela continuait mon visage deviendrait aussi rouge que la couleur de la tomate. Raph me pris dans ses bras, je me laissa faire et me serrant contre son cœur. Je me sentait si bien et toujours en sécurité avec lui. Sa voix si douce murmurer à mes oreilles me fit fermer les yeux. Pas parce que j'avais peur, non parce que je voulais enregistré ce souvenir dans ma mémoire.
« Laisse-toi aller, ma douce »
Quelque minutes plus tard, j'ouvris les yeux et je me retrouva sans voix ! Emerveiller par la beauté qui se trouvais devant moi. J'étais dans une magnifique court, la plus belle de tout celle que j'avais pu admiré. Me retournant vers Raph qui me tenait encore dans ses bras. Je viens prendre son visage dans mes mains après lui avait dit :
« C'est magnifique Raph, j'ai le sentiment d'être au paradis...merci mon amour de m'avoir emmener chez toi »
Puis doucement j'approcha mes lèvres des siennes et je l'embrassa amoureusement. Ses lèvres étaient délicieuse et doucement pendant que nos lèvres s'unissaient mes mains passèrent derrière sa nuque que je caressais avec douceur sans quitté ses lèvres de mon baiser.
J'avais répondu à sa question avec hésitation, ce qui avait fait qu'il ne réponde pas et m'en pause une autre. Cela ne me fit aucun mal parce que j'avais compris qu'il avait douté de ce que je désirais exactement. Il l'avait cependant peut-être lu dans mon regard, mais je sais que ce n'est pas toujours facile de faire comprendre à l'homme qu'on aime qu'on voudrait passer la nuit avec lui, surtout pour une timide comme moi. J'avais certainement peur qu'il n'accepte pas, enfin par directement et je me serais sentis idiote et mal à l'aise. J'en aurais certainement d'autres occasion pour lui faire comprendre que j'avais envie de lui. Je l'écoutai me faire une autre demande, celle de me montrer sa bibliothèque, mon cœur se mit de plus belle à s'affoler dans ma poitrine. Il me comblait, j'avais tout ce que j'avais désiré et moi de mon coté que ne pouvais-je lui offrir que ce simple cadeau ! Ma pureté, mon amour qui grandissait au fil du temps. J'allais lui répondre quand il rajouta
« Je peux nous transporter chez moi et je te la ferai visiter, comme ça. Qu’en dis-tu ? . »
Nos doigts entrelacés me mirent un baume au cœur. Pendant quelques instants, je me mis à les regarder. Comme si j'avais encore du mal à imaginer que j'étais fiancé, la bague à mon doigt, le confirmait.
««J'en dis que c'est une excellente idée ! . »
Comment ne pas refuser une telle demande et puis je n'avais aucune envie de le quitter. D'ailleurs, il le confirma lui même. Ce qui me rendit encore plus heureuse. C'était toujours ainsi avec nous deux, pas besoin de parler pour que l'on se comprennes, enfin il avait parfois un petit bug mais c'était souvent à cause de moi. Que voulez-vous quand vos yeux dise autre chose que votre bouche, du coup ce n'est pas facile de bien décodé. Je me promis qu'a l'avenir, je ferais en sorte de lui exprimer aussi bien avec les yeux que la voix mes désirs, mes envies ainsi, il n'y aurait plus aucun soucis et surtout bien de mal à l'aise. Je devrais cependant être honnête avec lui, comme je l'ai toujours été et lui parler de mon désir si ardant. Néanmoins, j'attendrais un petit peu que le mal être se soit un peu dissipé et puis je n'avais pas envie de briser cet atmosphère dans laquelle je vivais. En y pensant, j'avais toute ma vie devant moi pour partager mes nuits à ses cotés, alors pourquoi tant d'empressement venant de moi. Etrange n'est-ce pas ! Encore une fois, il me surpris dans ses paroles
« Et puis, je t’avoue égoïstement que je n’ai pas envie de te laisser partir . » avait-il dit avec une pointe de malice dans ses yeux. A chaque fois, ce regard me fessait fondre. Il était magnifique, le plus beaux de tout les hommes que j'avais pu rencontré et mon fiancé désormais. Je me mis à lui sourire et même rougir parce que mon envie venait de refaire surface et cela me rendait un peu timide. C'est vrai, quoi c'est pas facile d'exprimé une chose pareil. Je me vois mal lui dire, *Raph j'ai envie de toi *. Rien que cette pensé et mon visage devenait rouge.
« Alors, je dois l'être également, égoïste parce que je désire rester prés de toi...je n'ai aucune envie de te quitté mon amour. »Mes yeux brillaient de bonheur, nos mains étaient toujours entrelacer, mon doigt orner de sa bague se mit à caresser un de ses doigts. Mes regard exprimait à nouveau mon désir. J'avais encore du mal à lui avoué ce que je voulais lui offrit. Ho que c'est dur, de lui dire que j'aimerais passer la nuit avec lui. Peut-être que cette hésitation que l'on peut lire est là parce que j'ai peur qu'il prennes cela comme déplacer parce que je vais trop vite. Mais pour moi, ce n'est pas cela ! C'est simplement parce que c'est ma façon d'être et je sais qu'il me comprends et qu'il m'accepte avec ses défauts. Il faut tout de même dire que s'il veux attendre, je le ferait ! j'ai juste besoin de savoir s'il à se désir lui aussi pour moi ! Idiote bien sûr que oui, seulement ne veut-il pas briser cette magie tout comme toi ! Je me mis à regardé la table, tout en me demandant s'il fallait que je l'aide à la débarrasser et la surprise, il répondis à mes pensée. Rien à redire là dessus ! il me comprenait et lisait ce que je n'osais dire à voix haute. Il était si adorable, si fabuleux et j'étais lié à lui pour toujours, en tout cas c'était mon vœux le plus cher.
« Ne t’inquiète pas pour la table, le propriétaire du restaurant va s’en occuper, j’ai déjà réglé ces détails avec lui. Au besoin j’enverrai Seito lui donner un coup de main.. »Et rebellotte, je rougies de plus belle si cela continuait mon visage deviendrait aussi rouge que la couleur de la tomate. Raph me pris dans ses bras, je me laissa faire et me serrant contre son cœur. Je me sentait si bien et toujours en sécurité avec lui. Sa voix si douce murmurer à mes oreilles me fit fermer les yeux. Pas parce que j'avais peur, non parce que je voulais enregistré ce souvenir dans ma mémoire.
« Laisse-toi aller, ma douce »
Quelque minutes plus tard, j'ouvris les yeux et je me retrouva sans voix ! Emerveiller par la beauté qui se trouvais devant moi. J'étais dans une magnifique court, la plus belle de tout celle que j'avais pu admiré. Me retournant vers Raph qui me tenait encore dans ses bras. Je viens prendre son visage dans mes mains après lui avait dit :
« C'est magnifique Raph, j'ai le sentiment d'être au paradis...merci mon amour de m'avoir emmener chez toi »
Puis doucement j'approcha mes lèvres des siennes et je l'embrassa amoureusement. Ses lèvres étaient délicieuse et doucement pendant que nos lèvres s'unissaient mes mains passèrent derrière sa nuque que je caressais avec douceur sans quitté ses lèvres de mon baiser.
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