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Mar 22 Nov 2016 - 0:08
Le ciel était dégagé. En cette belle et agréable journée d’automne, j’avais décidé de me rendre du côté du lac avec mon ballon de foot pour jongler un peu. J’avais pensé courir autour du lac mais la chute des feuilles rendait le terrain glissant. Et je ne tenais pas particulièrement à me retrouver à l’eau ! Alors que je posais et accrochait mon vélo, j’admirai le magnifique paysage qu’offrait le lac en cette saison. Les feuilles jaunes oranges et rouges tapissaient l’eau et les sentiers, donnant un petit côté féérique au lieu.
Je sortis mon ballon et je m’installais sur une étendue d’herbe pas trop glissante et avec peu de feuilles aux alentours. Comme je m’étais habillé d’un short bleu marine, je n’avais pas envie de glisser et de me salir pour rien. Je portais aussi une veste de training à tirette, bleu marine aussi, légèrement entre-ouverte si bien qu’on voyait le t-shirt noir que je portais en dessous. La tenue idéale pour un peu de sport en somme. J’avoue que j’avais un peu froid avec le vent. Mais j’allais attraper vite chaud à faire de l’exercice.
Je m’amusais avec mon ballon à dribbler et à jongler, faisant de temps à autre des pauses pour admirer le décor ou boire un peu d’eau. Parfois, des gens s’arrêtaient sur le sentier et me regardaient jouer avec la balle, me félicitant quand j’enchainais de beaux mouvements. C’était flatteur mais un peu gênant. Je les remerciais alors gauchement en rougissant avant de reprendre l’exercice. En général, les gens partaient quelques temps plus tard. Mais parfois certains restaient pour me regarder et je n’aimais pas ça. Quand ça arrivait, je reprenais mon ballon en mains et je me déplaçais à un autre endroit, surveillant que les personnes ne me suivaient pas. Cette fois-ci, c’est un vieux monsieur un peu grassouillet qui portait une immonde moustache. Je lui jetai un regard noir avant de m’installer à l’ombre d’un arbre pour boire un peu d’eau. Je vérifiais au passage que ce dernier ne m’avait pas suivi avant de soupirer un bon coup pour me détendre.
« Les gens sont obligés de me regarder ainsi ? Je ne fais que dribbler et jongler, franchement ! »
Je reprenais à nouveau une série de jonglage sas penser que je m’étais rapproché d’un arbre. Il y avait forcément plus de feuille à terre et, fatalement, arriva ce qui devait arriver. Je me retrouvais allongé par terre après avoir glissé sur le sol. Je le savais pourtant ! Je me relevai doucement et regardai les dégâts. J’avais un peu de boue sur moi, pas tant que ça, tout de même. Je laissai échapper un juron alors tout en me frottant vigoureusement quand je pensais soudainement à ma balle. Où était-elle ? Je relevai la tête et je l’aperçu rouler doucement jusqu’à s’arrêter un peu plus bas, au milieu d’un sentier…
Je sortis mon ballon et je m’installais sur une étendue d’herbe pas trop glissante et avec peu de feuilles aux alentours. Comme je m’étais habillé d’un short bleu marine, je n’avais pas envie de glisser et de me salir pour rien. Je portais aussi une veste de training à tirette, bleu marine aussi, légèrement entre-ouverte si bien qu’on voyait le t-shirt noir que je portais en dessous. La tenue idéale pour un peu de sport en somme. J’avoue que j’avais un peu froid avec le vent. Mais j’allais attraper vite chaud à faire de l’exercice.
Je m’amusais avec mon ballon à dribbler et à jongler, faisant de temps à autre des pauses pour admirer le décor ou boire un peu d’eau. Parfois, des gens s’arrêtaient sur le sentier et me regardaient jouer avec la balle, me félicitant quand j’enchainais de beaux mouvements. C’était flatteur mais un peu gênant. Je les remerciais alors gauchement en rougissant avant de reprendre l’exercice. En général, les gens partaient quelques temps plus tard. Mais parfois certains restaient pour me regarder et je n’aimais pas ça. Quand ça arrivait, je reprenais mon ballon en mains et je me déplaçais à un autre endroit, surveillant que les personnes ne me suivaient pas. Cette fois-ci, c’est un vieux monsieur un peu grassouillet qui portait une immonde moustache. Je lui jetai un regard noir avant de m’installer à l’ombre d’un arbre pour boire un peu d’eau. Je vérifiais au passage que ce dernier ne m’avait pas suivi avant de soupirer un bon coup pour me détendre.
« Les gens sont obligés de me regarder ainsi ? Je ne fais que dribbler et jongler, franchement ! »
Je reprenais à nouveau une série de jonglage sas penser que je m’étais rapproché d’un arbre. Il y avait forcément plus de feuille à terre et, fatalement, arriva ce qui devait arriver. Je me retrouvais allongé par terre après avoir glissé sur le sol. Je le savais pourtant ! Je me relevai doucement et regardai les dégâts. J’avais un peu de boue sur moi, pas tant que ça, tout de même. Je laissai échapper un juron alors tout en me frottant vigoureusement quand je pensais soudainement à ma balle. Où était-elle ? Je relevai la tête et je l’aperçu rouler doucement jusqu’à s’arrêter un peu plus bas, au milieu d’un sentier…
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Mar 22 Nov 2016 - 0:58
La fenêtre ouverte du petit studios de Lin’ permit au passant d’entendre le bruit d’un énième verre qui se fracasse au sol. En pestant, elle tenta tant bien que mal de ramasser les bouts de verres qui avaient éclatés dans tout son appartement mais ces mains tremblées, ces doigts étaient moites. Elle ne comprenait pas elle-même sa nervosité. Elle avait beau remuer encore et encore dans sa tête tout ce qui pouvait bien être la cause de son trouble, elle ne trouvait rien de bien transcendant. Son ami des bancs de la fac la rassurait. Lui-même il stressait comme un dingue. Les partiels approchaient, il fallait assurer, avoir la meilleure note et être major de la promo (enfin surtout pour lui). Cependant, la jeune femme n’avait jamais été quelqu’un de stressé, elle passait ces examens toujours dans le calme. Elle se faisait toujours confiance. Alors oui, la fac était un nouvel environnement, sa vie au Japon était toute nouvelle mais justement, tout était magique comme elle l’espérait. Mais non, elle était sur les nerfs, rien ne la calmait même pas le chocolat ! C’était une catastrophe. Au train où elle allait, elle n’aurait plus aucune vaisselle d’ici décembre. C’était vraiment du grand n’importe quoi.
Alors qu’elle prenait un gros bout de verre brisé, elle pesta alors qu’elle ramenait son doigt à sa bouche pour suçoter le sang qui coulait tout du long. Voilà, stop, elle abandonnait, il fallait qu’elle sorte de cet endroit. Presque à contre cœur, elle enjamba les débris pour se diriger vers son armoire. Génial, Lindiya la maladroite était bien obligée d’admettre qu’elle avait trouvé un moyen de la calmer. Mais même ça, c’était bizarre. Non pas que c’était une grosse flemmarde, elle avait toujours eu une bonne condition physique, elle faisait même des programmes de fitness parfois… Bon qu’elle ne suivait que pendant une semaine, mais c’était une semaine de fait ! Mais aller courir pour se détendre, ça s’était nouveau. Et pourtant, c’était Brian son ami américain qui le lui avait conseillé. Au début, elle s’était moquée de lui. Elle courir ? Ah ! La bonne blague ! Et pourtant… Elle commençait à y prendre goût. Cela faisait un mois qu’elle allait courir dès que le besoin se faisait sentir. Au début, ça n’avait pas été simple. Son ami lui avait juré qu’il fallait au moins courir pendant 30 minutes avant de s’arrêter pour comprendre. Pour lui faire plaisir, elle s’était prêté au jeu et… c’était juste génialissime. Une fois sa course achevée, elle se sentait flotter dans son propre corps, légère, plus rien ne la dérangeait.
D’un coup de bras elle retira son haut pour revêtir sa brassière noir et grise, elle prit ensuite son leggings, son haut orange flash (on ne sait jamais si la nuit tombe !) et ses baskets. Fin prête, elle se regarda dans le miroir. Des petites cernes étaient apparus sous ses yeux, vive les insomnies. Elle se pinça les joues « Debout ma fille ! Qu’est-ce que tu me fais dis moi ? ». Elle prit tout d’abord sa voiture pour se diriger vers un endroit où elle n’était encore jamais allée courir, à savoir le lac.
La musique dans l’habitacle s’entendait du dehors, la petite queue de cheval de la jeune femme battait l’air au rythme de sa tête et de son chant tonitruant. A croire que l’idée d’aller courir suffisait pour l’enjouer ! Une fois arrivée, elle se gara en essayant de ne pas prendre deux places à elle toute seule… Mais loupée ! Orf au moins, on ne lui rayera pas sa tutute.
Une fois sur le sentier, Lindiya commença par des foulées lentes et longues pour s’échauffer. Elle se félicitait mentalement. L’endroit était magnifique en automne. Du rouge, du orange, du jaune de partout jusqu’au reflet du soleil sur l’eau du lac. Elle se promit de revenir ici plus souvent avant l’hiver. Elle stabilisa sa respiration en fonction de ces foulées et une fois fin prête, elle augmenta la cadence. Elle aimait courir en fractionnée. Elle sprintait, puis trottait et vis versa jusqu’à tomber de fatigue. Alors qu’elle venait tout juste d’achever un troisième sprinte et que de la transpiration commençait à couler le long du haut de son crâne jusqu’à sa mâchoire elle vit un petit ballon de foot tombait le long du sentier. Si personne ne l’arrêtait pas il avait finir sa course dans l’eau sans hésitation. Elle prit une grande inspiration avant de courir pour intercepter la balle et la renvoyée dans le sens inverse. Sauf que sa classe attitude prit fin à ce même moment. Au sol un petit tas de feuille glissante n’attendait plus qu’elle ! Pas besoin de faire un dessin, son talon glissa et son joli fessier finit par terre. Elle poussa un petit couinement de douleur plus pour amortir mentalement la chute qu’autre chose. Et la balle dans tout ça ? Elle soupira en la trouvant juste à côté d’elle. Au moins, elle n’était pas tombée pour rien. Elle se racla la gorge pour retrouver sa respiration. Elle était tout de même contrariée, cela ne faisait même pas vingt minute qu’elle courait, de ce fait pas assez longtemps pour ressentir ce sentiment de légèreté qu’elle recherchait dans l’effort physique.
Alors qu’elle se redressait doucement en prenant dans ces mains le ballon de foot un jeune homme venait justement à sa rencontre. Couvert de boue, elle sourit en se disant qu’au moins elle n’était pas la seule à être tombée aujourd’hui. Elle prit le temps de le regarder alors qu’il venait à sa rencontre, son visage fin était gâché par une petite mine inquiète. Il s’approchait justement enfin d’elle assez timidement maintenant qu’elle était devant lui. Doucement, elle lui sourit et lui tendit son ballon.
- Je pense que c’est à toi ça ! Sans ces feuilles je suis sûr que j’aurais pu te la rendre au pied ! On va dire que c'est la magie de l’automne ! Un moment d’inattention et op par terre les quatre fers en l'air ! Au passage, je m'appelle Lindiya.
Alors qu’elle prenait un gros bout de verre brisé, elle pesta alors qu’elle ramenait son doigt à sa bouche pour suçoter le sang qui coulait tout du long. Voilà, stop, elle abandonnait, il fallait qu’elle sorte de cet endroit. Presque à contre cœur, elle enjamba les débris pour se diriger vers son armoire. Génial, Lindiya la maladroite était bien obligée d’admettre qu’elle avait trouvé un moyen de la calmer. Mais même ça, c’était bizarre. Non pas que c’était une grosse flemmarde, elle avait toujours eu une bonne condition physique, elle faisait même des programmes de fitness parfois… Bon qu’elle ne suivait que pendant une semaine, mais c’était une semaine de fait ! Mais aller courir pour se détendre, ça s’était nouveau. Et pourtant, c’était Brian son ami américain qui le lui avait conseillé. Au début, elle s’était moquée de lui. Elle courir ? Ah ! La bonne blague ! Et pourtant… Elle commençait à y prendre goût. Cela faisait un mois qu’elle allait courir dès que le besoin se faisait sentir. Au début, ça n’avait pas été simple. Son ami lui avait juré qu’il fallait au moins courir pendant 30 minutes avant de s’arrêter pour comprendre. Pour lui faire plaisir, elle s’était prêté au jeu et… c’était juste génialissime. Une fois sa course achevée, elle se sentait flotter dans son propre corps, légère, plus rien ne la dérangeait.
D’un coup de bras elle retira son haut pour revêtir sa brassière noir et grise, elle prit ensuite son leggings, son haut orange flash (on ne sait jamais si la nuit tombe !) et ses baskets. Fin prête, elle se regarda dans le miroir. Des petites cernes étaient apparus sous ses yeux, vive les insomnies. Elle se pinça les joues « Debout ma fille ! Qu’est-ce que tu me fais dis moi ? ». Elle prit tout d’abord sa voiture pour se diriger vers un endroit où elle n’était encore jamais allée courir, à savoir le lac.
La musique dans l’habitacle s’entendait du dehors, la petite queue de cheval de la jeune femme battait l’air au rythme de sa tête et de son chant tonitruant. A croire que l’idée d’aller courir suffisait pour l’enjouer ! Une fois arrivée, elle se gara en essayant de ne pas prendre deux places à elle toute seule… Mais loupée ! Orf au moins, on ne lui rayera pas sa tutute.
Une fois sur le sentier, Lindiya commença par des foulées lentes et longues pour s’échauffer. Elle se félicitait mentalement. L’endroit était magnifique en automne. Du rouge, du orange, du jaune de partout jusqu’au reflet du soleil sur l’eau du lac. Elle se promit de revenir ici plus souvent avant l’hiver. Elle stabilisa sa respiration en fonction de ces foulées et une fois fin prête, elle augmenta la cadence. Elle aimait courir en fractionnée. Elle sprintait, puis trottait et vis versa jusqu’à tomber de fatigue. Alors qu’elle venait tout juste d’achever un troisième sprinte et que de la transpiration commençait à couler le long du haut de son crâne jusqu’à sa mâchoire elle vit un petit ballon de foot tombait le long du sentier. Si personne ne l’arrêtait pas il avait finir sa course dans l’eau sans hésitation. Elle prit une grande inspiration avant de courir pour intercepter la balle et la renvoyée dans le sens inverse. Sauf que sa classe attitude prit fin à ce même moment. Au sol un petit tas de feuille glissante n’attendait plus qu’elle ! Pas besoin de faire un dessin, son talon glissa et son joli fessier finit par terre. Elle poussa un petit couinement de douleur plus pour amortir mentalement la chute qu’autre chose. Et la balle dans tout ça ? Elle soupira en la trouvant juste à côté d’elle. Au moins, elle n’était pas tombée pour rien. Elle se racla la gorge pour retrouver sa respiration. Elle était tout de même contrariée, cela ne faisait même pas vingt minute qu’elle courait, de ce fait pas assez longtemps pour ressentir ce sentiment de légèreté qu’elle recherchait dans l’effort physique.
Alors qu’elle se redressait doucement en prenant dans ces mains le ballon de foot un jeune homme venait justement à sa rencontre. Couvert de boue, elle sourit en se disant qu’au moins elle n’était pas la seule à être tombée aujourd’hui. Elle prit le temps de le regarder alors qu’il venait à sa rencontre, son visage fin était gâché par une petite mine inquiète. Il s’approchait justement enfin d’elle assez timidement maintenant qu’elle était devant lui. Doucement, elle lui sourit et lui tendit son ballon.
- Je pense que c’est à toi ça ! Sans ces feuilles je suis sûr que j’aurais pu te la rendre au pied ! On va dire que c'est la magie de l’automne ! Un moment d’inattention et op par terre les quatre fers en l'air ! Au passage, je m'appelle Lindiya.
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Mar 22 Nov 2016 - 12:51
Je m’avançai doucement vers son ballon – ce dernier était parti vraiment loin après ma chute – quand j’aperçus soudainement une jeune femme courir vers la balle pour shooter dedans et le renvoyez vers moi. Malheureusement, elle ne réussit pas son coup. Elle aussi glissa sur les feuilles pour s’étendre de tout son long.
« Outch… La pauvre ! »
La demoiselle n’avait pas raté sa chute. Mais elle avait tout de même arrêter mon ballon. Inquiet, je m’approchais doucement d’elle. Je voulais juste vérifier rapidement qu’elle aille bien. Ensuite, j’allais reprendre mon ballon et aller plus loin ! Ça s’était une bonne idée !
Je n’étais plus qu’à un ou deux mètres de la jeune femme quand elle se redressa, prenant mon ballon en main. Elle ne s’était vraiment pas ratée car elle était littéralement couverte de boue dans son dos, comme je pus le constater. Je m’approchais doucement de la jeune fille. Elle ne semblait pas bien méchante car elle me fit un immense sourire en me rendant mon ballon.
« Euh… Merci ! Vous n’étiez pas obligée de… d’arrêter mon ballon. C’est gentil, Lindiya… Ah ! Euh… Je m’appelle Zuko, enchanté ! »
Je la regardais plus attentivement. Les yeux bleus de Lindiya semblaient pétiller en me regardant. Ou pétillaient-ils juste naturellement ? Je m’approchai un peu pour prendre le ballon en main et je pus constater que ses cheveux bruns étaient maintenant terriblement en bataille avec pas mal de boue, eux aussi. Mince ! Je devais surement en avoir aussi dans mes cheveux avec ma chute. Je passais rapidement ma main dans ma tignasse et j’eus directement confirmation. J’allais prendre une bonne douche en rentrant, c’était sûr ! Je reportais à nouveau mon attention sur Lindiya et un détail me sauta soudainement aux yeux. Je dus mettre ma main devant la bouche pour ne pas me mettre à rire. Une brindille s’était emmêler dans la crinière ébouriffée de la demoiselle.
« Heu… Excusez-moi mais… »
Je faisais des pauses pour respirer profondément et pour ne pas me mettre à rire. Ça n’aurait vraiment pas été poli envers elle alors qu’elle se montrait si gentille.
« Vous… Vous avez une brindille dans les cheveux. »
Je lui montrai du doigt sur ma tête l’endroit où se trouvait le branchage, affichant maintenant un sourire plus franc qu’au début de la rencontre. Mon malaise en allant la voir avait disparu. Lindiya me faisait réellement bonne impression.
« Outch… La pauvre ! »
La demoiselle n’avait pas raté sa chute. Mais elle avait tout de même arrêter mon ballon. Inquiet, je m’approchais doucement d’elle. Je voulais juste vérifier rapidement qu’elle aille bien. Ensuite, j’allais reprendre mon ballon et aller plus loin ! Ça s’était une bonne idée !
Je n’étais plus qu’à un ou deux mètres de la jeune femme quand elle se redressa, prenant mon ballon en main. Elle ne s’était vraiment pas ratée car elle était littéralement couverte de boue dans son dos, comme je pus le constater. Je m’approchais doucement de la jeune fille. Elle ne semblait pas bien méchante car elle me fit un immense sourire en me rendant mon ballon.
« Euh… Merci ! Vous n’étiez pas obligée de… d’arrêter mon ballon. C’est gentil, Lindiya… Ah ! Euh… Je m’appelle Zuko, enchanté ! »
Je la regardais plus attentivement. Les yeux bleus de Lindiya semblaient pétiller en me regardant. Ou pétillaient-ils juste naturellement ? Je m’approchai un peu pour prendre le ballon en main et je pus constater que ses cheveux bruns étaient maintenant terriblement en bataille avec pas mal de boue, eux aussi. Mince ! Je devais surement en avoir aussi dans mes cheveux avec ma chute. Je passais rapidement ma main dans ma tignasse et j’eus directement confirmation. J’allais prendre une bonne douche en rentrant, c’était sûr ! Je reportais à nouveau mon attention sur Lindiya et un détail me sauta soudainement aux yeux. Je dus mettre ma main devant la bouche pour ne pas me mettre à rire. Une brindille s’était emmêler dans la crinière ébouriffée de la demoiselle.
« Heu… Excusez-moi mais… »
Je faisais des pauses pour respirer profondément et pour ne pas me mettre à rire. Ça n’aurait vraiment pas été poli envers elle alors qu’elle se montrait si gentille.
« Vous… Vous avez une brindille dans les cheveux. »
Je lui montrai du doigt sur ma tête l’endroit où se trouvait le branchage, affichant maintenant un sourire plus franc qu’au début de la rencontre. Mon malaise en allant la voir avait disparu. Lindiya me faisait réellement bonne impression.
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Mar 22 Nov 2016 - 19:05
« Euh… Merci ! Vous n’étiez pas obligée de… d’arrêter mon ballon. C’est gentil, Lindiya… Ah ! Euh… Je m’appelle Zuko, enchanté ! »
Elle balaya ces remerciements d’un coup de main dans l’air. Elle n’allait tout de même pas laisser le ballon tomber dans l’eau, ça aurait été plus difficile de le récupérer par la suite. Et puis Lindiya avait l’habitude de tomber et de se faire mal. Depuis sa plus tendre enfance c’était une catastrophe et il est intéressant de noter qu’il en allait de même pour toute la maison ! Sa mère était maladroite, ses sœurs l’étaient, elle n’était donc pas la seule. De ce fait, elle avait développé avec le temps et à force de nombreuses chutes une sacrée résistance. Le sang ne lui faisait pas peur, le risque de chute non plus. Tout était une question d’habitude et d’âge, il fallait tout de même avouer qu’elle contrôlait mieux son corps qu’avant ! Lindiya revient à la réalité lorsque le jeune Zuko récupéra son ballon. Ah oui, c’est vrai que c’était pour ça qu’elle se retrouvait devant lui comme une godiche. En le regardant de prêt, il avait de la boue de partout le pauvre jusqu’au cheveux ! Il finit bien par s’en rendre compte et justement voilà qu’il se retenait de sourire ! Perplexe, Lindiya le regarda surprise. Qui avait-il de si drôle ? Elle regarda autours d’elle pour trouver la cause de ça mais finalement l’adolescent finis par s’expliquer de lui-même.
"Vous… Vous avez une brindille dans les cheveux."
- Non ?! Sérieusement ?!
Elle passa ces mains dans ces cheveux et sourit en refermant ces doigts sur tout et n’importe quoi. Il y avait bien plus qu’une brindille là-dedans. Elle explosa de rire en la retirant, ces doigts étaient couverts de boue. C’était sa douche qui allait être contente ! D’humeur taquine, elle observa son interlocuteur, c’était qu’il était pas mal garni lui aussi. Elle rit de bon cœur à son tours en montrant du doigt un bout de feuille coincé dans ces cheveux. Elle était petite la maligne mais visible, elle avait besoin de bon conseil au niveau cachette !
- Je crois que je ne suis pas la seule à avoir de la visite dans les cheveux ! Tu as une feuille juste là mon pauvre ! Si on continue à faire l’inventaire de toute la saleté qu’on a sur nous, je pense qu’on va en avoir pour l’après midi, voir la nuit !
D’un coup d’œil, enfin de main surtout, elle comprit très vite qu’elle avait vraiment de la boue de partout. Non pas que ça la dérangeait mais tout de même… être salit pour une chute ne lui ressemblait pas. Quand elle était couverte de boue c’était pour une autre raison beaucoup plus rigolote.
- J’aime bien la boue… Mais d’habitude je me roule dedans avec mes neveux et on a des habits fait pour avec des bottes pour ! Regarde-nous ! On a l’air de sacré cradot ! ça me donne presque envie de retourner dans la boue pour être vraiment salle et comprendre pourquoi je vais devoir me doucher à fond une fois rentrée ! Dis voir Zuko… Une bataille de boue ça ne te dirait pas… ?
Rien qu’à cette idée un sourire franche et brillant traversa tout le visage de notre chère Lindiya. A vingt ans passés bientôt, elle aimait toujours autant se rouler de partout et faire la folle. C’était même pour cela que ces neveux l’adoraient ! C’était tata fofolle qui met la musique à fond, danse en faisant à manger et … fais des batailles de boue une fois l’automne arrivé.
Elle balaya ces remerciements d’un coup de main dans l’air. Elle n’allait tout de même pas laisser le ballon tomber dans l’eau, ça aurait été plus difficile de le récupérer par la suite. Et puis Lindiya avait l’habitude de tomber et de se faire mal. Depuis sa plus tendre enfance c’était une catastrophe et il est intéressant de noter qu’il en allait de même pour toute la maison ! Sa mère était maladroite, ses sœurs l’étaient, elle n’était donc pas la seule. De ce fait, elle avait développé avec le temps et à force de nombreuses chutes une sacrée résistance. Le sang ne lui faisait pas peur, le risque de chute non plus. Tout était une question d’habitude et d’âge, il fallait tout de même avouer qu’elle contrôlait mieux son corps qu’avant ! Lindiya revient à la réalité lorsque le jeune Zuko récupéra son ballon. Ah oui, c’est vrai que c’était pour ça qu’elle se retrouvait devant lui comme une godiche. En le regardant de prêt, il avait de la boue de partout le pauvre jusqu’au cheveux ! Il finit bien par s’en rendre compte et justement voilà qu’il se retenait de sourire ! Perplexe, Lindiya le regarda surprise. Qui avait-il de si drôle ? Elle regarda autours d’elle pour trouver la cause de ça mais finalement l’adolescent finis par s’expliquer de lui-même.
"Vous… Vous avez une brindille dans les cheveux."
- Non ?! Sérieusement ?!
Elle passa ces mains dans ces cheveux et sourit en refermant ces doigts sur tout et n’importe quoi. Il y avait bien plus qu’une brindille là-dedans. Elle explosa de rire en la retirant, ces doigts étaient couverts de boue. C’était sa douche qui allait être contente ! D’humeur taquine, elle observa son interlocuteur, c’était qu’il était pas mal garni lui aussi. Elle rit de bon cœur à son tours en montrant du doigt un bout de feuille coincé dans ces cheveux. Elle était petite la maligne mais visible, elle avait besoin de bon conseil au niveau cachette !
- Je crois que je ne suis pas la seule à avoir de la visite dans les cheveux ! Tu as une feuille juste là mon pauvre ! Si on continue à faire l’inventaire de toute la saleté qu’on a sur nous, je pense qu’on va en avoir pour l’après midi, voir la nuit !
D’un coup d’œil, enfin de main surtout, elle comprit très vite qu’elle avait vraiment de la boue de partout. Non pas que ça la dérangeait mais tout de même… être salit pour une chute ne lui ressemblait pas. Quand elle était couverte de boue c’était pour une autre raison beaucoup plus rigolote.
- J’aime bien la boue… Mais d’habitude je me roule dedans avec mes neveux et on a des habits fait pour avec des bottes pour ! Regarde-nous ! On a l’air de sacré cradot ! ça me donne presque envie de retourner dans la boue pour être vraiment salle et comprendre pourquoi je vais devoir me doucher à fond une fois rentrée ! Dis voir Zuko… Une bataille de boue ça ne te dirait pas… ?
Rien qu’à cette idée un sourire franche et brillant traversa tout le visage de notre chère Lindiya. A vingt ans passés bientôt, elle aimait toujours autant se rouler de partout et faire la folle. C’était même pour cela que ces neveux l’adoraient ! C’était tata fofolle qui met la musique à fond, danse en faisant à manger et … fais des batailles de boue une fois l’automne arrivé.
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Mar 22 Nov 2016 - 21:33
Je regardais attentivement Lin retirer la brindille de ses cheveux. Sa main ressortit de la tignasse aussi sale que si elle l’avait plongé directement dans de la boue. Il était sûr que je n’étais pas le seul qui mériterait une bonne douche en rentrant. C’était amusant de la voir rire aussi. Elle me montra une petite feuille qui s’était apparemment coincée sur ma tête. En effet, petite, mais bien là. Je la laissais tomber doucement avant de me retourner vers Lin qui me parlait à nouveau. Elle parlait bien d bataille de boue ? Je n’en avais jamais fait. Des batailles de neige, oui. Mais de boue… Lindiya semblaient déjà excitée à cette idée. La situation était un peu bizarre mais je me laissais tenter. De toute façon, sale comme je l’étais déjà. Ce n’est pas un peu de boue en plus qui pourrait me faire de mal, non ?
Sans répondre, je pris en main une bonne poignée de boule que je lançais sur la demoiselle avant de m’enfuir en courant en rigolant. De temps en temps, je me retournais pour lui lancer une nouvelle boule mais je tentais surtout d’esquiver celle qu’elle m’envoyait pour éviter de me faire salir. Ce qui ne marchait pas à chaque fois : je finissais souvent par déraper pour m’étaler de tout mon long par terre. Autant dire qu’il était moins crade de se prendre une simple boule de terre.
Alors qu’je finissais à terre pour la énième fois – J’avais arrêté de compter à dixième – je me retournais sur le dos, totalement essoufflé. Il m’en restait cependant assez pour me mettre à rire. Je me relevais difficilement et me regardait en soupirant. J’étais vraiment sale. Je ne savais pas encore comment mais j’avais même de la boue dans mon boxer.
« Là, je suis complétement sale ! Je suis bon pour un coup de tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison ! »
En effet, à chaque fois que je revenais aussi sale à la maison, mes parents tenaient à ce que je sois décrassé sur la terrasse avant de rentrer prendre un bain. Heureusement, Papa avait installé une arrivée d’eau chaude. Il faut dire que, quand j’allais me promener en loup dans la forêt, il m’arrivait souvent de rentrer aussi sale que maintenant. Je m’amusais parfois à me rouler dans la boue et, bien sûr, la terre qui me collait au poil collait aussi à ma peau. Et à force de salir toute la salle-de-bain… « Pour une fois, je n’aurais pas à mentir à mes parents », murmurais-je.
Je rejoignis Lindiya en marchant avec un grand sourire.
« C’était vraiment sympa. Bien que je pense que je préfère toujours les batailles de boules de neige ! »
Sans répondre, je pris en main une bonne poignée de boule que je lançais sur la demoiselle avant de m’enfuir en courant en rigolant. De temps en temps, je me retournais pour lui lancer une nouvelle boule mais je tentais surtout d’esquiver celle qu’elle m’envoyait pour éviter de me faire salir. Ce qui ne marchait pas à chaque fois : je finissais souvent par déraper pour m’étaler de tout mon long par terre. Autant dire qu’il était moins crade de se prendre une simple boule de terre.
Alors qu’je finissais à terre pour la énième fois – J’avais arrêté de compter à dixième – je me retournais sur le dos, totalement essoufflé. Il m’en restait cependant assez pour me mettre à rire. Je me relevais difficilement et me regardait en soupirant. J’étais vraiment sale. Je ne savais pas encore comment mais j’avais même de la boue dans mon boxer.
« Là, je suis complétement sale ! Je suis bon pour un coup de tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison ! »
En effet, à chaque fois que je revenais aussi sale à la maison, mes parents tenaient à ce que je sois décrassé sur la terrasse avant de rentrer prendre un bain. Heureusement, Papa avait installé une arrivée d’eau chaude. Il faut dire que, quand j’allais me promener en loup dans la forêt, il m’arrivait souvent de rentrer aussi sale que maintenant. Je m’amusais parfois à me rouler dans la boue et, bien sûr, la terre qui me collait au poil collait aussi à ma peau. Et à force de salir toute la salle-de-bain… « Pour une fois, je n’aurais pas à mentir à mes parents », murmurais-je.
Je rejoignis Lindiya en marchant avec un grand sourire.
« C’était vraiment sympa. Bien que je pense que je préfère toujours les batailles de boules de neige ! »
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Ven 25 Nov 2016 - 19:30
Alors que la jeune femme s’attendait à devoir marchander ou encore expliquer son envie subite de bataille de boue, elle fut prise par surprise lorsqu’une petite tache en rond s’écrasa sur ces vêtements. Elle se regarda la bouche grande ouverte, les bras ouverts pour regarder la belle boulle qui ne laissait vraiment pas de place au doute ! Zuko n’attendit pas non plus que la nuit tombe pour s’enfuir en courant. Il riait aux éclats, très fier de lui mais Lin’ avait probablement beaucoup plus d’heure d’entrainement que lui. Prête à jouer, elle se baissa en regardant l’adolescent rire non loin. On verra bien qui rira le dernier ! Alors qu’elle se redressait, elle formait entre ces doigts fins et sale une jolie boule. D’un sourire bien sadique au bout des lèvres, elle prit son élan et la lança le plus loin et le plus fort possible pour atteindre sa cible. C’était au tour de Zuko de regardait la tache marron sur son ventre, Lin explosa de rire à son tours. Les hostilités étaient lancées, tous aux abris !
Les promeneurs qui passaient vers eux essayaient tant bien que mal de les éviter, non sans les apostropher de loin. Autant dire, que les deux jeunes gens n’y faisaient même pas attention. Ils couraient, se cachaient derrière les arbres, évitaient tant bien que mal les projectiles et finissaient souvent par tomber en glissant dans la boue. Pas besoin d’être devin pour savoir qu’une fois laver, Lindiya trouverait sur son corps de nouveau bleu en plus que les autres. Tant pis, le jeu en valait la chandelle. Zuko qui était au début de leur rencontre timide et réservée, c’était métamorphosée au plus grand plaisir de la jeune étudiante. Il riait aux éclats à chaque coup manqué par la jeune femme et lui rendait l’appareil en la visant très souvent. C’était qu’il était doué !
Alors que le temps défilait à la vitesse de la lumière, Lindiya s’approcha de Zuko pour l’aider à se relever alors qu’il tombait pour la dixième fois voir plus. Bon, il n’eut pas franchement besoin d’elle pour mais, au moins elle était proche de lui alors qu’ils reprenaient tout deux leurs souffles. L’adrénaline commençait à tomber et ils prirent tout deux le temps de regarder leurs vêtements. Lindiya plissa le nez en comprenant très vite qu’elle allait devoir laver tout ça à la main dans un premier temps, elle ne pourrait pas courir le risque de péter son lave-linge avec toute cette boue !
« Là, je suis complétement sale ! Je suis bon pour un coup de tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison ! »
Alors qu’il s’approchait d’elle complétement en souriant, Lindiya tilta sur sa première phrase.
- Au tuyau d’arrosage ?! Tu es fou, par ce temps tu vas choper la mort ! Le moins risqué est d’enlever tes vêtements avant de rentrer la maison, de te laver les pieds et de filler sous la douche direct. Le plus sale étant les vêtements, c’est eux qui iront sous le tuyau d’arrosage. Je me sentirais mal pour toi si tu chopes quelque chose ! En tout cas, je te propose de choisir le jeu la prochaine fois qu'on aura l'occasion de se revoir...
Pour les batailles de boules de neige… Les batailles de boues sont justement mon excuse pour les éviter ! Je déteste le froid, la neige et l’hiver en général. Je passe mon temps au chaud et si possible, devant une cheminée…
Elle finit sa phrase en se grattant par réflexe les cheveux. Argh, vivement qu’elle se douche. Au passage, elle n’allait pas laisser Zuko rentrer tout seul couvert de boue comme ça.
- Juste pour information, on me surnomme l’ours brun chez moi ! Histoire de bien illustrer mon amour légendaire pour la neige et l’hiver ! Au passage, puisque tu es couvert de boue à cause de moi tu veux que je te raccompagne ? Ma voiture est garée à l’entrée du lac, tu m’indiques la direction et je t’y emmène. Tu seras au chaud au moins pour quelques minutes avant de te retrouver sous ton merveilleux tuyau d’arrosage.
Les promeneurs qui passaient vers eux essayaient tant bien que mal de les éviter, non sans les apostropher de loin. Autant dire, que les deux jeunes gens n’y faisaient même pas attention. Ils couraient, se cachaient derrière les arbres, évitaient tant bien que mal les projectiles et finissaient souvent par tomber en glissant dans la boue. Pas besoin d’être devin pour savoir qu’une fois laver, Lindiya trouverait sur son corps de nouveau bleu en plus que les autres. Tant pis, le jeu en valait la chandelle. Zuko qui était au début de leur rencontre timide et réservée, c’était métamorphosée au plus grand plaisir de la jeune étudiante. Il riait aux éclats à chaque coup manqué par la jeune femme et lui rendait l’appareil en la visant très souvent. C’était qu’il était doué !
Alors que le temps défilait à la vitesse de la lumière, Lindiya s’approcha de Zuko pour l’aider à se relever alors qu’il tombait pour la dixième fois voir plus. Bon, il n’eut pas franchement besoin d’elle pour mais, au moins elle était proche de lui alors qu’ils reprenaient tout deux leurs souffles. L’adrénaline commençait à tomber et ils prirent tout deux le temps de regarder leurs vêtements. Lindiya plissa le nez en comprenant très vite qu’elle allait devoir laver tout ça à la main dans un premier temps, elle ne pourrait pas courir le risque de péter son lave-linge avec toute cette boue !
« Là, je suis complétement sale ! Je suis bon pour un coup de tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison ! »
Alors qu’il s’approchait d’elle complétement en souriant, Lindiya tilta sur sa première phrase.
- Au tuyau d’arrosage ?! Tu es fou, par ce temps tu vas choper la mort ! Le moins risqué est d’enlever tes vêtements avant de rentrer la maison, de te laver les pieds et de filler sous la douche direct. Le plus sale étant les vêtements, c’est eux qui iront sous le tuyau d’arrosage. Je me sentirais mal pour toi si tu chopes quelque chose ! En tout cas, je te propose de choisir le jeu la prochaine fois qu'on aura l'occasion de se revoir...
Pour les batailles de boules de neige… Les batailles de boues sont justement mon excuse pour les éviter ! Je déteste le froid, la neige et l’hiver en général. Je passe mon temps au chaud et si possible, devant une cheminée…
Elle finit sa phrase en se grattant par réflexe les cheveux. Argh, vivement qu’elle se douche. Au passage, elle n’allait pas laisser Zuko rentrer tout seul couvert de boue comme ça.
- Juste pour information, on me surnomme l’ours brun chez moi ! Histoire de bien illustrer mon amour légendaire pour la neige et l’hiver ! Au passage, puisque tu es couvert de boue à cause de moi tu veux que je te raccompagne ? Ma voiture est garée à l’entrée du lac, tu m’indiques la direction et je t’y emmène. Tu seras au chaud au moins pour quelques minutes avant de te retrouver sous ton merveilleux tuyau d’arrosage.
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Ven 25 Nov 2016 - 21:47
Lin m’avait entendu parler du tuyau et me regarda d’un air presque choqué. C’est vrai, dit comme ça, mes parents pouvaient passer pour des irresponsables. Je m’empressais de clarifier au plus vite cette histoire.
« Oh ! Mais ne vous en faites pas ! C’est une habitude ! Il m’arrive très souvent de rentrer aussi sale que ça. Du coup, mon papa a fait installer une arrivée d’eau chaude. En plus, tout est prévu ! Mon peignoir et un essuie sont prêt et la salle de bain est chauffée ! En plus, elle est au rez-de-chaussée. Il n’y a vraiment aucun risque que j’attrape froid ou que je tombe malade. Je vous le promets ! »
J’adressais un nouveau sourire. J’espère l’avoir convaincu de ne pas s’inquiéter. Je me sentirai un peu mal si ce n’était pas le cas.
« Pour ce qui est de se revoir, je pense que ça arrivera bien vite. Je passe pas mal de temps dans ce parc. Je cours, je fais du vélo ou je joue avec mon ballon. Sauf s’il fait trop mauvais. Je préfère aller dans la salle d’arcade. Il y a pas mal de jeu qui nous permette de se défouler aussi ! Ça serait sympa qu’on y aille, si vous voulez ! Enfin, ça dépend, vous aimez danser au moins ? Ca où aller nager. C’est aussi un bon moyen de se dépenser en hiver. »
Je pouvais comprendre que certaines personnes n’aimaient pas le froid de l’hiver. Je trouvais ça triste, cependant, car à rester enfermé chez eux, ils ne pouvaient pas profiter des magnifiques paysages recouvert d’un manteau de neige d’un blanc immaculé qu’offrait cette saison. Que ce soit à deux ou quatre pattes, les randonnées en forêt en hiver valaient le détour, à mon goût. Peut-être pourrais-je la convaincre un jour ?
« C’est vraiment gentil de votre part mais je ne pense pas que ce soit possible. Je ne peux pas laisser mon vélo ici ! »
Je pointais du doigt rapidement mon vélo tout terrain, toujours attaché à un arbre. Dans l’état où on était, je n’utilisais pas l’excuse comme quoi je risquais de salir sa voiture vu qu’elle serait certain déjà sale avec Lin. En tout cas, c’était vraiment agréable de sa part de proposer.
« A moins que vous pensez qu’on puisse le ranger dedans. Je ne sais pas si vous disposez d’une grande voiture ou d’un attache-vélo. Sinon, il n’y a aucun problème pour moi rentrer seul. En plus, la boue va me protéger du vent ! »
Je souriais à nouveau, tirant la langue.
« Au fait, je peux vous tutoyer et vous appeler Lin-san ? »
« Oh ! Mais ne vous en faites pas ! C’est une habitude ! Il m’arrive très souvent de rentrer aussi sale que ça. Du coup, mon papa a fait installer une arrivée d’eau chaude. En plus, tout est prévu ! Mon peignoir et un essuie sont prêt et la salle de bain est chauffée ! En plus, elle est au rez-de-chaussée. Il n’y a vraiment aucun risque que j’attrape froid ou que je tombe malade. Je vous le promets ! »
J’adressais un nouveau sourire. J’espère l’avoir convaincu de ne pas s’inquiéter. Je me sentirai un peu mal si ce n’était pas le cas.
« Pour ce qui est de se revoir, je pense que ça arrivera bien vite. Je passe pas mal de temps dans ce parc. Je cours, je fais du vélo ou je joue avec mon ballon. Sauf s’il fait trop mauvais. Je préfère aller dans la salle d’arcade. Il y a pas mal de jeu qui nous permette de se défouler aussi ! Ça serait sympa qu’on y aille, si vous voulez ! Enfin, ça dépend, vous aimez danser au moins ? Ca où aller nager. C’est aussi un bon moyen de se dépenser en hiver. »
Je pouvais comprendre que certaines personnes n’aimaient pas le froid de l’hiver. Je trouvais ça triste, cependant, car à rester enfermé chez eux, ils ne pouvaient pas profiter des magnifiques paysages recouvert d’un manteau de neige d’un blanc immaculé qu’offrait cette saison. Que ce soit à deux ou quatre pattes, les randonnées en forêt en hiver valaient le détour, à mon goût. Peut-être pourrais-je la convaincre un jour ?
« C’est vraiment gentil de votre part mais je ne pense pas que ce soit possible. Je ne peux pas laisser mon vélo ici ! »
Je pointais du doigt rapidement mon vélo tout terrain, toujours attaché à un arbre. Dans l’état où on était, je n’utilisais pas l’excuse comme quoi je risquais de salir sa voiture vu qu’elle serait certain déjà sale avec Lin. En tout cas, c’était vraiment agréable de sa part de proposer.
« A moins que vous pensez qu’on puisse le ranger dedans. Je ne sais pas si vous disposez d’une grande voiture ou d’un attache-vélo. Sinon, il n’y a aucun problème pour moi rentrer seul. En plus, la boue va me protéger du vent ! »
Je souriais à nouveau, tirant la langue.
« Au fait, je peux vous tutoyer et vous appeler Lin-san ? »
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Mer 30 Nov 2016 - 19:21
« Au fait, je peux vous tutoyer et vous appeler Lin-san ? »
L’idée plaisait énormément à la jeune femme. Zuko était vraiment une personne très adorable et super agréable à côtoyer. Il fallait avoir le cœur sur la main pour accepter toutes les bizarreries de la jeune femme sans sourciller, ni même la prendre pour une folle. Ainsi, donc elle hocha vivement la tête en prenant les mains du jeune homme dans les siennes.
- Ça me fait même vraiment plaisir ! Je n’attendais que ça, tout le monde devient ami après une bataille de boue ! ça rapproche les cœurs !
Ce qu’il ne fallait pas entendre tout de même. Très enjouée, c’est avec un sourire jusqu’aux oreilles qu’elle suivit le jeune homme. Il était temps pour tous deux de rentrer chez eux, ils n’allaient tout de même pas rester ici toute la nuit. Justement voilà qu’elle commençait à tomber. Vive l’automne et vive l’hiver qui approchait vraiment à grand pas.
- Si je ne suis pas toute décalée dans mes jours de la semaine, on est bien Dimanche demain ? Tu penses que ta salle d’arcade est ouverte ? ça me plairait bien d’y faire un tour avec toi ! Et de sortir de chez moi, aussi dans un deuxième temps ! Par contre pour la piscine… Désolé mais je passe mon tour, je ne sais pas nager, enfin un peu si, mais disons que j’ai tellement peur que ça ne donne jamais rien de bien glorieux. Au passage, demain je peux même venir te récupérer chez toi ? ça sera plus rapide d’y aller en voiture qu’en vélo !
Justement voilà qu’elle était arrivée à sa voiture. Elle n’avait vraiment pas couru très longtemps en réalité, c’était presque décevant de sa part. Elle se rattraperait un autre jour ! Enfin, si elle en avait le temps avant l’hiver. On pouvait être sûr qu’à partir du moment où il fera moins quelque chose dehors, elle n’irait sûrement pas tenter le diable dehors. Hors de question.
Après un dernier au revoir, au jeune adolescent en promettant de se retrouver le lendemain, elle reprit le même chemin qu’à l’allée pour rentrer chez elle. Comme toujours l’ambiance était au beau fixe dans l’habitacle. C’était probablement l’une des habitudes de Lindiya les plus inoubliable. Sa voiture c’était une boîte de nuit en plus petit et en plus cosy, et propre aussi ! Sur la route son portable se mit à vibrer.
- Zut…
Elle ne pouvait pas ne pas répondre, cela faisait un moment qu’elle n’avait pas eu de nouvelle de la maison et voilà que sa sœur l’appelait. Probablement pour lui donner les dernières nouveautés justement. En regardant droit devant elle, elle posa son téléphone sur ces jambes pour répondre. La voie de Marine, sa sœur résonna dans l’habitacle à la place de la musique. Sur le chemin, elles discutèrent de la France, des bons petits plats dont raffoler les enfants à la maison, à savoir les mêmes que leur tante, si ce n’était pas une jolie coïncidence ça ?
En arrivant, elle posa sa veste sur son lit en continuant sa conversation. Elle était sale comme jamais mais elle n’avait pas le cœur de raccrocher. Alors elle mit ces écouteurs pour continuer à parler à sa sœur tout en ayant les mains libres. Une fois fait et alors que la conversation tourné autour de leur mère, Lindiya se lava les mains. Histoire d’optimiser son temps au maximum, elle allait se préparer une petite salade composée avant d’aller se doucher. Elle sortit donc tous les aliments en riant au passage à chacune des anecdotes. Dans une famille de maladroit il y en avait des choses à raconter. Elle sortait justement un saladier d’un placard quand le ton de sa sœur aînée devint légèrement plus grave.
- Lin il faut que je te parle de Jules.
- Qu’est-ce qu’il mon petit prince ? demanda-t-elle inquiète pour son premier neveu.
- Tu te souviens que sous la demande de l’école, on est allé faire des tests pour l’autisme.
- Oui mais on sait tous que c’est du grand n’importe quoi. J’ai parlé à 5 ans ! Et je ne suis pas autiste pour autant et puis, il est si affectueux ! Il fait tout le temps des câlins, des bisous et au passage il dit tata maintenant. Il n’a que quatre ans ça viendra !
- Lin… Il est diagnostiqué comme autiste asperger a 50 %...
Interdite, la jeune femme ne dit plus un mot. C’était du grand n’importe quoi, pourquoi tous ces bons à rien ne prenait pas en comptes les antécédents familiaux ! Lindiya avait parlé à 5 ans, sa grande sœur à 4 et sa petite sœur à 4 aussi. En fond sonore, sa sœur essayait de l’apaiser, en lui faisant comprendre que ce n’était pas très grave, c’était juste qu’il était plus inquiet que les autres enfants. Et alors ? Lindiya aussi avait peur des autres à l’époque et elle n’était pas autiste. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, elle avait l’impression de saigner de l’intérieur. Certes on lui avait pas annoncé non plus qu’il était atteint d’une maladie incurable, sa réaction était peut-être disproportionnée mais pourquoi rien ne pouvait être normal dans leur vie ? Alors qu’elle était plongée dans ces pensées, elle revient à la réalité lorsqu’un bruit de vaisselle brisée la fit revenir à la réalité. Dans ces mains, le saladier venait d’exploser en mille morceaux, elle ouvrit les yeux choqués. Elle ne l’avait pas jeté par terre, ni même serer très fort, elle le tenait juste. Et pourtant voilà qu’elle se retrouvait avec des petits bouts de verre dans la main, rien de bien méchant mais elle ne comprenait vraiment pas ce qui venait de se passer. Au téléphone, sa sœur paniquait.
- Ce n’est rien Marine, mon saladier était fissuré je pense… Il vient de rendre l’âme…
- Tu m’as fait peur idiote !!
- T’énerve pas, ce n’est rien, je ne suis pas faites en sucre on le sait toutes les deux ! Ecoute pour Jules, ce n’est rien. A mes yeux, c’est un petit garçon extraordinaire avec un cœur plus gros qu’une soucoupe volante, un sourire plus brillant que les étoiles et une présence plus lumineuse que le soleil. Ça ne change rien…
- Pour nous aussi tu sais. Tout ira bien, ce n’est rien de bien grave, c’est juste une petite spécialité qui lui est propre.
- Je suis d’accord… Je dois te laisser, j’ai du ménage à faire. Je t’aime, je vous aime…
- Nous aussi, prend soin de toi, petite sœur.
L’idée plaisait énormément à la jeune femme. Zuko était vraiment une personne très adorable et super agréable à côtoyer. Il fallait avoir le cœur sur la main pour accepter toutes les bizarreries de la jeune femme sans sourciller, ni même la prendre pour une folle. Ainsi, donc elle hocha vivement la tête en prenant les mains du jeune homme dans les siennes.
- Ça me fait même vraiment plaisir ! Je n’attendais que ça, tout le monde devient ami après une bataille de boue ! ça rapproche les cœurs !
Ce qu’il ne fallait pas entendre tout de même. Très enjouée, c’est avec un sourire jusqu’aux oreilles qu’elle suivit le jeune homme. Il était temps pour tous deux de rentrer chez eux, ils n’allaient tout de même pas rester ici toute la nuit. Justement voilà qu’elle commençait à tomber. Vive l’automne et vive l’hiver qui approchait vraiment à grand pas.
- Si je ne suis pas toute décalée dans mes jours de la semaine, on est bien Dimanche demain ? Tu penses que ta salle d’arcade est ouverte ? ça me plairait bien d’y faire un tour avec toi ! Et de sortir de chez moi, aussi dans un deuxième temps ! Par contre pour la piscine… Désolé mais je passe mon tour, je ne sais pas nager, enfin un peu si, mais disons que j’ai tellement peur que ça ne donne jamais rien de bien glorieux. Au passage, demain je peux même venir te récupérer chez toi ? ça sera plus rapide d’y aller en voiture qu’en vélo !
Justement voilà qu’elle était arrivée à sa voiture. Elle n’avait vraiment pas couru très longtemps en réalité, c’était presque décevant de sa part. Elle se rattraperait un autre jour ! Enfin, si elle en avait le temps avant l’hiver. On pouvait être sûr qu’à partir du moment où il fera moins quelque chose dehors, elle n’irait sûrement pas tenter le diable dehors. Hors de question.
Après un dernier au revoir, au jeune adolescent en promettant de se retrouver le lendemain, elle reprit le même chemin qu’à l’allée pour rentrer chez elle. Comme toujours l’ambiance était au beau fixe dans l’habitacle. C’était probablement l’une des habitudes de Lindiya les plus inoubliable. Sa voiture c’était une boîte de nuit en plus petit et en plus cosy, et propre aussi ! Sur la route son portable se mit à vibrer.
- Zut…
Elle ne pouvait pas ne pas répondre, cela faisait un moment qu’elle n’avait pas eu de nouvelle de la maison et voilà que sa sœur l’appelait. Probablement pour lui donner les dernières nouveautés justement. En regardant droit devant elle, elle posa son téléphone sur ces jambes pour répondre. La voie de Marine, sa sœur résonna dans l’habitacle à la place de la musique. Sur le chemin, elles discutèrent de la France, des bons petits plats dont raffoler les enfants à la maison, à savoir les mêmes que leur tante, si ce n’était pas une jolie coïncidence ça ?
En arrivant, elle posa sa veste sur son lit en continuant sa conversation. Elle était sale comme jamais mais elle n’avait pas le cœur de raccrocher. Alors elle mit ces écouteurs pour continuer à parler à sa sœur tout en ayant les mains libres. Une fois fait et alors que la conversation tourné autour de leur mère, Lindiya se lava les mains. Histoire d’optimiser son temps au maximum, elle allait se préparer une petite salade composée avant d’aller se doucher. Elle sortit donc tous les aliments en riant au passage à chacune des anecdotes. Dans une famille de maladroit il y en avait des choses à raconter. Elle sortait justement un saladier d’un placard quand le ton de sa sœur aînée devint légèrement plus grave.
- Lin il faut que je te parle de Jules.
- Qu’est-ce qu’il mon petit prince ? demanda-t-elle inquiète pour son premier neveu.
- Tu te souviens que sous la demande de l’école, on est allé faire des tests pour l’autisme.
- Oui mais on sait tous que c’est du grand n’importe quoi. J’ai parlé à 5 ans ! Et je ne suis pas autiste pour autant et puis, il est si affectueux ! Il fait tout le temps des câlins, des bisous et au passage il dit tata maintenant. Il n’a que quatre ans ça viendra !
- Lin… Il est diagnostiqué comme autiste asperger a 50 %...
Interdite, la jeune femme ne dit plus un mot. C’était du grand n’importe quoi, pourquoi tous ces bons à rien ne prenait pas en comptes les antécédents familiaux ! Lindiya avait parlé à 5 ans, sa grande sœur à 4 et sa petite sœur à 4 aussi. En fond sonore, sa sœur essayait de l’apaiser, en lui faisant comprendre que ce n’était pas très grave, c’était juste qu’il était plus inquiet que les autres enfants. Et alors ? Lindiya aussi avait peur des autres à l’époque et elle n’était pas autiste. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, elle avait l’impression de saigner de l’intérieur. Certes on lui avait pas annoncé non plus qu’il était atteint d’une maladie incurable, sa réaction était peut-être disproportionnée mais pourquoi rien ne pouvait être normal dans leur vie ? Alors qu’elle était plongée dans ces pensées, elle revient à la réalité lorsqu’un bruit de vaisselle brisée la fit revenir à la réalité. Dans ces mains, le saladier venait d’exploser en mille morceaux, elle ouvrit les yeux choqués. Elle ne l’avait pas jeté par terre, ni même serer très fort, elle le tenait juste. Et pourtant voilà qu’elle se retrouvait avec des petits bouts de verre dans la main, rien de bien méchant mais elle ne comprenait vraiment pas ce qui venait de se passer. Au téléphone, sa sœur paniquait.
- Ce n’est rien Marine, mon saladier était fissuré je pense… Il vient de rendre l’âme…
- Tu m’as fait peur idiote !!
- T’énerve pas, ce n’est rien, je ne suis pas faites en sucre on le sait toutes les deux ! Ecoute pour Jules, ce n’est rien. A mes yeux, c’est un petit garçon extraordinaire avec un cœur plus gros qu’une soucoupe volante, un sourire plus brillant que les étoiles et une présence plus lumineuse que le soleil. Ça ne change rien…
- Pour nous aussi tu sais. Tout ira bien, ce n’est rien de bien grave, c’est juste une petite spécialité qui lui est propre.
- Je suis d’accord… Je dois te laisser, j’ai du ménage à faire. Je t’aime, je vous aime…
- Nous aussi, prend soin de toi, petite sœur.
***
Le lendemain, Lindiya avait les yeux cernés, elle n’avait tout simplement rien dormi de la nuit. Entre le diagnostic de Jules et se fichu saladier, elle avait eu de quoi réfléchir. Elle ne comprenait pas du tout pourquoi il lui avait péter entre les doigts ! C’était juste incompréhensible ! Elle y pensait encore alors qu’elle se garait dans l’allée mentionné par Zuko dans son sms. Il fallait mieux qu’elle pense à autre chose et qu’elle change de musique ! Pourquoi fallait-il toujours qu’elle écoute des musiques en adéquation avec son humeur ?
Invité
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Mer 30 Nov 2016 - 19:46
Je regardais Lin avec un grand sourire. Au final, nous nous étions bien rapproché cet après-midi. C’est cool car elle m’avait permis de l’appeler par son prénom tout simplement. Mais je n’osais pas. 0 la place je l’appellerai Lin-neesan. C’était un bon compromis.
« D’accord, Tu peux m’appeler Zuko-kun ! Ça me plairait beaucoup. Nos prénoms tous seul, c’est peut-être un peu trop familier. On ne se connait pas encore assez. »
J’étais parti rechercher mon vélo et je l’accompagnais jusqu’à sa voiture. Entre-temps, Lin-neesan me proposa de venir me prendre demain pour aller à la salle d’arcade. J’étais super content à cette idée !
« Eh eh ! Ça serait génial ! Et tu vas adorer le Dance Dance Revolution ! Si je pouvais, j’en ferais des heures ! Mais j’ai pas de place pour avoir un tapis chez moi. De toute façon, un tapis, ça ne vaut pas les vrai DDR ! Tu verras, ça sera super ! »
Une fois arrivé à sa voiture, je prenais note de son numéro de téléphone et lui promettait d’envoyer un sms une fois rentré pour qu’elle ait mon adresse. Elle ne pouvait pas venir me chercher, sinon. Une fois les derniers détails réglés, je laissais Lin monter dans sa voiture. Elle m’adressa un dernier sourire avant de démarrer. Wow, je ne sais pas ce qu’elle avait comme sono mais c’était violent ! Je me demandais même pourquoi la voiture ne faisait pas des bonds toute seule. Enfin… Je montais sur mon vélo pour rentrer à la maison. Je pensais déjà à la bonne douche bien chaude que j’allais prendre en rentrant.
Comme prévu, une fois chez moi ce fut le tuyau d’arrosage avant de rentrer à la maison. C’est mon père qu’i s’en occupa, maman s’occupant de chauffer la salle de bain. Une fois débarrassé du plus gros de la boue, je fonçais rapidement dans la salle de bain. L’eau était bien chaude quand j’arrivais. Après m’être bien savonné et rincé, je m’essuyai avant de mettre un boxer et un t-shirt propre. J’étais lessivé. Je mangeais d’abord un morceau avant d’aller m’allonger. Je commençais à penser à demain et au DDR avec Lin. Ca allait être vraiment sympa. Je fermais les yeux tandis que différent air me passait par la tête et j’étais maintenant parti pout le doux monde des rêves où je m’amusais à faire du Dance Dance Révolution en humain et même en loup.
HRP : Retrouvez la suite dans Play & Dance
« D’accord, Tu peux m’appeler Zuko-kun ! Ça me plairait beaucoup. Nos prénoms tous seul, c’est peut-être un peu trop familier. On ne se connait pas encore assez. »
J’étais parti rechercher mon vélo et je l’accompagnais jusqu’à sa voiture. Entre-temps, Lin-neesan me proposa de venir me prendre demain pour aller à la salle d’arcade. J’étais super content à cette idée !
« Eh eh ! Ça serait génial ! Et tu vas adorer le Dance Dance Revolution ! Si je pouvais, j’en ferais des heures ! Mais j’ai pas de place pour avoir un tapis chez moi. De toute façon, un tapis, ça ne vaut pas les vrai DDR ! Tu verras, ça sera super ! »
Une fois arrivé à sa voiture, je prenais note de son numéro de téléphone et lui promettait d’envoyer un sms une fois rentré pour qu’elle ait mon adresse. Elle ne pouvait pas venir me chercher, sinon. Une fois les derniers détails réglés, je laissais Lin monter dans sa voiture. Elle m’adressa un dernier sourire avant de démarrer. Wow, je ne sais pas ce qu’elle avait comme sono mais c’était violent ! Je me demandais même pourquoi la voiture ne faisait pas des bonds toute seule. Enfin… Je montais sur mon vélo pour rentrer à la maison. Je pensais déjà à la bonne douche bien chaude que j’allais prendre en rentrant.
Comme prévu, une fois chez moi ce fut le tuyau d’arrosage avant de rentrer à la maison. C’est mon père qu’i s’en occupa, maman s’occupant de chauffer la salle de bain. Une fois débarrassé du plus gros de la boue, je fonçais rapidement dans la salle de bain. L’eau était bien chaude quand j’arrivais. Après m’être bien savonné et rincé, je m’essuyai avant de mettre un boxer et un t-shirt propre. J’étais lessivé. Je mangeais d’abord un morceau avant d’aller m’allonger. Je commençais à penser à demain et au DDR avec Lin. Ca allait être vraiment sympa. Je fermais les yeux tandis que différent air me passait par la tête et j’étais maintenant parti pout le doux monde des rêves où je m’amusais à faire du Dance Dance Révolution en humain et même en loup.
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