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Mer 30 Nov 2016 - 23:22
Je me baladais en ville. Il faisait terriblement froid aujourd’hui pour un jour d’automne. En fait, il commençait déjà à geler la luit. Du coup, je n’avais pas envie de courir ou encore de faire du vélo, il faisait beaucoup trop froid. J’aurais pu aller nager aussi mais je n’en avais pas particulièrement envie. En réalité, je pensais à la jeune dame que j’avais croisé en forêt l’autre jour. J’avais beau y retourner, je n’avais jamais eu la chance de la revoir. Du coup, j’étais un peu déprimé dernièrement. Je m’étais trouvée une amie en tant que loup et je n’arrivais pas à la revoir. J’aurais bien voulu, pourtant. Mais elle avait surement autre chose à faire que d’aller tous ses weekends dans les bois. Et moi, je ne pouvais pas m’éclipser aussi souvent en le cachant à tout le monde. J’avais même l’impression que mes parents savaient que je cachais quelque chose. Je devais éviter d’y retourner pour le moment. Je soupirai avec regret. J’étais sûr qu’elle était passé dans le bois quand je n’y étais pas.
Je soupirai encore, me promenant toujours. Je n’avais pas particulièrement fait attention mais je me trouvais maintenant dans la partie de la ville que je connaissais pas tant que ça. Je crois bien que ça devait la deuxième ou troisième fois. Par contre, c’était la première fois que je venais seul ici. J’avais un plutôt bon sens de l’observation mais j’avoue que j’avais un peu peur de me perdre. Du coup, je portais bien attention aux différentes enseignes que je voyais. Autant prendre le plus vite possible mes repères. C’était pas une excellente idée par contre…
« Ah T-t-t-t-t-t-ta ! »
Forcément, comme je regardais en l’air, je ne faisais pas forcément attention où je mettais les pieds. Et forcément, il fallait que je marche sur une plaque de verglas et que je retrouve par terre. Aie ! C’est que je ne m’étais pas raté, en plus ! J’avais un peu mal à la tête mais je n’avais pas l’air de saigner. Mon dos, par contre, c’était une autre histoire. Mon manteau et mon t-shirt s’étaient relevé et j’étais griffé à sang. En regardant de plus près, c’était une dalle mal posée qui m’avait infligé cela.
« Grrrr… Saletés de trottoirs… »
Je ne pouvais pas rester comme ça mais je me voyais mal aller à l’hôpital pour si peu et j’étais un peu loin de chez moi pour rentrer. De toute façon, il n’y avait personne à la maison pour désinfecter la plaie. Je me relevais et regardais aux alentours quand je vis un restaurant ou un café – je ne savais pas trop – qui était ouvert. Je poussais la porte doucement. C’était plutôt vide.
« Excusez-moi ? Il y a quelqu’un ? Je me suis blessé. Vous n’auriez pas une trousse de soins ? »
Je soupirai encore, me promenant toujours. Je n’avais pas particulièrement fait attention mais je me trouvais maintenant dans la partie de la ville que je connaissais pas tant que ça. Je crois bien que ça devait la deuxième ou troisième fois. Par contre, c’était la première fois que je venais seul ici. J’avais un plutôt bon sens de l’observation mais j’avoue que j’avais un peu peur de me perdre. Du coup, je portais bien attention aux différentes enseignes que je voyais. Autant prendre le plus vite possible mes repères. C’était pas une excellente idée par contre…
« Ah T-t-t-t-t-t-ta ! »
Forcément, comme je regardais en l’air, je ne faisais pas forcément attention où je mettais les pieds. Et forcément, il fallait que je marche sur une plaque de verglas et que je retrouve par terre. Aie ! C’est que je ne m’étais pas raté, en plus ! J’avais un peu mal à la tête mais je n’avais pas l’air de saigner. Mon dos, par contre, c’était une autre histoire. Mon manteau et mon t-shirt s’étaient relevé et j’étais griffé à sang. En regardant de plus près, c’était une dalle mal posée qui m’avait infligé cela.
« Grrrr… Saletés de trottoirs… »
Je ne pouvais pas rester comme ça mais je me voyais mal aller à l’hôpital pour si peu et j’étais un peu loin de chez moi pour rentrer. De toute façon, il n’y avait personne à la maison pour désinfecter la plaie. Je me relevais et regardais aux alentours quand je vis un restaurant ou un café – je ne savais pas trop – qui était ouvert. Je poussais la porte doucement. C’était plutôt vide.
« Excusez-moi ? Il y a quelqu’un ? Je me suis blessé. Vous n’auriez pas une trousse de soins ? »
Jess Duchannes#94431#94431#94431#94431#94431#94431#94431
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Jeu 1 Déc 2016 - 23:00
Dérapage Incontrôlé.
Zuko & Jess
Zuko & Jess
Mileu d’une conversation au téléphone avec Sir Williams. Mon professeur mais aussi mon tuteur.
« Je veux en discuter avec vous, c’est important [...] Comment?[...] Non cela n’a rien à voir mais il faut bien que nous ayons une discussion à ce sujet. Sir, please.[...] Venez le rencontrer au moins. S’il faut que ce soit public, je [...]. J’entends bien mais [...]. Je n’ai jamais dit cela. Nous n’avons même pas abordé ce sujet ![...] Je lui ai demandé une audience, oui. [...] J’ai déjà eu une entrevue avec elle, le premier contact s’est fait.[...]
Parce que je sortais de mon service et [...]. Je vous demande pardon?[...] Non, non, c’est hors de question![...] Alors je propose à Namiko de racheter le bar dès ce soir ! Cela serait un point pied à terre non?[...] Je suis -on ne peut plus- sérieuse. Les Duchannes ne sont pas vraiment connus au Japon. Je n’ai pas l’intention de partir et je ne peux pas laisser toutes nos affaires en France. Si je remplace Père, je veux avoir vu sur tout. Un siège au Japon, géré par mes soins. Un en France, toujours sous votre tutelle.[...] Mais j’ai besoin de vous. Venez quelques jours au moins.[...] Qu’est-ce que vous insinuez? [...] Ne vous inquiétez pas pour cela. Ayez confiance en moi, je ne vous ai jamais déçue, ce n’est pas prêt de commencer. [...] Pourrais-je avoir les documents par email au moins? [...] Non. Je voudrais juste voir comment Père travaillait. Il est temps que j’apprenne non?[...] Il fait froid en ce moment, c’est un période creuse. Je voulais en profiter.[...] Vous êtes d’accord? Vraiment?[...] Ne plaisantez pas ! Je suis prête ![...] Vous m’imaginez pas à quel point c’est important.[...] Thank you so much, Sir.[...] Okay.Goodbye, Sir. I miss you. [...] Je sais. »
« Je veux en discuter avec vous, c’est important [...] Comment?[...] Non cela n’a rien à voir mais il faut bien que nous ayons une discussion à ce sujet. Sir, please.[...] Venez le rencontrer au moins. S’il faut que ce soit public, je [...]. J’entends bien mais [...]. Je n’ai jamais dit cela. Nous n’avons même pas abordé ce sujet ![...] Je lui ai demandé une audience, oui. [...] J’ai déjà eu une entrevue avec elle, le premier contact s’est fait.[...]
Parce que je sortais de mon service et [...]. Je vous demande pardon?[...] Non, non, c’est hors de question![...] Alors je propose à Namiko de racheter le bar dès ce soir ! Cela serait un point pied à terre non?[...] Je suis -on ne peut plus- sérieuse. Les Duchannes ne sont pas vraiment connus au Japon. Je n’ai pas l’intention de partir et je ne peux pas laisser toutes nos affaires en France. Si je remplace Père, je veux avoir vu sur tout. Un siège au Japon, géré par mes soins. Un en France, toujours sous votre tutelle.[...] Mais j’ai besoin de vous. Venez quelques jours au moins.[...] Qu’est-ce que vous insinuez? [...] Ne vous inquiétez pas pour cela. Ayez confiance en moi, je ne vous ai jamais déçue, ce n’est pas prêt de commencer. [...] Pourrais-je avoir les documents par email au moins? [...] Non. Je voudrais juste voir comment Père travaillait. Il est temps que j’apprenne non?[...] Il fait froid en ce moment, c’est un période creuse. Je voulais en profiter.[...] Vous êtes d’accord? Vraiment?[...] Ne plaisantez pas ! Je suis prête ![...] Vous m’imaginez pas à quel point c’est important.[...] Thank you so much, Sir.[...] Okay.Goodbye, Sir. I miss you. [...] Je sais. »
Bon sang… Mes discussions avec celui que je considérais comme un second père était éprouvante. Du massacre de ma demeure, il ne restait que nous deux et cela avait créé un lien très fort. Nous étions déjà proche mais depuis qu’il était à la tête des affaires de la famille Duchannes, il était devenu l’image paternelle que j’avais atrocement perdu. Parfois pour gagner du temps, je voulais le remettre à sa place et lui dire que j’étais la seule héritière et qu’il n’avait pas son mot à dire mais je n’étais pas comme ça. J’étais loin de tout savoir et depuis mon exil au Japon, les choses étaient plus compliquées. Je travaillais comme serveuse pour payer mon loyer, j’avais décidé de faire un mariage d’amour plutôt que de raison et j’en passe… Pour résumer, je n’avais jamais touché la pension qu’on m’envoyait tous les mois pour que je puisse vivre comme une demoiselle de mon rang. Je désirais reprendre les vignobles de mon père mais je voulais connaître le travail et le labeur avant. J’avais eu l’idée d’aller travailler dans les champs, mais ce projet était resté une idée. Elliot Williams me connaissait bien. Comme je commençais à me plaire à Nakamoto, on ne se demande pas pourquoi, je voulais me battre pour faire avancer les choses et les affaires de ma famille. Même si ma clientèle au Japon ne serait que mes semblables, c’était déjà pas mal du tout.
Enfin bref… J’avais gardé mes yeux rivé sur mon téléphone, songeant à tout ça. Pour l’instant, j’avais une vie tranquille et je voulais que cela dure. Bien que le bar de Namiko avait un peu décollé depuis mon arrivée, je n’étais pas une star et je ne voulais pas en être. Mais les rumeurs allaient de bon train et Nakamoto avait, semble-il, des journalistes très doués pour dévoiler la vie privée des célébrités vivant dans les parages. Entre un fiancé peintre et pianiste et un ami proche auteur… l’on m’avait dans le collimateur un peu trop souvent à mon goût. Mais bon, cela faisait flamber les affaires de Namiko alors je ne m’en plaignais pas vraiment. J’étais contente pour elle. Elle m'était très précieuse même si elle était humaine et qu’elle ignorait ma nature.
Mais aujourd’hui, le temps était particulièrement froid. Près peu de courageux avaient bravé les températures et les quelques un qui s’y étaient risqués se réfugiaient à l'intérieur. J’avais donc… une table de trois clients. Dure journée ! « Deux kirins et un genmaicha. Le thé est pour qui? » Alors que je servais tranquillement ma table, j’entendis la voix d’un jeune homme à la crinière d’ébène dans le besoin. « Oui, je suis là ! Oh mon dieu, vous allez bien? » Question un peu stupide en soi parce que je pouvais deviner que ce n’était pas vraiment le cas. Je l’invitais à s'asseoir près du chauffage électrique dans un coin de la pièce et filais chercher la boîte de secours. « Et voilà, où êtes-vous blessez? » A peine avais-je posé la question que l’odeur du sang remplit mes narines. Je n’y avais pas particulièrement prêté attention jusque là. J’étais assez adulte pour me contrôler mais cela ne me laissait pas indifférente pour autant. Le jeune garçon désigna sa tête et son dos et m’expliqua rapidement ce qui lui était arrivé. « Vous permettez que je regarde? Vous ne pourrez pas vous soigner tout seul. » Je n’étais pas infirmière, loin de là mais je connaissais les bases. Avec son accord, je glissais les doigts doucement dans ses cheveux à l’arrière de sa tête. Le sang était ailleurs, je l’avais davantage senti en me plaçant derrière lui. Son odeur n’était pas semblable à ceux à quoi j’étais habituée pour les humains. C’était étrange mais je ne m’attardais pas sur la chose. « Pouvez-vous enlever votre manteau, monsieur? Je vais désinfecter votre dos, vous avez dû vous érafler contre le trottoir. » J’essayais de rester calme, il n’y avait pas grand chose en plus mais ma nature luttait. Je déglutit discrètement et me concentrer sur ce pauvre garçon. « Au faite, moi c’est Jess et vous? » Je m’efforçais d’être amicale, discuter m'occuper l’esprit pendant que mes doigts désinfectent les vilaines marques dans son dos. Je restais muette une seconde, figée même. Ce jeune homme avait une tâche en bas du dos que j’avais déjà vu quelque part. Bon sang.
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Ven 2 Déc 2016 - 0:46
Quel choc ! A peine j’avais jeté un regard sur elle que je l’avais reconnu tout de suite ! La demoiselle du bois ! Je n’arrivais pas à croire qu’elle était devant moi. Pourtant, c’était elle. Les jolis traits, les cheveux noirs, les yeux noisette. Si ce n’était pas elle, c’était sa jumelle. Ça ne pouvait pas être possible, sinon. Je devais rêver. Je restais un instant devant l’entrée sans savoir quoi faire. Quelque chose me disait que partir en courant. D’un autre côté, je ne voyais pas trop ce que je risquais. En tout cas, je n’eus pas vraiment le temps de me décider car elle m’emmena à côté d’un radiateur et me fit m’asseoir avant d’aller chercher une trousse de soins.
« Je me suis blessé au niveau de la tête et du bas du dos. Je n’ai pas vu une plaque de glace et j’ai glissé dessus. »
Elle était aussi douce et gentille que dans le bois. La demoiselle d’approcha délicatement de moi après que je lui ai donné la permission et regarda au niveau de ma tête pour vérifier que je n’étais pas ouvert, surement. Pendant ce temps, j’étais tout de même un peu tendu, nerveux, sans raisons. Elle ne pouvait pas me reconnaitre. Mais il fallait dire que la rencontré ici est tout de même un fameux hasard. Quoi qu’il en soit, elle me demanda de retirer mon manteau pour regarder à mon dos et j’obéissais avec une certaine raideur. Je ne savais pas maintenant si c’était parce que j’étais nerveux ou si c’était parce que mon dos me faisait mal. Je déposais ma veste sur la chaise et je remontais un peu mon t-shirt pour que la demoiselle puisse regarder. Pour me détendre, surement, elle m’avait dit son prénom. Jess. Je le connaissais enfin ! Depuis le temps que je me demandais comment elle pouvait bien s’appeler.
« Heu… Je m’appelle Tanaka. Tanaka Zuko. »
Je sentais enfin qu’elle appliquait le désinfectant. C’était froid. J’étais bien content d’être à côté du radiateur, du coup. Une fois fini, alors qu’elle était en train de ranger ses affaires., je me suis retourné vers elle.
« Ce n’est pas trop grave, Jess-san ? »
Je pouvais la voir en face à nouveau. J’étais toujours un peu mal à l’aise même si je me sentais un peu mieux au niveau de mon dos. Ma gorge était sèche cependant. Ce n’était pas du tout agréable. J’avais de l’argent dans mon portefeuille et j’étais dans un café cependant. Je suppose que ça ne la dérangeait pas de me servir quelque chose.
« Excusez-moi, Jess-san, je pourrais avoir quelque chose de chaud, s’il-vous-plait ? Un chocolat ou un café ? »
Je lui adressais un petit sourire mais il ne devait pas être fameux… A vrai dire, je pensais encore à fuir en courant. Mais ça n’aurait pas été très poli, d’abord, alors qu’elle venait d’être si gentille avec moi. Ensuite, j’avais particulièrement bien chaud, à côté de se radiateur et l’idée de repartir maintenant dans le froid ne me tentait absolument pas. Et comme je venais de commander…
« Je me suis blessé au niveau de la tête et du bas du dos. Je n’ai pas vu une plaque de glace et j’ai glissé dessus. »
Elle était aussi douce et gentille que dans le bois. La demoiselle d’approcha délicatement de moi après que je lui ai donné la permission et regarda au niveau de ma tête pour vérifier que je n’étais pas ouvert, surement. Pendant ce temps, j’étais tout de même un peu tendu, nerveux, sans raisons. Elle ne pouvait pas me reconnaitre. Mais il fallait dire que la rencontré ici est tout de même un fameux hasard. Quoi qu’il en soit, elle me demanda de retirer mon manteau pour regarder à mon dos et j’obéissais avec une certaine raideur. Je ne savais pas maintenant si c’était parce que j’étais nerveux ou si c’était parce que mon dos me faisait mal. Je déposais ma veste sur la chaise et je remontais un peu mon t-shirt pour que la demoiselle puisse regarder. Pour me détendre, surement, elle m’avait dit son prénom. Jess. Je le connaissais enfin ! Depuis le temps que je me demandais comment elle pouvait bien s’appeler.
« Heu… Je m’appelle Tanaka. Tanaka Zuko. »
Je sentais enfin qu’elle appliquait le désinfectant. C’était froid. J’étais bien content d’être à côté du radiateur, du coup. Une fois fini, alors qu’elle était en train de ranger ses affaires., je me suis retourné vers elle.
« Ce n’est pas trop grave, Jess-san ? »
Je pouvais la voir en face à nouveau. J’étais toujours un peu mal à l’aise même si je me sentais un peu mieux au niveau de mon dos. Ma gorge était sèche cependant. Ce n’était pas du tout agréable. J’avais de l’argent dans mon portefeuille et j’étais dans un café cependant. Je suppose que ça ne la dérangeait pas de me servir quelque chose.
« Excusez-moi, Jess-san, je pourrais avoir quelque chose de chaud, s’il-vous-plait ? Un chocolat ou un café ? »
Je lui adressais un petit sourire mais il ne devait pas être fameux… A vrai dire, je pensais encore à fuir en courant. Mais ça n’aurait pas été très poli, d’abord, alors qu’elle venait d’être si gentille avec moi. Ensuite, j’avais particulièrement bien chaud, à côté de se radiateur et l’idée de repartir maintenant dans le froid ne me tentait absolument pas. Et comme je venais de commander…
Jess Duchannes#94434#94434#94434#94434#94434#94434#94434
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Ven 2 Déc 2016 - 11:02
Dérapage Incontrôlé.
Zuko & Jess
Zuko & Jess
Pendant que je rangeais ma trousse de soin, je gardai les yeux posés sur son dos. Je devais rêver, c’était la seule explication. Ou alors le hasard était un marrant. Son inquiétude me ramena à la réalité. « Non, vous avez quelques éraflures mais ça ne va pas vous déranger longtemps, Zuko-Kun. Faîtes juste attention et pensez peut-être à changer le pansement demain. » le rassurais-je souriante en posant une main douce sur son épaule. Un instant, je l’observais un peu plus en détail. Physiquement, il apparaissait un peu frêle mais il dégageait une certaine… puissance et je n’arrivais pas à comprendre cette impression.
Il était évident qu’il souhaite une boisson chaude, il me coupa l’herbe sous le pied et m’en demanda une avant que je ne puisse lui offrir quoique ce soit. Toujours le sourire aux lèvres, je débarrassais les quelques compresses tâchées et les jetais directement dans les poubelles dehors. Le froid gifla ma peau, c’était une bonne chose, cela calma immédiatement ma soif. Je n’avais jamais fait de mal à un humain et je n’avais pas l’intention de céder. Bien que je ne regrette aucunement ce que j’étais, j’en étais même fière, je n’étais pas un monstre comme pouvait le dire certaines légendes infondés. Nous étions plus nombreux à respecter la vie humaine qu’il n’y paraît. Avant de préparer la commande, je nettoyais mes mains, l’odeur du sang persistait me laissant une petite gêne. Mais cela passerait.
J’enclanchais ma machine et nous préparer du bon chocolat chaud bien mousseux. En même temps, je préparais quelques petites friandises, pâtisseries pour mes clients. C’était inhabituel d’avoir ce genre d’en-cas au Japon et je pense que ma petite touche européenne plaisait. Ce n’était pas n’importe où que vous pouviez trouvez des croissants ou des cookies fait maison. Mon plateau de service prêt, je servais alors tout le monde, m’assurant que la table de 3 n’avait besoin de rien de plus avant de donner son réconfort à Zuko. « Tenez, cela va vous réchauffer. Et servez-vous, c’est la maison qui régale. » dis-je en lui offrant un clin d’oeil amical. « Vous aimez la cannelle? J’adore en mettre dans mon chocolat.»
Je me permis de m'asseoir en face de lui, veillant à ce qu’il soit satisfait et à l’aise prêt de la chaleur artificielle. « C’est la première fois que je vous vois ici, vous venez d’arriver à Nakamoto, Zuko-kun? » J’espérais ne pas être indiscrète. Quelque chose me poussait vers lui. Comme un lien surnaturel - c’était vraiment surprenant dans cette ville - qui nous liait. J’avais l’impression de déjà le connaître pourtant ma mémoire était sans faille - malheureusement dans certaines circonstances - et j’étais certaine en affirmant que je ne l’avais jamais vu avant ce jour. Sauf cette marque en bas de son dos. C’était incroyable tout de même. Le loup que j’avais trouvé dans la forêt il y a quelques semaines avait la même. Plus ou moins au même endroit. Je n’avais pas eu la chance de revoir cette magnifique créature. J’étais pourtant retournée dans les bois à plusieurs reprises mais en vain. J’avais même pénétré plus avant dans la forêt, me disant que je trouverais peut-être son terrier mais j’avais du mal à retrouver son odeur. Je n’avais pas l’habitude de “traquer” dans un lieu si ouvert et peuplé après tout.
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Ven 2 Déc 2016 - 17:56
J’étais un peu plus soulagé par le fait que la blessure ne soit pas grave et que c’était maintenant désinfecté. Jess-san posa sa main sur mon épaule avec un sourire. Je la remerciais d’un signe de tête et elle s’empressa de débarrasser la table et de préparer ma boisson.
Pendant que Jess-san s’affairait, j’en profitais pour regarder un peu plus attentivement l’endroit où j’étais. C’était agréable. Il y avait une impression de chaleur qui se dégageait de la pièce. Je ne disais pas ça parce que j’étais à côté du radiateur. Non, les lampes, les couleurs, les meubles, tout ça, quoi ! C’était à l’image de la demoiselle du bois. Doux et chaleureux. C’est l’impression qu’elle m’avait faite et qu’elle me faisait encore maintenant. Je commençais doucement à me détendre, à me dire qu’il n’allait rien m’arriver. C’était évident, tout de même. Jess n’avait juste vu en loup et en garçon. Elle ne m’avait pas vu me transformer. Aucune raison qu’elle fasse le lien. Ma peut me jouait vraiment des drôles de tours, parfois.
La demoiselle revient avec deux chocolats et des gâteaux que je ne connaissais pas. Enfin, si. J’en avais déjà vu mais ce n’était pas le genre de chose qu’on voyait souvent en ville. Il y en avait qui me faisaient bien marrer, en tout cas, avec leur forme de croissant. Elle me les offrait gentiment.
« Oh ! Euh… Merci beaucoup… »
C’était trop gentil, en fait. J’aurais voulu refuser mais aucune excuse me venait en tête actuellement. Et ce n’était pas poli de refuser quelque chose sans avoir une excuse, même bidon, valable. J’en pris alors un et je mordis dedans. C’était bon ! Sucré à souhait et pas trop sec. Rien à voir avec les gâteaux que l’on mangeait d’habitude. J’ai ensuite gouté au chocolat.
« C’est vraiment délicieux ! »
Entre-temps, Jess-san s’était assise en face de moi et je lui adressais un grand sourire. Elle me demanda si j’étais nouveau en ville.
« Non, j’habite ici depuis que je suis tout petit, mais de l’autre côté de la ville. A vrai dire, je viens rarement par ici. En général, je suis plutôt du côté du lac ou de la forêt pour courir ou à la salle d’arcade ou encore la piscine. Sinon, je vais au lycée d’Hakui. C’est là-bas que j’étudie. Du coup c’est rare quand je me promène en ville. En général, c’est quand j’ai envie de ne rien faire. »
Je m’étais arrêté pour reprendre un peu du délicieux cacao que je maintenais entre mes mains. Entre ça et la source de chaleur derrière moi, j’étais aux anges.
« Je peux vous demander qu’où vous venez ? Jess, ce n’est pas japonais, n’est-ce pas ? Vous venez d’Amérique ou d’Europe ? Comme ces gâteaux ? Ou vous êtes née ici aussi ? »
Je montrais du doigt un croissant qui restait encore dans l’assiette. J’avais bien envie de le prendre d’ailleurs, mais ce n’était pas vraiment raisonnable, si ?
Pendant que Jess-san s’affairait, j’en profitais pour regarder un peu plus attentivement l’endroit où j’étais. C’était agréable. Il y avait une impression de chaleur qui se dégageait de la pièce. Je ne disais pas ça parce que j’étais à côté du radiateur. Non, les lampes, les couleurs, les meubles, tout ça, quoi ! C’était à l’image de la demoiselle du bois. Doux et chaleureux. C’est l’impression qu’elle m’avait faite et qu’elle me faisait encore maintenant. Je commençais doucement à me détendre, à me dire qu’il n’allait rien m’arriver. C’était évident, tout de même. Jess n’avait juste vu en loup et en garçon. Elle ne m’avait pas vu me transformer. Aucune raison qu’elle fasse le lien. Ma peut me jouait vraiment des drôles de tours, parfois.
La demoiselle revient avec deux chocolats et des gâteaux que je ne connaissais pas. Enfin, si. J’en avais déjà vu mais ce n’était pas le genre de chose qu’on voyait souvent en ville. Il y en avait qui me faisaient bien marrer, en tout cas, avec leur forme de croissant. Elle me les offrait gentiment.
« Oh ! Euh… Merci beaucoup… »
C’était trop gentil, en fait. J’aurais voulu refuser mais aucune excuse me venait en tête actuellement. Et ce n’était pas poli de refuser quelque chose sans avoir une excuse, même bidon, valable. J’en pris alors un et je mordis dedans. C’était bon ! Sucré à souhait et pas trop sec. Rien à voir avec les gâteaux que l’on mangeait d’habitude. J’ai ensuite gouté au chocolat.
« C’est vraiment délicieux ! »
Entre-temps, Jess-san s’était assise en face de moi et je lui adressais un grand sourire. Elle me demanda si j’étais nouveau en ville.
« Non, j’habite ici depuis que je suis tout petit, mais de l’autre côté de la ville. A vrai dire, je viens rarement par ici. En général, je suis plutôt du côté du lac ou de la forêt pour courir ou à la salle d’arcade ou encore la piscine. Sinon, je vais au lycée d’Hakui. C’est là-bas que j’étudie. Du coup c’est rare quand je me promène en ville. En général, c’est quand j’ai envie de ne rien faire. »
Je m’étais arrêté pour reprendre un peu du délicieux cacao que je maintenais entre mes mains. Entre ça et la source de chaleur derrière moi, j’étais aux anges.
« Je peux vous demander qu’où vous venez ? Jess, ce n’est pas japonais, n’est-ce pas ? Vous venez d’Amérique ou d’Europe ? Comme ces gâteaux ? Ou vous êtes née ici aussi ? »
Je montrais du doigt un croissant qui restait encore dans l’assiette. J’avais bien envie de le prendre d’ailleurs, mais ce n’était pas vraiment raisonnable, si ?
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Dim 4 Déc 2016 - 19:06
Dérapage Incontrôlé.
Zuko & Jess
Zuko & Jess
J’étais contente de voir que le jeune Zuko se sentait bien. Je l’écoutais attentivement. Il vivait ici depuis sa petite enfance, contrairement à moi et les raisons tragiques qui m’avaient poussées ici. Malgré mon côté plus que rationnel, je ne pouvais m’empêcher de relever un détail. Il allait souvent dans la forêt. Comme sans doute un bon nombre de citoyens de Nakamoto…
Au lycée? Cela faisait longtemps que j’avais quitté les rangs de l’école et je n’en gardais pas vraiment de bon souvenirs mise à part quelques uns. Le début de mon histoire avec un certain vampire blond tourmenté entre autre chose. L’on m’avait forcée à me fondre dans la foule et je dois bien l’avouer c’était parfois compliqué. Une jeune orpheline de vampire, anéantie par la perte de ses proches au milieu d’adolescents soumis à leur hormones. Heureusement pour moi, cette époque était révolue depuis un certain temps déjà.
Alors que je sirotais ma boisson, Zuko m'interrogea sur mes origines et celles de mes cookies. Je ne pus m’empêcher de rire de bon cœur un instant. « Je vous en pris posez-moi toutes les questions que vous voulez. Vous avez entièrement raison. Je suis née en Europe. En France pour dire vrai. D’où les pâtisseries. » soulignais-je d’un signe de tête. J’observais autour de nous et me rendait compte au fond, les gâteaux n’étaient les seules choses venues d’Europe. La gérante des lieux m’avait en quelque sorte laissée prendre possession des lieux. De cet fait, il est vrai que son café abordait peut-être un peu plus ma touche Europe moderne. « Cela fait quelques années que je suis ici. J’ai fait les années lycée ici aussi. Tout comme vous, j’aime aller dans les bois. Cela m’aide à m’évader, ça me rappelle un peu mon pays, bien que la forêt soit bien différente. »
Malgré moi, révoquer mon arrivée ici réveilla un court instant de lourds souvenirs. La perte de chers parents, mon déménagement imposé… Au fond mon passé en France était assez douloureux même si après le drame qui toucha ma famille je dus y rester pas plus d’un mois ou deux. Ma vie était ici désormais et j’en étais plus que ravie. Bien que la présence concentrée de chef de clan ici me mettait mal à l’aise mais bon, c’était ça de faire partie de mon monde. Mes yeux se posèrent sur mon invité. J’enviais le libre arbitre des humains et leur désinvolte. Ils n'étaient pas à dire non qu'importe le conséquent. Après tout, serais-je sans doute pareil si ma vie était aussi courte que la leur, rapide comme un battement d’ailes. Les êtres immortelles paient les conséquences de leurs actes pendant plusieurs vies d’Hommes. Afin de ne pas paraître impoli à le regarder ainsi, je lui poussais l’assiette de viennoiseries devant lui. « Mangez si vous aimez ça ! Je vous en donnerais pour chez vous si vous le souhaitez. » Je le laissais se servir et poursuivi gentiment. « Vous alliez quelque part avant de tomber? Ou vous profitiez seulement de la sérénité de la ville dans des jours comme aujourd’hui? »
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Mar 6 Déc 2016 - 19:41
Je regardais Jess-san pendant qu’elle me contait ses origines. Elle venait donc de France. Je connaissais vaguement ce pays de nom. On avait récemment parler de l’Europe en cours. Il y avait un monument là-bas qui ressemblait à la tour de Tokyo d’après mes souvenirs. Mon regard balaya une nouvelle fois le café et j’étais sûr maintenant que la décoration avait une touche occidentale. Soudainement, un panneau avec plein de photo du lieu attira mon attention. Je ne voyais pas les détails d’aussi loin. Mais je pouvais voir qu’il s’agissait de la demoiselle avec des clients sympathiques surement. Je ne pouvais m’empêcher de sourire tout en pensant à notre shooting photo dans le bois. Je me demandais où elle les gardait d’ailleurs.
Mon attention était à nouveau portée vers notre table et Jess quand elle se parlait d’aller dans le bois. Ça ne m’étonnait pas qu’elle aimait ça. En fait, c’était plutôt bien car j’avais pu faire se rencontre. Elle m’invita ensuite à me resservir en poussant l’assiette vers moi avant de me demander ce que je faisais en ville.
« En fait, je ne faisais que me balader. Je ne savais pas trop quoi faire. Je n’avais pas envie d’aller courir ni de me promener dans le bois. Je pensais aller voir quelques amis mais ils sont trop occupés. J’avais pensé aller nager aussi mais… »
Je m’étais rappelé pourquoi je n’avais envie de rien faire aujourd’hui. J’avais oublié un instant à quel point j’aurais voulu revoir la demoiselle du bois pour m’amuser avec elle. Sauf que, entre-temps, j’étais tombé accidentellement dessus et je pouvais enfin discuter avec elle. Mais… Je ne pouvais pas le lui dire. Ça aurait été bizarre, d’abord. Ensuite, comment allait-elle réagir si elle l’apprenait ainsi ? Qu’est-ce que je devais dire d’ailleurs ? Mon regard se posa à nouveau sur les photos.
« Vous avez fait ces photos ? »
Je m’étais levé pour aller voir. On pouvait voir la tête de client joyeux qui souriaient et levaient leurs vers en direction du photographe. Sur d’autres, on pouvait voir la demoiselle dans le cadre, la joie sur le visage.
« Elles sont chouettes ! Vous aimez travailler ici, n’est-ce pas ? Vous faites d’autres photos ? En ville, au parc ou dans la forêt ? »
J’avais dit ça de manière innocente. A vrai dire, j’en espérais peut-être trop mais peut-être avait-elle pas loin les photos qu’elle avait prises de moi. Cependant, j’étais à nouveau nerveux. J’avais l’impression de jouer avec le feu. Et si elle faisait le lien ? Ce ne devait surement pas être la première fois qu’elle allait faire des photos là-bas. Elle devait en avoir plein. Je retournais vers la table tout sourire pour cacher ma nervosité avant de m’assoir pour reprendre un des gâteaux et prendre une nouvelle gorgé de mon chocolat chaud tout en adressant un regard angélique à Jess, le sourire aux lèvres et une tempête au ventre.
Mon attention était à nouveau portée vers notre table et Jess quand elle se parlait d’aller dans le bois. Ça ne m’étonnait pas qu’elle aimait ça. En fait, c’était plutôt bien car j’avais pu faire se rencontre. Elle m’invita ensuite à me resservir en poussant l’assiette vers moi avant de me demander ce que je faisais en ville.
« En fait, je ne faisais que me balader. Je ne savais pas trop quoi faire. Je n’avais pas envie d’aller courir ni de me promener dans le bois. Je pensais aller voir quelques amis mais ils sont trop occupés. J’avais pensé aller nager aussi mais… »
Je m’étais rappelé pourquoi je n’avais envie de rien faire aujourd’hui. J’avais oublié un instant à quel point j’aurais voulu revoir la demoiselle du bois pour m’amuser avec elle. Sauf que, entre-temps, j’étais tombé accidentellement dessus et je pouvais enfin discuter avec elle. Mais… Je ne pouvais pas le lui dire. Ça aurait été bizarre, d’abord. Ensuite, comment allait-elle réagir si elle l’apprenait ainsi ? Qu’est-ce que je devais dire d’ailleurs ? Mon regard se posa à nouveau sur les photos.
« Vous avez fait ces photos ? »
Je m’étais levé pour aller voir. On pouvait voir la tête de client joyeux qui souriaient et levaient leurs vers en direction du photographe. Sur d’autres, on pouvait voir la demoiselle dans le cadre, la joie sur le visage.
« Elles sont chouettes ! Vous aimez travailler ici, n’est-ce pas ? Vous faites d’autres photos ? En ville, au parc ou dans la forêt ? »
J’avais dit ça de manière innocente. A vrai dire, j’en espérais peut-être trop mais peut-être avait-elle pas loin les photos qu’elle avait prises de moi. Cependant, j’étais à nouveau nerveux. J’avais l’impression de jouer avec le feu. Et si elle faisait le lien ? Ce ne devait surement pas être la première fois qu’elle allait faire des photos là-bas. Elle devait en avoir plein. Je retournais vers la table tout sourire pour cacher ma nervosité avant de m’assoir pour reprendre un des gâteaux et prendre une nouvelle gorgé de mon chocolat chaud tout en adressant un regard angélique à Jess, le sourire aux lèvres et une tempête au ventre.
Jess Duchannes#94606#94606#94606#94606#94606#94606#94606
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Mar 13 Déc 2016 - 16:37
Dérapage Incontrôlé.
Zuko & Jess
Zuko & Jess
Le regard du jeune Zuko se posa sur quelques photos exposées sur le mur, sans doute intéressé, il se leva pour les voir de plus prêt. Il avait raison, j’avais pris la majorité d’entre elles. Je me contentais de sourire et d’incliner la tête pour confirmer ce qu’il savait déjà. Je ne me considérais absolument pas comme une photographe, c’était un passe temps que j'affectionnais et perfectionnais avec le temps sans pour autant me prendre vraiment au sérieux. « En effet, il m’arrive d’explorer quelques recoins de la ville pour trouver un instant qui parfois ne dure qu’une seconde et ainsi le capturer. » J’étais tout de même flattée d’avoir un admirateur, je parlais assez peu de ma passion, pas que je m’en cache, mais je ne suis pas vraiment du genre à dire à tout le monde ce que j’aimais faire.
« Quand je vivais encore en Europe, on visitait très souvent les vestiges du passé et j’aimais photographie ce qui me semblait le plus important, l’architecture, l’art. Ici, je suis beaucoup plus inspirée par les mystères que nous offre la nature. » Je dois bien l’avouer aussi, traîner dans les ruelles de Nakamoto pour tomber nez à nez avec un autre vampire ou un lycan ne fait pas partie de mes priorités. Au contraire. Notre société de nos jours était loin d’être saine et je savais au combien il était facile d’être corrompu pour des raisons que je ne comprendrais sans doute jamais. Je rangeai mes idées dans un coin de ma tête et alla chercher les quelques photos que j’avais faite développées derrière mon comptoir. « Je peux vous montrer les dernières que j’ai prise. Cela fait il y a quelques jours. J’étais dans la forêt et j’ai fait une rencontre qui ne m’a pas laissée de marbre. » Je les avais imprimées pour la plupart chez moi mais certaines méritaient un traitement spécial.
Nous nous sommes réinstallés autour de la table et je lui présentais les images. Les premières étaient des paysages mais rapidement il pourrait découvrir le loup. Au début, l’on pouvait parfaitement deviner mon intrusion mais rapidement s’en suivait des moments plus calculés et partagés, je dois bien l’avouer. « C'est idiot mais vous me faites pensez à lui. Je ne sais pas pourquoi. » Je palis -autant que faire se peut pour quelqu'un comme moi -. Qu'es-ce que je venais de dire? Rapidement je me suis reprise. « Surtout ne le prenez pas mal. C'est un compliment... je crois. »
Revoir la tâche blanche de l’animal réveilla des idées saugrenues en moi. Complètement absorbée par ce que je voyais, j’en oubliais presque que se tenait à côté de moi le jeune homme que je soupçonnais de… De quoi après tout? De quoi pouvais-je bien le soupçonner? Il avait une trace semblable dans le bas des reins cela ne signifiait pas qu’il avait un lien quelconque avec le loup. J’essayais sincèrement de me raisonner mais le moindre détails que je pouvais soulever me faisait croire qu’il y avait quelque chose. Zuko avait les cheveux aussi noirs que la fourrure de l’animal et la couleur de ses yeux… J’avais le sentiment d’avoir déjà vu ses prunelles quelque part. Un regard pareil, aussi pur que le cristal…
Je secouais la tête, m’insultant d’imbécile en silence. Mais qu’est-ce que j’avais dans la tête parfois…
Invité
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Mar 13 Déc 2016 - 18:09
C’était vraiment sympa d’écouter Jess parler de photos et de vestiges du passé. Enfin, c’était ce que je supposais car la boule que j’avais au ventre me crispait un peu et m’empêchait de profiter à fond de la discussion. Jess commença à parler d’une rencontre dans les bois avant d’aller chercher des photos qu’elle avait faites. Je les ai prises en mains et je les ai regardés une par une.
Il y avait tout d’abord de superbes paysages. On pouvait voir des arbres avec des feuilles tellement rouges opposés au bleu du ciel que nous avait offert cette magnifique journée. On pouvait soir aussi des petits animaux comme des écureuils, des oiseaux. Un peu plus loin, il y en avait une d’un magnifique cerf. Puis, celles qui m’intéressaient, les miennes. Je regardai la première, j’étais allongé sur le dos, les quatre pattes en l’air. Le moment où j’avais entendu le premier flash. Le moment qui a déclenché notre rencontre. Je restais figé un moment dessus. Ma nervosité partait alors que je commençai à me rappeler de cette journée. Et je suivais l’évolution de mes souvenirs au fur et à mesure que je faisais glisser les photos.
« C'est idiot mais vous me faites pensez à lui. Je ne sais pas pourquoi. »
Je sursautai. Ma boule au ventre était revenue et mon masque s’était fissuré. Je ne souriais plus. Enfin si, mais j’étais tellement tendu que ça ne devait surement pas ressembler à un sourire. Je n’osais pas regarder Jess. Avait-elle fait le lien d’une manière ou d’une autre ? Ce n’était pas possible, n’est-ce pas ?
« Surtout ne le prenez pas mal. C'est un compliment... je crois. »
Un compliment ? C’était une manière de se rattraper ou elle trouvait juste que je ressemblais au loup ? D’un côté, c’est normal de trouver une ressemblance vu que ce loup et moi n’étions qu’une seule et même personne. Avait-elle vraiment fait le lien ? Je jetais un regard en coin vers Jess qui était en train de secouer sa tête comme si elle voulait chasser une idée stupide qu’elle avait. Dans la mienne, il y avait qu’une seule idée en tête : fuir. Je voulais partir d’ici. Je ne me sentais pas bien. Je tentais de paraitre souriant mais je tremblais comme une feuille. Heureusement, j’étais sauvé par un des clients qui demanda à Jess l’addition avant de partir. C’était le moment de finir ma tasse et de partir. Je déposais les photos avant de prendre ma boisson. Mais je tremblais tellement que le reste de mon chocolat finit entièrement sur mon t-shirt et mon jeans. J’étais complétement trempé et j’avais les armes aux yeux. Je m’insultais de tous les noms. Jess n’était pas loin mais je n’osais la regarder. Mais qu’est-ce qui m’avait pris ?
Il y avait tout d’abord de superbes paysages. On pouvait voir des arbres avec des feuilles tellement rouges opposés au bleu du ciel que nous avait offert cette magnifique journée. On pouvait soir aussi des petits animaux comme des écureuils, des oiseaux. Un peu plus loin, il y en avait une d’un magnifique cerf. Puis, celles qui m’intéressaient, les miennes. Je regardai la première, j’étais allongé sur le dos, les quatre pattes en l’air. Le moment où j’avais entendu le premier flash. Le moment qui a déclenché notre rencontre. Je restais figé un moment dessus. Ma nervosité partait alors que je commençai à me rappeler de cette journée. Et je suivais l’évolution de mes souvenirs au fur et à mesure que je faisais glisser les photos.
« C'est idiot mais vous me faites pensez à lui. Je ne sais pas pourquoi. »
Je sursautai. Ma boule au ventre était revenue et mon masque s’était fissuré. Je ne souriais plus. Enfin si, mais j’étais tellement tendu que ça ne devait surement pas ressembler à un sourire. Je n’osais pas regarder Jess. Avait-elle fait le lien d’une manière ou d’une autre ? Ce n’était pas possible, n’est-ce pas ?
« Surtout ne le prenez pas mal. C'est un compliment... je crois. »
Un compliment ? C’était une manière de se rattraper ou elle trouvait juste que je ressemblais au loup ? D’un côté, c’est normal de trouver une ressemblance vu que ce loup et moi n’étions qu’une seule et même personne. Avait-elle vraiment fait le lien ? Je jetais un regard en coin vers Jess qui était en train de secouer sa tête comme si elle voulait chasser une idée stupide qu’elle avait. Dans la mienne, il y avait qu’une seule idée en tête : fuir. Je voulais partir d’ici. Je ne me sentais pas bien. Je tentais de paraitre souriant mais je tremblais comme une feuille. Heureusement, j’étais sauvé par un des clients qui demanda à Jess l’addition avant de partir. C’était le moment de finir ma tasse et de partir. Je déposais les photos avant de prendre ma boisson. Mais je tremblais tellement que le reste de mon chocolat finit entièrement sur mon t-shirt et mon jeans. J’étais complétement trempé et j’avais les armes aux yeux. Je m’insultais de tous les noms. Jess n’était pas loin mais je n’osais la regarder. Mais qu’est-ce qui m’avait pris ?
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Dim 26 Fév 2017 - 23:53
Dérapage Incontrôlé.
Zuko & Jess
Zuko & Jess
« Merci de votre visite et à bientôt ! Sanouyara ! Zuko-kun vous...» Seigneur… Que… Pourquoi était-il dans cet état tout à coup? Précipitamment, je m’emparai de quelques serviettes en papiers et les lui donnèrent mais je voyais ses mains trembler comme des feuilles. Est-ce le contrecoup de sa chute? « Vous n’avez pas l’air d’aller bien. Je peux faire quelque chose pour vous? » Le pauvre ne leva même pas les yeux pour me regarder. Je cru voir un signe négatif de la tête mais je n’en fût pas certaine. Le voir aussi désemparé souleva bons nombres d’inquiétudes en moi. Peut-être est-ce de ma faute? Je ne voyais en aucun cas ce qui aurait pu le déranger pourtant… Mais ne sachant pourquoi il semblait terrorisé tout à coup, je pris mes distances, respectant son intimité.
Je retournais derrière mon comptoir, je lui servit un verre d’eau mais je patientai un peu avant de retourner le déranger. Puis me vient une idée. Le fils de Namiko laissait toujours quelques affaires dans l’arrière boutique. Ainsi, j’allais jeter un oeil dans le vestiaire pour voir si je ne pouvais pas trouver quelque chose pour que Zuko-kun puisse se changer. Je me concentrerai sur ma tâche, empêchant mes pensées de vaquer pour garder la paranoïa loin de moi. Une fois après avoir découvert un tee shirt blanc qui ne soit pas trop grand pour le frêle jeune homme, je lui installais dans la salle de bain de service. Il pourrait ainsi se changer plus discrètement et sereinement.
Je retournais dans en salle pour découvrir qu’il n’avait pas vraiment bouger, il semblait toujours tendu cependant… comme s’il craignait que quelque chose ne lui tomber dessus ou un truc du genre. Tout en récupérant le verre d’eau, je me dirigeais vers lui avec hésitation. Assez proche de sa table, j’y déposai l’eau du bout des doigts. « C’est pour vous. Est-ce que ça va aller? Vous voulez peut-être que j'appelle quelqu’un ? »
« Si vous désirez changer de tee-shirt, je vous en ais poser un pour vous dans la salle de bain du personnel, juste là, derrière. Je suis navrée, c’est tout ce que j’ai pu vous trouver. »
Je ne pouvais le laisser là dans cet état, alors j’osais m’approcher de lui en douceur, tout en lui expliquant calmement ce que je faisais pour ne pas l’effrayer d'avantages. Je posais mes mains sur ses épaules et lui fit signe de se lever et de me suivre. Ce qu’il fit, à l’instar d’un pantin désarticulé… Pour le réconforter, je lui offrit un léger sourire et lui caressait amicalement le bras. C’était étrange, c’était comme si un instinct au fond de moi me dictait quoi faire, comme une grande soeur le ferait pour son petit frère. Quel monde étrange dans lequel nous vivions… Je venais à peine de rencontrer ce jeune garçon et j’avais l’impression de déjà le connaître ce qui ne fit qu'accroître mon inquiétude pour lui. « Prenez votre temps, si vous avez besoin de quoique ce soit, dites le moi, je suis là pour vous aider. »
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