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Sam 28 Avr 2018 - 10:54
Il était 19 heures aujourd’hui je vais pouvoir enfin faire mes preuves vu que Cette fois si c’était moi qui fermait le bar j’était heureuse et mécontente a la fois car j’était seule dans cette espace qui peut accueillir une cinquantaine de personne se qui me donner une légère impression de solitude mais heureusement les trois derniers clients buvez leurs cafés au fond et leurs viennoiserie fait par le chef pâtissier sa matin la salle ou ils se trouvaient étaient embellis par une douce musique de Amadeus Mozart plus précisément sont Concerto No22 que je trouve pour ma part exquis.
Mais bon 2 des trois derniers clients venaient de se lever de leurs chaise rouge orner de petit pointe d’or et prirent leurs sacoche en cuire noirs et me donnas leurs argent qui s’élever a 425 yen plus un pourboire de 100 yen. Il me fit un part d’un « bonne soirée madame aurevoir » avant de quitter le bar.
il rester deux petite heures avant de rentrer et d’être enfin avoir mon jour de repos et ne rien faire…Allez je me mis a serpiller chaque partit du bar à faire la vaisselle en porcelaine qui trainait depuis 2 jours mais bon la flemme l’emportas sur ma volonté infaillible ou non.
Je devais juste attendre que le dernier client parte pour que je puisse enfin finir se calvaire j’allai regarder ce qu’il faisait il s’était endormi je ne sais comment cela était possible mais je le réveillai il me paya la somme du puis repartit tout en laissant un pourboire partout sur la table ce qui me mettais un peut en rogne.
Il commençait à faire nuit je tirais les rideaux de couleurs blanches avec le nom du bar broder dessus pour cacher la lumière venue de se croissant de lune blanche comme neige.
J’attendais que ceux quart d’heure restant épuiser pas cette journée étrangement bizarre avec beaucoup d’agitation je ne comprends pas pourquoi de toute façon je lis pas les journaux.
Vu que personne n’arrive je me pris un verre de jus en donnant les 120 yen qui faut pour se verre je m’assis sur une chaise tout en étant submerger par mais penser diverse.
Mais bon 2 des trois derniers clients venaient de se lever de leurs chaise rouge orner de petit pointe d’or et prirent leurs sacoche en cuire noirs et me donnas leurs argent qui s’élever a 425 yen plus un pourboire de 100 yen. Il me fit un part d’un « bonne soirée madame aurevoir » avant de quitter le bar.
il rester deux petite heures avant de rentrer et d’être enfin avoir mon jour de repos et ne rien faire…Allez je me mis a serpiller chaque partit du bar à faire la vaisselle en porcelaine qui trainait depuis 2 jours mais bon la flemme l’emportas sur ma volonté infaillible ou non.
Je devais juste attendre que le dernier client parte pour que je puisse enfin finir se calvaire j’allai regarder ce qu’il faisait il s’était endormi je ne sais comment cela était possible mais je le réveillai il me paya la somme du puis repartit tout en laissant un pourboire partout sur la table ce qui me mettais un peut en rogne.
Il commençait à faire nuit je tirais les rideaux de couleurs blanches avec le nom du bar broder dessus pour cacher la lumière venue de se croissant de lune blanche comme neige.
J’attendais que ceux quart d’heure restant épuiser pas cette journée étrangement bizarre avec beaucoup d’agitation je ne comprends pas pourquoi de toute façon je lis pas les journaux.
Vu que personne n’arrive je me pris un verre de jus en donnant les 120 yen qui faut pour se verre je m’assis sur une chaise tout en étant submerger par mais penser diverse.
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Dim 29 Avr 2018 - 12:48
Aujourd'hui était le premier week-end d'Alister DeBelair, libéré de ses fonctions de teneur, et il comptait bien en profiter.
Ce matin la programmation de la chaîne hi-fi l'éveilla à 8h, contrairement à l'habituel, mais comme toujours l'anglais n'attendit pas avant de bondir du lit et de se mettre en quête de sa douche. Certaines manies ne se perdent pas, et certains hommes conservent leurs réflexes qu'importe les changements.
En écoutant cette fois un léger Skyfall, Alister ne mit pas plus de la durée totale de la chanson à se doucher, en revanche, il mit grand temps à se préparer, entre le choix des vêtements -il opta pour une chemise, et un jean, tous deux gris et pour le haut un petit col bleu roi- et le toilettage. Pour des temps printaniers, il convenait d'y adapter ses senteurs ; un patchouli de circonstance, par Chanel, suffirait.
Sans oublier une chevalière aux couleurs dorées, représentant une rose, DeBelair quitta le domicile à temps pour réserver une table dans un restaurant huppé dans lequel il avait donné rendez-vous à un Hunter de l'Ordre, afin de discuter des agissements à venir et de l'état des choses.
Nakanoto avait beau recéler des charmes indéniables en sa qualité de ville côtière, et ses forêts bordant ses frontières, il y avait ici de souterraines puissances en agissement. Lycans, Vampires, et Dieu sait quoi encore avaient plongé l'endroit dans la peur et le chaos ; des corps retrouvés totalement charcutés, réduits en quartiers, et des foules apeurées.
Triste sort auquel réfléchir au-dessus de mets raffinés ; un espadon-noir grillé aux agrumes, était par exemple une idée qui tentait l'agent.
Le repas se déroula dans une bonne humeur certaine, et DeBelair rencontra le Hunter Hatori Anzo avec grand respect. Bien plus âgé que le teneur de salon, Hatori disposait d'une expérience certaine, de laquelle tirer moult enseignements ; notamment en ce qui concernait les "autres", ceux qui n'étaient ni Lycan ni Vampires. Magiciens et Changelins, des espèces dont la neutralité pouvait s'avérer d'une grande aide en raison de leurs histoires troubles ; longtemps traités en parias, ils étaient aujourd'hui inqualifiables en tant que races, mais existaient individuellement, selon leur bien vouloir. Des alliés précieux, ou de terribles ennemis, en d'autres termes.
Après avoir payé l'addition, les deux Hunter prirent un thé en bordure d'un ruisseau dans un café charmant des bordures de Nakanoto avant d'aller prier à un temple local. Respecter les traditions, agir dans le discernement et la tempérance, voilà les vraies qualités du dandy moderne.
DeBelair alluma une bougie, regardant les statues de renard qui bordaient l'autel surplombé par les arbres et la nature omniprésente ; un cadeau ! C'était pour cette beauté, cette tranquillité, que Renfield opérait. Pour un si beau monde, quelques sacrifices étaient nécessaires.
Lorsque le soleil entama sa descente, inéluctable et grandiose en ses tons oranges, DeBelair retournait seul aux quartiers populaires, menant son Audi au travers du crépuscule d'une main experte. Sous ses doigts brûlaient les kilomètres avec sérénité, sous un "Nightcall" repris par London Grammar en une tranquillité certaine.
Il était presque 19h, et Alister avait faim.
En se garant pas trop loin de chez lui, l'agent DeBelair réajusta ses manches de chemise grise au col bleu, posa des lunettes de soleil sur son nez -le soleil de printemps brillait longtemps- et sortit dans les rues de Nakanoto. Un Lycan étripait-il en ce moment même quelqu'un ?
Qu'importe. Voilà que se présentait une enseigne ; le Quim Decim, dont la façade plu au regard de l'agent. L'établissement avait beau être fermé, il trouva toutefois une jeune fille devant, visiblement fatiguée. La journée avait du être longue.
- Young lady, êtes vous du personnel ? Vous avez l'air tout à fait épuisée, Alister DeBelair, propriétaire d'un établissement non loin, enchanté.
En pointant la direction des Fleurs du Mal, il s'inclina légèrement face à cette jeune demoiselle. Il convenait de s'enquérir de l'état des plus jeunes, car ils étaient la relève du Monde.
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Lun 30 Avr 2018 - 3:51
Hana toujours en train de divaguée dans ses pensées j’entendis la sonnette de la porte sonner ce qui me fit faire un léger bon sur moi-même je vis un jeune homme d’une vingtaine d’années vêtu de gris des haut en bas portant des lunettes noires ce qui lui donne un air très sérieux qui rendait bien . Je me mis tout de suite en mode sérieux vu qu’un client potentiel venait d’arriver je réajustai d’un coup de main mais cheveux même si cela n’allait pas changer grand-chose je l’avoue.
Quand il me lança un regarde de ses yeux bleus tel le bleu du ciel en pleine été, et me dit d’un ton léger un « Young lady, êtes-vous du personnel ? Vous avez l’air tout à fait épuisée, Alister DeBelair, propriétaire d’un établissement non loin, enchanté. » Pendant qu’il me disait ceci il pointa du doigt sont salons de thé le « LES FLEURS DU MALS », un nom très atypique je dois l’avouer Le salon d’une peinture noir très esthétique doter d’une vitrine couvrante donnant une belle vision de l’intérieur qui avait l’air très luxueuse c’est possiblement très cher, au-dessus de mes moyens en ce moment a vrais dire.
Je voulais finir ma journée il restait une trentaine de minute et Week end ! je me remis près du bar en attendant une requête ou tout simplement une petite discussion
« Bonjour Messieurs Debelair excuser moi Oui je suis du Personnel Hana Song pour vous servir, Désoler de me présenter dans cette position incongrue que puit-je faire pour vous besoin d’un café ou d’une viennoiserie quelque chose d'autre ? »
Je me mis passer un petit coup sur mon costume pour ne pas faire trop tâche et mal habillé si puit-je dire
J’allas ôter le rock qui passait toujours derrière pour lui laisser choisir un morceau de son choix je à monsieur Debelair finissais aussi mon verre de jus pour ne pas trop faire tâche devant lui. Je me levai et me mis devant lui je devais regarde en haut pour voir sa tête se qui m’énervait un petit peut à vrais dire. Je pris mon verre alla le poser dans la vaisselle qui traîne depuis 2-3 jours environs (se qui me fait penser que je faignanté un peu trop au travail à mon plus grand regret manifestement).
Quand il me lança un regarde de ses yeux bleus tel le bleu du ciel en pleine été, et me dit d’un ton léger un « Young lady, êtes-vous du personnel ? Vous avez l’air tout à fait épuisée, Alister DeBelair, propriétaire d’un établissement non loin, enchanté. » Pendant qu’il me disait ceci il pointa du doigt sont salons de thé le « LES FLEURS DU MALS », un nom très atypique je dois l’avouer Le salon d’une peinture noir très esthétique doter d’une vitrine couvrante donnant une belle vision de l’intérieur qui avait l’air très luxueuse c’est possiblement très cher, au-dessus de mes moyens en ce moment a vrais dire.
Je voulais finir ma journée il restait une trentaine de minute et Week end ! je me remis près du bar en attendant une requête ou tout simplement une petite discussion
« Bonjour Messieurs Debelair excuser moi Oui je suis du Personnel Hana Song pour vous servir, Désoler de me présenter dans cette position incongrue que puit-je faire pour vous besoin d’un café ou d’une viennoiserie quelque chose d'autre ? »
Je me mis passer un petit coup sur mon costume pour ne pas faire trop tâche et mal habillé si puit-je dire
J’allas ôter le rock qui passait toujours derrière pour lui laisser choisir un morceau de son choix je à monsieur Debelair finissais aussi mon verre de jus pour ne pas trop faire tâche devant lui. Je me levai et me mis devant lui je devais regarde en haut pour voir sa tête se qui m’énervait un petit peut à vrais dire. Je pris mon verre alla le poser dans la vaisselle qui traîne depuis 2-3 jours environs (se qui me fait penser que je faignanté un peu trop au travail à mon plus grand regret manifestement).
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Mer 2 Mai 2018 - 21:11
- Bonjour Messieurs Debelair excuser moi Oui je suis du Personnel Hana Song pour vous servir, Désoler de me présenter dans cette position incongrue que puit-je faire pour vous besoin d’un café ou d’une viennoiserie quelque chose d'autre ?
Quelle charmante demoiselle ! Ses manières étaient agréables, et son état -dont elle s'excusait à tort- normal pour une fin de journée dans un endroit aussi fréquenté. Il fut d'ailleurs heureux de voir que le Quin Decim se portait bien, s'étant toujours demandé à quoi ressemblait la concurrence. Même si en réalité ça n'avait que peu d'importance en la qualité de façade de l'Ordre.
- Allons, ne vous excusez pas pour si peu. Apportez-moi donc un café expresso, ainsi que deux croissants, mais à la fin de votre service, si vous voulez bien. J'aimerais vous poser quelques questions a propos de l'ambiance à Nakanoto, si cela ne vous pose aucun problème, bien sur.
Désireux d'en apprendre plus sur ce qui pouvait courir dans l'esprit de ceux ayant vécu les événements lycans, l'agent sourit à la jeune femme en lui exposant ces mots. Puis il remarqua la jukebox, chose qu'il aimait beaucoup.
Alister sifflota en sélectionnant la musique... Alors alors... oh ! Ses yeux venaient de repérer "Only you" par les The Platters ; une chanson qu'il aimait beaucoup car on la passait de nombreuses fois lors des entraînements prodigués par son Maître.
Ensuite, alors qu'il constatait avec amusement cette petite Hana courir d'un côté à l'autre pour mettre de l'ordre dans le bar, il s'assit à une table. Quelle étrange chose que d'employer seule une âme pareille.. et un tantinet dangereux aussi. Les ruelles de la ville n'étaient plus sûres, pas plus que les clients enragés d'ailleurs...
Il porta un regard plus attentif sur l'adolescente qui gesticulait derrière le comptoir. Hum... elle ne dégageait aucune crainte, elle était même d'une rafraichissante nonchalance... quelle drôle de rencontre.
Les Platters continuaient de chantonner leur balade, un grand succès d'antan aujourd'hui repris par des franchises de jeu vidéo. Notamment le dernier FarCry, qu'Alister dégusta lors de sa semaine d'arrivée, avec un usage on ne peut plus relevant.
Ô qu'une chanson pouvait transformer un individu !
Alors peut-être en raison du soleil de fin d'après-midi où dansaient quelques timides oiseaux, ou bien grâce à son apaisante visite au temple Shintoïste, Alister DeBelair fit quelque chose de tout à fait nouveau. Ici, même au Quin Decim, et pour la première fois de sa vie, il claqua des doigts en se délectant de la mélodie portée par l'appareil.
Il sifflota les dernières notes en attendant Hana, assis à la table, un grand sourire au visage. C'était une belle journée !
Quelle charmante demoiselle ! Ses manières étaient agréables, et son état -dont elle s'excusait à tort- normal pour une fin de journée dans un endroit aussi fréquenté. Il fut d'ailleurs heureux de voir que le Quin Decim se portait bien, s'étant toujours demandé à quoi ressemblait la concurrence. Même si en réalité ça n'avait que peu d'importance en la qualité de façade de l'Ordre.
- Allons, ne vous excusez pas pour si peu. Apportez-moi donc un café expresso, ainsi que deux croissants, mais à la fin de votre service, si vous voulez bien. J'aimerais vous poser quelques questions a propos de l'ambiance à Nakanoto, si cela ne vous pose aucun problème, bien sur.
Désireux d'en apprendre plus sur ce qui pouvait courir dans l'esprit de ceux ayant vécu les événements lycans, l'agent sourit à la jeune femme en lui exposant ces mots. Puis il remarqua la jukebox, chose qu'il aimait beaucoup.
Alister sifflota en sélectionnant la musique... Alors alors... oh ! Ses yeux venaient de repérer "Only you" par les The Platters ; une chanson qu'il aimait beaucoup car on la passait de nombreuses fois lors des entraînements prodigués par son Maître.
Only you...
Ensuite, alors qu'il constatait avec amusement cette petite Hana courir d'un côté à l'autre pour mettre de l'ordre dans le bar, il s'assit à une table. Quelle étrange chose que d'employer seule une âme pareille.. et un tantinet dangereux aussi. Les ruelles de la ville n'étaient plus sûres, pas plus que les clients enragés d'ailleurs...
Il porta un regard plus attentif sur l'adolescente qui gesticulait derrière le comptoir. Hum... elle ne dégageait aucune crainte, elle était même d'une rafraichissante nonchalance... quelle drôle de rencontre.
Can make this change in me...
Les Platters continuaient de chantonner leur balade, un grand succès d'antan aujourd'hui repris par des franchises de jeu vidéo. Notamment le dernier FarCry, qu'Alister dégusta lors de sa semaine d'arrivée, avec un usage on ne peut plus relevant.
Ô qu'une chanson pouvait transformer un individu !
Alors peut-être en raison du soleil de fin d'après-midi où dansaient quelques timides oiseaux, ou bien grâce à son apaisante visite au temple Shintoïste, Alister DeBelair fit quelque chose de tout à fait nouveau. Ici, même au Quin Decim, et pour la première fois de sa vie, il claqua des doigts en se délectant de la mélodie portée par l'appareil.
When you hold, my hand, I understand, the magic that you do... my one and only you
Il sifflota les dernières notes en attendant Hana, assis à la table, un grand sourire au visage. C'était une belle journée !
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Jeu 3 Mai 2018 - 9:22
Je regardais monsieur DeBelair en attente d'une réponse quand il dit.
"Allons, ne vous excusez pas pour si peu. Apportez-moi donc un café expresso, ainsi que deux croissants, mais à la fin de votre service, si vous voulez bien. J'aimerais vous poser quelques questions a propos de l'ambiance à Nakanoto, si cela ne vous pose aucun problème, bien sur."
Je répondit d'une ton incertain vue mon arrivée a Nakonoto il y a 4 moi avec un :
D'accord monsieur j'essayerais de vous éclaircir a propos de l'ambiance de cette ville atypique mais je ne vous promet pas de miracles je ne connais moi même pas énormément cette ville.
je m’avanças jusqu'au bar allant faire sont café puis j'entendis Only you un chef d’œuvre pour moi se qui me fait remarquais qu'il a de très bon goût en musique se qui n'est pas des moindres.
Pendant que je passais un petit coup sur le bar pour enlever les quelques miettes qu'ils restaient j'entendis le bruit de la machine a café il me restait plus qu'a prendre le 3 petit croissants (oui parceque sentir l'odeur ma donné faim) je pris du sucres si il en mais dans sont cafés a cas où .
J'arrivais avec un plateau en argent finement orner d'or qui se présentais très bien je regardas dans les yeux bleu de monsieur DeBelair en disant d'un ton serein a monsieur DeBelair :
Tenez monsieur DeBelair je vous est apportez votre café et vos 2 croissants l’édition s’élève a 580 j’espère qu'il seras a votre goût !
Je pris mon croissant encore chaud et regardas monsieur DeBelair tout en entendant les toutes dernière note de Only you des Platters se qui donnais un ton encore plus calme a la situation actuelle.
"Allons, ne vous excusez pas pour si peu. Apportez-moi donc un café expresso, ainsi que deux croissants, mais à la fin de votre service, si vous voulez bien. J'aimerais vous poser quelques questions a propos de l'ambiance à Nakanoto, si cela ne vous pose aucun problème, bien sur."
Je répondit d'une ton incertain vue mon arrivée a Nakonoto il y a 4 moi avec un :
D'accord monsieur j'essayerais de vous éclaircir a propos de l'ambiance de cette ville atypique mais je ne vous promet pas de miracles je ne connais moi même pas énormément cette ville.
je m’avanças jusqu'au bar allant faire sont café puis j'entendis Only you un chef d’œuvre pour moi se qui me fait remarquais qu'il a de très bon goût en musique se qui n'est pas des moindres.
Pendant que je passais un petit coup sur le bar pour enlever les quelques miettes qu'ils restaient j'entendis le bruit de la machine a café il me restait plus qu'a prendre le 3 petit croissants (oui parceque sentir l'odeur ma donné faim) je pris du sucres si il en mais dans sont cafés a cas où .
J'arrivais avec un plateau en argent finement orner d'or qui se présentais très bien je regardas dans les yeux bleu de monsieur DeBelair en disant d'un ton serein a monsieur DeBelair :
Tenez monsieur DeBelair je vous est apportez votre café et vos 2 croissants l’édition s’élève a 580 j’espère qu'il seras a votre goût !
Je pris mon croissant encore chaud et regardas monsieur DeBelair tout en entendant les toutes dernière note de Only you des Platters se qui donnais un ton encore plus calme a la situation actuelle.
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Jeu 10 Mai 2018 - 18:51
- D'accord monsieur j'essayerais de vous éclaircir a propos de l'ambiance de cette ville atypique mais je ne vous promet pas de miracles je ne connais moi même pas énormément cette ville.
Il hocha doucement la tête, en un "merci" courtois.
Alister DeBelair regardait Hana Song -dont le nom lui titillait gaiement l'oreille, rendant instinctivement amicale cette petite- aller et venir.
Le fond de coucher de soleil rendait ses déambulations picturales de ses rayons d'or, et invitèrent en un effet similaire l'agent anglais à laisser son imagination se délier car Lady Song portait en sa jeune énergie des réminiscences douces de temps lointains. D'une époque où un Alister rebelle s'accordait des escapades à l'insu de son Maître, par une application rigoureuse des leçons de Hunter en élève soigné qu'il était devenu, pour visiter Versailles.
Il avait toujours lorgné les serveurs de thés ; dans leurs costumes taillés et cadres raffinés, déversant leurs boissons en une harmonieuse symphonie en les cafés des villes pavées. DeBelair avait dès lors multiplié les escapades jusqu'à la civilisation, tout du moins jusqu'à ses seize ans, année où il avait intégré le lycée et put enfin jouir d'une relative liberté. A condition de savoir parfois mentir sur ses emplois du temps, suffisamment pour qu'un vieil Hunter -à l’œil unique de chouette !- ne le remarque pas.
Rétrospectivement, Rougebrin avait dû tolérer ses écarts sans s'en offusquer.
Le Quin Décim lui plasait décidément beaucoup en cette fin de journée tranquille. Comme Hana venait lui apporter commande, Alister se détacha de ses pensées en tournant les yeux vers la demoiselle.
- Tenez monsieur DeBelair je vous est apportez votre café et vos 2 croissants l’édition s’élève a 580 j’espère qu'il seras a votre goût !
Après avoir donné la monnaie, déjà prête dans la poche de l'anglais, il croqua dans son croissant avec avidité.
- J'adore les croissants. Vous dîtes ne pas connaitre la ville ? Comment cela se fait-il, vous n'êtes pas de la région, young lady ?
Dit-il en prenant une gorgée de café.
Il hocha doucement la tête, en un "merci" courtois.
Alister DeBelair regardait Hana Song -dont le nom lui titillait gaiement l'oreille, rendant instinctivement amicale cette petite- aller et venir.
Le fond de coucher de soleil rendait ses déambulations picturales de ses rayons d'or, et invitèrent en un effet similaire l'agent anglais à laisser son imagination se délier car Lady Song portait en sa jeune énergie des réminiscences douces de temps lointains. D'une époque où un Alister rebelle s'accordait des escapades à l'insu de son Maître, par une application rigoureuse des leçons de Hunter en élève soigné qu'il était devenu, pour visiter Versailles.
Il avait toujours lorgné les serveurs de thés ; dans leurs costumes taillés et cadres raffinés, déversant leurs boissons en une harmonieuse symphonie en les cafés des villes pavées. DeBelair avait dès lors multiplié les escapades jusqu'à la civilisation, tout du moins jusqu'à ses seize ans, année où il avait intégré le lycée et put enfin jouir d'une relative liberté. A condition de savoir parfois mentir sur ses emplois du temps, suffisamment pour qu'un vieil Hunter -à l’œil unique de chouette !- ne le remarque pas.
Rétrospectivement, Rougebrin avait dû tolérer ses écarts sans s'en offusquer.
Le Quin Décim lui plasait décidément beaucoup en cette fin de journée tranquille. Comme Hana venait lui apporter commande, Alister se détacha de ses pensées en tournant les yeux vers la demoiselle.
- Tenez monsieur DeBelair je vous est apportez votre café et vos 2 croissants l’édition s’élève a 580 j’espère qu'il seras a votre goût !
Après avoir donné la monnaie, déjà prête dans la poche de l'anglais, il croqua dans son croissant avec avidité.
- J'adore les croissants. Vous dîtes ne pas connaitre la ville ? Comment cela se fait-il, vous n'êtes pas de la région, young lady ?
Dit-il en prenant une gorgée de café.
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Ven 11 Mai 2018 - 7:18
Pendant que Monsieur DeBelair me donner sont argent pour ses 2 croissants et sont café je m'assis délicatement sur une des chaise de la table il commençais a faire nuit dehors mais bon cela m'inquiétais en aucun cas je mangés un bout du croissant juste cuit qui était d'une onctuosité incroyable à se qu'ont m'avais dit et c'était bien vrais .
- J'adore les croissants. Vous dîtes ne pas connaitre la ville ? Comment cela se fait-il, vous n'êtes pas de la région, young lady ?
Je lui dit d'un ton serein et calme la province d’où venez no croissants
-Oui les croissants sont fait a la française par notre pâtissier lui même français.
Quand Monsieur DeBelair me dis ceci j'ai eu une léger sentiment d'oppression qui a du se ressentir dans mes yeux.Je lui répondis d'une voix d'une grande d'hésitation car personne ne m'avez réellement poser cette question auparavant de se que je me rappelle.
-Oui en réalité monsieur DeBelair je ne suis arrivée qu'ici il y a 4 mois du a la mort de mes parents en Norvège à cause de voleur et je suis née en Coréen Sinon.
je regardais Monsieur DeBelair en me disant si se que je venais de dire n'était pas trop "privée" pour le dire à un inconnu mais bon le mal était déjà fait et je pense n'avoir rien dit de compromettant.
-Mais vous donc d'où venez vous donc monsieur DeBelair ? Vous m'avez l'air de venir d'europe avec votre façons très européenne de parler.
je regardas au fond du bar ou la jukebox tourner encore sans lance la prochaine musique en attendent la réponse de monsieur DeBelair j’espère ne pas avoir enlever le calme de la situation actuelle qui me plaisait beaucoup a vrais dire.
- J'adore les croissants. Vous dîtes ne pas connaitre la ville ? Comment cela se fait-il, vous n'êtes pas de la région, young lady ?
Je lui dit d'un ton serein et calme la province d’où venez no croissants
-Oui les croissants sont fait a la française par notre pâtissier lui même français.
Quand Monsieur DeBelair me dis ceci j'ai eu une léger sentiment d'oppression qui a du se ressentir dans mes yeux.Je lui répondis d'une voix d'une grande d'hésitation car personne ne m'avez réellement poser cette question auparavant de se que je me rappelle.
-Oui en réalité monsieur DeBelair je ne suis arrivée qu'ici il y a 4 mois du a la mort de mes parents en Norvège à cause de voleur et je suis née en Coréen Sinon.
je regardais Monsieur DeBelair en me disant si se que je venais de dire n'était pas trop "privée" pour le dire à un inconnu mais bon le mal était déjà fait et je pense n'avoir rien dit de compromettant.
-Mais vous donc d'où venez vous donc monsieur DeBelair ? Vous m'avez l'air de venir d'europe avec votre façons très européenne de parler.
je regardas au fond du bar ou la jukebox tourner encore sans lance la prochaine musique en attendent la réponse de monsieur DeBelair j’espère ne pas avoir enlever le calme de la situation actuelle qui me plaisait beaucoup a vrais dire.
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Dim 20 Mai 2018 - 11:32
La mention d'un pâtissier Français fut une surprise agréable pour l'agent Anglais, il ne manquerait pas de revenir en ces lieux, voire de commander quotidiennement son petit-déjeuner en ces lieux. Alors qu'il allait exprimer son appréciation, la jeune femme continua néanmoins, moins assurée cette fois.
- Oui en réalité monsieur DeBelair je ne suis arrivée qu'ici il y a 4 mois du a la mort de mes parents en Norvège à cause de voleur et je suis née en Coréen Sinon.
Curieusement, et a contrario des normes nippones, cette jeune fille ne semblait avoir aucun mal à exprimer ses émotions soient-elles très personnelles. Des paroles bien éloignées des coutumes inculquées à DeBelair. En posant sa tasse de café, il détailla un peu plus la petite Hana ; qui aurait cru qu'un personnage aussi coloré puisse receler un passé aussi trouble ?
- Navré de l'apprendre, terrible épreuve que la vôtre.
S'il fallait parler sincèrement, Alister n'en savait rien. Mère, morte en couche, n'avait rien à envier à Père, qui s'était contenter de lui procurer ce dont il avait besoin -à savoir des tuteurs et les meilleurs habits possibles- jusqu'à le déléguer à l'Ordre Renfield. Il ne s'en plaignait nullement, mais avait appris que les standards sociaux -au travers des séries et films- accordent grande importance à l'amour familial.
- Mais vous donc d'où venez vous donc monsieur DeBelair ? Vous m'avez l'air de venir d'europe avec votre façons très européenne de parler.
Il eut un rire amusé. Observatrice, que la jeune Song !
- Indeed, je viens tout droit des contrées Britanniques d'Essex, bien vu. Nakanoto est si différent de l'Europe, et pourtant à quelques heures d'avion seulement... Je suis venu ici pour découvrir les thés régionaux et les méthodes traditionnelles, mais voilà que tout ce dont on parle ce sont ces histoires de bêtes féroces... n'en avez-vous pas peur Miss Song ?
Et il fronça les sourcils, soucieux de la sécurité de pareil enfant en la nuit dangereuse de ce territoire. Par delà la jolie baie vitrée et les croissants se terraient des choses plus dangereuses que de simples voleurs... des vampires, et des lycans.
- Oui en réalité monsieur DeBelair je ne suis arrivée qu'ici il y a 4 mois du a la mort de mes parents en Norvège à cause de voleur et je suis née en Coréen Sinon.
Curieusement, et a contrario des normes nippones, cette jeune fille ne semblait avoir aucun mal à exprimer ses émotions soient-elles très personnelles. Des paroles bien éloignées des coutumes inculquées à DeBelair. En posant sa tasse de café, il détailla un peu plus la petite Hana ; qui aurait cru qu'un personnage aussi coloré puisse receler un passé aussi trouble ?
- Navré de l'apprendre, terrible épreuve que la vôtre.
S'il fallait parler sincèrement, Alister n'en savait rien. Mère, morte en couche, n'avait rien à envier à Père, qui s'était contenter de lui procurer ce dont il avait besoin -à savoir des tuteurs et les meilleurs habits possibles- jusqu'à le déléguer à l'Ordre Renfield. Il ne s'en plaignait nullement, mais avait appris que les standards sociaux -au travers des séries et films- accordent grande importance à l'amour familial.
- Mais vous donc d'où venez vous donc monsieur DeBelair ? Vous m'avez l'air de venir d'europe avec votre façons très européenne de parler.
Il eut un rire amusé. Observatrice, que la jeune Song !
- Indeed, je viens tout droit des contrées Britanniques d'Essex, bien vu. Nakanoto est si différent de l'Europe, et pourtant à quelques heures d'avion seulement... Je suis venu ici pour découvrir les thés régionaux et les méthodes traditionnelles, mais voilà que tout ce dont on parle ce sont ces histoires de bêtes féroces... n'en avez-vous pas peur Miss Song ?
Et il fronça les sourcils, soucieux de la sécurité de pareil enfant en la nuit dangereuse de ce territoire. Par delà la jolie baie vitrée et les croissants se terraient des choses plus dangereuses que de simples voleurs... des vampires, et des lycans.
Invité
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Dim 20 Mai 2018 - 16:24
J'essuyais les miettes du croissant qui restent sur mon visage ce qui m'énerva un peu patient comme je suis. Je regardai ma montre discrètement car la fatigue commençait à se ressentir même s'il n'était pas si tard que sa.
"Navré de l'apprendre, terrible épreuve que la vôtre."
je lâchai un petit sourire pour le remercier discrètement de l'empathie dont il vient de me fare part (sa aurai fait un peu tâche voir beaucoup si je ne l'aurais pas fait il faut le dire).
-Indeed, je viens tout droit des contrées Britanniques d'Essex, bien vu. Nakanoto est si différent de l'Europe, et pourtant à quelques heures d'avion seulement... Je suis venue ici pour découvrir les thés régionaux et les méthodes traditionnelles, mais voilà que tout ce dont on parle ce sont ces histoires de bêtes féroces... n'en avez-vous pas peur Miss Song ?
Quand j'ai su que j'avais eu juste à son origine Européenne je lâchai un sourire qui me trahissait un peu
"je devrais être mentaliste n'est ce pas monsieur Debelair"
Mais pour le reste de sa phrase sa me donna un léger frisson c comment trouver un moyen de ne pas parlez-me mais pouvoir je parle juste en disant que j'ai très peur se serait menti j'ai juste peur du noir mais pas des monstres !
"En vérité monsieur Debelair j'ai de quoi me défendre en qu'a de danger imminent vu qu'a mais dépend j'ai fait de l'escrime et aussi je peux morde si quelqu'un m'agresse ! bref je divague excusez-moi, mais oui cela me fait tout de même un peu frissonner je dois l'admettre mais pas au point d'en avoir réellement peur
quand il fronça des sourcils ceci me fit peu une peur je dois l'admettre j'espère ne pas avoir dit une parole de trop peut le mordre mais bon je ne peux pas changer mais parole manifestement. ceci dit je remarquais un l'instant qu'il gardait sa canne près de lui je me levis et dit
"Voulez vous que j'aille ranger votre canne dans l'endroit sus dit ?"
je m'approchai doucement en attente d'une réponse de Monsieur DeBelair
"Navré de l'apprendre, terrible épreuve que la vôtre."
je lâchai un petit sourire pour le remercier discrètement de l'empathie dont il vient de me fare part (sa aurai fait un peu tâche voir beaucoup si je ne l'aurais pas fait il faut le dire).
-Indeed, je viens tout droit des contrées Britanniques d'Essex, bien vu. Nakanoto est si différent de l'Europe, et pourtant à quelques heures d'avion seulement... Je suis venue ici pour découvrir les thés régionaux et les méthodes traditionnelles, mais voilà que tout ce dont on parle ce sont ces histoires de bêtes féroces... n'en avez-vous pas peur Miss Song ?
Quand j'ai su que j'avais eu juste à son origine Européenne je lâchai un sourire qui me trahissait un peu
"je devrais être mentaliste n'est ce pas monsieur Debelair"
Mais pour le reste de sa phrase sa me donna un léger frisson c comment trouver un moyen de ne pas parlez-me mais pouvoir je parle juste en disant que j'ai très peur se serait menti j'ai juste peur du noir mais pas des monstres !
"En vérité monsieur Debelair j'ai de quoi me défendre en qu'a de danger imminent vu qu'a mais dépend j'ai fait de l'escrime et aussi je peux morde si quelqu'un m'agresse ! bref je divague excusez-moi, mais oui cela me fait tout de même un peu frissonner je dois l'admettre mais pas au point d'en avoir réellement peur
quand il fronça des sourcils ceci me fit peu une peur je dois l'admettre j'espère ne pas avoir dit une parole de trop peut le mordre mais bon je ne peux pas changer mais parole manifestement. ceci dit je remarquais un l'instant qu'il gardait sa canne près de lui je me levis et dit
"Voulez vous que j'aille ranger votre canne dans l'endroit sus dit ?"
je m'approchai doucement en attente d'une réponse de Monsieur DeBelair
Invité
Invité
Dim 3 Juin 2018 - 21:20
- Je devrais être mentaliste n'est ce pas monsieur Debelair.
DeBelair ignorant tout de ce qu'était un "mentaliste", il se contenta de sourire face à la jeune fille, imaginant là quelque devin ou medium -insérez ici votre charlatan-.
- En vérité monsieur Debelair j'ai de quoi me défendre en qu'a de danger imminent vu qu'a mais dépend j'ai fait de l'escrime et aussi je peux morde si quelqu'un m'agresse ! bref je divague excusez-moi, mais oui cela me fait tout de même un peu frissonner je dois l'admettre mais pas au point d'en avoir réellement peur.
Toutefois, il savait bien ceci ; l'impétuosité de la jeunesse poussait souvent à se croire à l'abri de toute chose, ce qui menait à de regrettables incidents la plupart du temps. La petite Hana ne faisait pas exception à la règle, et même si son discours portait à sourire, DeBelair avait vu des frères surentrainés tomber aux griffes des vampires, découpés en l'espace de secondes.
De regrettables incidents, donc.
Lorsqu'elle lui proposa de ranger la canne, en employant d'ailleurs un vocabulaire des plus recherchés, il eut un léger rire en déclinant d'un signe de tête courtois la proposition. Il aurait besoin d'Egoïste après ce café, puisqu'une partie de chasse sauvage l'attendait... un vampire aperçu par delà les sentiers boisés aux abords de la ville.
Une souillure proche des temples religieux pour une nuisance iconoclaste des plus adaptée aux rats vampiriques.
- J'imagine, young lady veillez à éviter les lieux peu fréquentés toutefois. Vos morsures semblent ne pas être les seules à prendre en compte en ces lieux... les loups rôdent depuis quelques temps et je doute que votre lame soit d'une quelconque aide face à ces animaux. Avez-vous déjà vu des loups à l'état sauvage ? D'énormes prédateurs, aussi intelligents qu'un groupe d'enfants mais plus forts et organisés qu'un groupe d'adultes... ici-même en ville, à en croire les rapports officiels. Et les officieux, alors, je n'ose en aborder la nature fantasque. Un seul d'entre eux rendrait tout fleuret ridicule, et croyez-moi je ne dénigre en aucun cas vos talents, je suis moi-même un escrimeur depuis mon plus jeune âge. Au sabre, pour être précis.
De nouveau, il guetta le dehors, regardant en direction de la jolie baie vitrée pour poser ses yeux bleus sur les rues de Nakanoto. Des Loups, oui... une bien inquiétante menace en temps normal, mais ses instincts ne croyaient pas une seule minute à la simple nature zoologique des attaques. Les mutilations se rapprochaient des cas répertoriés à Gévaudan, s'il fallait dresser un parallèle historique, et ce qui avait sévit en France n'était possiblement pas un canidé lambda.
Il déporta donc son regard sur la jeune fille, conscient que son discours avait possiblement pu effrayer.
- Mais n'ayez crainte, ce quartier est sûr. Vous habitez près d'ici, ou faut-il vous raccompagner ?
Tant qu'un prédateur comme un Hunter sévirait dans les environs, Hana n'avait rien à craindre. Sauf si bien sur, ledit chasseur venait à devenir proie, et dans ce cas là...
DeBelair ignorant tout de ce qu'était un "mentaliste", il se contenta de sourire face à la jeune fille, imaginant là quelque devin ou medium -insérez ici votre charlatan-.
- En vérité monsieur Debelair j'ai de quoi me défendre en qu'a de danger imminent vu qu'a mais dépend j'ai fait de l'escrime et aussi je peux morde si quelqu'un m'agresse ! bref je divague excusez-moi, mais oui cela me fait tout de même un peu frissonner je dois l'admettre mais pas au point d'en avoir réellement peur.
Toutefois, il savait bien ceci ; l'impétuosité de la jeunesse poussait souvent à se croire à l'abri de toute chose, ce qui menait à de regrettables incidents la plupart du temps. La petite Hana ne faisait pas exception à la règle, et même si son discours portait à sourire, DeBelair avait vu des frères surentrainés tomber aux griffes des vampires, découpés en l'espace de secondes.
De regrettables incidents, donc.
Lorsqu'elle lui proposa de ranger la canne, en employant d'ailleurs un vocabulaire des plus recherchés, il eut un léger rire en déclinant d'un signe de tête courtois la proposition. Il aurait besoin d'Egoïste après ce café, puisqu'une partie de chasse sauvage l'attendait... un vampire aperçu par delà les sentiers boisés aux abords de la ville.
Une souillure proche des temples religieux pour une nuisance iconoclaste des plus adaptée aux rats vampiriques.
- J'imagine, young lady veillez à éviter les lieux peu fréquentés toutefois. Vos morsures semblent ne pas être les seules à prendre en compte en ces lieux... les loups rôdent depuis quelques temps et je doute que votre lame soit d'une quelconque aide face à ces animaux. Avez-vous déjà vu des loups à l'état sauvage ? D'énormes prédateurs, aussi intelligents qu'un groupe d'enfants mais plus forts et organisés qu'un groupe d'adultes... ici-même en ville, à en croire les rapports officiels. Et les officieux, alors, je n'ose en aborder la nature fantasque. Un seul d'entre eux rendrait tout fleuret ridicule, et croyez-moi je ne dénigre en aucun cas vos talents, je suis moi-même un escrimeur depuis mon plus jeune âge. Au sabre, pour être précis.
De nouveau, il guetta le dehors, regardant en direction de la jolie baie vitrée pour poser ses yeux bleus sur les rues de Nakanoto. Des Loups, oui... une bien inquiétante menace en temps normal, mais ses instincts ne croyaient pas une seule minute à la simple nature zoologique des attaques. Les mutilations se rapprochaient des cas répertoriés à Gévaudan, s'il fallait dresser un parallèle historique, et ce qui avait sévit en France n'était possiblement pas un canidé lambda.
Il déporta donc son regard sur la jeune fille, conscient que son discours avait possiblement pu effrayer.
- Mais n'ayez crainte, ce quartier est sûr. Vous habitez près d'ici, ou faut-il vous raccompagner ?
Tant qu'un prédateur comme un Hunter sévirait dans les environs, Hana n'avait rien à craindre. Sauf si bien sur, ledit chasseur venait à devenir proie, et dans ce cas là...
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