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Taichi Tomoe Lizenko#104797#104797#104797#104797#104797#104797#104797
Sorcier Sang-Pur - Initié - Apprenti
Race : Sorcière
Couleur : #9966ff
Avatar : Akatsuki de Log Horizon
Date d'inscription : 09/02/2018
Nombre de messages : 293
Emploi/loisirs : Hackeuse
Yens : 269
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Ven 2 Oct 2020 - 2:07
Pas d’internet, mais les cours continuent !
Feat Hideko Matsudara & Lexter Nakida
Taichi sourit gentiment à Nakida-kun lorsqu’il lui propose un coup de main, ou du matériel si nécessaire. Bien sûr qu’il allait falloir du matériel, et un coup de main pour l’installer ne sera évidement pas de trop.
« Merci Nakida-kun, je pense que l’on ne sera pas trop de deux pour tout installer. Mais avant tout, Matsudara-sensei vous avez raison, il faut voir ce à quoi on a à faire comme système et signaux. De cette façon, on pourra prévoir avec précision le matériel qu’il nous faudrait. Voir si on a ce qu’il faut, ou non. »
L’adolescente redevient muette un instant. L’argent n’est pas un soucis s’il y a besoin d’investir. Le problème se situe plus au niveau de la justification pour autant d’argent. Elle n’est pas sensée en avoir autant. Après tout pour l’administration de l’université, elle est orpheline et boursière. Et même si sa bourse est confortable, très confortable elle peut l’avouer sans rougir, elle ne peut en aucun cas supporter des achats tels que ceux qui se profilent. Un héritage peut-être pourrait être une justification cohérente. L’esprit de la demoiselle souligne qu’il a bon dos l’héritage numéraire imaginaire, puisqu’elle n’a eu de son grand-père que sa petite maison traditionnelle. Maison qu’elle adore et refuse de quitter.
La petite sorcière opina plus sagement au projet de Matsudara-sensei. Elle ne pouvait qu’être d’accord pour faire le repérage de nuit, pour ne pas avoir dans les pattes les pseudo-journalistes et animateurs radios. Il lui arrivait souvent, avant de finir tard, très tard, donc la voir à nouveau roder dans les couloirs, ne représenterait rien d’anormal. Matsudara-sensei passerait aussi inaperçu, puisqu’après tout un professeur dans une université il n’y avait rien de surprenant. L’unique doute qui s’incrustait dans son esprit concernait Nakida-kun. Elle ne se souvenait pas de l’avoir vu de nuit dans l’établissement. Maintenant Taichi Tomoe admettait qu’elle pouvait se tromper, et juste de ne pas l’avoir croiser.
L’entrain, en demi-teinte, de son camarade de classe n’échappe pas à la petite. Elle ne peut pas lui en vouloir, il est toujours dans le contrôle de lui-même, ne lâchant prise que très rarement. Elle sourit toujours, trouvant ce projet plus que motivant. Un bon dérivatif à ses soucis personnels en somme.
« Du travail Nakida-kun ? Absolument pas ! On va bien s’amuser surtout ! »
La candeur de l’adolescente est toujours en décalage avec la situation, mais fait toujours plaisir à voir et entendre. Le pire est qu’elle est sincèrement convaincue qu’ils allaient s’amuser tous les trois lors de cette excursion nocturne. S’inclinant respectueusement face à son camarade et son professeur, avant de se diriger vers la sortie de la salle de classe. Juste avant de la quitter, elle se retourne vers ses complices, les yeux pétillants et un large sourire sur le visage.
« A mardi soir alors ! On se retrouve devant ma salle ? Elle est au 5ème étage, numéro 509. »
Puis elle sort en sautillant gaiement. Il ne lui en faut pas beaucoup pour réussir à retrouver sa joie et son insouciance.
« Merci Nakida-kun, je pense que l’on ne sera pas trop de deux pour tout installer. Mais avant tout, Matsudara-sensei vous avez raison, il faut voir ce à quoi on a à faire comme système et signaux. De cette façon, on pourra prévoir avec précision le matériel qu’il nous faudrait. Voir si on a ce qu’il faut, ou non. »
L’adolescente redevient muette un instant. L’argent n’est pas un soucis s’il y a besoin d’investir. Le problème se situe plus au niveau de la justification pour autant d’argent. Elle n’est pas sensée en avoir autant. Après tout pour l’administration de l’université, elle est orpheline et boursière. Et même si sa bourse est confortable, très confortable elle peut l’avouer sans rougir, elle ne peut en aucun cas supporter des achats tels que ceux qui se profilent. Un héritage peut-être pourrait être une justification cohérente. L’esprit de la demoiselle souligne qu’il a bon dos l’héritage numéraire imaginaire, puisqu’elle n’a eu de son grand-père que sa petite maison traditionnelle. Maison qu’elle adore et refuse de quitter.
La petite sorcière opina plus sagement au projet de Matsudara-sensei. Elle ne pouvait qu’être d’accord pour faire le repérage de nuit, pour ne pas avoir dans les pattes les pseudo-journalistes et animateurs radios. Il lui arrivait souvent, avant de finir tard, très tard, donc la voir à nouveau roder dans les couloirs, ne représenterait rien d’anormal. Matsudara-sensei passerait aussi inaperçu, puisqu’après tout un professeur dans une université il n’y avait rien de surprenant. L’unique doute qui s’incrustait dans son esprit concernait Nakida-kun. Elle ne se souvenait pas de l’avoir vu de nuit dans l’établissement. Maintenant Taichi Tomoe admettait qu’elle pouvait se tromper, et juste de ne pas l’avoir croiser.
L’entrain, en demi-teinte, de son camarade de classe n’échappe pas à la petite. Elle ne peut pas lui en vouloir, il est toujours dans le contrôle de lui-même, ne lâchant prise que très rarement. Elle sourit toujours, trouvant ce projet plus que motivant. Un bon dérivatif à ses soucis personnels en somme.
« Du travail Nakida-kun ? Absolument pas ! On va bien s’amuser surtout ! »
La candeur de l’adolescente est toujours en décalage avec la situation, mais fait toujours plaisir à voir et entendre. Le pire est qu’elle est sincèrement convaincue qu’ils allaient s’amuser tous les trois lors de cette excursion nocturne. S’inclinant respectueusement face à son camarade et son professeur, avant de se diriger vers la sortie de la salle de classe. Juste avant de la quitter, elle se retourne vers ses complices, les yeux pétillants et un large sourire sur le visage.
« A mardi soir alors ! On se retrouve devant ma salle ? Elle est au 5ème étage, numéro 509. »
Puis elle sort en sautillant gaiement. Il ne lui en faut pas beaucoup pour réussir à retrouver sa joie et son insouciance.
"Joyeuse perspective"
Etilya sur DK RPG
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