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Ven 6 Juil 2018 - 18:29
Aujourd'hui j'allais aller au zoo avec Farah dans le but premier de trouver une forme animal volante qui lui conviendrait. Toutefois, nous allions également pour enquêter sur la disparition du tigre. Je me suis levé comme d'habitude et j'ai préparé notre sortie en préparant un délicieux thé glacé au vu de la météo particulièrement clémente de la journée, plus de 25° degrés en prévision. J'optais alors pour des sandwichs à base de concombre avec une pointe de crème citronnée et quelques petits copeaux de menthe pour avoir un peu de fraîcheur en bouche.
J'ai préparé également le journal parlant du tigre dont j'ai fait une photocopie de l'article faisant mention de sa disparition. Il n'y avait que peu de choses mis à part les soupçons qui pesaient sur le soigneur de Yuuhi vis-à-vis d'une négligence professionnelle, un certain Kusakabe Toya. Des battues étaient organisées par les autorités dans le but de retrouver le tigre en fuite, mais elles n'avaient rien donné pour le moment.
J'ai alors décidé d'appeler Kusakabe Toya san pour en apprendre plus sur son tigre et la disparition en prenant bien soin d'enregistrer notre conversation téléphonique pour la retranscrire.
Kusakabe Toya - Tout était normal. J'avais posé la clé dans le boitier avec les autres, au local. Le comportement du tigre était parfaitement habituel. Le lendemain matin, quand je suis revenu, la clé était toujours à sa place, mais la porte de l'enclo était ouverte et Yuuhi avait disparu. La porte du local était fermée à clé et elle l'était toujours le lendemain matin. Seuls le personnel du zoo a les clés du bâtiment.
Je lui ai donc demandé si les animaux avaient eu un comportement suspect pour ceux qui étaient à proximité de la cage du tigre, en soit si un loup-garou était venu pour prendre le tigre et le manger plus loin, cela n'aurait pas laissé les animaux tranquilles.
Kusakabe Toya - Non, pas spécialement. Je ne suis pas spécialiste en comportement animal, mais c'est étrange en soi. S'ils ont vu un prédateur passer à proximité, ils n'auraient sans doute pas dû être aussi détendus.
Aux vues de sa réponse, il était donc peu probable qu'un loup-garou ait transformé le tigre en repas. Ce n'était pas vraiment ce que j'espérais, mais s'il y avait une piste criminel, cela me paraissait finalement tout aussi important de retrouver le tigre. C'était sans doute le point de vue d'un changelin qui me faisait songer à l'importance de retrouver le tigre sain et sauf avant qu'il ne fasse des victimes ou qu'il ne soit abattu. Je songeais alors aux Yakuza ou d'autres riches voulant peut-être d'un tigre à la maison ou en trophée. Je demandais donc à Kusakabe san si certaines personnes l'avait approché pour poser des questions sur Yuuhi.
Kusakabe Toya - Je suis d'accord. Mais je ne crois pas. Il y a une autre soigneuse qui s'occupe de lui et des autres animaux qui me sont assignés quand je suis en congé et en ce moment, vu que je suis suspendu... Elle ne bossait pas cette semaine-là, mais vous pouvez lui poser la question. Elle s'appelle Kinotani Amako.
Je n'avais que peu d'informations, mais j'avais au moins le nom de la remplaçante à qui m'adresser et poser des questions. J'étais même soulagé que ce ne soit pas lié aux loups-garous, cela présageait au moin de la sécurité de Farah. J'ai pris grand soin de tout consigner par écrit avant d'imprimer une version que je rangeais dans mon bureau, une que je prenais pour moi ainsi qu'une version pour la Farah et sa mère.
À onze heures précise je me suis mis en route doucement pour arriver à midi pile là où vivaient la famille Assaad. C'est mon amie qui m'a ouvert la porte tandis qu'elle m'informa que Farah finissait de se préparer. Je souris poliment en entrant tout en sortant la transcription pour Farah et sa mère et lui tandis pour qu'elle puisse voir le travail de fond que j'avais mené avant d'emmener sa fille. C'est à peu près à ce moment-là que Farah fit son entrée.
John - Bien le bonjour à toi Farah-san, tu es aussi radieuse que ta mère, j'espère que tu es prête pour notre sortie au zoo. J'ai effectué quelques petites recherches sur le cas du tigre que je t'invite à lire avant que nous ne partions.
Notre journée allait être ensoleillée et notre enquête très douce de ce fait au vu des possibilités dramatiques déjà écartées.
John - J'espère que nous trouverons un animal qui saura ravir ton désir de voler, mais si nous ne trouvons pas aujourd'hui, nous n'aurons qu'à nous rendre dans d'autres volières du japon, ou pourquoi pas tenter notre chance dans les régions sauvages.
Je parais mes mots d'un très tendre sourire plein de confiance en cette journée, tout en guettant la moindre réaction de la part de Nawel dont je n'avais jusque là pas eu de grands retours vis-à-vis de l'enquête et sur une seconde forme pour sa fille.
John - Comme la station balnéaire et le zoo ne sont pas très loin je te propose que nous nous y rendions à pied, j'ai dors et déjà prévu une petite collation de quatre heures.
Farah Neferet Assaad#97839#97839#97839#97839#97839#97839#97839
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Sam 14 Juil 2018 - 18:21
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
C’est aujourd’hui que je vais au zoo avec Monsieur Smith. J’avoue que je suis à la fois intimidée et excitée. Je m’imagine déjà déambulant entre les différents enclos, émerveillée devant tous ces animaux différents. Et peut-être que je vais trouver un oiseau qui me conviendra ! J’ai d’abord pensé à un aigle, mais peut-être que j’aurai le coup de cœur pour un autre. Toute dans la lune que je suis, je manque de faire brûler mon gâteau. C’est la fumée âcre qui me réveille. Paniquée, j’éteins le four et je l’ouvre en évacuant les rejets volatils avec ma main. Il s’en est fallu de peu… Je sors mon dessert et le pose sur la table, veillant à ne pas me brûler. Je retire ensuite les gants et inspecte mon travail d’un œil alerte. Bon, il ne semble pas y avoir de casse. J’espère que le goût n’en est pas altéré. Je ne voudrais pas empoisonner John !
Je jette un coup d’œil à l’horloge de la cuisine. Mince, l’heure file ! Je vais finir par être en retard avec tout ça. Je dénoue l’attache de mon tablier pour le poser sur le dossier de la chaise. Puis je me précipite dans ma chambre pour terminer mes préparatifs. En soit, il ne me reste pas grand-chose à faire. Je commence par me brosser soigneusement les cheveux, les enduisant d’une huile de mon pays. Puis, après m’être rincée les mains, j’applique une crème sur mon visage pour l’hydrater. On pourrait me qualifier de coquette. Mais Mama m’a toujours dit qu’il est important de prendre soin de son corps, pour se sentir bien. Il ne faut pas le dénigrer, sans quoi il nous le rendra. Je termine ensuite la manucure de mes ongles, veillant à ce qu’ils n’accrochent rien. Je me brosse ensuite les dents, puis je mets un peu de mon parfum à la menthe. J’enfile ensuite une tenue plus adéquate pour sortir en ville.
J’entends la sonnette retentir. Ah flûte zut, il est déjà là ! Il faut que je me dépêche. Je dis à Mama d’aller lui ouvrir et de le faire patienter pendant que je termine de rassembler mes affaires. Je retourne dans la cuisine pour couper quelques parts du gâteau, que j’enveloppe dans un film protecteur avant de ranger le tout dans mon sac. Je vérifie que j’ai bien une bouteille d’eau sur moi, puis j’attrape quelques serviettes en papier. Je me suis dit que nous aurions peut-être un petit creux là-bas, et puis j’avais envie de cuisiner pour l’ami de Mama. Je jette un coup d’œil à Shani, qui fait une sieste dans son landau. Ce matin, elle m’a appelée « Mama » ; ma mère me dit qu’elle s’est trompée, mais moi, je commence à me demander si elle n’est pas clairvoyante quant à la situation… Cette sortie au zoo est vraiment la bienvenue. Cette « confusion » m’a perturbée et j’ai besoin de me changer les idées.
A présent fin prête, je me présente à l’entrée en souriant. Je rosis en entendant les compliments de Monsieur Smith.
- Bonjour Monsieur Smith ! Je m’excuse, je suis un peu en retard.
Je baisse les yeux sur le papier qu’il me tend, avant de m’en saisir. Il a fait une transcription en anglais des informations qu’il a déjà récolté sur cette affaire de tigre disparu. Je prends quelques instants pour tout lire ; c’est étrange, un animal sauvage qui disparaît comme ça. Je range la feuille dans mon sac avant de poser mes yeux sur lui.
- Oui, j’ai hâte !
Je lance un regard à ma mère, qui me sourit. Je ne lui ai pas vraiment parlé de cette idée de seconde forme. Je ne sais même pas si elle en a une autre elle-même. En tout cas, elle ne m’en a jamais parlé et je ne l’ai jamais vue autrement qu’en cobra égyptien.
- J’espère que tu trouveras ton bonheur ma chérie. Soyez prudents au zoo.
J’acquiesce. Je fais confiance à Monsieur John pour assurer nos arrières -et Mama aussi à mon avis. Et je me souviens bien de ses mises en garde. Si je le vois se transformer en ours, je m’enfuirai aussi vite que possible. L’anglais me propose d’y aller à pied. Ça fait une petite trotte mine de rien, mais ça ne me pose pas de problème. J’ai toujours aimé marcher, et je pense que ça me fera du bien de prendre un peu l’air.
- Très bien, j’ai moi aussi préparé un petit dessert, vous m’en direz des nouvelles ! Allons-y Monsieur Smith !
J’embrasse ma mère puis je m’élance derrière le vieil anglais, toute excitée à l’idée de la journée qui s’annonce passionnante. Sur le chemin, n’y tenant plus, je lui pose la question qui me brûle les lèvres.
- Par quoi allons-nous commencer une fois là-bas ?
Je jette un coup d’œil à l’horloge de la cuisine. Mince, l’heure file ! Je vais finir par être en retard avec tout ça. Je dénoue l’attache de mon tablier pour le poser sur le dossier de la chaise. Puis je me précipite dans ma chambre pour terminer mes préparatifs. En soit, il ne me reste pas grand-chose à faire. Je commence par me brosser soigneusement les cheveux, les enduisant d’une huile de mon pays. Puis, après m’être rincée les mains, j’applique une crème sur mon visage pour l’hydrater. On pourrait me qualifier de coquette. Mais Mama m’a toujours dit qu’il est important de prendre soin de son corps, pour se sentir bien. Il ne faut pas le dénigrer, sans quoi il nous le rendra. Je termine ensuite la manucure de mes ongles, veillant à ce qu’ils n’accrochent rien. Je me brosse ensuite les dents, puis je mets un peu de mon parfum à la menthe. J’enfile ensuite une tenue plus adéquate pour sortir en ville.
J’entends la sonnette retentir. Ah flûte zut, il est déjà là ! Il faut que je me dépêche. Je dis à Mama d’aller lui ouvrir et de le faire patienter pendant que je termine de rassembler mes affaires. Je retourne dans la cuisine pour couper quelques parts du gâteau, que j’enveloppe dans un film protecteur avant de ranger le tout dans mon sac. Je vérifie que j’ai bien une bouteille d’eau sur moi, puis j’attrape quelques serviettes en papier. Je me suis dit que nous aurions peut-être un petit creux là-bas, et puis j’avais envie de cuisiner pour l’ami de Mama. Je jette un coup d’œil à Shani, qui fait une sieste dans son landau. Ce matin, elle m’a appelée « Mama » ; ma mère me dit qu’elle s’est trompée, mais moi, je commence à me demander si elle n’est pas clairvoyante quant à la situation… Cette sortie au zoo est vraiment la bienvenue. Cette « confusion » m’a perturbée et j’ai besoin de me changer les idées.
A présent fin prête, je me présente à l’entrée en souriant. Je rosis en entendant les compliments de Monsieur Smith.
- Bonjour Monsieur Smith ! Je m’excuse, je suis un peu en retard.
Je baisse les yeux sur le papier qu’il me tend, avant de m’en saisir. Il a fait une transcription en anglais des informations qu’il a déjà récolté sur cette affaire de tigre disparu. Je prends quelques instants pour tout lire ; c’est étrange, un animal sauvage qui disparaît comme ça. Je range la feuille dans mon sac avant de poser mes yeux sur lui.
- Oui, j’ai hâte !
Je lance un regard à ma mère, qui me sourit. Je ne lui ai pas vraiment parlé de cette idée de seconde forme. Je ne sais même pas si elle en a une autre elle-même. En tout cas, elle ne m’en a jamais parlé et je ne l’ai jamais vue autrement qu’en cobra égyptien.
- J’espère que tu trouveras ton bonheur ma chérie. Soyez prudents au zoo.
J’acquiesce. Je fais confiance à Monsieur John pour assurer nos arrières -et Mama aussi à mon avis. Et je me souviens bien de ses mises en garde. Si je le vois se transformer en ours, je m’enfuirai aussi vite que possible. L’anglais me propose d’y aller à pied. Ça fait une petite trotte mine de rien, mais ça ne me pose pas de problème. J’ai toujours aimé marcher, et je pense que ça me fera du bien de prendre un peu l’air.
- Très bien, j’ai moi aussi préparé un petit dessert, vous m’en direz des nouvelles ! Allons-y Monsieur Smith !
J’embrasse ma mère puis je m’élance derrière le vieil anglais, toute excitée à l’idée de la journée qui s’annonce passionnante. Sur le chemin, n’y tenant plus, je lui pose la question qui me brûle les lèvres.
- Par quoi allons-nous commencer une fois là-bas ?
Une visite au zoo
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Sam 14 Juil 2018 - 18:24
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Il ne se passe rien de particulier pour l'instant. Fin du tour. C'est à John Smith de répondre.
PNJ. Ne pas contacter.
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Mer 18 Juil 2018 - 0:05
Farah était radieuse sur le chemin du zoo ce qui était on ne peut plus réconfortant sur l'idée que cette sortie s'imposait. Très vite elle a crevé l'abcès en voulant savoir par quoi nous allions commencer.
John - Et bien vois-tu ma chère Farah, je songeais à régler notre petite enquête au zoo en nous dirigeant rapidement à la section des grands félins pour nous adresser à la soigneuse Kinotami Amako.
Je faisais une petite pause profitant de l'air frais tout en songeant à la manière de présenter cela à la jeune femme tout en continuant de penser qu'il faudrait continuer dans notre rôle. La difficulté serait donc de poursuivre dans le mensonge fait au soigneur initiale dans l'éventualité où il ait mis au courant sa remplaçante.
John - Lorsque j'ai appelé le soigneur responsable du tigre je me suis fait passer pour un représentant d'une ONG fictive et nous allons continuer sur notre lancée en te présentant comme mon assistante dans cette enquête pour retrouver le tigre.
J'attendais de voir sa réaction tout en espérant y voir un certain entrain, ou tout autre chose que de l'appréhension même si cela serait bien normal de sa part évidemment étant donné la tâche qui nous attendait.
John - l'OPEMC, telle se nomme cette ONG fictive. L'organisation de protection des espèces menacées en captivité si jamais tu veux faire plus crédible. Dis-je avec un tendre sourire. Une fois que nous aurons eu nos réponses de la part de la soigneuse tout en jetant un petit coup d'oeil à l'enclos du tigre, nous pourrons nous consacrer sur la tâche la plus importante de la journée, à savoir te trouver une nouvelle forme.
J'esquissais à nouveau un tendre et bienveillant sourire à la jeune égyptienne qui avait beaucoup d'attentes sans doute dans cette journée. Tout en me signifiant à moi-même l'évidente absence d'une activité de loup-garou vis-à-vis du tigre. Tout cela me fit reprendre un ton bien sérieux tandis que je m'adressais à Farah de nouveau.
John - Bien qu'il est à exclure l'implication d'un quelconque loup-garou ayant voulu se nourrir du tigre avec le calme des autres animaux au matin de la disparition, il n'est pas à exclure une implication d'ordre mafieuse ou en tout cas criminelle. Auquel cas, restons tout de même prudent et méfions-nous de ceux qui pourraient surveiller ceux qui viennent poser trop de questions.
Il n'était pas non plus question d'exclure que la direction du zoo soit directement impliquée. Après tout un tigre adulte vaut un sacré paquet d'argent mine de rien et il n'est pas impossible que le directeur du zoo ait pu être corrompu avec un pot-de-vin.
Il ne fallait pas arriver au zoo avec état d'esprit assombri par mes derniers propos alors j'ai décidé de détendre un peu nos derniers mètres avant notre arrivée par une question des plus élémentaires.
John - Et sinon, as-tu eu de nouvelles idées vis-à-vis de la forme que tu voulais trouver ici ?
Farah Neferet Assaad#97987#97987#97987#97987#97987#97987#97987
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Dim 22 Juil 2018 - 23:36
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
Les grands félins ! Mon Dieu, je n’en ai encore jamais vu. Je suis à la fois excitée et intimidée. Je me suis toujours imaginée face à l’un d’eux, tentant de prévoir mes réactions et les siennes. Mais l’idée d’en voir un en chaire et en os… Bon, il faut que je rationalise. Il sera dans un enclos bien protégé, il n’y a pas de raison que ça se passe mal. Sauf qu’ils ont bien perdu un tigre récemment. Un animal de cette taille, ça ne passe pas inaperçu, ça ne s’enfuit pas comme ça. Comme est-ce que ça a pu arriver ? J’espère qu’il n’y a pas de faille dans leur système d’ouverture et de fermeture des portes… ça y’est, je commence à psychoter.
Un représentant d’une ONG et son assistante… voilà des rôles bien singulier. Je suis une terrible menteuse, alors je doute d’être spécialement convaincante dans mon jeu d’actrice. Mais je vais faire de mon mieux. Dans le pire des cas, je n’aurai qu’à laisser Monsieur Smith parler et moi, je prendrai des notes… Ah, en voilà une bonne idée ! Je sors mon carnet de note et un stylo et je souris à John.
Mon ustensile commence à aligner des lignes d’encre d’une écriture soignée et délicate, tandis que Monsieur Smith m’explique ce qu’il a appris sur l’affaire du tigre disparu. J’en profite pour noter sur le coin de ma page la signification d’OPEMC, « Organisation de Protection des Espèces Menacées en Captivité ». Il serait bête d’oublier si quelqu’un me pose la question. L’ami de Mama reprend soudain un air grave et un ton sérieux. Je relève les yeux de ma feuille pour le fixer avec appréhension.
Voilà qui ne va pas arranger mon côté peureux. Je vais finir par devenir paranoïaque. Allons, Farah, calme-toi, tout va bien, inspire, expire… Je ferme les yeux une seconde et secoue la tête, la mine résolue. Il n’y a pas de raison d’avoir peur, John Smith est avec moi, je ne crains rien, il me protégera en cas de danger… Mais il n’y a pas de raison d’être en danger. Fort heureusement, la question de mon protecteur m’arrache à ces idées angoissantes. Je pose le haut de mon stylo sur mon menton tandis que je réfléchis.
Voilà que je me remets à douter. Il y a décidément trop de possibilités, ça va être compliqué de faire un choix. Que devrais-je favoriser, la prestance ou la discrétion ?... Peut-être que je me pose trop de questions. Je devrais peut-être me laisser conquérir par celui qui me plaira le plus après la petite visite du zoo. Je ne sais pas si on peut parler de coup de foudre dans cette situation, mais c’est un peu l’idée. Un coup de cœur pour un oiseau. Oui, je vais me laisser guider par mon cœur, on verra par la suite.
Je scrute les alentours à la recherche de la fameuse soigneuse dont il a parlé. Mais avant même de la trouver, je me pose une question cruciale. Que vais-je faire si je l’aperçois ? Avec ma timidité maladive, je serais incapable de m’adresser à elle de ma propre initiative. C’est triste à dire, mais c’est plutôt moi qui vais compter sur John dans l’histoire…
Un représentant d’une ONG et son assistante… voilà des rôles bien singulier. Je suis une terrible menteuse, alors je doute d’être spécialement convaincante dans mon jeu d’actrice. Mais je vais faire de mon mieux. Dans le pire des cas, je n’aurai qu’à laisser Monsieur Smith parler et moi, je prendrai des notes… Ah, en voilà une bonne idée ! Je sors mon carnet de note et un stylo et je souris à John.
- D’accord, je vais prendre des notes alors. Je ne suis pas une bonne comédienne, mais je vous promets de m’appliquer.
Mon ustensile commence à aligner des lignes d’encre d’une écriture soignée et délicate, tandis que Monsieur Smith m’explique ce qu’il a appris sur l’affaire du tigre disparu. J’en profite pour noter sur le coin de ma page la signification d’OPEMC, « Organisation de Protection des Espèces Menacées en Captivité ». Il serait bête d’oublier si quelqu’un me pose la question. L’ami de Mama reprend soudain un air grave et un ton sérieux. Je relève les yeux de ma feuille pour le fixer avec appréhension.
- Euh… D’accord, Monsieur Smith… Je vais rester sur mes gardes et attentive à mon environnement, c’est promis.
Voilà qui ne va pas arranger mon côté peureux. Je vais finir par devenir paranoïaque. Allons, Farah, calme-toi, tout va bien, inspire, expire… Je ferme les yeux une seconde et secoue la tête, la mine résolue. Il n’y a pas de raison d’avoir peur, John Smith est avec moi, je ne crains rien, il me protégera en cas de danger… Mais il n’y a pas de raison d’être en danger. Fort heureusement, la question de mon protecteur m’arrache à ces idées angoissantes. Je pose le haut de mon stylo sur mon menton tandis que je réfléchis.
- Hum… J’aime toujours l’idée d’un aigle, mais après je me dis qu’un oiseau plus discret et passe-partout serait bien également… Un volatil présent au Japon, mais du coup il n’y a pas vraiment de raison qu’il soit dans ce zoo j’imagine… Peut-être une buse…
Voilà que je me remets à douter. Il y a décidément trop de possibilités, ça va être compliqué de faire un choix. Que devrais-je favoriser, la prestance ou la discrétion ?... Peut-être que je me pose trop de questions. Je devrais peut-être me laisser conquérir par celui qui me plaira le plus après la petite visite du zoo. Je ne sais pas si on peut parler de coup de foudre dans cette situation, mais c’est un peu l’idée. Un coup de cœur pour un oiseau. Oui, je vais me laisser guider par mon cœur, on verra par la suite.
- Ce n’est pas grave. Occupons-nous déjà de cette étrange affaire, et après nous ferons un tour des lieux. Et peut-être qu’entre temps je me serai décidée.
Je scrute les alentours à la recherche de la fameuse soigneuse dont il a parlé. Mais avant même de la trouver, je me pose une question cruciale. Que vais-je faire si je l’aperçois ? Avec ma timidité maladive, je serais incapable de m’adresser à elle de ma propre initiative. C’est triste à dire, mais c’est plutôt moi qui vais compter sur John dans l’histoire…
Matière "Enquêter", zéro pointé...
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Lun 23 Juil 2018 - 0:27
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Fin du tour. Rien ne se passe de particulier.
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Lun 23 Juil 2018 - 1:21
Farah doutait d'elle je le voyais bien et c'était parfaitement normal après tout, car je l'emmenais sur un terrain dangereux et inconnu. J'ai décidé de me montrer plus rassurant et surtout de lui montrer le mauvais exemple en soit.
John - Tu sais, pour être un bon menteur, ce n'est pas si compliqué, il faut être spontané, cohérent et surtout sûr de soi.
Je lui faisais mon plus beau sourire pour l'occasion afin de la rassurer un peu, car il ne faudrait pas qu'elle garde un mauvais souvenir de tout ça. Mais après tout j'avais été formateur pour le MI-6, je pouvais bien lui donner quelques ficelles du métier.
John - Il faut être détendue et surtout dire ce qu'on a à dire avec aplomb et conviction, faire en sorte qu'on ne doute pas de ce que tu avances. C'est comme ça que les espions font.
Je lui faisais un clin d'oeil très convenus, bien décidé finalement à partager avec elle un peu plus de qui je suis, ou plutôt de qui j'ai été. C'est une chose qui va avec le métier mine de rien, la solitude. On apprend tellement à jouer des rôles qu'on oubli facilement qui on est et surtout, on a personne à qui confier qui nous sommes vraiment. J'étais officiellement un retraité de l'administration, mais dans ma vie, mis à part Nawel et Abraham, personne ne savait que j'étais Phantom, un espion de haut vol. J'espérais que ce regard convenu avec Farah allait la rassurer un peu avant que nous ne continuions notre investigation.
John - Pour ce qui est de la forme que tu choisiras, tu peux procéder de deux façons. Soit tu choisi ta forme pour ses facultés. Par exemple le faucon pèlerin comme moi, qui est l'oiseau capable d'atteindre la vitesse de piqué la plus rapide du règne animal. Soit, tu fais parler ton instinct. Ma grand-mère me disait quand j'étais petit que parfois, pour nous, ce n'est pas le changelin qui choisi sa forme, ma l'animal qui choisi le changelin.
J'avais un sourire rempli de nostalgie en repensant à ma grand-mère paternel qui était si gentille et à qui finalement je ressemblais de plus en plus en gagnant en âge et en sagesse. Elle aimait beaucoup me raconté comment à ses vingt ans alors qu'elle s'était cassée le poignet et ne pouvais pas voler, elle s'était perdue dans les bois. C'est alors qu'un loup avait surgi d'un fourré et qui contre toute attentes l'avais aidé à sortir des bois et duquel elle avait pris la forme par la suite. Le loup l'avait choisi pour qu'elle devienne louve à son tour plus tard. C'était une histoire qui me remplissait les yeux d'étoiles quand j'étais petit et finalement, ma forme d'ours n'avait pas été acquise d'une manière si éloignée en somme. J'essayais de me projeter dans l'avenir à ce moment-là. Comment serai-je si je suis toujours de ce monde dans 20 ou 30 ans ? Est-ce que je serais celui qui racontera cette histoire à toute une génération de jeune changelin en quête de savoir sur leurs origines ?
Je finissais par nous orienter parmi les fauves jusqu'à distinguer une jeune femme avec la tenue du staff du zoo et nous approcher d'elle.Action : Poser des question à la soigneuse
Prédéfinie : Discuter avec un soigneur
Coût en PA : 2PA
John - Bonjour Kinotami-san, je me nomme Smith, John Smith, je représente l'OPEMC que vous devez connaître. Dis-je avec beaucoup d'aplomb alors que cela n'existait sans doute pas. J'ai discuté avec votre collègue actuellement suspendu et comme la question d'un tigre du bengal en liberté est des plus importantes à nos yeux, j'aimerais vous posez quelques questions.
Je jetais un coup d'oeil rapide sur Farah pour m'assurer qu'elle allait bien et qu'elle était dans son rôle en train de noter ce qu'il se passait ici. Tout de suite après, je revenais vers la jeune soigneuse pour commencer à lui poser mes questions.
John - Tout d'abord, j'ai cru comprendre de la part de Kusakabe-san que Yuuhi était un tigre en parfaite santé et assez populaire sans doute. Mais surtout que le système de sécurité du zoo était fiable et qu'il avait été parfaitement enclenché le soir de la disparition de l'animal, vous pouvez confirmer ?
Je jetais un coup d'oeil furtif aux alentours, mon regard perçant la foule pour m'assurer de ne pas être observé par une tiers personne se renseignant sur ceux qui enquête ou tout simplement que la sécurité du zoo ne vienne pas trop se mêler à la conversation.
John - En outre, nous voulons vraiment retrouver ce tigre et nous pensons à une piste criminel au vu du fait que les animaux entourant la cage du tigre ne semblaient agité de ce que j'ai compris, donc il est peu probable qu'il se soit juste sauvé. Auriez-vous vu trainer des gens de façon récurrente aux abords de l'enclo de Yuuhi pouvant démontrer une certaine forme d'intérêts plus que les touristes ?
Je m'arrêtais à nouveau pour laisser souffler un peu la jeune soigneuse qui se faisait tirer de son travail et interroger par un inconnu avec des questions assez précises. Cela me permettais de me tourner un peu vers Farah et m'assurer qu'elle allait toujours bien et que son stress était stable.
John - Une dernière question peut-être, mais les ours sont-ils à côté de l'enclos de Yuuhi ?
Je laissais cette ultime question en suspens. Elle n'avait l'air de rien et je ne pensais pas que Farah savait pourquoi je l'ai posé, à moins que sa mère ne lui ait déjà transmis notre capacité à pouvoir communiquer avec des animaux dont nous possédons la peau. Je me tournais pour voir ce qu'il en était sur son visage.
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Ven 3 Aoû 2018 - 22:17
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
La soigneuse explique qu’elle n’était pas de service le soir de l’incident et qu’elle ne peut donc pas confirmer que tout avait été mis en place. Cependant, elle ne comprend pas comment quelqu’un a pu récupérer la clé, qui était censée être enfermée dans un bâtiment sous alarme. Elle a aussi du mal à imaginer que son collègue ait pu oublier de fermer la cage, car il n’a pas l’air d’un naturel tête-en-l’air, et encore moins en faire exprès. Mais elle doute, car elle ne voit pas comment cela aurait pu arriver autrement. En tout cas, elle ne se souvient pas avoir vu des personnes au comportement étrange près de l’enclos du tigre.
L’enclos des ours n’est pas dans les environs immédiats, mais à environ deux-cents mètres.
PA :
John Smith : -2 PA [reste 4]
L’enclos des ours n’est pas dans les environs immédiats, mais à environ deux-cents mètres.
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Farah Neferet Assaad#98231#98231#98231#98231#98231#98231#98231
Changelin Serpent - Civil
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Dim 5 Aoû 2018 - 16:42
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
Sûr de soi, hein ? C’est un peu le hic dans le raisonnement de Monsieur Smith. J’ai toujours manqué d’assurance, excepté dans mon domaine de prédilection, la biologie, et toutes les matières qui s’y rattachent. Je vois mal comment je peux bien mentir dans ces conditions. Mais j’imagine que ça s’apprend, alors je l’observe et l’écoute attentivement. Je me demande d’où il tire tout cet aplomb, toute cette expérience dans l’art de tisser des histoires. C’est comme s’il l’avait pratiqué toute sa vie… Je n’ai jamais cherché à en savoir plus sur son passé, tout comme je n’ai jamais posé de question à Mama sur les activités de sa jeunesse, mais j’avoue que ça m’intrigue. D’autant plus lorsqu’il me fait un clin d’œil en parlant d’espion. Je cligne des yeux, l’air suspicieux. Hum, est-ce qu’il vient de me faire un sous-entendu ? ça expliquerait beaucoup de chose, ceci-dit.
Je souris lorsqu’il évoque sa grand-mère. Oh, je comprends parfaitement ce qu’elle voulait dire. C’est un peu comme l’appel de la nature, en fait. Je ferme les yeux un instant pour me concentrer sur mes pensées et ce que je souhaite vraiment. Une forme aviaire douée de facultés particulières, ou une qui corresponde juste à ma nature profonde ? La visite complète du zoo me permettra d’y voir plus clair. Je le suis jusqu’à la section des fauves, où se trouve une jeune femme, probablement la soigneuse. John l’accoste pour en savoir plus au sujet de la disparition du tigre. Je me plante à côté de lui, légèrement en retrait.
Je brandis mon carnet de note aussitôt qu’il commence à poser ses questions et me tient prête pour noter toutes les informations utiles que pourrait nous fournir Kinotami-san. Ses réponses ne tardent pas et mon stylo commence à glisser sur le papier pour retranscrire son témoignage le plus fidèlement possible. J’ai l’impression d’être un lieutenant de police, c’est tellement excitant ! Et ça me fait tout drôle en même temps.
Selon la soigneuse, il n’est pas possible d’ouvrir la cage sans la clé, entreposée dans un bâtiment muni d’une alarme. Et son collègue n’aurait jamais fait preuve d’une telle négligence apparemment. Pourtant je sens qu’elle doute ; il lui parait inconcevable qu’on ait pu libérer ou capturer l’animal autrement qu’en utilisant cette clé. Je note également qu’elle n’a vu aucun individu suspect rôder dans les alentours ces derniers jours. Je relève la tête pour poser un regard interrogateur sur John lorsqu’il demande la localisation des ours. Qu’a-t-il en tête ? Quel est le rapport entre les ours et la disparition du tigre ? Je ne vois pas comment il pourrait avoir des réponses en cherchant de ce côté… A moins que… Je plisse les yeux ; Mama m’a déjà parlé d’une faculté innée à tous les changelins, celle de communiquer avec le ou les animaux dont nous prenons l’apparence. Hum, c’est plutôt astucieux, finalement. Il veut certainement leur poser des questions. Je me tourne vers la demoiselle et m’incline.
Je suis John jusqu’à l’enclos des ours, me doutant déjà de ce qu’il fera. J’avoue que je n’y avais pas pensé, et alors une nouvelle question se formule dans mon esprit : ont-ils également des cobras égyptiens ? Alors que John s’entretient avec un ours, je fais le guet, déjà pour vérifier que personne ne le voit, et aussi pour observer un peu les lieux. Sait-on jamais, je pourrais peut-être découvrir quelque chose d’intéressant et me rendre vraiment utile.
Je souris lorsqu’il évoque sa grand-mère. Oh, je comprends parfaitement ce qu’elle voulait dire. C’est un peu comme l’appel de la nature, en fait. Je ferme les yeux un instant pour me concentrer sur mes pensées et ce que je souhaite vraiment. Une forme aviaire douée de facultés particulières, ou une qui corresponde juste à ma nature profonde ? La visite complète du zoo me permettra d’y voir plus clair. Je le suis jusqu’à la section des fauves, où se trouve une jeune femme, probablement la soigneuse. John l’accoste pour en savoir plus au sujet de la disparition du tigre. Je me plante à côté de lui, légèrement en retrait.
- Enchantée, je suis Farah Assaad, son assistante.
Je brandis mon carnet de note aussitôt qu’il commence à poser ses questions et me tient prête pour noter toutes les informations utiles que pourrait nous fournir Kinotami-san. Ses réponses ne tardent pas et mon stylo commence à glisser sur le papier pour retranscrire son témoignage le plus fidèlement possible. J’ai l’impression d’être un lieutenant de police, c’est tellement excitant ! Et ça me fait tout drôle en même temps.
Selon la soigneuse, il n’est pas possible d’ouvrir la cage sans la clé, entreposée dans un bâtiment muni d’une alarme. Et son collègue n’aurait jamais fait preuve d’une telle négligence apparemment. Pourtant je sens qu’elle doute ; il lui parait inconcevable qu’on ait pu libérer ou capturer l’animal autrement qu’en utilisant cette clé. Je note également qu’elle n’a vu aucun individu suspect rôder dans les alentours ces derniers jours. Je relève la tête pour poser un regard interrogateur sur John lorsqu’il demande la localisation des ours. Qu’a-t-il en tête ? Quel est le rapport entre les ours et la disparition du tigre ? Je ne vois pas comment il pourrait avoir des réponses en cherchant de ce côté… A moins que… Je plisse les yeux ; Mama m’a déjà parlé d’une faculté innée à tous les changelins, celle de communiquer avec le ou les animaux dont nous prenons l’apparence. Hum, c’est plutôt astucieux, finalement. Il veut certainement leur poser des questions. Je me tourne vers la demoiselle et m’incline.
- Merci pour ces informations, Kinotami-san ! Nous allons faire un tour du zoo si vous le permettez, nous mettrons peut-être le doigt sur un détail qui vous aurait échappé.
Je suis John jusqu’à l’enclos des ours, me doutant déjà de ce qu’il fera. J’avoue que je n’y avais pas pensé, et alors une nouvelle question se formule dans mon esprit : ont-ils également des cobras égyptiens ? Alors que John s’entretient avec un ours, je fais le guet, déjà pour vérifier que personne ne le voit, et aussi pour observer un peu les lieux. Sait-on jamais, je pourrais peut-être découvrir quelque chose d’intéressant et me rendre vraiment utile.
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Mer 8 Aoû 2018 - 0:49
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Tu ne remarques rien de particuliers, juste des passants qui vont et viennent. Une classe de jeunes enfants passe avec leurs accompagnateurs en braillant un peu fort. Un vieil homme flâne dans les allées en observant les enclos. Sans doute la routine pour ce zoo. Fin du tour.
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Farah Neferet Assaad : -2 PA (parce que c'est la même durée que la discussion de John)[reste 4]
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