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Mer 8 Aoû 2018 - 1:21
Nous étions arrivés à l'enclo des ours qui ne se trouvait en effet qu'à deux cents mètres de celui du tigre disparus. Ils étaient là, tranquillement en train de vivre leur petite vie de captivité, bien traité par le zoo. C'était évidemment pour leur parler que j'avais demandé où ils pouvaient bien se trouver et surtout s'ils étaient proches de l'enclo de Yuuhi.
Je faisais très attention de ne pas me faire remarquer, mais Farah avait déjà pris les devants. Je voyais bien à son regard s'orientant tout azimut pour veiller à ce que je ne sois pas pris en flagrant délit de... et bien de parler à des ours avec leur langage. Elle avait donc tout à fait compris où je voulais en venir avec ma question, ce qui m'en disait long sur les connaissances que lui avait déjà transmise sa mère.Action : Poser des questions aux ours du zoo
Prédéfinie : Secrète
Coût en PA : 2PA
Je me suis avancé au bord de leur enclo et j'ai commencé à interpeller l'un des ours avec un petit signe de main.
John - Par ici mon ami !
L'un des ours approcha d'un air relativement peu convaincu, mais suffisamment intrigué par un humain qui pouvait communiquer avec lui pour venir.
John - Je ne veux aucun mal, ami, je veux retrouver Yuuhi, tu sais, le tigre qui n'était pas loin de vous. Vous avez dû communiquer par moment je suppose.
Avec seulement deux cents mètres qui les séparaient, il était hautement improbable qu'ils n'aient jamais conversé au moindre rugissement du tigre depuis toutes ses années. Avec de la chance, ces ours avaient peut-être entendus quelque chose pendant la nuit. Étant capable de devenir un ours moi-même j'avais une bonne idée de leur spectre perceptif, un très bon odorat et une audition qui n'était pas en reste. Étant des plantigrades, les ours ont des sensations venant du sol tout aussi utiles pour leur signaler un danger.
Pendant que je réfléchissais, j'essayais de haranguer un peu les ours pour les faire approcher quitte à ce que cela ne parte dans un petit débat.
John - Dites-moi, avez-vous entendu quelque chose ? Yuuhi s'est-il plaint de quelque chose la nuit où il a disparu ?
J'étais relativement sceptique quant à cette approche des choses, car il fallait bien l'avouer, les ours avaient pu déjà oublier de quoi je voulais leur parler, mais je nourrissais un peu d'espoir vis-à-vis de leurs souvenirs de la nuit qui nous intéressait.
John - Je pense qu'il a été emmené par des hommes, mais le soigneur n'a pas pu faire ça, alors je voudrais savoir si vous avez senti des odeurs inhabituelles, de personnes n'ayant rien à faire dans le zoo à une heure si tardive et si oui, combien pouvaient-ils être ?
Avec un peu de chance, quelque chose allait ressortir de tout ça, mais je me demandais quelle genre de questions je pouvais véritablement poser à des ours en ayant des réponses qui m'avancent dans toute cette histoire.
John - Si possible, racontez-moi comment s'est déroulée l'ensemble de la nuit où Yuuhi a disparu du zoo s'il vous plaît...
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Jeu 9 Aoû 2018 - 0:29
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
L’ours ne connaît pas le tigre sous le nom de Yuuhi. En fait, le concept de tigre lui est inconnu, mais il finit par comprendre après quelques explications, et à relier le mot à l’odeur et aux sons émis par l’animal, notamment parce qu’il a bien vu quelque chose d’inhabituel. Sa façon d’expliquer n’est pas très claire. C’est toujours ainsi avec les animaux car ils ne s’expriment pas de la même manière que les humains. Les ours ne comprennent pas ce que disent les tigres, et même si c’était le cas, il n’aurait rien entendu, car d’après ce que tu as pu reconstituer, quand le tigre est passé, il dormait profondément. Deux hommes silencieux l’entouraient, et chose surprenante au point que tu te demandes si tu as bien compris, il flottait au-dessus du sol.
Un second ours se retourne, interpelé par la discussion. Se joignant à vous, il t’explique que ça l’a particulièrement marqué, car habituellement, à cette heure de la nuit, un homme, probablement le gardien de nuit, passe devant la cage durant sa ronde, et qu’il n’est pas passé cette nuit-là. En tout cas, aucun des deux ne connaissait l’odeur de ces hommes. Il n’est cependant pas impossible qu’ils soient déjà passés à proximité une ou deux fois, car ils ne retiennent pas l’odeur de tous ces gens qui viennent visiter. Ils sentaient les végétaux, les feuilles mortes et la sève, peut-être. Ils ne peuvent pas t’en dire plus, car ils sont nés au zoo, et cela ne leur est pas très familier.
Cette étrange histoire t'intrigue fortement, te rendant 2 PA.
PA :
John Smith : -2 PA, + 2 PA [reste 4]
Un second ours se retourne, interpelé par la discussion. Se joignant à vous, il t’explique que ça l’a particulièrement marqué, car habituellement, à cette heure de la nuit, un homme, probablement le gardien de nuit, passe devant la cage durant sa ronde, et qu’il n’est pas passé cette nuit-là. En tout cas, aucun des deux ne connaissait l’odeur de ces hommes. Il n’est cependant pas impossible qu’ils soient déjà passés à proximité une ou deux fois, car ils ne retiennent pas l’odeur de tous ces gens qui viennent visiter. Ils sentaient les végétaux, les feuilles mortes et la sève, peut-être. Ils ne peuvent pas t’en dire plus, car ils sont nés au zoo, et cela ne leur est pas très familier.
Cette étrange histoire t'intrigue fortement, te rendant 2 PA.
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Farah Neferet Assaad#98385#98385#98385#98385#98385#98385#98385
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Ven 17 Aoû 2018 - 9:58
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
Tandis que Monsieur Smith pose des questions aux ours, je prends le temps d’observer l’activité autour de moi. Des gens se promènent entre les allées, fixant avec des yeux fascinés les différents animaux exotiques qui constituent la population du Zoo. Aucun d’eux ne me parait suspects. Ils ont un comportement tout à fait habituel pour des visiteurs. Je m’humecte les lèvres pour goûter les odeurs autour de moi, mais je n’en tire pas grand-chose. Elles sont trop nombreuses et trop variées.
Des cris attirent mon attention et je dresse une oreille attentive. Mais ce ne sont que des enfants en visite scolaire, qui s’exclament sur un macaque particulièrement sociable. Leur accompagnateur les surveille de près et peine à faire régner l’ordre. Il faut dire que tant de nouveautés pour des jeunes de cet âge, c’est difficile de contenir leur curiosité, et surtout leur enthousiasme. Là encore, je ne remarque rien d’étrange. L’instituteur se comporte de manière habituelle avec les enfants, et ne nous porte aucune attention. Je finis donc par m’en désintéresser et je continue de faire le guet.
Je remarque un vieil homme qui traîne en regardant les enclos. Intriguée, je poursuis mon observation. Il n’a pas l’air suspect, cependant je préfère être prudente. Les apparences sont souvent trompeuses et il pourrait bien être en reconnaissance. Je me souviens des avertissements de Monsieur Smith. Il faut prêter attention à ceux qui pourraient nous écouter. Cependant il n’a pas l’air de se préoccuper de nous. Il s’agit sans doute d’un simple visiteur. Mais ses pas le rapprochent inexorablement de l’enclos des ours, et c’est un nouveau problème. Son regard finit même par remarquer notre présence. C’est la sonnette d’alarme dans ma tête. Je tire la manche du vieil anglais.
Chose que je pourrais concevoir à sa place ; un européen d’un certain âge qui semble parler à deux ours particulièrement peu farouches, c’est tout ce qu’il y a de plus suspect. Heureusement, John a obtenu les informations qu’il désirait et nous pouvons nous éloigner pour nous poser aléatoirement devant un autre enclos. Maintenant que l’attention du vieux visiteur ne nous est plus acquise, je me tourne vers le changelin.
Je suis particulièrement curieuse de savoir ce qu’ils ont pu s’échange. En plus, j’ai remarqué l’étincelle dans son regard : c’est le signe qu’il a obtenu une information précieuse, et je suis impatiente d’en découvrir la nature.
Des cris attirent mon attention et je dresse une oreille attentive. Mais ce ne sont que des enfants en visite scolaire, qui s’exclament sur un macaque particulièrement sociable. Leur accompagnateur les surveille de près et peine à faire régner l’ordre. Il faut dire que tant de nouveautés pour des jeunes de cet âge, c’est difficile de contenir leur curiosité, et surtout leur enthousiasme. Là encore, je ne remarque rien d’étrange. L’instituteur se comporte de manière habituelle avec les enfants, et ne nous porte aucune attention. Je finis donc par m’en désintéresser et je continue de faire le guet.
Je remarque un vieil homme qui traîne en regardant les enclos. Intriguée, je poursuis mon observation. Il n’a pas l’air suspect, cependant je préfère être prudente. Les apparences sont souvent trompeuses et il pourrait bien être en reconnaissance. Je me souviens des avertissements de Monsieur Smith. Il faut prêter attention à ceux qui pourraient nous écouter. Cependant il n’a pas l’air de se préoccuper de nous. Il s’agit sans doute d’un simple visiteur. Mais ses pas le rapprochent inexorablement de l’enclos des ours, et c’est un nouveau problème. Son regard finit même par remarquer notre présence. C’est la sonnette d’alarme dans ma tête. Je tire la manche du vieil anglais.
- Monsieur Smith, il y a un vieil homme qui nous observe… il vaudrait peut-être mieux s’éloigner des ours, ou il va finir par se poser des questions.
Chose que je pourrais concevoir à sa place ; un européen d’un certain âge qui semble parler à deux ours particulièrement peu farouches, c’est tout ce qu’il y a de plus suspect. Heureusement, John a obtenu les informations qu’il désirait et nous pouvons nous éloigner pour nous poser aléatoirement devant un autre enclos. Maintenant que l’attention du vieux visiteur ne nous est plus acquise, je me tourne vers le changelin.
- Pendant que vous parliez avec vos amis, j’ai prêté attention à l’activité du Zoo. Cependant, à part quelques passants et une classe de primaires en visite scolaire, il n’y a pas grand-chose qui me saute aux yeux. Tout a l’air plutôt calme et habituel, ici. Il y avait bien ce vieil homme de l’instant qui a fini par nous remarquer, mais je ne crois pas qu’il s’intéresse à autre chose que les pensionnaires de Kozakai.
Je n’ai donc rien vu de suspect ; tout semble relever de la routine pour ce Zoo. Et les odeurs ne m’ont rien appris, elles sont trop variées et trop nombreuses pour que je puisse en tirer quelque chose. Peut-être sous forme animale, à la limite… Et vous, que vous ont appris les ours ?
Je suis particulièrement curieuse de savoir ce qu’ils ont pu s’échange. En plus, j’ai remarqué l’étincelle dans son regard : c’est le signe qu’il a obtenu une information précieuse, et je suis impatiente d’en découvrir la nature.
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Ven 17 Aoû 2018 - 16:44
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Fin du tour. Le vieil homme qui était intrigué par John a juste l'air de penser qu'il est bizarre et reprend sa marche. Rien ne se passe.
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Ven 17 Aoû 2018 - 17:22
Parler avec des ours était quelque chose que je n'avais pas fait depuis de nombreuses années et je dois dire que j'aurai bien pu m'en sortir avec moins d'informations que nous n'en avons eu d'eux. Il se trouve qu'ils ne comprenaient pas vraiment de quoi je parlais, il est vrai qu'ils ne discutent pas avec d'autres créatures que des ours, donc il ne devait pas vraiment comprendre l'entièreté des paroles du tigre. Toutefois, ils ont fini par comprendre que je parlais du tigre et alors les indices ont commencé à émerger. C'est juste après cela que Farah a attiré mon attention sur le fait que nous devions nous éloigner un peu de là avant qu'un homme ne puisse décemment comprendre que j'étais en train de converser avec deux ours.
Une fois devant un autre enclos, je me suis tourné vers Farah pour commencer à lui expliquer le peu d'informations que j'avais eu, mais qui allaient nous orienter sous peu vers l'enclos du tigre.
John - Nous avons le début d'une piste Farah. Les ours n'ont pas entendu le garde faire sa ronde habituelle ce soir-là, il faudra nous inquiéter de ce qui a pu se passer avec lui, il a bien pu être drogué pour les besoins du vol.
Je prenais un instant pour réfléchir à ce qui avait été dit par les ours pour retracer vaguement un schéma du soir du vol. Un petit groupe de personnes très singulières a pénétré dans le zoo et a empêché le garde de venir faire sa ronde à l'heure habituelle. Le groupe est malheureusement indénombrable, mais s'ils ont échappé aux caméras de sécurité du zoo, les membres de ce groupe sont bien formés et rôdé à ce genre d'opérations.
John - Il y avait plusieurs hommes qui sont passés à proximité selon les ours et sont sans doute mêlés à notre affaire. Le problème c'est qu'ils ne sont certain de rien et m'ont donné une information relativement étrange. D'après les ours, ces hommes sentiraient les feuilles mortes et la sève, une forte odeur de végétaux en sommes. Cela pour moi n'a pas beaucoup de sens...
Je pourrais utiliser l'odorat de ma forme de rat, ou plutôt je le devais puisque le rat est doté d'un odorat trois cents fois supérieur à celui de l'homme et fait de lui le meilleur nez du règne animal à quelques exceptions près qui arrive à le concurrencer comme l'éléphant. La forme de serpent de Farah sera également des plus utiles, car les vieilles odeurs qui ont cessé d'être en sustentation dans l'air en général laissent tout de même des particules ici et là qu'un serpent peut repérer grâce à son sens du goût si aiguisé lui servant d'odorat.
Je me tournais à nouveau vers Farah avec un regard déterminé par le schéma de pensée que je venais d'avoir.
John - Nous allons devoir nous introduire dans l'enclos du tigre. J'irai en premier pour m'assurer que tout est normal, puis tu me rejoindras. Il faudra que tu t'imprègnes de ce goût de végétaux, ce mélange d'odeurs. Après quoi nous iront un autre jour faire quelques recherches dans la forêt de Nakanoto, car je vois mal des odeurs pareilles ailleurs que là-bas.
Nous nous sommes dirigés vers l'enclos de Yuuhi comme si de rien n'était pour ne pas attirer l'attention avant de le contourner légèrement pour aller dans un petit coin plus discret. C'est à ce moment-là que j'ai pris ma forme de rat pour m'introduire dans l'enclos et passer au crible le panel d'odeur qu'il pouvait encore y avoir tout demeurant conscient que cela ne serait pas des plus évident.Action : Flairer tout l’enclo
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Coût en PA : 2PA
Le plus difficile est de faire en sorte d'inscrire l'odeur dans sa mémoire, d'autant qu'un rat utilise son odorat comme principal champ perceptif ce qui est loin d'être banal. On a du mal à se présenter un monde qui est dessiné par son nez et non ses yeux, mais pourtant ainsi qu'un rat détermine son environnement. Je ne vois pas à plus de deux ou trois mètres en tant que rat, mais mes moustaches perçoivent la moindre petite vibration du sol et mon nez fait le reste du travail en traitant les odeurs.
Après mon petit tour je suis revenu auprès de Farah pour à nouveau redevenir humain discrètement à l'abri d'une petite poubelle du zoo.
John - Il ne faut pas être hésitante ma chère Farah, aujourd'hui, je t'initie à quelque chose que tu as dans le sang.
Je lui disais cela avec un large sourire bienveillant et plein de confiance. Cette petite, j'étais littéralement en train de lui apprendre les bases de l'espionnage, de la récolte d'informations et d'indice, mais à la manière des changelins comme moi ou sa mère en sommes. J'étais très fier de la confiance qu'elle avait développée en elle quand elle a fait le guet pendant que je parlais aux ours. À n'en pas douter, sa mère allait être très fière d'elle lorsque j'allais lui en parler.
Pourtant quelque chose ne cessait de tourner encore et encore dans ma tête, une chose étrange qu'avait évoqué l'un des ours. Il avait dit que Yuuhi flottait au dessus du sol, mais une telle chose ne saurait être concevable, à moins que des vampires ne soient impliqué là-dedans pourquoi pas.
John - Juste une chose Farah, l'un des ours m'a dit une chose bien singulière... Le tigre lorsqu'il a été emmené par ces hommes flottait au dessus du sol... Je ne sais pas encore ce que ça veut dire, mais peut-être que des vampires ne sont pas à exclure de cette histoire...
Il faudrait que j'aborde cela avec Junya Ryan pour en savoir plus, peut-être connaissait-il un vampire capable de faire léviter un tigre au dessus du sol et plus encore, peut-être savait-il pourquoi le tigre a été enlevé.
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Dim 19 Aoû 2018 - 23:32
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Tu reconnais l'odeur forte d'un félin très ancrée. Plus discrète derrière, tu penses reconnaître l'odeur décrite par l'ours, une odeur d'humains additionnée d'humus et de sève de conifère qui te fait fortement penser à la forêt de Nakanoto. Tu sens aussi d'autres odeurs animales extrêmement discrète. Peut-être un singe, ou un tanuki, ou les deux. En tout cas, ils ne doivent pas être venus ici. L'odeur est trop faible. Elle doit s'être mêlée à celle du tigre ou des humains. Tu trouves un cheveu noir par terre.
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Sam 25 Aoû 2018 - 16:48
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
J’écoute Monsieur Smith me raconter ce qu’il a appris avec un grand intérêt. Je pose un index replié sur mon menton, en pleine réflexion, tout en l’écoutant. Ainsi donc, le garde n’a pas fait sa ronde cette nuit-là. Ça explique pourquoi il n’a rien vu. Ça implique que quelqu’un l’en a empêché. Il ne s’agit donc pas d’un simple accident. C’était un enlèvement prémédité, réalisé par un ou des personnes méthodiques et soigneuses. Cependant, ça n’explique toujours pas les circonstances étranges : la clé n’a pas bougé, la serrure n’a pas été forcée. Quelqu’un devait connaître l’emplacement de la première. Quelqu’un qui a fait du repérage avant, peut-être ? Si c’est le cas, son odeur doit être plus implantée que les autres.
Je tique à la nouvelle information que m’apporte John. Des feuilles mortes et de la sève… ce sont des fragrances qui se démarquent particulièrement dans la forêt. Ces hommes seraient donc passé par là avant de venir au Zoo pour enlever Yuuhi. Je ne sais pas si ce serait suffisant pour la repérer parmi toutes les molécules volatiles des lieux, ceci-dit. Il nous faudrait analyser les odeurs… Le vieil homme parvient à la même conclusion que moi car il propose d’utiliser nos formes animales pour inspecter la cage. Je hoche vigoureusement la tête pour montrer mon accord. Je le suis jusqu’à l’enclos en veillant à paraître la plus naturelle possible. Nous nous arrêtons dans un petit coin à l’abris des regards indiscrets.
Je guette soigneusement les alentours pour veiller à ce que personne ne nous voit. Je fais signe à John qu’il peut y aller en toute quiétude. Je continue de surveiller tandis que le rat renifle chaque recoin de la cage. Après de longues minutes, il revient vers moi et reprend forme humaine.
Je lui souris. Il doit sans doute avoir raison. C’est tout nouveau pour moi. C’est la première fois que je me montre si aventurière ; d’ordinaire, je stresse à chaque fois que je m’éloigne de la maison dans un environnement inconnu. Enfin bon. Je m’apprête à aller lorsqu’il ajoute quelque chose. Je le regarde avec des grands yeux. Il me faut quelques secondes pour enregistrer ce qu’il vient de dire. Puis je réalise ce qu’il vient de me dire et je commence à trembler.
Je ne connais pas de vampire moi-même. Du moins, pas à ma connaissance ; j’en ai peut-être déjà croisé sans le savoir. Mais l’idée que des êtres si puissants soient mêlés à la disparition du tigre me terrifie. Cette petite exploration du zoo est passionnante, mais je ne pense pas avoir les ressources de continuer l’enquête avec lui après. De toute manière, Mama ne me laisserait pas me mettre en danger comme ça. Je secoue la tête. Pour le moment, il me faut aller dans cette cage.
Au signe de l’anglais, après un dernier coup d’œil à notre environnement, je dépose mon sac et me transforme en cobra égyptien, à l’abri de la petite poubelle. Aussitôt, les odeurs me parviennent par dizaine. Plus fortes, plus détaillées, plus complexes. Je darde ma langue plusieurs fois avant de ramper sur la terre battue pour m’avancer jusqu’à la cage du fauve. Je me glisse aisément entre les barreaux et je sors ma langue ultra-sensible pour analyser les particules odorantes qui flottent dans l’air. Je me dresse sur mon corps filiforme pour en capter davantage.
Je prends également le temps de m’imprégner de la fameuse odeur de feuilles mortes et de sève, que je reconnais aisément, même si elle semble plus « ancienne » que les autres. Les propriétaires n’ont pas dû rester bien longtemps, car les faits sont récents, mais l’odeur est peu marquée. Ils ont donc agi vite, ce qui est surprenant compte tenu du gabarit de l’animal. Ils ont dû trouver un moyen de l’endormir facilement, probablement le même que pour le gardien.
Après mon inspection minutieuse, je reviens auprès de Monsieur John et reprends forme humaine. Cette expérience était intéressante, je dois dire, même si je ressens à présent le stress du danger potentiel.
Je tique à la nouvelle information que m’apporte John. Des feuilles mortes et de la sève… ce sont des fragrances qui se démarquent particulièrement dans la forêt. Ces hommes seraient donc passé par là avant de venir au Zoo pour enlever Yuuhi. Je ne sais pas si ce serait suffisant pour la repérer parmi toutes les molécules volatiles des lieux, ceci-dit. Il nous faudrait analyser les odeurs… Le vieil homme parvient à la même conclusion que moi car il propose d’utiliser nos formes animales pour inspecter la cage. Je hoche vigoureusement la tête pour montrer mon accord. Je le suis jusqu’à l’enclos en veillant à paraître la plus naturelle possible. Nous nous arrêtons dans un petit coin à l’abris des regards indiscrets.
Je guette soigneusement les alentours pour veiller à ce que personne ne nous voit. Je fais signe à John qu’il peut y aller en toute quiétude. Je continue de surveiller tandis que le rat renifle chaque recoin de la cage. Après de longues minutes, il revient vers moi et reprend forme humaine.
- Il ne faut pas être hésitante ma chère Farah, aujourd'hui, je t'initie à quelque chose que tu as dans le sang.
Je lui souris. Il doit sans doute avoir raison. C’est tout nouveau pour moi. C’est la première fois que je me montre si aventurière ; d’ordinaire, je stresse à chaque fois que je m’éloigne de la maison dans un environnement inconnu. Enfin bon. Je m’apprête à aller lorsqu’il ajoute quelque chose. Je le regarde avec des grands yeux. Il me faut quelques secondes pour enregistrer ce qu’il vient de dire. Puis je réalise ce qu’il vient de me dire et je commence à trembler.
- Des… des vampires ? ça m’a l’air bien dangereux, finalement, cette histoire…
Je ne connais pas de vampire moi-même. Du moins, pas à ma connaissance ; j’en ai peut-être déjà croisé sans le savoir. Mais l’idée que des êtres si puissants soient mêlés à la disparition du tigre me terrifie. Cette petite exploration du zoo est passionnante, mais je ne pense pas avoir les ressources de continuer l’enquête avec lui après. De toute manière, Mama ne me laisserait pas me mettre en danger comme ça. Je secoue la tête. Pour le moment, il me faut aller dans cette cage.
Au signe de l’anglais, après un dernier coup d’œil à notre environnement, je dépose mon sac et me transforme en cobra égyptien, à l’abri de la petite poubelle. Aussitôt, les odeurs me parviennent par dizaine. Plus fortes, plus détaillées, plus complexes. Je darde ma langue plusieurs fois avant de ramper sur la terre battue pour m’avancer jusqu’à la cage du fauve. Je me glisse aisément entre les barreaux et je sors ma langue ultra-sensible pour analyser les particules odorantes qui flottent dans l’air. Je me dresse sur mon corps filiforme pour en capter davantage.
Action : Analyser les odeurs de l’enclos
Prédéfinie ou secrète : Secrète
Coût en PA : 2PA
Prédéfinie ou secrète : Secrète
Coût en PA : 2PA
Je prends également le temps de m’imprégner de la fameuse odeur de feuilles mortes et de sève, que je reconnais aisément, même si elle semble plus « ancienne » que les autres. Les propriétaires n’ont pas dû rester bien longtemps, car les faits sont récents, mais l’odeur est peu marquée. Ils ont donc agi vite, ce qui est surprenant compte tenu du gabarit de l’animal. Ils ont dû trouver un moyen de l’endormir facilement, probablement le même que pour le gardien.
Après mon inspection minutieuse, je reviens auprès de Monsieur John et reprends forme humaine. Cette expérience était intéressante, je dois dire, même si je ressens à présent le stress du danger potentiel.
- Alors, qu’avez-vous remarqué ?
Inquiétude
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Lun 27 Aoû 2018 - 13:33
Station balnéaire de Kozakai
« Zoo »
Grâce à ta langue, tu ressens mieux les odeurs anciennes. Tu perçois la même chose, mais tu es certaine de sentir une odeur de singe et de tanuki, ainsi que celle très discrète d'un serpent, même si tu ne saurais dire lequel.
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Farah Neferet Assaad : -2 PA, + 1 PA [reste 3]
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Lun 27 Aoû 2018 - 13:39
J’ai vu la peur dans son regard lorsque j’ai parlé de vampire et c’est à ce moment précis que j’ai compris que c’était le bout du chemin pour elle dans cette enquête. Il ne fallait pas que je lui en demande trop, elle avait déjà été si forte jusqu’à cet instant et il aurait été dommage de rétropédaler en lui faisant peur. Elle avait tellement pu se développer grâce à l’excitation de la situation que c’était déjà un grand pas en avant pour elle. Je poursuivrai cette enquête seul à n’en pas douter.
Quoi qu’il en soit, elle a pris sa forme de cobra pour se faufiler dans la cage et faire l’inventaire des odeurs que son formidable sens du goût lui permettait sans doute d’avoir. C’était amusant de la voir ainsi oeuvrer comme la changeline de mère qu’elle avait et comme l’espion changelin que je fût également. En soit elle avait un sacré potentiel cette petite et je ne pouvais pas me sortir de la tête qu’elle devait recevoir une formation digne de du digne héritage que je supposais depuis ma rencontre avec sa mère.
Elle ne tarda pas à revenir de la cage après s’être lobé et avoir étiré son corps vers le haut pour capter au mieux la moindre odeur qui aurait pu rester dans l’air. Pendant ce temps, je prenais soin de mettre le cheveux noir que j’avais trouvé dans la cage dans une petite pochette en plastique comme les policier peuvent avoir pour de petits indices. Il faudrait que j’aille faire analyser ce cheveux dans un laboratoire privé, ce qui ne serait pas forcément très difficile. Toutefois il était aussi envisageable d’analyser cela à l’université au vu des moyens dont l’établissement disposait, le département de biologie était très bien achalandé.
Elle finit par revenir auprès de moi pour me demander ce que j’avais remarqué ce à quoi je me dépêchait de lui montrer le cheveux dans le plastique avant de le ranger dans mon attaché-case.
John - J’ai trouvé cela sur le sol de cage, ainsi que l’odeur dont m’avaient parlé les ours. Cependant j’ai aussi senti comme une odeur de singe ou de tanuki, peut-être même les deux, mais sans doute lié au hommes qui sont venus aux vues de la subtilité de ces odeurs.
Je prendrai le temps de faire analyser cela à l’université ou à un laboratoire privé, mais j’osai espérer que peut être… étant que tu en a déjà beaucoup fait et que tu es en étude de biologie, tu pourrais peut-être voir dans un premier temps si ce cheveux, ou poil est humain.
Je garnissais mes paroles de sourires remplis de fierté envers elle pour tout ce qu’elle venait de faire depuis que nous étions arrivé au zoo. Mais il fallait que le danger pour elle s’arrête ici.
John - Ne t’en fais pas, je verrai avec mon contact vampire si il peut m’en dire plus, mais tu n’aura pas à te soucier de cette histoire après cela. Si tu peux jeter un coup d’oeil à ce poil, ce serait merveilleux. Je suis très fier de toi Farah, et je suis certain que ta mère le sera également. Tu as remarqué quelque chose de plus ?
Je commençais à songer à une chose aussi évidente que le nez au milieu de la figure, mais il fallait également que nous faisions attention à nous si jamais cette odeur nous arrivait à proximité sans que cela soit normal.
John - L’odeur d’humus et de sève de conifère avec des odeurs animal ne sont pas très courante, aussi, si jamais tu perçois ces odeurs sur le campus ou à proximité de toi, tu m’appel aussitôt et tu fais attention à toi.
Je m’assurais d’appuyer mes paroles avec un sourire confiant pour la rassurer et ne surtout pas la braquer.
En tout cas à ce moment-là, nous ne pouvions plus vraiment avancer vers d’autres indices à moins de pirater le système de sécurité pour éventuellement avoir des informations sur qui aurait pu le trafiquer pour s’introduire dans le zoo. Il ne nous restait plus qu’à profiter de la fin de cette journée au zoo comme nous le voulions au début et nous diriger vers les volières.
J’avais pris une brochure du zoo en entrant qui était tout de même d’une bonne taille et il s’était par conséquent offert le luxe de bon nombres d’oiseaux exotiques.
John - Nous devrions maintenant aller vers les oiseaux qu’en dis-tu ?
Farah Neferet Assaad#98613#98613#98613#98613#98613#98613#98613
Changelin Serpent - Civil
Race : Changelin cobra égyptien
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Sam 8 Sep 2018 - 18:03
Une recherche sous le soleil de Kozakai
Feat John Smith
Je regarde attentivement le poil noir que Monsieur Smith a trouvé sur le sol de la cage. Sans outils pour l’analyser, il va m’être difficile de porter un jugement. Cependant je fais appel à mes connaissances en biologie pour déterminer sa nature. Après quelques secondes, je finis par hocher la tête. Je n’ai aucune certitude, mais je ne pense pas que ça vienne d’un animal.
Je repense à ce qu’a dit John. J’ai également senti la même chose que lui dans la cage. Sauf que j’ai cru discerner en plus une note de reptile, de serpent plus précisément. Je n’aurais su dire quelle espèce, car elles sont trop nombreuses et j’en ai trop peu fréquenté pour affirmer quoique ce soit. Je sais au moins qu’il ne s’agit pas d’un cobra égyptien.
Cette histoire commence à devenir très complexe. Deux hommes, sans doute des vampires de ce que dit John, ou tout du moins l’un d’eux, qui kidnappent un tigre, et possèdent probablement d’autres animaux… Il pourrait s’agir d’un trafic. Mais pourquoi, s’ils sont des créatures surnaturelles ? La raison m’échappe. Ou… est-ce qu’il s’agirait de cobayes ? Cette pensée me fait frissonner. Mon côté animal compatit au sort de ces pauvres bêtes.
L’ami de Mama me rassure sur la suite des événements. J’avoue que je préfère en rester là. Je n’ai pas envie de me mettre en danger en enquêtant davantage sur une histoire qui implique des créatures surnaturelles. Je veux dire, j’en suis une aussi, et je suis capable de tuer un homme adulte avec mon venin de cobra, cependant, je ne pense pas faire le poids devant ces suceurs de sang dont on parle dans les légendes. Quand John me met en garde, je hoche fébrilement la tête.
De toute façon, je ne serais pas capable de faire autre chose. Me connaissant, si je détecte une telle odeur, je vais paniquer et je pourrais même oublier d’appeler le vieil anglais. J’opine lorsqu’il me propose de nous diriger vers l’enclos des oiseaux. C’est un très bon changement de sujet. Je sens l’anxiété qui me quitte progressivement. Je laisse prendre la tête et le suis docilement jusqu’au premier enclos de rapaces. Dès que j’aperçois un volatile, mon visage s’illumine et je m’approche de la vitrine pour l’observer.
C’est justement celui qui m’inspire le plus, présentement. Mais je préfère garder l’esprit ouvert. Il y a plusieurs petits rapaces que je trouve attrayants, comme la buse ou l’épervier. Et certaines espèces se retrouvent aussi sur l’archipel. Après une longue observation, à déambuler parmi les volières, je finis par me tourner vers Monsieur Smith.
- Pour moi, c’est bien un poil humain. Un cheveu, donc, noir. Mais il vaut mieux demander confirmation auprès d’un spécialiste.
Je repense à ce qu’a dit John. J’ai également senti la même chose que lui dans la cage. Sauf que j’ai cru discerner en plus une note de reptile, de serpent plus précisément. Je n’aurais su dire quelle espèce, car elles sont trop nombreuses et j’en ai trop peu fréquenté pour affirmer quoique ce soit. Je sais au moins qu’il ne s’agit pas d’un cobra égyptien.
- J’ai senti la même chose que vous. Mais il y a aussi l’odeur très ténue d’un serpent. Je ne sais pas quelle espèce, mais je ne l’ai jamais rencontrée encore, ça c’est sûr. C’est étrange de sentir autant d’odeur animales différentes dans un lieu comme celui-ci. Ils sentent fortement la forêt, ils doivent donc en venir. Ils sentent le tanuki, le singe et le serpent, ils ont donc été en contact prolongé avec ces trois animaux. Mais, ce ne sont pas des espèces qui se fréquentent… Ces bêtes ont dû être rassemblées dans un même endroit. Il est possible que ces hommes aient mis la main sur d’autres animaux.
Cette histoire commence à devenir très complexe. Deux hommes, sans doute des vampires de ce que dit John, ou tout du moins l’un d’eux, qui kidnappent un tigre, et possèdent probablement d’autres animaux… Il pourrait s’agir d’un trafic. Mais pourquoi, s’ils sont des créatures surnaturelles ? La raison m’échappe. Ou… est-ce qu’il s’agirait de cobayes ? Cette pensée me fait frissonner. Mon côté animal compatit au sort de ces pauvres bêtes.
L’ami de Mama me rassure sur la suite des événements. J’avoue que je préfère en rester là. Je n’ai pas envie de me mettre en danger en enquêtant davantage sur une histoire qui implique des créatures surnaturelles. Je veux dire, j’en suis une aussi, et je suis capable de tuer un homme adulte avec mon venin de cobra, cependant, je ne pense pas faire le poids devant ces suceurs de sang dont on parle dans les légendes. Quand John me met en garde, je hoche fébrilement la tête.
- Oui, promis, je n’y manquerai pas…
De toute façon, je ne serais pas capable de faire autre chose. Me connaissant, si je détecte une telle odeur, je vais paniquer et je pourrais même oublier d’appeler le vieil anglais. J’opine lorsqu’il me propose de nous diriger vers l’enclos des oiseaux. C’est un très bon changement de sujet. Je sens l’anxiété qui me quitte progressivement. Je laisse prendre la tête et le suis docilement jusqu’au premier enclos de rapaces. Dès que j’aperçois un volatile, mon visage s’illumine et je m’approche de la vitrine pour l’observer.
- J’aime toujours l’idée d’un aigle, mais sinon, je pensais aussi à un oiseau qui se fonde dans la population animale du Japon. Puisque je suis un cobra égyptien de base, c’est certes discret, et pourtant si jamais on me regarde de plus près on verra bien que je n’ai rien d’un animal indigène. Après, il y a plusieurs espèces d’aigle au Japon je crois. L’aigle royale, notamment.
C’est justement celui qui m’inspire le plus, présentement. Mais je préfère garder l’esprit ouvert. Il y a plusieurs petits rapaces que je trouve attrayants, comme la buse ou l’épervier. Et certaines espèces se retrouvent aussi sur l’archipel. Après une longue observation, à déambuler parmi les volières, je finis par me tourner vers Monsieur Smith.
- Vous pensez que ce serait possible d’obtenir une plume de plusieurs espèces ? Comme ça, le jour où je suis décidée, je n’aurai pas à revenir ici, j’aurai déjà l’ADN.
Voler comme un oiseau
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