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Alessio O. Di Altiero#99537#99537#99537#99537#99537#99537#99537
Vampire Level A - Chef du clan di Altiero
Race : Vampire
Couleur : #00ccff
Avatar : Prince Dragon Phoenix de My Mystic Dragons
Date d'inscription : 12/03/2014
Nombre de messages : 346
Emploi/loisirs : Chef Di Altiero, Vulcanologue et Historien d'Art
Yens : 101
Feuille de personnage
Pouvoirs / sorts / dons:
Objets utilisables en rp:
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Jeu 20 Déc 2018 - 17:32
Première rencontre : Rejet ou Acceptation ?
Feat Vilhelm A. Jarlsonfel & Alessio Di Altiero
Après cette mise au point et ce toast, Vilhelm lève son visage vers le ciel. Tel un enfant, l’enfant de jadis, avec les yeux fermés, un sourire vient s’épanouir lentement et délicatement sur son visage de guerrier. Cela adoucit ces traits mais aussi me montre que sous sa carapace, son âme et son cœur battent à l’unisson apaisés. Lorsqu’il reporte son attention sur moi, redécouvrant le monde avec ses yeux nouvellement ouvert, c’est une véritable flamme qui danse au fond de ces prunelles. Qu’est-ce qu’il me réserve encore ?
« - Nul besoin de cadeau, tu viens de m’offrir le plus beau des présents. »
Pardon ? Plaît-il ? Aurais-je laissé m’échapper un élément précédent ? Que tu crois mon jeune ami ! J’ai bien l’intention de te trouver un cadeau tangible, je crois même avoir une petite idée germant dans un coin de mon esprit. Oui je pense même qu’elle sera parfaite. J’avale une nouvelle gorgée en souriant, peut-être de manière ostentatoirement mutine, mais qu’importe la brebis face à moi ne semble pas le noter. Il est fort probable qu’à ce stade, le whiskey commence à lui tourner la tête, du moins un peu. Pour cette fois, je loue la résistance de ma race à l’alcool puisqu’elle me permet de conserver ma lucidité.
« - Permet moi de changer de sujet mais ... Dis Al, j’ai une question. Cette femme que ta mère est si heureuse que tu acceptes de rencontrer, de quelle famille elle vient ? On vient à peine de faire connaissance pour de vrai, et je crois qu’on peut s’accorder sur le fait que c’était tendu. Mais si ta nouvelle « épouse » apprend qui est ton meilleur ami, j’ai peur que ça ne nous sépare, ou pire encore que ça ne vous sépare vous ... Jeg vil ikke miste deg, men jeg vil ikke skade deg. Din lykke er verdifull for meg, og hvis jeg må forsvinne fra livet ditt slik at du endelig kan være glad, da vil jeg gjøre det. »
Alors là, je suis ... on ne peut plus surpris. Tu crains à ce point-là ma fiancée ? De plus je ne peux même pas te renseigner, n’ayant pas fait mon boulot pour une fois. Les Von Reizel ne sont pas comment dire ... Pas tous très recommandable, bien que le fils soit un tout petit peu mieux que le père. Cependant, j’ai fait parvenir un présent pour la naissance de la jeune Anna Lena, il y a ... une soixantaine d’année à peu près. De plus j’ai eu vent de sa retraite, probablement non volontaire ici au Japon. J’aurai définitivement dû faire de plus ample rechercher sur elle. Je verrais ça plus tard, j’ai encore du temps après tout.
Vilhelm ... va falloir je crois que je t’explique ce qu’est ma mère en réalité. Les level E sont des monstres, pas besoin de revenir dessus mais elle ... elle c’est pareil en beaucoup plus retord. En somme un level E en mode vipère sournoise, au minima ! Parce qu’il ne faut pas seulement être vile mais aussi amoral et dénué de conscience pour agir comme elle a pu le faire par le passer, vis-à-vis de moi notamment. Bien que je la soupçonne très fortement, et probablement à raison, d’être en cause dans le départ soudain de mon petit frère et de son refus de revenir chez nous.
S’il y a bien une femme de mon entourage que tu devrais redouter jeune homme, c’est bien ma mère. Je ne peux malheureusement que la museler, la freiner, tant que je n’ai pas définitivement décidé de lui offrir moi-même son urne funéraire. Cependant je t’entends reprendre la parole Vil, je me suis un peu égaré dans mes pensées, mais il me fallait au moins ceci pour pouvoir te répondre ... et certainement te montrer que je ne suis point infaillible.
« - I mellomtiden har jeg tenkt å nyte litt mer av denne dagen ! Que dirais-tu de finir ton verre et de rentrer avec moi ? Pourquoi attendre, viens voir ma forge aujourd’hui ! Qu’en dis-tu ? Le seigneur Di Altiero a-t-il encore un peu de place dans son agenda de ministre pour le simple forgeron que je suis ? »
Son sourire provoquant et avenant montre à quel point l’alcool lui tourne la tête. Comme si je ne pouvais pas trouver du temps pour lui, je ne fais que ce que je veux depuis des décennies. Je reporte des tâches, en avance d’autres, travaille au milieu de la nuit ou de la journée, una farfalla (un papillon) comme dirais à juste titre Vittoria.
« - Pour tout te dire ma fiancée vient de la famille des Von Reizel, la famille dirigeant le clan allemand. Mais je saurais bien en peine de te dire quoi que ce soit sur ma promise, hormis le fait qu’elle est la fille cadette du chef actuel du clan, qu’elle réside au Japon et a une soixantaine d’année. J’avoue ne pas avoir fait mes devoirs sur le sujet. Cependant je pense que ce n’est pas elle que tu devrais redouter, car pour l’instant il n’y a rien de plus qu’un accord tacite entre son père et moi, il est donc possible que je rompe ses fiançailles. Et en toute honnêteté, selon le coup fourré que le vieux Von Reizel m’a préparé ce n’est pas impossible. La seule femme de mon entourage à craindre est ma diabolique mère et ses idées à deux lire italienne. »
Terminant mon verre, je fais signe au serveur de nous apporter l’addition. Ce cher ours nordique a raison, il est temps de lever le camp et pourquoi pas pour sa forge.
« - Tu n’auras pas à t’effacer pour que je sois heureux, tu fais parti de mes proches amis, un des rares à dire vrai. Il est donc, légitimement, hors de question que tu puisses partir ainsi. Il n’y aura que le temps qui aura l’accord pour t’éloigner de moi ... et encore rien n’est encore certain sur ce point. Sur ce point, tu peux donc te rassurer. Lorsque j’aurai rencontré ma fiancée, et que j’en saurais plus sur elle par la même occasion, je viendrai prendre un verre avec toi pour t’en parler. Mais une nouvelle fois, tu ne dois redouter que ma vipère de mère. C’est l’épine que j’ai dans le pied et dont, pour l’instant, par surcroît je n’ai pas trouvé la foi de m’en défaire. »
Le serveur apporte l’addition, sans laisser le temps à ce grand nounours bien alcoolisé de réagir, je paie nos consommations. Suite à quoi je me lève et l’aide à en faire de même. Il possède aussi une bonne résistance à l’alcool ! Heureusement d’ailleurs, puisque je ne connais pas le chemin pour aller jusqu’à sa forge. Je pense qu’on va bien s’amuser sur place. Potentiellement je pourrai même le surprendre encore.
« - Aller montre moi le chemin de ton humble forge, mon agenda de ministre souffrira de mon absence pour le reste de la journée sans le moindre souci. »
C’est avec mon sourire, plus mutin et radieux que jamais, que je le suis donc à travers la place en direction de sa forge. Allons mettre le feu aux fourneaux.
« - Nul besoin de cadeau, tu viens de m’offrir le plus beau des présents. »
Pardon ? Plaît-il ? Aurais-je laissé m’échapper un élément précédent ? Que tu crois mon jeune ami ! J’ai bien l’intention de te trouver un cadeau tangible, je crois même avoir une petite idée germant dans un coin de mon esprit. Oui je pense même qu’elle sera parfaite. J’avale une nouvelle gorgée en souriant, peut-être de manière ostentatoirement mutine, mais qu’importe la brebis face à moi ne semble pas le noter. Il est fort probable qu’à ce stade, le whiskey commence à lui tourner la tête, du moins un peu. Pour cette fois, je loue la résistance de ma race à l’alcool puisqu’elle me permet de conserver ma lucidité.
« - Permet moi de changer de sujet mais ... Dis Al, j’ai une question. Cette femme que ta mère est si heureuse que tu acceptes de rencontrer, de quelle famille elle vient ? On vient à peine de faire connaissance pour de vrai, et je crois qu’on peut s’accorder sur le fait que c’était tendu. Mais si ta nouvelle « épouse » apprend qui est ton meilleur ami, j’ai peur que ça ne nous sépare, ou pire encore que ça ne vous sépare vous ... Jeg vil ikke miste deg, men jeg vil ikke skade deg. Din lykke er verdifull for meg, og hvis jeg må forsvinne fra livet ditt slik at du endelig kan være glad, da vil jeg gjøre det. »
Alors là, je suis ... on ne peut plus surpris. Tu crains à ce point-là ma fiancée ? De plus je ne peux même pas te renseigner, n’ayant pas fait mon boulot pour une fois. Les Von Reizel ne sont pas comment dire ... Pas tous très recommandable, bien que le fils soit un tout petit peu mieux que le père. Cependant, j’ai fait parvenir un présent pour la naissance de la jeune Anna Lena, il y a ... une soixantaine d’année à peu près. De plus j’ai eu vent de sa retraite, probablement non volontaire ici au Japon. J’aurai définitivement dû faire de plus ample rechercher sur elle. Je verrais ça plus tard, j’ai encore du temps après tout.
Vilhelm ... va falloir je crois que je t’explique ce qu’est ma mère en réalité. Les level E sont des monstres, pas besoin de revenir dessus mais elle ... elle c’est pareil en beaucoup plus retord. En somme un level E en mode vipère sournoise, au minima ! Parce qu’il ne faut pas seulement être vile mais aussi amoral et dénué de conscience pour agir comme elle a pu le faire par le passer, vis-à-vis de moi notamment. Bien que je la soupçonne très fortement, et probablement à raison, d’être en cause dans le départ soudain de mon petit frère et de son refus de revenir chez nous.
S’il y a bien une femme de mon entourage que tu devrais redouter jeune homme, c’est bien ma mère. Je ne peux malheureusement que la museler, la freiner, tant que je n’ai pas définitivement décidé de lui offrir moi-même son urne funéraire. Cependant je t’entends reprendre la parole Vil, je me suis un peu égaré dans mes pensées, mais il me fallait au moins ceci pour pouvoir te répondre ... et certainement te montrer que je ne suis point infaillible.
« - I mellomtiden har jeg tenkt å nyte litt mer av denne dagen ! Que dirais-tu de finir ton verre et de rentrer avec moi ? Pourquoi attendre, viens voir ma forge aujourd’hui ! Qu’en dis-tu ? Le seigneur Di Altiero a-t-il encore un peu de place dans son agenda de ministre pour le simple forgeron que je suis ? »
Son sourire provoquant et avenant montre à quel point l’alcool lui tourne la tête. Comme si je ne pouvais pas trouver du temps pour lui, je ne fais que ce que je veux depuis des décennies. Je reporte des tâches, en avance d’autres, travaille au milieu de la nuit ou de la journée, una farfalla (un papillon) comme dirais à juste titre Vittoria.
« - Pour tout te dire ma fiancée vient de la famille des Von Reizel, la famille dirigeant le clan allemand. Mais je saurais bien en peine de te dire quoi que ce soit sur ma promise, hormis le fait qu’elle est la fille cadette du chef actuel du clan, qu’elle réside au Japon et a une soixantaine d’année. J’avoue ne pas avoir fait mes devoirs sur le sujet. Cependant je pense que ce n’est pas elle que tu devrais redouter, car pour l’instant il n’y a rien de plus qu’un accord tacite entre son père et moi, il est donc possible que je rompe ses fiançailles. Et en toute honnêteté, selon le coup fourré que le vieux Von Reizel m’a préparé ce n’est pas impossible. La seule femme de mon entourage à craindre est ma diabolique mère et ses idées à deux lire italienne. »
Terminant mon verre, je fais signe au serveur de nous apporter l’addition. Ce cher ours nordique a raison, il est temps de lever le camp et pourquoi pas pour sa forge.
« - Tu n’auras pas à t’effacer pour que je sois heureux, tu fais parti de mes proches amis, un des rares à dire vrai. Il est donc, légitimement, hors de question que tu puisses partir ainsi. Il n’y aura que le temps qui aura l’accord pour t’éloigner de moi ... et encore rien n’est encore certain sur ce point. Sur ce point, tu peux donc te rassurer. Lorsque j’aurai rencontré ma fiancée, et que j’en saurais plus sur elle par la même occasion, je viendrai prendre un verre avec toi pour t’en parler. Mais une nouvelle fois, tu ne dois redouter que ma vipère de mère. C’est l’épine que j’ai dans le pied et dont, pour l’instant, par surcroît je n’ai pas trouvé la foi de m’en défaire. »
Le serveur apporte l’addition, sans laisser le temps à ce grand nounours bien alcoolisé de réagir, je paie nos consommations. Suite à quoi je me lève et l’aide à en faire de même. Il possède aussi une bonne résistance à l’alcool ! Heureusement d’ailleurs, puisque je ne connais pas le chemin pour aller jusqu’à sa forge. Je pense qu’on va bien s’amuser sur place. Potentiellement je pourrai même le surprendre encore.
« - Aller montre moi le chemin de ton humble forge, mon agenda de ministre souffrira de mon absence pour le reste de la journée sans le moindre souci. »
C’est avec mon sourire, plus mutin et radieux que jamais, que je le suis donc à travers la place en direction de sa forge. Allons mettre le feu aux fourneaux.
"Accetation"
© Etilya sur DK RPG
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