Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
Invité
Invité
Mar 25 Fév 2020 - 14:28
Riku se pose la même question que moi, que peut bien être que ce “plat de la mort” ? Le terme n’est que peut ragoutant et encourageant au premier abord, comme si en une seule bouché nous allions faire comme blanche-neige avec sa pomme, et entrer dans un profond et éternel sommeil. Puis vint enfin l’explication, une réponse qui se veut un peu plus rassurante mais pas totalement encourageante pour la suite de cette dégustation. Mon souffle se coupe, certainement pour n’être dérangé par aucun bruit et me permettre d’entendre avec précision cette révélation. Le plat de la mort, se serait donc une manière de faire un doigt d’honneur à la mort, d’ajouter du piquant à nos longue journée, et ainsi de se sentir plus vivant que jamais !
Cette chose là, se nourrir d’une infime partie de cette toxine, c’est en vérité la même sensation que ce que nous connaissons à longueur de journée. Lors de nos chasse hors du commun, cette chasse contre des monstres parfois si assoiffé de sang qu’ils finissent par n’avoir peur de rien et n’hésitent pas une seule seconde à s’en prendre même au plus dangereux des ennemies, par pure perte de conscience. Ce moment, où ces créatures, restent les plus dangereuse car imprévisible.
Je me souviens alors de cette sensation, quelque chose de délectable, et de finalement si agréable lorsque cela arrive. C’est LA sensation d’être envi, de ne pas être rien, et de pouvoir continuer après avoir surmonter presque l’insurmontable, et cette sensation est au final un peu comme une drogue lorsqu’on l’a touché d’un peu trop près, alors pourquoi ne pas tenter cette création presque dangereuse en quelques bouché ? Après tout nous sommes des Hunter, nous côtoyons la mort tous les jours, alors qu’est ce qu’une petite bouchée de mini-dos de cette Toxine ?
Je prend alors mes baguettes en mains, une part de cette création absurde, suivi de la tranche de ce poisson d’autant plus absurde, et n’en fait qu’une bouchée tout en appréciant la moindre parcel de sa tendresse et de cette perle empoisonnée qui m’explose littéralement en bouche. Je me sens presque comme transporté par ce goût, se retrouvant associé à la sensation de la chasse et ne peux m'empêcher de montrer à quel point je trouve cela agréable, en prononçant un petit et sensuel “Hum” par la suite.
Après quelques seconds de dégustation je fini par entendre Riku préciser à quel point il est impressionné par cette homme, et je pense… Non je suis certaine, qu’il est loin d’être le seul en levant mon regard en direction de mes parents totalement transcendé par ce plat à la fois délicat et inimaginable. Ma mère fait au final totalement confiance en ce cuisinier, ne se pose même pas la question vis-à-vis de la dangerosité de la perle, je me demande même si le goût de la chasse ne lui manquerait pas, et qu’elle n’y aurait pas légèrement retrouvé la sensation en prenant connaissance de ce maie inconnu pour elle à ce jour.
Sumire ▬ Oui, nous ne sommes pas au bout de nos surprises en effet
Lui ai-je répondu en restant le regard rivé sur ma mère, stupéfaite de la voir ainsi.
“Une surprise de taille”
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 25 Fév 2020 - 20:31
Nous étions arrivés relativement tôt et sans nous en rendre compte, nous passions un moment des plus agréable depuis déjà presque deux heures à table et nous n’arrivions qu’à la moitié du service. Je me surpris même à afficher un sourire des plus joyeux en regardant la mère de Sumire manger avec appétit et allégresse son plat. Cette femme avait beau avoir tout d’un dragon qu’elle n’en était pas moins ravie par les maies qui nous étaient proposés ce soir.
Ce plat de la mort était une explosion de saveurs, mais c’est en regardant mon épouse se servir et y goûter que j’ai compris. Machinalement, je regardais notre cuisinier à l’ouvrage derrière ses établis à naviguer d’un poste à l’autre sans plus faire attention à nous. Même sans son bandana il semblait plein d’énergie dans ses préparations, mais ici c’était avec subtilité et douceur. Plus encore, c’était un artiste culinaire hors paires. Ce que je compris à ce moment-là en voyant ma femme et la connotation du plat, ce fût tout simplement une métaphore de la vie de chasseur que nous menions.
Cet homme avait préparé ce repas sans même me concerter et nous demander nos préférences alimentaires. Je me souviens qu’on avait juste parler de choses et d’autre, de notre métier, de nos ressentis du monde aussi. Mais rarement de nourriture. Pourtant, ce repas était rempli de poésie au-delà même des goûts. C’était un peu comme déguster une partie de sa propre vie quelque part tant tout était fait pour évoquer nos noms, le patrimoine, la douceur ou que savais-je encore.
Personne ne s’était rendu compte qu’il avait déjà terminé son assiette au moment où Okamiro était de retour pour débarrasser la table dans un geste fluide et imperceptible, comme s’il effaçait sa présence pour ne pas nous déranger dans nos discussions. Un service à la française comme il se dirait presque.
Il revint rapidement avec des coupes de glaces, une toute petite boule de glace, comme une bille pas plus grosse qu’une noix qui reposait sur une fleur de cerisier.
Je cherchais dans ma mémoire, mais j’en vins plutôt à demander aux autres ce que pouvait bien signifier le terme de “rot” qu’il avait employé avant de repartir. C’est là que le père de Sumire, un homme très cultivé nous apporta la réponse. Il s’agissait d’un mot ancien venant du français et des banquet médiévaux d’où semblait en parti inspiré ce repas. Cela désignait le plat rôti et le dernier plat avant le dessert.
J’étais tout à fait intrigué à l’idée de savoir ce que ce cuisinier peu commun nous avait préparé pour le plat de viande, un plat ayant toute son importance.
Du coin de l’oeil je regardais notre homme s’afférer déjà en cuisine, mais avec des appareils qui avaient tout l’air de servir à la conservation très basse température. J’aurais presque cru le voir travaillé en plongeant directement ses mains dans l’azote mais je devais me tromper.
Ce plat de la mort était une explosion de saveurs, mais c’est en regardant mon épouse se servir et y goûter que j’ai compris. Machinalement, je regardais notre cuisinier à l’ouvrage derrière ses établis à naviguer d’un poste à l’autre sans plus faire attention à nous. Même sans son bandana il semblait plein d’énergie dans ses préparations, mais ici c’était avec subtilité et douceur. Plus encore, c’était un artiste culinaire hors paires. Ce que je compris à ce moment-là en voyant ma femme et la connotation du plat, ce fût tout simplement une métaphore de la vie de chasseur que nous menions.
Cet homme avait préparé ce repas sans même me concerter et nous demander nos préférences alimentaires. Je me souviens qu’on avait juste parler de choses et d’autre, de notre métier, de nos ressentis du monde aussi. Mais rarement de nourriture. Pourtant, ce repas était rempli de poésie au-delà même des goûts. C’était un peu comme déguster une partie de sa propre vie quelque part tant tout était fait pour évoquer nos noms, le patrimoine, la douceur ou que savais-je encore.
Personne ne s’était rendu compte qu’il avait déjà terminé son assiette au moment où Okamiro était de retour pour débarrasser la table dans un geste fluide et imperceptible, comme s’il effaçait sa présence pour ne pas nous déranger dans nos discussions. Un service à la française comme il se dirait presque.
Il revint rapidement avec des coupes de glaces, une toute petite boule de glace, comme une bille pas plus grosse qu’une noix qui reposait sur une fleur de cerisier.
Ôkamiro ▬ Nous vous proposons avant le rot... une petite coupe digestive... c’est une glace à la fleur de sakura et violette que j’ai préparé dans l’après-midi... quand à l’alcool, c’est du qingke jiu... bonne continuation...J’étais surpris mais en même temps ravi de l’annonce, ce qui ne manquait pas de me décrocher un regard vers Chin ici présent. Lui-même n’arrivait à croire l’annonce qui venait d’être faite. Il est peu courant de voir un alcool chinois aussi raffiné sur les tables japonaises et c’était tout particulièrement touchant que ce soit un alcool typique de ce genre de cérémonie d’importance.
Je cherchais dans ma mémoire, mais j’en vins plutôt à demander aux autres ce que pouvait bien signifier le terme de “rot” qu’il avait employé avant de repartir. C’est là que le père de Sumire, un homme très cultivé nous apporta la réponse. Il s’agissait d’un mot ancien venant du français et des banquet médiévaux d’où semblait en parti inspiré ce repas. Cela désignait le plat rôti et le dernier plat avant le dessert.
J’étais tout à fait intrigué à l’idée de savoir ce que ce cuisinier peu commun nous avait préparé pour le plat de viande, un plat ayant toute son importance.
Riku ▬ Je savais qu’il était doué, mais je ne me doutais pas d’à quel point ! Laissais-je échapper à l’assemblée.Nous n’avons pas eu le temps d’attendre très longtemps pour commencer à sentir de douces et délicieuses odeurs alors qu’il arriva avec les assiettes. Notre ami avait remis son bandana et semblait beaucoup plus énergique encore lorsqu’il nous donnait notre repas avant de nous l’expliquer.
Ôkamiô ▬ Alors voici un rôti de cerf ! Carottes et oignons pour la mirepoix avec des baies de genièvres ! Une espuma de champignons sauvages fumés au sapin ! Sauce au vin et fruit rouges sauvage ! Bonne dégustation !Il y avait tellement d’arômes dans cette assiettes, c’était incroyable. On aurait pu sentir la forêt elle-même rien qu’avec ces odeurs. Mais de loin, c’était bien le goût qui était surprenant avec cette sauce et tous les accords nouveaux qui apparaissaient à mesure que nous mangions, un véritable régale.
Du coin de l’oeil je regardais notre homme s’afférer déjà en cuisine, mais avec des appareils qui avaient tout l’air de servir à la conservation très basse température. J’aurais presque cru le voir travaillé en plongeant directement ses mains dans l’azote mais je devais me tromper.
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Jeu 27 Fév 2020 - 9:38
La dégustation allait de bon train jusqu'à ce que notre assiette, pour la énième fois de la soirée, se retrouve entièrement vide sans que nous le remarquions, mais c’était sans compter sur le lycan qui apportait déjà la suite. Un digestif, glace et alcool, une nouvelle fois composé avec de la violette, en mon honneur, mais également avec de la fleur de cerisier japonais, ainsi que pour l’alcool… Ce nom ne me dis rien, je crois avoir une fois entendue Riku en parler lors de notre voyage en chine, mais je n’avais pas enregistrer ce qu’était que sa particularité, probablement un alcool fabriqué uniquement en chine, vu ce nom très peu japonais ou européen, mais je n’en sais pas plus.
Sumire ▬ Qingke jiu ?
Laissais-je échapper sans m’en rendre compte.
Au moins j’aurai finalement ma réponse et probablement de la part de mon aimé. Ce dernier eu l’air, d’ailleurs, totalement ravie d’apprendre la composition de ce digestif, est-ce donc un clin d’oeil à lui même ? au même titre que la violette pour moi ? Je me souvins alors qu’il a également parlé en premier du rot… parle-t-il de rôti ? aurait-il oublié de prononcé le reste, ou est-ce une autres manière de le présenter voir un autre produit dont je n’ai aucune connaissance… ?
Riku signifia encore une fois sa stupéfaction face à la capacité culinaire de notre hôte, comme s’il n’en revenait pas alors qu’il m’avait parlé si souvent de cette homme en des termes élogieux. Mais bien sûr ! Il n’avait pas encore réellement l’occasion de goûter à son art. Probablement qu’il n’en avait qu’entendue des bonnes choses et c’était fait une image personnel, jusqu'à la réelle qui lui explose actuellement à la figure même si, comme à son habitude, il ne montrait pas trop ses émotions.
Je pris le temps de goûter agréablement se digestif qui fondait dans ma bouche de manière agréable et étrangement réchauffante, et qui apportait une tel douceur dans mon corps que je ferma les yeux pour en profiter le plus longtemps possible. Une odeur douce et forte à la fois vint alors me chatouiller les narines. Un fumé des plus appétissant et sentant la nature à plein nez ! Est-ce le moment où je pourrais enfin goûter aux produits de sa chasse ? Ôkamiro vint alors, nos assiette encore une fois à peine vidé, les bras chargé de ce maie portant une odeur si agréable. Comme toujours depuis le début de la soirée nous profitons de l’annonce de la composition du plat avant de pouvoir le goûter enfin : Un roti de cerf accompagné de carottes et d’oignons, avec des baies de genièvres, une... espuma ? de champignons sauvages fumés au sapin, avec une sauce au vin et fruit rouges sauvage. Mais qu’est-ce que l’espuma ?! Je décide alors de lui poser la question avant qu’il ne nous laisse à nos occupations.
Sumire ▬ Pardonnez moi mais… Qu’est-ce que l’espuma ?
Je connais en effet le Rôti mais pas tout ce qui compose sa préparation n’étant pas réellement une cuisinière naît bien entendue. J’écoute alors son explication des plus intéressante, le laisse retourner dans sa cuisine, et profite un maximum du rôti et de tout son accompagnement contenue dans mon assiette. Le fumé en est enivrant, et les saveurs d’autant plus. Je me sens presque comme transporté dans la forêt d'où provient l’animal, probablement grâce au fumés de sapin, ainsi qu’aux baies rouges sauvage, qu’il a dû trouver non loin de l’animal. Quoi de meilleurs que de prendre tout ce qui est censé l’accompagner dans son périple et d’en faire un plat totalement à l’image de l’animal ? J’en aurais presque de la peine pour celui-ci s’il n’était pas aussi bon et puissant, chatouillant énergiquement mes papilles.
“Maies sauvage en bouche”
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Sam 29 Fév 2020 - 17:07
Je regardais ma femme qui semblait un peu troublée ou en tout cas interrogative à l’énonciation de l’alcool qui composait ce digestif qui nous avait été servi pour faire passer les plats et nous préparer à ce qui allait suivre.
Il est vrai que lorsqu’on ne connait pas forcément bien les alcools, il n’est pas facile de savoir de quoi il s’agissait et je ne pouvais pas lui en vouloir le moins du monde pour cela. J’ai vécu des années en Chine et pour moi cela me semblait tout à fait normal de savoir, mais pour d’autre, ce n’était pas un drame.
Je me demandais à quoi pouvait bien ressembler son restaurant et l’ambiance des soirées chargées. Est-ce qu’il avait une équipe entière avec lui en cuisine ? Ou est-ce qu’il faisait tout à la seule force de ses bras ? Le connaissant cela ne serait pas étant maintenant, mais cela n’était pas tenable lorsqu’un restaurant était plein. D’un autre côté, je me demandais s’il avait réussi à avoir un tel succès dans son établissement pour le moment.
Lorsqu’il revint et nous servi avec ce plat de gibier rôti qui avait l’air absolument délicieux, ma femme a soulevé une nouvelle interrogation dont j’avais hâte de connaître la réponse. Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un gourmet et le terme qu’il avait utilisé ne me disait absolument rien.
La texture de ce cerf était si fondante, à croire qu’il cuisait doucement au four depuis que nous étions arrivés ou même encore avant. La viande portait un parfum très particulier également. Je pris une autre bouchée en m’apercevant de la chose. C’était comme une sorte de petit côté miellé. Il avait sans doute laqué la viande au miel pendant la cuisson pour casser le côté le corser de la viande de gibier.
Après un moment, alors que nous avions fini de manger que nous avions quelques petites conversations entre nous tous, le chef vint pour débarrasser nos assiettes vides. Chin avait même léché goulument l’assiette discrètement pour ne rien laisser. Ce n’était pas très distingué, mais j’avais pour la première fois, saucé mon assiette avec du pain à la manière des français tant tout était excellent.
Il revint très peu de temps après avec un charriot où se trouvaient des assiettes, mais bien étranges. On aurait dit des vases de loin. C’était s’il déposait dans nos assiettes un lycoris en vase. Il n’y avait pas de tige, juste cette fleur magnifique dans un petit bol de verre avec de la terre, le tout dans une assiette blanche. Il avait encore retiré son bandana aussi, à croire que le travail le plus délicat était pour son Moi, plus... flegmatique dirons-nous pour être aimable.
En bouche il y avait donc un mélange de textures et d’arômes et de températures qui étaient incroyablement étonnante. Je n’avais jamais mangé un dessert comme celui-là, ni même un plat en trompe-l'œil. La fin de ce repas était tout à fait surprenante et je ne pus me retenir de prendre la main de mon épouse dans la mienne au moment où nous avons eu ce dessert devant nos yeux.
Il est vrai que lorsqu’on ne connait pas forcément bien les alcools, il n’est pas facile de savoir de quoi il s’agissait et je ne pouvais pas lui en vouloir le moins du monde pour cela. J’ai vécu des années en Chine et pour moi cela me semblait tout à fait normal de savoir, mais pour d’autre, ce n’était pas un drame.
Riku ▬ C’est une eau de vie chinoise très prisée lors des cérémonie comme les mariage justement ou les rituels. Chaque année nous en buvions au monastère en plusieurs occasions. Comme au nouvel an par exemple ou je t’ai fait goûter cela Sumire. C’est un alcool que j’affectionne beaucoup et que j’espère vous apprécierez tous.Ce chef étrange et singulier pensait vraiment à tout, mais en même temps il y avait une forme d’évidence, comme si tout se passait en partie à l’instinct. C’était à croire qu’il pouvait préparer ce que vous alliez forcément apprécier rien qu’en vous regardant et en vous parlant un peu de chose et d’autre et qu’il avait le savoir-faire pour régler cette demande dans l’instant. Bien entendu cela était dû au fait que le repas passait très vite alors qu’en réalité nous y étions depuis un moment et qu’il avait sans doute lancer toutes ses préparations en même temps.
Je me demandais à quoi pouvait bien ressembler son restaurant et l’ambiance des soirées chargées. Est-ce qu’il avait une équipe entière avec lui en cuisine ? Ou est-ce qu’il faisait tout à la seule force de ses bras ? Le connaissant cela ne serait pas étant maintenant, mais cela n’était pas tenable lorsqu’un restaurant était plein. D’un autre côté, je me demandais s’il avait réussi à avoir un tel succès dans son établissement pour le moment.
Lorsqu’il revint et nous servi avec ce plat de gibier rôti qui avait l’air absolument délicieux, ma femme a soulevé une nouvelle interrogation dont j’avais hâte de connaître la réponse. Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un gourmet et le terme qu’il avait utilisé ne me disait absolument rien.
Ôkamiô ▬ Pour faire simple, ça vient d’un mot catalan qui signifie “mousse” ! Ici dont ce sont des champignons que j’ai préparé et mixé avant d’y incorporé de l’amidon extrait de pomme de terre forestières avant de mettre la préparation en siphon pour en faire une mousse ! Voilà tout ! Bonne dégustation et on s’revoit pour l’désert !Le repas dans son ensemble était une merveille, mais je me demandais ce qu’il pouvait bien nous réserver pour le dessert. Là, j’étais dubitatif. Comment parvenir à faire un dessert à la mesure de tout ce qu’il avait préparé jusque-là ?
La texture de ce cerf était si fondante, à croire qu’il cuisait doucement au four depuis que nous étions arrivés ou même encore avant. La viande portait un parfum très particulier également. Je pris une autre bouchée en m’apercevant de la chose. C’était comme une sorte de petit côté miellé. Il avait sans doute laqué la viande au miel pendant la cuisson pour casser le côté le corser de la viande de gibier.
Riku ▬ C’est de loin le meilleur cerf que je n’ai jamais mangé.Je regardais les convives se régaler avec enthousiasme encore et encore. Ma femme, plus belle que jamais. Cela fait un plaisir immense de la voir aussi heureuse du moment que nous passions tous ensemble.
Après un moment, alors que nous avions fini de manger que nous avions quelques petites conversations entre nous tous, le chef vint pour débarrasser nos assiettes vides. Chin avait même léché goulument l’assiette discrètement pour ne rien laisser. Ce n’était pas très distingué, mais j’avais pour la première fois, saucé mon assiette avec du pain à la manière des français tant tout était excellent.
Il revint très peu de temps après avec un charriot où se trouvaient des assiettes, mais bien étranges. On aurait dit des vases de loin. C’était s’il déposait dans nos assiettes un lycoris en vase. Il n’y avait pas de tige, juste cette fleur magnifique dans un petit bol de verre avec de la terre, le tout dans une assiette blanche. Il avait encore retiré son bandana aussi, à croire que le travail le plus délicat était pour son Moi, plus... flegmatique dirons-nous pour être aimable.
Ôkamiro ▬ Tout se mange sauf l’assiette... ce “vase” est une opaline de sucre dans laquelle se trouve un crumble de pain d’épice grillé, chocolat et noix... quand à la fleur... c’est un trompe-l'œil... les pétales sont en réalité des lamelles de poires pochées dans du sirop de fruit rouge et vin, modelés et pris à l’azote... quant aux longues et fines pétales semblable à des pointes... c’est du sucre filé que tout simplement teint après avoir extrait les pigments de fruit rouge également... bonne fin de repas...Pour le coup, le trompe-l'œil était totalement bluffant. De loin on aurait vraiment pu croire à une authentique fleur de lycoris. De près cela était évidemment moins possible de se laisser berner, mais la ressemblance était tout à fait surprenante et incroyable car on aurait pu au moins croire à une fleur gelée.
En bouche il y avait donc un mélange de textures et d’arômes et de températures qui étaient incroyablement étonnante. Je n’avais jamais mangé un dessert comme celui-là, ni même un plat en trompe-l'œil. La fin de ce repas était tout à fait surprenante et je ne pus me retenir de prendre la main de mon épouse dans la mienne au moment où nous avons eu ce dessert devant nos yeux.
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 3 Mar 2020 - 10:23
Riku m’explique avec douceur ce qu’est que cette alcool particulier, ajouté au digestif. Je savais que j’avais déjà entendu le nom lorsque de notre voyage en chine mais je n’arrivais plus à mettre le doigt sur le produit. Maintenant que je sais que c’est un des alcool favoris de mon aimée, il faudra que j’essaye de m’en fournir pour notre nouveau chez nous.
Je plonge ma cuillère dans la boule de glace couleur pastel, puis tente de prendre une certaine quantité de l’alcool qui l’accompagne, pour profiter pleinement du goût choisit par notre convive. J’ai le plaisir de découvrir cette fois un plat, presque un dessert, composé avec ce qui nous représente, je pense, le mieux Riku et moi. De la violette qui est clairement, encore une fois, un clin d’oeil à mon nom, et ce Qingke jiu qui est un clin d’oeil aux plaisirs de Riku pour ce qui est de cette alcool précieux provenant de chine. Je souris en prenant une bouchée en pensant à quel point ce lycan, aux allures parfois bourru et rustre, puisse être aussi attentionné et tendre dans sa manière de préparer la nourriture à ses invités, qu’il aura longuement observé pour remplir au mieux leurs attentes. Il est véritable un cuisinier de choix pour tout ce qui est fête et animation. Pas besoin d’action à côté pour faire patienter les clients ! Juste de poursuivre et de profiter un maximum de ce qui est clairement, à mes yeux, son art.
Je déguste tranquillement le digestif, jusqu'à ne plus en laisser une goute, en portant la coupelle à mes lèvres de manière délicate, puis vois la suite arriver avec entrain. Le plat suivant est bel et bien un rôti comme j’avais plus le comprendre, il utilise simplement de vieux mots français que je ne pouvais pas connaitre le moins du monde. C’est également le cas pour le mot que je n’avais pas compris et que j’avais pris la peine de demander à Ôkamiro ce que cela pouvait bien vouloir signifier, pour mieux comprendre ce que j’allais découvrir avec mes papilles gustatives.
D’après ses dires, cela viendrait d’un mot catalan qui signifiant “mousse” ! Le catalan, si je me souviens bien… est un dérivé de la langue française, faisant prononcer les mots d’une autres manière, presque comme une autre langue, au sein de cette langue déjà très bien fourni. Cette mousse serait composée de champignons qu’il a mixé avant d’y incorporer de l’amidon extrait de pommes de terre forestières… de pommes de terre forestières ? que veut-il dire par là ? Puis il y a incorporé la préparation en siphon lui permettant de la présenter en mousse… C’est fascinant de voir à quel point il est passionné par ce qu’il crée et surtout à quel point il est capable de revisiter chaque plat venant de nombreux pays différent et d’en créer de nouvelles saveurs en mieux.
Je déguste alors avec joie ce que je ne connaissais pas encore, c’est à dire du gibier provenant probablement de ses chasses. Un maie des plus succulent, et quoi de mieux que de goûter les produits du coin sans trop exploiter les reproductions en masse, qui finissent par perdre en intensité, en force et en goût !
L'ambiance allait de bon train, tellement adoucie par les plats, que nous pouvions profiter d’une accalmie pour discuter un peu avant de pouvoir connaître le fameux dessert, dont le chef semblait si fière après avoir déposé son rôti.
Ôkamiro revint finalement après quelques minutes, avec un chariot remplis de nos fameux dessert. On aurait dit des vases ornés de lycoris… Je n’espère vraiment pas que le lycoris est posé directement sur le dessert, car il risquerait de nous empoisonner dans le vouloir, ce que je trouve d’ailleurs étonnant de la part d’un cuisinier tel que lui, maintenant que je sais quel genre d’artiste il est. Mais je découvre très vite qu’en vérité, le plat s’avère être une sorte de trompe l’oeil, pratiquement tout est mangeable… sauf l’assiette bien entendu, et le lycoris, tout comme son vase s’avère ne pas en être ce qu’ils paraissent ! Du sucre, du pain d’épices grillé en crumble, du chocolat, des noix, pour ce qui est du vase. Quand au lycoris, ses pétales sont en réalité des lamelles de poires pochées dans du sirop de fruit rouge et vin, modelés et pris à l’azote, et ses longues et fines pétales semblable à des pointes sont faites ds sucre filé et teint avec de l’extrait des pigments venant encore une fois de fruits rouges.
Le regard brillant de passion, je suis émerveillé par tant de beauté et de créativité. Je continue à penser en mon fort intérieur que cet homme est le plus grand artiste culinaire que je n’ai jamais connu jusqu’à ce jour !
C’est un plat plutôt imposant et si beau que j’ai du mal à me résigner à en prendre même une simple bouché, je finis malgré tout par tirer une lamelle de poire du bout de mes doigts, pour ensuite la plonger dans le crumble et engouffrer le tout entre mes lèvres, les posant délicatement sur ma langue pour en tirer la moindre parcelle de goût.
Je pris le temps de tout déguster le plus tranquillement possible, voulant en profiter longtemps et ne pas risquer d’en oublier le goût, j’ai presque envi de demander s’il ne reste pas une portions à emporter pour en profiter le lendemain dans notre nouvelle demeure que je ne connais pas encore.
Sumire ▬ *Hum… tu penses qu’il lui en reste pour chez nous ?... Ou, je pourrais peut-être lui demander les recettes pour essayer de reproduire ce que j’ai le plus apprécié…*
Ai-je chuchoté à Riku, n’osant pas déranger la dégustation de toutes les personnes qui nous avaient accompagnés à cette soirée magique.
“Le plus succulent des Lycoris”
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mer 4 Mar 2020 - 18:57
Le repas avait été un véritable festin. Je pourrais aller jusqu’au blasphème en disant que même les dieux pourraient envier les maies que nous avons dégusté en ce jour de festivité qu’était notre mariage. Evidemment que ce serait vraiment exagéré que de dire cela, mais dans les faits, nous étions tout simplement aux anges.
Depuis le début, nous n’avons été que de surprises en surprises sans aucun temps mort. Un repas qui en était déjà à plusieurs à table comme lors d’un banquet de mariage traditionnel, mais à l’échelle d’un repas pour quelques personnes. J’avais l’impression d’avoir été nourri comme l’empereur pouvait l’être, si ce n'était mieux encore. A vrai dire, il me paraissait assez évident que s’il avait maintenant presque un siècle de vie et pris l’habitude d’utiliser ses sens de lycan pour faire la cuisine, il ne devait y avoir qu’un vampire pour rivaliser avec lui et encore. Ce n’était donc pas impossible qu’il puisse être couronner roi de la cuisine parmi ses pairs.
Le dessert était d’une rare beauté. C’était à couper le souffle, littéralement. Une fleur reproduite en trompe l’oeil en l’hommage de ma femme pour son surnom de chasseuse. Les parfums étaient absolument parfaits et c’était peu dire. On aurait presque voulu garder ce dessert intact tant c’était réussi et magnifique.
Une fois résolu à y gouter, c’était l’explosion de saveur, malgré une intense douceur. Explosif n’était donc pas le moment, mais plutôt... percutant de douceur ? J’en perdais mon latin et n’arrivais pas avec exactitude à définir le ressenti de ce dessert.
L’assiette autant le dire, fut fini assez rapidement en début des scrupules que j’avais eu plus tôt. Il en allait de même pour nos invités à en juger par l’état de leurs coupelles devant eu. Il était surprenant de pouvoir manger ce qui semblait être pourtant une décoration. Malgré tout le sucre que cela représentait, il y avait dans ce terreau factice de petite perle, du citron caviar je crois, le tout venant trancher ce sucre et donner un petit coup de peps au plat.
Ma femme se pencha sur moi pour me chuchoter quelques mots. Je souris à sa première demande assez vite en l’entendant. Il n’y avait sans doute aucune chance qu’il y ait des restes à emporter pour ramener à notre nouvelle demeure. Pour le reste, il était peut-être possible de lui demander en effet quelques recettes, bien que je doute qu’il soit aisé de les reproduire dans les moindres détails sans mal. Sumire était une très bonne cuisinière, mais j’avais un doute sur les techniques que pouvait bien utiliser ce lycan pour parvenir à composer ses plats. Mais il ne coûtait rien de lui demander.
Il vint finalement le moment de nous lever de table pour pouvoir quitter les lieux. Comme nous ne tarissions pas d’éloge sur le repas, il fallait féliciter notre chef. Je me suis dirigé en premier vers lui pour lui serrer la main chaleureusement tout en lui signifiant ma gratitude éternelle pour ce qu’il avait fait pour nous aujourd’hui.
Il nous fallait maintenant conduire nos invités dans la demeure qui était maintenant la nôtre et qu’ils avaient normalement déménagé depuis un moment en prévision de ce jour. Ils étaient nos hôtes pour la soirée et plus encore selon la durée de leur séjour en ville.
Depuis le début, nous n’avons été que de surprises en surprises sans aucun temps mort. Un repas qui en était déjà à plusieurs à table comme lors d’un banquet de mariage traditionnel, mais à l’échelle d’un repas pour quelques personnes. J’avais l’impression d’avoir été nourri comme l’empereur pouvait l’être, si ce n'était mieux encore. A vrai dire, il me paraissait assez évident que s’il avait maintenant presque un siècle de vie et pris l’habitude d’utiliser ses sens de lycan pour faire la cuisine, il ne devait y avoir qu’un vampire pour rivaliser avec lui et encore. Ce n’était donc pas impossible qu’il puisse être couronner roi de la cuisine parmi ses pairs.
Le dessert était d’une rare beauté. C’était à couper le souffle, littéralement. Une fleur reproduite en trompe l’oeil en l’hommage de ma femme pour son surnom de chasseuse. Les parfums étaient absolument parfaits et c’était peu dire. On aurait presque voulu garder ce dessert intact tant c’était réussi et magnifique.
Une fois résolu à y gouter, c’était l’explosion de saveur, malgré une intense douceur. Explosif n’était donc pas le moment, mais plutôt... percutant de douceur ? J’en perdais mon latin et n’arrivais pas avec exactitude à définir le ressenti de ce dessert.
L’assiette autant le dire, fut fini assez rapidement en début des scrupules que j’avais eu plus tôt. Il en allait de même pour nos invités à en juger par l’état de leurs coupelles devant eu. Il était surprenant de pouvoir manger ce qui semblait être pourtant une décoration. Malgré tout le sucre que cela représentait, il y avait dans ce terreau factice de petite perle, du citron caviar je crois, le tout venant trancher ce sucre et donner un petit coup de peps au plat.
Ma femme se pencha sur moi pour me chuchoter quelques mots. Je souris à sa première demande assez vite en l’entendant. Il n’y avait sans doute aucune chance qu’il y ait des restes à emporter pour ramener à notre nouvelle demeure. Pour le reste, il était peut-être possible de lui demander en effet quelques recettes, bien que je doute qu’il soit aisé de les reproduire dans les moindres détails sans mal. Sumire était une très bonne cuisinière, mais j’avais un doute sur les techniques que pouvait bien utiliser ce lycan pour parvenir à composer ses plats. Mais il ne coûtait rien de lui demander.
Riku ▬ Je pense que tu peux sans doute lui demander en partant ou un autre jour mon amour. Il n’y a pas de raison qui n’accepte pas de partager un peu de son savoir.L’homme bien au regard relativement apathique en ce moment, était un homme de bien et surtout de partage. Il était catholique et de la vieille France comme on dit par chez lui apparemment. Il avait particulièrement mal vécu le calvaire dans les laboratoires, mais avait su garder cette volonté de partager qui englobe l’essence même de la cuisine telle qu’elle est vu par les Français justement. Il n’y avait donc que très peu de chances qu’il refuse de donner quelques astuces pour arriver à reproduire les recettes d’aujourd’hui à Sumire, ou en tout cas à dresser des recettes assez proches en fonction de ses propres compétences culinaires.
Il vint finalement le moment de nous lever de table pour pouvoir quitter les lieux. Comme nous ne tarissions pas d’éloge sur le repas, il fallait féliciter notre chef. Je me suis dirigé en premier vers lui pour lui serrer la main chaleureusement tout en lui signifiant ma gratitude éternelle pour ce qu’il avait fait pour nous aujourd’hui.
Riku ▬ Je ne sais pas comment vous dire cela. Il n’y a pas de mots pour dire à quel point c’était bon ! Merci beaucoup !Malgré l’air apathique qu’il avait récupéré, il esquissa un sourire en soufflant du nez.
Ôkamiro ▬ Mon père... vous venez de les dire...Il nous salua à notre départ des lieux.
Il nous fallait maintenant conduire nos invités dans la demeure qui était maintenant la nôtre et qu’ils avaient normalement déménagé depuis un moment en prévision de ce jour. Ils étaient nos hôtes pour la soirée et plus encore selon la durée de leur séjour en ville.
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Ven 6 Mar 2020 - 14:17
Au fond de moi je savais qu’il ne pouvait y avoir de reste, tellement nous avions avalé goulument nos plats. Je gardais malgré tout un petit espoire de cette possibilité et Riku, en ne répondant pas à cette partie de ma question, me fit fortement comprendre qu’il était impossible de trouver des restes. Il me glissa qu’il était peut-être mieux de demander au lycans ses recettes un autre jour et qu’il n’aurait aucunement de raison de refuser cette réclamation. J’eu un petit sourire à l’idée de pouvoir retrouver ce lycan plus tard, certainement dans son magnifique restaurant, pour pouvoir lui demander quelques conseils et recettes suite à cette soirée inoubliable.
Le repas enfin terminé, nous nous sommes lever de table pour pouvoir enfin découvrir cette nouvelle demeure qui sera la nôtre. Je me bats un peu avec cette robe qui m’encombre largement, et entrave nettement mes mouvements. Ma mère vient alors à mon secoure, calmement, m’aidant à m’extirper de ma chaise sans catastrophe, et me diriger vers la sortie. Mais avant tout lancement dans notre nouvelle vie, notre regard se tournèrent vers l’homme de la situation, celui qui calma les ardeurs de certain, et réchauffa le cœur des autres : Ôkamiro ! Cette homme hors paire, eu le droit à de nombreuse éloge suite au levé de table annonciateur de la fin du repas et cela reste tout à son honneur. Une patte aussi porté sur la magie ou l’art culinaire, grâce à la manipulation précieuse et précise des ces ustensiles, se doit d’être couverte d’éloge sans tarissement.
Suite aux paroles douces et posé de mon mari, qui fit mouche et toucha en plein coeur notre cuisinier, je me décide à prendre sa main entre les miennes avec chaleur et fermeté, pour lui dire tout ce que j’avais ressenti dans cette soirée en quelques mots significatifs mais pas des moindres.
Sumire ▬ Merci infiniment pour ce repas des plus succulent Ôkamiro-san ! Vous faite un excellent cuisinier et certainement le meilleurs de tous ! J’en ai les papilles toutes retournées !
L’homme bête nous salua très respectivement pendant notre départ des lieux, et nous finirent par nous diriger tranquillement jusqu’à notre demeure, non sans appréhension de ma par. Je ne suis pas inquiète de découvrir ce lieux, mais impatiente de voir à quoi peut-il bien ressembler, avec toute l’éloge qu’en avait fait mes parents, ainsi que les amis de Riku.
Suivi par nos convives, nous avons alors ouvert la marche pour nous diriger là où nous allions tous dormir et découvrir. Je pense alors à cette soirée et ce qui allait en découler. Je souris par la suite à mon aimée, pose ma tête amoureusement sur son épaule et essaye de me retenir de trépigner d’impatience. Ne pas paraître à ses yeux, comme une enfant face à ses futurs cadeaux de noël, reste malgré tout ma priorité et surtout face à mes parents, même si ma mère est resté calme depuis le Fugu, qu’elle a apparemment appréciée bien plus que le reste de tout ce que nous avons découvert avec plaisir à cette soirée.
“Ne pas tarir d'éloges”
Etilya sur DK RPG
Contenu sponsorisé
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|