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Jeu 11 Jan 2018 - 22:34
Ce qui était sympathique avec Lindiya, c'est qu'une journée basique sans grand intérêt pouvait devenir un vrais mélodrame sans aucun problème. Vous me direz, le drame c'est elle-même qui se le fait dans la tête, oui, en partant de là, pas besoin de plus important qu'une araignée sur le mur de la chambre. Défendons là, au moins trente seconde, cette journée était vraiment une journée de merde. Dès le réveil, le ton avait été donné. Vous connaissez l'expression "se lever du pied gauche", dans ce cas, on va la modifier pour "se lever les pieds emmêlés". ça n'existe pas ? Tant pis.
Résumons. Le réveil avait sonné mais, Lin bien trop endormie ne l'avait pas entendu. C'était d'entendre Alyssa qui l'obligea à ouvrir les yeux et à sauter du lit comme un ressort pour s'habiller en courant de partout. En gros, c'était loin d'être le réveil adéquat pour avoir une jeune étudiante agréable sous les yeux. Habillée, à peine coiffée et à peine maquillée, elle était partie directement dans le froid hivernale pour trouver son pare-brise givrée. Son premier réflexe ne fut pas d'aller chercher de l'eau tiède mais de rouspéter. ça défoulait d'avantage. Une fois dans sa voiture, elle avait respiré calmement dans l'espoir qu'avec un peu de calme la journée allait mieux se passer. Peine perdue. Arrivée au campus, il n'y avait pas assez de place pour satisfaire tout le monde. En tout cas, pas pour satisfaire la retardataire qu'elle était. Elle s'était donc garée plus loin, en courant sur le chemin de l'amphithéâtre. Et là, le pire du pire... rentrer dans un amphi bondé. Même si le dernier rang est un salut plus qu'appréciable, personne ne pouvait échapper au regard curieux du "t'es en retaaaaard". Surtout au Japon. Si en France, ce genre d'accident pouvait entraîner de bonne blague, dans ce pays, le retard était beaucoup moins accepté. En tout cas, pas de quoi se bidonner le bide après le cour.
Elle avait donc suivis le cours en baissant la tête. Elle essayait de ne rien rater mais, dès qu'elle baillait à s'en décrocher la mâchoire, elle perdait toujours le fil de l'explication. Fichu droit japonnais aussi... Le meilleur moyen de survivre c'était donc un peu de caféine en salle de pause. Sauf que... le porte monnaie était vide. Elle regarda autours d'elle, elle ne connaissait aucune tête capable de la sauver au prix de quelques yeux doux. Et demander ? Brrr, non. Elle se réconforta tant bien que mal, il y aurait probablement assez de café au travail pour lui donner sa dose quotidienne.
En effet, il fallait à présent parler de ce moment-là de la journée. Lindiya arrivait souvent en avance, histoire d'avoir du temps pour se garer et pour se mettre dans l'ambiance. Sauf que c'était vraiment pas son jour, aucune place dans les alentours. Elle réussit à garer sa voiture en pestant contre sa malchance puisqu'il lui restait 20 bonnes minutes de marche. Vous allez me dire ? Rien de bien méchant. N'empêche qu'avec le combo de la journée ce n'était pas très agréable. Elle arriva au travail en saluant les collègues mollement et en attrapant directement de quoi boire un café salutaire. Vous ais-je déjà précisé que Lin était du "café du matin" ? Plus haut, avez-vous lu qu'une tasse de café douce et chaude était venu la réveiller ? Et bien dites vous qu'il était à présent 19 heures. Tous les adict au café comprendrons...
D'un oeil morne avant son début de service, elle regarda enfin son planning de la journée. Et non de dieu, c'était une fermeture. Elle laissa sa tête tomber sur la table de la salle de pause en marmonnant tout et n'importe quoi. Elle eut comme réponse une vigoureuse et virile tape dans le dos du patron. Les claques ça fait circuler le sang, dit-on. Elle but une gorgée de café calmement en respirant de nouveau. Haut les coeurs. Ce n'était qu'une journée de chiotte à passer. Qui sait ? Un coup du destin allait peut être lui donner une bonne fin de journée, enfin de nuit, enfin un dernier moment agréable avant de dormir quoi.
Elle débuta donc son service en mettant de côté sa mauvaise humeur. Finalement, bouger entre les tables, le plateau à la main, lui permettait de se défouler. Le contact avec les clients lui permettait même de lui donner sa dose quotidienne de sociabilisation. Finalement, elle avait réussit à mettre à la poubelle son côté bougon. Ce qui n'était vraiment pas une mauvaise chose. Malgré tout, l'orage n'était pas loin. La jeune femme savait qu'au premier contre temps, elle serrait capable de perdre son calme de façon démesurée. Ce qui n'était pas vraiment une bonne idée. Surtout en pleine fermeture.
Pour être organisée, les deux serveuses s'étaient réparties et partagée la salle en deux. L'une avait le côté droit, l'autre le côté gauche, pendant que le barman... et bien gérait le bar. Depuis quelques temps, Lindiya s'était parfaitement familiarisée avec le bar, il lui arrivait de composer elle-même les verres qu'elle devait servir pour aller plus vite. Egalement, elle avait appris à reconnaître les réguliers avec leurs habitudes ce qui lui permettait de servir directement avec un aimable bonjour. En pleine semaine, on trouvait souvent que des habituer ce qui était assez agréable. Les jeudi c'était les étudiants en délires (moins drôle mais max de pourboire) et le week end du beau monde de la ville en tout genre (beaucoup de remue ménage parfois ennuyant).
Le service était bien entamée depuis quelques heures, Lindiya commençait à sentir le poid du plateau et de son corps sur ces jambes quand elle apperçut une silhouette inconnu dans une table du coin. Elle fronça les sourcils devant le tein du jeune homme et son allure qui détonnait tout particulièrement à côté des clients des lieux. Elle avait en face d'elle et dans son secteur de surcroit, un jeune homme pâle aux yeux émeraudes transperçant, des cheveux enflammés et une allure digne d'un homme de très bonne famille, voir de la noblesse. Il était en somme très classe quoi.
Elle s'approcha donc de sa table en affichant un sourire polie mais sincère.
- Enchantée ! C'est la première fois que je vous vois ici ! Que puis-je faire pour vous ?
Alessio O. Di Altiero#96421#96421#96421#96421#96421#96421#96421
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Dim 14 Jan 2018 - 0:54
Comme à mon habitude depuis mon arrivée en ville, j’ai passé une grande partie de ma journée à satisfaire ma curiosité, ce qui aurait pu me coûter très cher.
J’ai donc commencé par m’enquérir des affaires de la famille. Malheureusement, ma qualité de chef de famille, ne me permet pas vraiment de les ignorer trop longtemps. Pourtant qu’est-ce que ça pourrait me faire plaisir parfois ! C’est donc la mort dans l’âme, que je me suis résolu à m’installer à mon bureau et lire chaque foutu rapport, chaque maudite nouvelle et chaque damnée information que j’avais laissé en souffrance.
La majorité de ces informations ne sont qu’anecdotiques, ce qui leur vaut rapidement d’être mise au rencard. Quelques rapports retiennent mon intérêt. Ils concernent des affaires plus ou moins urgences ou importantes en Europe ou ici même. A la suite de chacun d’eux, je rédige une note que je fais transmettre ou envoyer à l’interlocuteur concerné.
Parmi le courrier, je trouve une enveloppe cacheté par de la cire et dont le sceau est celui de la famille Shidara. Je ne suis pas ici depuis longtemps, pourtant ils le savent déjà. En même temps cela n’a rien de très surprenant, entre chef de famille, on possède toujours un œil sur nos égaux, par prudence. Je verrai cette missive ultérieurement, j’ai d’autres activités de prévu pour aujourd’hui. Je mets la missive bien en évidence sur mon bureau, puis quitte la pièce.
Je quitte ma demeure pour profiter un peu du par cet des enfants qui vont le fréquenter durant tout l’après-midi. Après tout, j’aime bien cette ambiance pleine de vie, même si je ne supporte pas les parents.
Il me faut un verre.
Non une bouteille.
A la réflexion … il me faut une bonne cuite en urgence.
Le parc, plus jamais ne mettre les pieds dans celui-là. Trop loin, et ayant de drôle de fréquentation. Et surtout ne jamais recroiser cette louve furieuse.
Mes pas me dirigent donc tout naturellement vers le quartier des bars. Je vais directement dans ceux à thème, ils me conviennent mieux que ceux des bas fond vu mon allure, et aussi mieux que ceux haut de classe qui eux sont trop guindés. Je déambule donc dans la rue, à la recherche d’un lieu qui me tenterait.
Si Vil me voyait, il serait effondré de rire.
C’est une certitude. Moi qui ne boit jamais plus que de raison … je prévois de me mettre minable après avoir croisé une lycan pour la première fois de ma vie. Et bien ça promet !
Je fini par jeter mon dévolu sur un bar restaurant qui ne paie pas de mine vu de dehors.
Je passe la porte et découvre une ambiance vivante, où les clients parlent fort sans se soucier de ceux et celles autour. Au fond, se trouve une petite scène, toute équipée et prête à recevoir des chanteurs d’un soir, ou de petits concerts pour électriser un peu les personnes présentes. Je prends le temps d’observer les personnes présentes, ainsi que les serveurs et serveuses.
Je repère, loin de l’entrée, mais d’où cette dernière reste visible, une table libre. Je m’installe à cette dernière et commence à regarder la carte posée.
Dessus se trouve toute une liste des boissons soft, alcoolisées et autre cocktails qu’ils proposent. Dans les softs, on a les sodas, les jus de fruits ainsi que l’eau. Les basiques en sommes. Pour les boissons alcoolisées, il y a différents vins nippons mais aussi du sake. Par contre les cocktails, on trouve les grands classiques tel que le Bloody Mary, la Piña Colada, le Mojito ou encore le Caïpirinha, mais ils côtoient des cocktails inconnus aux noms parfois étonnant.
En effet, je peux voir un « Amour d’orange », un « Umeshu Bloody », un « Shady Lady » ou encore un « Japanese Slipper ». Sans compter parmi ces cocktails spéciaux, il y a aussi un « cocktail maison », sans explication particulière. Je me demande ce qu’ils peuvent mettre dedans.
Soudain je suis tirée de mes réflexions par une des serveuses.
Cette jeune fille fait entre 1m55 et 1m60, le teint clair, les cheveux bruns. Elle possède des tâches de rousseurs sur les pommettes et deux yeux bleus, faisant échos aux miens. Elle m’adresse un large sourire sincère avant de me parler.
« - Enchantée ! C’est la première fois que je vous vois ici ! Que puis-je faire pour vous ? »
Je lui souris à mon tour.
« - C’est la première fois que je viens ici en effet. Ravi aussi. Et bien je cherche à goûter un peu les spécialités du pays. Je vais commencer par prendre un Umeshu Bloody et votre cocktail maison, il m’intrigue beaucoup. Merci mademoiselle. »
Je pose la carte et avant qu’elle parte, j’ajoute.
« - Oh et puis-je vous demander votre avis sur les boissons ? »
J’ai donc commencé par m’enquérir des affaires de la famille. Malheureusement, ma qualité de chef de famille, ne me permet pas vraiment de les ignorer trop longtemps. Pourtant qu’est-ce que ça pourrait me faire plaisir parfois ! C’est donc la mort dans l’âme, que je me suis résolu à m’installer à mon bureau et lire chaque foutu rapport, chaque maudite nouvelle et chaque damnée information que j’avais laissé en souffrance.
La majorité de ces informations ne sont qu’anecdotiques, ce qui leur vaut rapidement d’être mise au rencard. Quelques rapports retiennent mon intérêt. Ils concernent des affaires plus ou moins urgences ou importantes en Europe ou ici même. A la suite de chacun d’eux, je rédige une note que je fais transmettre ou envoyer à l’interlocuteur concerné.
Parmi le courrier, je trouve une enveloppe cacheté par de la cire et dont le sceau est celui de la famille Shidara. Je ne suis pas ici depuis longtemps, pourtant ils le savent déjà. En même temps cela n’a rien de très surprenant, entre chef de famille, on possède toujours un œil sur nos égaux, par prudence. Je verrai cette missive ultérieurement, j’ai d’autres activités de prévu pour aujourd’hui. Je mets la missive bien en évidence sur mon bureau, puis quitte la pièce.
Je quitte ma demeure pour profiter un peu du par cet des enfants qui vont le fréquenter durant tout l’après-midi. Après tout, j’aime bien cette ambiance pleine de vie, même si je ne supporte pas les parents.
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Il me faut un verre.
Non une bouteille.
A la réflexion … il me faut une bonne cuite en urgence.
Le parc, plus jamais ne mettre les pieds dans celui-là. Trop loin, et ayant de drôle de fréquentation. Et surtout ne jamais recroiser cette louve furieuse.
Mes pas me dirigent donc tout naturellement vers le quartier des bars. Je vais directement dans ceux à thème, ils me conviennent mieux que ceux des bas fond vu mon allure, et aussi mieux que ceux haut de classe qui eux sont trop guindés. Je déambule donc dans la rue, à la recherche d’un lieu qui me tenterait.
Si Vil me voyait, il serait effondré de rire.
C’est une certitude. Moi qui ne boit jamais plus que de raison … je prévois de me mettre minable après avoir croisé une lycan pour la première fois de ma vie. Et bien ça promet !
Je fini par jeter mon dévolu sur un bar restaurant qui ne paie pas de mine vu de dehors.
Je passe la porte et découvre une ambiance vivante, où les clients parlent fort sans se soucier de ceux et celles autour. Au fond, se trouve une petite scène, toute équipée et prête à recevoir des chanteurs d’un soir, ou de petits concerts pour électriser un peu les personnes présentes. Je prends le temps d’observer les personnes présentes, ainsi que les serveurs et serveuses.
Je repère, loin de l’entrée, mais d’où cette dernière reste visible, une table libre. Je m’installe à cette dernière et commence à regarder la carte posée.
Dessus se trouve toute une liste des boissons soft, alcoolisées et autre cocktails qu’ils proposent. Dans les softs, on a les sodas, les jus de fruits ainsi que l’eau. Les basiques en sommes. Pour les boissons alcoolisées, il y a différents vins nippons mais aussi du sake. Par contre les cocktails, on trouve les grands classiques tel que le Bloody Mary, la Piña Colada, le Mojito ou encore le Caïpirinha, mais ils côtoient des cocktails inconnus aux noms parfois étonnant.
En effet, je peux voir un « Amour d’orange », un « Umeshu Bloody », un « Shady Lady » ou encore un « Japanese Slipper ». Sans compter parmi ces cocktails spéciaux, il y a aussi un « cocktail maison », sans explication particulière. Je me demande ce qu’ils peuvent mettre dedans.
Soudain je suis tirée de mes réflexions par une des serveuses.
Cette jeune fille fait entre 1m55 et 1m60, le teint clair, les cheveux bruns. Elle possède des tâches de rousseurs sur les pommettes et deux yeux bleus, faisant échos aux miens. Elle m’adresse un large sourire sincère avant de me parler.
« - Enchantée ! C’est la première fois que je vous vois ici ! Que puis-je faire pour vous ? »
Je lui souris à mon tour.
« - C’est la première fois que je viens ici en effet. Ravi aussi. Et bien je cherche à goûter un peu les spécialités du pays. Je vais commencer par prendre un Umeshu Bloody et votre cocktail maison, il m’intrigue beaucoup. Merci mademoiselle. »
Je pose la carte et avant qu’elle parte, j’ajoute.
« - Oh et puis-je vous demander votre avis sur les boissons ? »
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Ven 23 Mar 2018 - 23:33
Le sourire du client eut le mérite de lui donner le ton du contact. Au premier abord, Lin était capable de savoir quelle attitude adopter en fonction de la personne assis en face d’elle. Tout résidait dans le nombre de personne présent, un groupe d’ami, un couple, des copines, des potes ou une personne solitaire. On pouvait aussi noter l’expression du visage. Avait-on en face de soi un visage fermé, respectueux, souriant, lumineux ou alcoolisé – important de noter la présence ou non d’alcool. Le roux avait affiché un sourire doux et chaleureux, il était donc possible de discuter avec sans rencontrer une porte blindé en réponse ou de sentir la gêne causé. Lin sortit donc son bloc-notes de l’intérieur de sa ceinture, contente de trouver un client qui n’allait pas lui pourrir la soirée.
- C’est la première fois que je viens ici en effet. Ravi aussi. Et bien je cherche à goûter un peu les spécialités du pays. Je vais commencer par prendre un Umeshu Bloody et votre cocktail maison, il m’intrigue beaucoup. Merci mademoiselle.
En hochant la tête à chaque demande, Lin nota tout soigneusement. Elle ajouta également le numéro de la table (pour se souvenir) et un chiffre : actuellement le 20e pour cette commande. C’était un moyen qu’elle avait mis en place pour le barman. Cela lui évitait de passer des commandes en pensant qu’elle n’était pas prioritaire sur une autre. En effet, avec les nombres débutant au 1, notre ami derrière le comptoir savait que la commande 3 plus difficile à faire que la commande numéro 4 devait tout de même passer en priorité pour ne pas attendre plus que de raison. Hein, hein, futée la petite française. Allez, vous êtes tous sur le cul faites pas les génies ! Lin y avait pensé et pas vous !
- Oh et puis-je vous demander votre avis sur les boissons ?
D’un mouvement fluide, Lin referma le tout pour le ranger dans sa ceinture.
- Mon avis ? Elle haussa un sourcil. Je ne les ai pas tous bus j’avoue… car si je bois pendant mon service je suis pas bien sûr de faire du bon taf derrière. Se mit-elle à rigoler en lançant un clin d’œil. Le peu que j’ai bus, j’ai adoré, je suis plus alcool sucré mais, j’ai de bon retour sur le umeshu bloody et surtout sur notre cocktail maison. Les deux sont un peu différents cependant. Notre cocktail maison est plus sucré que le umeshu bloody mais, rien de bien choquant. Ça ne devrait pas vous perturber !
Dans un dernier sourire, elle mit les voiles avec la confirmation de la commande. Deux boissons alcoolisées ? Malgré leur spécificité, ça sentait la petite craquerie. M’enfin, Lin n’allait pas l’en blâmer ! Cela ne devait pas être dis – pour ne pas frustrer les bons pensants – mais dès fois, se boire une bonne boisson alcoolisé aphrodisiaque de par son goût et ses effets ça ne faisait de mal à personne. Après un cocktail au jus de tomate… beuh. Elle fit la remarque au barman qui secoua la tête en levant les yeux au ciel. Depuis son arrivé, Lin n’avait encore jamais réussis à avaler plus de deux gorgées de ce genre de boisson alcoolisé au jus de quelque chose.
Elle laissa quelques minutes à son collègue pour tout préparer, elle réussit donc à prendre une autre commande et à nettoyer une table. En arrivant de nouveau au comptoir, elle plissa le nez à la vue de la boisson rouge au jus de tomate.
- Non mais… même visuellement, ça donne envie de vomir mec…
- Occupe-toi de ton client au lieu de te plaindre !
Elle retourna donc à la table du charmant roux et lui tendit le tout en souriant. Visuellement, le cocktail maison donnait d’avantage envie. Il avait – en tout cas, par rapport à l’autre – une couleur beaucoup moins inquiétante.
- Voilà votre commande. A mon avis, le cocktail maison va être meilleur. Le jus de tomate dans un cocktail je n’arrive pas à comprendre l’idée… ça doit être à cause de mes origines, je reste fidèle à mes cocktails occidentaux. Goutez et dites-moi donc ce que ça donne.
Elle lâcha un regard alarmé sur son client. Elle imaginait comme une idiote tous les effets que pouvaient créer le dégoût. Elle comptait alors deux types d’effets. Le premier était physique, est-ce que le jeune rouquin allait-il se mettre à vomir dans le bar ? Oh mon dieu, l’idée était vraiment à gerber ! Tout ce qu’il allait falloir nettoyer. Ensuite, il y avait le second effet sur le caractère. Le joli sourire du jeune homme allait se transformer en grimace et son ton si courtois et chaleureux allait devenir beaucoup plus rude et sec. Le désastre !
Alessio O. Di Altiero#96898#96898#96898#96898#96898#96898#96898
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Dim 22 Avr 2018 - 2:15
La serveuse s’en va donner ma commande a barman et s’occuper de ses autres clients. Pendant ce temps je regarde ce que je pourrai prendre après, dans le but de me tourner la tête. Après tout c’est mon objectif initial.
J’entends déjà ma mère crier au déshonneur et à l’irresponsabilité, mon majordome se confondre en tentative vaine de me remonter le moral. Et la maisonnée va s’activer comme des abeilles dans une ruche, juste parce que j’aurai trop bu. Il est probable qu’on me reproche –Sergio en fait- de n’avoir fait qu’à ma tête … encore une fois. D’être sorti, me mettant -selon ses critères- inutilement en danger, sans garde du corps ni dire où j’allais. Comme pour ma mère je l’entends déjà me sermonner … à quelques 9491 kilomètres de distance. Surtout si il apprend ma mésaventure avec la louve et ma cuite intentionnelle de ce soir.
Enfin … s’il l’apprend un jour !
Oh que c’est une bonne idée ! Il me suffit de découcher, ce qui ne serait pas une première ! Rentrer à l’aube, et me terrer dans mes appartements toute la journée demain. Du coup personne ne saurait pour ma cuite !
Pendant ma réflexion, la serveuse a eu le temps de faire son travail et la voilà qui m’apporte ma commande. Il est vrai que le Umeshu Bloody contraste grandement avec leur cocktail maison. Mais qu’importe, du moment que le taux d’alcool y est, le reste importe peu.
« - Voilà votre commande. A mon avis, le cocktail maison va être meilleur. Le jus de tomate dans un cocktail je n’arrive pas à comprendre l’idée … ça doit être à cause de mes origine, je reste fidèle à mes cocktails occidentaux. Goûtez et dîtes-moi donc ce que ça donne. »
Je lui souris pour la remercier. Il est vrai que du jus de tomate dans un cocktail est loin d’être … fréquent mais pourquoi pas après tout ? A son attitude je sais qu’elle attend mon verdict, probablement en espérant qu’il n’affectera pas mon humeur. Rassure-toi jeune fille humaine, tant que tu n’es pas une louve voulant me sauter à la gorge … rien n’entamera mon humeur de beuverie !
Je prends le cocktail nippon et je l’avale d’une traire. Le mélange est harmonieux en réalité, loin de ce que j’appréhendais. Ça ne vaut pourtant, je le concède à la serveuse, pas un bon vieux cocktail européen. Mais elle vient d’Europe elle aussi ? Tient tient intéressant ! Je prends l’autre cocktail et le vide de la même façon. Ce cocktail maison est vraiment bon, légèrement sucré mais très équilibré en bouche. Je vais donc en reprendre un.
Après tout pour se tourner la tête, le plus court chemin est de faire des mélanges !
« - Et bien votre cocktail maison est excellent ! Je vais en reprendre un … ou deux …. Soyons fou mettez m’en trois. Quant au Umeshu Bloody et bien … je dirais que c’est particulier mais pas désagréable. Mais je ne vais pas retenter pour autant. Je vais plutôt prendre un Caïpirinha, ainsi qu’un Mojito bien corsé, un verre de bourbon aussi. Pour une seconde vague je crois que ça sera suffisant. »
Je suis lui adresse un petit sourire, à voir son air –presque halluciné- elle ne s’attendait pas à une commande pareille. Peut-être ai-je abusé un peu ? Non définitivement pas, il m’en faut beaucoup pour être bourré, et cet état de félicité dure peut longtemps, alors autant mettre la gomme dès le début.
Par contre … je me sens presque obligé de lui fournir une explication plausible à ce besoin d’alcool.
« - Ca peut paraître beaucoup mais … j’ai eu une rude journée et j’ai besoin de me changer les idées. Rassurez-vous je ne vous causerais pas d’ennuis. »
Est-ce que je peux vraiment affirmer ça ? Je suis un vampire, dans un endroit remplis de proie potentielle pour me nourrir. Non non, j’ai de quoi sustenter ma soif une fois dans ma demeure. Et puis si Vil l’apprenait … disons que même si il accepte ma nature vampirique je doute qu’il comprenne que je prenne –presque plaisir- à me nourrir à la source directement.
J’empêche un soupire de passer mes lèvres, j’entends à nouveau Sergio dans ma tête me disant qu’en plus ça serait trop risqué vu le nombre très élevé de témoin. Sand compter qu’Irys m’avait appris à voir que j’étais (que je pouvais- être bien plus que seulement un vampire assoiffé de sang frais. Satané conscience !
« - Pardonnez-moi ma curiosité, mais vous êtes originaire d’Europe vous aussi ? Puis-je vous demander d’où ? Et j’aimerai vous proposer de prendre un verre en ma compagnie, en dehors de votre service bien entendu si c’est mieux pour vous. Ou pendant avec un verre d’eau si cela vous est possible. »
Pourquoi ne pas boire avec un peu de compagnie ou prolonger la soirée avec elle en buvant ailleurs ? Après tout, je suis encore pour quelques temps libre d’agir comme bon me semble vis-à-vis de mes fréquentations féminines.
J’entends déjà ma mère crier au déshonneur et à l’irresponsabilité, mon majordome se confondre en tentative vaine de me remonter le moral. Et la maisonnée va s’activer comme des abeilles dans une ruche, juste parce que j’aurai trop bu. Il est probable qu’on me reproche –Sergio en fait- de n’avoir fait qu’à ma tête … encore une fois. D’être sorti, me mettant -selon ses critères- inutilement en danger, sans garde du corps ni dire où j’allais. Comme pour ma mère je l’entends déjà me sermonner … à quelques 9491 kilomètres de distance. Surtout si il apprend ma mésaventure avec la louve et ma cuite intentionnelle de ce soir.
Enfin … s’il l’apprend un jour !
Oh que c’est une bonne idée ! Il me suffit de découcher, ce qui ne serait pas une première ! Rentrer à l’aube, et me terrer dans mes appartements toute la journée demain. Du coup personne ne saurait pour ma cuite !
Pendant ma réflexion, la serveuse a eu le temps de faire son travail et la voilà qui m’apporte ma commande. Il est vrai que le Umeshu Bloody contraste grandement avec leur cocktail maison. Mais qu’importe, du moment que le taux d’alcool y est, le reste importe peu.
« - Voilà votre commande. A mon avis, le cocktail maison va être meilleur. Le jus de tomate dans un cocktail je n’arrive pas à comprendre l’idée … ça doit être à cause de mes origine, je reste fidèle à mes cocktails occidentaux. Goûtez et dîtes-moi donc ce que ça donne. »
Je lui souris pour la remercier. Il est vrai que du jus de tomate dans un cocktail est loin d’être … fréquent mais pourquoi pas après tout ? A son attitude je sais qu’elle attend mon verdict, probablement en espérant qu’il n’affectera pas mon humeur. Rassure-toi jeune fille humaine, tant que tu n’es pas une louve voulant me sauter à la gorge … rien n’entamera mon humeur de beuverie !
Je prends le cocktail nippon et je l’avale d’une traire. Le mélange est harmonieux en réalité, loin de ce que j’appréhendais. Ça ne vaut pourtant, je le concède à la serveuse, pas un bon vieux cocktail européen. Mais elle vient d’Europe elle aussi ? Tient tient intéressant ! Je prends l’autre cocktail et le vide de la même façon. Ce cocktail maison est vraiment bon, légèrement sucré mais très équilibré en bouche. Je vais donc en reprendre un.
Après tout pour se tourner la tête, le plus court chemin est de faire des mélanges !
« - Et bien votre cocktail maison est excellent ! Je vais en reprendre un … ou deux …. Soyons fou mettez m’en trois. Quant au Umeshu Bloody et bien … je dirais que c’est particulier mais pas désagréable. Mais je ne vais pas retenter pour autant. Je vais plutôt prendre un Caïpirinha, ainsi qu’un Mojito bien corsé, un verre de bourbon aussi. Pour une seconde vague je crois que ça sera suffisant. »
Je suis lui adresse un petit sourire, à voir son air –presque halluciné- elle ne s’attendait pas à une commande pareille. Peut-être ai-je abusé un peu ? Non définitivement pas, il m’en faut beaucoup pour être bourré, et cet état de félicité dure peut longtemps, alors autant mettre la gomme dès le début.
Par contre … je me sens presque obligé de lui fournir une explication plausible à ce besoin d’alcool.
« - Ca peut paraître beaucoup mais … j’ai eu une rude journée et j’ai besoin de me changer les idées. Rassurez-vous je ne vous causerais pas d’ennuis. »
Est-ce que je peux vraiment affirmer ça ? Je suis un vampire, dans un endroit remplis de proie potentielle pour me nourrir. Non non, j’ai de quoi sustenter ma soif une fois dans ma demeure. Et puis si Vil l’apprenait … disons que même si il accepte ma nature vampirique je doute qu’il comprenne que je prenne –presque plaisir- à me nourrir à la source directement.
J’empêche un soupire de passer mes lèvres, j’entends à nouveau Sergio dans ma tête me disant qu’en plus ça serait trop risqué vu le nombre très élevé de témoin. Sand compter qu’Irys m’avait appris à voir que j’étais (que je pouvais- être bien plus que seulement un vampire assoiffé de sang frais. Satané conscience !
« - Pardonnez-moi ma curiosité, mais vous êtes originaire d’Europe vous aussi ? Puis-je vous demander d’où ? Et j’aimerai vous proposer de prendre un verre en ma compagnie, en dehors de votre service bien entendu si c’est mieux pour vous. Ou pendant avec un verre d’eau si cela vous est possible. »
Pourquoi ne pas boire avec un peu de compagnie ou prolonger la soirée avec elle en buvant ailleurs ? Après tout, je suis encore pour quelques temps libre d’agir comme bon me semble vis-à-vis de mes fréquentations féminines.
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Mar 15 Mai 2018 - 14:28
Attentive et prête à intervenir au premier désagrément, Lin posa le regard sur les mains du rouquin qui apportait justement le fameux cocktail à la tomate à ses lèvres. Tout le subconscient de la jeune femme envoyait des signaux d’alarmes en rafale – on était à la limite du « error-404 » là-dedans je vous dis pas.
Plus professionnellement, extérieurement, Lin affichait un air parfaitement observateur – histoire de dire – alors qu’en réalité, elle sentait l’entourloupe. Le client ne dégustait pas, il avalait tout d’une traite. C’était à se demander s’il respirait entre les gorgées. En gros, ça puait la beuverie à plein nez encore plus précédemment. C’était alarmant, comme très bon financièrement parlant pour le commerce.
D’un point de vue extérieur, le rouquin était très propre. En soit, ça pouvait être un masque et cacher derrière un véritable monstre – surtout quand on prend en compte avec son expérience que les êtres les plus extraordinairement propres et beaux cachaient une face cachée beaucoup plus sanglante – ou c’était bon signe. Bon signe dans le sens qu’il ne casserait pas l’intérieur du bar une fois ivre ou qu’il n’allait pas se jeter sur le cou d’une collègue. En somme, c’était un véritable casse-tête.
Le plus triste aux yeux de Lin, ce n’était pas vraiment cette question : danger ou pas ? Ce n’était pas non plus que son nouveau client semblait propre et beau. En soit, ça faisait juste une charmante compagnie à admirer de côté. C’était cet absence de lueur dans les yeux, cette flamme intérieure éteinte – même partiellement, le temps d’un infime instant – qui cachait une fatigue ou une tristesse à pleurer avec un pot de glace maxi devant Bridget Jones.
« Et bien votre cocktail maison est excellent ! Je vais en reprendre un … ou deux …. Soyons fou mettez m’en trois. Quant au Umeshu Bloody et bien … je dirais que c’est particulier mais pas désagréable. Mais je ne vais pas retenter pour autant. Je vais plutôt prendre un Caïpirinha, ainsi qu’un Mojito bien corsé, un verre de bourbon aussi. Pour une seconde vague je crois que ça sera suffisant. »
Devant son sourire charmant et amusé, Lin haussa un sourcil en notant la commande. C’était encore une fois, trop et en même temps pas assez. Ou alors trop… sucrée par rapport aux attentes et aux résultats – à savoir vomir dans les toilettes.
« Ca peut paraître beaucoup mais … j’ai eu une rude journée et j’ai besoin de me changer les idées. Rassurez-vous je ne vous causerais pas d’ennuis. »
Histoire de changer de registre, Lin baissa son sourcil droit pour dresser le gauche. Ah non…Voyez-vous cela ? Elle n’avait pas deviné.
« Pardonnez-moi ma curiosité, mais vous êtes originaire d’Europe vous aussi ? Puis-je vous demander d’où ? Et j’aimerai vous proposer de prendre un verre en ma compagnie, en dehors de votre service bien entendu si c’est mieux pour vous. Ou pendant avec un verre d’eau si cela vous est possible. »
Instinctivement, Lin se mit à rire. Du haut de son petit rire cristallin, elle reposa de nouveau son regard attentif et en même temps compatissant sur ce client atypique. Elle reprit contenance doucement en finissant de noter la commande et en rajoutant également sa petite pate. Ce n’était pas vraiment une proposition qu’on lui faisait souvent. En tout cas, pas sur ce ton. Elle avait plus largement droit au « mademoiselle t’es charmante, ça t’dirait une glace à la menthe » (rpz à tous ceux qui ont reconnu la référence que je ne donnerai pas, soit vous avez de la culture idiote soit, vous n’en avez pas).
Il était également bientôt l’heure de sa pause qu’elle avait laissée de côté emportée par le travail. Elle soupira donc doucement tout en regardant son client.
-Votre proposition est tentante. Mais je pense qu’il est préférable que je vous donne d’abord votre commande avant.
Elle s’éclipsa avec un sourire pour retourner vers son collègue derrière le bar – ouais le barman – pour lui donner la faramineuse commande qui l’attendait. Elle lui conseilla également de mettre cette commande dans les priorités et d’y rajouter deux Monaco. Bien-sûr, son collègue ne se gêna pas pour une petite réflexion, il savait que c’était l’une des boissons qu’elle prenait pendant le service.
Petit point commercial, ouvrez vos oreilles (enfin vos yeux plutôt). Il fallait savoir que dans le domaine du service – surtout dans un bar – on ne refusait jamais une invitation à boire. Pourquoi ? Ne pas énerver le client, lui donner un peu plus d’importance qui va donc le faire rester dans le bar – voir revenir une prochaine fois – c’était parfait. Cependant, il ne fallait pas la boire. Ou peu. Lin était du genre à accepter le coup à boire pour le boire, justement. Elle prenait donc toujours quelque chose de « soft » qu’elle pouvait s’enfiler sans problème – car oui, les soirées étudiantes lui avaient construit un foie en béton – mais, qu’elle pouvait aussi mettre de côté facilement – et on ne mettait jamais de côté un excellent Mojito.
Ainsi, quand elle revient en face du rouquin, elle posa son plateau sur la table avant de s’asseoir sur la banquète en face en soupirant d’aise.
Il fallait avouer qu’elle avait les pieds en compote – car oui, elle avait encore mis des talons, c’était sa marque de fabrique après tout – et le plateau, avec des commandes pareils, lui travaillait les bras plus que prévu. Elle tendit un Monaco au jeune homme avant de prendre le sien, en laissant de côté le reste de la commande qui allait attendre qu’elle reprenne son service.
Elle prit une gorgée en regardant l’homme en face d’elle alors qu’il levait le verre à ses lèvres.
-C’est moi qui paye, donc savourez un peu.
Elle gloussa doucement. Non pas de ce gloussement désagréable auquel tu penses, juste ce rire en naissance plus sérieux. On pouvait le décrire comme un soupire teinté d’humour. Elle prit une nouvelle gorgée en savourant les petits bulles de la bière rafraichissante et le goût sucré du sirop.
-Sinon oui, je suis européenne, française même pour être plus précise. Et vous ? Ah et… elle montra son verre. J’ai accepté votre proposition parce qu’un monaco ça se refuse pas avec un peu de compagnie, je déteste être en pause toute seule donc souvent je fais tout mon service d’un coup. En espérant que mon patron ne s’en rende pas compte. La pause, ça coupe le rythme. M’enfin. Je n’ai pas accepté que pour ça.
Elle prit une nouvelle gorgée tout en jetant un coup d’œil rapide à la salle. Le monde avait finis d’affluer, le travail était donc moins intensif et sa collègue pouvait donc gérer sans être débordée à cause de son absence.
-J’ai aussi accepté parce que si vous avez envie de vous bourrer la gueule… autant le faire avec des shooters, non ? Il y a de nombreux bars en ville qui propose ce service. C’est gueule de bois du lendemain assuré si vous vous donnez à fond. Pas mauvais et pas très chère. En gros, parfait pour finir dans les toilettes.
Elle haussa de nouveaux les sourcils légèrement amusé par la situation. Elle avait pris la peine de se rapprocher doucement du jeune homme pendant sa petite tirade – qui méritait la palme de la meuf classe, hein ? Non… Toujours de mauvais joueur ici. Ça devient infernal de raconter quoi que ce soit.
En soit, Lin n’était pas gêné par la façon de procéder. C’était juste une proposition parmi tant d’autre et celle qu’elle aurait choisis à sa place.
Oh et, je m’appelle Lindiya !
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Mar 26 Juin 2018 - 0:41
« - C’est moi qui paye, donc savourez un peu. »
Je souris alors, le verre déjà posé sur mes lèvres. Je ne suis pas à un verre prêt, et je pourrai avaler, sans autre forme de procès, ma commode par la suite. Je ne prends donc qu’une seule gorgée, appréciant les bulles éclatant contre mon palais et le léger goût sucré qui les accompagne. En même temps j’écoute ce qu’elle me raconte. C’est la moindre des choses, c’est moi qui est enclenché le dialogue.
« - Sinon oui, je suis européenne, française même pour être plus précise. Et vous ? Ah et … j’ai accepté votre proposition parce qu’un monaco ça se refuse pas avec un peu de compagnie, je déteste être en pause toute seule donc souvent je fais tout mon service d’un coup. En espérant que mon patron ne s’en rende pas compte. La pause, ça coup le rythme. M’enfin. Je n’ai pas accepté que pour ça. »
Je m’accorde une seconde gorgée puis pose mon verre à table, sans pour autant le lâcher. Je sais bien que mon verre ne va pas s’envoler mais tout de même. Comme ça la serveuse est française. Pourquoi diable être venue au Japon dans ce cas ? Il est vrai que certaines boissons ne sont pas faîte pour être bu en solitaire. Quoi que … tout dépend du but recherché.
« - J’ai aussi accepté parce que si vous avez envie de vous bourrez la gueule … autant le faire avec des shooters, non ? Il y a de nombreux bars en ville qui propose ce service. C’est gueule de bois du lendemain assuré si vous vous donnez à fond. Pas mauvais et pas très chère. En gros, parfait pour finir dans les toilettes. »
Gueule de bois du lendemain assuré ? J’aimerai tellement ! Mais ce n’est pas pour moi, je me retourne la tête et je récupère dans la foulé ou presque. Enfin quelques heures de déconnection font toujours beaucoup de bien. Et puis cela va m’empêcher de penser à cette espèce de … questo licantropo decrepito abietto, gelido e senza cuore ! (cette abjecte, frigide et sans cœur de lycane décérébrée). Je m’empêche de lâcher un soupire et je me passe ma main libre dans les cheveux à la place. Cette jeune fille a raison … les shooters peuvent être une bonne idée. La quantité d’alcool dans chacun est plus faible, mais la diversité devrait la compenser totalement.
Je m’aperçois qu’elle en a profité pour se rapprocher de moi. Tout en douceur et sans mouvement brusque. Elle se trouve maintenant suffisamment proche de moi, pour que je distingue ses veines battre la cadence de son cœur. De plus je peux sentir son odeur propre, parmi toutes les effluves d’alcool présentes dans la salle. Un léger parfum émane d’elle, et je reconnais le fameux « Si » de Giorgio Armani. Un grand classique, ce qui est très appréciable. De plus cette proximité est bien plus que suffisante pour être comblée d’un geste et voler un chaste baiser. Cela pourrait même être très amusant. Cependant … je n’ai probablement pas encore assez bu pour faire ce genre d’ânerie. Quoique … ?
« - Oh et, je m’appelle Lindiya ! »
Lindiya. Prénom original qui ne sonne pas tellement français pour autant. Mais bon, de nos jours les parents donnent des noms à leurs enfants sans forcément prendre en compte leur pays, ni même les origines ou la facilité de porter le prénom choix pour l’enfant. L’idée de lui voler un baiser est plus que tentante maintenant. Pourtant … je pense qu’il faudrait réserver ça à plus tard. Je me contente donc pour le moment de lui sourire et d’avaler une nouvelle gorgée de la boisson qu’elle m’offre si généreusement.
« - Enchanté Lindiya. Je m’appelle Orfeo. Et je suis 100% italien. Je suis entièrement d’accord avec vous, certaines boissons ne sont pas faîtes pour être prises en solitaire. Merci beaucoup pour ce monaco que vous m’offrez. Et j’apprécie beaucoup votre idée de shooters … »
C’est même plus que ça, j’y adhère complètement.
« - Peut-être que vous accepteriez de venir faire la tournée de ces fameux bars à shooters avec moi, une fois votre service terminé ? Parce que je vous le concède, j’ai en effet besoin de me bourrer la gueule. D’oublier un instant mon après-midi merdique. Du moins jusqu’à demain midi en sommes. »
Je fais se rencontre nos verres pour trinquer ensemble. Je crois que je suis bien content que Dae ait changé de métier et ne fréquente plus vraiment les bars à l’heure actuelle. Ca m’évite d’avoir à lui expliquer, si jamais je le croisais, pourquoi j’agissais ainsi. J’avale une nouvelle gorgée de ma boisson, même si je l’apprécie, je ne peux pas vraiment dire que j’aime vraiment non plus. Je préfère les alcools plus fort, et je ne suis que très peu fan des bulles. Sauf de celles présentent dans le champagne.
« - Dites-moi, pourquoi être venue au Japon ? Je doute que ça soit pour leurs cocktails, ou le métier de serveuse. Bien que cette tenue vous aille à ravir. »
Je souris très largement, je vois dans son regard que pourtant mon sourire ne la trompe pas. Il n’est que physique, il ne se reflète pas dans mes yeux je suppose. Tant pis, je n’ai pas envie ce soir de faire semblant d’être heureux ou enthousiaste. Après tout, la questo licantropo decrepito abietto, gelido e senza cuore, est totalement responsable de cet état de fait. Quelle hypocrisie de sa part ! Heureusement que je sais que tous les lycans ne sont pas comme elle.
« - D’ailleurs pourquoi avoir choisi un monaco comme boisson ? A partager il y a tellement d’autres possibilités. Non pas que celle-là soit mauvaise, au contraire je l’apprécie beaucoup. Mais j’apprécie encore plus votre geste. Merci. »
Je souris alors, le verre déjà posé sur mes lèvres. Je ne suis pas à un verre prêt, et je pourrai avaler, sans autre forme de procès, ma commode par la suite. Je ne prends donc qu’une seule gorgée, appréciant les bulles éclatant contre mon palais et le léger goût sucré qui les accompagne. En même temps j’écoute ce qu’elle me raconte. C’est la moindre des choses, c’est moi qui est enclenché le dialogue.
« - Sinon oui, je suis européenne, française même pour être plus précise. Et vous ? Ah et … j’ai accepté votre proposition parce qu’un monaco ça se refuse pas avec un peu de compagnie, je déteste être en pause toute seule donc souvent je fais tout mon service d’un coup. En espérant que mon patron ne s’en rende pas compte. La pause, ça coup le rythme. M’enfin. Je n’ai pas accepté que pour ça. »
Je m’accorde une seconde gorgée puis pose mon verre à table, sans pour autant le lâcher. Je sais bien que mon verre ne va pas s’envoler mais tout de même. Comme ça la serveuse est française. Pourquoi diable être venue au Japon dans ce cas ? Il est vrai que certaines boissons ne sont pas faîte pour être bu en solitaire. Quoi que … tout dépend du but recherché.
« - J’ai aussi accepté parce que si vous avez envie de vous bourrez la gueule … autant le faire avec des shooters, non ? Il y a de nombreux bars en ville qui propose ce service. C’est gueule de bois du lendemain assuré si vous vous donnez à fond. Pas mauvais et pas très chère. En gros, parfait pour finir dans les toilettes. »
Gueule de bois du lendemain assuré ? J’aimerai tellement ! Mais ce n’est pas pour moi, je me retourne la tête et je récupère dans la foulé ou presque. Enfin quelques heures de déconnection font toujours beaucoup de bien. Et puis cela va m’empêcher de penser à cette espèce de … questo licantropo decrepito abietto, gelido e senza cuore ! (cette abjecte, frigide et sans cœur de lycane décérébrée). Je m’empêche de lâcher un soupire et je me passe ma main libre dans les cheveux à la place. Cette jeune fille a raison … les shooters peuvent être une bonne idée. La quantité d’alcool dans chacun est plus faible, mais la diversité devrait la compenser totalement.
Je m’aperçois qu’elle en a profité pour se rapprocher de moi. Tout en douceur et sans mouvement brusque. Elle se trouve maintenant suffisamment proche de moi, pour que je distingue ses veines battre la cadence de son cœur. De plus je peux sentir son odeur propre, parmi toutes les effluves d’alcool présentes dans la salle. Un léger parfum émane d’elle, et je reconnais le fameux « Si » de Giorgio Armani. Un grand classique, ce qui est très appréciable. De plus cette proximité est bien plus que suffisante pour être comblée d’un geste et voler un chaste baiser. Cela pourrait même être très amusant. Cependant … je n’ai probablement pas encore assez bu pour faire ce genre d’ânerie. Quoique … ?
« - Oh et, je m’appelle Lindiya ! »
Lindiya. Prénom original qui ne sonne pas tellement français pour autant. Mais bon, de nos jours les parents donnent des noms à leurs enfants sans forcément prendre en compte leur pays, ni même les origines ou la facilité de porter le prénom choix pour l’enfant. L’idée de lui voler un baiser est plus que tentante maintenant. Pourtant … je pense qu’il faudrait réserver ça à plus tard. Je me contente donc pour le moment de lui sourire et d’avaler une nouvelle gorgée de la boisson qu’elle m’offre si généreusement.
« - Enchanté Lindiya. Je m’appelle Orfeo. Et je suis 100% italien. Je suis entièrement d’accord avec vous, certaines boissons ne sont pas faîtes pour être prises en solitaire. Merci beaucoup pour ce monaco que vous m’offrez. Et j’apprécie beaucoup votre idée de shooters … »
C’est même plus que ça, j’y adhère complètement.
« - Peut-être que vous accepteriez de venir faire la tournée de ces fameux bars à shooters avec moi, une fois votre service terminé ? Parce que je vous le concède, j’ai en effet besoin de me bourrer la gueule. D’oublier un instant mon après-midi merdique. Du moins jusqu’à demain midi en sommes. »
Je fais se rencontre nos verres pour trinquer ensemble. Je crois que je suis bien content que Dae ait changé de métier et ne fréquente plus vraiment les bars à l’heure actuelle. Ca m’évite d’avoir à lui expliquer, si jamais je le croisais, pourquoi j’agissais ainsi. J’avale une nouvelle gorgée de ma boisson, même si je l’apprécie, je ne peux pas vraiment dire que j’aime vraiment non plus. Je préfère les alcools plus fort, et je ne suis que très peu fan des bulles. Sauf de celles présentent dans le champagne.
« - Dites-moi, pourquoi être venue au Japon ? Je doute que ça soit pour leurs cocktails, ou le métier de serveuse. Bien que cette tenue vous aille à ravir. »
Je souris très largement, je vois dans son regard que pourtant mon sourire ne la trompe pas. Il n’est que physique, il ne se reflète pas dans mes yeux je suppose. Tant pis, je n’ai pas envie ce soir de faire semblant d’être heureux ou enthousiaste. Après tout, la questo licantropo decrepito abietto, gelido e senza cuore, est totalement responsable de cet état de fait. Quelle hypocrisie de sa part ! Heureusement que je sais que tous les lycans ne sont pas comme elle.
« - D’ailleurs pourquoi avoir choisi un monaco comme boisson ? A partager il y a tellement d’autres possibilités. Non pas que celle-là soit mauvaise, au contraire je l’apprécie beaucoup. Mais j’apprécie encore plus votre geste. Merci. »
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Dim 9 Déc 2018 - 15:57
Enchanté Lindiya. Je m’appelle Orfeo. Et je suis 100% italien. Je suis entièrement d’accord avec vous, certaines boissons ne sont pas faîtes pour être prises en solitaire. Merci beaucoup pour ce monaco que vous m’offrez. Et j’apprécie beaucoup votre idée de shooters …
Italien ? Les italiens étaient donc roux aux yeux verts de nous jours ? Intéressant. Elle avait déjà vu des yeux verts chez la gente masculine du pays des Don Juan mais, certainement pas des roux typiquement écossais dans la tête de Lindiya. Comme quoi, l’habit ne faisait véritablement pas le moine.
Totalement en maîtrise d’elle-même, l’étudiante prenait le temps d’étudier le taux d’alcoolémie du séduisant client. L’alcool allait belle et bien finir par monter mais, pas de suite. Elle avait donc de la chance, elle pourrait discuter confortablement avec une personne saine d’esprit sans craindre la montée souvent catastrophique de ces joyeuses boissons.
Peut-être que vous accepteriez de venir faire la tournée de ces fameux bars à shooters avec moi, une fois votre service terminé ? Parce que je vous le concède, j’ai en effet besoin de me bourrer la gueule. D’oublier un instant mon après-midi merdique. Du moins jusqu’à demain midi en sommes.
Elle se mit à rire doucement alors qu’il trinquait joyeusement leur deux verres. Elle prit une gorgée pour célébrer ce petit geste.
Laissez-moi y réfléchir mais, il serait possible que je dise oui.
Lin n’avait pas besoin d’oublier ces soucis. Si la question venait à te poser cher lecteur, je préférai vite mettre les choses aux clairs. Elle en avait vécu des cuites de l’oubli, à en finir dans des états plus que lamentable. Cependant, il lui fallait soit une fête incontrôlable à la mémoire des orgies romaines – même si on peut mettre de côté l’aspect charnel pour garder le côté alcool et drogue – soit, une sacrée[/] journée de merde. Elle n’avait pas vécu une sacrée [b]journée de merde. Elle n’était pas parfaite, loin de là mais, elle était banale. Et parfois, dans ce mélange d’événement, une journée banale ne pouvait être que la bienvenue.
A contrario, Orfeo transpirait la sacrée bonne journée de merde.
Elle souriait doucement, que faisait-elle ? Pourquoi voulait-elle tenir compagnie à ce client triste parmi tant d’autre ? Elle ne le savait pas vraiment. Mais, elle se sentait à sa place à écouter cet italien roux sortis de nulle part.
Dites-moi, pourquoi être venue au Japon ? Je doute que ça soit pour leurs cocktails, ou le métier de serveuse. Bien que cette tenue vous aille à ravir. D’ailleurs pourquoi avoir choisi un monaco comme boisson ? A partager il y a tellement d’autres possibilités. Non pas que celle-là soit mauvaise, au contraire je l’apprécie beaucoup. Mais j’apprécie encore plus votre geste. Merci.
Voyez-vous cela… Lin était légèrement amusé par la situation. En quelques phrases, le jeune homme avait totalement retournée l’attention sur la jeune femme. Certes, elle était de nature bavarde mais, les compliments vestimentaires avaient souvent tendance à la mettre mal à l’aise. Elle haussa les épaules avant de se décider à s’installer en face d’Orfeo. Elle sentait bien qu’ils allaient discuter pendant sa modique pause autant en profiter pour reposer ses jambes bien trop lourde à la fin des services.
Merci. Je préfère ma tenue habituelle… mais, pour le travail, j’essaye d’être plus « séduisante » si on veut. Si ça fonctionne, tant mieux, surtout niveau pourboire. Par contre, niveau drague, ça peut vite devenir « ennuyant ». Ajouta-t-elle en appuyant son dernier en faisant des guillemets avec ses doigts.
Sinon… Pourquoi le Japon. Hm, je dis souvent – et c’est la pure vérité – que c’est sur un coup de tête. Je devais quitter le cocon familial assez brusquement – sinon j’étais certaine de retourner chez papa/maman au bout d’une semaine toute seule. J’aime assez bien les animés – mais sans plus – c’est une culture différente de la mienne, je suis de nature ultra curieuse, il y avait un cursus sympa. Super, à l’aventure ! Se mit-elle à rire. Mais je dois vous avouer un truc…
Elle se rapprocha doucement.
J’ai souvent le mal du pays. Dit-elle en haussant les épaules. Je buvais souvent des monaco avec mes amies en France. C’était pas très alcoolisé et rafraichissant, ça faisait son taf pour la sage Sam que j’étais. Et enfin…
Elle posa sa main sur du nostalgique client.
Ne me remerciez pas. Indirectement, je fais mon travail.
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Sam 5 Jan 2019 - 23:12
Elle m’affirme qu’elle pourrait se laisser tenter par ma proposition de venir avec moi. Parfois, il ne me reste donc plus qu’à transformer ce pourrait en certitude. Rien de faire compliqué pour autant.
« - Merci. Je préfère ma tenue habituelle ... mais, pour le travail, j’essaye d’être plus ‘séduisante’ si on veut. Si ça fonctionne, tant mieux, surtout niveau pourboire. Par contre, niveau drague, ça peut vite devenir ‘ennuyant’. »
La jeune Lindiya m’explique tranquillement son avis sur sa tenue, appuyant même ses dires avec le geste des guillemets. Comme quoi devoir porter une tenue un peu plus séduisante, voire sexy, n’a pas le même impact sur toutes les jeunes femmes. Quant à son but, à peine voilé, d’aider l’augmentation de ses pourboires, tant en nombre qu’en générosité, il est plus que compréhensible. Pour être honnête, je la trouve très attirante. Évidemment je l’embrasserai avant la fin de la soirée c’est définitif. Ses lèvres sont une réelle invitation et ... et j’ai décroché sur ce qu’elle me disait.
Je raccroche les wagons lorsqu’elle se rapproche de moi doucement, comme pour me murmurer un secret. A cette distance, résister à cette envie folle va devenir un véritable challenge !
« - J’ai souvent le mal du pays. Je buvais souvent des monaco avec mes amies en France. Ce n’était pas très alcoolisé et rafraichissant, ça faisait son taf pour la sage Sam que j’étais. Et enfin ... »
Elle pose sa main sur ma main libre. Je vais craquer rapidement ainsi, clairement.
« - Ne me remerciez pas. Indirectement, je fais mon travail. »
Si tu ne faisais que ton travail, tu ne serais pas à une distance aussi courte. Une distance d’où tes lèvres narguent sans honte les miennes, et où mes yeux peuvent danser la samba en suivant le rythme de ta jugulaire. J’apprécie son rire, fluet et simple, en un sens rassurant. J’aime vraiment sa compagnie, elle tiendrait parfaitement le rôle de camarade de beuverie.
« - Merci pour avoir accepté de répondre à mes questions, pourtant quelque peu indiscrètes. Et si boire ce monaco en ma compagnie vous permet d’atténuer un peu votre mal du pays, je suis enchanté de pouvoir vous aider un peu. Même aussi modestement. »
Du coin de l’œil, je constate qu’elle a étendu ses jambes, très certainement pour soulager leur lourdeur à venir ou déjà bien présente. J’ose alors, sans réellement demander d’accord, remonter l’une d’elle et poser son pied sur ma cuisse. Suite à quoi, j’enlève sa chaussure et masse pianissimo son pied ainsi que son mollet.
« - Cela devrait soulager un tant soit peu la lourdeur que vous devez ressentir lors de votre dur labeur. »
Bien entendu, j’enchaine sur le second pied. Il ne faut pas faire de jaloux et autant qu’elle soit relaxée totalement et pas à demi seulement. Ensuite, je bois une gorgé de mon verre. L’interrogation de combien d’alcool je vais pouvoir encore ingurgiter avant d’obtenir l’effet souhaité. Il m’en manque encore beaucoup je pense, après ces consommations il sera plus que temps d’aller dans un de ces bars à shooters.
« - Puisque vous m’offrez ce verre, je vous offrirai trois shooters lorsque nous sortirons après votre service. J’espère que vous accepterez de me servir de guide dans ces fameux bars à shooters. »
J’écarte mon monaco légèrement et avale, sans autre forme de procès une partie de ma commande dont j’ai même oublié le contenu. Mais peu importe au fond, l’important est que ça fasse effet. Et le plus vite sera le mien. Cependant, avant tout, il me faut régler une question de fond ...
Affichant un sourire plus que mutin, je comble avec aisance la distance qui nous sépare et pose mes lèvres sur les siennes avec délicatesse. Ce n’est pas un échange passionné, ni même indiscret, il est facilement qualifiable de chaste et pourtant ... tellement gourmand. Ses lèvres ont un goût de cerise, peut-être dû au rouge à lèvres ou au gloss qu’elle a utilisé. De plus elles sont douces, presque comme du satin, ajoutant un zeste de douceur supplémentaire.
Sans pour autant m’attarder, je romps cet échange en lui adressant un large sourire. Lui offrir une raison à mon geste est la base, même s’il est fort possible qu’elle la trouve ... puéril voire déplacée. Tant pis, j’ai pris le risque ... et il en valait la chandelle.
« - Veuillez pardonner mon audace, jeune Lindiya. L’alcool joue quelque peu sur ma volonté et vous embrasser me tentait fortement. J’espère que cet écart, ne vous refroidira pas pour accepter mon invitation. Votre compagnie est des plus plaisante et la perdre à cause de cette faute engendrerai une vague de remords. »
Après avoir bu une autre gorgée de mon monaco, et sans la quitter du regard, j’enchaine. La galanterie n’a, à ma connaissance, jamais fait de mal à personne.
« - En outre vous êtes une magnifique jeune femme, et votre tenue n’a absolument aucune incidence sur ce compliment. Je comprendrai que vous souhaitiez en rester là, cependant sachez que ce baiser je vous l’ai pris en toute amitié et sans la moindre arrière-pensée. Je ne désire rien d’autre de votre part que votre agréable présence ... si vous consentez à continuer de me l’accorder, bien entendu. »
Si toutes les françaises sont comme cette jeune demoiselle, alors je comprends mieux comment mon frère a pu succomber à leur charme et avoir un enfant.
Invité
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Sam 12 Jan 2019 - 13:53
En un instant, Lin finit par sentir le léger changement d’ambiance. Bavarde comme elle l’était, il lui fallait souvent un moment pour atterrir et se rendre compte du moment présent dans son entièreté. Les regards, les silences, les moments d’attentions qui donnaient la puce à l’oreille. Ces indices qui montraient à n’importe qui, la voie qu’il empruntait. C’était ensuite à lui de choisir la sécurité – battre en retraite – ou l’aventure.
Cependant, Lin faisait partie de cette espèce un petit peu trop innocente. Elle laissait les choses aller et venir, les yeux à demi ouvert sur le présent, pour laisser l’instant présent la surprendre. Ce n’était peut-être pas la meilleure façon de faire. Tomber sur de mauvaise surprise pouvait vite survenir et pourtant, les petites épreuves misent sur sa route pour lui faire la leçon n’avait pas du tout réussit à changer son état d’esprit. Elle était ainsi faite que voulez-vous.
« Merci pour avoir accepté de répondre à mes questions, pourtant quelque peu indiscrètes. Et si boire ce monaco en ma compagnie vous permet d’atténuer un peu votre mal du pays, je suis enchanté de pouvoir vous aider un peu. Même aussi modestement. »
D’un sourire, Lin le remercie doucement alors qu’elle étant ses jambes en fermant les yeux. Si seulement l’apesanteur pouvait, le temps d’un instant, arrêter son cours pour lui laisser le temps de récupérer tranquillement. Même étendu ainsi, elle sentait toujours l’inconfortable sensation d’être trop lourde pour elle-même. Si ce n’était pas malheureux. Yeux fermé, elle attendait sagement que le reste de la conversation se poursuive, tout en reposant son être et son esprit.
Un touché de trop. Elle ouvre les yeux surprise, Orfeo tenait dans ses mains sa petite jambe douloureuse. C’était étrange, il fallait l’admettre, un peu osé également mais, c’était encore acceptable. Quand elle le surprit en train de lui retirer sa chaussure, elle se mit instinctivement à rougir prête à battre en retraire très rapidement. Mais, voilà, il se mit à masser et la sensation était… paradisiaque.
« Cela devrait soulager un tant soit peu la lourdeur que vous devez ressentir lors de votre dur labeur. »
Ça, elle ne pouvait pas le nier. C’était très agréable. Surprenant mais, la bienvenue. Elle savait très bien qu’elle se ferrait charrier à la fermeture pour ce petit événement inattendu dans son service.
Ses collègues savaient très bien qu’elle avait la parlote, papoter pendant des heures c’étaient totalement dans ses attributions. Il lui arrivait même souvent de parler – tout en effectuant son travail – à qui voulait bien lui rendre la conversation. C’était agréable, et pendant une journée, c’était même la bienvenue. Cela donnait un aspect chaleureux au bar, bien loin des festivités du soir. Le sourire des serveuses donnaient à l’endroit une atmosphère cosy agréable et parfait pour la ville de Nakanoto.
Lin pouvait même admettre que les heures passaient dans l’établissement lui donnait de nouvelle perspective. Elle en apprenait beaucoup plus sur elle-même depuis qu’elle portait son plateau qu’assise sur les bancs de la fac.
Allait-elle tout plaquer du jour au lendemain pour se lancer dans la vie active et rude du monde du service ? Elle n’en savait rien. Mais elle accueillait ce nouveau centre d’intérêt dans sa vie les bras ouvert. Elle aimait tellement le bonheur, qu’être heureuse le plateau à la main pour le moment, lui suffisait. On parlera avenir plus tard, elle avait la vie devant elle après tout.
Ainsi, si le côté bavard de Lindiya avait été accueilli à bras ouvert par l’établissement, se faire masser publiquement par un client était très… atypique. Et plus le massage lui procurait du bien, plus elle rougissait.
« Puisque vous m’offrez ce verre, je vous offrirai trois shooters lorsque nous sortirons après votre service. J’espère que vous accepterez de me servir de guide dans ces fameux bars à shooters. »
Elle se met à rire doucement, quelle douce invitation. Lin buvait peu mais, toujours bien. Si elle décidait de s’amuser, ça pouvait partir très loin mais, rare avait été les situations où elle avait perdu le contrôle et finit ailleurs que dans son lit.
Elle allait lui répondre que la perspective lui plaisait bien quand, le peu de distance qu’il restait entre eux deux diminua à portée de vue. Elle n’eut même pas le temps de demander le pourquoi du comment, il se rapprochait autant, qu’elle sentit les lèvres d’Orfeo sur les siennes. C’était tellement inattendu que la jeune femme n’eut même pas le temps de répondre que c’était déjà fini. Elle le regardait surprise, si l’alcool donnait de telles impulsions, elle ne s’attendait pas du tout à en recevoir les répercussions. Ce n’était pas désagréable mais, encore une fois, c’était inattendu et atypique.
Finalement, sa seule pensée se tourna vers ses collègues qui devaient bien rire de la situation. On lui disait souvent d’être moins « mignonne » car ça pouvait en faire craquer plus d’un sans qu’elle ne s’en rende compte.
« Veuillez pardonner mon audace, jeune Lindiya. L’alcool joue quelque peu sur ma volonté et vous embrasser me tentait fortement. J’espère que cet écart, ne vous refroidira pas pour accepter mon invitation. Votre compagnie est des plus plaisante et la perdre à cause de cette faute engendrerai une vague de remords. »
Elle avait les yeux ouverts en grand et son premier réflexe, fut de balayer la situation de la main en rigolant.
« Ce n’est rien, ce n’est rien, ça arrive… »
Elle le revoit apporter son verre à ses lèvres, il ne la quittait pas des yeux. Il avait un regard hypnotisant. Elle n’avait vu ça que très rarement dans sa vie. Et être la cause de ce regard lui donnait des chaleurs aux joues qu’elle était incapable de retenir.
« En outre vous êtes une magnifique jeune femme, et votre tenue n’a absolument aucune incidence sur ce compliment. Je comprendrai que vous souhaitiez en rester là, cependant sachez que ce baiser je vous l’ai pris en toute amitié et sans la moindre arrière-pensée. Je ne désire rien d’autre de votre part que votre agréable présence ... si vous consentez à continuer de me l’accorder, bien entendu. »
Elle récupéra ses jambes en souriant. C’était vraiment… une soirée de travail qui sortait du quotidien.
« Je ne sais pas trop quoi vous répondre, mais je vous remercie pour tous ces compliments, c’était aussi agréable que gênant. Répondit-elle en rigolant légèrement. On m’embrasse rarement pour me prouver une marque d’amitié. On va dire que c’est le charme et les coutumes italiennes. »
Elle se releva doucement. Elle devait retourner au travail. L’heure de fermeture approchait et pour finir à l’heure, il fallait commencer de suite à nettoyer les parties non utilisées par les clients pour fermer la salle et la cuisine au départ des derniers retardataires.
« On se retrouve plus tard j’imagine, essayez de calmer la boisson. Le deuxième round approche et je ne mets pas les doigts pour faire vomir ! »
Alessio O. Di Altiero#99871#99871#99871#99871#99871#99871#99871
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Mar 19 Fév 2019 - 1:45
« - Je ne sais pas trop quoi vous répondre, mais je vous remercie pour tous ces compliments, c’était aussi agréable que gênant. On m’embrasse rarement pour me prouver une marque d’amitié. On va dire que c’est le charme et les coutumes italiennes. »
Son rire est aussi agréable que sa voix ou encore que ses lèvres. Cette jeune femme est une véritable crème. Elle est capable de mettre un peu de soleil dans les journées les plus moroses. Une vraie bouffée de plénitude et de fraîcheur !
Je me doute bien qu’il est rare qu’elle soit embrassée par amitié, ce qui pourtant devrait être plus fréquent à mon avis. Le charme et les coutumes italiennes ? Oui on va dire ça ! On va plutôt mettre ça sur mon éducation d’un autre temps et les anciennes coutumes italiennes qui n’ont plus cours à l’heure d’aujourd’hui. Depuis quand ces dernières n’ont plus d’application au quotidien ? Un sacré bout de temps je le crains, puisque la dernière génération du clan n’en a jamais entendu parlé. Peut-être faudrait-il que je me « mette à la page » comme me l’a conseillé si souvent mon neveu. Il faut dire que son argument de choc n’en est pas un ... Puisqu’il argue que je viens d’un autre siècle, ce qui est techniquement parfaitement le cas.
Après tout, je suis né au début du19ème siècle.
La jeune Lin a récupéré ses jambes et se relève doucement. A sa posture, je devine que la fin de son service sera plus simple, maintenant que ses jambes et pieds ne la font plus souffrir autant. Ou du moins, nettement en deçà de l’habitude en fin de journée. Elle récupère son plateau et sans se départir un instant de son sourire ajoute tranquillement.
« - On se retrouve plus tard j’imagine, essayez de calmer la boisson. Le deuxième round approche et je ne mets pas les doigts pour faire vomir. »
Sa dernière phrase m’arrache un rire amusé. Je n’ai jamais pu me prendre une cuite et en arriver à ce stade. Et pourtant bien souvent l’envie y était ! Parallèlement ce n’est pas l’information qui retient le plus mon attention, mais la précédente : le deuxième round approche. Mon sourire s’élargit encore un peu plus, si cela est encore possible. En effet cette petite remarque implique que la soirée ne prendra pas fin dans ce bar. Quelque part dans un autre, après avoir avalé plus de shooters que de raison et surtout en charmante compagnie. Cette fin de soirée promet !
« - J’en déduis que vous m’accompagnerez après votre service pour profiter de la fin de soirée. J’en suis ravi. Cependant rassurez-vous, vous n’aurez pas besoin de vos doigts pour autre chose que de tenir vos shooters. Vous en avez ma parole. »
Quoi que ... peut-être pour rentrer chez elle et ouvrir sa porte. Si elle est en état de le faire après notre fin de soirée endiablée. Ce point n’est pas aussi certain que cela. Dans le pire cas, je l’hébergerai pour qu’elle ne coure aucun risque après. Il n’est point possible de prévoir tous les scénarii pouvant advenir, surtout dans une ville aussi cosmopolite.
« - Je vais terminer ma commande et patienter sagement que vous soyez libre pour notre sortie. »
Elle acquiesce d’un mouvement de tête en souriant, avant de retourner à ses fonctions coutumières. Je profite donc de l’instant pour finir mon monaco, avant de prendre l’un des autres verres et d’en avaler une gorgée. Quand je repense à la raison qui a eu l’effet de me pousser dans ce bar ... Cette jeune femme, cette lycane ...
Maintenant que je suis plus calme, je dois bien reconnaitre qu’elle me fait dans le fond de la peine. Dans son regard, cette lueur de peine mêlée à une colère profonde et froide, glacée même ... J’ignore ce qu’elle a dû traversée avant son changement de condition, cependant cet évènement, ou ces évènements, traumatique doit avoir été du même acabit que la perte de ma femme. Pourtant malgré ce fait, et l’empathie qu’il peut engendrer chez moi, je ne trouve aucune excuse à son animosité. Nonobstant le fait que son geste initial, partait d’un bon sentiment ... Après tout, l’Enfer est pavé de bonnes intentions comme on le dit.
Le ballet des derniers clients quittant leurs tables, payant leur dû et disparaissant dans la nuit, ramène mon esprit à l’instant présent. Il est donc temps de finir mes boissons, de payer mes consommations et d’attendre ma comparse temporaire avant de me laisser guider vers un autre horizon. Joignant ainsi le geste à ma pensée, je finis mes boissons et paie mon dû. Suite à quoi je sors du bar et patiente tranquillement en attendant ma jeune camarade.
Cette dernière ne tarde pas à venir me rejoindre et m’entraine vers notre prochaine destination.oOoOo
Le bar dans lequel nous entrons est très ... enfin ... ambiancé. La musique actuelle résonne plus fort que de raison, rendant le bruit dans cet espace clos assourdissant. La jeune Lin me mène au bar, et commande la tournée « découverte ». Dois-je en conclure qu’il y a plusieurs mélanges possibles ? Bien bien ... parfait même.
Cela augure de plusieurs tournées potentielles, information non négligeable.
Je profite de l’occasion pour observer la faune autour de nous. Il est certain que de visage je ne risque pas de détonner, la moyenne d’âge ne doit pas dépasser le 22 ou 23 ans. Non ce qui est décalé, c’est ma tenue ... définitivement. Même mon accompagnatrice passe inaperçu dans la foule. Nous récupérons notre commande, à savoir une douzaine de shooters aux couleurs extravagantes, variant du verre pomme au rouge sang. Les couleurs sont dues à des colorants sans doute, en sus des mélanges d’alcool potentiels.
Un peu à l’écart, nous nous trouvons une table libre. Lindiya y dépose le plateau avec nos boissons. Assis l’un face à l’autre, avec pour seul rempart entre nous douze petits verres emplis d’alcool. Je déraperai bien à nouveau avec un baiser moi ... peut-être après en avoir avalé un ou deux ... voir quel goût auront ses lèvres.
J’attrape le premier de mes verres, le lève face à elle.
« - Salute Lindiya ! À cette suite de soirée qui promet d’être encore meilleure que le début. »
Su ce j’avale le premier shooter en souriant.
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