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Mer 6 Mar 2019 - 21:50
Devant le miroir des vestiaires, Lin scrute sa tenue du jour d’un œil critique. Sortir faire des courses ou aller en cours dans cette tenue, cela ne posait aucun problème. C’était même plutôt adéquat : confortable, rapide à mettre, passe partout et cosy. Clairement, son sweat était cosy à souhait.
Pour tout vous avouer, elle l’avait même pris dans sa panière de linge sale puisqu’elle le mettait tous les week-end pour trainer… Mickey souriait de toutes ses dents, content de se retrouver épingler sur un habit de gamine. Elle n’avait même pas mise de soutien-gorge – ce qui était courant dans ses mauvaises journées au passage – mais, c’était impensable de sortir dans cette tenue là au bar et pire encore, au bras d’Orfeo.
« La honte… »
« Oh mon dieu ! Ah non, Linouille d’amour, tu vas pas sortir ce soir avec ça ! Oh mon dieu ! Pire ! OH MY GOD ! C’est la tenue typique de la célibataire qui s’envoie des pots de glace devant bridget jones ! Ohlalala ! »
« Oh bah ça va, rajoutes-en pas ! J’avais pas prévu de sortir personnellement »
« Tellement de potentiel dans ton petit corps tout doux mon chou »
« Je suis pas un chou, mince ! »
« Lin… Tu es douce, adorable et mignonne… CQFD tu es un petit chou, mais ce soir, tu vas devenir une vilaine fille, j’ai confiance en toi. »
Lin lève les yeux aux ciels, si elle savait. Faire la vilaine fille lui était tout de même déjà arrivé. Pourquoi tout le monde avait tendance à la prendre pour le bébé de la bande. Elle était petite certes mais, tout ce qui est petit est puissant il parait. Alors il était grand temps que tout le monde arrête de lui donner des surnoms infantilisants.
« Je suis une vilaine fille dès fois » dit-elle en faisant la moue.
« Ouais bah pas dans cette tenue jolie cœur... Heureusement pour toi que j’ai toujours des vêtements de renfort ! Dommage que cet italien n’est pas craqué sur mon minois… »
La tenue était idéale pour sortir, on ne pouvait pas le nier. Cependant, cela ressemblait pas du tout au style de la jeune femme. Et pourtant, avait-elle un autre choix. D’un œil mauvais, elle attrapa du bout des doigts la jupe courte de sa collègue.
« Non pas ça ! Tu vas jamais être à l’aise dedans, bébé »
« Ah ça, tu sais pas ! »
« Bah vas-y ! Tiens ! »
« Non, en fait non, merci… oh comme mon pantalon est confortable… Et ouh ce beau petit cul qu’il me fait…. Ouh ! »
Les deux collègues se mirent à rire en même temps. Lin se trémoussait en caressant ses fesses, il était clair que personne ne pouvait la contredire après cela. Avec ce cinéma, comment refuser ce pantalon à la jeune femme qui, en effet, le portait très bien. Elles riaient de bon cœur, alors qu’elle essayait quelques petits hauts. Les décolletés n’avaient jamais effrayé la jeune femme, bien au contraire, elle n’avait aucun problème à mettre en valeur sa poitrine.
« Et bien, c’est parfait ! Tu es toujours toi et prête à sortir, si c’est pas cool ça »
« Hum…. Merci…. T’es un amour !» fit la jeune étudiante en serrant sa collègue dans ses bras.
Elle était entourée d’amour sur patte, l’équipe du bar – au complet – formait une douce famille. C’était là le secret du patron. Il embauchait peu car il avait très peu de départ de personnel, tout le monde se sentait comme chez soi. Les dures journées étaient récompensées, les services excellents relevées. Cela permettait à toute l’équipe de travailler de bon cœur. Résultat, l’humeur des lieux transpiraient le bonheur et la joie à plein nez. La réussite d’un restaurant repose en grande partie sur la réussite du personnel. Et ça, le patron des lieux en avait conscience.***
Lin savait parfaitement où elle comptait emmener Orfeo pour la soirée. Depuis son arrivée sur le sol nippon, elle avait déjà pu faire des expériences. Toutes les soirées étudiantes l’attiraient, il fallait qu’elle soit vraiment fatiguée ou en retard sur un devoir à rendre pour refuser. Elle n’aimait pas forcément boire jusqu’à perdre la raison…. Bien au contraire, elle se contentait juste de deux/trois verres histoire de sentir les basses résonner dans son esprit.
Rien que d’y penser elle sautillait sur place. Vous vous dites ? Mais pourquoi boire pour entendre des basses ? C’était clairement pas le but premier des soirées alcoolisés. Et pourtant, c’était plus qu’enivrant de danser alcoolisée. Elle n’avait pas vraiment besoin d’alcool pour oser fouler le parquet d’une boite de nuit mais, elle appréciait juste de ne plus avoir conscience du temps pour danser. L’alcool lui permettait de ne pas sentir la fatigue. Un shooter et tu es de nouveau prêt à danser une heure ou deux non-stop. C’était presque magique de ne pas être sujette aux faiblesses du corps pendant une simple nuit.
Elle avait bien entendu que son compagnon de soirée souhaitait se changer les idées. De préférence, avec beaucoup d’alcool dans le sang. Pourtant, l’étudiante avait un tout autre projet pour lui. Ils allaient boires, certes. C’était indéniable, Lin était fatiguée par son service. Sans quelques shooter dans le sang, elle n’allait pas résister très longtemps à la fatigue humaine.
De plus, elle emmenait l’italien dans l’un de ces bars préférés. Elle avait tout prévu pour danser jusqu’au bout de la nuit sans limite, elle avait toujours sur elle ses bottines à talon confortable et adéquate pour toutes les situations, elle avait gardé son pantalon noir taille haute dans lequel, elle avait rentré un débardeur fluide à bouton qu’elle avait ouvert – justement la vilaine – jusqu’à la naissance de ses seins. Elle avait détaché ses longs cheveux fluides en toute connaissance de cause, avait pris la peine de se rajouter un léger trait d’eyeliner, du mascara et rien de plus. Elle savait qu’elle allait transpirer. Le fond de teint était à proscrire en soirée (quoi que, tout le temps même… cette invention était abominable).
Ils approchaient enfin des lieux. D’un petit coup d’œil, Lin pose les yeux sur Orfeo. Il n’était pas vraiment habillé pour la circonstance non plus mais, pas grave. Elle connaissait les videurs des lieux, ils allaient rentrer tranquillement. La question reposait davantage sur le rythme que pouvait avoir l’italien. Une fois, Lin avait dansé avec une italienne dans un bar. Le moment avait été magique et grandiose. Peut-être qu’avec un peu de chance, la jeune femme avait réussi à trouver un petit partenaire de danse pour la soirée. Advienne que pourra.
« Mais qui voilà ! Lin ! »
« La seule et l’unique, je crois même tiens… »
« Vas-y rentre »
Lin fit la bise au videur en le remerciant avant d’entrainer Orfeo à l’intérieur. La musique était encore celle d’ambiance. Jusqu’à une heure, une heure trente du matin, tu étais certain que les boîtes comme les bars diffusaient des sons « ennuyant » en théorie. Le but est simple, faire boire. Tout le monde se dit bonjour, boit ses premiers shooter et dès que l’alcool monte dans les veines… il était alors le temps de danser.
La jeune femme ne perdit pas de temps et se dirigea instinctivement vers le bar. La musique résonnait, tout le monde était agglutiné autours du bar pour passer commande. Ça allait être une sacrée soirée ! Euphorique, Lin ne put s’empêcher de sautiller sur place, elle avait hâte que la soirée commence pour de bon. Elle avait tellement envie de se défouler. Sa vie à Nakanoto était « mouvementée » et sortir danser jusqu’à en perdre la tête était devenue son défouloir favori.
Quand le barman se décida enfin à venir vers elle, elle le salua chaleureusement à savoir, monter un peu sur le bar pour lui faire la bise – normal -, avant de commander la première tournée « découverte »
« Fais gaffe Lindi… Picole pas trop ce soir… »
« Non promis ! »***« Salute Lindiya ! A cette suite de soirée qui promet d’être encore meilleure que le début. »
« Salute ! »
Sans réfléchir, Lin avait pris le rouge, habituée qu’elle était à y retrouvée un goût de fruit rouge ou de fraise tagada. D’une gorgée, elle l’enfile. Direct, elle sent la brulure dans sa gorge qui explose d’un coup avant de disparaître. Elle sourit. Il était à la fraise tagada comme prévue. D’un commun accord, pas besoin de parler, ils reprennent tous les deux un deuxième shooter, Lin trinque avec le sourire aux lèvres avant de boire le deuxième sans aucune autre forme de procès.
Elle suivait le rythme donnait par Alessio sans vraiment se rendre compte. Ils rigolaient beaucoup entre deux gorgées, on peut même dire qu’elle appréciait ce moment. Au début, ils se contentèrent de regarder les autres danser sur la petite musique d’ambiance. La jeune femme fit remarquer qu’ils ne devaient pas être des habitués des lieux sinon ils auraient su que se forcer ne servait à rien. Il fallait juste attendre qu’une heure soit passée pour que la soirée commence. C’était après tout, un petit bar de prime abord, qui devait donc garder sa faction première avant de devenir dansant.
Très vite, le mètre de shooter fut enfilée. Cependant, Lin était très loin d’avoir la même descente qu’Orfeo. Elle était même surprise de le voir toujours en vie après ce qu’il s’était pris avant de venir ici.
Elle commanda une deuxième tournée beaucoup plus dans ses goûts fétiches.
Ils venaient de finir la deuxième tournée quand enfin le son changea du tout au tout. Le DJ venait de mettre Level up de Ciara ! Un vrai clin d’œil pour la jeune femme – ou pas mais, avec l’alcool tout le monde voit des signes du destin partout – elle sauta donc sur ses jambes temps prête à fuir immédiatement sur la piste de danse. Elle fit un clin d’œil à Orfeo. On pouvait dire que l’alcool commençait à faire effet sur la jeune femme, elle souriait plus, parlait moins et son habitude joviale explosait autours d’elle.
Elle chantait en vidant probablement son dernier shooter de la soirée, elle était encore lucide pour savoir qu’elle n’irait pas plus loin. Elle était bien décidée à faire passer une bonne soirée au jeune homme à ses côtés. Elle n’aimait pas la morosité, elle venait de l’emmener dans son défouloir préféré. Il était clair qu’elle avait bien prévu de le contaminer. S’il ne savait pas danser, ce n’était pas un problème en soit. La danse ce n’était pas une question de connaissance mais, juste de laissé aller.
Ainsi donc, l’étudiante avait développé des pas de danse idiot qui fonctionnait à coup sûr. Le plus célèbre étant de faire semblant de laver des vitres, une fois le mouvement assimilé, il fallait juste bouger son bassin de droite à gauche en rythme. C’était drôle, c’était sympa et tout le monde dansait.
Et voilà qu’Adios de Ricky Martin venait efflorer les enceintes du bar. C’était plus possible. Elle ne pouvait plus se retenir !
« Suivez-moi ! Et si vous ne savez pas danser, pas grave, faite-moi confiance »
Elle prit fermement la main d’Orfeo. Elle l’emmena sur la piste de danse en se trémoussant au rythme de la musique qui était du pur produit latino comme on les aime. En soit, ce n’était pas vraiment difficile à danser, tu apprenais deux, trois pas basiques et il suffisait juste de les enchainer en rythme. Le partenaire n’avait qu’à suivre le meneur ! Mais bizarrement alors qu’elle tient la main de l’italien dans la sienne en chantant, Lindiya a comme un bon pressentiment.
Qui allait mener la barque dans cette danse ?
Alessio O. Di Altiero#100178#100178#100178#100178#100178#100178#100178
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Mar 2 Avr 2019 - 0:02
Ma jeune amie suit le rythme de boisson que j’impose. Le moment est plus qu’agréable, la discussion est légère et nous partageons de grands éclats de rire. Après avoir avalé cette tournée « découverte », je vois dans son regard qu’elle s’étonne de ne pas me voir déjà étaler sur le sol. Si j’avais été un humain, ça aurait pu être le cas mais tout le nœud du problème est là : je ne suis pas humain.
Pourtant, elle commande une seconde tournée, dont les goûts sont plus doux que ceux de la précédentes, tout en étant tout aussi marqué. C’est le bar qu’elle a choisi, il est évident qu’elle y a ses habitudes et je lui fais confiance sur les boissons à prendre. Ce n’est pas comme si j’avais suffisamment bu pour être enivré pour l’instant.
A cause de la chaleur régnant dans le bar, liée au nombre de personnes présentent à l’intérieur ainsi qu’à celle des spots éclairant la pièce, j’ai retiré ma veste et ouvert mon veston. Ma tenue n’en devient que plus décontractée et surtout que plus agréable au vu des circonstances. Je n’exclus pas de devoir aussi faire tomber mon veston, voire d’ouvrir un peu ma chemise d’ici la fin ... éventuellement.
Alors que notre second mètre de shooters venait de se terminer, il y eu un changement ... comment dire ... drastique. Jusqu’ici il n’y avait qu’une musique d’ambiance, ennuyante et oubliable, le changement dû à l’heure avancée est d’une violence sans nom pour mon ouïe. Je ne connaissais ni la chanson, ni la chanteuse, mais je peux dire que ce n’est pas une musique qui me parle ... presque au contraire même. Dire que je n’apprécie pas la chanson est clairement un euphémisme, et heureusement pour moi, ma camarade de beuverie en détourne habilement mon attention.
En effet, la voilà qui se lève, m’offre un clin d’œil, et va élire domicile sur la piste de danse. Fort bien, le changement d’ambiance est donc un changement drastique visant à faire consommer et danser. À l’évidence, la température ne va pas finir de grimper. Autour de moi je constate que de nombreuses personnes se sont levées et imitent ma camarade de jeu. Je me contente d’avaler un autre verre et d’observer en souriant. Même si c’est certain, la joie de vivre qui se dégage d’elle pourrait me faire céder et m’emmener sur la piste.
Je la laisse danser et chanter comme elle le désire, profitant du moment pour me recommander un mètre de shooters. Cette fois-ci je teste le « spécial ». Va savoir de quoi il va être fait ! Peut-être des alcools plus typiques ou plus relevés ... ça serait vraiment sympa. Alors que ma commande arrive, me laissant découvrir des couleurs sombres promettant des goûts plus prononcés, la musique change une nouvelle fois.
N’ayant que prêté peu d’attention jusqu’à maintenant aux chansons qui passaient, celle-ci semble électriser un peu plus Lindiya. Ce qui a pour effet, quasi immédiat, d’agrandir son sourire et de prendre fermement ma main dans la sienne. À quoi dois-je m’attendre ?
« - Suivez-moi ! Et si vous ne savez pas danser, pas grave, faite-moi confiance. »
Plaît-il ? Danser ? Ici ? Mon Dieu non !
Sauf qu’elle ne me laisse ni le temps d’avaler un shooter de plus, ni celui de protester, et m’emmène directement sur cette maudite piste. Certes la musique me parle déjà nettement plus que les précédente, grâce à ses consonnances latines, ce n’est pourtant pas pour autant que je souhaite danser dessus.
Lindiya est parfaitement à son aise, elle chante sans me lâcher la main. Ses efforts pour me redonner le sourire, sans même savoir le pourquoi j’étais de si mauvaise humeur, m’interdise quelque part de refuser. Son attention est plus que louable et, ma foi, elle a bien le droit d’en profiter elle aussi ! Fort bien. Elle souhaite danser, alors dansons.
Je l’attire contre moi et danse avec elle. La musique n’est dans le fond, qu’une question de timing et les musiques latines en possèdent un facile à maîtriser ... surtout lorsqu’on vient d’un pays latin. Naturellement je mène la danse, sans pour autant l’empêcher de le faire aussi. Nous sommes ici clairement pour nous amuser, alors autant le faire jusqu’au bout, il n’y a pas de mal à ça. Les musiques s’enchaînent, se ressemblant ou non, tantôt très rythmée et contemporaine, tantôt sensuelle et enivrante. Le temps semble s’arrêter, comme en suspend durant nos danses. Pourtant il défile, à n’en point douter, juste il ne nous impacte pas puisque nous prenons du bon temps.
Et c’est là que réside la magie de l’instant.
A bout d’un temps, paraissant infini, je commence à avoir vraiment chaud avec mon veston, et une goutte de sueur trahit cet état de fait. Lindiya sourit largement en la voyant et sans le moindre complexe, elle déboutonne les premiers boutons de ma chemise. Suite à quoi, elle fait descendre mon veston et va le poser sur ma veste en sautillant, avant de revenir près de moi.
Je souris largement, et alors qu’une musique du nom de Despacito passe, je prolonge notre jeu en lui volant un nouveau baiser.
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Mer 24 Avr 2019 - 0:11
Le DJ du jour avait de forte influence latine. C’était indéniable et ne déplaisait pas du tout à la jeune femme qui appréciait tout particulièrement les danses qui accompagnaient le rythme suave des langues latines. Au départ réticent à l’idée de partager une danse au bras de la jeune étudiante, notre Orfeo se débrouillait cependant à merveille. Plus que cela, il emportait Lin, lui donnait des idées de pas qui lui faisait soupirer d’aise, il suivait les rythmes qu’elle imposait sans que leur jambe ou pied ne rentre en contact violemment.
La jeune femme sourit, enivrée par ses sens mis en évidence par l’alcool, et du moment présent simple et magique. Dans les danses rythmées, elle sent son cœur battre à tout rompre, elle danse comme elle ne l’avait encore jamais fait avec qui que ce soit auparavant. Elle peut bouger au rythme endiablé de la samba, voir Orfeo sourire sous son enthousiasme et éclater de rire à son tour. Comme, elle peut poser son épaule sur celle de son compagnon de danse au rythme d’une kizomba douce et sensuelle.
Elle soupire de plaisir alors qu’elle sent l’italien mener la danse sur ce petit moment doucereux. Elle se laisse aller, laissant son partenaire donner le rythme, ils suivent tous les deux le rythme d’ « Esta Noche » de Mike Bahia pendant que Lin chantonne doucement. Elle ferme les yeux, inspire l’air alors qu’il l’entraîne dans un pas doux de rumba, deux pas en avant, trois pas en arrière, ils tournent. Lin sourit. C’était si bon, si apaisant, si calme et si chaud.
Non car, qu’en cela ne tienne, elle sentait très bien son dos devenu moite, et la vallée de ses seins goutter par moment. Elle n’y fait pas très attention beaucoup trop absorbée qu’elle était par le moment présent qui lui apportait – à lui comme pour elle – une parenthèse bienvenue dans sa vie.
Elle lève les yeux sur Orfeo alors que la musique prend fin pour lui sourire. Pouvait-on remercier une personne d’un simple sourire ? Il fallait croire qu’oui puisque notre chère amie n’avait même pas les mots pour le dire à voix haute.
Elle sourit d’avantage alors qu’elle voit une petite goutte de sueur perler sur le front du jeune homme. Il était tellement couvert aussi… Ne pensant qu’à son bien-être, elle lui déboutonne doucement le veston. Il sera mieux ainsi, il pouvait même le retirer complètement. Elle le regarde attentivement, et décide d’en faire comme elle en avait envie. Il la regarde sans l’arrêter, légèrement surpris peut-être par son entreprise mais pas fourvoyé pour autant.
Elle lui déboutonne tout d’abord les deux premiers boutons, puis, d’une petite moue dubitative, décide d’en retirer un troisième pour lui permettre de mieux… respirer. Elle frôle du bout des doigts, le mince petit duvet qu’elle découvre en dessous de sa chemise si propre. Elle fronce les sourcils un instant, le jeune homme était en tout point : parfait. Il dégageait une douce odeur de parfum, ni trop entêtante, ni trop absente. Il était habillé de haut en bas, jusqu’au dernier bouton, les vêtements propres et non plissé. Et quand on le regardait de plus près, on voyait très bien qu’il se rasait tous les jours pour rester propre à tout instant. Il venait tout droit d’un autre temps…
Alors que la barbe était à la mode – et heureusement, vu comment c’était sexy – il préférait rester droit et propre sur lui comme si le contrôle sur son apparence, lui permettait également de garder le contrôle sur son existence. Ainsi, quand on le déshabillait, et qu’on pouvait découvrir un petit peu de mâle au naturel... c’était encourageant.
Cependant, elle ne peut réfléchir très longtemps à tout cela que Despacito commence à résonner dans la boîte de nuit. Enfiévrée par cette musique qu’elle adore plus que tout au monde, elle sautille jusqu’à leur banquette pour y déposer le veston avant de rejoindre le jeune homme sur la piste en chantant.
Aucune raison ne vient briser ce moment coupé du temps et, Lin, n’est pas vraiment surprise de sentir une nouvelle fois les lèvres du jeune italien sur les siennes. Elle lui rend son baiser alors qu’ils entament en même temps un reggeaton légèrement coupé par leurs deux lèvres unis. Depuis combien de temps Lin n’avait-elle pas embrassé quelqu’un ? Cela allait faire bien des mois.
Elle ne savait pas vraiment si elle acceptait autant pour remplir – le temps d’un instant – sa quotidienne solitude ou si c’était pour une attirance plus profonde. Elle ouvrit les yeux en souriant doucement. Elle préférait ne même pas y réfléchir finalement. Cet instant perdrait alors toute sa magie si la raison commençait à pointer le bout de son petit nez.
Il se coupe quelques instants pour aller finir le dernier mètre de shooter que l’italien avait commandé, il trinque de nouveau. Il ne savait même pas à quoi : à la danse, à la l’amitié, à l’alcool. Finalement, le verre en l’air, Lin se mit à crier sourires aux lèvres (elle allait finir par avoir des crampes à sourire autant) :
« A l’instant présent ! »
La soirée commençait à toucher à sa fin et la boîte de nuit se vidait lentement mais sûrement. Les deux jeunes gens dansaient encore un peu, mettant de côté les personnes et l’heure. Ils partiraient quand le temps sera venu. Lin dormirait probablement dans sa voiture pour décuver en paix avant de prendre la route vers sa demeure vide.
Alessio O. Di Altiero#100621#100621#100621#100621#100621#100621#100621
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Jeu 23 Mai 2019 - 13:58
Ma camarade répond à mon baiser. Elles restent scellées malgré un début de reggaeton, comme quoi tout est possible. Nous finissons par nous séparer, dans l’unique but de terminer le mètre de shooter que j’avais commandé sans avoir le temps de les boire plus tôt dans la soirée ... dans la nuit en fait. Je ne sais plus trop, mais peu importe dans le fond après tout.
« - À l’instant présent ! »
Je la suis pour trinquer une nouvelle fois. Ce mètre de shooter ne fait pas long feu, surtout à deux dessus. J’avoue accuser enfin un peu le coup. Il est donc temps d’arrêter de boire pour aujourd’hui. La soirée touche à sa fin maintenant, avec son lot de gens alcoolisé quittant cet endroit pour se retrouver dans un autre et continuer leur soirée.
Une dernière danse avec ma charmante compagne d’un soir et à notre tour nous quitte l’enceinte surchauffé du bar pour la fraicheur de la nuit. Bien entendu, j’ai refusé qu’elle paie la note et l’ai invité jusqu’au bout de cette soirée. Après tout c’est normal, je n’allais pas la faire payer alors que de nous deux, c’est immanquablement moi qui aie le plus consommé
Du coin de l’œil, je la vois frissonné légèrement dû au fond d’air frais qui contraste fortement avec celui de la fournaise dont nous sortons. J’enlève ma veste et la dépose sur ses épaules en lui souriant. Elle ne verbalise pas sa reconnaissance mais son sourire vaut mille mots. Nous prenons alors le chemin du lieu de notre rencontre, là où d’après ses dires, elle a laissé sa voiture. Je ne suis pas convaincu qu’elle soit en état de conduire. Après tout, notre différence de constitution fait qu’il m’est évident qu’elle ne peut prendre le volant dans cet état d’ébriété, même relativement léger. Ce ne serait point une bonne chose, bien au contraire. Elle m’annonce ainsi qu’elle n’habite pas en ville, trop cher pour son petit budget, et donc qu’elle dormira probablement dans sa voiture pour cette nuit.
Jusqu’à cet instant, je me suis contenté de l’écouter, mais là je ne peux me retenir d’intervenir.
« - Si vous me le permettez je vous propose de passer la nuit chez moi, ce n’est pas loin d’ici. Bien entendu cela serait en tout bien tout honneur. Grâce à vous, j’ai pu oublier ma mauvaise journée et passer une soirée mémorable, vous offrir un toit est le moins que je puisse faire pour vous remercier. »
Elle éclate d’un petit rire fluet avant d’accepter ma proposition avec enthousiasme. Cela fait vraiment du bien de constater qu’il existe toujours des gens pour vivre pleinement, sans vraiment se soucier du lendemain. Je lui tends mon bras et elle s’y accroche toujours souriante. Tranquillement et sans me presser, nous remontons les rues du quartier des restaurants et bars, vers le parc. Nous n’échangeons aucuns mots durant ce laps de temps, savourant l’un et l’autre ce moment hors du temps.
J’avais pratiquement oublié ce que cela fait d’avoir une femme à son bras, d’avoir envie de lui offrir un peu de confort et de prendre soin d’elle. J’espère pouvoir retrouver cette sensation, si agréable et douce, au côté de ma fiancée. Je crois ressentir une certaine inclinaison la concernant et je ne doute en aucun cas que cela puisse réjouir mio fratello e mia sorella (mon frère et ma sœur). Lindiya est encore une enfant à mes yeux, même si selon les standards humains, ce n’est plus le cas. Je n’ai point le désir qu’il lui arrive quoique ce soit cette nuit. En outre, je sais exactement quoi demander à Hiroaki pour que la nuit soit aussi agréable que possible pour notre invité, tout comme son levé demain matin.
Sans mal nous arrivons devant ma demeure, et sans la moindre surprise de ma part Hiroaki m’ouvre la porte en souriant, bien que dans ses yeux je puisse distinguer une certaine surprise.
« - Signore mais ... vous ne devriez pas sortir sans prévenir par les temps qui court !
- Tout va bien Hiroaki, rassure-toi, j’avais besoin de profiter de la vie et la charmante Lindiya m’y a agréablement bien aidé. Elle va passer la nuit ici. Peux-tu demander à Reika et Natsume de lui trouver de quoi dormir ainsi que de la compter au petit déjeuner demain matin ? Je la conduis jusqu’à sa chambre.
- Bien sûr Signore. Je vais de ce pas voir avec elles deux. »
Il nous laisse entrer et referme la porte derrière nous. Il nous salue en s’inclinant légèrement, avant de partir vers l’ouest de la demeure. Hiroaki est un peu comme un père par moment. Bien sûr il est très loin de ressembler au mien, mais il m’a connu enfant, vu grandir et surtout c’est lui qui s’occupait de moi lorsque je venais ici seul. Jamais il n’oublie que je suis le chef du clan, mais pourtant son inquiétude paternelle ne peut s’empêcher de surgir de temps en temps. Il sait que je sais, et peux, me défendre et malgré cela lui continue à s’assurer lorsque je rentre que tout va bien. J’avoue que cela me fait chaud au cœur. Parallèlement à mes pensées, j’entraine ma compagne vers le côté est de ma demeure, où se trouve les chambres d’invités. Nous ne croisons personne sur le chemin, coïncidence ou hazard je ne saurais le dire. Pourtant je pense que c’est mieux ainsi.
J’ouvre la porte de l’une d’entre elles et y entre avec Lindiya. La décoration est sobre et, comme dans tout le reste de ma propriété, typiquement nippone. Je m’écarte de mon invitée d’un soir et lui offre un baisemain.
« - Chère amie, merci encore pour cette magnifique soirée en votre compagnie. Reposez-vous bien durant la fin de cette nuit. Nous nous reverrons demain matin au petit déjeuner. »
Avec un dernier sourire, je quitte la pièce en fermant la porte. D’un pas tranquille, je me dirige vers mes appartements maintenant. Je me change rapidement pour être plus à mon aise, ne portant alors plus qu’un jeans délavé, et sors sur la terrasse. Sur cette dernière, je m’assois et lève le regard vers le ciel pour contempler les étoiles qu’il offre. Cette journée a été très riche en rebondissement, découverte et rencontre. Je ne suis pas prêt d’oublier ni la lycane et la jeune femme. Et quelque chose me dit que je serais amené à les revoir l’une et l’autre dans un avenir plus ou moins proche.
Mais d’abord je veux profiter de l’instant, des fragrances dans l’air ... et pourquoi pas à l’occasion les partager avec ma douce promise ? Oui cela me plairait de partager son monde durant l’espace d’un instant. Faire d’elle le guide pour une fois si elle le désire et l’accepte.
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Dim 15 Sep 2019 - 15:57
C’était l’heure de remballer ses affaires et de mettre les voiles. Cependant, Lin n’en avait pas le moins du monde envie. Cet instant coupé de toute réalité lui avait offert une parenthèse douce dans un quotidien devenu un peu plus embêtant, partir, signerait le retour à la réalité. Qui serait heureux à cette idée ? Personne bien-sûr !
N’avait-elle pas de botte secrète dans son chapeau ? Un endroit encore ouvert à cet heure si tardive (ou devrait-on dire, si tôt). Rien. Aucune idée ne pointait le bout de son nez. D’un frisson, par le mordant du froid et de son humeur changeante, l’étudiante accueilli avec un sourire franc l’intention de l’italien. D’où venait-il finalement ? Par qui avait-il été éduqué pour être aussi bien élevé ?
C’était un sentiment tout neuf qui naissait dans le creux de sa poitrine, comme une caresse chaude, Lin était, en cette soirée, la jeune femme qu’elle devait être. Protégée, réchauffée et accompagnée. Si ce n’était pas beau tout ça ! Elle décida donc de mettre de côté son indépendance qu’elle affirmait avec passion pour se laisser, le temps d’une soirée, dorlotée.
Sa mauvaise humeur était repartie aussi vite que sa bonne humeur était revenue. L’alcool avait toujours empiré les humeurs si changeante et extrême de Lindiya.
A ses côtés, Orfeo représentait finalement un petit roc bien droit sur lequel elle pouvait poser sa tête tout en parlant de tout et de rien. De sa voiture qui lui servirait sûrement de lit, de sa maison qui lui demandait beaucoup de ménage, de ses cours solitaires, de son travail si vivant : aucun sujet ne pouvait passer à la trappe. Pire que tout, la sorcière se sentait écouter. Quoi de mieux pour lui donner envie de parler d’avantage, d’imager ses propos à l’aide de ses mains, de rire à ses propres blagues en regardant du coin des yeux le sourire doux de son compagnon de fortune et de dramatisé tout et n’importe quoi.
« Twini à tribord, mon amiral ! » dit la jeune femme en pointant son tendre paquebot.
« Si vous me le permettez je vous propose de passer la nuit chez moi, ce n’est pas loin d’ici. Bien entendu cela serait en tout bien tout honneur. Grâce à vous, j’ai pu oublier ma mauvaise journée et passer une soirée mémorable, vous offrir un toit est le moins que je puisse faire pour vous remercier. »
Touchée par l’intention, Lin ne peut que rire de bon cœur en acceptant cette douce proposition. Elle prit le bras de son gentleman avec un bonheur à en exploser l’âme. Plus qu’heureuse, la jeune femme posa sa tête sur l’épaule de ce tendre compagnon, son tempérament brulant apaisée. Elle était émue. Emue de ressentir ce moment de tendresse. Du bout des doigts, elle sécha rapidement la petite larme d’émotion qui naissait au coin de son œil. Ahlala, les émotions.
Et surtout, les émotions d’une femme fleur bleue. Enfer et damnation, il fallait fuir. Mais, Lindiya se sentait heureuse et c’était, pour le moment, le principal.
Elle suivait le pas calme du meneur, yeux fermés et réchauffés par la veste. C’était une soirée qui resterait également gravé dans sa mémoire comme une coupure dans l’espace-temps.***
« Oh bah flûte alors ! » fut la réaction de l’étudiante devant la demeure de son ami de fortune.
On comprenait mieux d’où lui venez ses bonnes manières, notre danseur venait tout droit d’une bonne famille. Lin ne put s’empêcher de sourire, ah bah ça alors ! Si ce n’était pas drôle, elle voulait bien faire des soirées guindées s’ils savaient tous aussi bien danser. Légèrement intimidé au début par les lieux et les domestiques, il avait des domestiques « oh my fucking god ! » ! Lin ne lâchait pas son compagnon d’une semelle, sa main se tenait même fermement de peur de se perdre. Elle arrivait déjà à oublier où se trouvait les toilettes dans sa propre maison, alors ici.
Lin savait très bien que perdu, elle allait pleurait comme une fillette de cinq ans. C’était inévitable. Pour le moment, en tout cas, tout allait pour le mieux. Elle suivait en regardant autours d’elle, la demeure suivait toutes les traditions nippones et c’était bien pour cela que Lindiya s’y perdait facilement.
Il était quasi impossible de différencier une pièce d’une autre. Il lui arrivait encore de se demander ce qu’elle allait bien pouvoir faire de certains espaces dans sa maison. Elle n’y comprenait tout bonnement rien et ne plus avoir Alyssa à ses côtés aidait encore moins. A deux, elles trouvaient vite des alternatives.
Une chambre ! Le lit le prouvait. C’était donc la fin de la soirée pour de bon mais, Lin n’était finalement plus si triste qu’auparavant à cette idée.
« Chère amie, merci encore pour cette magnifique soirée en votre compagnie. Reposez-vous bien durant la fin de cette nuit. Nous nous reverrons demain matin au petit déjeuner. »
La jeune femme ne put s’empêcher de sourire tendrement devant ce baise main. C’était officiel, elle était une princesse en fait ! Mulan ! Elle était Mulan !
« C’est moi qui vous remercie, Orfeo. Vous m’avez accordé le plus doux instant qu’il m’ait été donné d’avoir depuis un sacré moment. Merci. De tout mon cœur. »
D’un signe de main, Lindiya souhaite d’un geste une bonne nuit avant de se retrouver seule dans cette grande chambre. Elle épouse l’espace de son regard si pétillant, il était temps de faire sa princesse. Ça suffisait, on ne vivait pas ça tous les jours, il fallait donc agir de circonstance. D’un coup de bras, de pied, elle se débarrasse de tous ses vêtements en rigolant.
« C’est glacé ! » se met-elle à chanter alors qu’elle se débat avec son soutien-gorge. « Ça aurait été à point, si tu étais arrivé à temps ».
Digne d’une comédie musicale, Lindiya était… incorrigible. Enfant, la jeune femme possédait une imagination débordante accompagnée d’une culture musicale de dessin animé à faire pâlir de jalousie une fan de Disney… cela donnait des moments de jeux mémorables.
Rien de mieux qu’une âme d’enfant au fond du cœur finalement pour apprécier chaque instant avec un regard sur le monde émerveillée. Ce soir, elle était Mulan. Nue comme un verre, elle se dirige vers le lit pour se draper du drap déposée au-dessus de la couette. Cheveux détachée, maquillage beaucoup moins glorieux à cause de la soirée, elle attrapa son téléphone, tout en s’affaissant dans le lit.
« Non jamais… je ne serais faite… pour le mariage. Ni une fille bien sage je le sais, cette vie n’est pas pour moi. » Chanta-t-elle du plus profond de son âme. « J’ai compris que si je veux rester ce que je suis, mes parents seront meurtris. »
C’était le moment de pleurer donc elle pleura d’une larme de crocodile propice à l’instant.
« Quelle est donc ce mirage… cette image sans visage, pourquoi miroir réfléchis-tu sans me voir… je cherche en ma mémoire qui je suis… Pour savoir, perdus dans ces réflexions où mon âme s’égare. Dans mon miroir d’illusion quelle fille je vais voir… »
Elle se coucha en ronronnant. Si c’était pas héroïque d’être Mulan en cette fin de soirée. Alcoolisée c’était irréfutable, la jeune adulte – car c’était ce qu’elle était, une jeune adulte – s’endormit le sourire aux lèvres, en roulait dans un pardessus, comme une princesse de ses contes de fée personnelle.
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