Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Invité
Invité
Ven 6 Mar 2020 - 10:08
J’étais enfin en ville ! Le Hell’s Night était en train de doucement se terminer. Toute la partie habitation pour moi où le staff ou bien évidemment le love hôtel adjoins était déjà parfaitement opérationnelle. Je me suis tout de même fendu de parcourir la région jusqu'aux sources chaudes, ou surtout essayer de repérer ce qui avait pu m’échapper.
J’étais surtout curieux de voir si j’allais me faire attaquer par une de ces créatures qui faisaient la une des journaux locaux depuis des mois maintenant. Je n’ai pas été déçu par cette première soirée car ma voiture a fait une sortie de route à cause d’un assaut latéral. Mon chauffeur a été sorti par une énorme patte griffue avant que la bête ne commence à se frayer un chemin à l'intérieur de l’habitacle avec l’air de vouloir se nourrir de ma moi.
En une fraction de seconde au moment où il s’est jeté à travers les sièges pour fracasser la séparation de la partie conductrice à l’avant et passager à l’arrière, je devins pur feu en déployant mon corps ce qui eut pour résultat de faire exploser la voiture et propulser la bête en flammes contre la paroi rocheuse.
Malgré le fait qu’il ait encaissé de plein fouet l’explosion, étant au centre de celle-ci, et de surcroît un choc énorme contre de la rocaille saillante, il se releva. Je vis ses membres distendus se remettre en place en une poignée de seconde ridicule pendant que son épiderme et sa fourrure repoussait en même temps. Il fût presque comme neuf en une ou deux minutes à peine, mais je n’avais pas de chronomètre en main. Il prit la fuite et disparu dans les bois en direction du lointain...
Ce chemin de montagne qui ne prenait qu’une demie heure en voiture, représentait presque quatre heures à pied à travers les montagnes. Autant dire que je ne serais pas à Nakanoto avant que la lune ne soit vraiment très haute et sur le déclin. Je recouvrais ma forme humaine, me nourrissant des flammes de l’incendie de la voiture histoire de prendre des forces avant cette marche.
Au bout d’un moment je décidais de couper à travers les bois plutôt que de suivre la route et optait pour ma forme véritable non-incendiaire. Au moins je pouvais m’aider de ma queue pour conserver un équilibre certain et le pied sûr, tout en courant à travers la forêt.
Lorsque j'entendais un peu trop de bruit, j’utilisais mes griffes et ma force pour grimper aux arbres et de ma queue pour me maintenir solidement positionner sur les branches.
Vers la fin de mon périple en direction de mon habitation, sans doute alors qu’il ne me restait plus qu’une petite demie heure de marche peut être, j'entendis des cris étranges. Comme depuis que j'étais en vadrouille, j'eus le réflexe de monter dans le premier arbre venu. Je pouvais pendant mon ascension constatée que ces cris étaient tout proche et semblaient être davantage des cris de plaisirs que d’horreur ou de souffrance.
Perché sur ma branche, je regardais cette scène surréaliste. Non pas le fait qu’une que la jeune femme avait laissé place à une créature avec des cornes blanche comme des perles nacrées ou que deux ailes noires comme la suie lui était sorti des hanches. Ce qui m’étonnait alors le plus, c’était que j’avais déjà vu cette créature par le passé avant, il y avait vraiment très longtemps de ça...
C’était en Gaule, enfin tel était le nom de la région appelée ainsi par les romains. Je crois bien que c’était quelques semaines avant qu’on ne me fasse exaucer comme souhait que Césars ne meure. Nous nous sommes connus dans un bois comme celui-ci en fin de compte. Qu’il était cocasse de revoir cette créature après plus de deux millénaires.
Mon corps se trésaillait alors dans une action mécanique primaire, comme se souvenant d’un détail qui échappait à ma mémoire, mais qu’est-ce que cela pouvait être ?
Je pris le temps de réfléchir plus intensément sur mon souvenir vraiment très flou de cette rencontre, ne me souvenant plus que des courbes généreuses et attrayantes qui constituaient son être tout entier. Mais il y avait quelque chose d’autre, quelque chose dont je ne parvenais pas à me souvenir à cause de l’érosion de ce souvenir sous le poids immense d’une histoire très densément chargée par la suite.
C’est alors que cela me revint comme un coup d’saton dans les couilles. C’était un être de l'eau ! Non... pas un être de l'eau, mais en capacité de la manipuler en tout cas. C’est ça ! Je n’ai pas grand-chose en commun avec elle, voilà le bilan que j’avais dressé à l’époque de notre rencontre fortuite. Ce n’était une création pure et dure des sorciers, née de l’immatériel, une sorte d’incarnum, réceptacle d’aspirations étranges et singulières. Toutefois, cela n’en retirait pas moins l’horrible nature de sa création, pire encore que la mienne en réalité.
Elle vidait totalement la personne de son énergie, je pouvais le sentir rien qu’à la chaleur du corps qui diminua dès qu’elle eut fini sa chevauchée fantastique et se releva. Très intéressante perspective que celle de se nourrir de la sorte. Elle me rappelait les maîtresses que l'on me prêtait dans la bible et les récits détaillant les concubines du “Diable” lorsqu’on eut besoin de … et bien me diaboliser en un sens. Les succubes je crois.
Je descendis doucement, tête en bas de mon arbre tout en enroulant ma queue autour de la dernière branche avant de me laisser tomber tête en bas devant elle pour faire remarquer.
J’étais surtout curieux de voir si j’allais me faire attaquer par une de ces créatures qui faisaient la une des journaux locaux depuis des mois maintenant. Je n’ai pas été déçu par cette première soirée car ma voiture a fait une sortie de route à cause d’un assaut latéral. Mon chauffeur a été sorti par une énorme patte griffue avant que la bête ne commence à se frayer un chemin à l'intérieur de l’habitacle avec l’air de vouloir se nourrir de ma moi.
Tibalt ▬ Mon ami... tu n’as pas suivi la bonne proie...Nous étions sur la route du retour depuis Kozakai et j’étais gorgé à souhait d’énergie.
En une fraction de seconde au moment où il s’est jeté à travers les sièges pour fracasser la séparation de la partie conductrice à l’avant et passager à l’arrière, je devins pur feu en déployant mon corps ce qui eut pour résultat de faire exploser la voiture et propulser la bête en flammes contre la paroi rocheuse.
Malgré le fait qu’il ait encaissé de plein fouet l’explosion, étant au centre de celle-ci, et de surcroît un choc énorme contre de la rocaille saillante, il se releva. Je vis ses membres distendus se remettre en place en une poignée de seconde ridicule pendant que son épiderme et sa fourrure repoussait en même temps. Il fût presque comme neuf en une ou deux minutes à peine, mais je n’avais pas de chronomètre en main. Il prit la fuite et disparu dans les bois en direction du lointain...
Ce chemin de montagne qui ne prenait qu’une demie heure en voiture, représentait presque quatre heures à pied à travers les montagnes. Autant dire que je ne serais pas à Nakanoto avant que la lune ne soit vraiment très haute et sur le déclin. Je recouvrais ma forme humaine, me nourrissant des flammes de l’incendie de la voiture histoire de prendre des forces avant cette marche.
Au bout d’un moment je décidais de couper à travers les bois plutôt que de suivre la route et optait pour ma forme véritable non-incendiaire. Au moins je pouvais m’aider de ma queue pour conserver un équilibre certain et le pied sûr, tout en courant à travers la forêt.
Lorsque j'entendais un peu trop de bruit, j’utilisais mes griffes et ma force pour grimper aux arbres et de ma queue pour me maintenir solidement positionner sur les branches.
Vers la fin de mon périple en direction de mon habitation, sans doute alors qu’il ne me restait plus qu’une petite demie heure de marche peut être, j'entendis des cris étranges. Comme depuis que j'étais en vadrouille, j'eus le réflexe de monter dans le premier arbre venu. Je pouvais pendant mon ascension constatée que ces cris étaient tout proche et semblaient être davantage des cris de plaisirs que d’horreur ou de souffrance.
Perché sur ma branche, je regardais cette scène surréaliste. Non pas le fait qu’une que la jeune femme avait laissé place à une créature avec des cornes blanche comme des perles nacrées ou que deux ailes noires comme la suie lui était sorti des hanches. Ce qui m’étonnait alors le plus, c’était que j’avais déjà vu cette créature par le passé avant, il y avait vraiment très longtemps de ça...
C’était en Gaule, enfin tel était le nom de la région appelée ainsi par les romains. Je crois bien que c’était quelques semaines avant qu’on ne me fasse exaucer comme souhait que Césars ne meure. Nous nous sommes connus dans un bois comme celui-ci en fin de compte. Qu’il était cocasse de revoir cette créature après plus de deux millénaires.
Mon corps se trésaillait alors dans une action mécanique primaire, comme se souvenant d’un détail qui échappait à ma mémoire, mais qu’est-ce que cela pouvait être ?
Je pris le temps de réfléchir plus intensément sur mon souvenir vraiment très flou de cette rencontre, ne me souvenant plus que des courbes généreuses et attrayantes qui constituaient son être tout entier. Mais il y avait quelque chose d’autre, quelque chose dont je ne parvenais pas à me souvenir à cause de l’érosion de ce souvenir sous le poids immense d’une histoire très densément chargée par la suite.
C’est alors que cela me revint comme un coup d’saton dans les couilles. C’était un être de l'eau ! Non... pas un être de l'eau, mais en capacité de la manipuler en tout cas. C’est ça ! Je n’ai pas grand-chose en commun avec elle, voilà le bilan que j’avais dressé à l’époque de notre rencontre fortuite. Ce n’était une création pure et dure des sorciers, née de l’immatériel, une sorte d’incarnum, réceptacle d’aspirations étranges et singulières. Toutefois, cela n’en retirait pas moins l’horrible nature de sa création, pire encore que la mienne en réalité.
Elle vidait totalement la personne de son énergie, je pouvais le sentir rien qu’à la chaleur du corps qui diminua dès qu’elle eut fini sa chevauchée fantastique et se releva. Très intéressante perspective que celle de se nourrir de la sorte. Elle me rappelait les maîtresses que l'on me prêtait dans la bible et les récits détaillant les concubines du “Diable” lorsqu’on eut besoin de … et bien me diaboliser en un sens. Les succubes je crois.
Je descendis doucement, tête en bas de mon arbre tout en enroulant ma queue autour de la dernière branche avant de me laisser tomber tête en bas devant elle pour faire remarquer.
Tibalt ▬ pulchra succubus salutem Lui ai-je dit.Si le concept de succube de l’enfer avait exister et qu’elle s’était présentée ainsi à l’époque de notre première rencontre, c’était surement comme ça que nous nous serions parlés. De toute façon, je ne savais pas si elle parlait d’autre langue et c’était bien le latin que nous avions en commun à l’époque. J’espérais jusqu’elle n’avait rien perdu de cette langue que pour ma part je gardais vivante.
Tibalt ▬ Cela fait plus de deux mille ans qu’on ne s’est vu... Poursuivis-je ensuite, toujours en latin.Si je pouvais m’adjoindre ses talents pour mes dessein à venir, ce ne pourrait qu’être parfait. Si j'avais une maîtresse de l'eau à mon service, je n’aurais rien à craindre de sorcier maîtrisant cet élément...
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Lun 9 Mar 2020 - 15:59
In Nomine Satanis
Cette soirée est encore une fois magnifique.
Le lune, tel une grande déesse des cieux, avait prit à nouveau sa place pour éclairer les ténèbres et révéler toute la beauté des lieux, comme à chaque nuit qui surgit. Et je me balade, lasse de ma vie et des jours qui se suivent et se ressemblent inlassablement, laissant un peu plus dans son sillon, la trace du temps qui s’écoule à travers lui. Je sui à l'affût d’une nouvelle proie, d’un nouvel humain à tuer pour ma survit, à effacer pour exister. Qui vais-je bien dévorer en cette douce soirée ?
Je prendrais alors la plumes de son âme et la déposerait délicatement dans la balance. Cette balance dont j’ai l’entier contrôle, et qui décidera de sa vie ou de sa mort ! Et comme toujours, ou presque, sa vie lui échappera avec joie, plaisir et volupté. Au final, je ne ferais que lui rendre service. Il pourra connaître le plaisir suprême, enlacé dans mes bras et mes ailes, avant de rendre son dernier souffle. Il m’arrive de leur laisser la vie sauf, lorsque je n’ai pas aussi faim, lorsque mon corps ne me tiraille pas d’une envie incontrôlé mais ce soir, ce n’est point le cas. J’ai si faim que je pourrais dévorer un boeuf entier ! Tellement faim que rien ne pourrait m'arrêter !
Je suis encore resté trop longtemps sans me nourrir. Pourquoi ? Je ne sais plus. Certainement une autre de mes gentillesses qui finira par me perdre, un homme qui ne m’aura pas laissé indifférente, que je n’aurais pas souhaité toucher. Ou un sorcier, que j’aurais repéré et poursuivis pendant plusieurs jours, sans chercher à me repaître un minimum pour rester en forme. Ca m’arrive souvent. Me perdre dans mes pensées, ma plus grande passion, ou bien ma haine la plus viscéral ! Ne plus faire attention à mes priorité, puis oublier le pourquoi du comment… Tellement j’ai faim !
Dissimulant mes magnifiques ailes ébènes, ainsi que mes cornes d’albâtre, je part en chasse, non loin de la forêt, pour me nourrir sur un homme appréciant ma beauté comme tant d’autre. Mes cheveux, aussi sombres que mes ailes, tombent libres de leurs mouvements jusqu’à l’articulation de mes genoux, allant et venant au gré du vent. Ils brilles de milles feu, tout comme la prunelle de mes yeux dorée, pouvant être apparentées à ceux des chats, à l'affût de leur futur repas.
C’est alors que j’entendis un rire. Deux hommes revenant d’une soirée certainement bien arrosé. Je m’approche furtivement, caché derrière un grand arbre, ainsi que son ombre tout aussi imposante que lui, pour les écouter et trouver le bon moment pour passer à l’acte.
L’un des deux hommes finit par saluer son ami après quelques secondes de braillement, de rires à gorges déployées et de vacillement. J’en profite pour m’approcher de ce dernier sous les traits d’une femme blonde à la peau clair et délicate et aux formes moins généreuses que celles que je porte au naturel.
D’une voix douce et enchanteresse j’attire son attention avec ses quelques mots :
Judith ▬ “Salut beau brun”
Je lui présente un sourire des plus charmeur à l’instant où ses yeux se pose sur ma silhouette. Je pose ensuite ma main droite sur l’un de ses bras presque nue, commence à le caresser du bout des doigts pour déposer sur sa peau, ainsi que ses narines, un peu de mes phéromones et en faire alors ma chose. L’homme charmé, finit par se tourner entièrement dans ma direction, sans prononcer un mot et me fixer avec un regard et une expression qui en dit long sur son état.
Judith ▬ “Ca te dis de me suivre là-bas pour faire plus ample connaissance ? Je meurs d’envi de te connaitres plus en profondeur !”
A ces quelques mots, l’homme frissonne et acquiesce sans plus attendre. Je l'emmène alors, tenant l’une de ses mains du bout des doigts, dans les profondeurs de la forêt, là où personne ne pensera à le chercher avant longtemps. Son ami pensera que sur le chemin du retour, aussi alcoolisé qu’ils étaient tous deux, il aura été heurté par une voiture, fait une mauvaise rencontre, ou se sera noyé dans la rivière traversant la forêt… Je prends l’option de la rivière, il sera bien plus facile de faire passer ce cadavre pour un accident.
Après toutes ses années, les humains étaient devenu plus méfiant, cherchant réellement les coupable des meurtres, et affinant leurs outils les aidant à découvrir la vérité. Je me devait alors d’être plus intelligente, plus réfléchis que par le passé. Impossible pour moi ne pas totalement attirer l’attention sur ma personne si je ne fais pas un minimum attention à mes actions… Quoi que… Il suffira que je change d’apparence et le tour sera joué ! Après tout, je n’utilise jamais mon apparence originelle lorsque je chasse. Uniquement lorsque je mange, mais jamais pendant la chasse à l’homme.
Quelques pas plus loin, je fini par trouver un magnifique petit coin pour faire ce que j’avais derrière la tête. Je commence alors à me déshabiller, laissant tomber ma longue et merveilleuse robe blanc sur une pierre qu’un arbre avait commencé à ensevelir. L’homme fit de même avec peu de délicatesse et de souplesse, puis je me mis à lui grimper dessus et m’occuper de son énergie. J’allais enfin pouvoir me sentir à nouveau moi !
Aspirant sa force par la bouche, je me délecte de cette instant pendant de longue minute, supportant ses petits cris d’agonies ressemblant plus à du plaisir qu’a de la douleur. Je laisse durer le plaisir, plus pour moi que pour lui, car le maie le plus délectable pour mon délicat palé reste cette instant ou je me sustente sur un homme à mon entière merci, ne réalisant pas encore ce qui lui arrive.
Après quelques minutes, je fini par me laisser aller à reprendre ma forme originelle. Me présentant entièrement sous mon vrai jour à cette homme finissant par comprendre le piège mais ne pouvant à présent plus s’en extirper. Il écarquille les yeux, je lui bloque les deux bras contre le sol et entend alors un accident de voiture se produire à quelque pas de nous, sur la route, peu fréquenté, longeant la forêt. M'arrêtant dans ma lancé pendant quelques secondes, je tourne mon visage vers le bruit, regardant la magnifique explosion de flamme luire derrière les arbres nous entourant, puis reporte à nouveau mon attention sur ma proie.
Judith ▬ “Ah, peut-être que ce sera l’accident de voiture pour toi finalement.”
Ai-je prononcé avec douceur et amusement, les lèvres pratiquement collé à son oreilles droite, avant de continuer à le vider de son énergie.
Le temps passe à nouveau. Les crépitements du feu retentit agréablement dans mes oreilles, comme une douce mélodie accompagnant ma fin de dégustation. Le dernier souffle de vie de l’humain monte alors doucement en moi. C’est certainement ce que j’aime le plus lors de cette nouvelle manière de me nourrir, il n’y a rien de plus grisant que cette dernière note de vie extirpé de force à sa proie, bien plus que la dernière goûte de sang que j’ai rarement connue durant ma courte vie de vampire.
Je pose mes mains en arrière, posé à terre tout comme mes genoux, puis lève les yeux vers le ciel pour profiter de la lueur de la lune qui inonde mon corps. Cette instant fut pour une fois de courte de durée car quelques chose d'étrange se fit entendre derrière moi. Une voix masculine, sombre se met alors à me parler dans une langue que j’avais pratiquement oublié. Je me tourne dans la direction de la voie avec stupeur à moitié révélé, d’un magnifique mouvement de cheveux, comme pour rester digne et belle en toute situation. Le corps toujours sur le cadavre de l’homme que je venais de dévorer, j’observe la créature, juste derrière moi, se présentant alors sous les traits de celle que j’avais déjà rencontré par le passé. Suis-je devenu folle au point de voir des réminiscences de mon passé se dérouler sous mes yeux ? Serte non ! La créature ne m’avait jamais adressé la parole de la sorte avant… Le terme “Succubus” n’existait pas encore… Il est réelle !
Judith ▬ “Salutem… Ubi est placitus et armaillas totidem ? ”
Je lui parle alors de manière posé, détaché, tout en portant contre moi les vêtements que j’avais laissés à un bras de moi. Il est mieux pour une belle dame d’être habillé lors d’une discussion importante pour être un minimum présentable. Je poursuis alors, toujours dans la même langue, tout en enfilant ma somptueuse robe dos à lui.
Judith ▬ “Oui… en effet, cela doit faire au moins deux millénaire… N’as-tu plus peur de moi ?”
Me retournant dans sa direction, me permettant de l’observer avec attention, je me remémores ce jour. Le jour de notre première rencontre. Malgré le temps qui avait passé, sa stupeur à la vision de mon pouvoir de l’eau m’avait marqué. Il est le feu et moi l’eau et avait eu une peur viscéral lorsque je lui avait présenté l’une de mes capacités qui était celle qui redoutait le plus. Çà réaction m’avait quelques peu blessé par ailleurs, et je ne me sentais pas de me jeter dans ses bras à cette retrouvaille d’une connaissance qui fut si brève et surtout froide à mon attention.
"La glace et la braise"
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Lun 9 Mar 2020 - 19:04
Le succube était décrit comme une créature infernale qui siphonnait la vie de ses proies en couchant avec elles. Il n’était pas impossible que lors de ses voyages, elle eut inspiré ceux qui allaient un jour décrire de telles choses. Toutefois, je ne l’ai jamais croisé dans les régions chrétiennes après et j’y ai résider jusqu’à ce qu’il décide de l’image du diable et de ses concubines.
Elle avait aspiré son énergie à coup de baiser et d’union charnelle ? Je me demandais bien si c’était une aspiration d’énergie vitale qui marchait par simple contact ou fallait-il qu’elle soit dans le cadre d’un rapport incluant le sexe ? Son pouvoir marchait-il uniquement à cause des diverses sécrétions pendant le sexe chez sa proie ? C’était très intéressant en fait.
Elle s’est relevée de ce corps inerte, se séparant d’une union s’étant faite sur un principe nutritif uniquement. Une belle mort en somme pour ce pauvre bougre. Toutefois cela me fit comprendre une chose. Soit elle comptait le laisser là dans les bois et les animaux sauvage feraient le reste, soit elle comptait sur l’accident de voiture dont j’entendais les flammes crépitées. Il n’y aurait pas longtemps avant que les pompiers n’arrivent, appâtés par la fumée, même si elle s’élevait dans la nuit.
Je la scrutais, détaillant ses mouvements, elle qui se levait et approchait de ma position. Je restais là, la tête en bas à la laisser faire et répondre avec une légère surprise dans le regard toujours. Il est vrai que j’étais un esclave le jour de notre rencontre. Ces bracelets dorés, symboles de mon asservissement et que je n’ai pas revu depuis la perte du sceptre de mon défunt maître.
Tibalt ▬ Ahah, les choses changent ! Lui répondis-je d’une voix légère et crépitante.Elle cacha sa nudité en se parant de ses vêtements qu’elle avait laissé non loin d’elle. Il faut bien avouer qu’elle était tout à fait charmante d’un point de vue structurelle. Je n’avais jamais vraiment accordé de crédit à l’apparence, car étant moi aussi une sorte de polymorphe, bien que j’aie certaines limitations. De fait, le corps de mes interlocuteurs ne m’avait jamais vraiment paru être une donnée pertinente dans mes échanges, d’autant plus lorsque je remettais en perspective ma propre apparence.
Toutefois, cette créature était enchanteresse à bien des niveaux. Son corps était le réceptacle d’un idéal masculin assez moderne, mais de mon point de vue c’était tout à fait autre chose qui m’attirait. Ses cornes saillantes et tourné vers l’avant, comme un signe de majesté. Ses ailles noires comme la nuit la plus sombre prenant racine au niveau de ses hanches et découpant une sorte de traine naturelle. Son regard malicieux et terrible. Voilà qui étaient des atours des plus singulier et résonnant en moi.
Elle se rappela à mon bon souvenir sous le joug de la peur. Il est vrai que je n’ai jamais été un grand fan de l’eau. Mais entre-temps j’ai appris à absorber sa chaleur pour m’en nourrir dans une moindre mesure et éviter d’être trop vulnérable à cet élément brut. Le fait est qu’une trop grande quantité d’eau pourrait être vraiment dangereuse, raison qui me pousse à éviter ce genre d’étendue naturelles.
Tibalt ▬ Je dois avouer que je ne crains pas ce que je convoite très chère.Si elle maîtrisait l’eau, elle pouvait m’être utile, tout dépendait la façon dont la conversation allait tourner maintenant. Une telle créature aussi libre de ses mouvements est un danger pour ce que je souhaitais accomplir dans l’avenir. D’un autre côté, elle était peut-être ici depuis plus longtemps que moi. Peut-être bien même que c’était le cas. Il y avait bien des rumeurs de Yokai dévorant les hommes adultère lorsque j’étais venu au japon avec des descriptions qui pourraient faire en fait penser à elle. Était-elle ici depuis des millénaires ?
Tibalt ▬ Il faudrait s’occuper de lui avant que ça ne dégénère. Prenez le temps de vous habiller si votre nudité vous indispose.Je me décrochais d’un coup de mon perchoir en une pirouette en souplesse pour retomber sur mes pieds et m’approcher ensuite du cadavre encore un peu chaud.
J’ai pris le cas sur mon épaule pour me laisser guider par mon instinct de nutrition m’amenant devant le brasier de la voiture. Je m’approchais des flammes sans mal avant d’ouvrir le coffre dont la serrure avait sauté et de jeter le corps de la victime de la succube. Au moins, ça ferait un joli casse-tête aux forces de l’ordre un accident de voiture dont les victimes avaient un cadavre dans le coffre. Je revins rapidement vers elle.
Tibalt ▬ Je crois bien qu’après autant de temps, une présentation digne de ce nom s’impose. Je m’appelle Tibalt, ça vient du nom donné par mes créateurs Ty Baal’T. Mon identité humaine actuelle est Tibalt Wishmaker. Et vous belle créature ? Dis-je en lui faisant un baise main distingué.
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 10 Mar 2020 - 13:12
In Nomine Satanis
La créature de feu est là, devant moi, ou plutôt derrière moi avant que je ne me retourne. Les souvenirs de ce passé lointain, remontent en moi comme une cascade inversée, me faisant comprendre que jamais rien n’arrive sans raison. Avant que je ne prenne le temps de me rhabiller. Je l’entends souffler avec légèreté et amusement que les temps changes ! En effet, les choses changes, tout comme nous. Le temps à passé, des centaines et des centaines d’année et malgré cela nous sommes toujours les même mais seulement en apparence ! Je le sens, dans son élocution, bien moins froid à mon égard, moins éloigné de la conversation, plus réelle ! Me faisant sentir plus importante alors à ses yeux que lors de notre première rencontre, cette instant où je me suis sentie comme une chose insignifiante jusqu’à ce que je lui montre ma nature aqueuse.
Un sourire en coin se dessine alors sur mon visage, heureuse de voir que finalement j’ai enfin réussi à attirer son attention sur moi.
J’empoigne ma robe, l’enfile tranquillement, prenant soin de ne pas abimer les belles plumes de mes ailes lorsque ma robe, dos nue, sera mise en place.
Je l’ai vu tourner le regard plus vers le bas avant que je ne me mette à me rhabiller. Est-il gêné ? Pourtant il n’en à pas l’air le moins du monde, ne présentant pas de réelle gêne face à mon apparence mais plus de l'intérêt. Je le sens me scruter, comme fasciné par ma véritable apparence. Appréciant du regard ma couronne d’ivoire ainsi que ma cape de plumes ténébreuses. Moi aussi j’ai finis par les apprécier après tout, ils me rendent encore plus différente des autres créature et mettent, au final, bien en avant mes formes comme un atout de point dans cette apparence enchanteresse de mon être.
Il répond alors à ma deuxième question de manière presque plus théâtrale, me faisant bien comprendre qu’en effet, il est bel et bien intéressé par ma personne. Il me convoite alors ! Ce sont ses dires. Assez particulière comme manière de s’adresser à une dame mais plutôt plaisante pour ma part. Comme caressant mon égaux longtemps blessé par tout ce changement que j’ai connue, ça phrase me réchauffe le coeur de manière étrange.
Judith ▬ “Vous me convoitez ? Moi !? Et en quel honneur ?”
un petit rire vient instinctivement se placer dans ma phrase. Montrant, à moitié caché, ma joie d’entendre ce qu’il venait de dire. Je venais de finir de me revêtir et me trouvais amusé par cette phrase. Au fond, cela ressemblait à une personne fort intéressé par un objet qui lui sera des plus propice dans la suite de sa vie si bien tissé jusqu’ici.
Puis il se décide à m’aider… M’aider pour me débarrasser du corps ? Après tout pourquoi pas. Je ne me sens pas le moins du monde gêné par ma nudité mais prendre le temps de bien tout remettre en place n’est pas plus mal. Je ressors alors quelques plus de sous le tissu, ainsi que des cheveux encore coincé ça et là. Lissant mes plumes dans les bon sens, comme pour les lustrer, je l’observe prendre le cadavre de ma nourriture et l’emporter là où je l’avais décidé quelques minutes plus tôt. J’aime à voir que nous avons les même idées, alors que la mienne est venu à l’instant de l'accident, pendant mon acte. Lui y a certainement pensé en entendant les crépitements du feu de cette accident qui doit l’attirer comme une papillon de nuit par une lampe allumé dans la pénombre.
Je me déplace gracieusement en direction des flammes pour observer son choix. Mettre le cadavre dans le coffre, très bon choix ! Rien de mieux pour en plus accuser les victimes d’enlèvement, de séquestration, et d'assassinat ! Aucune preuve réelle, l’affaire sera classé et au revoir la vérité pour tous !
Revenant au près de moi il finit par choisir de se présenter à moi sous son vrai nom, ainsi que son nom de “scène” choisit certainement pour se dissimuler au milieu de l’humanité. Il fini sa phrase pour encore une fois enrober ses paroles et me caresser dans le sense des plumes.
Un sourire aux lèvres, l’observant me faire le baise main, comme à l’ancienne. Les yeux lumineux, je fini par lui répondre avec douceur et joie.
Judith ▬ “Pour commencer, je ne suis pas le moins du monde gêné par ma nudité, j’apprécie juste que l’on me regarde dans les yeux lorsque l’on m’adresse la parole.”
Je pousse délicatement et gracieusement mes cheveux et poursuit ma réponse avec volupté.
Judith ▬ “Je suis enchantée de te rencontrer à nouveau Ty Baal’T. je me nomme Judith… Judith Von Reisel”
Je me baisse légèrement, prenant de mes mains les deux côtés de ma robe et les soulevant dans le même mouvement, en signe de révérence occidentale.
Judith ▬ “Mais vous pouvez me surnommer Lilith, comme beaucoup l’on fait par le passé… Merci pour votre aide en tout cas, c’est précisément ce que j’avais en tête”
Ai-je fini en me redressant et faisant un signe en direction de la voiture accidenté luisant dans la pénombre, brûlant encore pour quelques instant si les pompiers se décident à venir l’éteindre enfin.
"Présentation de circonstance."
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 10 Mar 2020 - 14:36
La belle succube avait le visage très expressif, bien plus que le mien d’un aspect général en vérité, mais ce n’était pas étonnant. C’était un trait qu’on retrouvait souvent chez les êtres ayant eu une vie organique. Pour ma part, ce corps n’est qu’une forme de projection magique d’un feu à l’état solide et lisser d’une façon proto-organique. Mes traits sont souvent très artificiels et forcés pour montrer mes intentions donc. A l’inverse, c’était un plaisir de décortiquer ses sourires et regard orientés vers moi et répondant à mes mots. Elle était flattée à n'en pas douter, mais je ne pouvais pas simplement lui dire que je la voulais pour me servir. Une femme aussi âgée avec de l'expérience, et si elle chassait les hommes exclusivement, alors elle était rodée aux rouages de la manipulation. Je ne l’aurais pas comme ça, pas aussi facilement. Je me contentais donc de lui lancer un sourire terriblement affiché en guise de réponse à sa demande, cela me permettant de laisser planer le mystère un peu plus longtemps.
Elle me laissa même faire pour prendre le temps de s'habiller un peu plus et s’apprêter comme il se devait. Je ne pus pas retenir un rire lorsqu’elle m’avertit de sa présence auprès du feu en répondant à ma petite palabre précédente.
Von Reizel... J’ai déjà entendu ce nom par le passé. C’est un clan de vampire il me semble. Cela n’avait peut-être rien à voir et ce nom était peut-être assez courant en Allemagne... aujourd'hui. Il était peu probable de trouver un nom de la sorte aussi ancien, sans qu’il ait été choisi par les vampires à l’époque.
Mais je devais bien avouer que je préférais de loin le surnom de Lilith. C’était là un nom qui résonnait comme quelque chose de prophétique par rapport à l’histoire que les hommes ont bati autour de moi pour engendrer une figure du mal absolu.
Tibalt ▬ Lilith donc... et bien vous pouvez m’appeler Lucifer ou Méphistophélès comme l’ont fait certain par le passé si cela vous enchante.Flatter un égo était quelque chose de simple et dont j’avais appris toutes les ficelles au fil des siècles moi aussi. J’étais maintenant persuadé que nous avions sans doute une expérience du monde assez similaire, à nous mêler à la très haute société comme à la plèbe. Nous avons appris à naviguer parmi les loups et à en faire des agneaux pour nous nourrir ou nous amuser.
Je serais ravi de vous regarder dans les yeux évidemment et je ne mets pas en doute votre absence de pudeur, mais on doit rarement vous regarder dans les yeux lorsque vous vous dévoilé très chère...
Je m’asseyais nonchalamment au milieu des flammes, sur le coffre, pour réfléchir un peu à comment parvenir à faire d’elle une vassale ou en tout cas une alliée. Pouvais-je seulement arriver à voir une personne comme un égal et un allié ? J’avais beaucoup trop d’objectifs à remplir dans ce pays pour risquer que l’on ne vienne m’empêcher de les atteindre. Était-il possible qu’elle accepte de s’assujettir à quelqu’un ? Après tout, je ne serais pas capable de cela pour ma part. Avait-elle construit un empire comme moi pour prendre le contrôle des gens ? Ou se contentait-elle de vivre et de parcourir les terres de ce monde comme une âme en peine qui ne comprend pas et ne voit pas l’intérêt de son existence ?
Il y avait beaucoup de possibilités qu’il me fallait explorer en un temps record pour lui faire une proposition digne de ce nom.
Tibalt ▬ Quoi qu’il en soit, je dois bien avouer qu’il est rare de croiser un être singulier, transformé ou façonné par des êtres méprisables se prenant pour des dieux... rare, mais très appréciable cela dit en passant.Il était peut-être envisageable de faire en sorte de m’allier à quelqu’un qui pouvait directement comprendre la souffrance d’être le fruit d'un acte de création de la part des sorciers. Toutefois, ce n’était pas comme si je ne voudrais pas tirer parti d’elle et ce n’était pas vraiment un comportement d’allié.
Les corps étaient déjà bien brûlés et je ne souhaitais vraiment pas que les pompiers ne finissent par nous déranger dans notre conversation. Je me suis alors levé d’un bon de ce coffre pour sortir des flammes qui ne me faisait guère plus que de me sentir bien. Une fois à ses côtés, je me suis tourné pour manipuler les flammes et les attirer à moi, les aspirants dans la paume de ma main droite jusqu’à ce que l’incendie ne s’éteigne.
Tibalt ▬ Vous vivez dans le coin ? Car si c’est le cas, nous sommes dorénavant voisins d’une certaine manière. Je me suis installé et ai implanté un grand complexe au cœur du quartier des loisir de la ville de Nakanoto... un night-club va ouvrir, ainsi qu’un hôtel et casino... Mais ce sont d’autres affaires qui m’amènent bien évidemment...Il valait bien mieux voir avant toute autre choses si elle était dans la volonté d’en savoir plus. Dans le cas contraire, la conversation tournerait vraiment très court.
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 10 Mar 2020 - 19:40
In Nomine Satanis
Pour toute réponse à ma question étonné sur sa convoitise à mon égare, je n’eu qu’un simple sourire me provoquant un frisson. Comme s’il avait une idée des plus sinistre pour le moment inavouable en ma présence. Peut-être n’a-t-il pas encore entièrement confiance en moi, ou peur de ma réaction et attend de voir quel genre de personne je suis… Après tout, même si nous nous connaissons depuis des centaines d’années, nous ne nous connaissons pas réellement. Seulement quelques échange ne fait pas de nous des proches pour autant et certainement pas parce que ces échanges dates de plus de deux milles ans !
Ah je le fais rire maintenant ! Tout n’est pas perdu alors ! Ma précision quand au faite que je ne sois pas le moins du monde pudique le faite alors rire. Après tout je le disais bien entendu sous le ton de l’amusement, comme un précision qui n’a pas réellement lieu d’être car totalement logique pour ce que je suis. Avec toutes ses années passées à dévorer l'énergie sexuelle de mes proies uniquement par acte sexuel, il serait étrange que je sois toujours pudique comme à mes première années de vie. Je ne l’étais déjà pas vraiment avant que je ne devienne le monstre que je suis aujourd’hui alors encore moins maintenant.
Apparemment, mon petit surnom dont m’a affublé les créatures les moins importante en ce monde lui plait. Se sera Lilith alors ! Et cela me plais également. Je n’aime pas les noms à rallonge et franchement le mien ne m’aide pas dans ce genre de circonstance. Et puis… Judith Von Reisel !? Ca sonne tellement vieux ! Tellement grand-mère de l’ancien monde… Après tout cela reste logique ! Mais Lilith en impose tellement plus ! Surtout lorsqu’il finit par m’annonce ses jolis petits surnoms probablement donnés par les mêmes que pour le mien. Lucifer alors !? On pourrait presque dire Satan ! Méphistophélès sonne tellement bien et en impose mais bien long à prononcer. Cela sonne comme une perte de temps, à chaque instant où je devrais le prononcer. Puis il ajouta qu’il sera ravi de me regarder dans les yeux, fait-il allusion à la lueur inhabituel qui en provient ? Cette lueur jaunâtre comme les yeux dans chat dans le noir ?
J’arbore un large sourire de satisfaction, l’écoutant à nouveau me caresser dans le sense des plumes. Qu’il est doux de l’entendre me charmer en parlant de mon allure, comprenant en même temps qu’il soit difficile de me regarder dans les yeux lorsque je suis dans mon plus simple appareille. Il est certain que même sous ma forme originelle, je ne manque pas de formes et d’atouts, plaisant fortement à la plupart du commun des mortels et en plus ! Je peux faire en sorte d’être encore plus irrésistible ! Alors au final je ne peux que lui donner raison.
Judith ▬ “Lucifer alors ! C’est un surnom bien moins impressionnant que Méphistophélès mais bien plus court et simple à prononcer.”
Je souris de manière amuser. Il me plait de plus en plus, intriguant et si différent des autres créatures que j’ai rencontré jusqu’ici. Finalement son surnom ne m’étonne guère lorsque je vois ses capacités à contrôler et se nourrit du feu. Si seulement je pouvais faire de même avec l’eau, ma vie serait tellement plus douce et agréable. Je l’observe silencieusement pendant qu’il prend son bain de flammes, perdu dans ses pensées, pour se revigorer et certainement penser à la suite des événements en ma présence.
Toujours entouré de ses chères flammèches, il finit par parler à nouveau. Dire qu’il est rare et d’autant plus appréciable de rencontrer des créature tel que nous, les créations de ces immondes sorciers se prenant pour des dieu et ne pensant en aucun cas à notre bien être !
Je fronce alors les sourcils, changeant radicalement d'expression faciale. Une rage monte soudainement en moi lorsque je l’entends prononcer ces mots. Les sorciers je les ai en horreur ! Je hais ces choses que je n’aurais préféré n’avoir jamais croisé au court de ma si longue et insupportable vie !
Judith ▬ “Oui… Ces sorciers ! Avez-vous croisez d’autres confrère tel que nous ?!”
Ma voix était froide, presque totalement dénué d'émotion, comme prononcé par une créature inorganique.
Tibalt se redresse alors, sortant de manière impressionnante des flammes et s’approchant tranquillement de moi pour finir par attirer à lui toutes les flammes de l’incendie profitant de son énergie tout en l’éteignant par la même occasion. Cela retardera probablement les pompier et nous permettra de prendre un peu plus de temps pour notre discussion tranquil, notre re découverte.
Si je vis dans le coin ? Boarf… On peut dire cela, si on appelle ça vivre ou plutôt agir comme une nomade et dormir dans des grottes loin des humains qui me rebutent presque autant que les sorciers. Il crée alors un night club, un hôtel et un casino… Intéressant ! Mais il ai passé par ce lieu pour une autres raison ? Quel raison ?
Judith ▬ “Ah ? Quels affaires vous amènes dans le secteur ?”
J’en oublie presque de répondre à sa question première… Quel ingrate je fais ! Mais je reste intrigué par son travail, ses bâtiments et parait probablement très curieuse en cette instant.
Judith ▬ “Oh je vis ça et là, sans avoir de réelle lieu de vie. Rien de bien important… Mais vous avez un Night Club, un casino et… Un hôtel !? Je me demande bien quel genre d’hôtel est associé à un night club.”
"Informations intéressantes"
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mer 11 Mar 2020 - 17:08
Elle était décidemment vraiment très intéressante cette belle succube. La voir à la lumière fine de la lune perçant le feuillage du bois et distinguer ce sourire enjôleur marquant son ton lorsqu’elle apprécie mes sobriquets. Elle était aussi fascinante qu’amusante. On aurait presque pu penser à raisonnement enfantin malgré le spectre des millénaires planant sur son existence.
Je commençais doucement à ne plus faussement apprécier notre échange en me plongeant dans son regard et m’abreuvant de ses paroles. Il y avait comme une sorte d’attraction suite à ces milliers d’années qui séparaient deux moments étrangement similaires tout en étant intrinsèquement différents. Pouvait-elle me servir ainsi que mes desseins futurs ? Indubitablement oui. Cependant, j’en vins à me demander s’il n’était pas mieux de naviguer sur des eaux troubles avec des alliés plutôt qu’un simple équipage.
Elle eut une réaction immédiate, sans appel. Le simple fait d’évoquer nos origines possiblement similaires, ne seraient-ce qu’avec le concours des sorciers dans les deux cas avait été rédhibitoire. Son teint n’avait pas changé le moins du monde, mais son visage était sans équivoque. L’absence totale de quelque muscle que ce soit en trait de trait une émotion était étrange. Toutefois, il y avait eu un passage où celui-ci avait été distendu par la rage et une haine millénaire.
Je ne pouvais retenir cette euphorie soudaine à l’expression d’une rage démesurément grande et vivace malgré des siècles venant se fracasser sur sa carcasse comme les vagues le font pour éroder les rocs les plus solides. Il n’y avait rien de plus beau qu’une colère brûlante dans un regard trahissant une rage sourde.
Je l’attrapais par les hanches en la soulevant dans le même mouvement tout en tournoyant sur moi tant l’allégresse me pris au tripes.
Cette rencontre avec Judith était prophétique à l’époque et d’autant plus aujourd’hui. C’est ce jour-là, à côté de trois cadavres et à la manière d’un acteur euphorique, que j’ai décidé qu’il était tant d’organiser les aberrations créées par les sorciers en un même endroit, sous une même bannière, la mienne et de les conduire à la vengeance contre nos persécuteurs !
Je commençais doucement à ne plus faussement apprécier notre échange en me plongeant dans son regard et m’abreuvant de ses paroles. Il y avait comme une sorte d’attraction suite à ces milliers d’années qui séparaient deux moments étrangement similaires tout en étant intrinsèquement différents. Pouvait-elle me servir ainsi que mes desseins futurs ? Indubitablement oui. Cependant, j’en vins à me demander s’il n’était pas mieux de naviguer sur des eaux troubles avec des alliés plutôt qu’un simple équipage.
Elle eut une réaction immédiate, sans appel. Le simple fait d’évoquer nos origines possiblement similaires, ne seraient-ce qu’avec le concours des sorciers dans les deux cas avait été rédhibitoire. Son teint n’avait pas changé le moins du monde, mais son visage était sans équivoque. L’absence totale de quelque muscle que ce soit en trait de trait une émotion était étrange. Toutefois, il y avait eu un passage où celui-ci avait été distendu par la rage et une haine millénaire.
Je ne pouvais retenir cette euphorie soudaine à l’expression d’une rage démesurément grande et vivace malgré des siècles venant se fracasser sur sa carcasse comme les vagues le font pour éroder les rocs les plus solides. Il n’y avait rien de plus beau qu’une colère brûlante dans un regard trahissant une rage sourde.
Je l’attrapais par les hanches en la soulevant dans le même mouvement tout en tournoyant sur moi tant l’allégresse me pris au tripes.
Tibalt ▬ Oh mais quelle délicieuse frénésie ai-je vu là ! Quelle terrible colère gronde en vous ! C’est formidable !Perdant pour une fois toute commune mesure et retenue, j’étais enfin redevenu la flamme intérieur que j’étais. Qu’il était rare de pouvoir me montrer sous ce jour face à quelqu’un qui n’était pas destiné à brûler ensuite pour satisfaire ma vengeance ou mon plaisir. J’en avais brièvement même oublié ce qu’elle m’avait demandé. En la reposant au sol délicatement je me raclais la gorge tout en portant le poing devant ma bouche.
Tibalt ▬ J’ai rencontré un autre être comme nous il y a longtemps. Son nom était Raiden. Je crains cependant qu’il ne se rapproche plus de moi que de vous ma très chère et douce Lilith.Les sujets volaient dans cette conversation dans tous les sens et nous les enchaînions un peu trop vite. C’était comme une sorte de farandole étrange de sentiments et de propos se mêlant pourtant de fourneau de la rancœur et se liant tous ensemble.
Tibalt ▬ Il n‘y a qu’une seule chose qui peut me faire venir ici terrible succube, le cadre chaotique des lieux en ce moment de crise est idéal pour abattre mon ennemi de toujours et le vôtre... il est venu ce doux moment de prendre notre revanche et de projeter dans ce monde d’une façon aussi brutale qu’on fait naître un humain... Je suis venu car c’est le moment idéal pour porter un coup terrible aux sorciers très chères...Je me mis presque à faire les cent pas comme un artiste de théâtre le ferait sur scène, porté par un élan dramatique et grandiloquant. Je sautai sur le toit de la voiture en grande partie calcinée avant de me retourner vers elle.
Tibalt ▬ Mais peut-être puis-je vous inclure dans tout ce plan !C’était là le moment parfait. Elle était en colère et pleine de haine, mais je ne doutais guère d’arriver à la subjuguer par l’extravagance la sortant de sa morne et triste solitude pour la baigner dans la lumière.
Tibalt ▬ J’ai ouvert ce club pour couvrir mon empire du crime organisé que j’implante en ville ! Tout ça n’est qu’une vaste comédie comme la vie elle-même qui s’est joué de nous ! Pourquoi devrions-nous vivre tous isolés ? Parce que les sorciers l’ont décidé ? Devrions-nous nous résigner à mourir parce qu’ils le veulent ? Noooon, bien sûr que non ! Et j’ai l’intention d’envoyer un message à toutes les créations de nos tortionnaires grâce au chaos qui s’installe ici.Je ne savais même plus comment m’arrêter tant finalement plus j’y réfléchissais et plus tout cela me paraissait d’une logique évidente. Tellement évidente qu’il était étrange de ne pas y avoir pensé avant. S’ils sont fort grâce à leur nombre et la variété de leurs pouvoirs, pourquoi ne pas en faire autant ?
Cette rencontre avec Judith était prophétique à l’époque et d’autant plus aujourd’hui. C’est ce jour-là, à côté de trois cadavres et à la manière d’un acteur euphorique, que j’ai décidé qu’il était tant d’organiser les aberrations créées par les sorciers en un même endroit, sous une même bannière, la mienne et de les conduire à la vengeance contre nos persécuteurs !
“The war is beginning”
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Jeu 12 Mar 2020 - 11:56
In Nomine Satanis
Il eu l’air de plus en plus subjugué par ma personne. Non pas pour mon physique, mais pour les multiples réponses que je lui apporte à mesure que la nuit avance. Il est là, à me regarder fixement dans les yeux, comme happé par leur lueur lunaire, absorbant le moindre de mes mots, leur donnant une plus grande importance que je ne soupçonnais pas. Vint alors l’instant de ma colère incontrôlable. J’aurais pensé à un mouvement de recule, ou mêm de dégoût lors de mon égarement, mais rien de tout cela ne transparaît sur son visage flamboyant. J’eu comme réaction de sa part, à la place, une joie démesuré. Il est heureux de voir à quel point je peux haïr ces créatures immondes que sont les sorciers. Frémissant face à ma rage à peine dissimulé, il finit par m'empoigner par les hanche et me faire tournoyer autour de lui tout en criant sa joie de me voir dans un état tel que le mien.
Surprise, je pousse un petit cri et m’appuie de toutes mes forces sur ses épaules, essayant de le repousser pour le forcer à me reposer au sol. Mais quel mouche l’a piqué !? pourquoi donc être aussi heureux de la rage que je puisse dégager à l’encontre de mes bourreaux, malgré toutes les années dernière moi et ce qu’ils m’ont fait subir ? Cela faisait des années que l’on ne m'avait pas prise de la sorte et je ne suis pas encore prête à ressentir ce genre de sensation.
Judith ▬ “Oh Non ! Reposez MOI !”
Malgré toutes ses années, le voile de la mort de mon grand amour plane encore sur ma tête et au fond de mon âme, si je porte encore cette chose en moi… Et je n’ai encore réussi à m’en défaire pour de bon. Sentir les mains d’un autre homme posé sur mes hanches et me soulever du sol ainsi… Des souvenirs, longtemps enfouis en moi et trop douloureux, remonte à la surface et me font sentir affreusement mal en cette instant, jusqu'à ce que le dénommé Lucifer daigne bien me ramener sur la terre ferme.
J'épouse alors ma robe nerveusement tout en l’entendant se racler la gorge. Il se décide par la suite à me dire s’il avait bien déjà rencontrer d’autres créatures tel que nous ?
Je me demande d’ailleurs si nous sommes nombreux… Les sorciers sont-il vraiment si insensé et dénué de compassion envers les autres êtres vivants qu’ils côtoient !? Finalement j’apprends qu’il a bel et bien rencontré un autre de nos confrères. Un certain Raiden, qui lui ressemblerait plus qu'à moi. Je me rappel alors notre première conversation où il me fit comprendre qu’il n’existait pas réellement avant sa création par les sorciers. il n’avait pas été remanié par ces derniers pour une quelconque raison, mais plus… entièrement fabriqué à partir… du feu je présume ? Dois-je comprendre que ce Raiden à était fabriqué de la même manière que lui ? Suis-je la seule à avoir une histoire passé avant ma modification ?
Judith ▬ “Raiden… C’est un être entièrement créé à partir de rien ? Comme... vous ?”
Attentive du mieux que je peux. Je me sens, malgré tout, pas entièrement remise de l’instant passé où je me suis retrouvé porté à bout de bras par cette être de feu. J’essaye de faire bonne figure, rétorquant calmement et posément à ses réponses, sans trop paraître bouleversée.
Mais pourquoi est-il donc venue ici alors ? Je n’allais pas tarder à avoir la réponse on peut plus intéressante.Il voulait profiter d’un moment de crise donc… Un… Moment… De crise ? Je n’avais pas véritablement remarqué que les lieux étaient en crise. Mais à quoi bon me torturer l’esprit pour essayer de comprendre !? Je ne fais jamais attention aux actes des humains sur le temps. Je passe ça et là pour me re perte du mieux que je peux, sans trop attirer l’attention sur ma personne et disparaît pendant quelque temps pour ne pas trop me mêler à eux. Je cherche plus à retrouver mes bourreaux. Et même si depuis des siècles, l’on dit partout que les Babyloniens ont disparu, ne laissant que des ruines dans leur passage, je n’y crois pas !
Oh mais quel délicieux mot à mes oreilles se met alors à raisonner !? Lucifer parle donc de vengeance !? De porter un coup terrible à l’encontre des sorciers !
Un terrible sourire s’affiche instantanément sur mon merveilleux visage. Un sourire machiavélique, heureuse d’entendre que je puisse trouver l’aide de quelqu’un pour enfin pouvoir assouvire mes sinistres desseins. Son attitude est plutôt drôle et agréable à observer. Comme une joyeuse folie qui s’étant en lui, à mesure qu’il me dévoile ses attentions.
Son idée est plutôt simple en soit. Il ouvre un Night club pour étendre un empire de crime organisé dans cette ville qu’est Nakanoto à la manière des Yakuza. Créant alors une mise en scène pour attirer entre ses griffes, NOS GRIFFES, les meilleurs proies que nous n’aurons jamais eu entre nos doigts. Il souhaite tous nous regrouper, nous monstruosités créer par la main des sorciers. Aberrations toutes isolées les unes des autres, se retrouveront alors au même emplacement pour choisir de faire sentir le poid d’une épée de damoclès sur la tête des mages de cette maudite ville.
J’amène ma main droite sur mon flanc gauche, puis pose mon coude sur celle-ci pour ensuite porter la main gauche à ma bouche en guise de réflection et de malice.
Judith ▬ “Ton idée me plait très chère Lucifer ! Et comme dit les humains d’aujourd’hui… J’en suis ! Aux grands maux, les grands remèdes !”
Enfin une bonne nouvelle dans ma vie ! J’allais enfin pouvoir porter le coup de grâce à ce peuple qui m’avait tant fait souffrir, et c’était moqué de moi, que demander de plus !?
"Aux grands maux, les grands remèdes !"
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Jeu 12 Mar 2020 - 14:20
Qu’il était bon en réalité de se laisser aller autant, je ne m’étais pas senti aussi vivant, je réveillais en moi cette volonté vivace et vibrante de faire voler en éclat la vénérable hypocrisie des sorciers. Grâce à une rencontre aussi soudaine qu’improbable naissait ce soir un nouveau plan, plus ambitieux, plus insidieux, plus terrible que je ne l’aurais jamais imaginé. Il me fallait réunir des talents incroyables, en nombre de préférence, aussi bornés qu’investis et pouvant accepter de suivre un leader préparant avec soin une vengeance qui sera sans appel.
L’euphorie soudaine avait conduit mes gestes si bien que je l’avais emmené sans m’en rendre compte dans une farandole absurde et magnifique en même temps. Je la lâchais à sa demande tout en la regardant avec grâce atterrir sur le sol sans mal avec l’aide de ses ailes si grandes, si sombre, à l’image même de mes projets pour l’avenir.
Elle se posait beaucoup de question sur moi encore, et le fait d’avoir sans répondre dit que Raiden était davantage comme moi qu’à son image à elle, c’était revenir sur un sujet que je n’avais jamais éclairci. Il était temps de lui montrer le véritable moi tout en lui expliquant.
L’incendie qui régnait en moi à cet instant était insatiable et terrible, poussé par une faim inextinguible de consommer tout ce qui passait à sa portée. Aujourd’hui il était mu par la seule envie d’illuminer les ténèbres dans lesquels tant des nôtres devaient être plongés.
Le simple fait qu’elle soit dans l’envie de me suivre, sans conditions, avec une réponse trahissant cette intense volonté de se venger à tout prix, suffisait à me mettre en liesse. Était-elle la créature parfaite pour à la fois être ma police d'assurance face à mon talon d’Achille incroyablement problématique et en même temps m'être dévouée dans l’accomplissement de ce but que pour nous poursuivons ? C’était une possibilité qui grandissait à mesure que la conversation avançait, mais pour en faire une âme aussi docile et ravie d'agir selon mes plans, il fallait lui montrer que je pouvais partager le savoir, fruit de mes voyages et parcours au plus proches des civilisations guerrières.
L’euphorie soudaine avait conduit mes gestes si bien que je l’avais emmené sans m’en rendre compte dans une farandole absurde et magnifique en même temps. Je la lâchais à sa demande tout en la regardant avec grâce atterrir sur le sol sans mal avec l’aide de ses ailes si grandes, si sombre, à l’image même de mes projets pour l’avenir.
Elle se posait beaucoup de question sur moi encore, et le fait d’avoir sans répondre dit que Raiden était davantage comme moi qu’à son image à elle, c’était revenir sur un sujet que je n’avais jamais éclairci. Il était temps de lui montrer le véritable moi tout en lui expliquant.
Tibalt ▬ Pardonnez mon exaltation soudaine à l’idée de partager avec vous la même colère ardente.Mon envolée lyrique avait quant à elle su subjuguer la belle et merveilleuse succube qui était devant moi. Il y avait comme un éclat dans son regard, une avidité somptueuse à l’idée de pouvoir satisfaire un besoin aussi primaire qu’était la vengeance. Nous pourrions faire pleuvoir à deux notre courroux millénaire, chargé avec les rancunes tenaces d’une armée qui n’aurait jamais eu raison d’être sans l’égo mal placé de quelques sorciers.
L’incendie qui régnait en moi à cet instant était insatiable et terrible, poussé par une faim inextinguible de consommer tout ce qui passait à sa portée. Aujourd’hui il était mu par la seule envie d’illuminer les ténèbres dans lesquels tant des nôtres devaient être plongés.
Le simple fait qu’elle soit dans l’envie de me suivre, sans conditions, avec une réponse trahissant cette intense volonté de se venger à tout prix, suffisait à me mettre en liesse. Était-elle la créature parfaite pour à la fois être ma police d'assurance face à mon talon d’Achille incroyablement problématique et en même temps m'être dévouée dans l’accomplissement de ce but que pour nous poursuivons ? C’était une possibilité qui grandissait à mesure que la conversation avançait, mais pour en faire une âme aussi docile et ravie d'agir selon mes plans, il fallait lui montrer que je pouvais partager le savoir, fruit de mes voyages et parcours au plus proches des civilisations guerrières.
Tibalt ▬ Permettez-moi de vous éclairer sur ma nature véritable et originelle... Je n’étais pas un être vivant, mais je ne suis pas venu du néant... rien ne se créé véritablement à partir de rien... J’étais ! Je suis ! Je demeurerai ! Une flamme pour toujours.Je commençais à devenir pure flamme pour lui montrer ma nature véritable, ce brasier ardent et perpétuel, toujours dans l’envie de se nourrir et se répandre.
Tibalt ▬ Je suis né d’un incendie terrible provoqué à Rome. Des sorciers l‘ont déclenché dans le but d’y voir brûler des centaines d’humain et concentrer l’énergie se dispersant, tout en engageant celle d’un de leur fameux nexus dans l‘unique but de façon un feu conscient pouvant supporter un pouvoir dépassant toute commune mesure ! Mon aspect véritable, d’origine, est donc celui-ci douce Lilith ! Dis-je avec une voix profonde et crépitante comme les flammes qui me constituaient.Je ramenais mon corps sous son aspect stable, celui d’un diable rouge correspondant aux descriptions biblique du diable comme on le nommait.
Tibalt ▬ Raiden est un peu comme ça, si ce n’était qu’il été façonné à partir de la foudre. Je ne saurais dire si d’autre son aussi puissamment lié à une notion élémentaire, capable d’immatérialité sans mal. Mais nous pourrions les trouver ensemble !A nouveau, j’étais comme dans un crescendo, montant en puissance devant elle, la fixant intensément dans les yeux comme pour parvenir et la pousser à me répondre simplement “oui” et devenir totalement à moi.
Vous avez dit être d'accord pour me suivre dans l'instant ! Puis-je compter sur vous pour accomplir des tâches nécessaires à la bonne exécution de notre projet ? Puis-je compter sur votre soutien indéfectible et inconditionnel douce Lilith ?!
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Mar 17 Mar 2020 - 10:04
In Nomine Satanis
Après un excès de folie, redescendu plutôt rapidement suite à ma demande d’être reposé. Tibalt fini par me lâcher, me permettant ainsi retrouver le plancher des vaches. Il n’avait pas remarqué sur le coup cette euphorie, qui nous entraînait dans une ronde infinie, jusqu’à ce que je le lui fasse réaliser. Il se fondit en excuse précisant que ma colère est tout bonnement la raison de sa réaction ardente. Déteste t-il autant les sorciers que moi ? Je pense que la réponse est “Oui” et que je n’ai nul besoin de le lui demander.
Je le sens de plus en plus ardant, flamboyant. Jubilant de sa découverte à mon égard, cette existence retrouvé qui pourra enfin lui permettre de mettre en place son plan machiavélique. Un plan qui, clairement, ne me met pas le moins du monde indifférente. J’espère plus que tout trouver ces monstres depuis des années, et surtout ceux de mon ancienne peuplade… Ou du moins leurs descendance. Après toutes ses années, il est fortement improbable que les sorciers et sorcières de Babylone soit encore envie à ce jour. Mais qu’importe ! Je me vengerais sur leur progéniture. Rien ne sera plus exaltant que de maintenir sous mon joug une de ces larves de Babylonien !
Un rictus fant alors mon visage, lorsque l’image d’un de ces vers de terre rampant sur le sol, demandant ma clémence, fit son apparition dans mon esprit.
Tibalt fait, par la suite, le choix de m’expliquer sa venue au monde. Il n’existait pas avant cela, mais n’est pas non plus venue de rien comme je l’avais présumé. Sa naissance provient d’une flamme ou plus précisément d’un immense incendie survenue à Rome tuant sur son passage des centaines d’être humain. Probablement encore un chose arrivé à cause d’une guerre entre les hommes… Les sorciers avait alors utilisé un nexus pour concentrer l'énergie de cette incendi et c’est ainsi qu’il vit le jour.
Je comprends bien mieux maintenant pourquoi ma question, par le passé, lui avait parue étrange et probablement futile ! Mais alors pourquoi tant de haine envers les sorciers s’il n’avait nul réelle existence avant cela ? C’est-il passé quelques chose par la suite !? être emprisonné depuis la naissance n’est pas forcément une raison… Si l’on n’a pas connu la liberté avant on trouve cela totalement naturel, ne sachant pas ce qu'est la liberté. Je pense qu’il doit y avoir une autre raison plus importante et je finirais bien un jour par le savoir mais pour l’heure, mieux vaut ne pas poser trop de question qui fâche.
Lucifer prend par la suite sa forme originel, se présentant sous les air du diable biblique que j’avais connue par le passé en lisant quelques ouvrage pendant mes long instant de solitude. Cette homme auquel j’avais était rattaché sans savoir pourquoi… Certainement pour notre dangerosité au même niveau. Et pour un homme de grande mesure, terrifiant en tout point, il faut toujours ou presque une femme à sa hauteur pour le rendre d’autant plus impressionnant et flamboyant.
Les flammes de son corps brulent alors avec intensitées. Me forçant à placer, pendant quelques seconde, un bras devant mon visage, de peur que celui-ci ne prenne feu ou fonde sous sa forte chaleur. Je recule de quelques pas puis l’écoute à nouveau monté en intensité, heureux de m’expliquer des histoires du passé, la création de mes frères. Raiden est née à partir de la foudre… Logique, avec un nom tel que le sien il ne pouvait être que d’électricité. J’aimerais vraiment rencontrer cette homme pour voir ce qu’est devenue de l’un des nôtres.
Il souhaite alors que j’accomplisse des tâches nécessaires à notre projet… Mais quel type de tâche ? Et j’aimerais malgré tout avoir une réponse à ma question passé et resté presque dans l’oublie…
Judith ▬ “Avant toute chose, Cher Tibalt, J’aimerais quelques éclaircissements. ”
Je reprends ma position initial, moins impressionné par son corps incandescent qu’au début, ramène mes ailes bien en arrière, me maintenant bien droite et pousse mes cheveux d’un seule mouvement pour bien dégager mon visage.
Judith ▬ “Tout d’abord… Quel genre d’hôtel est rattaché à ce genre de lieu ? Je crois avoir la réponse mais j’aimerais en être certaine voir à quel point il me plaira !”
Un petit sourire diabolique traversa l’expression de mon visage pendant quelques instant qui repris son air sérieux immédiatement après.
Judith ▬ “Ensuite… Pourrais-je rencontrer ce fameux Raiden ? Il est d’autant plus intéressant de faire rapidement connaissance avec mes frère pour moi, surtout pour la suite des opérations”
J’ajoute alors un petit clin d’oeil coquin à Tibalt avant de poursuivre ma tirade.
Judith ▬ “Enfin, que souhaites-tu que je fasse comme “tâches nécessaires à notre projet” ? Je n’aimerais pas signé un mauvais contrat avec le diable sans en lire les clauses miniatures en bas de la page”
Un petit sourire malicieux aux lèvres j’attends de voir sa réaction et d’entendre ses multiples explications.
"Les clauses"
Etilya sur DK RPG
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|