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Le Narrateur#105036#105036#105036#105036#105036
Vieux sage
Race : PNJ
Date d'inscription : 14/01/2008
Nombre de messages : 2078
Emploi/loisirs : Fondateur
Yens : 2214
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Jeu 5 Nov 2020 - 22:56
La pièce est pleine d’objets en tout genre, mais en effet au fond se trouve une porte ayant l’air plus sécurisée que les autres, une porte qui est faiblement éclairée par une lumière provenant sans doute d’une lampe détenue par la personne se trouvant dans la salle.
Cette porte a l’air très bien sécurisé depuis le point de vue qu’offre sommairement la position actuelle des deux pilleurs de musée, mais impossible de connaître les détails de cette sécurité d’ici, bien malheureusement. Tout ce qui est identifiable, c’est que cette porte ne semble pas le moins du monde munie d’une quelconque poignée, mais d’un boitier tout en longueur se trouvant à côté de de puissants et massifs vérins sortant des murs pour la maintenir verrouillée.
L’air de rien par moment la personne semble faire moins de bruit, comme tendant l’oreille peut-être à cause d’un léger bruissement. Les oreilles à l’affut du moindre danger comme une proie aux aguets.
La cible de ce larcin dispose bien d’une valeur dépassant l’entendement d’un petit voleur et serait bien difficile à revendre si ce n’était sous le manteau à un collectionneur aussi discret que fortuné. Le commanditaire a engagé d’ailleurs une coquette somme en avance, n’étant que le quart de la somme final pour ce casse en bonne et due forme à la condition qu’il se voit remettre le sceptre à la seconde où il ne serait plus dans le musée. À l’image de la fortune attendant Kaïto, le sceptre n’était plus très loin au point peut-être où il pouvait presque sentir le souffle impatient de son commanditaire dans sa nuque, lui qui devait être dans la voiture, cette voiture convenue, dans la ruelle, cette ruelle convenue.
Cette porte a l’air très bien sécurisé depuis le point de vue qu’offre sommairement la position actuelle des deux pilleurs de musée, mais impossible de connaître les détails de cette sécurité d’ici, bien malheureusement. Tout ce qui est identifiable, c’est que cette porte ne semble pas le moins du monde munie d’une quelconque poignée, mais d’un boitier tout en longueur se trouvant à côté de de puissants et massifs vérins sortant des murs pour la maintenir verrouillée.
L’air de rien par moment la personne semble faire moins de bruit, comme tendant l’oreille peut-être à cause d’un léger bruissement. Les oreilles à l’affut du moindre danger comme une proie aux aguets.
La cible de ce larcin dispose bien d’une valeur dépassant l’entendement d’un petit voleur et serait bien difficile à revendre si ce n’était sous le manteau à un collectionneur aussi discret que fortuné. Le commanditaire a engagé d’ailleurs une coquette somme en avance, n’étant que le quart de la somme final pour ce casse en bonne et due forme à la condition qu’il se voit remettre le sceptre à la seconde où il ne serait plus dans le musée. À l’image de la fortune attendant Kaïto, le sceptre n’était plus très loin au point peut-être où il pouvait presque sentir le souffle impatient de son commanditaire dans sa nuque, lui qui devait être dans la voiture, cette voiture convenue, dans la ruelle, cette ruelle convenue.
Etilya sur DK RPG
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Jeu 17 Juin 2021 - 20:58
Quel bazar monstre ! S'il y avait toutes sortes d'objets, rien ne ressemblait à ce que je cherchais. Non, c'était bien trop précieux pour trôner au milieu de cette salle d'archive. Mon regard parcourait la pièce, circulairement, attendant le déclic de mon esprit analytique pour apercevoir ne serait-ce que la surface du trésor que je convoitais. Lentement, je progressais autour des meubles, des statues, des parchemins et des vases antiques, veillant surtout à ne rien toucher ni même effleurer dans une attitude de dandy, sur la pointe des pieds. Mon attention était toute éveillée. J'entendais même mes propres battements de cœur sauter dans ma poitrine à tel point que le sang battait aussi dans mes tempes. Je le sentais, c'était pas bien loin, ça ne pouvait qu'être ici de toute manière. Chaque musée qui se respecte avait toujours une...
-... chambre forte.
Je braquais mes yeux sur cette porte en acier, digne de celle qui abrite un sanctuaire inespéré qu'on ne pouvait pas pénétrer impunément sous peine de s'attirer de sales ennuis. Mais malheureusement, ce genre d'endroit aussi interdit soit-il, n'en demeurait pas moins très attrayant et irrésistible. Planté devant cette muraille, j'allongeais mon regard sur chaque détail qu'il m'était donné de voir. Je ne pus toutefois pas m'empêcher de grimacer en constatant que ce ne serait pas une mince affaire. Il fallait que je fasse sauter ces vérins très épais -ils avaient pas lésiné sur le mécanisme. Mais avant d'engager une quelconque procédure qui risquait de me mettre en faillite, je décidai de m'adresser à mon ami fantôme pour le solliciter et éviter des dégâts inutiles.
-Tu crois que tu pourrais passer à travers cette portée blindée pour savoir si c'est la bonne ? Ensuite, tu pourras me donner une idée de son épaisseur pour que je puisse...
Toutefois, je m'arrêtais soudainement. Je percevais une lueur bien visible qui rebondissait sur l'acier dans la pénombre. Merde. Quelqu'un était dans le coin, tous près. Mon oreille percevait un souffle rauque, qui n'appartenait pas en toute logique, ni au fantôme de ce musée, ni au mien. Je me retournais vers lui pour lui adresser un regard entendu, intimant le silence tandis que je filais me dissimuler juste au cas où le gardien surgirait de nulle part. Si je pouvais m'épargner une bagarre, ce serait pour le mieux. Puis tout à coup, l'homme invisible fut pris d'un élan de panique.
-Hey ! Ca va aller. Cal...
Mais contre toute attente, il se mit à déguerpir, sommant qu'il ne voulait pas de problème et qu'il ne souhaitait pas se faire prendre puis s'en alla comme un... voleur, me plantant là comme un idiot. Meeeeeeeeeerde. Non non, noooon. C'est pas possible ! Courage fuyons, hein ? J'avais beau l'appeler en chuchotant, il ne daignait même plus me répondre. Putain. Voilà ce que ça donne quand vous décidez d'accorder votre confiance à quelqu'un ! Oui bon, après c'était pas fairplay de ma part non plus mais je l'avais mis au courant que c'était bien dangereux ! Il était d'accord ! Je serrais les dents, patientant que le bonhomme fasse son petit tour en me faisant oublier. Je restais tranquille, dissimulé derrière tout un tas de parchemins qui sentaient le vieux. J'entendais des pas, puis plus rien. Puis encore des pas, qui se dirigeaient directement vers moi, se faisant de plus en plus pressant. Sérieusement ! Je ne pouvais plus rester autant à découvert. Ni une ni deux, je redéployais mon plumage, me postant sur une fausse branche en résine à disposition, immobile comme du marbre. Avec un peu de chance, il me prendrait sûrement pour un corbeau empaillé. Allez dégage, dégage ! J'ai des choses à faire moi. J'ai quelqu'un qui m'attend et il est pas du genre très patient. Toujours juché sur ma position, je prenais donc la pose, attendant que l'orage passe pour passer à la suite du plan.
-... chambre forte.
Je braquais mes yeux sur cette porte en acier, digne de celle qui abrite un sanctuaire inespéré qu'on ne pouvait pas pénétrer impunément sous peine de s'attirer de sales ennuis. Mais malheureusement, ce genre d'endroit aussi interdit soit-il, n'en demeurait pas moins très attrayant et irrésistible. Planté devant cette muraille, j'allongeais mon regard sur chaque détail qu'il m'était donné de voir. Je ne pus toutefois pas m'empêcher de grimacer en constatant que ce ne serait pas une mince affaire. Il fallait que je fasse sauter ces vérins très épais -ils avaient pas lésiné sur le mécanisme. Mais avant d'engager une quelconque procédure qui risquait de me mettre en faillite, je décidai de m'adresser à mon ami fantôme pour le solliciter et éviter des dégâts inutiles.
-Tu crois que tu pourrais passer à travers cette portée blindée pour savoir si c'est la bonne ? Ensuite, tu pourras me donner une idée de son épaisseur pour que je puisse...
Toutefois, je m'arrêtais soudainement. Je percevais une lueur bien visible qui rebondissait sur l'acier dans la pénombre. Merde. Quelqu'un était dans le coin, tous près. Mon oreille percevait un souffle rauque, qui n'appartenait pas en toute logique, ni au fantôme de ce musée, ni au mien. Je me retournais vers lui pour lui adresser un regard entendu, intimant le silence tandis que je filais me dissimuler juste au cas où le gardien surgirait de nulle part. Si je pouvais m'épargner une bagarre, ce serait pour le mieux. Puis tout à coup, l'homme invisible fut pris d'un élan de panique.
-Hey ! Ca va aller. Cal...
Mais contre toute attente, il se mit à déguerpir, sommant qu'il ne voulait pas de problème et qu'il ne souhaitait pas se faire prendre puis s'en alla comme un... voleur, me plantant là comme un idiot. Meeeeeeeeeerde. Non non, noooon. C'est pas possible ! Courage fuyons, hein ? J'avais beau l'appeler en chuchotant, il ne daignait même plus me répondre. Putain. Voilà ce que ça donne quand vous décidez d'accorder votre confiance à quelqu'un ! Oui bon, après c'était pas fairplay de ma part non plus mais je l'avais mis au courant que c'était bien dangereux ! Il était d'accord ! Je serrais les dents, patientant que le bonhomme fasse son petit tour en me faisant oublier. Je restais tranquille, dissimulé derrière tout un tas de parchemins qui sentaient le vieux. J'entendais des pas, puis plus rien. Puis encore des pas, qui se dirigeaient directement vers moi, se faisant de plus en plus pressant. Sérieusement ! Je ne pouvais plus rester autant à découvert. Ni une ni deux, je redéployais mon plumage, me postant sur une fausse branche en résine à disposition, immobile comme du marbre. Avec un peu de chance, il me prendrait sûrement pour un corbeau empaillé. Allez dégage, dégage ! J'ai des choses à faire moi. J'ai quelqu'un qui m'attend et il est pas du genre très patient. Toujours juché sur ma position, je prenais donc la pose, attendant que l'orage passe pour passer à la suite du plan.
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Ven 18 Juin 2021 - 15:41
Cet espèce de petite enfoiré de voleur à la manque m’a bien eu avec son histoire de bombe et il en va de même pour tous les gardes. A peine revenue devant mes écrans, je me décide à prendre la parole dans les radios des gardiens ainsi que dans les hauts-parleurs du musée.
Hideko ▬ A tous les gardiens, notre technicien en ligne est formel, la bombe est une fausse, nous l’avons jetée. Fouillez toutes les sections du musée et verrouillez les derrière vous selon le protocole d’urgence de cambriolage en cours. Je répète, fouillez toutes les sections du musée et verrouillez- les derrière vous selon le protocole d’urgence cambriolage en cours.Il est hors de question que je laisse ce petit merdeux arrivé à ses fins, ce n’est pas acceptable.
Par contre, je constate vite qu’il y a un problème. Je n’arrive plus à trouver ce petit voleur sur les écrans. J’ai beau afficher simultanément toutes les caméras possibles, je n’arrive à le voir sur aucune d’elles. Il n’y a aucune porte qui ne s’active de façon inhabituelle pendant que j’ai l'œil sur plan de sécurité électronique et de verrouillage des portes.
Hideko ▬ Hum… ou est-ce que tu te caches petite fouine ? ...Je peux au moins reconnaître ça à ce voleur ; il est vraiment doué. Il sait parfaitement ce qu’il fait et il a dû étudier le terrain avant de venir ou en tout cas avoir bénéficié de l’aide d’un tiers qui connaît bien le musée. Il évolue dans cette enceinte trop facilement.
Il vaut mieux ne pas prendre de risque. Je décide d’activer avant que les gardes ne reviennent au poste de sécurité ; ces derniers étant assez nuls pour l’avoir laissé sans personne pour agir ; et je force le système à passer en mode confinement. Des grilles descendent par dessus tous les points d’accès du musée dans le but d’empêcher quiconque de sortir ou d’entrer à l’intérieur et cela envoie un message au poste de police le plus proche pour qu’un cordon de sécurité se face tout autour.
Hideko ▬ Te voilà fait comme un rat mon beau, comment vas- tu faire pour t’en sortir hein ?J’ai le sourire au lèvres, j’avoue que je m’amuse comme une folle à essayer de jouer au chat et à la souris avec cet intru. C’est un peu comme faire un dungeon master contre un autre joueur en temps réel, c’est vraiment grisant. Un jeu d’un nouveau genre, mais avec des conséquences très graves. Certains objets exposés dans le musée sont des reliques anciennes comportant encore de la magie en elles et sous surveillance des sorciers et donc directement sous la protection du Temps.
Une alerte d’ouverture de porte sur mon écran ! D’une salle dans laquelle il n’y a pas de caméra, la réserve de pièces rares ! Bingo ! Ma joie est en revanche de courte durée. Je vois en réalité une sorte de petit bonhomme rabougri qui sort de cette pièce, passe son badge pour verrouiller la pièce à nouveau et semble se diriger d’un pas rapide vers une autre partie du musée en franchissant un à un les points de sécurité. hum. Mince, je pensais que c’était notre voleur. Si ce vieux est sorti l’air de rien, c’est qu’il devait étudier seul dans cette pièce des objets. Impossible que ce voleur soit là. Mais alors où peut-il bien être ?
Hideko ne pouvait pas se douter qu’en réalité le voleur était déjà passé par là et que le vieux chercheur était passé devant lui en train d'imiter un animal empaillé. La réserve sécurisée était bien en total accès pour ce voleur aussi doué que Lupin et à la main leste d’ordinaire. Nul besoin d’être connaisseur de l’individu pour savoir qu’il aurait bien plus aimé mettre la main sur n’importe quoi dans cette pièce et partir. Son temps lui est compté après tout. Mais il sait que son objectif n’est pas là, mais dans ce coffre de l’autre côté de la pièce et qui lui fait de l'œil. Une chambre forte à laquelle il s’est préparé et entraîné à la forcer encore et encore. Il sait qu’il peut arriver à forcer l’accès de la sécurité électronique et ensuite, ce n’est qu’une minute qu’il a pour forcer le code mécanique, ouvrir la porte, prendre la crosse ornementée et refermer le coffre sans quoi ce dernier va se refermer seul et donner l’alerte au système. Mais il s’est entraîné à cela. Ce qui est plus ennuyeux, c’est cette étrange présence qu’est Hideko, planant au-dessus de lui comme un spectre omniscient et tout puissant dans le musée qui ne lui laissera pas le luxe de commettre une erreur comme d’autres gardiens.
Etilya sur DK RPG
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Dim 20 Juin 2021 - 19:30
Ne tremble pas Kaïto, ne tremble pas ! Imagine toi sur une plage, avec un coktail, une pina colada plus précisément, en train de te dorer ton corps d'athlète sur le sable chaud. ARGH ! Le temps me paraissait interminable ! Et la suite fut pire encore quand retentissait la voix d'une femme dans tout le musée. Qu-qu-QUOI ?! Je ne pus m'empêcher de lâcher un couinement sur cette écoute. Ils avaient DEJA vérifié la bombe ? Non impossible ! Ca aurait dû me faire gagner une très bonne heure le temps que l'équipe de déminage ne débarque, avec la police pour bloquer les issus. Depuis QUAND un musée avait des hommes sous la main pour ce genre d'opérations ? Non non non, c'était pas prévu au programme ! Et voilà maintenant que toutes les équipes étaient déployées avec des instructions claires de sécurité à appliquer. Respire, respire... C'était pas la première fois que ça t'arrivait mon petit bonhomme, tu gérais ce genre de problématique, t'avais l'habitude. Il fallait vraiment que je me calme mais j'étais encore contrarié par l'abandon de ce maudit fantôme !
Bon.
Je ne bougeais donc pas de ma place, restant tranquillement juché sur ma brandille le temps que le bonhomme ne fasse sa petite vérification. Je retenais mon souffle d'oiseau, gardant les yeux grand ouvert en adoptant une posture totalement immobile. Puis je le vis s'approcher, collant quasiment ses grand yeux globuleux sur mon bec en fronçant du nez. N-n-non, va t'en, éloigne toi. J'espérais vraiment qu'il ne me touche pas, sinon j'allais lui crever un œil même si j'admettais avoir un plumage doux comme la soie. C'était donc tentant, une petite caresse. Mais ce ne fut qu'une fausse alerte que déjà, il s'éloignait pour inspecter le reste de la pièce veillant à ce que tout soit en ordre. Après sa petite balade de santé, le vieux dégainait son micro pour lancer un RAS dans la réserve des objets rares à l'intention de ses autres collègues et fermer la porte derrière lui comme exigé. Je pouvais donc me détendre un peu, regagnant le sol de mes petites pattes pour reprendre forme humaine devant la porte blindée. Allez à nous deux ma petite dame de fer ! Je vais te plier moi tu vas voir ! Je remontais donc mes manches pour prendre le matériel nécessaire dans mon sac.
Il fallait y aller scrupuleusement, n'omettre aucun détails et éviter surtout de déclencher l'alarme. Un jeu d'enfants hein ? A vrai dire, je transpirais assez pour sentir la sueur glisser dans ma nuque même si je m'étais entraîné. Cette porte avait un accès numérique et derrière, un code mécanique se logeait. Je sortais les documents pris dans la salle de sécurité où j'avais annoncé la pose de la bombe. Si quelqu'un m'avait coupé dans ma recherche sur l'ordinateur central, j'avais encore eu le temps de me saisir des plans et des accès. D'ailleurs, quelque chose me disait que cette femme de toute à l'heure en était la cause. CHEH. Mon doigt parcourait les lignes de tous ces papiers jusqu'à ce que je tapote l'objet de mon intérêt.
-Ouais, ouais, ouais.
Une fois tout en tête, je me lançais. C'était aussi excitant qu'angoissant, un mélange de sensations très singulières que j'épousais à chaque fois que je partais en mission. C'était autant agréable que désagréable, un cocktail vraiment particulier. Je sortais donc un laser que j'allumais pour scinder le boîtier qui abritait l'électronique du code digital et accéder à sa programmation. Puis je me saisissais d'un câble que je branchais sur un petit appareil dédié à cette manipulation pour le relier sur un autre fil afin d'effectuer une boucle dans le circuit de la sécurité. Je lançais les commandes du théorème déjà programmé de ce jouet très technique alors qu'une ribambelle de chiffres défilaient pour trouver la combinaison parfaite sensée m'ouvrir la voie.
-Allez, allez... murmurais-je en serrant les dents, tu peux le faire.
En moyenne, cela durait trois minutes mais le temps me paraissait long, très long, trop long ! Puis tout à coup, une lumière verte apparut et soudainement, les vérins lâchèrent leurs crocs pour laisser la porte s'entrouvrir. J'allumais ensuite ma montre pour lancer le décompte à ce feu vert, récupérais le matériel pour remettre tous les câbles en place sur une durée de dix secondes et me glissais dans l'étroite entrée à disposition pour rencontrer l'autre obstacle. Le code mécanique. A la manière d'un écolier qui aligne les chiffres sur son cadenas de vestiaire, je faisais naître le code sous mes doigts et un bruit que j'affectionnais particulièrement se fit entendre. Je tirais ensuite sur la porte pour me faufiler dans le sanctuaire. Pas de capteurs infrarouges ni même de lasers à l'américaine, c'était parfait pour moi, moins pour eux par contre. Puis ce fut à cet instant que je la vis, cette relique trônant au milieu de cette salle matelassée et immaculée d'un blanc si pur qu'il tapait dans l'oeil. Je clignais des yeux à la vue de ce joyau avant de secouer la tête. Je regardais ma montre, il me restait très exactement quinze secondes. Je m'en emparais donc rapidement puis en toute hâte, je refermais absolument tout derrière moi -protocole de sécurité oblige, elle avait dit la dame- comme si je n'étais jamais venu par là. Je me précipitais ensuite vers la grille qui me donnerait l'accès à l'extérieur de cette salle. J'effectuais les mêmes démarches avec le décodeur, comme sur la porte blindée mais à mon grand étonnement, rien ne se passait. A chaque signal vert alors que j'allais pour l'ouvrir, le code se modifiait instantanément et me bloquait à nouveau le passage.
-Kuso !
Quelqu'un avait les commandes ici. Je ne savais pas qui mais cette personne avait fini par se rendre compte que j'étais là et les renforts ne tarderaient pas à arriver avec la police. Je jurais en me rétractant dans la pièce à la recherche d'une issue mais cette salle était complètement fermée. Je hâtais ma démarche vers la pièce du surveillant chargé de veiller sur ces trésors mais je ne vis que des boîtes en carton avec des morceaux de pizzas. Mais j'avais vu à nouveau sur les caméras environnantes. Je n'avais qu'une solution à vrai dire:il fallait que quelqu'un ouvre à ma place. Finalement, une idée me venait. J'enclenchais donc à nouveau le micro, empruntant la voix guillerette d'une petite fille.
-Un deux, un deux ! Helloooo ! C'est encore moi. C'est le marchand de poisson ! Je suis vraiment embêté, quelqu'un ici ne semble pas vouloir que je sorte, emoji qui pleure. Ce n'est pas très gentil de sa part, émoji en colère. En tout cas, je suis actuellement bloqué dans la salle des objets rares. Est-ce que quelqu'un pourrait venir m'ouvrir ? Ce serait formidable ! Xoxo !
Puis je revenais vers la grille, reprenant ma forme animale d'oiseau de mauvaise augure pour me planquer dans la pénombre. Dès qu'un des gardes passera cette foutue porte, je prendrais mon envol au nez et à la barbe de ces vilains !
Bon.
Je ne bougeais donc pas de ma place, restant tranquillement juché sur ma brandille le temps que le bonhomme ne fasse sa petite vérification. Je retenais mon souffle d'oiseau, gardant les yeux grand ouvert en adoptant une posture totalement immobile. Puis je le vis s'approcher, collant quasiment ses grand yeux globuleux sur mon bec en fronçant du nez. N-n-non, va t'en, éloigne toi. J'espérais vraiment qu'il ne me touche pas, sinon j'allais lui crever un œil même si j'admettais avoir un plumage doux comme la soie. C'était donc tentant, une petite caresse. Mais ce ne fut qu'une fausse alerte que déjà, il s'éloignait pour inspecter le reste de la pièce veillant à ce que tout soit en ordre. Après sa petite balade de santé, le vieux dégainait son micro pour lancer un RAS dans la réserve des objets rares à l'intention de ses autres collègues et fermer la porte derrière lui comme exigé. Je pouvais donc me détendre un peu, regagnant le sol de mes petites pattes pour reprendre forme humaine devant la porte blindée. Allez à nous deux ma petite dame de fer ! Je vais te plier moi tu vas voir ! Je remontais donc mes manches pour prendre le matériel nécessaire dans mon sac.
Il fallait y aller scrupuleusement, n'omettre aucun détails et éviter surtout de déclencher l'alarme. Un jeu d'enfants hein ? A vrai dire, je transpirais assez pour sentir la sueur glisser dans ma nuque même si je m'étais entraîné. Cette porte avait un accès numérique et derrière, un code mécanique se logeait. Je sortais les documents pris dans la salle de sécurité où j'avais annoncé la pose de la bombe. Si quelqu'un m'avait coupé dans ma recherche sur l'ordinateur central, j'avais encore eu le temps de me saisir des plans et des accès. D'ailleurs, quelque chose me disait que cette femme de toute à l'heure en était la cause. CHEH. Mon doigt parcourait les lignes de tous ces papiers jusqu'à ce que je tapote l'objet de mon intérêt.
-Ouais, ouais, ouais.
Une fois tout en tête, je me lançais. C'était aussi excitant qu'angoissant, un mélange de sensations très singulières que j'épousais à chaque fois que je partais en mission. C'était autant agréable que désagréable, un cocktail vraiment particulier. Je sortais donc un laser que j'allumais pour scinder le boîtier qui abritait l'électronique du code digital et accéder à sa programmation. Puis je me saisissais d'un câble que je branchais sur un petit appareil dédié à cette manipulation pour le relier sur un autre fil afin d'effectuer une boucle dans le circuit de la sécurité. Je lançais les commandes du théorème déjà programmé de ce jouet très technique alors qu'une ribambelle de chiffres défilaient pour trouver la combinaison parfaite sensée m'ouvrir la voie.
-Allez, allez... murmurais-je en serrant les dents, tu peux le faire.
En moyenne, cela durait trois minutes mais le temps me paraissait long, très long, trop long ! Puis tout à coup, une lumière verte apparut et soudainement, les vérins lâchèrent leurs crocs pour laisser la porte s'entrouvrir. J'allumais ensuite ma montre pour lancer le décompte à ce feu vert, récupérais le matériel pour remettre tous les câbles en place sur une durée de dix secondes et me glissais dans l'étroite entrée à disposition pour rencontrer l'autre obstacle. Le code mécanique. A la manière d'un écolier qui aligne les chiffres sur son cadenas de vestiaire, je faisais naître le code sous mes doigts et un bruit que j'affectionnais particulièrement se fit entendre. Je tirais ensuite sur la porte pour me faufiler dans le sanctuaire. Pas de capteurs infrarouges ni même de lasers à l'américaine, c'était parfait pour moi, moins pour eux par contre. Puis ce fut à cet instant que je la vis, cette relique trônant au milieu de cette salle matelassée et immaculée d'un blanc si pur qu'il tapait dans l'oeil. Je clignais des yeux à la vue de ce joyau avant de secouer la tête. Je regardais ma montre, il me restait très exactement quinze secondes. Je m'en emparais donc rapidement puis en toute hâte, je refermais absolument tout derrière moi -protocole de sécurité oblige, elle avait dit la dame- comme si je n'étais jamais venu par là. Je me précipitais ensuite vers la grille qui me donnerait l'accès à l'extérieur de cette salle. J'effectuais les mêmes démarches avec le décodeur, comme sur la porte blindée mais à mon grand étonnement, rien ne se passait. A chaque signal vert alors que j'allais pour l'ouvrir, le code se modifiait instantanément et me bloquait à nouveau le passage.
-Kuso !
Quelqu'un avait les commandes ici. Je ne savais pas qui mais cette personne avait fini par se rendre compte que j'étais là et les renforts ne tarderaient pas à arriver avec la police. Je jurais en me rétractant dans la pièce à la recherche d'une issue mais cette salle était complètement fermée. Je hâtais ma démarche vers la pièce du surveillant chargé de veiller sur ces trésors mais je ne vis que des boîtes en carton avec des morceaux de pizzas. Mais j'avais vu à nouveau sur les caméras environnantes. Je n'avais qu'une solution à vrai dire:il fallait que quelqu'un ouvre à ma place. Finalement, une idée me venait. J'enclenchais donc à nouveau le micro, empruntant la voix guillerette d'une petite fille.
-Un deux, un deux ! Helloooo ! C'est encore moi. C'est le marchand de poisson ! Je suis vraiment embêté, quelqu'un ici ne semble pas vouloir que je sorte, emoji qui pleure. Ce n'est pas très gentil de sa part, émoji en colère. En tout cas, je suis actuellement bloqué dans la salle des objets rares. Est-ce que quelqu'un pourrait venir m'ouvrir ? Ce serait formidable ! Xoxo !
Puis je revenais vers la grille, reprenant ma forme animale d'oiseau de mauvaise augure pour me planquer dans la pénombre. Dès qu'un des gardes passera cette foutue porte, je prendrais mon envol au nez et à la barbe de ces vilains !
Invité
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Mar 13 Juil 2021 - 13:56
Ce voleur est fait comme un rat, j’ai refermé le piège sur lui. Il n’a plus aucune chance de pouvoir sortir d’ici et je vais bien finir par le trouver maintenant. Je n’aurai pas à expliquer comment un vol dans un lieu surveiller et protégé par le Temps a bien pu avoir lieu alors que je suis sur le coup. En même temps si cela devait arriver je serais vraiment mal barrée. J’aurais dû prévenir que j’étais au courant qu’un coup se préparait pour voler un objet magique.
Je passe de caméra en caméra grâce à mon interface visuelle et je n’ai aucun problème pour voir où tous les agents de sécurité se trouvent à chaque instant. J’ai même une vue dégagée des alentours avec les caméras de circulation que j’ai également piraté. Je suis tout juste à portée pour pouvoir forcer le signal avec ma magie malgré la situation, mais ce n’est pas un problème. La police arrive et est en train de boucler tout le périmètre pour être sûr que rien ne sorte. Pourtant, je n’arrive pas à mettre la main sur ce petit voleur.
Hideko ▬ Alors où tu te caches... Dis-je en me mordant le pouce et le cherchant des yeux.Il n’a pas pu disparaître c’est impossible ! Il doit bien se cacher quelque part. Peut-être dans les aérations, ce n’est pas impossible. Avec mes mains, je me saisis de ces écrans flottant devant moi pour isoler ceux des caméras où l’on peut apercevoir des bouches d’aérations dans le musée et en extérieur, quelque fois qu’il apparaisse en sortant de l’une d’elle.
Je décide de me pencher alors sur le système pour voir un peu comme ce petit gars a pu pirater le musée. Je passe une à une chaque ligne de code en allant très vite pour comprendre un peu sa manière de faire. De toute évidence, ce n’est pas un expert dans l’attaque numérique, mais il se défend. Le musée n’est pas des mieux équipé en matière de cybersécurité malheureusement et il faudrait que je propose mes services pour corriger tout ça. Un hackeur de troisième catégorie ou même un amateur peut arriver à entrer, la preuve. Je ne sais si c’est de lui ce code, ou s'il l’a fait faire par un tiers, mais il a un style bien à lui comme tout hacker. Je pourrais retrouver ce code en le traquant sur la toile si...
Je suis coupée dans ma réflexion alors que soudainement il s’adresse via les haut-parleurs. Son programme était encore actif sur le système. Ni une ni deux je me décide à l’expulser d’ici avant de reboot le programme et avoir le contrôle total.
Hideko ▬ Impossible ! Il ne peut pas être là-bas ! L’autre vioc aurait dû le voir putain !Tant pis pour la sorcellerie, mais là c’est un cas de force majeure. Il va falloir deux minutes pour que les gardiens les plus proches n’arrivent dans la salle. J’ai largement le temps d’y aller, le choper et l’emmener dans une fosse à requin au milieu de l’océan !
Je me téléporte dans la salle où sont entreposer les pièces originales les plus précieuses en un claquement de doigts. Dès que j’arrive je regarde dans tous les sens, mais il n’y a personne.
Hideko ▬ Putain de merde mais il est où ?!D’un mouvement de la main je lance à nouveau un sort pour me connecter à la porte et au système de sécurité qui va avec, mais non rien n’y fait elle n’a pas été ouverte entre temps ni même depuis que le vieux est parti.
Hideko ▬ Non il n’est pas parti par là.Je me tourne vers la porte de sécurité et du même geste de la main je comprends que le code a été forcé momentanément.
Hideko ▬ Merde, il a réussi à forcer le coffre l’enfoiré.Je cherche encore, mais non il n’est nulle part. Ce n’est vraiment pas bon ! J’entends les gardes qui arrivent et sont en train d’ouvrir la porte. Je n’ai pas le choix, je dois me téléporter à nouveau.
Enfer ! C’est impossible ! Il aurait dû être là et il n’y a rien du tout. Rien !
Etilya sur DK RPG
Invité
Invité
Ven 23 Juil 2021 - 14:17
Une nuit au musée, le reboot
Autant dire, j'avais failli frôler la crise cardiaque, d'autant plus que le cœur d'un oiseau était quand même plus fragile que celui d'un humain. Mais qu'est ce que c'était encore que ça ?! Je tressautais sur mes petites pattes à cette apparition si soudaine et si imprévisible. Une jeune femme venait de faire irruption dans la salle des archives, sortant de nulle part comme un beau diable entourée d'une sorte de halo verdâtre. Elle avait l'air très contrarié cette demoiselle et mon petit doigt me disait que j'étais sûrement la cause de son énervement... Oh mais... Attendez voir. Ce ne serait pas elle qui essaierait de me mettre des bâtons dans les roues depuis toute à l'heure ? De mon œil de corbeau, toujours dissimulé dans un coin d'ombre où je ne risquais pas de me faire repérer, je l'observais arpenter la pièce dans les moindres recoins alors qu'elle se mettait à pester. Aucun doute, cette femme me cherchait, j'en avais la certitude tandis qu'elle me traitait d'enfoiré. OH. Doucement ! Je ne fais que mon travail moi ! Mais franchement... Comment avait-elle fait pour débarquer de cette façon ? C'était louche et clairement, ça me mettait aussi la pression. Quelqu'un d'une nature surnaturelle était sur mon dos, y'avait de quoi ne pas être tout à fait serein. Mais la question était, pourquoi ? Pourquoi une personne comme elle se donnait tant de mal pour la sécurité de ce musée ? Pour ma part, ça ne pouvait signifier que deux choses : soit elle adorait l'art du fond de ses tripes soit... Il y avait de ces trésors enfouis dans les entrailles de cet endroit que personne ne pourrait venir soupçonner si ce n'était... L'homme à qui je devais refourguer ce sceptre. Intéressant, intéressant. Et flippant aussi. J'avais l'impression de ne pas trop savoir où je mettais les pieds tout à coup. D'habitude, je me contentais d'accéder aux demandes de mes clients sans poser de question mais cette intervention si courroucée ne présageait rien de bon. Et puis... Cette femme ne me disait rien. Qui était-elle, au juste ? Elle devait forcément travailler pour quelqu'un, elle aussi.
Aaaah mon dieu, tout s'emmêlait dans mon petit cerveau. Kaïto, tu dois te concentrer ! La liberté n'est qu'à une plume ! J'entendais déjà les pas des gardiens se diriger par ici tandis que je poursuivais de scruter la demoiselle très mécontente. A son expression, je devinais qu'il ne serait pas bon non plus pour elle de se faire repérer aussi alors tout à coup, une volute de vert apparaissait pour la dévorer et la faire disparaître. Wouaw. Dites donc mais c'est Harry Potter ici ! Entre le fantôme et elle... Bienvenue à Poudlard ! Hum hum, bon, trêve de plaisanteries. Des faisceaux lumineux se braquèrent très vite sur la porte qui me faisait obstacle quand l'un des gars s'affairaient à l'ouvrir enfin en laissant passer les autres devant lui. Vif comme l'éclair, mes ailes me donnaient une impulsion pour me tirer de ce traquenard afin de me faufiler de l'autre côté. Mais ce n'était pas encore fini, il fallait impérativement que je me trouve une fenêtre ouverte. Je déambulais donc à vive allure dans les couloirs, prenant soin de longer le plafond haut pour éviter de me faire voir malgré ma forme d'oiseau. Nous ne savions jamais, après tout une dame très en colère, capable de se volatiliser et d'apparaître n'importe où rôdait dans le coin. Il fallait que je retrouve mon point d'entrée. Je piquais donc un sprint céleste, prenant le virage jusqu'à l'étage pour revenir à la pièce par laquelle j'étais entré. Arrivé à destination, je me posais sur le rebord de la fenêtre, regardant l'extérieur de mes billes noires. Nous avions convenu d'une heure, à un point précis, il faudrait juste que le bonhomme s'arrange pour éviter les flics qui arriveront à leur tour également. Toutefois, je ne me fis pas prier pour quitter cet endroit et atterrir plus loin, à quelques rues sur un balcon histoire de mettre de la distance avant de redevenir notablement humain. Je dégainais ensuite mon téléphone pour faire savoir ma position à mon client VIP.
Maintenant, il fallait simplement déposer le colis , saisir l'argent, avant de prendre mon envol.
Aaaah mon dieu, tout s'emmêlait dans mon petit cerveau. Kaïto, tu dois te concentrer ! La liberté n'est qu'à une plume ! J'entendais déjà les pas des gardiens se diriger par ici tandis que je poursuivais de scruter la demoiselle très mécontente. A son expression, je devinais qu'il ne serait pas bon non plus pour elle de se faire repérer aussi alors tout à coup, une volute de vert apparaissait pour la dévorer et la faire disparaître. Wouaw. Dites donc mais c'est Harry Potter ici ! Entre le fantôme et elle... Bienvenue à Poudlard ! Hum hum, bon, trêve de plaisanteries. Des faisceaux lumineux se braquèrent très vite sur la porte qui me faisait obstacle quand l'un des gars s'affairaient à l'ouvrir enfin en laissant passer les autres devant lui. Vif comme l'éclair, mes ailes me donnaient une impulsion pour me tirer de ce traquenard afin de me faufiler de l'autre côté. Mais ce n'était pas encore fini, il fallait impérativement que je me trouve une fenêtre ouverte. Je déambulais donc à vive allure dans les couloirs, prenant soin de longer le plafond haut pour éviter de me faire voir malgré ma forme d'oiseau. Nous ne savions jamais, après tout une dame très en colère, capable de se volatiliser et d'apparaître n'importe où rôdait dans le coin. Il fallait que je retrouve mon point d'entrée. Je piquais donc un sprint céleste, prenant le virage jusqu'à l'étage pour revenir à la pièce par laquelle j'étais entré. Arrivé à destination, je me posais sur le rebord de la fenêtre, regardant l'extérieur de mes billes noires. Nous avions convenu d'une heure, à un point précis, il faudrait juste que le bonhomme s'arrange pour éviter les flics qui arriveront à leur tour également. Toutefois, je ne me fis pas prier pour quitter cet endroit et atterrir plus loin, à quelques rues sur un balcon histoire de mettre de la distance avant de redevenir notablement humain. Je dégainais ensuite mon téléphone pour faire savoir ma position à mon client VIP.
Maintenant, il fallait simplement déposer le colis , saisir l'argent, avant de prendre mon envol.
Codage par Libella sur Graphiorum
Invité
Invité
Dim 25 Juil 2021 - 19:28
Je n’arrive pas à croire ce à quoi j’assite presque totalement impuissante. Ce petit enfoiré a réussi à me passer sous le nez et à commettre son larcin en s’en tirant. Comment est-ce qu’il a fait pour réussir son coup c’est totalement impossible. Il est impensable qu’un simple voleur ait pu réussi un tel coup de maître alors que j'étais sur le réseau de sécurité pour pouvoir lui nuire. Nan, il n’a pas pu réussir ce coup-là, c’est impensable. Il y a un truc derrière tout ça j’en suis persuadée. Mais il ne s’en sortira pas aussi facilement, j’en fais la promesse.
J’ai tout ce qu’il me faut pour le trouver ce petit merdeux après tout. J'ai le code qu’il a utilisé pour pénétrer à l’intérieur du système de sécurité du musée. Avec ça je peux retrouver sa trace, mais il y a aussi l’infime trace retrouvée dans le coffre de sécurité, voilà une chose supplémentaire qui me servira pour le retrouver. Il ne perd rien pour attendre celui-là, je vais le traquer, je vais le trouver et je vais le faire cracher ce qu’il a volé !
Je ne demande pas mon reste, je m’en vais moi également il ne ferait pas bon d'être découverte par les forces de police dans le coin. En un petit claquement de doigt je me retrouve dans ma demeure, mais je ne vais pas le laisser mourir d’ennuis, ça non. Je me mets à peine arrivée dans mon bunker secret auquel j’accorde une connexion et c’est à la puissance de ma machine de compétition que je vais me mettre à traquer la moindre trace numérique similaire à celle que j’ai recueilli ce soir !
C’est en tout cas le cheminement intérieur qu’a notre chère sorcière alors qu’elle se met déjà sur la trace de ce cher Renard voleur qui ce soir marque le premier point de leur combat les opposant. De son côté, il ne tarde pas à obtenir une réponse de la part de son mystérieux commanditaire ayant bien entendu reçu son invitation à se retrouver au plus vite.
Une étrange voiture aux allures de véhicule militaire banalisé en raison d’évidente présence de vitre teintées renforcées. Il n’y a pas de marque visible sur ladite voiture, mais une sorte d’estampe en latin s’y trouve “Deus Vult”. Impossible de voir à l’intérieur de la voiture, mais une vitre à l’arrière se baisse avant que de jaillisse une bourse en toile fermée par un cordon. A l’intérieur se trouvent des pierres précieuses, bien moins encombrantes qu’une valise pleine de billet et couvrant pour l’œil exercé du voleur largement sa besogne du soir. La fenêtre se referme aussi sec sans laisser l'ombre d'une chance à notre renard de voir à l'intérieur. Le coffre s’ouvre sans un bruit pour que la marchandise y soit déposée avant que la voiture ne redémarre une fois cela fait.
Qui se trouvait à l’intérieur ? C’est une question que se pose surement notre renard, mais à laquelle il devra réfléchir avec le peu que le commanditaire lui a laissé comme informations.
J’ai tout ce qu’il me faut pour le trouver ce petit merdeux après tout. J'ai le code qu’il a utilisé pour pénétrer à l’intérieur du système de sécurité du musée. Avec ça je peux retrouver sa trace, mais il y a aussi l’infime trace retrouvée dans le coffre de sécurité, voilà une chose supplémentaire qui me servira pour le retrouver. Il ne perd rien pour attendre celui-là, je vais le traquer, je vais le trouver et je vais le faire cracher ce qu’il a volé !
Je ne demande pas mon reste, je m’en vais moi également il ne ferait pas bon d'être découverte par les forces de police dans le coin. En un petit claquement de doigt je me retrouve dans ma demeure, mais je ne vais pas le laisser mourir d’ennuis, ça non. Je me mets à peine arrivée dans mon bunker secret auquel j’accorde une connexion et c’est à la puissance de ma machine de compétition que je vais me mettre à traquer la moindre trace numérique similaire à celle que j’ai recueilli ce soir !
C’est en tout cas le cheminement intérieur qu’a notre chère sorcière alors qu’elle se met déjà sur la trace de ce cher Renard voleur qui ce soir marque le premier point de leur combat les opposant. De son côté, il ne tarde pas à obtenir une réponse de la part de son mystérieux commanditaire ayant bien entendu reçu son invitation à se retrouver au plus vite.
Une étrange voiture aux allures de véhicule militaire banalisé en raison d’évidente présence de vitre teintées renforcées. Il n’y a pas de marque visible sur ladite voiture, mais une sorte d’estampe en latin s’y trouve “Deus Vult”. Impossible de voir à l’intérieur de la voiture, mais une vitre à l’arrière se baisse avant que de jaillisse une bourse en toile fermée par un cordon. A l’intérieur se trouvent des pierres précieuses, bien moins encombrantes qu’une valise pleine de billet et couvrant pour l’œil exercé du voleur largement sa besogne du soir. La fenêtre se referme aussi sec sans laisser l'ombre d'une chance à notre renard de voir à l'intérieur. Le coffre s’ouvre sans un bruit pour que la marchandise y soit déposée avant que la voiture ne redémarre une fois cela fait.
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