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Mer 7 Avr 2021 - 10:47
Je me sens défaillir depuis que je suis prise entre ses griffes et son glaive, mais quel somptueux et terrible délice de s’abandonner totalement à une autre personne. Quand on est dans le contrôle permanent on est d’autant plus réceptif à ce genre d’attentions. Vous seriez surpris du nombre de PDG d’entreprise ayant un goût prononcé pour ce genre de sévices humiliants infligés par une maîtresse les emmenant au bout de leur désir. Avec Riven, c’était pareil pour moi. Le contrôle de sa vie lui échappe et dans un geste aussi égoïste que dévot, je m’offre entièrement à elle pour qu’elle le récupère. Mais je ne serai jamais sa petite chatte docile, ça non. Qu’elle me prenne furieusement ou non, je résisterai encore et toujours tout en m’abandonnant totalement et sans restriction, dans un paradoxe hors de toute commune mesure. Impossible pour ceux n’ayant pas vécu un partage de souvenir avec les émotions et sensations, une véritable fusion d’un instant sacrilège.
Je la guide sur le sentier de la déraison sur lequel elle me jette et me pousse depuis que nous avons commencé, comme si j’étais au bout de sa laisse à la tirer également jusqu’à moi pour qu’elle ne soit pas loin. Sa réaction est sans appel et elle me plaque par la nuque, joue contre les draps imbibés de sueur. La morsure douce acide des flammes de sa passion vient meurtrir ma chair. Un cri de douleur mélangé à un instance plaisir force mes lèvres sous son assaut. Elle tire ma tignasse en arrière me forçant à me cabrer comme une jument aux ordres avant de venir placer à nouveau dans ce détroit ardent l’objet de sa fureur. Sa frénésie inhumaine me prend aux tripes et je ne peux qu’être à l’écoute de son envie, de sa pulsion qui m’assaille et me lime les parois de ma caverne déjà mise sévèrement à l’épreuve par son autorité turgescente. Je me laisse fondre et consumer par sa flamme et sa fougue, libérant les eaux de mon supplice.
Je ne peux pas résister alors que je suis tenu par ma propre chevelure à porter attention d’une main libre sur le bouton de ma fleur devenu une rose du désert brulant. Tandis que de l’autre je venais me caresser les seins, mais surtout tordre avec vigueur leur saillante zone érogène. Son emprise sur moi étant totale, mon regard basculant vers le haut je peux nous voir dans son miroir. Je la vois se toucher et se malaxer les seins en montant en pression encore et toujours plus à mesure qu’elle pilonne ma position de son artillerie. La violence de ses coups n’a d’égal que la passion qu’elle ressent dans l’instant.
Es-tu prisonnière de ta fièvre Riven ? Veux-tu que je t’aide à t’en libérer totalement ? Veux-tu enfin vivre pleinement cet instant avec moi ? Telles étaient les questions qui montaient dans mon esprit alors que mes cris se font plus intenses, rauques et profonds. Elle vient à moi en enfonçant rageusement un de ses doigts, long, fin et délicat dans ma bouche pour nous unir une ultime fois, saturée que je suis de sa présence dans l’une ou l’autre de mes cavernes maintenant annexées à sa gloire. Je ne peux pas résister à l’étirer dans les tréfonds de son âme et de la mienne. Alors que je suçote son doigt avec passion et que je joue de ma langue comme je le ferai pour elle ou sur une hampe j’unis nos esprits dans une boucle de création et de partage lui envoyant mon désir et mon plaisir, réceptionnant le sien et ainsi de suite dans formidable et outrageux crescendo de sensations et pulsions.
Nous atteignons le pinacle de notre passion, le paroxysme de nos sensations ensemble dans une saccade de mouvements ineptes et incompréhensible de cette chimère que forment nos corps unifiés. J’en ai le souffle coupé, mais je ne gêne pas pour afficher un sourire mutin en direction de son regard dans le miroir. Nous n’en n’avons pas fini avec cette nuit Riven, n’est-ce pas ?
Je la guide sur le sentier de la déraison sur lequel elle me jette et me pousse depuis que nous avons commencé, comme si j’étais au bout de sa laisse à la tirer également jusqu’à moi pour qu’elle ne soit pas loin. Sa réaction est sans appel et elle me plaque par la nuque, joue contre les draps imbibés de sueur. La morsure douce acide des flammes de sa passion vient meurtrir ma chair. Un cri de douleur mélangé à un instance plaisir force mes lèvres sous son assaut. Elle tire ma tignasse en arrière me forçant à me cabrer comme une jument aux ordres avant de venir placer à nouveau dans ce détroit ardent l’objet de sa fureur. Sa frénésie inhumaine me prend aux tripes et je ne peux qu’être à l’écoute de son envie, de sa pulsion qui m’assaille et me lime les parois de ma caverne déjà mise sévèrement à l’épreuve par son autorité turgescente. Je me laisse fondre et consumer par sa flamme et sa fougue, libérant les eaux de mon supplice.
Je ne peux pas résister alors que je suis tenu par ma propre chevelure à porter attention d’une main libre sur le bouton de ma fleur devenu une rose du désert brulant. Tandis que de l’autre je venais me caresser les seins, mais surtout tordre avec vigueur leur saillante zone érogène. Son emprise sur moi étant totale, mon regard basculant vers le haut je peux nous voir dans son miroir. Je la vois se toucher et se malaxer les seins en montant en pression encore et toujours plus à mesure qu’elle pilonne ma position de son artillerie. La violence de ses coups n’a d’égal que la passion qu’elle ressent dans l’instant.
Es-tu prisonnière de ta fièvre Riven ? Veux-tu que je t’aide à t’en libérer totalement ? Veux-tu enfin vivre pleinement cet instant avec moi ? Telles étaient les questions qui montaient dans mon esprit alors que mes cris se font plus intenses, rauques et profonds. Elle vient à moi en enfonçant rageusement un de ses doigts, long, fin et délicat dans ma bouche pour nous unir une ultime fois, saturée que je suis de sa présence dans l’une ou l’autre de mes cavernes maintenant annexées à sa gloire. Je ne peux pas résister à l’étirer dans les tréfonds de son âme et de la mienne. Alors que je suçote son doigt avec passion et que je joue de ma langue comme je le ferai pour elle ou sur une hampe j’unis nos esprits dans une boucle de création et de partage lui envoyant mon désir et mon plaisir, réceptionnant le sien et ainsi de suite dans formidable et outrageux crescendo de sensations et pulsions.
Nous atteignons le pinacle de notre passion, le paroxysme de nos sensations ensemble dans une saccade de mouvements ineptes et incompréhensible de cette chimère que forment nos corps unifiés. J’en ai le souffle coupé, mais je ne gêne pas pour afficher un sourire mutin en direction de son regard dans le miroir. Nous n’en n’avons pas fini avec cette nuit Riven, n’est-ce pas ?
Etilya sur DK RPG
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Dim 18 Avr 2021 - 17:36
La contrebalance que m'envoyait Irina me saisit à point comme une brûlure profonde propulsée par un fer ébouillanté sur ma chair. Les contractions qui lui mordaient le ventre s'emparèrent de moi à mon tour, me cinglant sur place tel un fouet ardent qui fit jaillir le torrent d'un plaisir tout aussi douloureux que soulageant. Il me donnait l'effet d'un souffle coupé par une asphyxie désarmante qui amplifiait la sensation de m'évanouir dans cet instant d'ardeur profond. Le sang battait à mes tempes aussi fort que cet orgasme partagé qui nous unissait sur cette même tonalité qu'il nous éclatait dans notre supplice respectif. Je restais un temps tapissée sur son dos en remarquant du coin de l'oeil son regard aussi satisfait qu'espiègle. Mes paupières se plissèrent légèrement, inquisitrices, mais dont le reflet notait aussi une nuance de tendresse. Une sensation ironique sur une saveur douce, épicée et acide.
Je me décidais ensuite à quitter la chaleur de nos corps entremêlés en la libérant cette fois-ci, de la menotte qui l'enchaînait pour laisser plus d'envergure à nos futurs ébats. Toutefois, je m'attachais à un autre désir que j'appréciais particulièrement, bien que je devais faire avec les moyens du bord. Des moyens qui ne manquaient, ceci dit, pas du tout alors que je me dirigeais vers mon armoire aux fantaisies en la laissant sur mes draps. Je voulais tester également l'étendue de son don qui se chargeait de faire naviguer les sensations entre deux nos enveloppes corporelles. Pour cette mission, j'arborais donc un autre jouet au bout bombé qui en l'actionnant se mettait à frétiller en vibrant. Je lui en jetais un autre nonchalamment de ce même acabit pour lui mettre à disposition. Elle en fera bien ce qu'elle voudra, selon ses décisions. Je me posais ensuite lascivement sur une chaise, positionnée en face du lit pour qu'Irina m'ait bien en vision. Puis j'écartais les cuisses au degré maximum qui suintait toujours de nos ébullitions sur une expression chaude et sensuelle. Je faisais alors glisser l'engin sur sur mon mont de vénus en poussant un soupir d'extase, moi qui n'avais pas été travaillée depuis le début. J'arrivais à mon propre point d'amorce de frustration que je réglerai à ma manière. J'ondulais donc tel un serpent à ce contact sensoriel qui me fit frissonner en descendant mon bassin sur le bord de mon assise pour couvrir plus de surface. J'effectuais des rotations bien précises pour m'emporter moi-même dans mon excitation qui remontait jusquà ma gorge pour me faire soupirer. Toujours en face de ma compagnie délaissée sur le lit trempé, je m'adonnais à cette session intime en solitaire qui me fit pousser la note. La mer tanguait dans mes entrailles et je faisais danser mes reins sur ces désirs déchaînés. Le navire s'échoua ensuite entre les roches rocailleuses et escarpés de son aventure, s'immisçant ainsi à l'intérieur de mes cuisses que je gardais écartées tout en déchaînait ce tsunami furieux qui s'élançait à mesure du chant de cette sirène qui se propulsa au fond de ma caverne aux trésors. Je venais en rafler tous les joyaux avec un émerveillement qui crépitait à profusion sur les bords de ce mât vibrant et amovible qui léchait les contours de mon intimité sur des petites décharges électriques.
Pour autant, je n'en perdais pas le contact visuel avec mon amante pour qu'elle puisse prendre part à ce spectacle en m'accompagnant en bon public de ces entraves qui se déliaient. Des cris haletant s'arrachaient de ma bouche ouverte vers le ciel alors que je travaillais mes merveilles en m'acharnant contre mes propres cavités houleuses et désireuses de se faire agresser fatalement par ma besogne. J'étirai mon corps qui se tendait sur cette chaise en offrande aux yeux avides de ma chère amie, occupée à se pourlécher elle-même les babines en se massant tout autant les lèvres humides de son bas ventre.
Les bougies tanguaient et s'enflammaient sur la même tendance érotique de nos pulsions du moment.
Je me décidais ensuite à quitter la chaleur de nos corps entremêlés en la libérant cette fois-ci, de la menotte qui l'enchaînait pour laisser plus d'envergure à nos futurs ébats. Toutefois, je m'attachais à un autre désir que j'appréciais particulièrement, bien que je devais faire avec les moyens du bord. Des moyens qui ne manquaient, ceci dit, pas du tout alors que je me dirigeais vers mon armoire aux fantaisies en la laissant sur mes draps. Je voulais tester également l'étendue de son don qui se chargeait de faire naviguer les sensations entre deux nos enveloppes corporelles. Pour cette mission, j'arborais donc un autre jouet au bout bombé qui en l'actionnant se mettait à frétiller en vibrant. Je lui en jetais un autre nonchalamment de ce même acabit pour lui mettre à disposition. Elle en fera bien ce qu'elle voudra, selon ses décisions. Je me posais ensuite lascivement sur une chaise, positionnée en face du lit pour qu'Irina m'ait bien en vision. Puis j'écartais les cuisses au degré maximum qui suintait toujours de nos ébullitions sur une expression chaude et sensuelle. Je faisais alors glisser l'engin sur sur mon mont de vénus en poussant un soupir d'extase, moi qui n'avais pas été travaillée depuis le début. J'arrivais à mon propre point d'amorce de frustration que je réglerai à ma manière. J'ondulais donc tel un serpent à ce contact sensoriel qui me fit frissonner en descendant mon bassin sur le bord de mon assise pour couvrir plus de surface. J'effectuais des rotations bien précises pour m'emporter moi-même dans mon excitation qui remontait jusquà ma gorge pour me faire soupirer. Toujours en face de ma compagnie délaissée sur le lit trempé, je m'adonnais à cette session intime en solitaire qui me fit pousser la note. La mer tanguait dans mes entrailles et je faisais danser mes reins sur ces désirs déchaînés. Le navire s'échoua ensuite entre les roches rocailleuses et escarpés de son aventure, s'immisçant ainsi à l'intérieur de mes cuisses que je gardais écartées tout en déchaînait ce tsunami furieux qui s'élançait à mesure du chant de cette sirène qui se propulsa au fond de ma caverne aux trésors. Je venais en rafler tous les joyaux avec un émerveillement qui crépitait à profusion sur les bords de ce mât vibrant et amovible qui léchait les contours de mon intimité sur des petites décharges électriques.
Pour autant, je n'en perdais pas le contact visuel avec mon amante pour qu'elle puisse prendre part à ce spectacle en m'accompagnant en bon public de ces entraves qui se déliaient. Des cris haletant s'arrachaient de ma bouche ouverte vers le ciel alors que je travaillais mes merveilles en m'acharnant contre mes propres cavités houleuses et désireuses de se faire agresser fatalement par ma besogne. J'étirai mon corps qui se tendait sur cette chaise en offrande aux yeux avides de ma chère amie, occupée à se pourlécher elle-même les babines en se massant tout autant les lèvres humides de son bas ventre.
Les bougies tanguaient et s'enflammaient sur la même tendance érotique de nos pulsions du moment.
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Lun 19 Avr 2021 - 12:32
J’aime la sentir tout contre mon corps, sa poitrine humide et transpirante contre mon dos dans le même état, la pulsation frénétique de son cœur martelant la chair de la cavalcade de notre passion. Je la dévore des yeux alors que son regard se fige dans le mien tandis que nous reprenons nos forces l’une comme l’autre.
Vient le moment où elle commence à nouveau à bouger, mais dans le but de se séparer de moi et de chaleur de nos deux corps unis. Je frémis alors que son outil sort doucement de ma caverne, répandant au passage quelques vagues de mon plaisir offert par ses soins. Elle s’approche de moi et me libère de mon entrave ce qui me permet avant qu’elle ne s’éloigne de lui voler un tendre mais passionné baiser.
Elle se dirige à nouveau vers son armoire aux folies tout en retirant l’objet de mon extase passé. Elle en retire de nouveau ustensile dont un qu’elle me lance sur le lit. Il s’agit là d’un vibromasseur, terriblement puissant dédié au plaisir du mont de Vénus. Elle prend place ensuite sur une chaise devant le lit avant d’adopter une position suggestive. Ecartant les cuisses au maximum de sa souplesse, je peux fois sa fleur gorgée et dégoulinante de nectar s’ouvrir devant mes yeux et me saluer enfin.
J’adopte la même position qu’elle, bien que demeurant sur le lit où elle m’a laissé. Je lui offre une vue aussi imprenable qu’elle sur mes parties intimes avant de me saisir de son outil. Toutefois, au dernier moment, je me décide de ne pas l’utiliser pour l’instant. Je fixe mon regard dans le sien avant de faire briller mes yeux d’un vert vif. Je n’ai pas besoin d’un contact physique pour utiliser mes pouvoirs sur la mémoire immédiate. Cela est plus simple avec, mais pas indispensable. Puisque j’ai triché avec elle et que je lui ai offert un orgasme en lui offrant mon plaisir, cette fois, je vais sampler le sien. Je peux sentir cette mer agitée en elle, dans ses entrailles et j’ai le même réflexe qu’elle de faire danser mes reins sur le désir que la houle me procure. Mon corps se fait son écho, décryptant à merveille les bienfaits de sa main experte dotée d’un ustensile à la mesure de ses espérances.
Je me tiens les cuisses avec les mains pour lui offrir toute la visibilité qu’elle peut vouloir de ma fleur tandis que je me laisse aller à de terribles gémissement, échos des siens. Aimes-tu ce que tu vois Riven ? Apprécies-tu que le plaisir que tu t’offres égoïstement soit source de ma propre souffrance ? Je viens enfin flatter mes lèvres avec le jouet que tu m’as laissé mon amie, offrant alors un beau spectacle je l’espère.
L’ambiance me prend rapidement aux tripes et je ne peux plus attendre. Je quitte ma position pour rejoindre mon amie. Mes mains viennent glisser sur ses pieds, puis ses mollets avant d’arriver au creux de ses cuisses alors que je m’agenouille devant la chaise. Je parcours sa peau bouillante avec ma bouche, flattant ses formes de mes lèvres avant de me retrouver devant sa fleur aux pétales humides et gonflés. Je viens avec audace butiner cette dernière telle un oiseau raffolant du nectar avec ma langue venant darder ses profondeurs. Sa poitrine facilement à portée de main avec sa position, je ne me fais pas prier pour laisser glisser les miennes sur son corps, passant de ses jambes à son ventre, flattant ensuite ces montagnes généreuses. Mes doigts se fige sur ces zones érogènes saillantes quand son plaisir est le plus fort. Je la laisse maîtresse de sa vibrante activité, venant en supplément pour saturer ses sensations avec ce que je peux lui offrir, prête à recueillir son extase sirupeuse. J’attends ton tsunami de plaisir avec gourmandise et impatience, persuadée qu’une fois encore tu vas reprendre le contrôle de la situation en agrippant ma crinière pour me bloquer dans mon action entre tes cuisses.
Adonnons-nous à une luxure sans fin...
Vient le moment où elle commence à nouveau à bouger, mais dans le but de se séparer de moi et de chaleur de nos deux corps unis. Je frémis alors que son outil sort doucement de ma caverne, répandant au passage quelques vagues de mon plaisir offert par ses soins. Elle s’approche de moi et me libère de mon entrave ce qui me permet avant qu’elle ne s’éloigne de lui voler un tendre mais passionné baiser.
Elle se dirige à nouveau vers son armoire aux folies tout en retirant l’objet de mon extase passé. Elle en retire de nouveau ustensile dont un qu’elle me lance sur le lit. Il s’agit là d’un vibromasseur, terriblement puissant dédié au plaisir du mont de Vénus. Elle prend place ensuite sur une chaise devant le lit avant d’adopter une position suggestive. Ecartant les cuisses au maximum de sa souplesse, je peux fois sa fleur gorgée et dégoulinante de nectar s’ouvrir devant mes yeux et me saluer enfin.
J’adopte la même position qu’elle, bien que demeurant sur le lit où elle m’a laissé. Je lui offre une vue aussi imprenable qu’elle sur mes parties intimes avant de me saisir de son outil. Toutefois, au dernier moment, je me décide de ne pas l’utiliser pour l’instant. Je fixe mon regard dans le sien avant de faire briller mes yeux d’un vert vif. Je n’ai pas besoin d’un contact physique pour utiliser mes pouvoirs sur la mémoire immédiate. Cela est plus simple avec, mais pas indispensable. Puisque j’ai triché avec elle et que je lui ai offert un orgasme en lui offrant mon plaisir, cette fois, je vais sampler le sien. Je peux sentir cette mer agitée en elle, dans ses entrailles et j’ai le même réflexe qu’elle de faire danser mes reins sur le désir que la houle me procure. Mon corps se fait son écho, décryptant à merveille les bienfaits de sa main experte dotée d’un ustensile à la mesure de ses espérances.
Je me tiens les cuisses avec les mains pour lui offrir toute la visibilité qu’elle peut vouloir de ma fleur tandis que je me laisse aller à de terribles gémissement, échos des siens. Aimes-tu ce que tu vois Riven ? Apprécies-tu que le plaisir que tu t’offres égoïstement soit source de ma propre souffrance ? Je viens enfin flatter mes lèvres avec le jouet que tu m’as laissé mon amie, offrant alors un beau spectacle je l’espère.
L’ambiance me prend rapidement aux tripes et je ne peux plus attendre. Je quitte ma position pour rejoindre mon amie. Mes mains viennent glisser sur ses pieds, puis ses mollets avant d’arriver au creux de ses cuisses alors que je m’agenouille devant la chaise. Je parcours sa peau bouillante avec ma bouche, flattant ses formes de mes lèvres avant de me retrouver devant sa fleur aux pétales humides et gonflés. Je viens avec audace butiner cette dernière telle un oiseau raffolant du nectar avec ma langue venant darder ses profondeurs. Sa poitrine facilement à portée de main avec sa position, je ne me fais pas prier pour laisser glisser les miennes sur son corps, passant de ses jambes à son ventre, flattant ensuite ces montagnes généreuses. Mes doigts se fige sur ces zones érogènes saillantes quand son plaisir est le plus fort. Je la laisse maîtresse de sa vibrante activité, venant en supplément pour saturer ses sensations avec ce que je peux lui offrir, prête à recueillir son extase sirupeuse. J’attends ton tsunami de plaisir avec gourmandise et impatience, persuadée qu’une fois encore tu vas reprendre le contrôle de la situation en agrippant ma crinière pour me bloquer dans mon action entre tes cuisses.
Adonnons-nous à une luxure sans fin...
Etilya sur DK RPG
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Mar 27 Avr 2021 - 15:45
Ma bouche vaginale continuait de sangloter sur l'étendard vibrant qui perforait avec attraction ma cavité nervurée qui se contractait sur chaque secousse, m'invitant alors à mettre plus d'ardeur à la frénésie qui prenait possession de mon aventure solitaire. Irina ne semblait pas en reste dans cette partie. De ma position, je distinguais une légère lueur verdâtre naître au creux de sa pupille pour se nourrir de mon appétit tout en imitant ma posture en écartant les jambes. Ses mouvements s'alignaient sur la danse de mon bassin alors même qu'elle se trouvait plus loin. Elle se repaissait de mon égoïsme sur un échangé sensoriel invisible et qui pourtant, était bien présent sur une exploration commune entre nos cuisses. Au bord de ses limites, elle finit tout de même par utiliser le jouet que je lui avais laissé pour qu'elle se livre à son tour à un ébat plus en profondeur alors même que nos corps ne se touchaient pas.
Mais comme une femme lasse et mécontente d'avoir été délaissée sur son radeau de fortune, elle précipitait sa silhouette sur le sol en s'avançant à quatre pattes pour arriver le nez devant mon entre-jambe. Mes courbes se contorsionnaient toujours à l'aide de cet ultime joyau qui diffusait encore et encore ses tremblements alors que je poussais expressément la puissance de la vibration. Mes cris n'étaient plus aussi étouffés qu'avant, je les laissais sortir de ma bouche pour emplir totalement la pièce qui accueillait cette exaltation dans une résonance connue seulement de nous. C'était sans compter sur l'appétit encore affamé de ma compagnie qui ne tardait pas à se positionner en accompagnement pour faucher davantage mes sens, venant amplifier la sensation désastreuse et débordante de mon supplice qui se confondait entre l'extase et la souffrance. Je cuisais sur place, marquée également par sa bouche qui déclenchait un élan de frissons intenses me parcourant jusqu'au haut de mon crâne. Je lâchais un râle bestial, confuse et envoûtée alors que ses lèvres se posaient avec avidité sur ce noyau érectile qui frémissait à ce contact humide qui l'enserrait pour le provoquer. Cette caresse râpeuse se métamorphosait en emprise alors que le bouton doré crépitait sur ses papilles en signe d'affection qui ne demandait qu'à être encore plus aimé. Elle me suçait si fort sur un bruit provoquant de succion. Je sentais tout autant ses paumes parcourir chaque centimètre carré de ma peau jusqu'à ce qu'elles empoignent mes seins en les malaxant fermement. Je me voyais propulser au bord d'un précipice quand toutes les fibres de mon être se connectaient seulement au plaisir que je me soutirais et qu'Irina motivait plus profondément encore sur des caresses et sur la participation qu'elle investissait en agressant la pépite qui enflait davantage pour absorber encore plus la connexion avec sa langue. Je me mettais à jurer haut et fort pour extérioriser ce flot d'intensité qui me coupait le souffle. J'étais sur le point d'exploser, littéralement. Mais sur ce tsunami prêt à déverser ses vagues, je retirais l'engin de ma tanière en effervescence pour glisser sur le marbre en rejoignant la sorcière de mon châtiment. Je passais ensuite une jambe derrière elle en relevant l'une des siennes pour déposer l'autre en dessous afin que nos lèvres mouillées puissent s'épouser. Je poussais mon bassin pour sentir nos bouches intimes dégoulinantes se sceller en me cambrant pour chercher à m'y frictionner. J'attrapais sur ce même rythme sa mâchoire pour l'embrasser avec fièvre tout en mordant sa lèvre inférieure tout en désirant entrelacer nos langues. Sur une cadence effrénée, j'élançais avec ardeur mon bassin dans l'intention de la percuter sur une harmonie mutuelle.
J'attrapais par ailleurs d'une main l'ustensile qui combleraient nos souffrances en m'écartant légèrement pour lui enfoncer une extrémité alors que j'enfilais l'autre pour une danse parfaite autour de cet engin masseur de délices. Lentement d'abord, pour trouver la bonne note, je glissais jusqu'à la moitié de la matraque en silicone pour rejoindre les pétales d'Irina jusqu'à ce que la pression remonte vite à flot pour envahir totalement ma raison et m'engager dans une attaque torride et turbulente à coup de reins effrénés. Je laissais échapper des gémissements puissants qui s'envolaient de ma gorge tout en venant triturer le bouton rose de ma partenaire du bout de mes doigts en le pinçant juste assez pour que la faire déborder, irradier, hurler de cet écarlate ébat. Je m'excitais, m'acharnais à me faire monter en pression tout en osmose avec ses propres jouissances qui se déversaient à son tour. Nous nous tenions dans l'étau de notre fantasme partagé qui perdurait à nous faire vriller. Mon visage se défigurait, un peu fou par cet attentat volcanique chargé de nous souffler. Ah ! La transcendance était bien là.
Mais comme une femme lasse et mécontente d'avoir été délaissée sur son radeau de fortune, elle précipitait sa silhouette sur le sol en s'avançant à quatre pattes pour arriver le nez devant mon entre-jambe. Mes courbes se contorsionnaient toujours à l'aide de cet ultime joyau qui diffusait encore et encore ses tremblements alors que je poussais expressément la puissance de la vibration. Mes cris n'étaient plus aussi étouffés qu'avant, je les laissais sortir de ma bouche pour emplir totalement la pièce qui accueillait cette exaltation dans une résonance connue seulement de nous. C'était sans compter sur l'appétit encore affamé de ma compagnie qui ne tardait pas à se positionner en accompagnement pour faucher davantage mes sens, venant amplifier la sensation désastreuse et débordante de mon supplice qui se confondait entre l'extase et la souffrance. Je cuisais sur place, marquée également par sa bouche qui déclenchait un élan de frissons intenses me parcourant jusqu'au haut de mon crâne. Je lâchais un râle bestial, confuse et envoûtée alors que ses lèvres se posaient avec avidité sur ce noyau érectile qui frémissait à ce contact humide qui l'enserrait pour le provoquer. Cette caresse râpeuse se métamorphosait en emprise alors que le bouton doré crépitait sur ses papilles en signe d'affection qui ne demandait qu'à être encore plus aimé. Elle me suçait si fort sur un bruit provoquant de succion. Je sentais tout autant ses paumes parcourir chaque centimètre carré de ma peau jusqu'à ce qu'elles empoignent mes seins en les malaxant fermement. Je me voyais propulser au bord d'un précipice quand toutes les fibres de mon être se connectaient seulement au plaisir que je me soutirais et qu'Irina motivait plus profondément encore sur des caresses et sur la participation qu'elle investissait en agressant la pépite qui enflait davantage pour absorber encore plus la connexion avec sa langue. Je me mettais à jurer haut et fort pour extérioriser ce flot d'intensité qui me coupait le souffle. J'étais sur le point d'exploser, littéralement. Mais sur ce tsunami prêt à déverser ses vagues, je retirais l'engin de ma tanière en effervescence pour glisser sur le marbre en rejoignant la sorcière de mon châtiment. Je passais ensuite une jambe derrière elle en relevant l'une des siennes pour déposer l'autre en dessous afin que nos lèvres mouillées puissent s'épouser. Je poussais mon bassin pour sentir nos bouches intimes dégoulinantes se sceller en me cambrant pour chercher à m'y frictionner. J'attrapais sur ce même rythme sa mâchoire pour l'embrasser avec fièvre tout en mordant sa lèvre inférieure tout en désirant entrelacer nos langues. Sur une cadence effrénée, j'élançais avec ardeur mon bassin dans l'intention de la percuter sur une harmonie mutuelle.
J'attrapais par ailleurs d'une main l'ustensile qui combleraient nos souffrances en m'écartant légèrement pour lui enfoncer une extrémité alors que j'enfilais l'autre pour une danse parfaite autour de cet engin masseur de délices. Lentement d'abord, pour trouver la bonne note, je glissais jusqu'à la moitié de la matraque en silicone pour rejoindre les pétales d'Irina jusqu'à ce que la pression remonte vite à flot pour envahir totalement ma raison et m'engager dans une attaque torride et turbulente à coup de reins effrénés. Je laissais échapper des gémissements puissants qui s'envolaient de ma gorge tout en venant triturer le bouton rose de ma partenaire du bout de mes doigts en le pinçant juste assez pour que la faire déborder, irradier, hurler de cet écarlate ébat. Je m'excitais, m'acharnais à me faire monter en pression tout en osmose avec ses propres jouissances qui se déversaient à son tour. Nous nous tenions dans l'étau de notre fantasme partagé qui perdurait à nous faire vriller. Mon visage se défigurait, un peu fou par cet attentat volcanique chargé de nous souffler. Ah ! La transcendance était bien là.
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Mar 27 Avr 2021 - 19:03
Tel un fourmilier affamé, je fais entrer ma langue dans la tanière de Riven. Je n’en peux décidément plus et son sexe chaud et débordant de ses humeurs me met en émoi. Je n’arrive pas cesser de butiner sa fleur comme la dernière des abeilles gourmande. Son nectar aux parfums salins vient stimuler mes papilles et fait naître en moi toujours plus de désir passionné. Je ne veux pas que cela cesse, bien au contraire. Je la regarder flatter son plaisir égoïste encore une fois avant que tout ne bascule à nouveau.
Je calle mes mains de part et d’autre de son anatomie pour venir écarter un peu plus encore le creux de ses cuisses, faire se déployer au maximum cette fleur qui me nargue depuis trop longtemps. Je me pourlèche les babines, avide que je suis avant de me jeter sur cette proie comme une affamée. Ça caverne aux merveilles, ouverte au maximum se dévoile à mon regard, succombe à mes baisers chauds et passionnés sur tout le tour de son entrée et se trouve meurtrie par les assauts de ma langue.
Je décide de retirer enfin de mon séant le jouet vibrant qu’elle a déposé bien plus tôt pour le diriger tout droit vers le sien. Je mets tout en œuvre avant cela, à grand renfort de salive et de douceur pour y glisser ce petit objet de vice. Je ne manque pas de flatter ce diaphragme se refermant derrière le passage de cet aventurier avec un baiser et un délicat coup de langue.
Elle interrompe mon jeu si prenant pour sortir ce jouet de l’équation. Elle me tombe dessus, comme le ciel sur l’incrédule. Le marbre froid ne tarde pas à se réchauffer sous nos mouvements. Cette configuration que choisit Riven me ravit. Nos jambes entremêlées, nos lèvres intimes venant à la rencontre les unes des autres, voilà que notre danse devient d’un sensuel inédit depuis le début de la soirée. Je la sens lancer ces hanches en avant en de terribles coups de reins n’ayant rien à envier à la vigueur d’un homme. J’ai l’impression qu’elle y met plus de rage et de passion que lorsqu’elle était outillé de silicone. Je frissonne sous les frottements de ses lèvres contre les miennes, ces deux fleurs mélangeant leur nectar dans une passion et un contact électrique. Je soupir de plaisir avant qu’elle ne m’attrape la bouche pour la lier à la sienne, nous séparant avec quelques morsures exquises et langues aux caresses amicales.
Je gémis toujours plus fort et sans retenu alors que nos boutons s’entrechoquent l’un avec l’autre comme des épées se mesurant l’une à l’autre dans un combat dantesque. Je me joins en rythme à ses envies, espérant que cette petite toison blonde entretenue procure un effet non négligeable sur ses parties qui me séduisent.
Elle attrape d’une main ce jouet pouvant servir à deux joueuses, ou joueurs ne soyons pas fermées, nos parties se séparant dans un léger bruit de succion. Elle en glissa d’abord une partie en moi avant devenir s’empaler également. Lorsque nos pétales se joignent à nouveau, j’éprouve une puissante sensation de comble juste avant de reprendre nos mouvements. Elle lance à nouveau à tambour battu dans une fulgurance de coup de reins effrénés, nous rendant l’une et l’autre toujours plus gémissante et transpirante. Ses doigts se glisse sur mon bouton et j’en fait de même avec le sein tel un miroir de ses vices. De l’autre main j’empoigne solidement l’un de ses seins, le faisant rouler entre mes doigts, pinçant son extrémité douloureusement désireuse.
Je calle mon front sur le sien dans une lubricité moite, haletante que je suis en étant à nouveau au bord de l’extase.
Je nous laisse un instant avant d’attirer ma compagne, cette reine sur sa couche. Laissant derrière nous gisant sur le marbre le jouet nous ayant comblé. Je lutte contre ma fatigue qui s’estompe vite devant l’ambiance chaude qui règne encore en moi. Je dépose de délicat baisers sur son corps comme une amante aimante. Telle une suivante bien attentionnée, je viens lui retirer ce jouet également présent dans le fondement de son être, puis je dépose plusieurs baisers sur cette zone à nouveau, avant de parcourir ses fesses, ses cuisses, revenir et passer sur son pubis, me hisser au-dessus d’elle et laper son ventre, poursuivre sur les montagnes que sont ses seins si généreux et enfin gagner ses lèvres.
Je me laisse glisser doucement sur le côté, ne séparant pas nos lèvres et maintenant l’échange d’un langoureux baiser. Mon majeure vient doucement flatter à nouveau sa fente en une caresse lancinante. Je la préserve et la laisse recouvrer ses forces tout en lui montrant que je suis prête à recommencer quand la dominante, le mâle alpha de notre tandem, sera prête à venir prendre ce qu’elle veut. J’ai encore envie d’elle et de poursuivre cet échange bien inattendu et je ne me prive pas pour lui murmurer à l’oreille entre deux baisers. J’ai vu du coin de l’œil dans son armoire tout un tas de choses exquise qu’il me tarde d’utiliser avec elle...
Je calle mes mains de part et d’autre de son anatomie pour venir écarter un peu plus encore le creux de ses cuisses, faire se déployer au maximum cette fleur qui me nargue depuis trop longtemps. Je me pourlèche les babines, avide que je suis avant de me jeter sur cette proie comme une affamée. Ça caverne aux merveilles, ouverte au maximum se dévoile à mon regard, succombe à mes baisers chauds et passionnés sur tout le tour de son entrée et se trouve meurtrie par les assauts de ma langue.
Je décide de retirer enfin de mon séant le jouet vibrant qu’elle a déposé bien plus tôt pour le diriger tout droit vers le sien. Je mets tout en œuvre avant cela, à grand renfort de salive et de douceur pour y glisser ce petit objet de vice. Je ne manque pas de flatter ce diaphragme se refermant derrière le passage de cet aventurier avec un baiser et un délicat coup de langue.
Elle interrompe mon jeu si prenant pour sortir ce jouet de l’équation. Elle me tombe dessus, comme le ciel sur l’incrédule. Le marbre froid ne tarde pas à se réchauffer sous nos mouvements. Cette configuration que choisit Riven me ravit. Nos jambes entremêlées, nos lèvres intimes venant à la rencontre les unes des autres, voilà que notre danse devient d’un sensuel inédit depuis le début de la soirée. Je la sens lancer ces hanches en avant en de terribles coups de reins n’ayant rien à envier à la vigueur d’un homme. J’ai l’impression qu’elle y met plus de rage et de passion que lorsqu’elle était outillé de silicone. Je frissonne sous les frottements de ses lèvres contre les miennes, ces deux fleurs mélangeant leur nectar dans une passion et un contact électrique. Je soupir de plaisir avant qu’elle ne m’attrape la bouche pour la lier à la sienne, nous séparant avec quelques morsures exquises et langues aux caresses amicales.
Je gémis toujours plus fort et sans retenu alors que nos boutons s’entrechoquent l’un avec l’autre comme des épées se mesurant l’une à l’autre dans un combat dantesque. Je me joins en rythme à ses envies, espérant que cette petite toison blonde entretenue procure un effet non négligeable sur ses parties qui me séduisent.
Elle attrape d’une main ce jouet pouvant servir à deux joueuses, ou joueurs ne soyons pas fermées, nos parties se séparant dans un léger bruit de succion. Elle en glissa d’abord une partie en moi avant devenir s’empaler également. Lorsque nos pétales se joignent à nouveau, j’éprouve une puissante sensation de comble juste avant de reprendre nos mouvements. Elle lance à nouveau à tambour battu dans une fulgurance de coup de reins effrénés, nous rendant l’une et l’autre toujours plus gémissante et transpirante. Ses doigts se glisse sur mon bouton et j’en fait de même avec le sein tel un miroir de ses vices. De l’autre main j’empoigne solidement l’un de ses seins, le faisant rouler entre mes doigts, pinçant son extrémité douloureusement désireuse.
Je calle mon front sur le sien dans une lubricité moite, haletante que je suis en étant à nouveau au bord de l’extase.
Irina ▬ Viens... viens avec moi Riven...Je ne décolle même pas mon front ni n’attend sa réponse pour mêler une nouvelle fois nos esprit. Je lui transmets mon plaisir qui s’additionne au sien et vice et versa. Nos esprits cèdent en même temps, rompant nos gémissements avec des hurlements obscène alors que nos corps convulsent ensemble, l’un contre l’autre, nos chairs humides renforçant l’instant.
Je nous laisse un instant avant d’attirer ma compagne, cette reine sur sa couche. Laissant derrière nous gisant sur le marbre le jouet nous ayant comblé. Je lutte contre ma fatigue qui s’estompe vite devant l’ambiance chaude qui règne encore en moi. Je dépose de délicat baisers sur son corps comme une amante aimante. Telle une suivante bien attentionnée, je viens lui retirer ce jouet également présent dans le fondement de son être, puis je dépose plusieurs baisers sur cette zone à nouveau, avant de parcourir ses fesses, ses cuisses, revenir et passer sur son pubis, me hisser au-dessus d’elle et laper son ventre, poursuivre sur les montagnes que sont ses seins si généreux et enfin gagner ses lèvres.
Je me laisse glisser doucement sur le côté, ne séparant pas nos lèvres et maintenant l’échange d’un langoureux baiser. Mon majeure vient doucement flatter à nouveau sa fente en une caresse lancinante. Je la préserve et la laisse recouvrer ses forces tout en lui montrant que je suis prête à recommencer quand la dominante, le mâle alpha de notre tandem, sera prête à venir prendre ce qu’elle veut. J’ai encore envie d’elle et de poursuivre cet échange bien inattendu et je ne me prive pas pour lui murmurer à l’oreille entre deux baisers. J’ai vu du coin de l’œil dans son armoire tout un tas de choses exquise qu’il me tarde d’utiliser avec elle...
Etilya sur DK RPG
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Mar 11 Mai 2021 - 17:29
Le vibromasseur continuait de s'acharner dans nos chaires enfouies alors que nous l'invitons à prendre toujours plus de place en élançant nos bassins sauvagement l'un contre l'autre. Ainsi, nous mêlions nos jus d'extase qui se déversaient sur le marbre tout en geignant comme des furies qui cherchent à soutirer leurs sensations sur des soupirs intenses. Je ne pouvais que me concentrer sur ce moment de plaisir suffocant qui m'attrapait la gorge et élançait mon entre-jambe sur des contractions toujours plus fortes, comme si je cherchais à épouser les rebords du jouet qui raisonnait encore à l'intérieur de mes muqueuses. Mais ce qui mettait un point d'honneur à m'exciter restait de contempler le visage d'Irina qui se retrouvait tout autant que moi balayée par les révélations de cette escapade inédite. J'observais ses traits déformés par la jouissance et ses chaleurs tandis qu'à son tour, elle venait trouver le cœur entre mes cuisses pour l'encourager à s'exprimer davantage tout en venant m'empoigner un sein, plus précisément mordre de ses doigts cette pointe érogène qui m'électrisait tout autant.
Finalement, cela ne ressemblait plus à des cris mais à des aboiements au clair d'une lune allumée au-dessus de nos têtes, entre deux louves qui menaient l'autre au bord du rivage pour la pousser dans un précipice de réjouissances. Je serrais les dents et me mordait les lèvres à l'annonce du fleuve rugissant qui ne demandait qu'à s'évanouir sur le plancher. Je feulais comme une malpropre, attachée et prisonnière de ce vice qui s'immisçait profondément jusque dans chaque fibre de mon corps. Sentant que notre point d'amorce était proche, comme un virage violent et brutal, son front vint se poser contre le mien alors je m'agrippais à elle pour sentir cette moiteur qui habillait sa peau. Je pouvais le saisir, le sentir sans pouvoir le refouler, son pouvoir unique qui me fendit l'âme sur un battement de cœur, sur un éclat explosif, sur une rafale de vent qui me terrassa à nous en couper le souffle chacune. Nos émois se diffusèrent l'une à l'autre, l'une dans l'autre pour venir se synchroniser et cueillir les larmes de notre alliance qui ne tardèrent pas à cracher leur joie simultanément. Je ne faisais qu'ouvrir la bouche, aucun son n'en sortit malgré l'envie de hurler comme si l'air m'était arraché à mes poumons. Des tremblements s'ensuivirent au point culminant de notre étreinte charnelle qui nous dépouillait de notre raison. Pourtant, malgré le silence de mes lèvres, j'avais l'impression que mon âme touchait le ciel comme si mon cerveau s'était soudainement éteint pour me concentrer simplement sur cette morsure frémissante et virulente de notre triomphe.
Sur cette manifestation exaltante, mes muscles se décontractèrent pour venir enfouir mon nez dans son cou après cet instant de complicité et respirer son odeur sur une inspiration. Même sur la transpiration, je pouvais humer ses fragrances subtiles qui ne correspondaient qu'à elle. Nous quittions ensuite le sol encore trempé de nos échanges pour nous installer sur mon lit. Je me glissais sur les draps alors qu'elle complimentait mes courbes de tendres baisers en venant se déposer au dessus de moi, prenant soin toujours de parcourir chaque zone de chair que ses lèvres pouvaient toucher. A la cristallisation de notre épanouissement, de nouveau nos langues se scellèrent alors qu'elle revenait à côté de moi sans toutefois manquer de venir dorloter encore la fissure de mon être. Elle me susurrait qu'elle avait encore de l'énergie à revendre et je ne pouvais pas négliger ces ressources, éprise d'un sursaut de désir qui m'intimait ne pas vouloir en terminer de suite.
Je posais une main délicate sur sa joue, la caressant sur un élan de tendresse, observant un peu ces yeux noisettes mais forts, de ceux dont la douleur se cachait derrière un masque mais qui à présent, se dévoilaient à moi dans une nudité intégrale. Je répondais donc à son invitation sur un léger rictus en coin alors que je m'éloignais à nouveau pour venir chercher les outils d'une autre exploration. Je lui présentais donc un équipement de bondage, qu'il s'agisse de sangles, gag bondage, d'une boule pour la bouche, d'une cravache ou même de masques en cuir, il y avait encore de quoi nous amuser un peu. J'optais donc pour ces accessoires et aussi précisément ceux qui me permettront d'attacher cette lionne correctement au lit cette fois-ci.
Nous avions encore bien des ébats à graver sur nos silhouettes et le programme ne serait pas à la douceur mais à la déflagration de nos sens en les poussant à l'extrême. D'autant plus que je ne lui avais pas encore fait visiter le reste de ma suite... Il y avait de ces décors cachés qu'il lui faudrait découvrir à son tour.
Finalement, cela ne ressemblait plus à des cris mais à des aboiements au clair d'une lune allumée au-dessus de nos têtes, entre deux louves qui menaient l'autre au bord du rivage pour la pousser dans un précipice de réjouissances. Je serrais les dents et me mordait les lèvres à l'annonce du fleuve rugissant qui ne demandait qu'à s'évanouir sur le plancher. Je feulais comme une malpropre, attachée et prisonnière de ce vice qui s'immisçait profondément jusque dans chaque fibre de mon corps. Sentant que notre point d'amorce était proche, comme un virage violent et brutal, son front vint se poser contre le mien alors je m'agrippais à elle pour sentir cette moiteur qui habillait sa peau. Je pouvais le saisir, le sentir sans pouvoir le refouler, son pouvoir unique qui me fendit l'âme sur un battement de cœur, sur un éclat explosif, sur une rafale de vent qui me terrassa à nous en couper le souffle chacune. Nos émois se diffusèrent l'une à l'autre, l'une dans l'autre pour venir se synchroniser et cueillir les larmes de notre alliance qui ne tardèrent pas à cracher leur joie simultanément. Je ne faisais qu'ouvrir la bouche, aucun son n'en sortit malgré l'envie de hurler comme si l'air m'était arraché à mes poumons. Des tremblements s'ensuivirent au point culminant de notre étreinte charnelle qui nous dépouillait de notre raison. Pourtant, malgré le silence de mes lèvres, j'avais l'impression que mon âme touchait le ciel comme si mon cerveau s'était soudainement éteint pour me concentrer simplement sur cette morsure frémissante et virulente de notre triomphe.
Sur cette manifestation exaltante, mes muscles se décontractèrent pour venir enfouir mon nez dans son cou après cet instant de complicité et respirer son odeur sur une inspiration. Même sur la transpiration, je pouvais humer ses fragrances subtiles qui ne correspondaient qu'à elle. Nous quittions ensuite le sol encore trempé de nos échanges pour nous installer sur mon lit. Je me glissais sur les draps alors qu'elle complimentait mes courbes de tendres baisers en venant se déposer au dessus de moi, prenant soin toujours de parcourir chaque zone de chair que ses lèvres pouvaient toucher. A la cristallisation de notre épanouissement, de nouveau nos langues se scellèrent alors qu'elle revenait à côté de moi sans toutefois manquer de venir dorloter encore la fissure de mon être. Elle me susurrait qu'elle avait encore de l'énergie à revendre et je ne pouvais pas négliger ces ressources, éprise d'un sursaut de désir qui m'intimait ne pas vouloir en terminer de suite.
Je posais une main délicate sur sa joue, la caressant sur un élan de tendresse, observant un peu ces yeux noisettes mais forts, de ceux dont la douleur se cachait derrière un masque mais qui à présent, se dévoilaient à moi dans une nudité intégrale. Je répondais donc à son invitation sur un léger rictus en coin alors que je m'éloignais à nouveau pour venir chercher les outils d'une autre exploration. Je lui présentais donc un équipement de bondage, qu'il s'agisse de sangles, gag bondage, d'une boule pour la bouche, d'une cravache ou même de masques en cuir, il y avait encore de quoi nous amuser un peu. J'optais donc pour ces accessoires et aussi précisément ceux qui me permettront d'attacher cette lionne correctement au lit cette fois-ci.
Nous avions encore bien des ébats à graver sur nos silhouettes et le programme ne serait pas à la douceur mais à la déflagration de nos sens en les poussant à l'extrême. D'autant plus que je ne lui avais pas encore fait visiter le reste de ma suite... Il y avait de ces décors cachés qu'il lui faudrait découvrir à son tour.
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Mar 11 Mai 2021 - 22:38
Riven et moi, nous nous enivrons encore et encore, rien n’est assez pour nous faire nous arrêter dans cette luxure à laquelle nous nous adonnons. Nous nous arrêtons ici et là, faisons des pauses pour reprendre notre souffle, mais toujours avec l’une ou l’autre ayant un regain d’énergie pour remettre une autre couche de vice sur notre dessert. Je ne sais pas s’il y a encore une pièce de sa demeure que nous n’avons pas essayé, passant de la table à manger jusqu’à la cuisine pour s’essayer à quelques sucreries à déguster sur chair, avant de retourner au salon et batifoler sur le tapis ou ne pas avoir la patience de terminer l’ascension des escaliers. Nous retournons même à la salle de bain pour quelques pratiques plus salissantes et inavouables avant de nous laisser aller sous une bonne douche et un bain des plus chaud à nouveau, manquant presque de la noyer en l’obligeant à jouer de sa langue sur mes pétales.
Je me délecte de ses pratiques, d’être suspendue dans les airs, attachée aux quatre coins de son lit à baldaquin, totalement soumise à sa volonté. Je l’invite à avidement abuser de ma personne, corps et âme. Cet autre harnais, d’un autre genre, doublement efficace, s’enfonçant conjointement sur deux sentiers amplement praticables après autant de luxure. J’aime la voir, croiser son regard en levant la tête vers le miroir, dépossédée de ma capacité de bouger par moi-même ou de parler avec ce qui entrave ma bouche. J’exhorte mon plaisir à exploser une bonne fois pour toute grâce à cette double pénétration des plus exquise. Alors qu’une terrible secousse est en approche des profondeurs de mon corps, je me connecte une ultime fois à elle. Je lui partage la saturation terrible de mes sens, avant de me concentrer sur toutes nos expériences, de la nuit, de notre vie, et je les conjugue en un instant pour nous les renvoyer et jouir ensemble comme jamais.
C’est le plus bel orgasme de notre vie, jusqu’à la prochaine fois où nous coucherons ensemble elle et moi, ayant accumulé à nouveau tous un tas d’extases supplémentaires à ajouter.
C’est le souffle coupé que nous nous abandonnons à nouveau sur les draps, n’en pouvant simplement plus, voyant le jour en train de se lever à cause de l’heure plus que tardive. Tout ce que nous avons fait cette nuit, tout ce que nous passons sous silence... Tout ça était d’un terrible délice.
Je laisse toujours courir mes doigts sur corps, doucement et sensuellement, retrouvant mon souffle mais totalement vidée et à bout de force tout comme elle.
Irina ▬ Comment vas-tu maintenant, très sincèrement Riven...Je dépose un doux baiser en guise de ponctuation sur ses lèvres délicates. Je ne veux pas qu’elle me réponde tout de suite et c’est pour ça que je clos ses lèvres avec les miennes.
Irina ▬ Je sais que toi comme moi, nous sommes capables de faire abstraction de ce qu’il s’est passé cette nuit. Mais je veux savoir comment tu vis la chose vraiment.Je ne suis pas certaine d’avoir meilleure amie que Riven et cette nuit scelle un nouveau cap dans notre relation. Cela peut n’être que sexuel, cela ne m’empêche pas de beaucoup l’aimer. Mais je ne veux pas fouiller son esprit pour chercher à me rassurer sur ce qu’elle pense de moi, de la situation, de notre amitié et de ce qu’il va se passer ensuite...
Etilya sur DK RPG
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Lun 24 Mai 2021 - 21:59
Nous étendions enfin nos deux corps éprouvés sur mon lit après nous être suffisamment délectées de tous ces désirs en nous laissant délibérément tomber dans un gouffre charnel. Je songeais alors que je n'avais rien ressenti de tel jusque là. Même le mot transe restait bien faible en comparaison à ce que nous avions ressenti cette nuit-là. J'en imprimais ainsi un souvenir précieux que ce soit sur ma peau ou dans les tréfonds de mon âme. Doucement, nous reprenions notre souffle tandis qu'Irina poursuivait tout de même de m'affectionner de caresses délicates alors que je la fixais intensément.
Cette nuit avait été spéciale et nous avions passé un cap dans notre relation, quoiqu'on puisse en dire. Je ne pouvais pas dire que cela ne signifiait rien même si nous saurions largement conserver nos statuts initiaux dans un cadre professionnel. Pourtant, une étape avait été dépassée dans cette étreinte. L'endorphine pulsait encore très fort dans mes veines au point d'en éprouver un apaisement vraiment total mais plus encore, les chaînes d'un contrôle omniprésent s'étaient démêlées pour laisser place à un sentiment de plénitude. Je laissais ces sensations sereines me parcourir alors que mes nerfs se détendaient totalement. Je me sentais, en quelque sorte, plus légère et complètement relâchée. A vrai dire, j'étais usée et totalement dépourvue d'énergie à cet instant au point même que mes yeux tendaient à se clore pour seulement m'endormir malgré le jour qui se levait dehors. J'étais dans un état second tandis que sa voix me tirait de mon demi-sommeil. Avant même que je ne puisse d'ailleurs ouvrir la bouche, Irina s'empressait déjà d'aller cueillir une énième fois mes lèvres comme pour m'indiquer surtout de prendre le temps de la réflexion. Sa question n'était pas anodine et j'en devinais bien le sens. Cherchait-elle toutefois à savoir ce que moi je ressentais véritablement ou voulait-elle se rassurer sur l'horizon de ce lien nouvellement noué ? Mes prunelles s'ouvrirent pour l'observer, laissant d'abord planer un silence.
Comment vivais-je réellement la chose ?... Au premier abord, je pouvais dire sans l'ombre d'un doute que nous avions effectivement franchi une limite. Etait-ce une mauvaise chose ? Non, je ne le percevais pas ainsi. Qu'est ce que cela désignait vraiment, alors ? Les pensées embuées, je cherchais cette réponse dans les abysses de mon esprit un peu assoupi mais qui après tous ces ébats, ne cherchait même pas à se retenir de penser d'une façon qui ne lui était pas habituelle. Les barrières avaient été fracturées, balayées dans nos pulsions les plus inavouables. J'avais l'impression d'être aspirée, de tomber dans moi-même et d'être à cet instant incapable d'y mettre de la raison ou du pragmatisme. Finalement, une sensation désagréable me retourna l'estomac. C'était douloureux. Pourquoi était-ce douloureux ? La réflexion emprunta le sentier qui n'avait pas été parcouru depuis des années, depuis des lustres même. Une route que je n'avais pas pris, ni exploré, depuis tellement longtemps, ménagée seulement par l'interdiction même que je m'imposais de seulement mettre à l'écart des émotions. Mais fatalement, avec toute cette fatigue accumulée et la chaleur du moment, j'en arrivais à penser que je tenais à Irina. J'y tenais et je ne parvenais pas à me cacher de cette affection qui se présentait à moi comme une évidence difficile à ignorer maintenant. Pour quelles raisons, me demanderez-vous ? Je l'avais admiré et ce, dès lors de notre première rencontre. Je l'avais ainsi vite aperçu comme une rivale de taille en plus du fait qu'il s'agisse d'une camarade russe dont je connaissais le tempérament. J'avais évolué à ses côtés dans un but purement professionnel. Nous nous étions jaugées, confrontées et parfois épaulées. Elle n'était pas une tête à abattre, non seulement une figure à égaler puis à dépasser, en grande aspiration à la puissance et au pouvoir que je pouvais être. Au fur et à mesure, nous avions tissé ce lien de façade, seulement factuel et désintéressé pour le bien de la communauté. Et puis, une forme d'amitié très pudique était née dès lors que nous commencions à partager nos idées, nos perceptions et nos ressentis. Nous nous étions finalement comprises, peut-être pas sur tout, mais la confiance avait fait son bout de chemin entre nous. Jusqu'à ce que finalement, ces derniers temps, je la sente flancher. Elle s'était confiée à moi sur des sujets délicats. Cela restait bref mais assez pour trop en dire finalement. Toutefois, elle avait décidé de me les dédier et moi de les garder sous serment. Je n'avais rien dit sur sa vie passée et je m'étais contentée d'écouter. Puis nous en étions arrivées à ce fameux jour, celui-ci où nous avons vidé intégralement notre sac en nous ouvrant l'une à l'autre dans toutes nos extrémités. Nous nous étions livrées et adonnées sur toutes nos failles, sans l'ombre d'une crainte.
Je devrais sûrement m'en sentir comblée et pourtant, quelque chose me dérangeait. Cette sensation implacable et si... Terrifiante. Je n'avais pas éprouvé cela depuis... depuis ce qui me paraissait être une éternité. L'affection. Le lien. L'amitié. L'amour. La confiance. Tous ces morceaux se mélangeaient et s'entrechoquaient à tel point que je ne parvenais pas à tout interpréter correctement dans ma tête.
Oui, je tenais à Irina. J'y tenais au point de désirer l'avoir dans ma vie, la garder à mes côtés du moins le temps qu'il me serait permis. Je lui souhaitais de réaliser ses rêves, de guérir et de mener une vie heureuse. Je voulais la préserver, l'écouter, la protéger même des agressions extérieures. Je n'arrivais seulement pas à savoir vraiment jusqu'où j'étais prête d'aller dans ce but. Etait-cela, vraiment, d'être attachée à quelqu'un ? Simplement voir cette personne souriante, épanouie et détachée de ses peurs pour vivre son existence, une existence qui lui avait été sacrifiée quelque part. Mais... Un problème se posait dans mon cœur. Irina n'était pas le genre de femme qui avait besoin de toutes ces attentions. Non. Elle était forte mais il ne s'agissait pas que de cela et c'était sûrement la pire révélation à mon cœur : Elle n'était pas seule. Mon amie retrouvait son amour perdu, sa fille... Ses autres enfants. Ses nouvelles aspirations pour l'avenir ne gravitaient qu'autour de ce cocon familial tant souhaité, tant rêvé, tant idéalisé. Soudainement, je sentais ma gorge se serrer. Quelle place pouvais-je avoir, dans cet entourage ? Auprès d'elle ? Moi qui n'avais personne. Elle qui n'avait seulement pas besoin de moi ou pas d'autant. Je n'avais rien d'indispensable, au fond. Elle n'avait rien non plus dans ce sens mais, j'avais seulement envie qu'elle soit là. Je le voulais. Ou alors, devrais-je seulement penser à sectionner ce lien et me cantonner à l'utile dans l'optique de nos responsabilités respectives simplement ? Que devais-je faire, de ça, de tous ces sentiments qui m'envahissaient ?
J'étais perdue, cela me tourmentait. Ce genre de ressentis, c'était bien pour cette raison précise que je préférais ranger mes émotions dans un placard. Je ne réfléchissais plus correctement, happée par un autre démon qui se dessinait sur mon visage : la peur. La peur d'être une nouvelle fois délaissée ou simplement même de la perdre comme j'avais vu s'effacer d'une façon effroyable la seule personne en qui j'avais confiance. Et si le même schéma se reproduisait, comme avec Dona ? Si j'étais encore abandonnée ou même si elle disparaissait qu'importe le motif, qu'est ce qu'il adviendrait de moi ? C'était terriblement égoïste à bien y songer mais... Ce simple constat de prendre conscience que j'affectionnais ma camarade peut-être au delà de ce que je voulais bien admettre et d'avoir ce réflexe de pure protection à son égard et de désirer la conserver auprès de moi, me terrifiait. Je ne savais pas encaisser. J'avais envie de m'enfuir et en même temps de le vivre. Mais à quel prix ?
Mon cœur battait plus fort et je me recroquevillais légèrement à cette manifestation douloureuse. Je la regardais pourtant toujours et après un temps assez conséquent, mes lèvres remuèrent et ma voix se brisa sur un murmure étouffé dans ma gorge.
-J'ai peur...
Mes yeux s'humidifièrent pour finalement laisser une larme dont le sel offrait une impression de brûlure sur ma joue. J'avais seulement peur de ce que je ressentais et de ce qu'il pouvait potentiellement advenir si à nouveau, je me retrouvais brisée.
Cette nuit avait été spéciale et nous avions passé un cap dans notre relation, quoiqu'on puisse en dire. Je ne pouvais pas dire que cela ne signifiait rien même si nous saurions largement conserver nos statuts initiaux dans un cadre professionnel. Pourtant, une étape avait été dépassée dans cette étreinte. L'endorphine pulsait encore très fort dans mes veines au point d'en éprouver un apaisement vraiment total mais plus encore, les chaînes d'un contrôle omniprésent s'étaient démêlées pour laisser place à un sentiment de plénitude. Je laissais ces sensations sereines me parcourir alors que mes nerfs se détendaient totalement. Je me sentais, en quelque sorte, plus légère et complètement relâchée. A vrai dire, j'étais usée et totalement dépourvue d'énergie à cet instant au point même que mes yeux tendaient à se clore pour seulement m'endormir malgré le jour qui se levait dehors. J'étais dans un état second tandis que sa voix me tirait de mon demi-sommeil. Avant même que je ne puisse d'ailleurs ouvrir la bouche, Irina s'empressait déjà d'aller cueillir une énième fois mes lèvres comme pour m'indiquer surtout de prendre le temps de la réflexion. Sa question n'était pas anodine et j'en devinais bien le sens. Cherchait-elle toutefois à savoir ce que moi je ressentais véritablement ou voulait-elle se rassurer sur l'horizon de ce lien nouvellement noué ? Mes prunelles s'ouvrirent pour l'observer, laissant d'abord planer un silence.
Comment vivais-je réellement la chose ?... Au premier abord, je pouvais dire sans l'ombre d'un doute que nous avions effectivement franchi une limite. Etait-ce une mauvaise chose ? Non, je ne le percevais pas ainsi. Qu'est ce que cela désignait vraiment, alors ? Les pensées embuées, je cherchais cette réponse dans les abysses de mon esprit un peu assoupi mais qui après tous ces ébats, ne cherchait même pas à se retenir de penser d'une façon qui ne lui était pas habituelle. Les barrières avaient été fracturées, balayées dans nos pulsions les plus inavouables. J'avais l'impression d'être aspirée, de tomber dans moi-même et d'être à cet instant incapable d'y mettre de la raison ou du pragmatisme. Finalement, une sensation désagréable me retourna l'estomac. C'était douloureux. Pourquoi était-ce douloureux ? La réflexion emprunta le sentier qui n'avait pas été parcouru depuis des années, depuis des lustres même. Une route que je n'avais pas pris, ni exploré, depuis tellement longtemps, ménagée seulement par l'interdiction même que je m'imposais de seulement mettre à l'écart des émotions. Mais fatalement, avec toute cette fatigue accumulée et la chaleur du moment, j'en arrivais à penser que je tenais à Irina. J'y tenais et je ne parvenais pas à me cacher de cette affection qui se présentait à moi comme une évidence difficile à ignorer maintenant. Pour quelles raisons, me demanderez-vous ? Je l'avais admiré et ce, dès lors de notre première rencontre. Je l'avais ainsi vite aperçu comme une rivale de taille en plus du fait qu'il s'agisse d'une camarade russe dont je connaissais le tempérament. J'avais évolué à ses côtés dans un but purement professionnel. Nous nous étions jaugées, confrontées et parfois épaulées. Elle n'était pas une tête à abattre, non seulement une figure à égaler puis à dépasser, en grande aspiration à la puissance et au pouvoir que je pouvais être. Au fur et à mesure, nous avions tissé ce lien de façade, seulement factuel et désintéressé pour le bien de la communauté. Et puis, une forme d'amitié très pudique était née dès lors que nous commencions à partager nos idées, nos perceptions et nos ressentis. Nous nous étions finalement comprises, peut-être pas sur tout, mais la confiance avait fait son bout de chemin entre nous. Jusqu'à ce que finalement, ces derniers temps, je la sente flancher. Elle s'était confiée à moi sur des sujets délicats. Cela restait bref mais assez pour trop en dire finalement. Toutefois, elle avait décidé de me les dédier et moi de les garder sous serment. Je n'avais rien dit sur sa vie passée et je m'étais contentée d'écouter. Puis nous en étions arrivées à ce fameux jour, celui-ci où nous avons vidé intégralement notre sac en nous ouvrant l'une à l'autre dans toutes nos extrémités. Nous nous étions livrées et adonnées sur toutes nos failles, sans l'ombre d'une crainte.
Je devrais sûrement m'en sentir comblée et pourtant, quelque chose me dérangeait. Cette sensation implacable et si... Terrifiante. Je n'avais pas éprouvé cela depuis... depuis ce qui me paraissait être une éternité. L'affection. Le lien. L'amitié. L'amour. La confiance. Tous ces morceaux se mélangeaient et s'entrechoquaient à tel point que je ne parvenais pas à tout interpréter correctement dans ma tête.
Oui, je tenais à Irina. J'y tenais au point de désirer l'avoir dans ma vie, la garder à mes côtés du moins le temps qu'il me serait permis. Je lui souhaitais de réaliser ses rêves, de guérir et de mener une vie heureuse. Je voulais la préserver, l'écouter, la protéger même des agressions extérieures. Je n'arrivais seulement pas à savoir vraiment jusqu'où j'étais prête d'aller dans ce but. Etait-cela, vraiment, d'être attachée à quelqu'un ? Simplement voir cette personne souriante, épanouie et détachée de ses peurs pour vivre son existence, une existence qui lui avait été sacrifiée quelque part. Mais... Un problème se posait dans mon cœur. Irina n'était pas le genre de femme qui avait besoin de toutes ces attentions. Non. Elle était forte mais il ne s'agissait pas que de cela et c'était sûrement la pire révélation à mon cœur : Elle n'était pas seule. Mon amie retrouvait son amour perdu, sa fille... Ses autres enfants. Ses nouvelles aspirations pour l'avenir ne gravitaient qu'autour de ce cocon familial tant souhaité, tant rêvé, tant idéalisé. Soudainement, je sentais ma gorge se serrer. Quelle place pouvais-je avoir, dans cet entourage ? Auprès d'elle ? Moi qui n'avais personne. Elle qui n'avait seulement pas besoin de moi ou pas d'autant. Je n'avais rien d'indispensable, au fond. Elle n'avait rien non plus dans ce sens mais, j'avais seulement envie qu'elle soit là. Je le voulais. Ou alors, devrais-je seulement penser à sectionner ce lien et me cantonner à l'utile dans l'optique de nos responsabilités respectives simplement ? Que devais-je faire, de ça, de tous ces sentiments qui m'envahissaient ?
J'étais perdue, cela me tourmentait. Ce genre de ressentis, c'était bien pour cette raison précise que je préférais ranger mes émotions dans un placard. Je ne réfléchissais plus correctement, happée par un autre démon qui se dessinait sur mon visage : la peur. La peur d'être une nouvelle fois délaissée ou simplement même de la perdre comme j'avais vu s'effacer d'une façon effroyable la seule personne en qui j'avais confiance. Et si le même schéma se reproduisait, comme avec Dona ? Si j'étais encore abandonnée ou même si elle disparaissait qu'importe le motif, qu'est ce qu'il adviendrait de moi ? C'était terriblement égoïste à bien y songer mais... Ce simple constat de prendre conscience que j'affectionnais ma camarade peut-être au delà de ce que je voulais bien admettre et d'avoir ce réflexe de pure protection à son égard et de désirer la conserver auprès de moi, me terrifiait. Je ne savais pas encaisser. J'avais envie de m'enfuir et en même temps de le vivre. Mais à quel prix ?
Mon cœur battait plus fort et je me recroquevillais légèrement à cette manifestation douloureuse. Je la regardais pourtant toujours et après un temps assez conséquent, mes lèvres remuèrent et ma voix se brisa sur un murmure étouffé dans ma gorge.
-J'ai peur...
Mes yeux s'humidifièrent pour finalement laisser une larme dont le sel offrait une impression de brûlure sur ma joue. J'avais seulement peur de ce que je ressentais et de ce qu'il pouvait potentiellement advenir si à nouveau, je me retrouvais brisée.
-Je tiens à toi. Vraiment. Mais je ne sais pas si j'ai le droit de te demander d'être près de moi. Si j'ai même ma place quelque part. Si je peux même ressentir ce souhait. A vrai dire, je suis effrayée.
Je poursuivais sur des chuchotements comme si rien que le fait de prononcer ces mots à voix haute pouvait m'envoyer dans un précipice sans fond. J'étais vulnérable et je le sentais dans toutes les fibres de mon être.
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Lun 14 Juin 2021 - 16:38
Riven et moi, c’est une longue histoire maintenant. Cela remonte à son entretien pour intégrer l’Enclave, mais en réalité, nous sommes le même genre de femme et cela donne l’impression étrange de nous connaître depuis l’enfance quelque part. Nous partageons une façon de voir le monde avec pragmatisme, mais là où nous divergeons, c’est bien notre manière de gérer nos émotions. Bien que nous ne nous laissions pas dicter par elles, j’ai fait le choix de les évacuer à des moments précis, mais Riven a fait celui de les ignorer. Ce n’est pas bon pour l’esprit de se couper de ses émotions, car cela est impossible à moins d’être un sociopathe, une coquille vide, mais ce n’est pas son cas. Riven est une femme bien plus sensible qu’on pourrait le croire et aujourd’hui, cette nuit, j’ai pu toucher celle qu’elle est vraiment.
Nos ébats sulfureux laisseront une marque indélébile sur mon âme et je m’estime heureuse d’avoir pu vivre une telle soirée en sa compagnie. Nos deux corps nus entrelacés l’un avec l’autre en sont une preuve et les baisers que je dépose sur elle une signature. Je ne veux pas perdre Riven, car c’est une personne qui compte à tous les niveaux pour moi. Elle est une amie, une collègue, une amante, une confidente, une âme sœur. Je ne sais pas si je ne serais pas tombée dans la folie au bout de tant d’années sans sa présence, son ombre et ses bons mots avec moi. Il est vrai que c’est la première fois que nous nous laissons aller à une telle chose entre nous, mais sa présence est tout de même un phare pour moi depuis toutes ces années.
Je veux par-dessus tout qu’elle aille mieux et qu’elle arrive à faire le point avec elle-même. Il faut qu’elle arrive à se reconnecter avec ses émotions, avec ce que nous autres psychologues et psychiatres nommons le “Moi”. Il faut qu’elle s’accorde des moments à elle, où elle arrive à se lâcher totalement et à libérer ses pulsions.
Je remonte au niveau de ses lèvres pour déposer un tendre baiser dessus.
Irina ▬ Tu n’as pas à me demander d’être près de toi, car c’est moi qui te le demande. Je pense que tu as peur car j’ai une fille, un amour de jeunesse, l’amour d’une vie qui refait surface également au point que je me lie à lui. Mais tu as ta place, celle que personne d’autre ne peut occuper pour moi. Celle qui est un mélange étrange de toutes ces années jusqu’à ce soir Riven.Je passe ma main dans sa chevelure, faisant passer une mèche derrière son oreille, mon buste contre le sien, ma poitrine dans la sienne, les yeux dans les yeux.
Irina ▬ On a tous le droit d’avoir peur. C’est normal. Mais il y a des gens prêts à t’aider, je suis prête à t’aider. Et j’ai besoin de toi.Je trouve mon équilibre avec Riven et ce soir n’est finalement qu’une suite logique presque à une amitié à ce point forte. Est-ce qu’il y a besoin de ressentir de l’amour pour une personne pour se lier à son corps ? Non je ne le pense pas, mais même si ce n’est pas le même genre d’amour que celui que je porte à Matthew ou Tomoe, j’aime Riven. Je l’aime dans toute sa complexité et je ne vois pas ne plus partager de moments avec elle. Elle n’a pas l’air comme ça, mais elle est pleine d’humour, ou alors c’est seulement que l’humour russe passe beaucoup mieux avec moi qu’avec les autres. Quoi qu’il en soit, je n’ai plus envie de revenir en arrière ou faire comme si de rien n’était.
Irina ▬ Je ne veux pas désavouer cette soirée. Ce n’est pas à crier sur tous les toits, ça ne regarde que nous, mais je ne veux pas revenir en arrière. J’ai besoin de toi tel que tu es Riven et de notre relation telle qu’elle est maintenant aussi. De la même façon que j’ai envie de te venir en aide, pas en tant que psy, mais en tant qu’amie. Car je tiens beaucoup à toi.
Etilya sur DK RPG
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Dim 20 Juin 2021 - 17:16
Irina se révélait plutôt rassurante dans ses propos, m'intimant -ou tout du moins de ce que je comprenais- que j'avais bien une place dans son entourage qui s'étendait. Cela me rassurait quelque peu. Je voulais y croire, croire que j'avais le droit d'appartenir à un cercle qui allait au delà d'une fonction professionnelle. Je n'avais eu que ça, jusqu'ici. C'était ce qui m'avait permis d'évoluer, de sortir hors de l'eau et de me hisser hautement dans l'existence. Mais à côté, je n'avais pas plus de liens, seulement des relations éphémères ou des collègues. Est-ce que moi aussi, je pouvais donc établir un lien émotionnel ? Mais à quel prix ? Pour combien de temps ? Tout cela me paraissait si compliqué alors pour toute réponse, je me contentais de hocher la tête silencieusement. Si elle me le disait, c'était bien qu'elle le pensait non ? Même si cela sortait d'une bouche capable des pires mensonges et des illusions les plus abjectes, je pouvais lui accorder ma confiance, n'est ce pas ? Comme pour dissiper mes doutes, elle se rapprochait, ses doigts venaient se glisser dans mes cheveux épais pour les caresser en me replaçant une mèche de cheveux. Elle avait l'air vraiment sincère. Sincère et honnête, car après tout cette nuit, nous nous étions livrées l'une à l'autre sans frontières et sans barrières.
Elle avait besoin de moi et j'avais besoin d'elle. Et même au-dessus de ces envies, nous nous complétions mutuellement. Nous étions une véritable équipe. Alors je lui offrais un petit sourire entendu, en venant tapoter son nez gentiment de mon index.
-Très bien. De toute manière, je n'ai aucune envie de revenir en arrière. Et si un jour je fais appel à toi, ce ne sera pas en tant que psychologue. J'ai ma fierté encore bien ancrée.
Je laissais échapper un rire détendu. Oui, je ne pouvais pas changer du jour au lendemain mais ce moment passé en sa compagnie et d'avoir pu m'exprimer comme je n'avais jamais pu le faire auparavant, me faisait du bien. Je me sentais déjà plus légère et sereine. Il fallait désormais que j'accepte ne pas être infaillible et chercher à passer au-dessus de cette colère tout en demeurant quand même, le mauvais diable que j'étais à la face du monde. Les sentiments, si je consentais à les laisser venir dans un cadre privé, ne devait surtout pas glisser dans mon domaine professionnel. Il ne fallait certainement pas qu'ils débordent, j'avais une réputation et un flambeau à tenir malgré tout. J'espérais simplement que ces deux choses soient compatibles dans ma vie.
-Je suis contente Irina, d'avoir partagé ce moment et cette discussion avec toi.
Je ne pouvais décemment pas être plus sincère, moi si renfrognée de ces choses habituellement au point qu'elles ne m'écorchent vivement la langue.
-Je tâcherai d'être à la hauteur de notre amitié et je te fais la promesse d'être présente également, si tu en ressens le besoin.
C'était sûrement le plus beau serment que je n'avais jamais prononcé.
Elle avait besoin de moi et j'avais besoin d'elle. Et même au-dessus de ces envies, nous nous complétions mutuellement. Nous étions une véritable équipe. Alors je lui offrais un petit sourire entendu, en venant tapoter son nez gentiment de mon index.
-Très bien. De toute manière, je n'ai aucune envie de revenir en arrière. Et si un jour je fais appel à toi, ce ne sera pas en tant que psychologue. J'ai ma fierté encore bien ancrée.
Je laissais échapper un rire détendu. Oui, je ne pouvais pas changer du jour au lendemain mais ce moment passé en sa compagnie et d'avoir pu m'exprimer comme je n'avais jamais pu le faire auparavant, me faisait du bien. Je me sentais déjà plus légère et sereine. Il fallait désormais que j'accepte ne pas être infaillible et chercher à passer au-dessus de cette colère tout en demeurant quand même, le mauvais diable que j'étais à la face du monde. Les sentiments, si je consentais à les laisser venir dans un cadre privé, ne devait surtout pas glisser dans mon domaine professionnel. Il ne fallait certainement pas qu'ils débordent, j'avais une réputation et un flambeau à tenir malgré tout. J'espérais simplement que ces deux choses soient compatibles dans ma vie.
-Je suis contente Irina, d'avoir partagé ce moment et cette discussion avec toi.
Je ne pouvais décemment pas être plus sincère, moi si renfrognée de ces choses habituellement au point qu'elles ne m'écorchent vivement la langue.
-Je tâcherai d'être à la hauteur de notre amitié et je te fais la promesse d'être présente également, si tu en ressens le besoin.
C'était sûrement le plus beau serment que je n'avais jamais prononcé.
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