1, 2 ,3... Soleil ! [12/07/2018]
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Asuna S. Hirano#106866#106866#106866#106866#106866#106866#106866
Lycan Alpha - Meute Hirano
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Mer 9 Fév 2022 - 10:53
1, 2, 3 … Soleil !
Feat Alyssa Mitsutsuki
Une nouvelle journée de cours… Un nouveau cours d’anatomie du corps humain… Par tous les Kamis qu’est-ce je m’ennuie ! Pourquoi j’dois encore assister à c’cours d’abord ? Je regarde mes notes, puis la date. Ouai… Les examens. J’avais presque oublié. Presque.
Enfin bon, ça allait. J’faisais parti d’un groupe de révision et puis c’est pas comme si j’avais pas déjà des bonnes bases dans l’domaine quoi. J’aime pas la pression qu’font les examens, mais j’sais qu’j’peux les traverser sans difficulté quoi. M’enfin en toute logique. Et puis bon, là les cours c’est quand même un peu d’la révision.
Alors quoi qu’il dit l’prof ? Ah oui oui les dentelés antérieurs ou M. serratus anterior parfaitement. Quel nom à coucher dehors ! Alors il fait quoi lui ? Ah non d’abord sa compo, okay okay. Donc trois faisceaux, mince, large, plat et quadrilatère, hn ok. Et ils servent à ? Ah d’accord ! Ils servent à la rotation latérale des épaules et leur allongement ! Ba voilà, fallait commencer par ça ! Hein ? Quoi ? Comment ça on le nomme aussi muscle costo-scapulaire de Chaussier ? C’est quoi ce muscle qui a trois noms là ! Oarf… m’en fou en fait. Et maintenant l’cours est fini ? Pour quoi faire ? Ah oui ça fait deux heures qu’on cause muscles… D’accord. P’tain j’en peux plus d’la théorie ! J’veux d’la pratique bon sang !
J’range mes affaires, et quitte l’amphi, pour aller squatter la biblio. Sait-on jamais si j’pouvais avoir un box pour piquer une sieste avant d’retrouver l’blondinet et les Manabu. J’laisse errer mon regard sur les gens dans la salle principale, va falloir que j’occupe cette pause d’une heure après tout. Soudain j’repère l’électron qui m’intrigue d’puis son arrivée. Elle est dans un box, porte ouverte, des livres étalés partout sur la table concurrençant clairement les notes éparpillés. Tient tient la petite vampire elle semble totalement dépassée. Quand j’vois ces notes… Elle est pas prête pour les examens qui arrivent clairement ! Bon ok, j’sais qu’elle a pas commencé y’a longtemps, mais là c’est carrément du suicide d’année quoi ! Débarquer à 15 jours des exams, en mode Wonder Woman j’vais tout déchirer… Pauvre petite vampirette utopiste. P’t’être qu’il va être grand temps qu’j’me présente mieux ! Aller on va arrêter d’jouer à cache-cache.
J’rentre dans l’box, ferme la porte, ce qui occulte immédiatement les parois en verre pour plus d’intimité et de concentration. J’pose mes affaires sur un p’tit coin de libre et mon sac sur une chaise et viens placer mon visage juste devant elle. P’tain j’suis allongée sur l’dos sur la table, c’est tout sauf confort, mais voir son instant de panique en m’voyant apparaître ça n’a pas d’prix ! J’ris gentiment en m’repositionnant normalement, puis m’incline rapidement.
« Ohayo ! Tu es nouvelle n’est-ce pas ? Je m’appelle Hirano Asuna et je suis en deuxième année. Si tu veux, je peux t’aider à y voir plus clair dans les cours que tu suis. Je peux peut-être t’aider à rattraper ce que tu as pu louper depuis le début du semestre.
Et puis j’aimerai savoir aussi pourquoi une jeune vampire, ne fuit pas les endroits où je me trouve ? Tous tes congénères m’ignorent soigneusement, ou alors agissent comme s’ils pouvaient me damer le pion avec leur air hautain. Pourquoi toi tu me fuis systématiquement ? »
Ouai ok, j’y vais p’t’être un peu fort. Mais bon ça fait genre trois fois qu’j’essaie d’lui parler pour faire ami-ami et qu’elle se casse. Genre j’ai la rage quoi ! J’aime pas n’pas comprendre, donc comme là elle peut pas filer à l’anglaise, j’vais p’t’être enfin avoir une explication !
Enfin… quand elle sera plus figé quoi. Elle a cru qu’on allait jouer à 1, 2, 3… Soleil ?
Enfin bon, ça allait. J’faisais parti d’un groupe de révision et puis c’est pas comme si j’avais pas déjà des bonnes bases dans l’domaine quoi. J’aime pas la pression qu’font les examens, mais j’sais qu’j’peux les traverser sans difficulté quoi. M’enfin en toute logique. Et puis bon, là les cours c’est quand même un peu d’la révision.
Alors quoi qu’il dit l’prof ? Ah oui oui les dentelés antérieurs ou M. serratus anterior parfaitement. Quel nom à coucher dehors ! Alors il fait quoi lui ? Ah non d’abord sa compo, okay okay. Donc trois faisceaux, mince, large, plat et quadrilatère, hn ok. Et ils servent à ? Ah d’accord ! Ils servent à la rotation latérale des épaules et leur allongement ! Ba voilà, fallait commencer par ça ! Hein ? Quoi ? Comment ça on le nomme aussi muscle costo-scapulaire de Chaussier ? C’est quoi ce muscle qui a trois noms là ! Oarf… m’en fou en fait. Et maintenant l’cours est fini ? Pour quoi faire ? Ah oui ça fait deux heures qu’on cause muscles… D’accord. P’tain j’en peux plus d’la théorie ! J’veux d’la pratique bon sang !
J’range mes affaires, et quitte l’amphi, pour aller squatter la biblio. Sait-on jamais si j’pouvais avoir un box pour piquer une sieste avant d’retrouver l’blondinet et les Manabu. J’laisse errer mon regard sur les gens dans la salle principale, va falloir que j’occupe cette pause d’une heure après tout. Soudain j’repère l’électron qui m’intrigue d’puis son arrivée. Elle est dans un box, porte ouverte, des livres étalés partout sur la table concurrençant clairement les notes éparpillés. Tient tient la petite vampire elle semble totalement dépassée. Quand j’vois ces notes… Elle est pas prête pour les examens qui arrivent clairement ! Bon ok, j’sais qu’elle a pas commencé y’a longtemps, mais là c’est carrément du suicide d’année quoi ! Débarquer à 15 jours des exams, en mode Wonder Woman j’vais tout déchirer… Pauvre petite vampirette utopiste. P’t’être qu’il va être grand temps qu’j’me présente mieux ! Aller on va arrêter d’jouer à cache-cache.
J’rentre dans l’box, ferme la porte, ce qui occulte immédiatement les parois en verre pour plus d’intimité et de concentration. J’pose mes affaires sur un p’tit coin de libre et mon sac sur une chaise et viens placer mon visage juste devant elle. P’tain j’suis allongée sur l’dos sur la table, c’est tout sauf confort, mais voir son instant de panique en m’voyant apparaître ça n’a pas d’prix ! J’ris gentiment en m’repositionnant normalement, puis m’incline rapidement.
« Ohayo ! Tu es nouvelle n’est-ce pas ? Je m’appelle Hirano Asuna et je suis en deuxième année. Si tu veux, je peux t’aider à y voir plus clair dans les cours que tu suis. Je peux peut-être t’aider à rattraper ce que tu as pu louper depuis le début du semestre.
Et puis j’aimerai savoir aussi pourquoi une jeune vampire, ne fuit pas les endroits où je me trouve ? Tous tes congénères m’ignorent soigneusement, ou alors agissent comme s’ils pouvaient me damer le pion avec leur air hautain. Pourquoi toi tu me fuis systématiquement ? »
Ouai ok, j’y vais p’t’être un peu fort. Mais bon ça fait genre trois fois qu’j’essaie d’lui parler pour faire ami-ami et qu’elle se casse. Genre j’ai la rage quoi ! J’aime pas n’pas comprendre, donc comme là elle peut pas filer à l’anglaise, j’vais p’t’être enfin avoir une explication !
Enfin… quand elle sera plus figé quoi. Elle a cru qu’on allait jouer à 1, 2, 3… Soleil ?
"Question direct"
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Mitsutsuki Alyssa#106874#106874#106874
Vampire Level B - Clan B. Ryan
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Dim 13 Fév 2022 - 1:59
Cela faisait peut de temps que je venais de rentrer à l'université. Mes séances de travail étaient très intensives. Non seulement je faisais tout pour rattraper le retard, mais en plus de ça je préparais les examens non pas d'un cursus mais bien DEUX! J'avais rapidement compris la charge de travail et la balle dans le pied que je m'étais tiré. Travaillant d'arrache pieds mes cours nuit et jours j'enchaînais d'user les feuilles et les crayons. Limite on pourrait croire que j'étais écrivain ou quelque chose dans le genre tellement j'étais concentré et rivé sur mes copies. Que j'enchaînais d'ailleurs. Pour le commun des mortels, j'étais juste une surdouée qui pouvait gérer deux cursus conjointement ou encore que je me la ramenais. La réalité était simplement que j'apprenais vite et que je n'étais pas humaine ce qui me permettais de faire l'équivalent de 3 jours de cours en 1 en terme d'heures. Malgré ma vitesse je manquais de temps. Je ne pourrais pas me mesurer pour me classer correctement. J'aurais juste le temps de sauver les meubles et éviter le soutiens.
La bibliothèque était l'endroit parfait pour avoir le calme et la sérénité d'apprendre. J'en profitais tant qu'elle était ouverte. La chose que je n'avais pas prévu et surtout que je n'avais ni entendu ou plutôt sentit venir tellement que j'étais absorbé dans mes révisions. C'était son arrivée. Encore. Purée à croire qu'elle me suivait partout. Je ne sais pas ce qu'elle avait cette fille. Autant j'étais certes introvertie, timide, peureuse et tout ça... alors que je devais me sociabiliser d'avantage. Autant elle, je ne la supportais pas. Intrusive, aucun respect de l'intimité, casse pieds et surtout POT DE GLUE!!!! On peut pas réviser tranquille bordel de MER*E!!! Première fois de ma vie que j'étais vraiment agacé. Elle posait tout le temps un tas de questions dans tout les sens en enchaînant plusieurs sujets à la fois que dans la finalité on comprenait rien de ce qu'elle disait ni même ce qu'elle voulait. Puis elle avait une odeur forte pour une humaine celle là.
Sa simple arrivé et tentative pour encore m'aborder... ah oui parce qu'elle avait déjà essayé à 3 reprises avant ça voyez vous. La première fois je l'ai fuit, la seconde fois je l'avais fait me chercher ailleurs si j'y étais et la dernière je l'avais trompé en allant non pas en médecine, mais dans mon cursus de droit. La voila qu'elle revient pour une quatrième tentative. Elle pensait surement qu'en se mettant dans un box étroit elle pourrait avoir sa chance. Grossière erreur. L'énervement commençait à bien grandir en moi. Elle me gênait vraiment. Aussi dans l'énervement, je brisais dans ma main le crayon en deux et un morceau finissait au sol. Mon regard devenait noir de colère. Je ne bougeait plus d'un pouce pendant bien une dizaine de secondes. Je pris la paroles pour ne répondre uniquement à chacune de ces virgules.
Oui. M'en fou. Pas besoin. Je m'en sors très bien seule.
Quand elle se mit à parler de vampire comme d'une évidence, je me demandais juste si elle cherchait à se payer ma tête comme toute les cruches qui parlent sans réfléchir ou si elle savait et auquel cas y a un problème. Je repris la parole.
T'es fêlée.
Et pour répondre juste au pourquoi je la fuis systématiquement...
Parce que tu m'emmerdes, je ne t'aimes pas, tu me gênes dans mes révisions.
Je lèves alors les yeux droit dans les yeux vraiment remonté.
Dégage!
Dans la finalité je me doutais qu'elle ne partirais pas d'elle même, le mieux à faire était simplement de ranger mes affaires et me casser de là. Rentrer finalement à Bonsecours car c'était le seul endroit où j'étais tranquille finalement. C'est drôle comment la prison de toute une vie pour moi était finalement le refuge de la tranquillité. Comme prévue elle ne bougeait pas. Elle était décidé à rester pour m'emmerder. Je rangeais mes affaires avec énergie. J'ouvrais le box et je me barrais à nouveau. Direction toilette pour femme, j'avais une idée en tête pour la fuir pour le coup histoire de brouiller les pistes. J'entrais dans les toilettes et prit pour cabine celle qui donnait accès aux conduites d'aération suffisamment grande pour que je puisse passer.
Lorsqu'elle eu son moment d'inattention parce qu'elle devait me penser coincé et qu'elle ne penserait pas que j'oserai m'aventurer dans des conduits. Elle parlait limite toute seule vu que je soupirais à chaque fois qu'elle parlait pour m'agacer. Une fois dans le conduit je me dépêchais pour avancer dedans au cas où elle chercherait à me suivre. Elle devait être assez folle pour ça d'ailleurs j'en étais presque sûr. L'avantage de cette chaîne de conduit c'était que c'était un labyrinthe. Je pouvais surement lui faire perdre assez de temps à me chercher pour fuir chez moi une fois de plus.
A gauche, à droite, à gauche, droit, tout droit, droite, gauche, gauche.... J'arrivais finalement au niveau d'un carrefour dans les conduits. J'avais le choix entre plusieurs chemins. Déjà la bonne nouvelle c'est qu'elle n'était pas derrière moi à ramper. Je pris le temps de me détendre un peu réfléchissant à quel chemin prendre. Gauche? Droite ? ou tout droit ?
La bibliothèque était l'endroit parfait pour avoir le calme et la sérénité d'apprendre. J'en profitais tant qu'elle était ouverte. La chose que je n'avais pas prévu et surtout que je n'avais ni entendu ou plutôt sentit venir tellement que j'étais absorbé dans mes révisions. C'était son arrivée. Encore. Purée à croire qu'elle me suivait partout. Je ne sais pas ce qu'elle avait cette fille. Autant j'étais certes introvertie, timide, peureuse et tout ça... alors que je devais me sociabiliser d'avantage. Autant elle, je ne la supportais pas. Intrusive, aucun respect de l'intimité, casse pieds et surtout POT DE GLUE!!!! On peut pas réviser tranquille bordel de MER*E!!! Première fois de ma vie que j'étais vraiment agacé. Elle posait tout le temps un tas de questions dans tout les sens en enchaînant plusieurs sujets à la fois que dans la finalité on comprenait rien de ce qu'elle disait ni même ce qu'elle voulait. Puis elle avait une odeur forte pour une humaine celle là.
Sa simple arrivé et tentative pour encore m'aborder... ah oui parce qu'elle avait déjà essayé à 3 reprises avant ça voyez vous. La première fois je l'ai fuit, la seconde fois je l'avais fait me chercher ailleurs si j'y étais et la dernière je l'avais trompé en allant non pas en médecine, mais dans mon cursus de droit. La voila qu'elle revient pour une quatrième tentative. Elle pensait surement qu'en se mettant dans un box étroit elle pourrait avoir sa chance. Grossière erreur. L'énervement commençait à bien grandir en moi. Elle me gênait vraiment. Aussi dans l'énervement, je brisais dans ma main le crayon en deux et un morceau finissait au sol. Mon regard devenait noir de colère. Je ne bougeait plus d'un pouce pendant bien une dizaine de secondes. Je pris la paroles pour ne répondre uniquement à chacune de ces virgules.
Oui. M'en fou. Pas besoin. Je m'en sors très bien seule.
Quand elle se mit à parler de vampire comme d'une évidence, je me demandais juste si elle cherchait à se payer ma tête comme toute les cruches qui parlent sans réfléchir ou si elle savait et auquel cas y a un problème. Je repris la parole.
T'es fêlée.
Et pour répondre juste au pourquoi je la fuis systématiquement...
Parce que tu m'emmerdes, je ne t'aimes pas, tu me gênes dans mes révisions.
Je lèves alors les yeux droit dans les yeux vraiment remonté.
Dégage!
Dans la finalité je me doutais qu'elle ne partirais pas d'elle même, le mieux à faire était simplement de ranger mes affaires et me casser de là. Rentrer finalement à Bonsecours car c'était le seul endroit où j'étais tranquille finalement. C'est drôle comment la prison de toute une vie pour moi était finalement le refuge de la tranquillité. Comme prévue elle ne bougeait pas. Elle était décidé à rester pour m'emmerder. Je rangeais mes affaires avec énergie. J'ouvrais le box et je me barrais à nouveau. Direction toilette pour femme, j'avais une idée en tête pour la fuir pour le coup histoire de brouiller les pistes. J'entrais dans les toilettes et prit pour cabine celle qui donnait accès aux conduites d'aération suffisamment grande pour que je puisse passer.
Lorsqu'elle eu son moment d'inattention parce qu'elle devait me penser coincé et qu'elle ne penserait pas que j'oserai m'aventurer dans des conduits. Elle parlait limite toute seule vu que je soupirais à chaque fois qu'elle parlait pour m'agacer. Une fois dans le conduit je me dépêchais pour avancer dedans au cas où elle chercherait à me suivre. Elle devait être assez folle pour ça d'ailleurs j'en étais presque sûr. L'avantage de cette chaîne de conduit c'était que c'était un labyrinthe. Je pouvais surement lui faire perdre assez de temps à me chercher pour fuir chez moi une fois de plus.
A gauche, à droite, à gauche, droit, tout droit, droite, gauche, gauche.... J'arrivais finalement au niveau d'un carrefour dans les conduits. J'avais le choix entre plusieurs chemins. Déjà la bonne nouvelle c'est qu'elle n'était pas derrière moi à ramper. Je pris le temps de me détendre un peu réfléchissant à quel chemin prendre. Gauche? Droite ? ou tout droit ?
Asuna S. Hirano#106879#106879#106879#106879#106879#106879#106879
Lycan Alpha - Meute Hirano
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Ven 18 Fév 2022 - 15:57
1, 2, 3 … Soleil !
Feat Alyssa Mitsutsuki
Ouai elle revient à elle en cassant son crayon. L’pauvre il a rien d’mandé lui. Et puis d’abord pourquoi elle semble s’énerver ? Il est où l’malaise ? Et puis franchement… on en est vraiment à jouer à répondre à la virgule près ? Visiblement. C’est d’un triste ! En plus y’a du mensonge dans ses réponses, y’a qu’à r’garder la table pour savoir qu’elle s’en sort pas toute seule. Ah franchement, y’a quand même des trucs qui m’échappe dans l’comportement des vampires !
Moi ? Fêlée ? Mais du tout ! Pour qui elle se prend la p’tite là ! Non mais sérieux, c’est quoi cette vampirette qui nie qu’elle est une vampirette ? Elle a l’odorat bouché ou quoi ?! A part les humains, tous les vampires et lycans du campus savent ce qu’elle est, y’a pas b’soin de faire style elle voit pas d’quoi j’parle !
Je… l’emmerde ? Elle m’aime pas et je la gêne ? La vache si j’m’attendais à ça ! En plus j’comprends même pas pourquoi. Non mais c’est vrai quoi ! Pour apprécier ou non quelqu’un, faut au moins accepter d’lui parler ! Là elle ne le fait même pas ! Quand à l’emmerder et la gêner… Il lui en faut pas beaucoup visiblement. Parce qu’franchement j’ai pas encore fait grand-chose pour… A part tenter trois fois d’me présenter et d’lui parler.
J’reste stoïque face à son ordre. Genre j’vais obéir à une gamine qui a cinq fois moins d’année qu’moi ? Plus aucun respect ces p’tits jeunes sérieusement.
« Je ne cherchais pas à t’emmerder, ou à te gêner dans tes révisions, au contraire je te propose de l’aide. Ensuite que tu ne m’aimes pas, je veux bien l’admettre mais vu que tu préfères me fuir sans me côtoyer, j’ai du mal à comprendre comment tu peux ne pas m’apprécier.
Quant à ton ordre… ce n’est pas ainsi qu’on s’adresse à un senpai. Même si on n’apprécie pas le senpai en question. »
J’vais pas m’excuser pour avoir voulu une réponse et lui filer un coup d’main. Non mais oh faudrait pas pousser la louve dans la prairie non plus !
Minute. Elle fait quoi là ? Ah ba je vois, bravo. Encore une fuite. C’est plus 1, 2, 3… Soleil là, mais à cache-cache qu’on joue. Franchement, ça commence à m’fatiguée ces conneries. Elle comprend pas qu’j’peux la pister partout sur l’campus ou quoi ? J’la regarde partir, puis la suis nonchalamment jusqu’aux toilettes. Donc une zone sans issue à première vue. Enfin, vu l’énergumène j’suis convaincue qu’elle va bien m’en créer une. Mais bon aller, j’vais jouer l’jeu. De toute façon, même si elle s’échappe, j’vais la pister pour qu’on mette les choses au clair elle et moi.
« Mitsutsuki-san, je ne te veux pas de mal. J’aimerai seulement t’aider un peu, comme tout senpai. Je sais que tu suis un double cursus, et que cela te demande beaucoup pour être au niveau dans les deux. J’étais infirmière avant de reprendre mes études pour devenir médecin. Je peux t’aider à passer ta première année sans trop de difficultés. »
Ouai j’parle à un mur. Un mur qui croit qu’l’entend pas s’faufiler dans les conduits. J’soupire. Bien bien, on va continuer ton petit jeu. Juste je vais t’attendre à la sortie quoi. D’toute façon, si j’arrive en r’tard pour réviser dans l’groupe, c’est pas la cata en fait. Y’a rien d’obligatoire. Du coup, j’suis l’bruit qu’elle fait et son odeur un peu plus diffuse tranquillement. J’vais parfois à contre-sens des autres étudiants mais personne s’en soucie. Faut dire qu’entre ceux qui courent pour changer d’salle, ceux qui bossent par terre, ceux qui gloussent entre eux, et les autres qui semblent perdus… qui ferait attention à une femme qui semble savoir précisément où elle va ? Personne.
Avec tout ça, j’arrive dans une partie peu utilisé du bâtiment. Et j’sais où elle va être obligée d’sortir, puisque deux des trois conduits menaient à des culs-de-sacs. J’entre donc dans la seule salle possible, verrouille fenêtres et portes, même si normalement ça d’vrait pas l’arrêter l’moins du monde. Enfin j’m’installe tranquillement au bureau qui est normalement c’lui du prof et j’patiente.
Il s’écoule pas beaucoup d’temps avant qu’elle aparaisse, visiblement contente d’elle et sûre d’m’avoir semée. L’est temps d’la détromper.
« Est-ce qu’il serait possible d’avoir une vraie discussion, ou tu préfères qu’on continue de jouer à cache-cache ? Non parce que si tu préfères cette option, je veux bien, mais tu vas perdre.
Maintenant Mitsutsuki-san, je te le redis, je ne suis pas ton ennemie, je veux juste t’aider. Surtout que, pardonne mon franc parlé, mais tu sembles totalement perdue comme si tu ne venais pas de cette planète.
Alors dit-moi, c’est quoi le vrai problème ? »
Moi ? Fêlée ? Mais du tout ! Pour qui elle se prend la p’tite là ! Non mais sérieux, c’est quoi cette vampirette qui nie qu’elle est une vampirette ? Elle a l’odorat bouché ou quoi ?! A part les humains, tous les vampires et lycans du campus savent ce qu’elle est, y’a pas b’soin de faire style elle voit pas d’quoi j’parle !
Je… l’emmerde ? Elle m’aime pas et je la gêne ? La vache si j’m’attendais à ça ! En plus j’comprends même pas pourquoi. Non mais c’est vrai quoi ! Pour apprécier ou non quelqu’un, faut au moins accepter d’lui parler ! Là elle ne le fait même pas ! Quand à l’emmerder et la gêner… Il lui en faut pas beaucoup visiblement. Parce qu’franchement j’ai pas encore fait grand-chose pour… A part tenter trois fois d’me présenter et d’lui parler.
J’reste stoïque face à son ordre. Genre j’vais obéir à une gamine qui a cinq fois moins d’année qu’moi ? Plus aucun respect ces p’tits jeunes sérieusement.
« Je ne cherchais pas à t’emmerder, ou à te gêner dans tes révisions, au contraire je te propose de l’aide. Ensuite que tu ne m’aimes pas, je veux bien l’admettre mais vu que tu préfères me fuir sans me côtoyer, j’ai du mal à comprendre comment tu peux ne pas m’apprécier.
Quant à ton ordre… ce n’est pas ainsi qu’on s’adresse à un senpai. Même si on n’apprécie pas le senpai en question. »
J’vais pas m’excuser pour avoir voulu une réponse et lui filer un coup d’main. Non mais oh faudrait pas pousser la louve dans la prairie non plus !
Minute. Elle fait quoi là ? Ah ba je vois, bravo. Encore une fuite. C’est plus 1, 2, 3… Soleil là, mais à cache-cache qu’on joue. Franchement, ça commence à m’fatiguée ces conneries. Elle comprend pas qu’j’peux la pister partout sur l’campus ou quoi ? J’la regarde partir, puis la suis nonchalamment jusqu’aux toilettes. Donc une zone sans issue à première vue. Enfin, vu l’énergumène j’suis convaincue qu’elle va bien m’en créer une. Mais bon aller, j’vais jouer l’jeu. De toute façon, même si elle s’échappe, j’vais la pister pour qu’on mette les choses au clair elle et moi.
« Mitsutsuki-san, je ne te veux pas de mal. J’aimerai seulement t’aider un peu, comme tout senpai. Je sais que tu suis un double cursus, et que cela te demande beaucoup pour être au niveau dans les deux. J’étais infirmière avant de reprendre mes études pour devenir médecin. Je peux t’aider à passer ta première année sans trop de difficultés. »
Ouai j’parle à un mur. Un mur qui croit qu’l’entend pas s’faufiler dans les conduits. J’soupire. Bien bien, on va continuer ton petit jeu. Juste je vais t’attendre à la sortie quoi. D’toute façon, si j’arrive en r’tard pour réviser dans l’groupe, c’est pas la cata en fait. Y’a rien d’obligatoire. Du coup, j’suis l’bruit qu’elle fait et son odeur un peu plus diffuse tranquillement. J’vais parfois à contre-sens des autres étudiants mais personne s’en soucie. Faut dire qu’entre ceux qui courent pour changer d’salle, ceux qui bossent par terre, ceux qui gloussent entre eux, et les autres qui semblent perdus… qui ferait attention à une femme qui semble savoir précisément où elle va ? Personne.
Avec tout ça, j’arrive dans une partie peu utilisé du bâtiment. Et j’sais où elle va être obligée d’sortir, puisque deux des trois conduits menaient à des culs-de-sacs. J’entre donc dans la seule salle possible, verrouille fenêtres et portes, même si normalement ça d’vrait pas l’arrêter l’moins du monde. Enfin j’m’installe tranquillement au bureau qui est normalement c’lui du prof et j’patiente.
Il s’écoule pas beaucoup d’temps avant qu’elle aparaisse, visiblement contente d’elle et sûre d’m’avoir semée. L’est temps d’la détromper.
« Est-ce qu’il serait possible d’avoir une vraie discussion, ou tu préfères qu’on continue de jouer à cache-cache ? Non parce que si tu préfères cette option, je veux bien, mais tu vas perdre.
Maintenant Mitsutsuki-san, je te le redis, je ne suis pas ton ennemie, je veux juste t’aider. Surtout que, pardonne mon franc parlé, mais tu sembles totalement perdue comme si tu ne venais pas de cette planète.
Alors dit-moi, c’est quoi le vrai problème ? »
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Mer 23 Fév 2022 - 19:37
Je ne l'écoutais pas, j'étais même ignoble avec elle pour des raisons qui me sont propre. Le pire dans tout ça c'est que nos espèces différentes n'étaient pas la cause de mon refus d'être avec elle. Pour être claire, je ne savais pas ce qu'elle était pour être exacte. Surement une humaine avec un pigment plus épicé ? Je pensais que j'allais me débarrasser d'elle d'une manière ou d'une autre. Cela faisait bien... trois fois que j'avais réussi à la fuir donc une quatrième fois serait facile. Ce qui me perturba immédiatement lorsqu'en tombant du plafond dans une salle de classe normalement déserte, elle était déjà là à m'attendre et elle reprit la parole qu'elle me fit crier de peur puisque je ne l'avais pas encore sentit et que je lui tournais le dos. Mon odora était perturbé par l'odeur de poussière stagnante des conduites.
Aahhh!!!
Je reculais de deux pas avant de tomber au sol sur mes deux petites fesses. Je me mis à la pointer du doigt ne comprenant pas comment elle pouvait d'une être déjà là et la seconde être là comme si elle pouvait savoir ou me suivre à la trace. Je ne comprenais pas, pourtant ce n'était pas une vampire. Mais qui était elle ?
Mais comment...tu...c'est pas possible!
Je me relevais, me débarrassant de la poussière qui s'était accroché à mes vêtements ou mes cheveux. Je n'étais pas tranquille, je me sentais prise au piège. Elle avait beau être assise comme si de rien n'était, aucune échappatoire et le conduit était trop haut pour ma petite taille de l'atteindre. Je fronçais les sourcils agacé et faisais face. Si je le savais devant qui et surtout quoi je faisais face, je n'aurai jamais pris autant d'assurance. Une petite vampire scellée faisait face à une lycane. La scène était d'un ridicule pour une vue extérieur.
Qu'est ce que tu veux?...
Je la regardais en faisant les cents pas sans jamais la quitter du regard.
Mais je l'ai déjà dit et je le répète, je ne veux pas d'aide. Je me débrouille toute seule!
Puis parce qu'en plus d'être énervée je jouais avec les mots... je tournais ses paroles pour lui répondre à la prendre pour une idiote. Bien que dans un cas généralisé, j'étais la plus idiote de nous deux.
Ahhh... mince je suis démasquée. Tu as raison, je ne viens pas de cette planète. Je viens même d'une autre galaxie. Je me suis mêlée à vous humains pour comprendre votre manière de fonctionner.
Mon problème ? Toi. Je suis tranquille dans mon coin je cherche à suivre tranquillement les cours sachant que je n'ai pas de temps à perdre. Tu te ramènes, cherche à me faire décrocher ou m'empêcher d'écouter convenablement les professeurs. Tu me harcelle continuellement, tu es intrusive, tu poses des questions personnelles sur moi, tu te permets de m'espionner, tu me suis partout comme si j'étais une bête de foire, tu dis des choses insensé qui n'ont ni queue ni tête,....
La liste fut longue. La blonde en prenait pour son collimateur et ce en plaine face. Elle m'effrayait dans sa façon de faire et d'agir. Personnellement elle me faisait peur car je ne savais pas ce qu'elle avait dans la tête et le fait d'être dans une pièce qui semblait bien fermée ne faisais qu'accentuer le stresse et l'insécurité que je ressentais. J'avais une grande bouche, mais s'était pour cacher l'inconditionnelle peureuse que j'étais. Je ne cessait des reproches de ce qu'elle me faisait vivre ou que je ressentais à cause d'elle. La liste était interminable et pourtant j'arrivais enfin à la fin.
... on dirait une psychopathe à me suivre partout et preuve je remarque que tu as fermé tout les accès, tu es stressante, tu m'effrayes et JE...TE...DETESTE POUR TOUT CA!
J'étais effrayée et énervée. Je pensais que je devais bien être la première à être assez folle de lui tenir tête. Elle aurait pu me tuer bon nombre de fois déjà. Et tout ça je ne le savais pas car je ne savais pas que son odeur définissait l'espèce que je désirais étudier par admiration mais qui m'était également mortel. Je n'avais ni réduit, ni agrandit la distance entre nous.
Maintenant que tout est dit, laisse moi tranquille et trouve quelqu'un d'autre à embêter. Y a plein d'autre étudiants qui aurait bien plus besoin d'un senpai que moi. Tu n'as qu'a aller les voir eux. J'ai besoin de personne, je me débrouille seule.
Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi elle cherchait autant à me coller comme ça. La première fois qu'elle était venu m'aborder il y avait de quoi ne rien comprendre. J'étais tranquillement en amphithéâtre isolé vers le fond et je précise que c'est un cours de première année. Puis sur la fin, elle a débarqué comme ça marchant vers une destination précise, moi. C'est là que les ennuis ont commencé. Après ça elle séchait apparemment plusieurs de ses cours pour que je la vois et elle a essayé à deux autres reprise à discuter. Toujours de la même façon qu'aujourd'hui. Il y a bien une fois ou elle s'est fait avoir à débarqué, car j'ai eu écho qu'elle me cherchait alors que j'avais décidé ce jour là d'aller en droit et non en médecine. Les dires des autres étudiants lui avaient ensuite fournis la réponse que je suivais deux cursus et une rumeurs qui disait que j'étais bizarre et très introvertie. Je ne pensais pas être bizarre même si j'affirmais d'être introvertie. Mais le fait que la blonde devant moi disait que je venais d'une autre planète. Cela devait surement confirmer les rumeurs...
Aahhh!!!
Je reculais de deux pas avant de tomber au sol sur mes deux petites fesses. Je me mis à la pointer du doigt ne comprenant pas comment elle pouvait d'une être déjà là et la seconde être là comme si elle pouvait savoir ou me suivre à la trace. Je ne comprenais pas, pourtant ce n'était pas une vampire. Mais qui était elle ?
Mais comment...tu...c'est pas possible!
Je me relevais, me débarrassant de la poussière qui s'était accroché à mes vêtements ou mes cheveux. Je n'étais pas tranquille, je me sentais prise au piège. Elle avait beau être assise comme si de rien n'était, aucune échappatoire et le conduit était trop haut pour ma petite taille de l'atteindre. Je fronçais les sourcils agacé et faisais face. Si je le savais devant qui et surtout quoi je faisais face, je n'aurai jamais pris autant d'assurance. Une petite vampire scellée faisait face à une lycane. La scène était d'un ridicule pour une vue extérieur.
Qu'est ce que tu veux?...
Je la regardais en faisant les cents pas sans jamais la quitter du regard.
Mais je l'ai déjà dit et je le répète, je ne veux pas d'aide. Je me débrouille toute seule!
Puis parce qu'en plus d'être énervée je jouais avec les mots... je tournais ses paroles pour lui répondre à la prendre pour une idiote. Bien que dans un cas généralisé, j'étais la plus idiote de nous deux.
Ahhh... mince je suis démasquée. Tu as raison, je ne viens pas de cette planète. Je viens même d'une autre galaxie. Je me suis mêlée à vous humains pour comprendre votre manière de fonctionner.
Mon problème ? Toi. Je suis tranquille dans mon coin je cherche à suivre tranquillement les cours sachant que je n'ai pas de temps à perdre. Tu te ramènes, cherche à me faire décrocher ou m'empêcher d'écouter convenablement les professeurs. Tu me harcelle continuellement, tu es intrusive, tu poses des questions personnelles sur moi, tu te permets de m'espionner, tu me suis partout comme si j'étais une bête de foire, tu dis des choses insensé qui n'ont ni queue ni tête,....
La liste fut longue. La blonde en prenait pour son collimateur et ce en plaine face. Elle m'effrayait dans sa façon de faire et d'agir. Personnellement elle me faisait peur car je ne savais pas ce qu'elle avait dans la tête et le fait d'être dans une pièce qui semblait bien fermée ne faisais qu'accentuer le stresse et l'insécurité que je ressentais. J'avais une grande bouche, mais s'était pour cacher l'inconditionnelle peureuse que j'étais. Je ne cessait des reproches de ce qu'elle me faisait vivre ou que je ressentais à cause d'elle. La liste était interminable et pourtant j'arrivais enfin à la fin.
... on dirait une psychopathe à me suivre partout et preuve je remarque que tu as fermé tout les accès, tu es stressante, tu m'effrayes et JE...TE...DETESTE POUR TOUT CA!
J'étais effrayée et énervée. Je pensais que je devais bien être la première à être assez folle de lui tenir tête. Elle aurait pu me tuer bon nombre de fois déjà. Et tout ça je ne le savais pas car je ne savais pas que son odeur définissait l'espèce que je désirais étudier par admiration mais qui m'était également mortel. Je n'avais ni réduit, ni agrandit la distance entre nous.
Maintenant que tout est dit, laisse moi tranquille et trouve quelqu'un d'autre à embêter. Y a plein d'autre étudiants qui aurait bien plus besoin d'un senpai que moi. Tu n'as qu'a aller les voir eux. J'ai besoin de personne, je me débrouille seule.
Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi elle cherchait autant à me coller comme ça. La première fois qu'elle était venu m'aborder il y avait de quoi ne rien comprendre. J'étais tranquillement en amphithéâtre isolé vers le fond et je précise que c'est un cours de première année. Puis sur la fin, elle a débarqué comme ça marchant vers une destination précise, moi. C'est là que les ennuis ont commencé. Après ça elle séchait apparemment plusieurs de ses cours pour que je la vois et elle a essayé à deux autres reprise à discuter. Toujours de la même façon qu'aujourd'hui. Il y a bien une fois ou elle s'est fait avoir à débarqué, car j'ai eu écho qu'elle me cherchait alors que j'avais décidé ce jour là d'aller en droit et non en médecine. Les dires des autres étudiants lui avaient ensuite fournis la réponse que je suivais deux cursus et une rumeurs qui disait que j'étais bizarre et très introvertie. Je ne pensais pas être bizarre même si j'affirmais d'être introvertie. Mais le fait que la blonde devant moi disait que je venais d'une autre planète. Cela devait surement confirmer les rumeurs...
Asuna S. Hirano#106937#106937#106937#106937#106937#106937#106937
Lycan Alpha - Meute Hirano
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Yens : 117
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Dim 19 Juin 2022 - 14:39
1, 2, 3 … Soleil !
Feat Alyssa Mitsutsuki
La voilà qui crie maintenant. Non mais tout va bien hein ! Y’a pas d’fantôme dans l’coin, fin j’crois pas. Franchement faut pas grand-chose pour la faire flipper la p’tite là. Et bien flipper en plus vu qu’la voilà les quatre fers en l’air. Sérieusement, ni Heiji ni Joli Cœur n’ont autant flippé en m’voyant. J’vais vraiment finir par mal le prendre.
« Petite, on ne pointe pas du doigt, ce n’est pas très poli. »
J’ai clairement plus envie d’faire dans la dentelle là. Soit on crève l’abscès, soit elle va vite comprendre à quel point j’peux être chiante. Même Oji-san finissait par plier d’vant moi, et pourtant il était le chef du clan quoi ! J’pense que ça suffit à montrer le niveau de chiantitude dont j’sais faire preuve si b’soin.
Hein ? Comment ça pas possible ? Mais c’est qu’elle doit avoir la truffe rouillée de chez rouillé la gamine là. J’sais pas tous les autres vampires du campus savent que j’suis une lycane… et que j’pourrai les défoncer si l’envie m’en prenait vu que j’suis une arme vivante contre eux. Mais elle non, non elle continue d’faire style elle comprend pas. A moins que… Non. Non c’est pas possible ! Vraiment ? Mais de quelle grotte elle sort !
« J’ignore ce qui me surprend le plus. Ta réaction digne d’une enfant ou ton ignorance ? Est-il vraiment possible que tu ignores ce que je suis ? »
J’lâche ça comme ça au calme, pendant qu’elle se relève, s’époussette et comment une tentative de creusage de tranché. C’est ça oui surtout m’quitte pas des yeux, on sait jamais si j’m’évaporais comme pouf ! Franchement… J’croyais les vampires moins bêtes qu’ça. Non j’étais, j’suis !, habitué à croisé des vampires qui font fonctionner leur cerveau et savent identifier une menace potentielle. Elle… Elle ba c’est comme dire ? Un bébé oiseau tombé du nid quoi. J’ai pas vraiment d’autre façon d’la voir.
Vraiment ? Tu vas m’prendre pour une conne en plus ? Ok. Vas-y fait toi plaisir, rien à battre. Enfin… si tu vas trop loin tu vas vite comprendre ta douleur quoi. Parce que bon… j’peux être gentille, compréhensive et tout mais y’a quand même des limites ! Je te suis ? P’tain j’peux pas m’empêcher d’éclater de rire. J’te suis même pas ! On est sur l’même campus bordel ! On va dans les mêmes biblio ! On suit le même cursus ! Forcément qu’j’vais t’tomber d’sus ! Par tous les Kamis, là je sais pas jusqu’où vous avez creusé… mais c’est clairement trop profond pour moi.
En plus tu flippes tellement qu’l’odeur d’vient presque plus supportable. C’est pas parce que j’ai tout fermé qu’tu peux pas fuir ! Ah si pardon… j’oubliais que clairement tu m’crois humaine. J’sais pas qui sont tes parents, mais clairement ils ont loupé les soixante-dix dernières années-là. Va clairement falloir s’calmer là, j’vais pas te manger. J’suis assise au calme, les pieds sur l’bureau, j’suis pas dans une bonne position pour t’sauter d’sus.
Mon regard se durcit instantanément. Que tu flippes ok. Que tu me prennes pour une cruche… passe encore. Mais là ma p’tite, tu viens de franchir la ligne rouge. Tu penses que j’ai l’air d’une psychopathe ? Très bien. J’vais te montrer à quoi ça peut réellement ressembler.
J’me lève calmement, visage fermé, et j’vais me planter juste devant elle. J’la force à reculer jusqu’au mur après ça et pour faire bonne mesure, j’cogne le mur à côté d’sa tête. J’me retiens, question d’pas tout faire s’effondrer mais bon… mon poing s’incruste bien dedans quand même.
« Fini de jouer maintenant. On va mettre les choses au point.
Je sais pas de quel sombre endroit ou grotte tu sors, mais ici c’est pas ton petit monde où rien ne peut se passer. T’es à deux doigts de te pisser dessus là, tu en as bien conscience j’espère ? Tu veux vraiment que je devienne une psychopathe ? Sache que des gamines irréfléchi comme toi j’en ai croisé des tas dans ma vie, et contrairement à moi elles ne sont plus là. Et j’ai tenue tête à des gens infiniment plus dangereux que toi avant même que tu ne sois un spermatozoïde dans les couilles de ton père et un ovule dans les ovaires de ta mère, ou même une idée dans leurs esprits.
Tu es jeune, à ce titre je veux bien tolérer beaucoup de chose, mais comme pour tout il y a des limites. Puisque visiblement tu ne comprends pas, ou que tu fais comme si tu ne comprenais pas, je vais t’expliquer les choses plus clairement. »
Je la fixe d’un regard noir, ce qui lui cloue momentanément le bec. J’ai plus envie d’être gentille. Elle va redescendre sur terre la gamine.
« Tu es une vampire. Tu ne veux pas l’admettre devant les autres : ton problème. Tu ne veux pas que ça se sache : ton problème. Tu veux te mentir à toi-même sur ce que tu es ? Mais comme tu veux j’en ai rien à carrer ! En revanche, il est temps que tu ouvres les yeux.
Moi je peux te tuer, te réduire en cendre au sens strict du terme.
Tu sais pourquoi je m’intéresse à toi petite ? Parce que tu es la seule vampire de cette université à ne pas agir comme tous les vampires face à moi ! Le plus beau c’est que tu ne comprends même pas à quoi je fais allusion. Je n’ai pas besoin de te pister, on fait le même cursus. Tu empestes l’air avec ta fatigue et ta peur. Aucun être surnaturel n’ignore ton état.
Tu te penses folle à me tenir tête ? Ce n’est pas si important. Ce qui te rend folle à mes yeux, c’est de m’insulter et de me manquer de respect. Tu veux que je sois vraiment méchante avec toi ? Je peux l’être, ce n’est pas compliqué, mais sache que la prochaine fois qu’on se croise je ne me contenterai pas de te parler durement. Je peux faire bien pire que ça. »
Je retire mon poing du mur, enlève négligemment la poussière se trouvant dessus comme si de rien n’était. Zéro trace, donc même pas de compte à rendre une fois rentrée chez moi. Pas besoin de dire à Heiji que j’ai failli bouffé du vampire.
« Maintenant tu poses ton cul sur une chaise, tu arrêtes de me prendre pour une conne et tu cesses de te comporter en gamine pourri. Tu es une trouillarde, tu es totalement perdu et tu le sais. Donc tu mets ton égo surdimensionné de côté, et tu admets que tu es en train de te noyer avec la charge de travail que tu as.
Et bien sûr, tu t’excuses de m’avoir traité de psychopathe. Parce que tu n’as pas la moindre idée de ce que c’est réellement. Et crois-moi, je suis à des années lumières d’en être vraiment une. Je peux m’en approcher, je l’ai déjà fait. Mais jamais je ne pourrai atteindre cet état. Me suis-je bien fait comprendre ? »
Je continue de la fixer durement. Oh oui des psychopathes j’en ai croisé. Ils ont ruinés ma vie, m’ont transformé. Malheureusement je leur dois ce que je suis aujourd’hui. Cependant jamais je n’oublierai leurs sourires, leurs rires, leurs mains sur moi… Ils sont marqué au fer rouge sur ma peau, dans mon cœur et mon esprit. Et la part de folie qui sommeil en moi et qui y est toujours associée, n’est jamais bien loin pour sortir de sa cage…
« Petite, on ne pointe pas du doigt, ce n’est pas très poli. »
J’ai clairement plus envie d’faire dans la dentelle là. Soit on crève l’abscès, soit elle va vite comprendre à quel point j’peux être chiante. Même Oji-san finissait par plier d’vant moi, et pourtant il était le chef du clan quoi ! J’pense que ça suffit à montrer le niveau de chiantitude dont j’sais faire preuve si b’soin.
Hein ? Comment ça pas possible ? Mais c’est qu’elle doit avoir la truffe rouillée de chez rouillé la gamine là. J’sais pas tous les autres vampires du campus savent que j’suis une lycane… et que j’pourrai les défoncer si l’envie m’en prenait vu que j’suis une arme vivante contre eux. Mais elle non, non elle continue d’faire style elle comprend pas. A moins que… Non. Non c’est pas possible ! Vraiment ? Mais de quelle grotte elle sort !
« J’ignore ce qui me surprend le plus. Ta réaction digne d’une enfant ou ton ignorance ? Est-il vraiment possible que tu ignores ce que je suis ? »
J’lâche ça comme ça au calme, pendant qu’elle se relève, s’époussette et comment une tentative de creusage de tranché. C’est ça oui surtout m’quitte pas des yeux, on sait jamais si j’m’évaporais comme pouf ! Franchement… J’croyais les vampires moins bêtes qu’ça. Non j’étais, j’suis !, habitué à croisé des vampires qui font fonctionner leur cerveau et savent identifier une menace potentielle. Elle… Elle ba c’est comme dire ? Un bébé oiseau tombé du nid quoi. J’ai pas vraiment d’autre façon d’la voir.
Vraiment ? Tu vas m’prendre pour une conne en plus ? Ok. Vas-y fait toi plaisir, rien à battre. Enfin… si tu vas trop loin tu vas vite comprendre ta douleur quoi. Parce que bon… j’peux être gentille, compréhensive et tout mais y’a quand même des limites ! Je te suis ? P’tain j’peux pas m’empêcher d’éclater de rire. J’te suis même pas ! On est sur l’même campus bordel ! On va dans les mêmes biblio ! On suit le même cursus ! Forcément qu’j’vais t’tomber d’sus ! Par tous les Kamis, là je sais pas jusqu’où vous avez creusé… mais c’est clairement trop profond pour moi.
En plus tu flippes tellement qu’l’odeur d’vient presque plus supportable. C’est pas parce que j’ai tout fermé qu’tu peux pas fuir ! Ah si pardon… j’oubliais que clairement tu m’crois humaine. J’sais pas qui sont tes parents, mais clairement ils ont loupé les soixante-dix dernières années-là. Va clairement falloir s’calmer là, j’vais pas te manger. J’suis assise au calme, les pieds sur l’bureau, j’suis pas dans une bonne position pour t’sauter d’sus.
Mon regard se durcit instantanément. Que tu flippes ok. Que tu me prennes pour une cruche… passe encore. Mais là ma p’tite, tu viens de franchir la ligne rouge. Tu penses que j’ai l’air d’une psychopathe ? Très bien. J’vais te montrer à quoi ça peut réellement ressembler.
J’me lève calmement, visage fermé, et j’vais me planter juste devant elle. J’la force à reculer jusqu’au mur après ça et pour faire bonne mesure, j’cogne le mur à côté d’sa tête. J’me retiens, question d’pas tout faire s’effondrer mais bon… mon poing s’incruste bien dedans quand même.
« Fini de jouer maintenant. On va mettre les choses au point.
Je sais pas de quel sombre endroit ou grotte tu sors, mais ici c’est pas ton petit monde où rien ne peut se passer. T’es à deux doigts de te pisser dessus là, tu en as bien conscience j’espère ? Tu veux vraiment que je devienne une psychopathe ? Sache que des gamines irréfléchi comme toi j’en ai croisé des tas dans ma vie, et contrairement à moi elles ne sont plus là. Et j’ai tenue tête à des gens infiniment plus dangereux que toi avant même que tu ne sois un spermatozoïde dans les couilles de ton père et un ovule dans les ovaires de ta mère, ou même une idée dans leurs esprits.
Tu es jeune, à ce titre je veux bien tolérer beaucoup de chose, mais comme pour tout il y a des limites. Puisque visiblement tu ne comprends pas, ou que tu fais comme si tu ne comprenais pas, je vais t’expliquer les choses plus clairement. »
Je la fixe d’un regard noir, ce qui lui cloue momentanément le bec. J’ai plus envie d’être gentille. Elle va redescendre sur terre la gamine.
« Tu es une vampire. Tu ne veux pas l’admettre devant les autres : ton problème. Tu ne veux pas que ça se sache : ton problème. Tu veux te mentir à toi-même sur ce que tu es ? Mais comme tu veux j’en ai rien à carrer ! En revanche, il est temps que tu ouvres les yeux.
Moi je peux te tuer, te réduire en cendre au sens strict du terme.
Tu sais pourquoi je m’intéresse à toi petite ? Parce que tu es la seule vampire de cette université à ne pas agir comme tous les vampires face à moi ! Le plus beau c’est que tu ne comprends même pas à quoi je fais allusion. Je n’ai pas besoin de te pister, on fait le même cursus. Tu empestes l’air avec ta fatigue et ta peur. Aucun être surnaturel n’ignore ton état.
Tu te penses folle à me tenir tête ? Ce n’est pas si important. Ce qui te rend folle à mes yeux, c’est de m’insulter et de me manquer de respect. Tu veux que je sois vraiment méchante avec toi ? Je peux l’être, ce n’est pas compliqué, mais sache que la prochaine fois qu’on se croise je ne me contenterai pas de te parler durement. Je peux faire bien pire que ça. »
Je retire mon poing du mur, enlève négligemment la poussière se trouvant dessus comme si de rien n’était. Zéro trace, donc même pas de compte à rendre une fois rentrée chez moi. Pas besoin de dire à Heiji que j’ai failli bouffé du vampire.
« Maintenant tu poses ton cul sur une chaise, tu arrêtes de me prendre pour une conne et tu cesses de te comporter en gamine pourri. Tu es une trouillarde, tu es totalement perdu et tu le sais. Donc tu mets ton égo surdimensionné de côté, et tu admets que tu es en train de te noyer avec la charge de travail que tu as.
Et bien sûr, tu t’excuses de m’avoir traité de psychopathe. Parce que tu n’as pas la moindre idée de ce que c’est réellement. Et crois-moi, je suis à des années lumières d’en être vraiment une. Je peux m’en approcher, je l’ai déjà fait. Mais jamais je ne pourrai atteindre cet état. Me suis-je bien fait comprendre ? »
Je continue de la fixer durement. Oh oui des psychopathes j’en ai croisé. Ils ont ruinés ma vie, m’ont transformé. Malheureusement je leur dois ce que je suis aujourd’hui. Cependant jamais je n’oublierai leurs sourires, leurs rires, leurs mains sur moi… Ils sont marqué au fer rouge sur ma peau, dans mon cœur et mon esprit. Et la part de folie qui sommeil en moi et qui y est toujours associée, n’est jamais bien loin pour sortir de sa cage…
"Fin du jeu"
:copyright: Etilya sur DK RPG
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Mer 6 Juil 2022 - 23:54
Et voila la suite de l'histoire avec cette blonde inconnue. Je pensais régler cette histoire assez rapidement, mais il n'en n'était rien. Bien au contraire la situation s'envenimait. Je ne savais pas si c'était de ma faute ou non bien que j'estimais être responsable en partie de mon comportement. Cependant, c'était elle qui insistait avec moi. La situation était étrange. Quelque chose n'allait pas et était totalement décalé sur la façon de parler et de connaitre des choses. Elle me parlait d'abord d'elle et si je connaissais la personne qu'elle était ou d'où elle venait et ce qu'elle pouvait être. Il ne m'en fallu pas beaucoup.
Je pointe du doigt si je le désire et non j'en sais rien d'où tu viens et je m'en fiche. T'es quoi ? La reine du bal ? Tu peux être ce que tu veux c'est pas toi qui va me forcer à faire quelque chose que je ne veux pas.
Elle se leva l'instant d'après, s'approchant de moi. Je pourrais aisément me défendre en tant que monstre que je suis mais c'est une humaine. J'était également un peu peureuse aussi. Je reculais alors jusqu'à être dos au mur et la elle frappa juste à côté de ma tête. Ce n'est pas le fait qu'elle soit agressive physiquement qui me choquais mais bien son poing qui pénétra le mur et ce sans qu'elle soit blessé à celle-ci. Puis dans son discours outre le fait des menaces, ce dont elle parlais. Elle parlait et elle parlais encore et encore... des mots assassins pour moi. Elle parlait de ma conception et mes parents biologique que la haine montait, Elle parlait rapidement en détail de façon convaincu que j'étais une sangsue et la haîne montait encore. Je me faisais menacer alors que de base je ne voulais rien à faire avec elle, la haîne montait encore. Une trouillarde moi ? Elle ose me donner des ordres aussi ? La haîne monte encore d'un cran. Je serais les dents car les cordes sensibles était bien plus que toucher. Une chose était sur, j'avais tord, elle n'est pas humaine, ni un vampire. Je ne sais pas ce qu'elle était.
Une chose était sur, la très forte colère en moi s'extériorisa et instinctivement je giflais la blonde de toute mes forces (scellé) avant de la pousser pour qu'elle recule et que je puisse récupérer ma zone intime.
LA FERME!!! TU SAIS RIEN DE MOI ET TU ME JUGES ! Une pensée dans leur esprits ? Demandes leur toi même ce que leur esprit a trouver dans le concept d'abondons. Tu me compares à ces putains de sangsues, mais je ne suis pas eux, je ne dois rien à cette espèce de merde ! Si tu me trouve aussi intéressante comme tu dis tu aurais déjà remarqué que sans un mot ils m'évitent tous comme la peste, tu n'as qu'a faire pareil! Je suis peut-être une trouillarde, mais ça n'empêche pas le courage et d'avancer. Tu ne me fais pas peur peut importe ce que t'es. T'es clairement pas humaine n'est ce pas...
Peut-être même cursus, mais pas la même année ! Te paies pas ma tête! Ma vie c'est moi que ça regarde. Bordel de merde pourquoi personne ne me laisse pas tranquille, je demande rien !!!
J'avais remarqué la force dont elle faisait preuve et encore elle s'était certainement retenue. Elle ne sentait pas le vampire et à la vue du mur elle ne pouvait pas être humaine ou alors elle se serait blessée. J'avais mes petits poings serrée, j'avais la haine envers elle, je voulais la frapper avec envie. Je ne savais pas comment elle pouvait interpréter la scène devant elle à voir une petite vampirette qui de sa petite taille toute menue était prête à se défendre contre l'oppresseur. Pour le coup, c'était plus un chaton qui essayait de tenir tête à un gros chien sans le savoir qui pourrait en faire son casse-croute. C'était à la fois mignon et ridicule. Je ne savais pas contre quoi je tenais tête. Au moins on pouvait pas me retirer le fait que je n'avais pas froid aux yeux. Je pouvais également passer pour une suicidaire aux yeux des initiés. Peut-être était ce la solution de toute cette scène dans la finalité. Etre une personne qui ne juge pas et ne se comporte pas en fonction des espèces. Il était claire que les deux camps étaient partis du mauvais pieds, il fallait cependant trouver de quoi se calmer pour espérer le dialogue d'une façon civilisé.
Poser le cul sur une chaise ? Ben tiens la voila la chaise.
En pose une énervée devant la blonde et en prends une pour moi que je met dossier devant moi afin de m'accouder dessus. Je la fixais du regard. Elle devait à présent être autant énervée que moi. Comme je l'avais déjà dit, j'avais des grosses difficultés à sociabilisé et il ne suffisait que d'un pique pour me lancer dans une furie. Les excuses au vu de l'état d'énervement dans lequel j'étais, il était claire qu'elle pouvait toujours se brosser. Je me faisais certes reprocher mon comportement, mais celui de la blonde n'était pas un exemple non plus. Elle refusait le "non" et disons séquestrait la jeune vampirette que j'étais dans cette pièce isolé. Quoique rien ne m'empêchait de passer par la fenêtre, seul le risque de briser ma couverture était un fait.
Je pointe du doigt si je le désire et non j'en sais rien d'où tu viens et je m'en fiche. T'es quoi ? La reine du bal ? Tu peux être ce que tu veux c'est pas toi qui va me forcer à faire quelque chose que je ne veux pas.
Elle se leva l'instant d'après, s'approchant de moi. Je pourrais aisément me défendre en tant que monstre que je suis mais c'est une humaine. J'était également un peu peureuse aussi. Je reculais alors jusqu'à être dos au mur et la elle frappa juste à côté de ma tête. Ce n'est pas le fait qu'elle soit agressive physiquement qui me choquais mais bien son poing qui pénétra le mur et ce sans qu'elle soit blessé à celle-ci. Puis dans son discours outre le fait des menaces, ce dont elle parlais. Elle parlait et elle parlais encore et encore... des mots assassins pour moi. Elle parlait de ma conception et mes parents biologique que la haine montait, Elle parlait rapidement en détail de façon convaincu que j'étais une sangsue et la haîne montait encore. Je me faisais menacer alors que de base je ne voulais rien à faire avec elle, la haîne montait encore. Une trouillarde moi ? Elle ose me donner des ordres aussi ? La haîne monte encore d'un cran. Je serais les dents car les cordes sensibles était bien plus que toucher. Une chose était sur, j'avais tord, elle n'est pas humaine, ni un vampire. Je ne sais pas ce qu'elle était.
Une chose était sur, la très forte colère en moi s'extériorisa et instinctivement je giflais la blonde de toute mes forces (scellé) avant de la pousser pour qu'elle recule et que je puisse récupérer ma zone intime.
LA FERME!!! TU SAIS RIEN DE MOI ET TU ME JUGES ! Une pensée dans leur esprits ? Demandes leur toi même ce que leur esprit a trouver dans le concept d'abondons. Tu me compares à ces putains de sangsues, mais je ne suis pas eux, je ne dois rien à cette espèce de merde ! Si tu me trouve aussi intéressante comme tu dis tu aurais déjà remarqué que sans un mot ils m'évitent tous comme la peste, tu n'as qu'a faire pareil! Je suis peut-être une trouillarde, mais ça n'empêche pas le courage et d'avancer. Tu ne me fais pas peur peut importe ce que t'es. T'es clairement pas humaine n'est ce pas...
Peut-être même cursus, mais pas la même année ! Te paies pas ma tête! Ma vie c'est moi que ça regarde. Bordel de merde pourquoi personne ne me laisse pas tranquille, je demande rien !!!
J'avais remarqué la force dont elle faisait preuve et encore elle s'était certainement retenue. Elle ne sentait pas le vampire et à la vue du mur elle ne pouvait pas être humaine ou alors elle se serait blessée. J'avais mes petits poings serrée, j'avais la haine envers elle, je voulais la frapper avec envie. Je ne savais pas comment elle pouvait interpréter la scène devant elle à voir une petite vampirette qui de sa petite taille toute menue était prête à se défendre contre l'oppresseur. Pour le coup, c'était plus un chaton qui essayait de tenir tête à un gros chien sans le savoir qui pourrait en faire son casse-croute. C'était à la fois mignon et ridicule. Je ne savais pas contre quoi je tenais tête. Au moins on pouvait pas me retirer le fait que je n'avais pas froid aux yeux. Je pouvais également passer pour une suicidaire aux yeux des initiés. Peut-être était ce la solution de toute cette scène dans la finalité. Etre une personne qui ne juge pas et ne se comporte pas en fonction des espèces. Il était claire que les deux camps étaient partis du mauvais pieds, il fallait cependant trouver de quoi se calmer pour espérer le dialogue d'une façon civilisé.
Poser le cul sur une chaise ? Ben tiens la voila la chaise.
En pose une énervée devant la blonde et en prends une pour moi que je met dossier devant moi afin de m'accouder dessus. Je la fixais du regard. Elle devait à présent être autant énervée que moi. Comme je l'avais déjà dit, j'avais des grosses difficultés à sociabilisé et il ne suffisait que d'un pique pour me lancer dans une furie. Les excuses au vu de l'état d'énervement dans lequel j'étais, il était claire qu'elle pouvait toujours se brosser. Je me faisais certes reprocher mon comportement, mais celui de la blonde n'était pas un exemple non plus. Elle refusait le "non" et disons séquestrait la jeune vampirette que j'étais dans cette pièce isolé. Quoique rien ne m'empêchait de passer par la fenêtre, seul le risque de briser ma couverture était un fait.
Asuna S. Hirano#107010#107010#107010#107010#107010#107010#107010
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Dim 7 Aoû 2022 - 1:48
1, 2, 3 … Soleil !
Feat Alyssa Mitsutsuki
Faites des gosses j’vous jure ! Y’en a certains qui d’vraient s’abstenir vraiment ! Non parce que là… j’sais vraiment pas quoi en penser. C’te gamine est… c’est un sketch en fait j’crois. M’enfin mieux vaut qu’j’pense qu’c’est ça. Parce que sinon j’ose même pas imaginer c’que c’est vraiment. Pas la forcer à faire quelqu’chose qu’elle veut pas hein ? On est pas justement en plein d’dans ? Non parce que si j’ai bien suivi, elle voulait pas m’parler quand même. Et elle le fait. J’crois qu’elle est même pas d’accord avec elle-même. J’sais que j’peux être en conflit avec moi, mais j’trouve toujours un équilibre. Elle… c’est clairement pas sûr du tout.
…
Je lui arrache la tête maintenant ou j’attends qu’elle redescende ? Non pas qu’j’ai mal avec son coup de mouche là, mais c’est l’principe bordel ! J’sais pas même en colère tu frappes pas comme ça quelqu’un ! P’tain j’sais pas qui l’a éduqué, mais j’pense qu’il a loupé beaucoup d’chose. Sa poussée ne m’aurait pas fait m’écarté non plus d’ailleurs. C’est bien parce que ça va m’éviter de faire d’elle un tas de cendre de suite que je recule d’un pas. Mais vas-y gueule ! Extériorise ta frustration de gamine que je puisse t’arracher la tête en paix.
Le concept d’abandon hein ? Et ba voilà pourquoi y’a des bases qui manquent ! Est-ce que je trouve que c’est une excuse ? Carrément pas. J’ai dépassé ce stade. Désolée Nami, j’sais qu’il faut pas taper les vampires plus jeunes qu’moi, éviter d’juger trop vite mais là j’en ai ma claque. Faut bien quelqu’un pour lui mettre du plombs dans la tête.
T’empeste la haine ma cocotte. La haine contre toi hein ? J’peux pas m’empêcher de passer ma langue sur ma lèvre supérieure. P’tain ta d’la chance que ça soit pas le soir toi, sinon j’te laisserai même pas finir ton discours à cent yens. Ah ba quand même ça y est, elle la ferme ! A moi maintenant ? Ah non…
Ok ok des chaises. J’en avais pas b’soin moi hein. Kuso… qu’est-ce qu’elle peut être casse-couille. Elle peut pas avoir 18 ans, y’a erreur. Si elle en a cinq, j’crois qu’on est au bout du bout. M’enfin… il est temps que je m’amuse à mon tour. Tu veux d’la violence ? Bien. My turn.
J’écarte la chaise qu’elle a posé d’vant moi, puis la gifle sans la moindre retenue. Ce qui la conduit à terre, la joue rouge qui j’pense va probablement enfler un peu, et une lèvre fendue. Mais tant pis, pas ma bière. Ensuite j’l’attrape per les ch’veux, la redresse sans ménagement et la pose violemment sur sa chaise avec son précieux dossier entre nous.
« Ta haine tu la tournes vers les vrais responsables okay ? J’suis pas ta génitrice moi. Et si tu pètes un plomb dès que quelqu’un aborde le sujet d’tes parents, tu peux tout de suite envisager d’te tuer parce que t’a pas fini de gaspiller ton énergie.
Vu mon âge, tu n’étais même pas en conception. C’est un fait, pas un jugement. Quant au concept d’abandon, rassure-toi je le maîtrise plutôt bien. J’ai eu mon lot, probablement pire que le tien, même si à tes yeux ton cas est le pire qui puisse être. Tu ne veux pas avoir peur de moi ? Fais-toi plaisir si tu veux y croire. L’odeur que tu dégages, sous celle de ta haine me prouve le contraire.
Ensuite tu sais pourquoi les autres vampires t’évitent ? Parce que tu es dans un tel état que supporter les odeurs que tu dégages représente un exploit ! Aucun ne veut t’approcher parce qu’ils acceptent être des vampires contrairement à toi. Tu veux jouer à l’humaine ? Grand bien te fasse ! Mais comprends bien que ça n’a rien à voir avec l’intérêt que tu peux représenter. C’est juste parce que tu empestes et que tu pars au quart de tour. Comme là. »
J’vois qu’elle a l’intention d’m’interrompre, du coup j’attrape une de ses mains et la serre. Assez fort pour faire mal, pas assez pour la briser, pourtant c’est pas l’envie qui m’en manque. Au contraire même.
« Non tu la fermes et tu écoutes pour une fois. La haine je sais ce que c’est, je l’ai côtoyé longtemps, très longtemps. Il m’arrive encore de la ressentir, juste là tapis dans les recoins sombres de mon être, mais jamais plus de lui laisser libre court. Et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai accepté ma situation. Parce qu’à l’inverse de toi, j’ai arrêté de faire des amalgames contre tout le monde sous le prétexte que moi je souffrais. Que les coupables ne représentent pas l’ensemble de leur race, mais des exceptions.
Si vraiment je décidais de te répondre sur le même mode que toi, donc de ne pas faire de différences entre ceux que je hais viscéralement et toi… Tu serais un tas de cendre. Ta joue et ta lèvre n’auraient aucune trace, mais tu n’existerai tout simplement plus.
Alors maintenant, tu grandis un peu, et surtout tu prends sur toi. Tes parents t’ont abandonné ? C’est triste j’en conviens. Tu les hais pour ça ? C’est ton choix, ça te regarde. Tu as peur de ce que tu pourrai faire peut-être ? Trouve-toi un gentil vampire pour t’expliquer la marche à suivre. Tu vois ta race comme une sorte de… parasite ? Okay, mais tu en fais quand même partie, que tu le veuilles ou non. Tu n’as pas plus de chance de devenir un jour une humaine, qu’un verre de terre de devenir un dragon. Tu es née vampire, et tu vas devoir faire avec.
Mais par pitié, arrête de croire qu’il n’y a que toi qui souffre ! Ta vie n’a peut-être pas été facile, mais tu n’es pas la seule dans ce cas-là ! Très loin de là même. »
Je lâche sa main puis m’assois après avoir mis la chaise dans la même position que la sienne. Je sais que mes paroles peuvent être dures à entendre, mais elle n’imagine même pas à quel point lui mettre du plomb dans la tête peut me renvoyer loin dans un passé dont elle ne soupçonne même pas l’existence. En fait, elle ne sait rien. Rien de ce que c’est que de haïr au point d’en suffoquer, d’avoir mal à vouloir mourir sans le pouvoir.
Je soupire, sors de mon sac un onguent de ma conception, très efficace sur blessure lycan sur vampire. Je lui en mets sur sa main, puis sur la joue avant de finir par sa lèvre. Ca atténuera un peu les traces en aidant sa régénération. C’est pas une solution miracle, mais juste un p’tit coup d’pouce. Mon regard par un peu dans l’vague, parce que ça m’rappelle quand je l’ai mis au point… pour aider Nami quand elle m’aidait moi.
« En fait… je crois … que tu ne sais même pas ce qu’est la vraie souffrance. Celle que tu ne peux pas éviter, qui est toujours avec toi quoiqu’il arrive. Celle qui n’a besoin que d’un mot, d’une pensée, d’un instant, pour te ramener à tes pires moments pour te les faire revivre dans le détails.
Celle qui te donne un sentiment de honte sans que tu ne sois coupable. Celle qui… t’arrache ce que tu as de précieux… juste pour le plaisir. Qui rit à ton oreille la nuit, te rappelant le pire en occultant le meilleur. La souffrance qui est toujours là, à tes côtés, sans que jamais tu ne puisses totalement l’ignorer. »
Nami… tu me manques. Tu aurais tellement été meilleure que moi dans c’t’exercice. Toi j’suis sûre t’aurai sûr comment lui parler sans qu’elle parte en vrille. Je sais pas si j’peux être à la hauteur pour lui filer un coup d’patte. Comment as-tu fait avec moi ?
J’sens une larme rouler sur ma joue. J’l’écrase même pas. Pourquoi faire ? J’viens d’ouvrir la porte que je tente de garder fermée pour toujours : celle de ma souffrance. Maintenant, faut juste que j’attente que ça passe. Que la douleur qui semble venir de mes entrailles se retire, que l’étau qui encercle mes poumons pour me priver d’air se brise. Il n’y a que le temps qui peut le faire. J’ai pas pu la sauver, et j’crois que je m’en voudrai tout ma vie.
« Alors maintenant, est-ce que tu as capable de dire, sans hurler ni accuser ni rejeter la faute sur le monde entier, pourquoi tu te hais ?
Est-ce que tu es capable d’être honnête avec toi-même… Mitsutsuki Alyssa ? »
…
Je lui arrache la tête maintenant ou j’attends qu’elle redescende ? Non pas qu’j’ai mal avec son coup de mouche là, mais c’est l’principe bordel ! J’sais pas même en colère tu frappes pas comme ça quelqu’un ! P’tain j’sais pas qui l’a éduqué, mais j’pense qu’il a loupé beaucoup d’chose. Sa poussée ne m’aurait pas fait m’écarté non plus d’ailleurs. C’est bien parce que ça va m’éviter de faire d’elle un tas de cendre de suite que je recule d’un pas. Mais vas-y gueule ! Extériorise ta frustration de gamine que je puisse t’arracher la tête en paix.
Le concept d’abandon hein ? Et ba voilà pourquoi y’a des bases qui manquent ! Est-ce que je trouve que c’est une excuse ? Carrément pas. J’ai dépassé ce stade. Désolée Nami, j’sais qu’il faut pas taper les vampires plus jeunes qu’moi, éviter d’juger trop vite mais là j’en ai ma claque. Faut bien quelqu’un pour lui mettre du plombs dans la tête.
T’empeste la haine ma cocotte. La haine contre toi hein ? J’peux pas m’empêcher de passer ma langue sur ma lèvre supérieure. P’tain ta d’la chance que ça soit pas le soir toi, sinon j’te laisserai même pas finir ton discours à cent yens. Ah ba quand même ça y est, elle la ferme ! A moi maintenant ? Ah non…
Ok ok des chaises. J’en avais pas b’soin moi hein. Kuso… qu’est-ce qu’elle peut être casse-couille. Elle peut pas avoir 18 ans, y’a erreur. Si elle en a cinq, j’crois qu’on est au bout du bout. M’enfin… il est temps que je m’amuse à mon tour. Tu veux d’la violence ? Bien. My turn.
J’écarte la chaise qu’elle a posé d’vant moi, puis la gifle sans la moindre retenue. Ce qui la conduit à terre, la joue rouge qui j’pense va probablement enfler un peu, et une lèvre fendue. Mais tant pis, pas ma bière. Ensuite j’l’attrape per les ch’veux, la redresse sans ménagement et la pose violemment sur sa chaise avec son précieux dossier entre nous.
« Ta haine tu la tournes vers les vrais responsables okay ? J’suis pas ta génitrice moi. Et si tu pètes un plomb dès que quelqu’un aborde le sujet d’tes parents, tu peux tout de suite envisager d’te tuer parce que t’a pas fini de gaspiller ton énergie.
Vu mon âge, tu n’étais même pas en conception. C’est un fait, pas un jugement. Quant au concept d’abandon, rassure-toi je le maîtrise plutôt bien. J’ai eu mon lot, probablement pire que le tien, même si à tes yeux ton cas est le pire qui puisse être. Tu ne veux pas avoir peur de moi ? Fais-toi plaisir si tu veux y croire. L’odeur que tu dégages, sous celle de ta haine me prouve le contraire.
Ensuite tu sais pourquoi les autres vampires t’évitent ? Parce que tu es dans un tel état que supporter les odeurs que tu dégages représente un exploit ! Aucun ne veut t’approcher parce qu’ils acceptent être des vampires contrairement à toi. Tu veux jouer à l’humaine ? Grand bien te fasse ! Mais comprends bien que ça n’a rien à voir avec l’intérêt que tu peux représenter. C’est juste parce que tu empestes et que tu pars au quart de tour. Comme là. »
J’vois qu’elle a l’intention d’m’interrompre, du coup j’attrape une de ses mains et la serre. Assez fort pour faire mal, pas assez pour la briser, pourtant c’est pas l’envie qui m’en manque. Au contraire même.
« Non tu la fermes et tu écoutes pour une fois. La haine je sais ce que c’est, je l’ai côtoyé longtemps, très longtemps. Il m’arrive encore de la ressentir, juste là tapis dans les recoins sombres de mon être, mais jamais plus de lui laisser libre court. Et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai accepté ma situation. Parce qu’à l’inverse de toi, j’ai arrêté de faire des amalgames contre tout le monde sous le prétexte que moi je souffrais. Que les coupables ne représentent pas l’ensemble de leur race, mais des exceptions.
Si vraiment je décidais de te répondre sur le même mode que toi, donc de ne pas faire de différences entre ceux que je hais viscéralement et toi… Tu serais un tas de cendre. Ta joue et ta lèvre n’auraient aucune trace, mais tu n’existerai tout simplement plus.
Alors maintenant, tu grandis un peu, et surtout tu prends sur toi. Tes parents t’ont abandonné ? C’est triste j’en conviens. Tu les hais pour ça ? C’est ton choix, ça te regarde. Tu as peur de ce que tu pourrai faire peut-être ? Trouve-toi un gentil vampire pour t’expliquer la marche à suivre. Tu vois ta race comme une sorte de… parasite ? Okay, mais tu en fais quand même partie, que tu le veuilles ou non. Tu n’as pas plus de chance de devenir un jour une humaine, qu’un verre de terre de devenir un dragon. Tu es née vampire, et tu vas devoir faire avec.
Mais par pitié, arrête de croire qu’il n’y a que toi qui souffre ! Ta vie n’a peut-être pas été facile, mais tu n’es pas la seule dans ce cas-là ! Très loin de là même. »
Je lâche sa main puis m’assois après avoir mis la chaise dans la même position que la sienne. Je sais que mes paroles peuvent être dures à entendre, mais elle n’imagine même pas à quel point lui mettre du plomb dans la tête peut me renvoyer loin dans un passé dont elle ne soupçonne même pas l’existence. En fait, elle ne sait rien. Rien de ce que c’est que de haïr au point d’en suffoquer, d’avoir mal à vouloir mourir sans le pouvoir.
Je soupire, sors de mon sac un onguent de ma conception, très efficace sur blessure lycan sur vampire. Je lui en mets sur sa main, puis sur la joue avant de finir par sa lèvre. Ca atténuera un peu les traces en aidant sa régénération. C’est pas une solution miracle, mais juste un p’tit coup d’pouce. Mon regard par un peu dans l’vague, parce que ça m’rappelle quand je l’ai mis au point… pour aider Nami quand elle m’aidait moi.
« En fait… je crois … que tu ne sais même pas ce qu’est la vraie souffrance. Celle que tu ne peux pas éviter, qui est toujours avec toi quoiqu’il arrive. Celle qui n’a besoin que d’un mot, d’une pensée, d’un instant, pour te ramener à tes pires moments pour te les faire revivre dans le détails.
Celle qui te donne un sentiment de honte sans que tu ne sois coupable. Celle qui… t’arrache ce que tu as de précieux… juste pour le plaisir. Qui rit à ton oreille la nuit, te rappelant le pire en occultant le meilleur. La souffrance qui est toujours là, à tes côtés, sans que jamais tu ne puisses totalement l’ignorer. »
Nami… tu me manques. Tu aurais tellement été meilleure que moi dans c’t’exercice. Toi j’suis sûre t’aurai sûr comment lui parler sans qu’elle parte en vrille. Je sais pas si j’peux être à la hauteur pour lui filer un coup d’patte. Comment as-tu fait avec moi ?
J’sens une larme rouler sur ma joue. J’l’écrase même pas. Pourquoi faire ? J’viens d’ouvrir la porte que je tente de garder fermée pour toujours : celle de ma souffrance. Maintenant, faut juste que j’attente que ça passe. Que la douleur qui semble venir de mes entrailles se retire, que l’étau qui encercle mes poumons pour me priver d’air se brise. Il n’y a que le temps qui peut le faire. J’ai pas pu la sauver, et j’crois que je m’en voudrai tout ma vie.
« Alors maintenant, est-ce que tu as capable de dire, sans hurler ni accuser ni rejeter la faute sur le monde entier, pourquoi tu te hais ?
Est-ce que tu es capable d’être honnête avec toi-même… Mitsutsuki Alyssa ? »
"Chaud & Froid, partage"
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Sam 20 Aoû 2022 - 15:10
Celle-ci je ne l'avais pas loupé. J'avais l'impression d'être dans Astérix et Obélix sur l'histoire de comment mettre une bonne baffe et il faut croire qu'elle le savait mieux que moi, la force du coup me fit tomber à la renverse et outre le fait de la joue rouge c'est surtout qu'elle avait réussi à me blesser à la lèvre. Il était claire qu'elle n'était pas humaine maintenant et son odeur disait clairement qu'elle n'était pas une vampire non plus. Elle me souleva aussi telle une poupée de chiffon par les cheveux. J'étais tellement remonté que j'étais incapable de me rendre compte que je ne faisais clairement pas le poids. Outre la douleur, si j'avais un fusil à la place des yeux je crois que j'aurais vidé mes cartouches. Elle me déblatérait des choses vrai, mais aussi des choses fausses. Comme quoi l'expérience ne fait pas tout. Au bout d'un moment j'en avais ma claque. J'étais sur le point de réenchérir et c'est à moment que je sentais une vive douleur au poignet. SA****E!!!! Elle me faisait vraiment mal! Je gigotais pour lui faire lâcher prise. Au bout d'un moment elle lâchait ma main mon réflexe immédiat était la douleur et les yeux humide tout en massant pour calmer cette douleur. Je la détestais. Lorsqu'elle revient avec une espèce de remède artisanal, mon instinct de par la douleur ne lui fit pas confiance. Je ne voulais pas qu'elle me touche. M'enfin bon, que je le voulais ou non elle m'en appliquait et ça piquait.
Oh si je sais ce que c'est... c'est marqué au fer rouge à chaque fois que je croise mon reflet.... mais je ne suis pas la seule...
Je trouvais la force dans la mélancolie et les regret pour avancer ma main non blessé sur son visage à récupérer la larme qui coule de sa joue. Observant celle-ci devant elle, avant de la fixer.
Je t'ai blessé, mais pas comme je l'aurai voulu. Gomen...
J'étais calmé temporairement. Je n'étais pas satisfaite de ça. Je voulais réussir à la blesser et la vexer pour qu'elle me foute la paix. Si physiquement elle en était à 1-0, j'avais involontairement fait ressurgir quelque chose en elle qui nous ramenait à 1-1. Il n'y avait pas de gagnante juste deux perdantes et on était comme deux connes qui étaient dans l'incapacité de se comprendre.
Ce que tu dis est faux. On m'évitait bien avant que je sois comme ça. On m'a toujours évité depuis mon plus jeune âge, je sais bien qu'aujourd'hui je ne suis pas... correcte. J'ai toujours du me débrouiller toute seule je n'avais personne pour me comprendre ou m'apprendre. J'envie les humains je voudrais être des leurs si cela été possible, mais je suis prisonnière. Le fait que tu m'approche n'est pas ce qui me met en rogne. C'est la façon dont tu le fait. Tu me fais stresser, tu me fais flipper par tes arrivées surprises. J'ai pas l'habitude de ça et je ne comprends pas ton insistance de vouloir à tout prix m'approcher comme si cela t'était vital. T'es trop... toi...mmm... extravertie plus plus... je sais pas expliquer. Survoltée ?
Je pris un temps de pose avant de reprendre la parole.
Merci pour les soins. Et toi? T'es ni vampire ni humaine ça se sent à l'odeur et à la force qu'est-ce que t'es? C'est quoi ton histoire ?
J'attendais sa réponse. On était partie du mauvais pied, il y avait peut-être une chance de réussir à se comprendre. Finalement être isolé avait du bon. On pouvait parler des choses sensibles que les humains ne sont pas censé savoir. Aurais-je mal jugé ? J'avais l'impression de revivre certains instant à l'orphelina et bien plus récemment une répétition de ma première fois avec un de mes semblables mais en plus violent pourrions-nous dire.
Oh si je sais ce que c'est... c'est marqué au fer rouge à chaque fois que je croise mon reflet.... mais je ne suis pas la seule...
Je trouvais la force dans la mélancolie et les regret pour avancer ma main non blessé sur son visage à récupérer la larme qui coule de sa joue. Observant celle-ci devant elle, avant de la fixer.
Je t'ai blessé, mais pas comme je l'aurai voulu. Gomen...
J'étais calmé temporairement. Je n'étais pas satisfaite de ça. Je voulais réussir à la blesser et la vexer pour qu'elle me foute la paix. Si physiquement elle en était à 1-0, j'avais involontairement fait ressurgir quelque chose en elle qui nous ramenait à 1-1. Il n'y avait pas de gagnante juste deux perdantes et on était comme deux connes qui étaient dans l'incapacité de se comprendre.
Ce que tu dis est faux. On m'évitait bien avant que je sois comme ça. On m'a toujours évité depuis mon plus jeune âge, je sais bien qu'aujourd'hui je ne suis pas... correcte. J'ai toujours du me débrouiller toute seule je n'avais personne pour me comprendre ou m'apprendre. J'envie les humains je voudrais être des leurs si cela été possible, mais je suis prisonnière. Le fait que tu m'approche n'est pas ce qui me met en rogne. C'est la façon dont tu le fait. Tu me fais stresser, tu me fais flipper par tes arrivées surprises. J'ai pas l'habitude de ça et je ne comprends pas ton insistance de vouloir à tout prix m'approcher comme si cela t'était vital. T'es trop... toi...mmm... extravertie plus plus... je sais pas expliquer. Survoltée ?
Je pris un temps de pose avant de reprendre la parole.
Merci pour les soins. Et toi? T'es ni vampire ni humaine ça se sent à l'odeur et à la force qu'est-ce que t'es? C'est quoi ton histoire ?
J'attendais sa réponse. On était partie du mauvais pied, il y avait peut-être une chance de réussir à se comprendre. Finalement être isolé avait du bon. On pouvait parler des choses sensibles que les humains ne sont pas censé savoir. Aurais-je mal jugé ? J'avais l'impression de revivre certains instant à l'orphelina et bien plus récemment une répétition de ma première fois avec un de mes semblables mais en plus violent pourrions-nous dire.
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Dim 23 Oct 2022 - 12:35
1, 2, 3 … Soleil !
Feat Alyssa Mitsutsuki
Parce que son objectif était de me blesser ? La bonne blague ! Comme si une moucheronne comme elle pouvait réellement me faire mal physiquement ! Et puis en plus, c’est même pas elle qui m’fait mal, c’est moi-même en ayant ouvert la porte de mon passé que je tiens quasiment tout l’temps fermée à clef. C’est pas pour rien qu’j’évite d’en parler quoi. J’suis pas encore totalement mazo moi ! Contrairement à d’autre genre … Ogawa pour n’citer qu’elle.
M’enfin, j’ai franchement plus envie d’me battre pour lui faire comprendre qu’elle agit comme une gamine pourrie. Après tout, c’est comme avec Ogawa, parfois vaut mieux s’avouer battu pour revenir par un autre chemin sur l’sujet. J’me contente donc d’lui faire un signe négatif d’la main. Faudrait pas non plus qu’elle s’méprenne quoi.
« Ce n’est pas toi qui m’a blessé, c’est moi-même en ouvrant la porte à mes souvenirs passés. Je savais ce que j’éprouverai en le faisant, mais je l’ai fait quand même. Peut-être parce que j’avais aussi besoin de me souvenir maintenant.
Et puis voyons l’bon côté d’la chose : j’ai plus envie de t’arracher la tête pour ta pseudo-gifle de tout à l’heure et toi tu sembles être plus calme. J’suppose donc qu’on va enfin pouvoir parler normalement. »
Ouai bon okay, j’y suis p’t’être pas aller d’main morte là, j’aurai p’t’être pu faire plus attention au choix d’mes mots. Mais en même temps pourquoi ça s’rait à moi d’faire gaffe franchement ? Elle aussi elle n’y met pas du sien ! Et donc maintenant elle va m’faire une leçon sur les détails qu’j’ai extrapolé ? Nami envoie moi ta patience, parce qu’la mienne est barrée en vacances loin mais loin d’ici. Elle est prisonnière ? P’tain elle sait même pas c’que ça implique vraiment ! Zen Asuna, r’part pas en vrille. Laisse la porte fermée, pense à ta santé mentale. Ca va aller. Ou pas, j’vais vraiment finir par lui arracher sa p’tite tête.
J’me passe une main sur l’visage. Sérieusement ?
T’es aussi agressive avec moi juste parce que t’a pas l’habitude qu’on t’parle ? Vieille Branche on dirait toi au réveil quand t’as pas ton compte de sommeil… V’là autr’chose. J’suis trop moi ! Et tu voudrais qu’sois quoi hein ? Qu’sois plus comme pas moi ? Pff pas possible ça. Et puis d’abord j’suis pas survoltée ! Juste… juste en joie heureuse de vivre quoi. J’vois franchement pas l’problème. Pff les jeunes d’aujourd’hui, franchement des casses-bonbons ! P’tite Tornade risque d’me donner pas mal d’fils à retordre…
« Tu t’rends compte que j’peux pas m’changer hein ? J’suis pas survoltée, juste moi-même. Alors ouai j’sais être plus calme, sérieuse et tout, mais c’petit grain d’folie qui m’caractérise si bien maintenant, c’est aussi ça qui m’permet d’voir la vie du bon côté, pas seulement m’focaliser sur l’négatif. Sinon ça s’rait d’un ennuis mortel !
Après entre nous… vu qu’tu peux m’sentir… c’est bien parce qu’tu l’veux bien qu’j’arrive à t’surprendre. Même mon premier gamin j’arrive plus à l’faire, il m’repère avant même que j’passe la porte quoi. »
Ouai non clairement avec Joli Cœur c’est terrifiant ! Le surprendre c’est du domaine de l’exploit maintenant ! Non seulement il me sent à l’odeur, mais vu qu’j’suis son Alpha il me sent à travers notre lien en plus ! Genre va préparer une surprise avec tout ça quoi ! Va falloir qu’j’en discute avec blondinet, j’suis sûre qu’avec lui comme allié j’vais enfin pouvoir le r’prendre par surprise !
Hein ? Quoi ? Comment ça moi ? Merde j’ai décroché genre trente seconde et la voilà qui m’regarde avec des yeux de merlan frit. Comment ça mon histoire ? On va s’calmer hein ! On n’a pas gardé les bébés vampires ensemble ! Alors alors on va faire très très simple, très très synthétique aussi. Faudrait pas déconner non plus.
« De rien. Ca fait longtemps qu’j’ai appris à soigner les vampires, du moins à aider leur régénération. Ma cousine était une vampire et disons juste qu’il a fallu qu’on s’apprivoise toutes les deux. C’était pour elle qu’j’vais créé c’baume, puis il m’a servi pour mon neveu qui est aussi un vampire. Mais c’est une recette maison, pas d’commercialisation. P’t’être un jour, faudra voir. »
C’est pas con ça comme idée ! M’enfin est-ce que les sangsues viendraient investir d’dans ? Pas sûr. Encore moins qu’les lycans pensent à en prendre au cas où. Ouai non finalement ça va rester dans les cartons, c’est pas l’bon moment pour faire surgir ce type de produit.
« D’après toi, si je ne suis ni vampire, ni humaine à l’odeur. Qu’est-ce qu’il te reste comme possibilité ? »
Pitié ! Par tous les Kamis faites que j’surestime pas sa capacité à réfléchir ! Ni ses connaissances ! Non parce que ni humaine ni vampire, y’a plus qu’un choix possible quoi. Enfin… à condition qu’elle sache qu’on existe ! Mais c’est une vampire, elle doit savoir ça quand même ! Non ? P’tain avec elle y’a rien d’sûre. Bon j’l’ai suffisamment laissé réfléchir, j’vais lui donner la réponse. D’toute façon, c’est pas comme si elle pouvait m’faire quelqu’chose.
« Je suis une lycane. Voilà pourtant tous tes coups n’auront jamais aucun effet sur moi, ma race a été créé pour combattre les vampires, entre autre chose. »
C’est ça synthétique. P’tain les circonvolutions qu’j’vais d’voir faire pour passer la porte sans l’ouvrir mais voir dedans quand même sans qu’ça m’revienne en pleine gueule. Quelle tannée !
« Mon histoire… Je suis fille de Yakuza, membre du clan Hirano, même si je m’implique assez peu à l’heure actuelle. J’étais mariée, mère de deux magnifiques enfants au début de la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement j’ai été kidnappée par des vampires… puis modifiée par un ensemble de vampires et d’humains pour devenir une lycane. »
Ouai c’est très très vague ça, mais j’me sens pas trop mal, donc ça va faire l’affaire hein. On va pas parlé du scientifique que j’ai pris le temps de massacrer, ni de ses camarades, ni de toute ce que j’ai pu vivre derrière ces maudits barreaux ! Je laisse échapper un grognement rien qu’à en effleurer le souvenir, j’sens ma haine revenir à pas de loup justement. Comme quoi j’ai encore des progrès à faire pour la chasser définitivement !
« Quand j’ai été libre, des années après, j’avais tout perdu… Ma vie, mon humanité, mon mari et mes enfants. Mon Oncle, chef de la famille Hirano, et son fils ont pris soin de moi avec l’aide de ma cousine, la femme de mon cousin. Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter la situation, et me reconstruire. Mon neveu, le fils de mon cousin, m’a aidé un peu à sa manière parce qu’il n’était qu’un enfant à ce moment-là. C’est surtout sa mère, Nami ma cousine qui m’a sauvé. Elle a su me montrer que ma vie, malgré ce que je pensais à l’époque, ne faisait que commencer.
Elle avait raison.
Avec le temps, j’ai appris à me fondre dans la masse. J’ai sauvé les trois louveteaux de ma meute de la mort, retrouvé l’amour avec le premier d’entre eux. Je suis heureuse à nouveau, ce qui ne m’empêche pas d’avoir des instants de mélancolie ou de rage. Ce qui m’est arrivé est toujours dans un coin de mon esprit, et même si je sais faire la différence, il ne faut pas me chercher trop longtemps pour me trouver. »
Je marque une petite pause, question qu’elle assimile un peu tout c’que j’viens de dire. Maintenant j’vais mettre les points sur les i, parce que bon c’est pas non plus la joie tous les jours, faut pas déconner.
« Je puisse ma force dans les bonheurs simples que j’ai appris à savourer, et plus dans les souffrances que j’ai subi. Il faut savoir se défaire du passer pour pouvoir avancer. Cela ne signifie pas que lorsque je me vois dans un miroir il ne se passe rien. Bien au contraire, parfois je m’apprécie, ou m’accepte simplement, et puis à d’autres moments je me hais profondément pour ce que je suis devenue, je regrette de ne pas avoir pu vivre la vie que j’aurai dû avoir sans tout ça. Être correcte, grandir, devenir mature, comprendre et apprendre, ça fait aussi partie de la vie. Recevoir de l’aide aussi, et il faut savoir l’accepter sans se dévaloriser.
Au contraire même… je sais que c’est parce que Nami m’a aidé à commencer à surmonter mon traumatisme que j’ai pu apprendre à vivre dans le présent, envisager l’avenir sans être bloquée dans mon passé. Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas là, qu’il n’a pas existé. Il fait parti de moi, je ne peux pas le changer, mais j’ai pu choisir de ne pas le laisser me dévorer.
Maintenant c’est à toi de faire ce choix. Est-ce que tu veux que ce passé te définisse pour le reste de ton existence ou est-ce que tu veux pouvoir avancer ? »
Personne ne fera le choix à sa place, j’peux pas non plus la forcer à prendre une direction plus qu’l’autre. Nami s’était juste contenté d’être à mes côtés, d’m’accompagner sur l’chemin qu’j’avais choisi. Nami… c’est ton exemple qu’je vais tenter d’suivre aujourd’hui. J’vais rester à côté d’c’te pauvre gamine pour l’aider à avancer. Juste être là pour elle, même si elle ne veut pas. Comme tu l’avais fait pour moi.
Comme ça tu reviendras un peu avec moi et puis j’espère qu’tu s’ras fière de moi aussi.
M’enfin, j’ai franchement plus envie d’me battre pour lui faire comprendre qu’elle agit comme une gamine pourrie. Après tout, c’est comme avec Ogawa, parfois vaut mieux s’avouer battu pour revenir par un autre chemin sur l’sujet. J’me contente donc d’lui faire un signe négatif d’la main. Faudrait pas non plus qu’elle s’méprenne quoi.
« Ce n’est pas toi qui m’a blessé, c’est moi-même en ouvrant la porte à mes souvenirs passés. Je savais ce que j’éprouverai en le faisant, mais je l’ai fait quand même. Peut-être parce que j’avais aussi besoin de me souvenir maintenant.
Et puis voyons l’bon côté d’la chose : j’ai plus envie de t’arracher la tête pour ta pseudo-gifle de tout à l’heure et toi tu sembles être plus calme. J’suppose donc qu’on va enfin pouvoir parler normalement. »
Ouai bon okay, j’y suis p’t’être pas aller d’main morte là, j’aurai p’t’être pu faire plus attention au choix d’mes mots. Mais en même temps pourquoi ça s’rait à moi d’faire gaffe franchement ? Elle aussi elle n’y met pas du sien ! Et donc maintenant elle va m’faire une leçon sur les détails qu’j’ai extrapolé ? Nami envoie moi ta patience, parce qu’la mienne est barrée en vacances loin mais loin d’ici. Elle est prisonnière ? P’tain elle sait même pas c’que ça implique vraiment ! Zen Asuna, r’part pas en vrille. Laisse la porte fermée, pense à ta santé mentale. Ca va aller. Ou pas, j’vais vraiment finir par lui arracher sa p’tite tête.
J’me passe une main sur l’visage. Sérieusement ?
T’es aussi agressive avec moi juste parce que t’a pas l’habitude qu’on t’parle ? Vieille Branche on dirait toi au réveil quand t’as pas ton compte de sommeil… V’là autr’chose. J’suis trop moi ! Et tu voudrais qu’sois quoi hein ? Qu’sois plus comme pas moi ? Pff pas possible ça. Et puis d’abord j’suis pas survoltée ! Juste… juste en joie heureuse de vivre quoi. J’vois franchement pas l’problème. Pff les jeunes d’aujourd’hui, franchement des casses-bonbons ! P’tite Tornade risque d’me donner pas mal d’fils à retordre…
« Tu t’rends compte que j’peux pas m’changer hein ? J’suis pas survoltée, juste moi-même. Alors ouai j’sais être plus calme, sérieuse et tout, mais c’petit grain d’folie qui m’caractérise si bien maintenant, c’est aussi ça qui m’permet d’voir la vie du bon côté, pas seulement m’focaliser sur l’négatif. Sinon ça s’rait d’un ennuis mortel !
Après entre nous… vu qu’tu peux m’sentir… c’est bien parce qu’tu l’veux bien qu’j’arrive à t’surprendre. Même mon premier gamin j’arrive plus à l’faire, il m’repère avant même que j’passe la porte quoi. »
Ouai non clairement avec Joli Cœur c’est terrifiant ! Le surprendre c’est du domaine de l’exploit maintenant ! Non seulement il me sent à l’odeur, mais vu qu’j’suis son Alpha il me sent à travers notre lien en plus ! Genre va préparer une surprise avec tout ça quoi ! Va falloir qu’j’en discute avec blondinet, j’suis sûre qu’avec lui comme allié j’vais enfin pouvoir le r’prendre par surprise !
Hein ? Quoi ? Comment ça moi ? Merde j’ai décroché genre trente seconde et la voilà qui m’regarde avec des yeux de merlan frit. Comment ça mon histoire ? On va s’calmer hein ! On n’a pas gardé les bébés vampires ensemble ! Alors alors on va faire très très simple, très très synthétique aussi. Faudrait pas déconner non plus.
« De rien. Ca fait longtemps qu’j’ai appris à soigner les vampires, du moins à aider leur régénération. Ma cousine était une vampire et disons juste qu’il a fallu qu’on s’apprivoise toutes les deux. C’était pour elle qu’j’vais créé c’baume, puis il m’a servi pour mon neveu qui est aussi un vampire. Mais c’est une recette maison, pas d’commercialisation. P’t’être un jour, faudra voir. »
C’est pas con ça comme idée ! M’enfin est-ce que les sangsues viendraient investir d’dans ? Pas sûr. Encore moins qu’les lycans pensent à en prendre au cas où. Ouai non finalement ça va rester dans les cartons, c’est pas l’bon moment pour faire surgir ce type de produit.
« D’après toi, si je ne suis ni vampire, ni humaine à l’odeur. Qu’est-ce qu’il te reste comme possibilité ? »
Pitié ! Par tous les Kamis faites que j’surestime pas sa capacité à réfléchir ! Ni ses connaissances ! Non parce que ni humaine ni vampire, y’a plus qu’un choix possible quoi. Enfin… à condition qu’elle sache qu’on existe ! Mais c’est une vampire, elle doit savoir ça quand même ! Non ? P’tain avec elle y’a rien d’sûre. Bon j’l’ai suffisamment laissé réfléchir, j’vais lui donner la réponse. D’toute façon, c’est pas comme si elle pouvait m’faire quelqu’chose.
« Je suis une lycane. Voilà pourtant tous tes coups n’auront jamais aucun effet sur moi, ma race a été créé pour combattre les vampires, entre autre chose. »
C’est ça synthétique. P’tain les circonvolutions qu’j’vais d’voir faire pour passer la porte sans l’ouvrir mais voir dedans quand même sans qu’ça m’revienne en pleine gueule. Quelle tannée !
« Mon histoire… Je suis fille de Yakuza, membre du clan Hirano, même si je m’implique assez peu à l’heure actuelle. J’étais mariée, mère de deux magnifiques enfants au début de la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement j’ai été kidnappée par des vampires… puis modifiée par un ensemble de vampires et d’humains pour devenir une lycane. »
Ouai c’est très très vague ça, mais j’me sens pas trop mal, donc ça va faire l’affaire hein. On va pas parlé du scientifique que j’ai pris le temps de massacrer, ni de ses camarades, ni de toute ce que j’ai pu vivre derrière ces maudits barreaux ! Je laisse échapper un grognement rien qu’à en effleurer le souvenir, j’sens ma haine revenir à pas de loup justement. Comme quoi j’ai encore des progrès à faire pour la chasser définitivement !
« Quand j’ai été libre, des années après, j’avais tout perdu… Ma vie, mon humanité, mon mari et mes enfants. Mon Oncle, chef de la famille Hirano, et son fils ont pris soin de moi avec l’aide de ma cousine, la femme de mon cousin. Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter la situation, et me reconstruire. Mon neveu, le fils de mon cousin, m’a aidé un peu à sa manière parce qu’il n’était qu’un enfant à ce moment-là. C’est surtout sa mère, Nami ma cousine qui m’a sauvé. Elle a su me montrer que ma vie, malgré ce que je pensais à l’époque, ne faisait que commencer.
Elle avait raison.
Avec le temps, j’ai appris à me fondre dans la masse. J’ai sauvé les trois louveteaux de ma meute de la mort, retrouvé l’amour avec le premier d’entre eux. Je suis heureuse à nouveau, ce qui ne m’empêche pas d’avoir des instants de mélancolie ou de rage. Ce qui m’est arrivé est toujours dans un coin de mon esprit, et même si je sais faire la différence, il ne faut pas me chercher trop longtemps pour me trouver. »
Je marque une petite pause, question qu’elle assimile un peu tout c’que j’viens de dire. Maintenant j’vais mettre les points sur les i, parce que bon c’est pas non plus la joie tous les jours, faut pas déconner.
« Je puisse ma force dans les bonheurs simples que j’ai appris à savourer, et plus dans les souffrances que j’ai subi. Il faut savoir se défaire du passer pour pouvoir avancer. Cela ne signifie pas que lorsque je me vois dans un miroir il ne se passe rien. Bien au contraire, parfois je m’apprécie, ou m’accepte simplement, et puis à d’autres moments je me hais profondément pour ce que je suis devenue, je regrette de ne pas avoir pu vivre la vie que j’aurai dû avoir sans tout ça. Être correcte, grandir, devenir mature, comprendre et apprendre, ça fait aussi partie de la vie. Recevoir de l’aide aussi, et il faut savoir l’accepter sans se dévaloriser.
Au contraire même… je sais que c’est parce que Nami m’a aidé à commencer à surmonter mon traumatisme que j’ai pu apprendre à vivre dans le présent, envisager l’avenir sans être bloquée dans mon passé. Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas là, qu’il n’a pas existé. Il fait parti de moi, je ne peux pas le changer, mais j’ai pu choisir de ne pas le laisser me dévorer.
Maintenant c’est à toi de faire ce choix. Est-ce que tu veux que ce passé te définisse pour le reste de ton existence ou est-ce que tu veux pouvoir avancer ? »
Personne ne fera le choix à sa place, j’peux pas non plus la forcer à prendre une direction plus qu’l’autre. Nami s’était juste contenté d’être à mes côtés, d’m’accompagner sur l’chemin qu’j’avais choisi. Nami… c’est ton exemple qu’je vais tenter d’suivre aujourd’hui. J’vais rester à côté d’c’te pauvre gamine pour l’aider à avancer. Juste être là pour elle, même si elle ne veut pas. Comme tu l’avais fait pour moi.
Comme ça tu reviendras un peu avec moi et puis j’espère qu’tu s’ras fière de moi aussi.
"Survole du passé"
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Lun 31 Oct 2022 - 3:38
Apparemment, je n'étais pas la source de sa blessure, mais au moins le déclencheur. La raison je l'ignorais et en soit je ne voyais pas à quoi cela m'importerait de le savoir. J'écoutais Asuna m'expliquant brièvement que c'était dû à un souvenir du passé. Je me demande ce que j'avais bien pu faire de spécial pour ainsi lui rafraichir la mémoire. Au moins, elle ne m'aura pas arraché la tête comme elle le dit. Ce sentiment de déjà vu dans mes cauchemars s'était déjà produit mais pas par la même personne. Fort heureusement les rêves ne sont pas la réalité. J'étais plus calme en effet et disposé à discuter, mais elle aussi. Elle était moins... elle ? M'enfin elle m'expliquait que s'était dans son caractère et que c'était un petit grain de folie. Petit grain ? Gros grain et y en a même plusieurs. Elle était plus sérieuse en discutant avec moi pour le coup et en soit, je préférais beaucoup ça. C'était étonnant non ? Moi qui faisait toute les absurdités possibles et inimaginable. Que lorsqu'on croit que je ne pouvais pas faire pire j'arrivais toujours à surprendre. On pourrait croire que je m'entendrai mieux avec des jeux plus ou moins aussi ouvert ? Faut croire que la première méthode d'approche n'était pas la bonne. Plus de sérieux fonctionnait mieux. Réciproquement ironique puisque j'avais envie d'être moi-même être infernal et ma partenaire de fortune voulait retourner à ses grains de folies à coup sûr mais aucune de nous deux n'avait encore l'envie de se battre.
Je préfère voir la vie comme une suite d'évènement. C'est assez négatif comme ça je ne crois plus vraiment au positif. Normal que tu n'arrives plus à surprendre ton enfant il te connait par cœur. Moi je ne te connais pas, je suis une parfaite inconnue qui a eu la malchance de piquer ta curiosité pour laquelle je n'arrive toujours pas à saisir pourquoi. J'ai rien de spécial et y a rien d'intéressant à savoir avec moi.
Ce que je disais n'étais pas faux, mais pas vrai pour autant non plus parce que ma vision des choses était aveuglé par le vécu négatif de ma vie de jeune vampirette et j'avais peu d'espoir à présent. Le pire dans l'histoire, c'est que j'avais l'impression que plus je parlais, plus je l'intéressais et ça en faisait frémir. J'étais pris dans ses filets de gré ou de force car j'avais cette impression qu'à chaque seconde elle gagnait du terrain exactement comme elle le voulait. M'aurait-elle piégé ? Je n'avais pourtant pas l'impression d'être dos au mur à présent, en soit j'avais le choix. Elle me parlais brièvement d'elle et de la raison de cette crème de soin. Alors comme ça elle était affilié aux vampires ? Et ben ça pour une nouvelle. Alors c'est pour ça qu'elle a cru qu'on pourrait faire pote ? Non cela n'aurait pas de logique car comme elle l'avait dit bien plusieurs minutes avant mes semblables l'évitaient à tout prix. C'était un sac de noeuds cette blonde, je vous le dis.
En tout cas ça va déjà beaucoup mieux. Merci. Et puis je n'aurais pas l'argent de m'acheter un tel produit miracle. Alors ce n'est pas moi qui ferait grossir la caisse. Mmm... et ben je sais pas ce que t'es en fait. C'est la première fois que je sens cette odeur particulière. J'ai l'impression à vue de nez que tu adorerais les épices, mais c'est pas ça. Mmm....
Finalement dans mon incapacité à deviner, elle m'avoua sa nature et sa particularité. Attends, je ne sais pas si je devais rire, pleurer ou supplier vu que la fuite était impossible. Au contraire la réaction des plus stupide et imprévisible se fit. Bon sang, mais où est ce que j'avais bien pu m'éduquer moi même parfois... c'était digne d'une gosse de quatre ans qui découvre le monde. Mon visage s'était illuminé de la découverte au mot "Lycan". J'avais fait abstraction du reste de ses paroles, c'était le moment classe découverte. Aussi en une fraction de millième de seconde je m'étais approché la touchant à chercher des oreilles velue dans ses cheveux, puis à toucher derrière au niveau ou la queue est censé être sans gêne. Le pire c'est la tête septique que je faisais avant de prendre la parole non pas pour m'excuser de mon geste déplacé, mais pour limite la réprimander de ne pas être comme l'image des lycans que je me faisais.
Dis, tu te ficherais pas de moi par hasard ? Les oreilles et la queue ils sont où ? ... Attends... créer ? Combattre les vampires ? Hey, je sais pas c'est quoi ton tripe, mais je suis pas là pour me fait tuer juste parce que voilà c'est ainsi. Moi j'ai rien demandé, on m'a obligé à aller à l'université. Et puis si faut se battre ben je ferais... comme je peux... je peux pas être à mon maximum...
Elle me déballait des choses que je ne contrôlais pas. Des choses qui était hors de ma portée et qui pour autant me liait d'une forme malsaine à la blonde devant moi alors qu'aucun lien nous prédestinait à se rencontrer. Je ne comprenais plus rien et j'étais perdue et encore une fois, ma race tout aussi détestable qu'elle l'est de nature et j'en avais une confirmation visuel devant moi qui me déballait tout. Et quoi ?! YAKUZA ? En plus ! Je me sentais liquéfié, si les ténèbres et la lumière était présente, c'est les ténèbres qui m'engloutissait à chaque paroles de la louve. J'étais vaincu par parole verbal 3 à 0. Est-ce que cette louve savait le foudroiement que ses paroles avaient eu sur ma petite personne ? J'étais tellement dans la vision humaine des choses dans mon esprit que je ne savais plus si j'allais crever parce que j'avais manqué de respect à une Yakuza ou si c'était parce que c'était une machine à tuer crée par des vampires pour tuer des vamp... attend quoi ?
Décidément, le ridicule, la stupidité et l'incompréhension ne tue pas pour la vampirette que j'étais. En effet, dans la millième de seconde suivante, j'étais à genoux au sol à m'incliner à demander pardon le tout en chialant comme une madeleine et ce n'était pas du cinéma puisque la tremblote et l'incertitude de l'anxiété gagnait du... ben le terrain était déjà pris en fait.
Go...Gomennasai madame la Yakuza, je voulais pas manquer de respect, vous avez subi une histoire si triste et horrible, je savais pas ce que ma race avait fait, de grâce épargnez ma misère de vie, je suis orpheline de naissance et je n'ai que 18 ans!
En soit j'avais bien tout retenu de ses paroles, mais j'avais l'impression que j'allais finir pour responsable pour les conneries des autres. Encore. Je sais que je n'étais pas un modèle de vertu loin de là, mais je ne pensais pas être une mauvaise personne pour autant ou alors j'avais tort. Je ne savais plus du tout ou me faute à part prier pour être épargner. Oui prier la déesse est peut-être la seule chose sainte qui pouvait me rester dans mes probables derniers instant.
Je préfère voir la vie comme une suite d'évènement. C'est assez négatif comme ça je ne crois plus vraiment au positif. Normal que tu n'arrives plus à surprendre ton enfant il te connait par cœur. Moi je ne te connais pas, je suis une parfaite inconnue qui a eu la malchance de piquer ta curiosité pour laquelle je n'arrive toujours pas à saisir pourquoi. J'ai rien de spécial et y a rien d'intéressant à savoir avec moi.
Ce que je disais n'étais pas faux, mais pas vrai pour autant non plus parce que ma vision des choses était aveuglé par le vécu négatif de ma vie de jeune vampirette et j'avais peu d'espoir à présent. Le pire dans l'histoire, c'est que j'avais l'impression que plus je parlais, plus je l'intéressais et ça en faisait frémir. J'étais pris dans ses filets de gré ou de force car j'avais cette impression qu'à chaque seconde elle gagnait du terrain exactement comme elle le voulait. M'aurait-elle piégé ? Je n'avais pourtant pas l'impression d'être dos au mur à présent, en soit j'avais le choix. Elle me parlais brièvement d'elle et de la raison de cette crème de soin. Alors comme ça elle était affilié aux vampires ? Et ben ça pour une nouvelle. Alors c'est pour ça qu'elle a cru qu'on pourrait faire pote ? Non cela n'aurait pas de logique car comme elle l'avait dit bien plusieurs minutes avant mes semblables l'évitaient à tout prix. C'était un sac de noeuds cette blonde, je vous le dis.
En tout cas ça va déjà beaucoup mieux. Merci. Et puis je n'aurais pas l'argent de m'acheter un tel produit miracle. Alors ce n'est pas moi qui ferait grossir la caisse. Mmm... et ben je sais pas ce que t'es en fait. C'est la première fois que je sens cette odeur particulière. J'ai l'impression à vue de nez que tu adorerais les épices, mais c'est pas ça. Mmm....
Finalement dans mon incapacité à deviner, elle m'avoua sa nature et sa particularité. Attends, je ne sais pas si je devais rire, pleurer ou supplier vu que la fuite était impossible. Au contraire la réaction des plus stupide et imprévisible se fit. Bon sang, mais où est ce que j'avais bien pu m'éduquer moi même parfois... c'était digne d'une gosse de quatre ans qui découvre le monde. Mon visage s'était illuminé de la découverte au mot "Lycan". J'avais fait abstraction du reste de ses paroles, c'était le moment classe découverte. Aussi en une fraction de millième de seconde je m'étais approché la touchant à chercher des oreilles velue dans ses cheveux, puis à toucher derrière au niveau ou la queue est censé être sans gêne. Le pire c'est la tête septique que je faisais avant de prendre la parole non pas pour m'excuser de mon geste déplacé, mais pour limite la réprimander de ne pas être comme l'image des lycans que je me faisais.
Dis, tu te ficherais pas de moi par hasard ? Les oreilles et la queue ils sont où ? ... Attends... créer ? Combattre les vampires ? Hey, je sais pas c'est quoi ton tripe, mais je suis pas là pour me fait tuer juste parce que voilà c'est ainsi. Moi j'ai rien demandé, on m'a obligé à aller à l'université. Et puis si faut se battre ben je ferais... comme je peux... je peux pas être à mon maximum...
Elle me déballait des choses que je ne contrôlais pas. Des choses qui était hors de ma portée et qui pour autant me liait d'une forme malsaine à la blonde devant moi alors qu'aucun lien nous prédestinait à se rencontrer. Je ne comprenais plus rien et j'étais perdue et encore une fois, ma race tout aussi détestable qu'elle l'est de nature et j'en avais une confirmation visuel devant moi qui me déballait tout. Et quoi ?! YAKUZA ? En plus ! Je me sentais liquéfié, si les ténèbres et la lumière était présente, c'est les ténèbres qui m'engloutissait à chaque paroles de la louve. J'étais vaincu par parole verbal 3 à 0. Est-ce que cette louve savait le foudroiement que ses paroles avaient eu sur ma petite personne ? J'étais tellement dans la vision humaine des choses dans mon esprit que je ne savais plus si j'allais crever parce que j'avais manqué de respect à une Yakuza ou si c'était parce que c'était une machine à tuer crée par des vampires pour tuer des vamp... attend quoi ?
Décidément, le ridicule, la stupidité et l'incompréhension ne tue pas pour la vampirette que j'étais. En effet, dans la millième de seconde suivante, j'étais à genoux au sol à m'incliner à demander pardon le tout en chialant comme une madeleine et ce n'était pas du cinéma puisque la tremblote et l'incertitude de l'anxiété gagnait du... ben le terrain était déjà pris en fait.
Go...Gomennasai madame la Yakuza, je voulais pas manquer de respect, vous avez subi une histoire si triste et horrible, je savais pas ce que ma race avait fait, de grâce épargnez ma misère de vie, je suis orpheline de naissance et je n'ai que 18 ans!
En soit j'avais bien tout retenu de ses paroles, mais j'avais l'impression que j'allais finir pour responsable pour les conneries des autres. Encore. Je sais que je n'étais pas un modèle de vertu loin de là, mais je ne pensais pas être une mauvaise personne pour autant ou alors j'avais tort. Je ne savais plus du tout ou me faute à part prier pour être épargner. Oui prier la déesse est peut-être la seule chose sainte qui pouvait me rester dans mes probables derniers instant.
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