[EVENT] Celui qui ne pouvait choir (21/06/2018, ~1h)
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Aaren S. Hermansson
Raphaël de La Roche
Le Narrateur
7 participants
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Aaren S. Hermansson#102562#102562#102562#102562#102562#102562
Humain - Chef des chevaliers de l'ombre
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Dim 19 Jan 2020 - 15:29
Sans surprise, Asuna s’était montrée particulièrement vindicative envers le vieux vampire et son attitude déplacée. Enfin, à sa manière… Aaren s’était fait violence pour ne pas rire, se mordant l’intérieur des joues. Et si son visage était resté impassible, son regard brillant sur l’instant avait bien trahi l’hilarité qui le gagnait alors. Voilà une belle façon de se venger pour la lycane. Autant dire que la crédibilité du sang-pur en avait pris pour son grade. Surtout devant un autre chef de clan, qui était de surcroît un opposant à ses idées. ç’avait été un moment particulièrement agréable, duquel il s’était délecté… en toute discrétion bien entendu.
Après quoi, Asuna se tourna vers lui, après un bref regard adressé au seigneur di Altiero. Ainsi donc, elle préférait prendre congé. Le chef hunter comprenait sa décision. Elle devait encore digérer la mort de son congénère, et toutes les nouvelles, bonnes comme mauvaises, qui l’accompagnaient. Aaren s’inclina à son tour pour lui retourner le salut.
Très bien. Prenez soin de vous d’ici là.
Il la regarda s’éloigner quelques secondes, avant de recentrer son attention sur ceux qui restaient. Mais Alessio fit alors part de son intention de rentrer à son tour. Le norvégien serra la main tendue avec entrain.
Merci d’être venu, Herre di Altiero. A bientôt.
Son regard suivit le départ de l’italien, tandis qu’il s’interrogeait sur cette histoire de forgeron. Une petite voix intérieure lui soufflait qu’il n’avait pas fini d’être surpris dans cette affaire. Puis Lady Lawford prit la parole. Elle aussi pensait que les créateurs de l’arme s’étaient inspirés de l’existant.
L’autopsie nous en dira plus sur le sujet. Mais vous avez raison. Le temps nous dira ce qu’il en est. Même si j’espère résoudre cette énigme avant de tomber sur un autre cadavre. Prions pour qu’il n’y en ait pas d’autre d’ici là.
La vampire posa ensuite une question à Lord Shidara, qui ne se priva pas de partager sa science à cette assemblée désormais restreinte. Aaren l’écouta tout aussi attentivement que la demoiselle, le menton entre deux doigts. Puis l’anglaise porta son attention sur la scène de crime et exprima son désir de l’explorer à son tour. Le hunter se garda bien de répliquer, pour ne pas la froisser, toutefois il doutait sérieusement qu’elle pût dénicher un nouvel indice après le passage appliqué de ses hommes. Mais bon, un regard neuf pouvait toujours servir. Il l’observa tandis qu’elle approchait l’endroit où reposait le corps encore quelques minutes auparavant.
Puis soudain elle se dirigea à l’opposé de la rue ; son regard perçant avait dû capter quelque détail intéressant. Elle se pencha et ramassa quelque chose. Aaren fronça les sourcils et la rejoignit rapidement en quelques enjambées. Qu’avait-elle trouvé qui eût échappé à sa vigilance ?
Qu’avez-vous trouvé, Lady Lawford ?
Il jeta un oeil par dessus l’épaule de la duchesse et reconnut une pièce de 500 yens, datant de l’année 1986, s’il déchiffrait bien l’écriture japonaise dessus. Le norvégien haussa un sourcil, l’air circonspect. Comment avait-elle pu remarquer cette pièce de sa position, alors qu’il faisait nuit ? Les rayons lunaires suffisaient à peine à éclaircir partiellement le ciel bien sombre. Peut-être s’étaient-ils reflétés brièvement sur la surface métallique… Mais la probabilité de la remarquer au moment propice était bien faible. Quels avaient été ses paroles déjà ? “Dame Chance”. Intéressant.
Eh bien, milady, il semblerait que vous soyez née sous une bonne étoile. Permettez ? Je vous la rendrai dès que nous lui aurons arraché ses secrets, bien sûr.
Il tendit une main gantée pour récupérer l’objet afin de l’analyser de plus près. Il doutait de pouvoir en apprendre plus qu’elle, surtout d’un objet si anodin, toutefois il n’y perdrait rien. Selon son inspection, elle irait peut-être rejoindre les indices sous scellée pour subir des examens plus approfondis dans leur laboratoire. Dans le pire des cas, elle ne leur apprendrait rien et retournerait très vite à sa nouvelle propriétaire.
Après quoi, Asuna se tourna vers lui, après un bref regard adressé au seigneur di Altiero. Ainsi donc, elle préférait prendre congé. Le chef hunter comprenait sa décision. Elle devait encore digérer la mort de son congénère, et toutes les nouvelles, bonnes comme mauvaises, qui l’accompagnaient. Aaren s’inclina à son tour pour lui retourner le salut.
Très bien. Prenez soin de vous d’ici là.
Il la regarda s’éloigner quelques secondes, avant de recentrer son attention sur ceux qui restaient. Mais Alessio fit alors part de son intention de rentrer à son tour. Le norvégien serra la main tendue avec entrain.
Merci d’être venu, Herre di Altiero. A bientôt.
Son regard suivit le départ de l’italien, tandis qu’il s’interrogeait sur cette histoire de forgeron. Une petite voix intérieure lui soufflait qu’il n’avait pas fini d’être surpris dans cette affaire. Puis Lady Lawford prit la parole. Elle aussi pensait que les créateurs de l’arme s’étaient inspirés de l’existant.
L’autopsie nous en dira plus sur le sujet. Mais vous avez raison. Le temps nous dira ce qu’il en est. Même si j’espère résoudre cette énigme avant de tomber sur un autre cadavre. Prions pour qu’il n’y en ait pas d’autre d’ici là.
La vampire posa ensuite une question à Lord Shidara, qui ne se priva pas de partager sa science à cette assemblée désormais restreinte. Aaren l’écouta tout aussi attentivement que la demoiselle, le menton entre deux doigts. Puis l’anglaise porta son attention sur la scène de crime et exprima son désir de l’explorer à son tour. Le hunter se garda bien de répliquer, pour ne pas la froisser, toutefois il doutait sérieusement qu’elle pût dénicher un nouvel indice après le passage appliqué de ses hommes. Mais bon, un regard neuf pouvait toujours servir. Il l’observa tandis qu’elle approchait l’endroit où reposait le corps encore quelques minutes auparavant.
Puis soudain elle se dirigea à l’opposé de la rue ; son regard perçant avait dû capter quelque détail intéressant. Elle se pencha et ramassa quelque chose. Aaren fronça les sourcils et la rejoignit rapidement en quelques enjambées. Qu’avait-elle trouvé qui eût échappé à sa vigilance ?
Qu’avez-vous trouvé, Lady Lawford ?
Il jeta un oeil par dessus l’épaule de la duchesse et reconnut une pièce de 500 yens, datant de l’année 1986, s’il déchiffrait bien l’écriture japonaise dessus. Le norvégien haussa un sourcil, l’air circonspect. Comment avait-elle pu remarquer cette pièce de sa position, alors qu’il faisait nuit ? Les rayons lunaires suffisaient à peine à éclaircir partiellement le ciel bien sombre. Peut-être s’étaient-ils reflétés brièvement sur la surface métallique… Mais la probabilité de la remarquer au moment propice était bien faible. Quels avaient été ses paroles déjà ? “Dame Chance”. Intéressant.
Eh bien, milady, il semblerait que vous soyez née sous une bonne étoile. Permettez ? Je vous la rendrai dès que nous lui aurons arraché ses secrets, bien sûr.
Il tendit une main gantée pour récupérer l’objet afin de l’analyser de plus près. Il doutait de pouvoir en apprendre plus qu’elle, surtout d’un objet si anodin, toutefois il n’y perdrait rien. Selon son inspection, elle irait peut-être rejoindre les indices sous scellée pour subir des examens plus approfondis dans leur laboratoire. Dans le pire des cas, elle ne leur apprendrait rien et retournerait très vite à sa nouvelle propriétaire.
Action : Inspecter la pièce
Prédéfinie ou secrète : secrète
Coût en PA : 2 PA
Prédéfinie ou secrète : secrète
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Le Narrateur#102564#102564#102564#102564#102564
Vieux sage
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Dim 19 Jan 2020 - 15:50
La Rue
« Pile ou Face »
En regardant cette pièce et en suivant une procédure d’enquête comme on t'a formé à le faire.
Tu relèves les empruntes des deux côtés de la pièces avant de ranger avec soin le tout, mais tu n'est pas certain que ce soit concluant à cause de la fréquence à laquelle une pièce peut changer de main surtout de 500 yen.
Tu utilise ton portable pour faire quelques recherches complémentaires rapide mais du sais différentes choses.
Cette pièce daté de 1986 est une pièce de 500 yen dite d'Hirohito à cause de ses dates. Ce modèle de pièce n'est plus courant du coup en raison du fait qu'elle ne sont plus fabriquées depuis 1989.
Il faudrait cependant vraiment te renseigner auprès d'un Numismate pour en savoir plus sur cette pièce-ci.
Sarah F. Ryan#102758#102758#102758#102758#102758#102758
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Sam 8 Fév 2020 - 13:22
Celui qui ne pouvait choir
Feat Aaren S. Hermansson, Altaïr Arafa-Nazari & Metuselah Shidara
La seule chose que trouva la demoiselle, ce fut une pièce de 500 yens. La vampiresse s’approcha et se pencha pour la ramasser et l’observer d’un air circonspect. Voilà qui ne semblait pas avoir de lien avec la scène de crime. Elle ne pouvait toutefois pas savoir que la pièce qu’elle tenait dans la main était une pièce très peu commune à l’heure actuelle, vu qu’elles n’étaient plus fabriquées depuis presque vingt ans maintenant. En soit, un véritable petit trésor pour un collectionneur. On pouvait avoir une culture générale assez poussée, ce n’est pas pour autant qu’on savait tout.
Elle fut rapidement rejointe par Aaren Hermansson. Ce dernier avait remarqué que quelque chose l’avait interpellée. Quand il lui demanda ce qu’elle avait trouvé, elle lui montra la pièce avant de la lui donner. C’était après tout un potentiel indice. Elle se retint aussi de grimacer à la remarque du chevalier. « Son aide pourrait s’avérer précieuse ». Pour sûr, elle allait retenir Alessio et comptait bien lui rendre la monnaie de sa pièce. De toute façon, au point où elle en était, autant tout de suite arrêter de jouer aux devinettes tant qu’ils étaient tous les deux éloignés du reste du groupe. Enfin, il y avait toujours les oreilles de Shidara qui pouvaient trainer dans le coin.
Quoi qu’il en soit, pour ce soir, la jeune lady décida qu’elle ne pouvait plus être utile. Si la seule chose qu’elle avait pu trouver été une pièce, c’est qu’il n’y avait surement rien d’autres dans les parages. Elle sortit le petit carnet trouvé quelques heures plutôt et y annota, sur la dernière page, un moyen de la contacter.
Elle arracha la page et la tendit à l’homme. Elle lui adressa ensuite un dernier signe de tête avant de rejoindre le seigneur vampirique et la demoiselle rousse.
Elle accompagna ses mots d’une révérence et, d’un pas tranquille mais ferme, elle quitta la scène de crime.
Elle fut rapidement rejointe par Aaren Hermansson. Ce dernier avait remarqué que quelque chose l’avait interpellée. Quand il lui demanda ce qu’elle avait trouvé, elle lui montra la pièce avant de la lui donner. C’était après tout un potentiel indice. Elle se retint aussi de grimacer à la remarque du chevalier. « Son aide pourrait s’avérer précieuse ». Pour sûr, elle allait retenir Alessio et comptait bien lui rendre la monnaie de sa pièce. De toute façon, au point où elle en était, autant tout de suite arrêter de jouer aux devinettes tant qu’ils étaient tous les deux éloignés du reste du groupe. Enfin, il y avait toujours les oreilles de Shidara qui pouvaient trainer dans le coin.
Sarah ▬ « Il ne semble pas. Je le suis. Mais il me semblait déjà avoir donné un assez bon indice à ce sujet, n’est-ce pas ? Il s’agit de mon pouvoir. Une chance permanente et passive qui décide d’agir quand bon lui semble. Celle-ci vous laissera peut-être l’occasion de découvrir mon deuxième. Enfin… Si vous pouviez garder cette information pour vous, vous me rendriez un grand service. »
Quoi qu’il en soit, pour ce soir, la jeune lady décida qu’elle ne pouvait plus être utile. Si la seule chose qu’elle avait pu trouver été une pièce, c’est qu’il n’y avait surement rien d’autres dans les parages. Elle sortit le petit carnet trouvé quelques heures plutôt et y annota, sur la dernière page, un moyen de la contacter.
Sarah ▬ « Je pense que je vais vous laisser. Mais voici de quoi me joindre si jamais vous en avez besoin. »
Elle arracha la page et la tendit à l’homme. Elle lui adressa ensuite un dernier signe de tête avant de rejoindre le seigneur vampirique et la demoiselle rousse.
Sarah ▬ « Madame, Mister Shidara. Je vais vous laisser. Je vous souhaite une bonne fin de nuit. Ne vous inquiétez pas pour moi. Je rentrerai sans encombre jusqu’à chez moi. »
Elle accompagna ses mots d’une révérence et, d’un pas tranquille mais ferme, elle quitta la scène de crime.
"La nuit portera peut-être conseil"
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Mer 15 Juil 2020 - 1:01
Quasi nulles.
Mais non impossible.
Peut-être n'était-ce qu'une fausse piste, ou peut-être que cela paraissait absurde. En soit, il voulait bien croire -volontier- que l'association des Chasseurs avaient perdus leurs faculté à produire leurs armes.
Il doutait que, même si c'était le cas, ils partagent l'information, néanmoins, le vieux vampire n'était pas aussi incrédule que cela, donc pourquoi pas ?
Toutefois, il était aussi vrai que beaucoup de vampires auraient payés cher pour mettre la main -et conserver- une des armes de l'association pour les étudier à souhait. Lui-même, à une époque, était fort curieux de pouvoir étudier le concept porté par ses armes.
Toutefois, ayant peu envie de voir une dizaine de chasseur toquer à sa porte, il s'était abstenu.
Voir les chasseurs renier ainsi cette théorie était amusante. Il comprenait toutefois le principe. Admettre que leurs armes aient été étudié auraient impliqué quelqu'un capable d'y accéder. Donc que l'origine du problème soit en leur sein.
Douloureux, n'est-il pas ?
Enfin, il ne s'opposa guère, et décida de ne pas démentir sa théorie. Pour une simple et bonne raison : cela n'était en aucun cas nécessaire.
Soit cela n'était pas le cas, auquel cas effectivement, c'était une mauvaise piste, soit c'était le cas, et cela reviendrait sur le tapis bien plus tart. Quand il ne resterait que cette possibilité. Dans tous les cas, cela lui convenait.
Toutefois, lui-même nota dans un coin d sa tête d'aller ressortir des éléments de la Mort Noire, qui semblerait-il, pourrait s'avérer plus utile que prévu, pour les comparer avec les effets.
Toutefois, quand Asuna s'approcha de lui pour lui tapoter la joue, le vieux doyen arcqua un sourcil.
L'espace d'un instant, bien que son expression ne changea pas, son corps bougea légèrement. Très légèrement.
Il connaissait, mieux que quiconque, la puissance des lycans et leurs façons de combattre. En cet instant précis, seul la « gentillesse » de l'acte l'avait empêcher de faire passer la lourde titanide au-dessus de son corps pour lui faire faire ami-ami avec le bitume.
L'insulter était une chose, le toucher en était une autre. Ses … disons, ses anciens instincts pouvaient rapidement remonter.
Surtout en sachant que la personne qui le touchait pouvait dans le même geste lui retirer la tête des épaules.
Toutefois, quelque chose se fraya dans son esprit.
Il put lui retourner un immense sourire.
Accompagné d'une voix extraordinairement douceureuse.
Rooooh, fan-ta-sti-que ! Vous voyez, cher Alessio ? Au final, certains semblent parfaitement prêt... c'est parfait, c'est parfait...
Mais vous avez raison, absolument ! D'ailleurs, puisque vous semblez tellement bien disposée à mon égard, je suppose que vous me ferez la joie de passer dans mon domaine pour m'aider dans la recherche des autres aspects ?
Après tout, il ne faudrait pas que certains enfants rongent mes os par une rage incontrolable. Mais vous n'avez pas ce soucis à me permettre de vérifier une porteuse saine potentiellement contaminée, n'est-ce pas ?
Cool. Un enfant de retour chez papa.
Nickel . Propre.
Elle est tombée dedans les pieds devant, en plus, fabuleux.
Bon, la vérité, le doyen était à moitié sérieux. En un sens, voir quelqu'un le rabaisser ainsi était... commun.
Mais bon, ce n'était pas comme s'il attendait réellement du respect des autres.
L'air guilleret de la bonne nouvelle sur le visage alors que la lycane lui détourne le dos, le doyen reporta son sérieux quelques secondes plus tart sur damoiselle Lawford.
Son regard se plissa un peu, devenant plus pensif. Ce qu'elle disait avait du sens. Et se liait à d'autres principes.
Elle avait suivie en partie la même logique que lui sur les armes des hunters. A un détail prêt... L'évolution était une chose, néanmoins...
… C'est possible, mais il faut un facteur évolutif. Quelque chose qui fait que le virus réagit. Ou que l'organisme du lycan réagit pour s'opposer, nourrissant ce dernier.
Le problème, c'est que le virus pourrait ne pas évoluer à la même vitesse et de la même manière chez tous. Cela dit, si vous désirez étudier cet état de fait, rapprochez vous de Dwight Hodgkins, qui a réussi à en capturer un vivant.
Avec un peu de chance, cela pourrait soulager sa souffrance...
Il n'avait pas besoin d'en dire plus. Il n'y avait que deux moyens de soulager une telle souffrance.
La guérison ou l'acte de pitié.
Dans le deuxième cas, c'était le plus probable. Et l'indésirable.
Il espérait juste que, quand il devrait poser ses questions à la sorcière, elle soit au courant de sa nature et qu'elle ne joue pas au conne avec lui.
Sinon, cela s’avérerait compliquer. Il devrait demander à quelqu'un d'autre de faire le travail à sa place. Mais Taichi Tomoe Yukimura n'était pas un élément qu'il désirait risquer.
Bien trop talentueuse pour son propre bien, cette petite... Il devrait lui faire passer un test de QI à celle-la.
Si elle était aussi intelligente que lui... Cela serait fort intéressant.
Se séparant de la sorcière, il observa un peu plus la scène, tranquillement sur le coté. Il fit un petit signe de tête au Di Altiero, ce dernier quittant la scène.
Il était plus observateur qu'acteur, il avait l'impression, dans cet histoire. Mais au moins pourrait-il observer jusqu'à la fin.
Une pièce de monnaie ? Intéressant. Malheureusement, il était trop loin pour voir les détail, et ses dons ne l'aideraient pas.
Enfin. Il espérait juste que d'éventuels traces adn ne révèlent pas que les patounes du lycan, mais un vrai non. En espérant qu'ils songent à cela, bien sur. On oublie souvent le B-A-BA.
…
Wait.
Wait
Wait.
Chanceuse ?
TRES intéressant ça. Si seulement il avait quelqu'un avec un tel talent dans son domaine, tellement de choses seraient plus simple...
Dès qu'elle passa prêt de lui, signalant son départ, le doyen s'inclina légèrement.
Bonne soirée à vous en ce cas... Je ne vais pas tarder à vous suivre, de toute façon.
Sachez toutefois que je serais heureux de pouvoir converser avec vous à nouveau. Vous avez du nez.
Fit-il avec un sourire poli, avant de se tournver vers Aaren, et, surtout , la rousse.
Bien. Cher hunter, à moins que vous ayez d'autres questions à voir avec moi, sachez juste que ma porte vous est ouverte dorénavant pour l'avancé de ces évènements. Je vous prierais juste de ne pas venir à dix chez moi, bien évidemment.
Puis-je avoir , comme demandé, un peu de temps avec la demoiselle avant de partir? En privé. Si vous avez des questions, posez-les avant, car je vous abandonnerai juste après.
Il fixa le chasseur.
Il savait que il n'était, pour beaucoup, pas forcément quelqu'un de bon, et que il y avait rumeurs comme quoi il n'était jamais bon d'être seul avec lui.
Toutefois, dans ce cas présent, il n'avait pas du tout envie de faire son petit malin. Et si son sourire était toujours présent, il n'était que poli. Son ton était calme, serein.
Mais implacable. En cas de refus, tant pis, il les laisserait là, et utiliseraient d'autres moyens pour atteindre son objectif. Mais bon. C'était... Malpoli de faire autrement.
Rude.
Et la grossièreté n'était guère désirée.
Aaren S. Hermansson#104585#104585#104585#104585#104585#104585
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Ven 14 Aoû 2020 - 18:46
Le norvégien haussa un sourcil à la réplique de Sarah Lawford. Elle était née sous une bonne étoile, au sens propre du terme ? Hum, elle avait bien fait allusion à une aptitude particulière concernant la chance… Et elle lui confirma qu'il s'agissait de son pouvoir de sang-pur : altérer les probabilités pour les faire tourner en sa faveur. Voilà qui était intéressant. Très intéressant.
"N'ayez crainte, milady. Je ne trahirai pas votre secret, vous avez ma parole."
Une parole nullement donnée à la légère. Une fois accordée, il se devait de la respecter. Ainsi la jeune femme pouvait considérer son pouvoir sous bonne garde. Il ne vendra jamais la mèche de son plein grés. Après quoi elle griffonna ses coordonnées sur une feuille de son carnet, qu'elle lui tendit ensuite. Il l'accepta volontiers et la rangea précieusement dans le portefeuille qui contenait son badge de chevalier. Ainsi il ne risquait pas de le perdre.
"Je n'y manquerai pas, milady. D'ici là, prenez soin de vous."
Il s'inclina pour saluer respectueusement son départ, puis se tourna vers les derniers encore présents. A savoir, son amie Altaïr et le doyen des vampires. L'hypothèse de ce dernier concernant le facteur évolutif était intéressante. Comme il l'avait suggéré, il serait de bon ton de rendre visite à Bradley pour voir son prisonnier de plus près. Peut-être pourrait-il lui demander quelques échantillons ? Mais de toute manière, seul un véritable scientifique pourrait élucider cette énigme. Un de confiance, n'en déplût à Shidara. Il devenait essentiel de prendre contact avec le chef scandinave.
Il répondit à Metuselah par un sourire poli et diplomate. Il comprenait que le vampire ne désirât pas se retrouver avec dix hunters armés jusqu'aux dents -presque littéralement pour certains de ses effectifs- dans son domaine. Heureusement pour lui, cela n'arriverait pas. Aaren était peut-être confiant en ses capacités et la personnalité analysée de son interlocuteur, mais il restait lucide, et surtout extrêmement prudent. Il ne prendrait pas le risque de se retrouver seul à seul avec lui dans son manoir. Même si Shidara n'avait pas de grief contre lui, son rôle présentait bien trop d'importance pour ne susciter aucune convoitise chez un homme comme le japonais. Il préférait éviter toute tentation regrettable.
"Merci pour la proposition, Herre Shidara. Je saurai m'en souvenir. Pour le moment, je n'ai pas d'autres questions à vous soumettre, mais je sais où vous trouver en cas de besoin. Quant à votre demande…"
Il échangea un bref regard avec la sorcière. Celle-ci hocha simplement la tête pour confirmer son accord et lui offrit un sourire pour le rassurer.
"… puisque Altaïr est d'accord, je n'y vois aucune objection. Je reste à proximité si nécessaire."
Le message était clair ; il ne la laisserait pas totalement seule. Le norvégien s'éloigna juste assez pour ne point percevoir leur conversation. Il s'immobilisa à une quinzaine de mètre, près de la voiture qui l'attendait, gardant un champ visuel dégagé sur eux. Au moindre geste suspect, il dégainerait Stillhet. Il ne doutait pas des capacités de la sorcière pour se défendre avec sa faux, cependant, il s'agissait du plus vieux vampire connu, et donc par extension, du plus puissant. Il restait une menace pour les mortels comme eux.
Leur échange fut bref et courtois. Lorsque son amie la rejoignit, Aaren ne posa aucune question. Si elle ne jugeait pas nécessaire de lui en parler, alors c'était qu'il n'avait pas à être au courant. Il lui faisait confiance pour se protéger elle-même, et elle avait droit à ses secrets. Il se demanda toutefois si cette courte conversation avait un rapport avec sa communauté. Le vieux vampire avait-il su déceler sa nature sorcière ?
Sans hésitation, Aaren lui proposa de la ramener chez elle. Elle avait déjà passé une partie de la nuit à l'appuyer sur un dossier, avant d'être enrôlée malgré elle dans cette sinistre affaire. C'était donc la moindre des choses. Ils embarquèrent en silence dans l'habitacle, l'un comme l'autre lessivés par cette nuit interminable. La voiture s'arrêta devant le domicile de l'ex chevalier au bout d'une dizaine de minute. Ils se saluèrent brièvement puis Altaïr s'éclipsa à l'intérieur du bâtiment. Une fois seul, Aaren posa une main devant sa bouche pour masquer un bâillement. Lui aussi avait grand besoin de dormir. Il lui restait encore de nombreuses choses à faire, en commençant par contacter un certain norvégien. Cependant il s'arrêterait là pour cette nuit. Il devait lui aussi se reposer un peu, car la semaine promettait d'être longue.
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