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Taichi Tomoe Lizenko#105950#105950#105950#105950#105950#105950#105950
Sorcier Sang-Pur - Initié - Apprenti
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Yens : 269
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Jeu 10 Juin 2021 - 16:27
Secret & Foudre
Feat Irina Fujibayashi
Un petit rire cristallin s’échappe des lèvres de l’adolescente en constatant la réaction de son aînée. Une sorte de vent de panique et d’incrédulité mélangé concernant l’hypothèse qu’elle a émise. Quant à la remarque qui la suit, l’esprit de la jeune fille la balaye comme fétu de paille, formulant tout haut sa pensée.
« Toi t’es jeune pour une sorcière, lui il est vieux tout court ! C’est pas ma faute à moi si tu ressembles à une jeune femme de même pas 40 ans alors que lui c’est le papy à qui on a envie d’aller rendre visite pour entendre ses histoires. Au mieux, il va plus vieillir plus, mais il restera visuellement pendant encore longtemps … très longtemps plus vieux que toi. »
Taichi Tomoe penche sa tête sur la droite, interrogative. Ce n’était pas simple de ne pas exprimer ses émotions, elle ne savait clairement pas le faire. Un véritable livre ouvert, encore plus lorsqu’elle était sous le coup de la panique. En revanche, l’information sur son amitié déclenche une nouvelle crise de curiosité, que la petit n’essaye même pas de juguler.
« Une amitié transcendée ? Une amitié avec qui ? Je connais la personne ? C’est un membre de l’Enclave ? Quelqu’un à ton boulot ? J’veux tout savoir ! »
Les étoiles dans ces yeux ne laissent aucun doute possible sur son envie de savoir. Même si son Dragon intérieur détourne, habillement, son attention sur un détail du maquillage de l’Enclaviste face à elle. Les larmes ayant fait leur œuvre, ce dernier n’a pas pu rester en place. Il dessine, à présent, des marques sous les yeux et sur les joues de la plus âgée des deux sorcières. Marques que la plus jeune associé de suite à une image très positive pour elle.
« Tu sais que ton maquillage te donne l’air d’un adorable petit panda ? Et tu te souviens j’adore les pandas moi ! Oh on pourrait aller voir les pandas ensemble ? Une sortie au zoo toutes les deux un jour non ? Enfin quand y’a pas trop de monde, parce que j’aime pas la foule et je ne sais pas si je ne paniquerai pas même si tu es là pour me rassurer.
Et faudra éviter les loups aussi, j’ai beaucoup beaucoup de mal avec. Enfin va falloir que je fasse des efforts quand même, alors peut-être de loin. Parce que j’ai promis à Fabricio-san de prendre sur moi tu vois ? De travailler sur ma peur pour avoir un peu moins peur. Mais bon, j’ai quand même mal dormis la nuit suivant notre rencontre. J’ai fait un cauchemar, je me souviens juste que c’était vraiment flippant.
Après j’ai pas pu me rendormir, parce que j’avais trop hâte d’aller récupérer internet le soir avec Nakida-kun et Matsudara-sensei ! »
Tout le discours a été fait en parfaite logique d’association d’esprit. Son expression faciale étant, elle, passée de l’enthousiasme le plus absolu à l’excitation pure, en passant par l’inquiétude et la peur. De fait, son cerveau se demande si investir dans un masque pour dissimuler ses émotions ne serait pas une idée judicieuse pour l’avenir. Parallèlement, il soulève que c’est une idée stupide, puisqu’elle ne penserait certainement quasiment jamais à le porter au quotidien. Il était de fait, logiquement, futile d’envisager cette option de manière sérieuse.
Son esprit, lui, note un détail qui toutefois a son importance dans la situation actuelle et mérite d’être souligner rapidement.
« Ah tu vois que tu peux m’appeler sans te reprendre ! Donc on reste comme ça ! Et puis surtout rassure-toi, je répondrai quand même hein. »
Taichi offre même un clin d’œil à sa mère biologique en souriant, comme si elles venaient de partager un secret à garder. Cette bonne humeur est momentanément chassée par l’hésitation de Fujibayashi-chan à sa demande. Cela ne dure que quelques secondes, mais l’adolescente a la sensation de retenir son souffle durant des heures. Heureusement, le soulagement et la joie qu’elle ressent lorsque le Secret accède à sa demande la font sauter d’allégresse. La joie que la petite ressent à cet instant précis est à la hauteur de la douleur qu’elle ressentait lorsqu’elle a appris la vérité sur la situation. Sautillant sur place, elle imagine tous les scénarii possibles, tous plus farfelus les uns que les autres.
« Taichi Tomoe Lissenko, ça sonne pas trop mal non ? T’en pense quoi ? J’ai tellement envie de crier à tout le monde qui je suis ! Je sais que je devrais pas, parce que c’est pas prudent, mais j’ai envie quand même. Faudra que j’aille à la mairie de Nakanoto pour remplir les papiers de changement de nom, je le ferai demain matin. Et il va aussi que je vois qui chez les sorciers pour faire prendre en compte le changement ? La Justice tu crois ? En même temps je veux pas l’embêter pour ça. Peut-être le Temps ?
En tout cas, ouai ça serait bien que tu reprennes ton nom à toi, plutôt que celui du traitre. Comme ça tu serais toi-même, débarrassée de lui, et y’aurai plus de doute sur notre lien de parenté pour tout le monde. Mais … Est-ce que c’est nécessaire si tu épouses Smith-sensei ?
Parce que tu prendrais son nom à lui non ? Son vrai nom je veux dire hein, pas le faux qu’il m’a donné et qui a servit à créer sa couverture. Ou tu garderas du coup ton nom de jeune fille, pour pas encore tout chambouler pour le boulot ?
Quand je vais raconter ça à Zuko-kun et Farah-chan ! Ils ne vont pas en revenir tous les deux ! »
Son grand sourire et son enthousiasme sont aussi chaud qu’un petit soleil. Présentement, Taichi Tomoe se sent forte et sans peur, comme jamais elle ne s’est sentie.
« Toi t’es jeune pour une sorcière, lui il est vieux tout court ! C’est pas ma faute à moi si tu ressembles à une jeune femme de même pas 40 ans alors que lui c’est le papy à qui on a envie d’aller rendre visite pour entendre ses histoires. Au mieux, il va plus vieillir plus, mais il restera visuellement pendant encore longtemps … très longtemps plus vieux que toi. »
Taichi Tomoe penche sa tête sur la droite, interrogative. Ce n’était pas simple de ne pas exprimer ses émotions, elle ne savait clairement pas le faire. Un véritable livre ouvert, encore plus lorsqu’elle était sous le coup de la panique. En revanche, l’information sur son amitié déclenche une nouvelle crise de curiosité, que la petit n’essaye même pas de juguler.
« Une amitié transcendée ? Une amitié avec qui ? Je connais la personne ? C’est un membre de l’Enclave ? Quelqu’un à ton boulot ? J’veux tout savoir ! »
Les étoiles dans ces yeux ne laissent aucun doute possible sur son envie de savoir. Même si son Dragon intérieur détourne, habillement, son attention sur un détail du maquillage de l’Enclaviste face à elle. Les larmes ayant fait leur œuvre, ce dernier n’a pas pu rester en place. Il dessine, à présent, des marques sous les yeux et sur les joues de la plus âgée des deux sorcières. Marques que la plus jeune associé de suite à une image très positive pour elle.
« Tu sais que ton maquillage te donne l’air d’un adorable petit panda ? Et tu te souviens j’adore les pandas moi ! Oh on pourrait aller voir les pandas ensemble ? Une sortie au zoo toutes les deux un jour non ? Enfin quand y’a pas trop de monde, parce que j’aime pas la foule et je ne sais pas si je ne paniquerai pas même si tu es là pour me rassurer.
Et faudra éviter les loups aussi, j’ai beaucoup beaucoup de mal avec. Enfin va falloir que je fasse des efforts quand même, alors peut-être de loin. Parce que j’ai promis à Fabricio-san de prendre sur moi tu vois ? De travailler sur ma peur pour avoir un peu moins peur. Mais bon, j’ai quand même mal dormis la nuit suivant notre rencontre. J’ai fait un cauchemar, je me souviens juste que c’était vraiment flippant.
Après j’ai pas pu me rendormir, parce que j’avais trop hâte d’aller récupérer internet le soir avec Nakida-kun et Matsudara-sensei ! »
Tout le discours a été fait en parfaite logique d’association d’esprit. Son expression faciale étant, elle, passée de l’enthousiasme le plus absolu à l’excitation pure, en passant par l’inquiétude et la peur. De fait, son cerveau se demande si investir dans un masque pour dissimuler ses émotions ne serait pas une idée judicieuse pour l’avenir. Parallèlement, il soulève que c’est une idée stupide, puisqu’elle ne penserait certainement quasiment jamais à le porter au quotidien. Il était de fait, logiquement, futile d’envisager cette option de manière sérieuse.
Son esprit, lui, note un détail qui toutefois a son importance dans la situation actuelle et mérite d’être souligner rapidement.
« Ah tu vois que tu peux m’appeler sans te reprendre ! Donc on reste comme ça ! Et puis surtout rassure-toi, je répondrai quand même hein. »
Taichi offre même un clin d’œil à sa mère biologique en souriant, comme si elles venaient de partager un secret à garder. Cette bonne humeur est momentanément chassée par l’hésitation de Fujibayashi-chan à sa demande. Cela ne dure que quelques secondes, mais l’adolescente a la sensation de retenir son souffle durant des heures. Heureusement, le soulagement et la joie qu’elle ressent lorsque le Secret accède à sa demande la font sauter d’allégresse. La joie que la petite ressent à cet instant précis est à la hauteur de la douleur qu’elle ressentait lorsqu’elle a appris la vérité sur la situation. Sautillant sur place, elle imagine tous les scénarii possibles, tous plus farfelus les uns que les autres.
« Taichi Tomoe Lissenko, ça sonne pas trop mal non ? T’en pense quoi ? J’ai tellement envie de crier à tout le monde qui je suis ! Je sais que je devrais pas, parce que c’est pas prudent, mais j’ai envie quand même. Faudra que j’aille à la mairie de Nakanoto pour remplir les papiers de changement de nom, je le ferai demain matin. Et il va aussi que je vois qui chez les sorciers pour faire prendre en compte le changement ? La Justice tu crois ? En même temps je veux pas l’embêter pour ça. Peut-être le Temps ?
En tout cas, ouai ça serait bien que tu reprennes ton nom à toi, plutôt que celui du traitre. Comme ça tu serais toi-même, débarrassée de lui, et y’aurai plus de doute sur notre lien de parenté pour tout le monde. Mais … Est-ce que c’est nécessaire si tu épouses Smith-sensei ?
Parce que tu prendrais son nom à lui non ? Son vrai nom je veux dire hein, pas le faux qu’il m’a donné et qui a servit à créer sa couverture. Ou tu garderas du coup ton nom de jeune fille, pour pas encore tout chambouler pour le boulot ?
Quand je vais raconter ça à Zuko-kun et Farah-chan ! Ils ne vont pas en revenir tous les deux ! »
Son grand sourire et son enthousiasme sont aussi chaud qu’un petit soleil. Présentement, Taichi Tomoe se sent forte et sans peur, comme jamais elle ne s’est sentie.
"Lissenko Taichi Tomoe, ohayo !"
:copyright: Etilya sur DK RPG
Invité
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Lun 14 Juin 2021 - 17:13
Ma fille est un esprit affuté et espiègle, il n’y a pas de doute. Je n’aurais pas quelques traumatismes d’enfance que j’aurais été tout à fait pareille à elle à son âge. Cela m’arrache un large sourire, très vite suivi par un rire franc.
Irina ▬ Tu t’entends parler voyons ! Ahahah Pauvre Matthew, il a certes bien blanchi, mais à part quelques rides ici et là il est encore bien fringant pour son âge. Une petite crème, une teinture et il ferait presque illusion. Mais je t’accorde bien que je ferai tout de même plus jeune que lui pendant encore longtemps, mais nous avons tout le temps de vieillir ensemble lui et moi maintenant.Mon pauvre Matthew, si tu entendais parler ainsi de toi, je crois bien que cela ferait friser ta moustache. Elle n’a pas tort, cela lui donne un air plus vieux que moi et il l’est après tout. Il est bien conservé car il a eu une vie très saine et active, mais le fait est là. Il porte plus son âge que moi, même s’il n’a pas l’air d’un véritable grand-père.
Tout savoir ? Tu es un peu jeune pour connaître tout ce qu’il s’est passé au cours de notre soirée rien qu’elle et moi. Mais il est vrai qu’il serait bon de partager un peu de ma vie.
Irina ▬ Tu la connais. Enfin en un sens. C’est une collègue haut placée si je puis dire, car il s’agit de la Justice en personne. Nous nous entendons vraiment très bien et je pense pouvoir dire que c’est sans doute ma meilleure amie. Je te la présenterai à l’occasion si tu veux.Je ne sais pas ce qu’elle veut connaitre de moi, ce qu’il est bon ou non de lui dire, mais j’ai une excellente amie en la personne de Riven et elle a le droit de le savoir. Elles font toutes les deux parties de ma vie après tout.
Je m’essuie rapidement les yeux à l’aide d’un mouchoir, mais c’est peine perdue en effet. Le noir maculant le blanc est sans appel.
Irina ▬ Quelle image te renvoie ta pauvre mère. Mais ça m’a fait beaucoup de bien de pleurer je dois bien l’avouer.Il va me falloir une bonne séance de démaquillant pour ensuite me refaire une beauté si je ne veux pas avoir l’air d’une ahurie en retournant au travail, mais j’aime bien la façon dont elle a de raccrocher cela à quelque chose qu’elle aime bien. Je suis pour faire un maximum de choses avec elle, nous avons tellement de temps à rattraper...
Irina ▬ Au zoo c’est une chose, mais pourquoi te limiter ma chérie. Tu es une sorcière. Nous pourrions nous rendre un jour en Chine et aller les observer dans leur milieu naturel, sans personne pour t’oppresser. Il nous suffirait d’un guide, mais avec des changelins, je pense pouvoir dire que nous aurions tôt fait d’en voir. Mais si tu veux voir les animaux du zoo… cela peut s’arranger. Le chef changelin de ce territoire est chef de la sécurité au zoo et j’ai cru comprendre que beaucoup de changelins essayent de prendre des postes là-bas pour s’occuper au mieux des animaux. Nous pourrions peut-être nous faire ouvrir les portes après fermeture au public. Enfin, si cela te va.J’ai l’impression d’user tellement de ma position de Secret pour l’Enclave, mais autant que cela profite un peu à quelqu’un. Cette position d’ordinaire ne m’offre jamais vraiment l’occasion d’être utilisée pour autre chose que de l’intimidation sommaire.
Je pourrais user de mon pouvoir pour l’aider avec son problème de loup, ou même être présente pour accueillir ses plaintes, mais elle a besoin d’une mère pas d’un psy. Enfin, peut-être que les deux ne lui ferait pas de mal, mais je préfère occuper le premier rôle.
Irina ▬ Très bien, nous éviterons les loups c’est promis.Elle fait preuve de beaucoup de bienveillance à mon sujet et je pense que la franchise absolue que j’ai choisi d’avoir avec elle en est pour beaucoup. Je ne suis pas une personne qui ment souvent en réalité, contrairement à la réputation que peut avoir ma fonction. Mais pour ma fille, jamais je ne lui mentirai et je crois que mon honnêteté à la dire que je ne peux pas répondre à certaines demandes pour le moment ont été à mon crédit.
Irina ▬ Je te remercie ma chérie. ça compte tellement pour moi...Peut-être que je n’arriverai jamais totalement à me faire à l’idée de l’appeler par ce prénom composé, mais je crois que ça viendra un jour. C’est juste qu’elle restera toujours dans ma mémoire ce petit être fragile donc j’ai choisi le nom.
Une fois encore, elle réussit à me faire vriller l’esprit en un instant. Cette idée de mariage, voilà bien une chose dont nous n’avons pas parlé ensemble. Je n’ai même pas réfléchi à cela un seul instant en réalité et ce n’est pas près d’arriver pour le moment. Nous avons beaucoup trop de choses à gérer, mais peut-être un jour pourquoi pas.
Irina ▬ Heu… je crois que je vais rester avec mon nom de jeune fille ma chérie, il est un peu tôt pour parler d’un quelconque mariage. D’autant plus que cela ne nous importe que peu tant que nous sommes ensemble pour tout te dire. Nous avons tous les deux un passé d’espion et un nom n’est qu’un nom. Ce qui compte c’est que nous sommes à l’intérieur. Mais je suis d’accord avec toi. Pour mettre une bonne fois pour toute cette histoire derrière moi il faut que je revienne à l’essentiel. Irina Lissenko le retour !j’ai envie d’être arrangeante avec elle et elle voulait voir à quel point. Je crois qu’il est normal pour une mère de connaître les amis de sa fille, même si l'adolescence est une phase où ils aiment la liberté et où ils s'émancipent un peu. Zuko est le demi-frère de Thomas, autant dire que je n’ai pas grand soucis à me faire de son côté et je crois bien que son amie Farah a sa mère au conseil des changelin si ce que j’ai compris de Matthew est juste. Ce serait une bonne occasion également de nouer un peu plus l’amitié entre les changelins et les sorciers.
C’est le département de la Justice en effet qui s’occupe de ça, mais tu penses bien que ce n’est pas Riven qui gère cela elle-même. Elle est trop occupée à statuer sur les affaires importantes. Toutefois, nous pourrions lui demander un coup de pouce pour que cela aille plus vite c’est certain.
Par contre, pourrais-tu attendre encore un peu avant de leur révéler tout ça ? Je sais que tes amis changelins sont déjà au courant de tout ça, mais… comment dire… C’est très nouveau pour moi et je reste le Secret. Il faudrait que nous fassions cela dans les règles peut-être. Enfin je veux dire… tu pourrais les inviter ici à prendre le thé pour leur dire peut-être ? Cela nous laisserait le temps de faire les démarches et amener quelques affaires à toi si tu t’installes ici. Qu’en dis-tu ?
Etilya sur DK RPG
Taichi Tomoe Lizenko#105971#105971#105971#105971#105971#105971#105971
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Sam 19 Juin 2021 - 15:27
Secret & Foudre
Feat Irina Fujibayashi
Tout le temps de vieillir ensemble… Ce morceau de phrase laisse la petite sorcière perplexe. Sa mère biologique avait encore plus d’un siècle devant elle, alors que Smith-sensei ne devait pas avoir plus d’une trentaine, max quarantaine d’année. Bien sûr, elle admettait que cela laissait tout de même beaucoup de temps pour vieillir en compagnie l’un de l’autre, mais pas suffisant pour autant à ses yeux. Est-ce que sa mère lui cachait quelque chose encore ? De fait la question jaillit comme un diable en boîte, sans prévenir.
« Comment ça tout le temps ? Plusieurs dizaines d’années d’accord, mais ce n’est pas infini, il va mourir avant toi, c’est mathématique. A moins que… Tu me caches quoi entre lui et toi ? »
L’expression de surprise qui se peint sur les traits du visage de l’adolescente est explicite. Elle n’en revient pas d’apprendre qu’une des plus proche amie de sa mère, sa meilleure amie dixit ses paroles, est la Justice elle-même. Taichi Tomoe, la bouche légèrement ouverte, garde le silence un moment. Elle lui parlait bien de la Justice ? Celle dont la réputation de sévérité et d’impartialité n’était plus à faire et faisait froid dans le dos ? Incroyable !
Son Dragon intérieur lui susurre au creux de l’oreille que ce n’est finalement pas si surprenant que cela. Elles collaboraient régulièrement entre elles, se côtoyaient souvent. Il était, de fait, logique qu’elles aient pu développer avec le temps une relation plus profonde que juste celles de collègues. De plus, Taichi émet l’hypothèse pour elle-même, que si sa mère biologique pouvait être plus chaleureuse que sa réputation ne le laissait supposer… pourquoi cela ne pourrait pas être le cas pour la Justice ?
« Oui … pourquoi pas. Quand elle n’est pas la Justice … elle n’est pas aussi terrifiante que lorsqu’elle l’est … n’est-ce pas ? »
La question est légèrement teintée de naïveté, mais Taichi Tomoe n’est pas encore prête de changer cela. Pire, elle n’est pas cure en réalité.
Aller en Chine ? La question ne lui avait même jamais traversé l’’esprit. Non pas par manque de réflexion mais purement par entrave de ses peurs. Son sort spatial ne lui permettait pas encore, un jour peut-être, d’aller quelque part qu’elle ne connaissait pas par cœur. Quant à prendre l’avion … cela était une épreuve digne d’un combattant aguerri sans même mentionner le train ou le car. Trop de monde, pour elle et sa phobie. Ce qui la rend finalement honteuse et lui fait baisser la tête, fixant le sol.
« Je … je n’ai jamais quitté Nakanoto en fait. Ma petite maison me rassure… y’a pas de monde dedans. J’y suis en sécurité. Dehors c’est… c’est un enfer. Trop de gens… tous autour de moi comme… comme des milliers de fourmis dans une colonie ! C’est terrifiant ! Alors être coincée dans un car ou un train ou, pire !, un avion ! Je peux pas… c’est au-dessus de mes forces.
Ce… c’est pour ça que j’utilise mon sorts spatial pour passer de chez moi à l’université généralement. Je connais très bien les placards à balais de l’université, à tous les étages. Je sais que ce n’est pas bien, mais je suis prudente. Et sinon je ne pourrai pas y aller. Déjà c’est un miracle que je ne fasse pas de crise d’angoisse à tous les cours… »
Néanmoins la solution d’aller au zoo, une fois les grilles fermés, avait une couleur rassurante. Tout comme l’idée d’aller en Chine au milieu des forêts de bambous pour voir ces pandas favoris chez eux.
« Oui… ça serait bien sans les gens. Mais… pour aller en Chine, on ferait comment ? On peut y aller sans être avec plein de gens ? »
L’innocence de la question est en accord avec celle de la petite sorcière. Elle se devait d’admettre, bien que cela fasse renâcler son Dragon intérieur, que sa mère biologique la rassurait vraiment bien, avec des paroles apaisantes. Le fait qu’elle accepte d’éviter les loups ajoute encore à cette sensation.
« Merci. J’ai juste besoin de temps. J’ai donné ma parole et c’est important de tenir sa parole n’est-ce pas ? Fabricio-san n’est pas méchant en plus, il est juste… un peu perdu. Je vais l’aider à améliorer son nippon, il a beaucoup de mal tu sais ? Du coup, je ne peux pas sursauter à chaque fois qu’il va faire un mouvement. Ca serait méchant de ma part, alors que je sais… crois, qu’il ne me fera rien en fait. »
L’adolescente écouta ensuite avec attention la réponse du Secret. Un peu tôt pour un mariage, elle ne voyait pas en quoi. Ils s’étaient déjà perdu de vue une première fois, perdant de fait des dizaines d’années de vie commune. Compte-tenu de la situation actuelle, que la petite estimait peut-être plus catastrophique que ce qu’elle pouvait le savoir, c’était au contraire le moment idéal. Qui savait ce qui pourrait leur arrivé à l’avenir ? Elle savait bien qu’un malheur savait arriver bien trop vite sur ces cibles, et surtout sans prévenir.
A défaut d’être d’accord sur l’idée de mariage, sa mère l’était pour reprendre son nom de jeune fille et enfin balayer le passer. Etrange, aux yeux de la petite, de voir comment une solution aussi simple avait pu échapper aussi longtemps à une femme aussi brillante que le Secret.
Attendre ? Taichi Tomoe ne peut s’empêcher de gonfler les joues, faire la moue et froncer les sourcils. Pourquoi fallait-il toujours attendre ? Elle n’avait pas envie d’attendre justement ! Surtout pour une formalité juste lié à une dizaine de papier pouvant être fait en ligne sur le site de la mairie. Point que son Dragon s’amusa à souligner en riant, faisant dégonfler tel un souffler l’agacement à l’idée d’attendre qui avait envahit la jeune fille. Il n’y avait pas d’internet. Oui elle avait un énorme premier pas vers son retour, à titre personnel, mais c’était bien tout. Il faudrait donc aller en mairie, demander les papiers, les remplir manuellement et ensuite les déposer pour qu’ils puissent être traiter dans un délais d’une lenteur absolue.
Rien que d’y penser, l’adolescente laisse échapper un soupire de frustration. Elle ne pouvait donc pas avoir le droit à un vrai moment de répit ? Où elle aurait juste à profiter ? Est-ce trop demander aux kamis ? C’est, tout en conservant sa moue, qu’elle finit par répondre à la dernière question posée.
« Oui oui … okay on peut attendre. Mais pas trop longtemps ! Bon… okay faut faire ça dans les règles, mais les règles ça rallongent toujours tout !
En revanche, tu ne pourras pas voir Zuko-kun de suite, il est allé en France, rencontrer sa mère grâce à Sagesse-sama. Je ne sais pas vraiment quand il va rentrer. Il avait besoin de connaître ses origines, même si sa mère est une sorcière et pas lui. Quant à Farah… j’peux lui poser la question lors de notre prochain cours ensemble.
Concernant mes affaires… je peux en amener un peu oui. Mais pas tout. J’aime bien ma petite maison et mon indépendance. C’est pas grave si je suis pas tout le temps ici ? C’est pas contre toi, juste… je ne veux pas tout balayer comme ça. Et puis tu sais que je crains rien dans ma maison à moi.
Par contre, je vais d’abord commencer par donner de la vie à ta maison. Parce que c’est pas possible ! En plus t’as déjà dit oui. Une fois que j’aurai fait ça, j’apporterai des affaires à moi. D’ailleurs, j’y pense mais… elle serait où ma chambre ? »
La tête penchée sur le côté, un doigt sur le menton, le regard un peu perdu dans le vague, Taichi Tomoe revient sur une partie triviale de la situation. Un élément qui, pourtant, sur l’instant présent lui semble d’une importance cruciale. Elle ne peut pas apporter des affaires à elle, sans savoir où les ranger, simple question de bon sens.
« Comment ça tout le temps ? Plusieurs dizaines d’années d’accord, mais ce n’est pas infini, il va mourir avant toi, c’est mathématique. A moins que… Tu me caches quoi entre lui et toi ? »
L’expression de surprise qui se peint sur les traits du visage de l’adolescente est explicite. Elle n’en revient pas d’apprendre qu’une des plus proche amie de sa mère, sa meilleure amie dixit ses paroles, est la Justice elle-même. Taichi Tomoe, la bouche légèrement ouverte, garde le silence un moment. Elle lui parlait bien de la Justice ? Celle dont la réputation de sévérité et d’impartialité n’était plus à faire et faisait froid dans le dos ? Incroyable !
Son Dragon intérieur lui susurre au creux de l’oreille que ce n’est finalement pas si surprenant que cela. Elles collaboraient régulièrement entre elles, se côtoyaient souvent. Il était, de fait, logique qu’elles aient pu développer avec le temps une relation plus profonde que juste celles de collègues. De plus, Taichi émet l’hypothèse pour elle-même, que si sa mère biologique pouvait être plus chaleureuse que sa réputation ne le laissait supposer… pourquoi cela ne pourrait pas être le cas pour la Justice ?
« Oui … pourquoi pas. Quand elle n’est pas la Justice … elle n’est pas aussi terrifiante que lorsqu’elle l’est … n’est-ce pas ? »
La question est légèrement teintée de naïveté, mais Taichi Tomoe n’est pas encore prête de changer cela. Pire, elle n’est pas cure en réalité.
Aller en Chine ? La question ne lui avait même jamais traversé l’’esprit. Non pas par manque de réflexion mais purement par entrave de ses peurs. Son sort spatial ne lui permettait pas encore, un jour peut-être, d’aller quelque part qu’elle ne connaissait pas par cœur. Quant à prendre l’avion … cela était une épreuve digne d’un combattant aguerri sans même mentionner le train ou le car. Trop de monde, pour elle et sa phobie. Ce qui la rend finalement honteuse et lui fait baisser la tête, fixant le sol.
« Je … je n’ai jamais quitté Nakanoto en fait. Ma petite maison me rassure… y’a pas de monde dedans. J’y suis en sécurité. Dehors c’est… c’est un enfer. Trop de gens… tous autour de moi comme… comme des milliers de fourmis dans une colonie ! C’est terrifiant ! Alors être coincée dans un car ou un train ou, pire !, un avion ! Je peux pas… c’est au-dessus de mes forces.
Ce… c’est pour ça que j’utilise mon sorts spatial pour passer de chez moi à l’université généralement. Je connais très bien les placards à balais de l’université, à tous les étages. Je sais que ce n’est pas bien, mais je suis prudente. Et sinon je ne pourrai pas y aller. Déjà c’est un miracle que je ne fasse pas de crise d’angoisse à tous les cours… »
Néanmoins la solution d’aller au zoo, une fois les grilles fermés, avait une couleur rassurante. Tout comme l’idée d’aller en Chine au milieu des forêts de bambous pour voir ces pandas favoris chez eux.
« Oui… ça serait bien sans les gens. Mais… pour aller en Chine, on ferait comment ? On peut y aller sans être avec plein de gens ? »
L’innocence de la question est en accord avec celle de la petite sorcière. Elle se devait d’admettre, bien que cela fasse renâcler son Dragon intérieur, que sa mère biologique la rassurait vraiment bien, avec des paroles apaisantes. Le fait qu’elle accepte d’éviter les loups ajoute encore à cette sensation.
« Merci. J’ai juste besoin de temps. J’ai donné ma parole et c’est important de tenir sa parole n’est-ce pas ? Fabricio-san n’est pas méchant en plus, il est juste… un peu perdu. Je vais l’aider à améliorer son nippon, il a beaucoup de mal tu sais ? Du coup, je ne peux pas sursauter à chaque fois qu’il va faire un mouvement. Ca serait méchant de ma part, alors que je sais… crois, qu’il ne me fera rien en fait. »
L’adolescente écouta ensuite avec attention la réponse du Secret. Un peu tôt pour un mariage, elle ne voyait pas en quoi. Ils s’étaient déjà perdu de vue une première fois, perdant de fait des dizaines d’années de vie commune. Compte-tenu de la situation actuelle, que la petite estimait peut-être plus catastrophique que ce qu’elle pouvait le savoir, c’était au contraire le moment idéal. Qui savait ce qui pourrait leur arrivé à l’avenir ? Elle savait bien qu’un malheur savait arriver bien trop vite sur ces cibles, et surtout sans prévenir.
A défaut d’être d’accord sur l’idée de mariage, sa mère l’était pour reprendre son nom de jeune fille et enfin balayer le passer. Etrange, aux yeux de la petite, de voir comment une solution aussi simple avait pu échapper aussi longtemps à une femme aussi brillante que le Secret.
Attendre ? Taichi Tomoe ne peut s’empêcher de gonfler les joues, faire la moue et froncer les sourcils. Pourquoi fallait-il toujours attendre ? Elle n’avait pas envie d’attendre justement ! Surtout pour une formalité juste lié à une dizaine de papier pouvant être fait en ligne sur le site de la mairie. Point que son Dragon s’amusa à souligner en riant, faisant dégonfler tel un souffler l’agacement à l’idée d’attendre qui avait envahit la jeune fille. Il n’y avait pas d’internet. Oui elle avait un énorme premier pas vers son retour, à titre personnel, mais c’était bien tout. Il faudrait donc aller en mairie, demander les papiers, les remplir manuellement et ensuite les déposer pour qu’ils puissent être traiter dans un délais d’une lenteur absolue.
Rien que d’y penser, l’adolescente laisse échapper un soupire de frustration. Elle ne pouvait donc pas avoir le droit à un vrai moment de répit ? Où elle aurait juste à profiter ? Est-ce trop demander aux kamis ? C’est, tout en conservant sa moue, qu’elle finit par répondre à la dernière question posée.
« Oui oui … okay on peut attendre. Mais pas trop longtemps ! Bon… okay faut faire ça dans les règles, mais les règles ça rallongent toujours tout !
En revanche, tu ne pourras pas voir Zuko-kun de suite, il est allé en France, rencontrer sa mère grâce à Sagesse-sama. Je ne sais pas vraiment quand il va rentrer. Il avait besoin de connaître ses origines, même si sa mère est une sorcière et pas lui. Quant à Farah… j’peux lui poser la question lors de notre prochain cours ensemble.
Concernant mes affaires… je peux en amener un peu oui. Mais pas tout. J’aime bien ma petite maison et mon indépendance. C’est pas grave si je suis pas tout le temps ici ? C’est pas contre toi, juste… je ne veux pas tout balayer comme ça. Et puis tu sais que je crains rien dans ma maison à moi.
Par contre, je vais d’abord commencer par donner de la vie à ta maison. Parce que c’est pas possible ! En plus t’as déjà dit oui. Une fois que j’aurai fait ça, j’apporterai des affaires à moi. D’ailleurs, j’y pense mais… elle serait où ma chambre ? »
La tête penchée sur le côté, un doigt sur le menton, le regard un peu perdu dans le vague, Taichi Tomoe revient sur une partie triviale de la situation. Un élément qui, pourtant, sur l’instant présent lui semble d’une importance cruciale. Elle ne peut pas apporter des affaires à elle, sans savoir où les ranger, simple question de bon sens.
"Honte et frustration"
Etilya sur DK RPG
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Mar 6 Juil 2021 - 14:28
Il y a tant et tant de choses que tu ignores encore sur le monde de la magie et les possibilités qui s’offrent à toi pour l’avenir. Je ne peux pas cacher ce sourire franc et chaleureux que j’ai alors que ton esprit te fait comprendre qu’il y a quelque chose que tu ignores forcément pour que je sois aussi catégorique. Mais oui, je vais me flétrir peu à peu jusqu’à être au même point que mon cher et tendre Matthew et nous périrons ainsi un jour de concert une fois mon âge très avancé. Ainsi va le monde quand le lien est créé et le rituel accompli entre un changelin et un sorcier.
Riven est un vaste sujet à elle seule et je ne saurais vraiment dire si je la trouve à ce point différente en dehors du travail si l’on omet les frasques intimes que nous nous offrons. Elle est toujours égale à elle-même je trouve et c’est ce qui fait son charme à mes yeux. Je comprends en revanche parfaitement que du point de vue d’une petite sorcière comme ma fille elle se montre très impressionnante et effrayante. Ainsi est faite l’aura de la terrible et redouté Justice de l’Enclave. Sa réputation est aussi sinistre que la mienne si l’on peut dire, c’est sans doute ce qui nous rend si proche, ainsi que notre goût pour les punitions exemplaires pour les contrevenants aux règles.
Elle mignonne. Sa candeur est vraiment une bouffée d’air frais dans ma vie. Elle est très intelligente, mais elle ne peut pas sortir le savoir de nulle part et il se trouve qu’elle a encore beaucoup à apprendre sur notre monde et son fonctionnement. Les téléportomages, ces véritables taxis dimensionnels qui peuvent nous emmener où bon nous semble dans la mesure où cela est dans leurs capacités. Nous pourrions faire le tour du monde en une journée si l’envie nous prenais et que nous avions assez d’argent pour payer le brave qui s’occuperai de nous transporter.
Je ne suis pas des plus enthousiaste à l’idée qu’elle ne vive pas pleinement ici, mais je ne peux rien lui refuser. C’est déjà inespéré qu’elle m’accepte autant dans sa vie et veuille à ce point de mon nom et de... moi ? Cette maison de ce que j’ai vu de son passé est un point important qui la défini, à cause de cet humain qui l’a secouru... J’ai une dette envers la famille de ce brave homme si tant est qu’il en est eu encore une en vie quelque part.
Elle peut faire ce qu’elle veut ici, ce n’est pas vraiment ma maison de toute façon. Je ne me projette pas le moins du monde à l’intérieur et cela se voit clairement. Je ne suis pas une femme de foyer et lorsque je suis ici, je suis au sous-sol équipé pour continuer mes recherches ou mon travail de Secret.
Irina ▬ Je suis une sorcière bien plus expérimentée que toi, doublée d’être le Secret, évidemment qu’il y a des choses que je te cache ma chérie. Tu apprendras cela en suivant tes cours à l’école de magie étant donné l’importance de ce qui me lie à lui. C’est tout ce que je concède à te dire pour le moment.Il ne faut pas brûler les étapes et je n’y concentrai pas. Pas aujourd’hui en tout cas. Il faut qu’elle apprenne par les mêmes voies que les autres et l’école de magie a tant à lui offrir qu’il serait bien dommage qu’elle soit déjà au courant avant même de suivre le cours lui expliquant, maintenant qu’il a été réinstauré dans les programmes en même temps que l’alliance.
Riven est un vaste sujet à elle seule et je ne saurais vraiment dire si je la trouve à ce point différente en dehors du travail si l’on omet les frasques intimes que nous nous offrons. Elle est toujours égale à elle-même je trouve et c’est ce qui fait son charme à mes yeux. Je comprends en revanche parfaitement que du point de vue d’une petite sorcière comme ma fille elle se montre très impressionnante et effrayante. Ainsi est faite l’aura de la terrible et redouté Justice de l’Enclave. Sa réputation est aussi sinistre que la mienne si l’on peut dire, c’est sans doute ce qui nous rend si proche, ainsi que notre goût pour les punitions exemplaires pour les contrevenants aux règles.
Irina ▬ Hum... oui. Enfin si l’on veut. Je dois bien avouer que je ne vois pas bien la différence en dehors du travail et au travail, mais ce n’est pas un problème pour moi. Peut-être qu’on va attendre un peu si elle t’impressionne tant. Ce que je peux comprendre. A ce sujet, tu devrais peut-être éviter de montrer à trop de monde tes pouvoirs ou de leur révéler ta nature... Quand n’est pas instruite sur nos règles, cela passe encore, mais maintenant il vaudrait bien mieux que tu fasses attention, sinon même moi je ne pourrai pas grand-chose.Ma fonction a ses limites et si la loi est de son côté de par son jeune âge et le fait qu’elle n’ait pas reçu de formation de sorcier digne de ce nom, la justice ne sera pas de son côté bien longtemps encore, et je ne peux pas faire fléchir Riven si jamais elle prenait le dossier en main elle-même plutôt que de le laisser à une cour mineure.
Elle mignonne. Sa candeur est vraiment une bouffée d’air frais dans ma vie. Elle est très intelligente, mais elle ne peut pas sortir le savoir de nulle part et il se trouve qu’elle a encore beaucoup à apprendre sur notre monde et son fonctionnement. Les téléportomages, ces véritables taxis dimensionnels qui peuvent nous emmener où bon nous semble dans la mesure où cela est dans leurs capacités. Nous pourrions faire le tour du monde en une journée si l’envie nous prenais et que nous avions assez d’argent pour payer le brave qui s’occuperai de nous transporter.
Irina ▬ Bien sûr qu’on peut faire ça ma chérie. Tu as beaucoup de choses à rattraper sur le monde des sorciers. Mais tu vois ta professeure en programmation, Matsudara-san ? C’est une téléportomage, c’’est à dire qu’elle aide les sorciers à voyager à travers tout le pays et plus loin encore parfois. On peut aller où tu voudras, sans qu’il n’y ait trop de gens.La Chine ne sera pas un problème et je crois que Matsudara-san qui est une véritable globe-trotteuse pourrait nous être utile. Après tout, elle est déjà dans mon collimateur et je sens bien qu’elle redoute la moindre sanction de ma part à cause de son insouciance dans la pratique de sa magie.
Je ne suis pas des plus enthousiaste à l’idée qu’elle ne vive pas pleinement ici, mais je ne peux rien lui refuser. C’est déjà inespéré qu’elle m’accepte autant dans sa vie et veuille à ce point de mon nom et de... moi ? Cette maison de ce que j’ai vu de son passé est un point important qui la défini, à cause de cet humain qui l’a secouru... J’ai une dette envers la famille de ce brave homme si tant est qu’il en est eu encore une en vie quelque part.
Elle peut faire ce qu’elle veut ici, ce n’est pas vraiment ma maison de toute façon. Je ne me projette pas le moins du monde à l’intérieur et cela se voit clairement. Je ne suis pas une femme de foyer et lorsque je suis ici, je suis au sous-sol équipé pour continuer mes recherches ou mon travail de Secret.
Irina ▬ Il y a plusieurs pièces vides dans la maison, dont je n’ai pas l’usage. Tu peux prendre celle que tu veux.La maison était celle que nous nous étions pris son géniteur et moi, enfin surtout moi vu que je l’ai payé content. En revanche elle est tombée dans l’oubli pendant des années et je ne l’ai rénové qu’il y a peu de temps, avec l’aide de Noor. Cette grande maison était idéale pour aménager deux bureaux, et avoir trois chambres en plus des autres pièces de vie plus traditionnelles. Avec la rénovation qui a creusé et aménager un sous-sol secret et des passages pour se déplacer sans être vu à l’intérieur de la maison en plus des différentes caches d’armes... en y pensant il faudrait peut-être que je fasse en sorte qu’elle ne tombe pas dessus. Bref, cela étant il y a beaucoup de pièces disponibles, d’autant plus que les chambres de mes filles sont restées totalement vides, ne pouvant me résoudre à les occuper contrairement au bureau de mon défunt conjoint qui est devenu ma salle de sport personnelle.
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Taichi Tomoe Lizenko#106201#106201#106201#106201#106201#106201#106201
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Dim 1 Aoû 2021 - 21:32
Secret & Foudre
Feat Irina Fujibayashi
Apprendre à l’école ? Mais elle avait finit depuis bien longtemps l’école ! Elle avait seulement besoin d’un maître pour continuer à progresser et développer de nouveau sorts. En ce sens, l’adolescente avait déjà bien avancé, puisqu’elle avait le sensei en question. Néanmoins, il était probablement possible de suivre des cours en supplément, son cerveau note ce point pour plus tard lors d’un rendez-vous avec Savoir-sama.
Sa mère biologique ne voyait pas la différence entre pendant et en-dehors du travail ? Comment était-ce possible ? Où se trouvait la logique dans cette réflexion ? Taichi ne l’y voyait pas, mais ne chercha pas plus à la trouver. Elle fit à nouveau la moue, l’adolescente ayant toujours su et connu les règles.
« Tu sais j’ai été à l’école avant de disparaitre des registres sorciers. Je connais les règles. D’accord je ne les suis pas scrupuleusement. Mais en même temps, tu le sais, je suis une hackeuse, c’est une seconde nature chez moi que de contourner les règles établis. Et il n’y a que Zuko-kun, Farah-chan et Jarlsonfel-sensei qui savent pour mes pouvoirs et le fait que je suis une sorcière. Je suis vraiment très prudente. Je n’ai pas envie d’avoir à faire à la Justice pour ça. »
Ce qui n’était que la strict vérité, son Dragon intérieur tremblait presque à l’idée d’être face à cette enclaviste en étant dans le box des accusé. La petite allait donc tout faire pour ne pas se faire, trop, remarquer et ainsi avoir une change de s’en sortir sans trop d’égratignures.
Bien entendu qu’elle voyait Matsudara-sensei. Néanmoins découvrir qu’elle était une téléportomage était surprenant. Elle n’imaginait pas le moins du monde son professeur dans cette fonction, loin de là même. Pourtant, l’idée de voyager avec son professeure avait un côté rassurant. Du moins, si cela permettait d’éviter les gens, tout lui allait.
Le fait de pouvoir choisir sa chambre plaisait beaucoup à la jeune sorcière, l’idée de choisir une belle vue s’imposa sans la moindre difficulté. Il fallait seulement trouver la pièce parfaite. Bien sûr, elle se doutait qu’il y avait de nombreuses pièces auxquelles elle n’aurait pas accès. Ce qui ne l’empêcherait pas pour autant d’essayer d’y aller, juste par pure curiosité. Quitte à se prendre une soufflante le cas échéant. D’après l’adolescente, il valait mieux demander pardon que la permission. Restait seulement à savoir jusqu’où elle pourrait aller avec le Secret. Les limites entres elles n’étaient ni claires, ni réellement définit encore. Pour cela, il faudrait encore un peu de temps, Taichi Tomoe le savait pertinemment. Une question lui vain alors à l’esprit, sans crier gare.
« Il y a des règles à suivre chez toi ? Je veux dire des choses qu’il ne faut absolument pas faire ? Ou des horaires à respecter pour ne pas que ça pose de soucis avec ton boulot ? Je ne voudrais pas te gêner, haha*. »
Le dernier mot était sorti tout seul, sans qu’elle n’y fasse vraiment attention. Il était naturel quelque part qu’elle l’appelle ainsi, du moins en privé. Tout cela était logique à ses yeux, même si cela pouvait l’être moins aux yeux des autres.
Son regard améthyste se posa une nouvelle fois sur son interlocutrice, constatant alors un moment d’absence ou de stupéfaction. Penchant la tête sur le côté, la petite s’interrogeait sur cet état surprenant. Quoi que son Dragon intérieur lui souffla, en riant, qu’elle avait déjà fait pleurer le Secret, alors de la stupéfaction…
« Haha, il y a un problème ? J’ai dit quelque chose de… mal ? »
Sa mère biologique ne voyait pas la différence entre pendant et en-dehors du travail ? Comment était-ce possible ? Où se trouvait la logique dans cette réflexion ? Taichi ne l’y voyait pas, mais ne chercha pas plus à la trouver. Elle fit à nouveau la moue, l’adolescente ayant toujours su et connu les règles.
« Tu sais j’ai été à l’école avant de disparaitre des registres sorciers. Je connais les règles. D’accord je ne les suis pas scrupuleusement. Mais en même temps, tu le sais, je suis une hackeuse, c’est une seconde nature chez moi que de contourner les règles établis. Et il n’y a que Zuko-kun, Farah-chan et Jarlsonfel-sensei qui savent pour mes pouvoirs et le fait que je suis une sorcière. Je suis vraiment très prudente. Je n’ai pas envie d’avoir à faire à la Justice pour ça. »
Ce qui n’était que la strict vérité, son Dragon intérieur tremblait presque à l’idée d’être face à cette enclaviste en étant dans le box des accusé. La petite allait donc tout faire pour ne pas se faire, trop, remarquer et ainsi avoir une change de s’en sortir sans trop d’égratignures.
Bien entendu qu’elle voyait Matsudara-sensei. Néanmoins découvrir qu’elle était une téléportomage était surprenant. Elle n’imaginait pas le moins du monde son professeur dans cette fonction, loin de là même. Pourtant, l’idée de voyager avec son professeure avait un côté rassurant. Du moins, si cela permettait d’éviter les gens, tout lui allait.
Le fait de pouvoir choisir sa chambre plaisait beaucoup à la jeune sorcière, l’idée de choisir une belle vue s’imposa sans la moindre difficulté. Il fallait seulement trouver la pièce parfaite. Bien sûr, elle se doutait qu’il y avait de nombreuses pièces auxquelles elle n’aurait pas accès. Ce qui ne l’empêcherait pas pour autant d’essayer d’y aller, juste par pure curiosité. Quitte à se prendre une soufflante le cas échéant. D’après l’adolescente, il valait mieux demander pardon que la permission. Restait seulement à savoir jusqu’où elle pourrait aller avec le Secret. Les limites entres elles n’étaient ni claires, ni réellement définit encore. Pour cela, il faudrait encore un peu de temps, Taichi Tomoe le savait pertinemment. Une question lui vain alors à l’esprit, sans crier gare.
« Il y a des règles à suivre chez toi ? Je veux dire des choses qu’il ne faut absolument pas faire ? Ou des horaires à respecter pour ne pas que ça pose de soucis avec ton boulot ? Je ne voudrais pas te gêner, haha*. »
Le dernier mot était sorti tout seul, sans qu’elle n’y fasse vraiment attention. Il était naturel quelque part qu’elle l’appelle ainsi, du moins en privé. Tout cela était logique à ses yeux, même si cela pouvait l’être moins aux yeux des autres.
Son regard améthyste se posa une nouvelle fois sur son interlocutrice, constatant alors un moment d’absence ou de stupéfaction. Penchant la tête sur le côté, la petite s’interrogeait sur cet état surprenant. Quoi que son Dragon intérieur lui souffla, en riant, qu’elle avait déjà fait pleurer le Secret, alors de la stupéfaction…
« Haha, il y a un problème ? J’ai dit quelque chose de… mal ? »
"Interrogation"
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Mar 3 Aoû 2021 - 0:19
Etant donné les capacités cognitives de ma fille, véritable petit génie, évidemment qu’elle se souvient des cours qu’elle a suivi à l’école. En revanche, je n’ai pas souvenir d’avoir vu qu’elle avait fini ses diplômes étant donné sa disparition. Elle s’est entraînée avec soin en solitaire, mais il faut que je vois ça en détail, il est possible qu’elle ait décidé de tout passer en candidate libre grâce à sa rencontre avec le Savoir il y a peu et la connaissant cela n’a sûrement été qu’une formalité. Admettons donc qu’elle soit parfaitement apte à faire usage de la magie en dehors de l’école en toute liberté, je ne suis bien convaincu du bienfondé de ses choix pour montrer sa magie.
La plus terrible des douleurs serait pour moi de devoir agir avec ma fille avec la même sévérité dont je fais preuve avec les criminels violant le secret de notre existence. Je sais que je serais capable de l’être et c’est ça qui me fait le plus peur, qu’elle me haïsse pour cette capacité que j’ai de faire ce que j’ai à faire sans me soucier des liens qui m’unissent aux gens. Retrouver ma fille est ma plus grande joie, surtout étant donné qu’elle accepte de venir jusqu’ici vivre de temps en temps, mais ce serait mon plus gros chagrin également si je devais la perdre à cause de mon travail.
Je ne sais pas encore trop comment réagir entre l’euphorie et ma contenance naturelle. C’est une seconde nature pour moi de cacher mes sentiments et demeurer dans le contrôle mais j’ai un peu de mal avec ma fille. Je sais que je dois être la plus honnête possible avec elle, mais je ne fais que penser à cette maison et au fait que je suis contente et terrifiée qu’elle vienne de temps en temps. Toutefois, j’aimerai seulement qu’elle vienne s’installer à plein temps. Quel curieux paradoxe...
Irina ▬ Ma chérie. Cela fait déjà trois personnes non-autorisées au moment où tu leur a dit. C’est une infraction grave, d’autant plus si tu affirmes être parfaitement formé selon les critères de l’école de sorcellerie. Je reste le Secret de l’Enclave. Je ne te dis pas de rester seule, mais tâche d’éviter à l’avenir de révéler ta nature sans en faire la demande officielle... s’il te plaît.Heureusement, les deux de son âge son des changelins et ont parfaitement su garder le secret pour eux en raison de celui qu’ils ont pour le reste du monde également et le dernier est impliqué dans les guerres contre les vampires si j’en crois le gros malabar qui lui a rendu visite.
La plus terrible des douleurs serait pour moi de devoir agir avec ma fille avec la même sévérité dont je fais preuve avec les criminels violant le secret de notre existence. Je sais que je serais capable de l’être et c’est ça qui me fait le plus peur, qu’elle me haïsse pour cette capacité que j’ai de faire ce que j’ai à faire sans me soucier des liens qui m’unissent aux gens. Retrouver ma fille est ma plus grande joie, surtout étant donné qu’elle accepte de venir jusqu’ici vivre de temps en temps, mais ce serait mon plus gros chagrin également si je devais la perdre à cause de mon travail.
Je ne sais pas encore trop comment réagir entre l’euphorie et ma contenance naturelle. C’est une seconde nature pour moi de cacher mes sentiments et demeurer dans le contrôle mais j’ai un peu de mal avec ma fille. Je sais que je dois être la plus honnête possible avec elle, mais je ne fais que penser à cette maison et au fait que je suis contente et terrifiée qu’elle vienne de temps en temps. Toutefois, j’aimerai seulement qu’elle vienne s’installer à plein temps. Quel curieux paradoxe...
Irina ▬ Eh bien dans la mesure du possible, j’aimerai que tu ne sortes pas le soir sans me prévenir. Les environs ne sont pas sûre et tu n’es pas majeure. Dans la maison en elle-même, elle est intelligente et protégée par une intelligence artificielle codée par la Ruse et sa magie. Donc je te demanderai si je ne suis pas là de relancer toute la sécurité en sortant. Je te laisse amener qui tu veux ici, mais à la condition de me les présenter la première fois. Enfin, comme je t’ai dit, le sous-sol est interdit. Il y a mon laboratoire personnel et un bureau secondaire pour mon travail en tant que Secret. Des sentinelles ou des effaceurs sont amenés à venir secrètement me voir et je protège autant mon identité que la leur quand c’est le cas. Sinon tu es libre de faire ce que tu veux.Je suis un petit moment à réfléchir à tout ce qu’il faudrait que je change de place pour que la maison soit plus sûre pour ma fille et c’est là qu’elle s’en rend compte.
Irina ▬ Ecoute, je vais être honnête avec toi car je te l’ai promis et je ne mens jamais. Il y a des caches secrètes un peu partout dans la maison. Et il y beaucoup de matériel très varié dedans... des armes. Donc je songeai à où ranger tout ça pour que ce soit moins... plus.... enfin une meilleure maison pour toi.
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Taichi Tomoe Lizenko#106273#106273#106273#106273#106273#106273#106273
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Ven 13 Aoû 2021 - 19:55
Secret & Foudre
Feat Irina Fujibayashi
Eviter à l’avenir… Taichi se demande déjà si vivre à plein temps dans ce manoir sans vie est une bonne idée. Elle comme sa mère biologique étaient habituée à vivre seules, sans avoir de compte à rendre à personne. Pourraient-elles réussir à cohabiter paisiblement ? Ou seraient-elles à couteaux tirés tout le temps ? Le petite n’est pas certaine que la vie en harmonie soit possible immédiatement. Aucune d’elles n’étaient très flexibles, peut-être l’était-elle un peu plus que le Secret et encore ce n’était pas certain.
Pour preuve elle n’avait qu’à écouter ses paroles. Son travail n’était effectivement pas bien loin, peut-être même un peu trop près au goût de la jeune fille. Il faudrait malheureusement qu’elle s’y fasse autant que possible, bien que l’idée même la fasse grimacer. Elle détestait avec des leçons de moral, et son Dragon intérieur ne put s’empêcher de rire en sachant d’avance les nombreux orages à venir entre la mère et la fille.
Son esprit reprend le fil de la discussion, et par conséquence des réponses à ses questions. Ne pas sortir le soir sans prévenir ? Il n’y avait aucune risque ou presque. Sa vie sociale était en journée, pour ce qu’elle existait et elle n’aimait pas sortir. Ce point ne devrait pas être trop compliqué à appliquer. Relancer la sécurité de la maison lorsqu’elle en partant et que personne d’autre n’y était, était presque de l’évidence à ses yeux. Il n’y avait donc aucune réelle contrainte à accepter cette nouvelle règle.
Amener quelqu’un ici ? Les yeux de la jeune sorcière s’arrondissent comme des soucoupes. Quelle idée saugrenue ! Elle n’avait encore jamais laissé personne, vraiment personne, entrer dans son sanctuaire dans sa maison. Pourquoi commencerait-elle à le faire maintenant ? C’était illogique et improbable. Maintenant, cette maison n’était pas encore, vraiment, sa maison non plus. Il y avait donc une différence plus que significative. Ce qui n’empêchait pas l’adolescente de se dire que cette règle n’avait aucune utilité, puisque personne ne passerait la porte de cette maison à part elle-même.
Le sous-sol lui était donc interdis ? Son esprit pensa instantanément que ça serait bien le premier endroit à elle voir si possible, un jour où la reine du Secret sera à l’hôpital et non pas à son bureau d’Enclaviste. Quitte à se prendre la tête après avec le Secret. Etrangement, cela ne lui faisait pas peur outre mesure. Savoir qu’il y avait des caches un peu partout sonnait comme une chasse-aux-trésors à ses oreilles. Encore plus maintenant qu’elle découvrait qu’il s’agissait d’armes !
« Hein ? Mais pourquoi ! Je sais me servir d’armes tu sais ? Tu n’as pas besoin de me couvert comme une petite chose fragile Haha ! Je tiens tête à Jarlsonfel-sensei, alors que c’est un lycan ! Donc laisse tes armes là où elles sont, elles y sont très bien j’en suis sûre. Et promis je serais prudente si jamais je tombe sur l’une d’elle en redécorant la maison. J’ai 16 ans, je ne suis pas encore une adulte d’accord, mais je ne suis plus une petite fille non plus, rassure-toi. »
Ses paroles étaient aussi spontanée que son indignation momentané. Pourquoi tout vouloir changer ? Si elles voulaient trouver un équilibre ensemble, il allait falloir arrêter de tout modifier sous des prétextes variés. Taichi Tomoe avait parfaitement conscience qu’Irina était une femme des plus dangereuses, sans même prendre en compte son rôle de Secret. Et au fond d’elle, la petite ne voulait pas qu’elle devienne une personne que sa mère n’était pas vraiment même pour elle.
« Ecoute, on va avoir besoin de trouver un équilibre pour nous deux. Un nouvel équilibre. On devra faire des concessions toutes les deux. En revanche je vais juste te demander une chose : ne change pas. C’est comme tu es que je veux apprendre à te connaitre, pas comme tu aurais voulu être pour moi.
Je veux découvrir tes qualités, tes défauts, celle que tu es aujourd’hui avec tes atouts, tes faiblesses, tes blessures et tes joies. Celle que tu aurai pu être n’est pas celle avec qui je vais vivre. Tout comme je ne serai jamais la petite fille innocente que tu aurais voulu. La vie ne nous a pas fait offert la vie qu’on aurait dû avoir ensemble. En revanche, elle nous fait un cadeau, en nous donnant la possibilité de partager malgré tous nos vies.
Alors s’il te plait, reste seulement toi-même. Ta maison est bourrée de caches, pas de soucis. Tu as un endroit pour travailler à ta guises, parfait. Je me trouverai un endroit ici pour en faire de même. Tu n’as pas peur de sortir n’importe quand, profite. Je préfère rester bien à l’abri à l’intérieur, ce n’est pas un problème.
Je t’accepte comme tu es. Je ne vais pas dire que je ne t’en veux pas encore un peu, parce que ça serait un mensonge. J’ai encore besoin d’un peu de temps, mais ça viendra. »
Taichi Tomoe n’en revenait pas d’avoir réussi à tout sortir en une seulement fois, sans être coupé ou flancher. Un vrai petit miracle. Mais avant qu’elle ait pu ajouter quelque chose, son téléphone se mit à sonner. La sonnerie n’était autre que la musique de Khazad-Dûm, et c’était celle associée au calendrier. Penchant la tête sur le côté, l’adolescente le sorti et regarda de quoi il retournait.
« Sumimasen Haha. J’avais noté un… rendez-vous client on va dire. Mais vu que je n’ai pas internet… difficile de l’honorer. Ça m’ennuie… Mais ce n’est pas comme si j’avais le choix pour le moment. Cependant… je vais te laisser. Tu dois travailler un peu quand même aujourd’hui. Et puis je reviendrai demain… après les cours si tu es d’accord pour qu’on voit quelle chambre je peux prendre pour en faire la mienne. »
Joignant le geste à la parole, l’adolescente se leva et rangea ses affaires. Avant de s’éloigner trop, elle finit sa tasse de thé, puis se dirigea vers la sortie de la pièce. Avant de se raviser et d’aller déposer un baiser sur la joue de la terrible Enclaviste.
« Toi aussi fait attention aussi Haha. A demain ! »
Souriante, sautillante comme une enfant, la petite quitte la maison ultra-sécurisé pour rejoindre sa petite maison bien à elle. Cependant son esprit, lui, se demande si un détour par le magasin de décoration en centre-ville n’est pas judicieux. A cette horaire-ci, il est pratiquement vide, donc il est possible pour être d’y aller. De plus il allait bien falloir des idées pour refaire toute la décoration de cette immense maison.
Pour preuve elle n’avait qu’à écouter ses paroles. Son travail n’était effectivement pas bien loin, peut-être même un peu trop près au goût de la jeune fille. Il faudrait malheureusement qu’elle s’y fasse autant que possible, bien que l’idée même la fasse grimacer. Elle détestait avec des leçons de moral, et son Dragon intérieur ne put s’empêcher de rire en sachant d’avance les nombreux orages à venir entre la mère et la fille.
Son esprit reprend le fil de la discussion, et par conséquence des réponses à ses questions. Ne pas sortir le soir sans prévenir ? Il n’y avait aucune risque ou presque. Sa vie sociale était en journée, pour ce qu’elle existait et elle n’aimait pas sortir. Ce point ne devrait pas être trop compliqué à appliquer. Relancer la sécurité de la maison lorsqu’elle en partant et que personne d’autre n’y était, était presque de l’évidence à ses yeux. Il n’y avait donc aucune réelle contrainte à accepter cette nouvelle règle.
Amener quelqu’un ici ? Les yeux de la jeune sorcière s’arrondissent comme des soucoupes. Quelle idée saugrenue ! Elle n’avait encore jamais laissé personne, vraiment personne, entrer dans son sanctuaire dans sa maison. Pourquoi commencerait-elle à le faire maintenant ? C’était illogique et improbable. Maintenant, cette maison n’était pas encore, vraiment, sa maison non plus. Il y avait donc une différence plus que significative. Ce qui n’empêchait pas l’adolescente de se dire que cette règle n’avait aucune utilité, puisque personne ne passerait la porte de cette maison à part elle-même.
Le sous-sol lui était donc interdis ? Son esprit pensa instantanément que ça serait bien le premier endroit à elle voir si possible, un jour où la reine du Secret sera à l’hôpital et non pas à son bureau d’Enclaviste. Quitte à se prendre la tête après avec le Secret. Etrangement, cela ne lui faisait pas peur outre mesure. Savoir qu’il y avait des caches un peu partout sonnait comme une chasse-aux-trésors à ses oreilles. Encore plus maintenant qu’elle découvrait qu’il s’agissait d’armes !
« Hein ? Mais pourquoi ! Je sais me servir d’armes tu sais ? Tu n’as pas besoin de me couvert comme une petite chose fragile Haha ! Je tiens tête à Jarlsonfel-sensei, alors que c’est un lycan ! Donc laisse tes armes là où elles sont, elles y sont très bien j’en suis sûre. Et promis je serais prudente si jamais je tombe sur l’une d’elle en redécorant la maison. J’ai 16 ans, je ne suis pas encore une adulte d’accord, mais je ne suis plus une petite fille non plus, rassure-toi. »
Ses paroles étaient aussi spontanée que son indignation momentané. Pourquoi tout vouloir changer ? Si elles voulaient trouver un équilibre ensemble, il allait falloir arrêter de tout modifier sous des prétextes variés. Taichi Tomoe avait parfaitement conscience qu’Irina était une femme des plus dangereuses, sans même prendre en compte son rôle de Secret. Et au fond d’elle, la petite ne voulait pas qu’elle devienne une personne que sa mère n’était pas vraiment même pour elle.
« Ecoute, on va avoir besoin de trouver un équilibre pour nous deux. Un nouvel équilibre. On devra faire des concessions toutes les deux. En revanche je vais juste te demander une chose : ne change pas. C’est comme tu es que je veux apprendre à te connaitre, pas comme tu aurais voulu être pour moi.
Je veux découvrir tes qualités, tes défauts, celle que tu es aujourd’hui avec tes atouts, tes faiblesses, tes blessures et tes joies. Celle que tu aurai pu être n’est pas celle avec qui je vais vivre. Tout comme je ne serai jamais la petite fille innocente que tu aurais voulu. La vie ne nous a pas fait offert la vie qu’on aurait dû avoir ensemble. En revanche, elle nous fait un cadeau, en nous donnant la possibilité de partager malgré tous nos vies.
Alors s’il te plait, reste seulement toi-même. Ta maison est bourrée de caches, pas de soucis. Tu as un endroit pour travailler à ta guises, parfait. Je me trouverai un endroit ici pour en faire de même. Tu n’as pas peur de sortir n’importe quand, profite. Je préfère rester bien à l’abri à l’intérieur, ce n’est pas un problème.
Je t’accepte comme tu es. Je ne vais pas dire que je ne t’en veux pas encore un peu, parce que ça serait un mensonge. J’ai encore besoin d’un peu de temps, mais ça viendra. »
Taichi Tomoe n’en revenait pas d’avoir réussi à tout sortir en une seulement fois, sans être coupé ou flancher. Un vrai petit miracle. Mais avant qu’elle ait pu ajouter quelque chose, son téléphone se mit à sonner. La sonnerie n’était autre que la musique de Khazad-Dûm, et c’était celle associée au calendrier. Penchant la tête sur le côté, l’adolescente le sorti et regarda de quoi il retournait.
« Sumimasen Haha. J’avais noté un… rendez-vous client on va dire. Mais vu que je n’ai pas internet… difficile de l’honorer. Ça m’ennuie… Mais ce n’est pas comme si j’avais le choix pour le moment. Cependant… je vais te laisser. Tu dois travailler un peu quand même aujourd’hui. Et puis je reviendrai demain… après les cours si tu es d’accord pour qu’on voit quelle chambre je peux prendre pour en faire la mienne. »
Joignant le geste à la parole, l’adolescente se leva et rangea ses affaires. Avant de s’éloigner trop, elle finit sa tasse de thé, puis se dirigea vers la sortie de la pièce. Avant de se raviser et d’aller déposer un baiser sur la joue de la terrible Enclaviste.
« Toi aussi fait attention aussi Haha. A demain ! »
Souriante, sautillante comme une enfant, la petite quitte la maison ultra-sécurisé pour rejoindre sa petite maison bien à elle. Cependant son esprit, lui, se demande si un détour par le magasin de décoration en centre-ville n’est pas judicieux. A cette horaire-ci, il est pratiquement vide, donc il est possible pour être d’y aller. De plus il allait bien falloir des idées pour refaire toute la décoration de cette immense maison.
"L’ouragan Taichi Tomoe"
Etilya sur DK RPG
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Sam 14 Aoû 2021 - 2:08
La rétorque de ma fille ne me plaît guère au sujet des armes, mais je ne désire pas particulièrement rebondir sur le sujet. Croire et savoir ses deux choses différentes et penser que ce lycan à l’arme blanche ne la ménage ou que ses talents de sorcières n’entrent pas en ligne de compte est illusoire. Les armes qui sont cachées dans les murs sont loin d’être des jouets comme des épées ou des couteaux, mais des armes à feu complexes à la capacité de tuer bien plus affirmer qu’on ne me le croire. Une balle qui part sans crier garde et elle peut traverser le mur de la maison, celui de la maison d’à côté et terminer sa course dans la tête d'une personne. Non pas qu’un humain mort par cet heureux hasard me désole, mais pour cette petite ce serait un drame. À défaut de bouger ces armes, je vais demander à la Ruse de venir installer des verrous biométriques dissimulé pour y avoir accès.
Je bois mon thé sans laisser transparaître la moindre réaction d'aucune sorte alors que je n'en pense pas moins. Toutefois la suite est bien plus intéressante et digne d’être prise au sérieux alors que cette petite haute comme trois pommes commence un plaidoyer des plus juste et éclairé sur la bonne manière de commencer notre relation sans devoir nous renier.
J’esquisse un sourire discret alors que j’entends et reconnais la musique qui lui sert d’alerte. Je vois que nous avons toutes les deux la passion des bonnes choses en matière de film et musique. C’est en revanche également la sortie qui marque la fin de notre petit thé entre mère et fille.
Je bois mon thé sans laisser transparaître la moindre réaction d'aucune sorte alors que je n'en pense pas moins. Toutefois la suite est bien plus intéressante et digne d’être prise au sérieux alors que cette petite haute comme trois pommes commence un plaidoyer des plus juste et éclairé sur la bonne manière de commencer notre relation sans devoir nous renier.
Irina ▬ J’entends tes mots ma chérie. Pour ce qui est de ma volonté de te protéger avec ne serait-ce que l’idée de te demander d’être en sécurité le soir, c’est surtout à cause de ce qu’il se passe avec les sauvages malades.Assurément cela va être un processus long que d’apprendre à vivre avec ma fille et elle avec moi. Sans candeur, sa gaité va se heurter à mon monde dangereux et froid que tout oppose. Je ne sais pas ce que ça va donner dans l’avenir, seul le temps peut le dire. Je veux nouer ce lien profond qui est censé exister entre mère et sa fille, mais est-ce qu’il peut survivre à nos différences ?
Je vais demeurer qui je suis, car je ne sais de toute façon pas agir autrement. Maintenant que tu es à nouveau en lien avec le monde des sorciers tu vas rencontrer des gens qui vont te raconter des choses sur moi, des choses parfois terribles et il faut que tu saches qu’elles sont toute vraies.
Nous allons comme tu le dis devoir apprendre à nous connaître et à élaborer des compromis l'une et l'autre pour qu'on puisse avancer. Je vais libérer deux pièces pour toi, une pour être ta chambre et une que pourra te servir de bureau de travail. Tu peux décorer et apprivoiser cette maison comme tu l’entends et venir aussi souvent que tu le souhaites. Nous apprendrons ensemble.
J’esquisse un sourire discret alors que j’entends et reconnais la musique qui lui sert d’alerte. Je vois que nous avons toutes les deux la passion des bonnes choses en matière de film et musique. C’est en revanche également la sortie qui marque la fin de notre petit thé entre mère et fille.
Irina ▬ Je peux comprendre l’embêtement de la situation et je le partage. Tout le monde ne pas être Matsudara-san et ne pas dépendre d’une connexion... Je vais en effet en profiter pour retourner à l’hôpital pour faire mes visites.Je suis marquée par ce geste tendre de la part de ma fille qui vient appliquer un bisou sur ma joue avant de s’en aller. Je n’aurais pas cru que cette journée se serait déroulée de la sorte. Tout n’est pas parfait et il reste beaucoup de choses à dire et à mettre au clair, beaucoup d’animosité et d’amour entremêlé, mais qui marque un bon début.
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