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Lun 26 Aoû 2019 - 21:47
Son parfum était enivrant dans l’absence de toute fragrance hormis celle d’une journée chaude d’été dans un manteau en cuir. Cette odeur virile d’un jeune homme tout à fait vigoureux était pour moi un parfum que je me suis refusé depuis de trop long mois maintenant et j’avais besoin de prendre une dose d’adrénaline pour me remettre les idées en place. Pourtant je gardais mon esprit en même temps concentré sur cette mémoire immédiate toujours, m’abreuvant à la source de ses fantasmes.
J’avais une vision très claire de ses désirs du moment. Me plaquer contre le mur et déchaîner la passion bestiale qui est enfouie au plus profond de son être, dissimulée à la vue de tous sous une bonne couche de bienséance. Le désir montait en lui et en moi comme une fièvre fulgurante destinée à nous consumer tous les deux, dans nos gestes comme dans nos paroles à venir. Pour l’heure je le laissais parcourir mon dos doucement et tendrement avec ses mains fortes, puissantes et rugueuses en me délectant de ses lèvres avec ce goût si délicieux, mélange d'alcool et de tabac. Je le voyais dans son esprit, son envie devenant de plus en plus forte de me plaquer contre le mur et de me prendre sans ménagement aucun pour ma personne, cette pulsion frénétique de vouloir me remettre à ma place avec force et vigueur pour tout ce que je lui avais dit et fait avant.
Il se détacha de mes lèvres pour parcourir ma nuque, déposant de langoureux et tendre baisers dessus, mais avec une tendre retenue pour ma personne, ne voulant pas y laisser sa marque. C’est à ce moment-là que je me suis dit que j’allais peut-être lui laisser la mienne pour, hm, qui sait, mais pour l’heure je patientais.
Il décida soudainement de me soulever et de me déposer sur la table. Il était là debout au-dessus de moi, tandis que je lobais mes jambes autour de sa taille en guise de réponse à ses propos. Les yeux dans les yeux. Je sentais son buste contre ma poitrine s’écrasant sous ses muscles pectoraux bombés par l’action, son inclinaison laissant sortir un pendentif. Alors qu’il décida d’aller plus loin en parcourant doucement et délicatement ma cuisse avec sa main, glissant et s’engouffrant à tâtons sous mon jupon, j’ouvrais sa chemise quitte à faire jaillir les boutons comme du champagne d’une bouteille secouée. Je plaquai mes mains sur son poitrail, parcourant chaque courbe de ces muscules finement ciselés comme un sculpteur parcours la glaise de sa plus belle création.
Je savais qu’il avait terriblement envie de moi et je n’avais nullement envie de le laisser filer alors que j’ai enfin trouvé une friandise à mon goût pour combler une longue attente. Il aura tôt fait de me faire vibrer comme il se doit avant que je ne laisse en lui de toute cette terrible passion commune qu’un souvenir vague comme un rêve. Tandis que d’une main je caressais ce torse me rendant folle, je glissai mon autre main sur la sienne, celle qui était sur ma cuisse pour forcer d’un coup net à la faire monter jusqu’au niveau de ma hanche pour lui faire passer un message clair.
J’avais une vision très claire de ses désirs du moment. Me plaquer contre le mur et déchaîner la passion bestiale qui est enfouie au plus profond de son être, dissimulée à la vue de tous sous une bonne couche de bienséance. Le désir montait en lui et en moi comme une fièvre fulgurante destinée à nous consumer tous les deux, dans nos gestes comme dans nos paroles à venir. Pour l’heure je le laissais parcourir mon dos doucement et tendrement avec ses mains fortes, puissantes et rugueuses en me délectant de ses lèvres avec ce goût si délicieux, mélange d'alcool et de tabac. Je le voyais dans son esprit, son envie devenant de plus en plus forte de me plaquer contre le mur et de me prendre sans ménagement aucun pour ma personne, cette pulsion frénétique de vouloir me remettre à ma place avec force et vigueur pour tout ce que je lui avais dit et fait avant.
Il se détacha de mes lèvres pour parcourir ma nuque, déposant de langoureux et tendre baisers dessus, mais avec une tendre retenue pour ma personne, ne voulant pas y laisser sa marque. C’est à ce moment-là que je me suis dit que j’allais peut-être lui laisser la mienne pour, hm, qui sait, mais pour l’heure je patientais.
Il décida soudainement de me soulever et de me déposer sur la table. Il était là debout au-dessus de moi, tandis que je lobais mes jambes autour de sa taille en guise de réponse à ses propos. Les yeux dans les yeux. Je sentais son buste contre ma poitrine s’écrasant sous ses muscles pectoraux bombés par l’action, son inclinaison laissant sortir un pendentif. Alors qu’il décida d’aller plus loin en parcourant doucement et délicatement ma cuisse avec sa main, glissant et s’engouffrant à tâtons sous mon jupon, j’ouvrais sa chemise quitte à faire jaillir les boutons comme du champagne d’une bouteille secouée. Je plaquai mes mains sur son poitrail, parcourant chaque courbe de ces muscules finement ciselés comme un sculpteur parcours la glaise de sa plus belle création.
Je savais qu’il avait terriblement envie de moi et je n’avais nullement envie de le laisser filer alors que j’ai enfin trouvé une friandise à mon goût pour combler une longue attente. Il aura tôt fait de me faire vibrer comme il se doit avant que je ne laisse en lui de toute cette terrible passion commune qu’un souvenir vague comme un rêve. Tandis que d’une main je caressais ce torse me rendant folle, je glissai mon autre main sur la sienne, celle qui était sur ma cuisse pour forcer d’un coup net à la faire monter jusqu’au niveau de ma hanche pour lui faire passer un message clair.
Irina ▬ Tu comptes parler encore longtemps ?Je lui laissais un sourire mutin en guise de réponse à son sourire de jeune homme affamé avant de lui prendre la bouche à nouveau, mélangeant nos langues à nouveau, mêlant nos fragrances respectives dans un balai érotique et vigoureux.
“Tractations post débat”
Etilya sur DK RPG
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Lun 26 Aoû 2019 - 23:18
Impossible d'y échapper. Impossible de ne pas céder à la tentation beaucoup trop vive pour m'en extirper indemne. Cette femme, aussi mystérieuse que dangereuse, soufflait toujours un peu plus sur les braises de mon désir. Une passion débordante que je reconnaissais entre mille, m'enivra totalement. Elle avait raison de moi et elle le savait. Mais je comptais bien lui faire payer ses affronts précédents de la plus succulente des manières.
Tandis que j'avais pris soin de l'allonger sur le dos, elle enroba ma taille de ses jambes sveltes et musclées avec malice. Je compris à cet instant que je ne saurais pas m'en défaire et moi qui tentais de freiner mes ardeurs vivaces de mâle déchaîné, je me sentais emporté par cette vague qui montais en moi comme une tempête prête à éclater. C'était peine perdu. En réponse à mes initiatives, elle entreprit de passer ses mains délicates pour découvrir les lignes de mon torse bombé sous l'excitation intense qui pulsait dans mes veines. Les boutons ne tardèrent pas à sauter non plus au passage, marquant sa volonté flagrante d'aller encore plus loin.
Je n'étais qu'un homme faible, totalement envoûté par l'aura écrasante de cette divinité. Je n'y résisterai pas, la bête qui hurlait en moi me poussait davantage à la prendre ici et maintenant. Mon taux de testostérone explosait dans tous les sens, étanchant davantage mon envie de la faucher, dont j'avais urgemment besoin d'être rassasié. Mais apparemment, ce tiraillement ne concernait pas que moi.
Elle glissa subtilement sa main sur la mienne en m'invitant fougueusement à poursuivre le chemin de son intimité. Le souffle court, ce tourbillon enflammé me rendait totalement cinglé. Cette chaleur que dégageait le moelleux de ses seins sous mon buste me perdait dans le néant de la convoitise extrême.
Un sourire impoli et une phrase provocatrice eut tôt fait de briser le peu de raisonnable qu'il subsistait dans mon esprit. La dame n'était pas décidée à laisser parler la frustration, et imposa sa volonté en agrippant ma bouche une nouvelle fois. Il n'y avait plus de changelin ou de sorcière, juste un homme et une femme, une belle et une bête. Quoique difficile de déterminer qui était le plus bestial d'entre nous deux. Cette fois, je ne répondais clairement plus de rien.
J'entreprenais alors à mon tour d'arracher le haut de son bustier et me mis à maudire cette satanée robe envahissante qui enrobait ses courbes dont j'étais avide. Cette frustration terrible que de ne pas avoir accès à tous les contours de son être secouait davantage mon excitation. J'attrapais alors ses deux mains pour les plaquer au dessus de sa tête tandis que je quittais sa bouche pour embraser sa poitrine d'un coup de langue sur l'extrémité érogène de ses attributs.
J'avais envie de mordre, je désirais en prendre possession sous mes attaques charnelles. Je voulais la martyriser, la frustrer, la désirer et l'attraper sauvagement jusqu'à nos respirations s'entrecoupent. Je souhaitais lui faire perdre le contrôle dont elle devait avoir l'habitude de s'habiller. Pendant que je maintenais ses deux mains, la mienne libre, se fit plus malicieuse et s’immisça cette fois-ci sans aucune retenue directement sur son intimité, soulevant un peu sa robe. Tandis que je dessinais les contours de ses tétons du bout de la langue avant de revenir à sa savoureuse bouche dont je me mis à mordre sa lèvre inférieure sans vergogne.
J'avais bien l'intention de la faire languir un peu avant de passer la vitesse supérieure. Entreprenant et précis, je tournais les doigts autour de son entrée des plaisirs à travers sa lingerie tout en taquinant ingénieusement cet organe empli de terminaisons nerveuses propre à la gente féminine. Je laissais ainsi grimper la température avant l'extase, même si de mon côté, mon corps moite ne faisait que réclamer ce trésor empoisonné. Je le sentais aisément sous la ceinture. Mais par habitude, je préférais d'abord distraire la belle, par orgueil masculin que de vouloir la faire fondre sous mes caresses.
Mais pas moins euphorique que ma partenaire, je passais un cran au dessus, invitant ma main sous sa dentelle pour passer l'accès de son intimité dans laquelle j'y immisçais simplement le bout des doigts pour appuyer et caresser ses muqueuses les plus sensibles. Je n'oubliais pas non plus de m'occuper de sa graine qui ne tarda pas à se gonfler de sang, en jouant du pouce, pour aiguiser encore plus ses ardeurs.
Toujours juché au-dessus d'elle, je continuais également de la parsemer de baisers tendres et fiévreux sur ses épaules, respirant toujours ce parfum envoûtant.
Ce soir, cette femme dont j'ignorais jusqu’au nom était à moi. Et moi seul.
Tandis que j'avais pris soin de l'allonger sur le dos, elle enroba ma taille de ses jambes sveltes et musclées avec malice. Je compris à cet instant que je ne saurais pas m'en défaire et moi qui tentais de freiner mes ardeurs vivaces de mâle déchaîné, je me sentais emporté par cette vague qui montais en moi comme une tempête prête à éclater. C'était peine perdu. En réponse à mes initiatives, elle entreprit de passer ses mains délicates pour découvrir les lignes de mon torse bombé sous l'excitation intense qui pulsait dans mes veines. Les boutons ne tardèrent pas à sauter non plus au passage, marquant sa volonté flagrante d'aller encore plus loin.
Je n'étais qu'un homme faible, totalement envoûté par l'aura écrasante de cette divinité. Je n'y résisterai pas, la bête qui hurlait en moi me poussait davantage à la prendre ici et maintenant. Mon taux de testostérone explosait dans tous les sens, étanchant davantage mon envie de la faucher, dont j'avais urgemment besoin d'être rassasié. Mais apparemment, ce tiraillement ne concernait pas que moi.
Elle glissa subtilement sa main sur la mienne en m'invitant fougueusement à poursuivre le chemin de son intimité. Le souffle court, ce tourbillon enflammé me rendait totalement cinglé. Cette chaleur que dégageait le moelleux de ses seins sous mon buste me perdait dans le néant de la convoitise extrême.
Un sourire impoli et une phrase provocatrice eut tôt fait de briser le peu de raisonnable qu'il subsistait dans mon esprit. La dame n'était pas décidée à laisser parler la frustration, et imposa sa volonté en agrippant ma bouche une nouvelle fois. Il n'y avait plus de changelin ou de sorcière, juste un homme et une femme, une belle et une bête. Quoique difficile de déterminer qui était le plus bestial d'entre nous deux. Cette fois, je ne répondais clairement plus de rien.
J'entreprenais alors à mon tour d'arracher le haut de son bustier et me mis à maudire cette satanée robe envahissante qui enrobait ses courbes dont j'étais avide. Cette frustration terrible que de ne pas avoir accès à tous les contours de son être secouait davantage mon excitation. J'attrapais alors ses deux mains pour les plaquer au dessus de sa tête tandis que je quittais sa bouche pour embraser sa poitrine d'un coup de langue sur l'extrémité érogène de ses attributs.
J'avais envie de mordre, je désirais en prendre possession sous mes attaques charnelles. Je voulais la martyriser, la frustrer, la désirer et l'attraper sauvagement jusqu'à nos respirations s'entrecoupent. Je souhaitais lui faire perdre le contrôle dont elle devait avoir l'habitude de s'habiller. Pendant que je maintenais ses deux mains, la mienne libre, se fit plus malicieuse et s’immisça cette fois-ci sans aucune retenue directement sur son intimité, soulevant un peu sa robe. Tandis que je dessinais les contours de ses tétons du bout de la langue avant de revenir à sa savoureuse bouche dont je me mis à mordre sa lèvre inférieure sans vergogne.
J'avais bien l'intention de la faire languir un peu avant de passer la vitesse supérieure. Entreprenant et précis, je tournais les doigts autour de son entrée des plaisirs à travers sa lingerie tout en taquinant ingénieusement cet organe empli de terminaisons nerveuses propre à la gente féminine. Je laissais ainsi grimper la température avant l'extase, même si de mon côté, mon corps moite ne faisait que réclamer ce trésor empoisonné. Je le sentais aisément sous la ceinture. Mais par habitude, je préférais d'abord distraire la belle, par orgueil masculin que de vouloir la faire fondre sous mes caresses.
Mais pas moins euphorique que ma partenaire, je passais un cran au dessus, invitant ma main sous sa dentelle pour passer l'accès de son intimité dans laquelle j'y immisçais simplement le bout des doigts pour appuyer et caresser ses muqueuses les plus sensibles. Je n'oubliais pas non plus de m'occuper de sa graine qui ne tarda pas à se gonfler de sang, en jouant du pouce, pour aiguiser encore plus ses ardeurs.
Toujours juché au-dessus d'elle, je continuais également de la parsemer de baisers tendres et fiévreux sur ses épaules, respirant toujours ce parfum envoûtant.
Ce soir, cette femme dont j'ignorais jusqu’au nom était à moi. Et moi seul.
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Mar 27 Aoû 2019 - 0:34
Il entreprit enfin d’arracher le haut de mon bustier. Je sentais son esprit maudissant et vociférant sur cette magnifique robe qui ici entravait ses yeux, l’obligeant à faire fonctionner son imagination pour entrevoir mes courbes lui faisant de l’œil. Plus il était frustré, plus son excitation. Freud serait content. Il décida enfin de passer aux choses sérieuses et m’a pris les mains pour me les coller violemment sur la table la faisant vibrer comme mon propre corps le faisant depuis plusieurs secondes maintenant. Le verre que j’eus utilisé s’est couché sous la secousse et rouler jusqu’à finir par se briser sur le sol froid de ce parquet. Sa bouche qui la mienne pour descendre en direction des collines plus au sud qu’il avait mise à jour en retirant mon bustier, ces dernières soutenues par une lingerie fine les laissant accessibles. La région qu’il parcouru avec ces délicats coups de langue fait partie des plus innervée de tout le corps féminin et je remerciais les ancêtres qu'il sache en faire un si bon usage.
Cette fougue était toute orientée, guidée par son envie de me rendre la pareille. Je sentais et voyais très clairement toutes ces fougueuses envie de me prendre violemment contre cette table, de me malmener comme un rustre, mais aussi ces élans passionnés de jeune mâle ne voulant que satisfaire et combler une femme unique en son genre. Sa langue si vaillante continuait de me faire languir, mon corps ondulant et se contractant sous chaque assaut de sa part comme le ferait un vers terrorisé par un oiseau. Je sentais tout en même temps sa main se glisser plus loin encore sous ma robe pour aller guetter l'entrée de cette caverne dédiée au plaisir sur laquelle il lorgnait maintenant. Sa bouche revint sur la mienne, lui qui me maintenant toujours avec ses mains fortes. Pauvre homme qu’il est, mais si vigoureux et impatient. J’ai diablement envie de le faire voler comme un fétu de paille, mais pour le moment, ses baisers et ses mains me font trop d’effet pour que je ne me conduise ainsi. Je profite de ce baiser intense pour lui faire comprendre que ce vert émeraude n’est qu’une manifestation de ma magie. Je modifie sa mémoire immédiate de l’instant, transcendant sa perception de l’espace comme une sorte d’environnement onirique et psychédélique où rien ne compte plus que nous avant de le ramener à la réalité.
Il n’a pas tardé à faire connaître ses intentions immédiates en acte plus que par la pensée, ses doigts se frayant un chemin sur ma lingerie, perçant le voile de mes inhibitions enfin. Il savait y faire avec les femmes alors que tant et tant d’hommes sont incapables de le trouver sans une carte. Le fait que dans son esprit cela était très clair et il connaissait parfaitement le sujet qui nous réunissait tandis que dans son esprit il voyait clairement le fait que cette zone était la plus innervée, sensible et érogène d’un corps de femme. Il ne pouvait pas être préparé à ce qui allait suivre tandis qu’il se croyait en position de force en ce moment-même. Il glissa ses doigts sous la dentelle pour y aller directement alors j'ai décidé de passer à l’action alors que mon corps commençait sous l’effet de ses caresses expertes à se couvrir d’une rosée perlant doucement. Je lui ai partagé à nouveau grâce à ma magie l'équivalent sensitif dans sa mémoire de ce qu'il était en train de me faire pour faire chavirer son corps et son esprit. Cela m’offrit une ouverture et j’ai ramené mes jambes sous son buste avant de les déplier violemment pour l’éjecter sur la chaise à nouveau et me relever. Il est fort, mais je suis entrainé dans l'art de repousser mes assaillant, d’autant plus lorsque je les distrais ainsi.
Je me relève pour lentement tirer les cordons de ma robe et la laisser tomber au sol, dévoilant ce corps tout de nacre et pourtant robuste. Je n’ai plus que ma lingerie dont il en avait saisi les recoins. Cette culotte de dentelle noir avec des broderies d’une couleur verte également, tout comme mon redresse sein. Je ne sors jamais sans rien assortir. Je fis aller ma chevelure d’un seul côté dans un geste sensuel de la tête avant de m’approcher de lui, posant mon pied chaussé d’un haut talon noir laqué, donnant laissant à ce bas noir intense. Il me veut, il me croit sienne, mais ce soir je reste tout en contrôle mon tout beau et il faudra te montrer à la hauteur de la tâche pour gagner ton accès au paradis.
Je saisi sa tête d'une main pour la rapproché de mon mollet, l’invitant à l’embrasser également, calmant ses ardeurs, voulant qu’il m’ôte ces chaussures et le reste. Je glisse mes mains sur ses clavicules, vers ses épaules pour faire couler sa chemise sur son dos musclé que je parcourais langoureusement avec mes doigts avant de remonter mes mains tout en le griffant doucement pour attiser son désir bestial.
Cette fougue était toute orientée, guidée par son envie de me rendre la pareille. Je sentais et voyais très clairement toutes ces fougueuses envie de me prendre violemment contre cette table, de me malmener comme un rustre, mais aussi ces élans passionnés de jeune mâle ne voulant que satisfaire et combler une femme unique en son genre. Sa langue si vaillante continuait de me faire languir, mon corps ondulant et se contractant sous chaque assaut de sa part comme le ferait un vers terrorisé par un oiseau. Je sentais tout en même temps sa main se glisser plus loin encore sous ma robe pour aller guetter l'entrée de cette caverne dédiée au plaisir sur laquelle il lorgnait maintenant. Sa bouche revint sur la mienne, lui qui me maintenant toujours avec ses mains fortes. Pauvre homme qu’il est, mais si vigoureux et impatient. J’ai diablement envie de le faire voler comme un fétu de paille, mais pour le moment, ses baisers et ses mains me font trop d’effet pour que je ne me conduise ainsi. Je profite de ce baiser intense pour lui faire comprendre que ce vert émeraude n’est qu’une manifestation de ma magie. Je modifie sa mémoire immédiate de l’instant, transcendant sa perception de l’espace comme une sorte d’environnement onirique et psychédélique où rien ne compte plus que nous avant de le ramener à la réalité.
Il n’a pas tardé à faire connaître ses intentions immédiates en acte plus que par la pensée, ses doigts se frayant un chemin sur ma lingerie, perçant le voile de mes inhibitions enfin. Il savait y faire avec les femmes alors que tant et tant d’hommes sont incapables de le trouver sans une carte. Le fait que dans son esprit cela était très clair et il connaissait parfaitement le sujet qui nous réunissait tandis que dans son esprit il voyait clairement le fait que cette zone était la plus innervée, sensible et érogène d’un corps de femme. Il ne pouvait pas être préparé à ce qui allait suivre tandis qu’il se croyait en position de force en ce moment-même. Il glissa ses doigts sous la dentelle pour y aller directement alors j'ai décidé de passer à l’action alors que mon corps commençait sous l’effet de ses caresses expertes à se couvrir d’une rosée perlant doucement. Je lui ai partagé à nouveau grâce à ma magie l'équivalent sensitif dans sa mémoire de ce qu'il était en train de me faire pour faire chavirer son corps et son esprit. Cela m’offrit une ouverture et j’ai ramené mes jambes sous son buste avant de les déplier violemment pour l’éjecter sur la chaise à nouveau et me relever. Il est fort, mais je suis entrainé dans l'art de repousser mes assaillant, d’autant plus lorsque je les distrais ainsi.
Je me relève pour lentement tirer les cordons de ma robe et la laisser tomber au sol, dévoilant ce corps tout de nacre et pourtant robuste. Je n’ai plus que ma lingerie dont il en avait saisi les recoins. Cette culotte de dentelle noir avec des broderies d’une couleur verte également, tout comme mon redresse sein. Je ne sors jamais sans rien assortir. Je fis aller ma chevelure d’un seul côté dans un geste sensuel de la tête avant de m’approcher de lui, posant mon pied chaussé d’un haut talon noir laqué, donnant laissant à ce bas noir intense. Il me veut, il me croit sienne, mais ce soir je reste tout en contrôle mon tout beau et il faudra te montrer à la hauteur de la tâche pour gagner ton accès au paradis.
Je saisi sa tête d'une main pour la rapproché de mon mollet, l’invitant à l’embrasser également, calmant ses ardeurs, voulant qu’il m’ôte ces chaussures et le reste. Je glisse mes mains sur ses clavicules, vers ses épaules pour faire couler sa chemise sur son dos musclé que je parcourais langoureusement avec mes doigts avant de remonter mes mains tout en le griffant doucement pour attiser son désir bestial.
“La rosée du matin”
:copyright: Etilya sur DK RPG
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Mar 27 Aoû 2019 - 22:25
Ses courbes délicieuses se soulevaient sous mon torse à chacun de mes assauts calculés, étanchant toujours un peu plus ma soif. Lorsque j'attaquais sa bouche sauvagement, je vis briller sa rétine d'un vert écarlate qui m'ensorcela dans une brume épaisse, plongeant mon esprit dans un état d’enivrement l'espace de quelques secondes. J'en concluais qu'elle jouait de sa magie pour m'enfermer dans ses charmes, tel un étau déterminé à l'allure d'un rêve éveillé, avant de me laisser diriger à nouveau mes sens.
Mais tandis que je travaillais soigneusement à stimuler son intimité pour la posséder, un éclair fugace et torride me traversa, m'arrachant un souffle rauque sous la surprise. Cette petite garce. La position de domination que je tentais d'exercer sur ce démon fut vite contrebalancée quand elle profita de cet instant de faiblesse pour m'expédier rudement sur la chaise en face. Cette action imprévisible causa une grimace de frustration clairement lisible sur ma face, comme si on m'avait soudainement passé une douche froide sur mon corps en feu. Mais elle fut vite pardonnée lorsqu'elle fit tomber sa robe victorienne qui jusque là, titillait ma curiosité insatiable. Un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres et l'instinct du prédateur s'aiguisa dans une montée d'adrénaline.
Cependant, je pris le temps d'aduler ses formes taillées dans le diamant le plus pur. Sa peau nue et vierge, ressemblait à une toile d'artiste habillée seulement par les tâches orangées du soleil couchant qui filtraient à travers les stores. Le crépuscule se dessinait sur cette œuvre charnelle sur laquelle j'exigeais déposer ma signature ce soir d'une morsure sur sa cuisse. Toutefois, je me doutais bien qu'elle n'allait pas me laisser m'en sortir à si bon compte. De la part d'une femme qui exerçait une autorité farouche, je ne m'attendais pas à la cueillir facilement.
Même sous ses vêtements, l'alliance de sa lingerie était parfaite. Comme une lionne prête à bondir, elle s'approcha doucement de moi, jouant de ses atouts, tout en déposant son pied talonné sur le rebord de la chaise. Elle exprima lucidement sa volonté de me soumettre à sa décharge, en saisissant mon crâne pour le rapprocher de ses tendres mollets. Mais elle ne manqua pas de m'encourager tout à son désir et au mien, en baladant ses fines mains sur mes clavicules et faire tomber ma chemise. Toute ingénieuse, elle planta ensuite ses ongles dans mon dos en remontant sensuellement pour violenter la fougue qui m'enrobait déjà.
Comme un homme bien docile, en tout cas pour le moment, j'obtempérais et retira alors avec calme ses chaussures. J'embrassais le dos de son pied avant d'agripper son bas de mes dents que je fis glisser le long de sa jambe. J'attrapais ensuite l'autre jambe pour effectuer la même démarche. Je ne manquais pas d'y balader mes lèvres jusqu'à sa entre-cuisse dans un festival de sensations déroutantes, dégustant chaque centimètre de sa peau salée avant de déposer sa jambe sur le sol de manière toute aussi délicate.
J'encrais ensuite mon regard fiévreux dans ses yeux de malheur et me redressa doucement pour aller à sa rencontre à seulement quelques centimètres d'elle. Tandis que je continuais de la surplomber, ne quittant pas ses prunelles, je passais mes deux mains expertes derrière son dos pour la délivrer de son sous-vêtement en le dégrafant en la frôlant à peine.
1,2,3...
Je me penchais ensuite sur son cou de cygne pour le grignoter et dans une pulsion sauvage, je tirais un coup sec sur sa dentelle sans prévenir pour l'en défaire. Mon souffle était si chaud et court sur sa nuque, trahissant totalement mon impatience tandis que le calme semblait régner sur mes traits impassibles. Mais ce n'était qu'une façade, quand mon esprit crépitait à l'idée du sort succulent que je lui réservais.
Elle disposait de pouvoirs terribles, certes, mais en tant qu'homme, je ne demeurais pas en reste.
Mais je ne prendrais pas de raccourcis pour autant, j'irais lentement mais sûrement, la conduire à s'enflammer pour ne laisser que de la cendre s'évanouir sur le plancher. Je la ferais monter, je la ferais languir et effaroucherais sa domination.
Malicieusement, je parcourais alors sa nuque de ma bouche, puis poursuivit ma course au plaisir sur l'amont de son bustier, avant de descendre entre ses seins, sans omettre d'y laisser des baisers ardents. Je mis ensuite un genou à terre dans l'optique de taquiner son nombril de ma muqueuse, guettant toujours ses réactions de mon œil furtif, avant de planter mes crocs sans trop insister sur la chaire si tendre de sa cuisse.
J'avais faim. Je bouillonnais comme une marmite laissée trop longtemps sur le feu.
Avec désir et fougue, je remontais le long de son entre-jambe pour embrasser son mont de Vénus, point culminant de sa féminité qui abritait les meilleurs trésors. Et comme un petit animal innocent au premier abord, je vins laper le cœur de ses plaisirs dans de légers coups de langue, pour en caresser simplement la surface. Quelques gouttes de sueur perlaient le long de mon dos, alors que je m'efforçais de maintenir mes pulsions. Mais mon corps, plus fort que ma raison, s’obstinait à me fouetter de ses rugissements insatisfaits, grisé par cette succube.
Je continuais d'explorer sa plaine, dans ses interstices tout en négligeant consciemment les zones les plus ensoleillées. Subtilement, délicatement, je sillonnais les chemins de sa vallée jusqu'à ce je me décide enfin après quelques secondes insoutenables, d'atteindre ce noyau innervé de sa fleur parfumée d'une odeur qui m'excitait terriblement. Avec tendresse, je dessinais des légers vas et viens précisés sur ce point sensible qui gonflait doucement à mon contact. Plus il s'agitait, plus mon empressement se faisait insistant et avide, traduit par l'agitation de ma bouche plus entreprenante. Happé par ce flot tumultueux qui faisait dégénérer mes sens, je soulevais alors sa cuisse svelte avec ardeur pour insinuer ma langue à l'entrée de cette cavité humide dont je pourléchais les bords. Me délectant au passage de ce nectar délicieux qui s'échappait de ce fruit et qui désintégrait mon contrôle en lambeaux.
Plus, et toujours plus.
J’agrippais ses fesses si fermes sous mes mains fortes et rigides alors que j'attirais ses hanches à mon visage, courbant la nuque pour mieux la saisir à point. Emprisonnant son noyau dans de légers cercles infernaux avant de revenir à la lisière de ses charmes et y pénétrer mon franc-parler pour agresser avec passion ses muqueuses sensibles. Je répétais cette action plusieurs fois alors que le désir commençait à me tendre avec fièvre d'une douleur exquise. Serrant toujours son fessier, je jouais de mon atout comme un chef d'orchestre ferait pousser la note plus haut.
Tu danseras sur ma bouche.
Mais tandis que je travaillais soigneusement à stimuler son intimité pour la posséder, un éclair fugace et torride me traversa, m'arrachant un souffle rauque sous la surprise. Cette petite garce. La position de domination que je tentais d'exercer sur ce démon fut vite contrebalancée quand elle profita de cet instant de faiblesse pour m'expédier rudement sur la chaise en face. Cette action imprévisible causa une grimace de frustration clairement lisible sur ma face, comme si on m'avait soudainement passé une douche froide sur mon corps en feu. Mais elle fut vite pardonnée lorsqu'elle fit tomber sa robe victorienne qui jusque là, titillait ma curiosité insatiable. Un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres et l'instinct du prédateur s'aiguisa dans une montée d'adrénaline.
Cependant, je pris le temps d'aduler ses formes taillées dans le diamant le plus pur. Sa peau nue et vierge, ressemblait à une toile d'artiste habillée seulement par les tâches orangées du soleil couchant qui filtraient à travers les stores. Le crépuscule se dessinait sur cette œuvre charnelle sur laquelle j'exigeais déposer ma signature ce soir d'une morsure sur sa cuisse. Toutefois, je me doutais bien qu'elle n'allait pas me laisser m'en sortir à si bon compte. De la part d'une femme qui exerçait une autorité farouche, je ne m'attendais pas à la cueillir facilement.
Même sous ses vêtements, l'alliance de sa lingerie était parfaite. Comme une lionne prête à bondir, elle s'approcha doucement de moi, jouant de ses atouts, tout en déposant son pied talonné sur le rebord de la chaise. Elle exprima lucidement sa volonté de me soumettre à sa décharge, en saisissant mon crâne pour le rapprocher de ses tendres mollets. Mais elle ne manqua pas de m'encourager tout à son désir et au mien, en baladant ses fines mains sur mes clavicules et faire tomber ma chemise. Toute ingénieuse, elle planta ensuite ses ongles dans mon dos en remontant sensuellement pour violenter la fougue qui m'enrobait déjà.
Comme un homme bien docile, en tout cas pour le moment, j'obtempérais et retira alors avec calme ses chaussures. J'embrassais le dos de son pied avant d'agripper son bas de mes dents que je fis glisser le long de sa jambe. J'attrapais ensuite l'autre jambe pour effectuer la même démarche. Je ne manquais pas d'y balader mes lèvres jusqu'à sa entre-cuisse dans un festival de sensations déroutantes, dégustant chaque centimètre de sa peau salée avant de déposer sa jambe sur le sol de manière toute aussi délicate.
J'encrais ensuite mon regard fiévreux dans ses yeux de malheur et me redressa doucement pour aller à sa rencontre à seulement quelques centimètres d'elle. Tandis que je continuais de la surplomber, ne quittant pas ses prunelles, je passais mes deux mains expertes derrière son dos pour la délivrer de son sous-vêtement en le dégrafant en la frôlant à peine.
1,2,3...
Je me penchais ensuite sur son cou de cygne pour le grignoter et dans une pulsion sauvage, je tirais un coup sec sur sa dentelle sans prévenir pour l'en défaire. Mon souffle était si chaud et court sur sa nuque, trahissant totalement mon impatience tandis que le calme semblait régner sur mes traits impassibles. Mais ce n'était qu'une façade, quand mon esprit crépitait à l'idée du sort succulent que je lui réservais.
Elle disposait de pouvoirs terribles, certes, mais en tant qu'homme, je ne demeurais pas en reste.
Mais je ne prendrais pas de raccourcis pour autant, j'irais lentement mais sûrement, la conduire à s'enflammer pour ne laisser que de la cendre s'évanouir sur le plancher. Je la ferais monter, je la ferais languir et effaroucherais sa domination.
Malicieusement, je parcourais alors sa nuque de ma bouche, puis poursuivit ma course au plaisir sur l'amont de son bustier, avant de descendre entre ses seins, sans omettre d'y laisser des baisers ardents. Je mis ensuite un genou à terre dans l'optique de taquiner son nombril de ma muqueuse, guettant toujours ses réactions de mon œil furtif, avant de planter mes crocs sans trop insister sur la chaire si tendre de sa cuisse.
J'avais faim. Je bouillonnais comme une marmite laissée trop longtemps sur le feu.
Avec désir et fougue, je remontais le long de son entre-jambe pour embrasser son mont de Vénus, point culminant de sa féminité qui abritait les meilleurs trésors. Et comme un petit animal innocent au premier abord, je vins laper le cœur de ses plaisirs dans de légers coups de langue, pour en caresser simplement la surface. Quelques gouttes de sueur perlaient le long de mon dos, alors que je m'efforçais de maintenir mes pulsions. Mais mon corps, plus fort que ma raison, s’obstinait à me fouetter de ses rugissements insatisfaits, grisé par cette succube.
Je continuais d'explorer sa plaine, dans ses interstices tout en négligeant consciemment les zones les plus ensoleillées. Subtilement, délicatement, je sillonnais les chemins de sa vallée jusqu'à ce je me décide enfin après quelques secondes insoutenables, d'atteindre ce noyau innervé de sa fleur parfumée d'une odeur qui m'excitait terriblement. Avec tendresse, je dessinais des légers vas et viens précisés sur ce point sensible qui gonflait doucement à mon contact. Plus il s'agitait, plus mon empressement se faisait insistant et avide, traduit par l'agitation de ma bouche plus entreprenante. Happé par ce flot tumultueux qui faisait dégénérer mes sens, je soulevais alors sa cuisse svelte avec ardeur pour insinuer ma langue à l'entrée de cette cavité humide dont je pourléchais les bords. Me délectant au passage de ce nectar délicieux qui s'échappait de ce fruit et qui désintégrait mon contrôle en lambeaux.
Plus, et toujours plus.
J’agrippais ses fesses si fermes sous mes mains fortes et rigides alors que j'attirais ses hanches à mon visage, courbant la nuque pour mieux la saisir à point. Emprisonnant son noyau dans de légers cercles infernaux avant de revenir à la lisière de ses charmes et y pénétrer mon franc-parler pour agresser avec passion ses muqueuses sensibles. Je répétais cette action plusieurs fois alors que le désir commençait à me tendre avec fièvre d'une douleur exquise. Serrant toujours son fessier, je jouais de mon atout comme un chef d'orchestre ferait pousser la note plus haut.
Tu danseras sur ma bouche.
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Mar 27 Aoû 2019 - 23:12
Il rechignait à s’exécuter, à entrer dans mon jeu de domination, mais avec beaucoup de volonté, bridant son désir un instant, il libéra mes jambes de mes bas, laissant ce porte jarretelle dépourvue de toute utilité. Mes jambes, si longues et nacrées, salées par la fièvre qu’il avait distillé en moi, elles étaient là pour le tenter davantage encore.
Il ne me quittait pas des yeux, mon regard charger de ma magie devait commencer à ensorceler ses sens alors que d’ordinaire ils sont d’un marron banal. Il passa ses mains adroites dans mon dos pour délivrer de leurs entraves les montagnes jumelles tentant l’explorateur aguerri qu’il est. Dans un geste aussi furtif qu’une brise sur l’eau, il sut me débarrasser de ça avant de le laisser tomber au sol. Cette dentelle lui avait fait de l’effet.
Je sentis son souffle chaud sur ma nuque, dans mon cou. Il était impatient de passer à la suite, comme une bête affamée en quête de sa pitance mille fois méritée et imaginée. Lire son esprit est comme assister à un feu d’artifice incroyable, le feu brulant et crépitant d’envies terribles et infernales. Sentir et voir toute son envie ne faisait qu’attiser la mienne comme un vent puissant sur un feu de forêt.
Tel un aventurier, il parcourut de sa bouche, humectant son chemin comme on balise un sentier hasardeux d’où on pense ne jamais pouvoir en revenir. Ses baisers passionnés et ardent descendaient lentement jusqu’à mon buste, ma poitrine parfaitement galbée et ferme à cause de l’excitation, ne faisant qu’enchérir son volume déjà fort généreux. Il mit un genou à terre, comme on fait une révérence à sa reine, continuant sa descente vers ce qui sera son enfer et mon paradis. Ses yeux dans les miens, comme pour me dire, non, me hurler à quel point il était celui qui contrôlait maintenant. Lorsqu'il planta ses crocs dans ma chair, je fus comme secouée par un tremblement soudain. Enfin il décidait de s’affirmer avec brio.
Avec douceur et délicatesse il entreprit de remonter doucement vers ma fleur, rosie par une forte excitation provoquée par ses gestes et baisers si habiles et chauds. Il lapa doucement ce pistil de plaisir, siège de ma passion et de mon extase. Il dévora se fruit exotique, au combien juteux qui n’aurait su trouver de mot pour décrire l’acte de sa langue chaude et vigoureuse. Il se faisait violence pour ne pas en vouloir d’avantage, mais ce n’était pas une chose facile que de cacher dans un coin une passion aussi brûlante que la lave d’un volcan en train de poindre dans la région basse de son corps.
Le parfum de ma fleur, humide, chaude, provoquait chez lui un regard d’ardeur. Plus il dévorait ce nectar, ce jus de la passion, plus il en voulait. Il inséra avec vigueur sa langue, franchissant les portes de ce fondement de ma personne, perçant ce voile chaste depuis bien trop de temps maintenant. Agrippant mes hanches et les écartant pour s’engouffrer comme une bête féroce conquiert une nouvelle grotte pour se repaitre de tout ce qu’il y trouvera. Je ne pouvais que gémir doucement, lançant échapper ce son qu’il voulait et guettait sans doute depuis le début de cet échange. J’agrippais moi-même ses épaules musclées et humides pour me maintenir debout alors qu’il arrivait à me faire perdre l’équilibre, transformant mes jambes si stoïques en un amas de chair chancelante.
Je savais ce qu’il voulait et il n’allait qu’en être plus servit encore. Je sautais doucement tout en poussant du bout du pied sa chaise bien loin pour le faire tomber à la renverse. Lui qui voulait que danse sur sa bouche, il n’en serait que mieux loti ainsi. Mes cuisses musclées enserraient maintenant sa tête alors que son museau avait totalement disparu de ma vue. Je pouvais sentir se parquet froid sous mes mollets se réchauffer doucement et contraster avec l’ardeur de nos ébat du moment.
Mes mains glissaient d’elles-mêmes sur mon corps échauffé par sa bouche et l’artisan de mon plaisir, remontant mes flancs, conquérant et empoignant mes seins dans un geste réflexe, passant dessus et remontant ma nuque et mes cheveux. J’ondulais sur sa bouche, sentant celle-ci toujours plus à l’œuvre et lui toujours plus immobile, maintenu par mes cuisses.
J’étais obligée de lui offrir cette douce récompense. Ne pouvant plus me retenir, je relâchais un autre souffle court et chaud, avec ma voix sifflante et haletante. Je ne pouvais plus m’empêcher d'exulter ce plaisir enfoui en moi, tapis dans l'ombre et grondant, voulant rugir comme la bête à l'intérieur de l’homme me procurant tant de bien. Je balançais mon buste en arrière, prenant appuis sur ses jambes, mais remontant vite sur le tissu les couvrant encore. J’arrivais bien vite à tâtons par atteindre la bande de cuir maintenant son pantalon en place, comme une frontière gardée. Je la débouclais doucement, pendant que mon ami était à l’ouvrage, empoignant sa ceinture et me laissant glisser à nouveau en arrière pour le descendre jusqu’à ses chevilles, sentant dans mon dos l’objet de sa virilité qui n’attendait que moi.
Je me suis laissé soudainement submergée par le désir, se déversant en moi avec la force de mille torrents impétueux. La chaleur montait toujours en mon fondement tandis qu’il continuait ses cercles infernaux qui auraient rougir Dante lui-même. L'extase arrivait à ma porte et ce n’était pas une divine comédie. Dans un dernier contrôle avant la jouissance, je voulais lui faire partager la force de ce raz de marée qui allait nous submerger tout deux sans qu’on ne puisse rien y faire. Au bord de l’anéantissement, dans un souffle chaud et long, je me libérais du diable qu’il avait implanter en moi.
Il ne me quittait pas des yeux, mon regard charger de ma magie devait commencer à ensorceler ses sens alors que d’ordinaire ils sont d’un marron banal. Il passa ses mains adroites dans mon dos pour délivrer de leurs entraves les montagnes jumelles tentant l’explorateur aguerri qu’il est. Dans un geste aussi furtif qu’une brise sur l’eau, il sut me débarrasser de ça avant de le laisser tomber au sol. Cette dentelle lui avait fait de l’effet.
Je sentis son souffle chaud sur ma nuque, dans mon cou. Il était impatient de passer à la suite, comme une bête affamée en quête de sa pitance mille fois méritée et imaginée. Lire son esprit est comme assister à un feu d’artifice incroyable, le feu brulant et crépitant d’envies terribles et infernales. Sentir et voir toute son envie ne faisait qu’attiser la mienne comme un vent puissant sur un feu de forêt.
Tel un aventurier, il parcourut de sa bouche, humectant son chemin comme on balise un sentier hasardeux d’où on pense ne jamais pouvoir en revenir. Ses baisers passionnés et ardent descendaient lentement jusqu’à mon buste, ma poitrine parfaitement galbée et ferme à cause de l’excitation, ne faisant qu’enchérir son volume déjà fort généreux. Il mit un genou à terre, comme on fait une révérence à sa reine, continuant sa descente vers ce qui sera son enfer et mon paradis. Ses yeux dans les miens, comme pour me dire, non, me hurler à quel point il était celui qui contrôlait maintenant. Lorsqu'il planta ses crocs dans ma chair, je fus comme secouée par un tremblement soudain. Enfin il décidait de s’affirmer avec brio.
Avec douceur et délicatesse il entreprit de remonter doucement vers ma fleur, rosie par une forte excitation provoquée par ses gestes et baisers si habiles et chauds. Il lapa doucement ce pistil de plaisir, siège de ma passion et de mon extase. Il dévora se fruit exotique, au combien juteux qui n’aurait su trouver de mot pour décrire l’acte de sa langue chaude et vigoureuse. Il se faisait violence pour ne pas en vouloir d’avantage, mais ce n’était pas une chose facile que de cacher dans un coin une passion aussi brûlante que la lave d’un volcan en train de poindre dans la région basse de son corps.
Le parfum de ma fleur, humide, chaude, provoquait chez lui un regard d’ardeur. Plus il dévorait ce nectar, ce jus de la passion, plus il en voulait. Il inséra avec vigueur sa langue, franchissant les portes de ce fondement de ma personne, perçant ce voile chaste depuis bien trop de temps maintenant. Agrippant mes hanches et les écartant pour s’engouffrer comme une bête féroce conquiert une nouvelle grotte pour se repaitre de tout ce qu’il y trouvera. Je ne pouvais que gémir doucement, lançant échapper ce son qu’il voulait et guettait sans doute depuis le début de cet échange. J’agrippais moi-même ses épaules musclées et humides pour me maintenir debout alors qu’il arrivait à me faire perdre l’équilibre, transformant mes jambes si stoïques en un amas de chair chancelante.
Je savais ce qu’il voulait et il n’allait qu’en être plus servit encore. Je sautais doucement tout en poussant du bout du pied sa chaise bien loin pour le faire tomber à la renverse. Lui qui voulait que danse sur sa bouche, il n’en serait que mieux loti ainsi. Mes cuisses musclées enserraient maintenant sa tête alors que son museau avait totalement disparu de ma vue. Je pouvais sentir se parquet froid sous mes mollets se réchauffer doucement et contraster avec l’ardeur de nos ébat du moment.
Mes mains glissaient d’elles-mêmes sur mon corps échauffé par sa bouche et l’artisan de mon plaisir, remontant mes flancs, conquérant et empoignant mes seins dans un geste réflexe, passant dessus et remontant ma nuque et mes cheveux. J’ondulais sur sa bouche, sentant celle-ci toujours plus à l’œuvre et lui toujours plus immobile, maintenu par mes cuisses.
J’étais obligée de lui offrir cette douce récompense. Ne pouvant plus me retenir, je relâchais un autre souffle court et chaud, avec ma voix sifflante et haletante. Je ne pouvais plus m’empêcher d'exulter ce plaisir enfoui en moi, tapis dans l'ombre et grondant, voulant rugir comme la bête à l'intérieur de l’homme me procurant tant de bien. Je balançais mon buste en arrière, prenant appuis sur ses jambes, mais remontant vite sur le tissu les couvrant encore. J’arrivais bien vite à tâtons par atteindre la bande de cuir maintenant son pantalon en place, comme une frontière gardée. Je la débouclais doucement, pendant que mon ami était à l’ouvrage, empoignant sa ceinture et me laissant glisser à nouveau en arrière pour le descendre jusqu’à ses chevilles, sentant dans mon dos l’objet de sa virilité qui n’attendait que moi.
Je me suis laissé soudainement submergée par le désir, se déversant en moi avec la force de mille torrents impétueux. La chaleur montait toujours en mon fondement tandis qu’il continuait ses cercles infernaux qui auraient rougir Dante lui-même. L'extase arrivait à ma porte et ce n’était pas une divine comédie. Dans un dernier contrôle avant la jouissance, je voulais lui faire partager la force de ce raz de marée qui allait nous submerger tout deux sans qu’on ne puisse rien y faire. Au bord de l’anéantissement, dans un souffle chaud et long, je me libérais du diable qu’il avait implanter en moi.
Etilya sur DK RPG
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Mer 28 Aoû 2019 - 2:23
Tandis que je me nourrissais de ses tropiques endiablées, je sentais à chacune de mes agressions un océan féroce l'envahir pour la posséder totalement. Elle succombait peu à peu à mes attaques sensuelles maîtrisées sur le bout de ma langue. Tel un animal attentif aux vibrations de sa partenaire, ses gémissements à la fois plaintifs mais délectables, achevaient de m'encourager à faire monter la température. La moiteur de sa peau de satin conjuguée à cette fraîche odeur de transpiration bestiale, envahissait fermement ma volonté de la faire plier sous mon châtiment. Je sentais ses jambes fléchir sous l'irradiation que je propulsais au fin fond de ses entrailles, vrombissant comme un troupeau d'au moins cent chevaux battant la terre de leurs sabots. Tant et si bien, qu'elle devait se maintenir à mes épaules pour ne pas s'écrouler.
Mais ce n'était pas suffisant.
Profilant le fil de mes pensées, dans une arabesque gracieuse, elle me bascula sur le sol pour chevaucher ma bouche de son volcan en pleine émoi. Tandis qu'elle emprisonnait ma tête de ses cuisses pour m'inciter à poursuivre mon aventure, je l'accueillis généreusement en capturant chaque recoin de ses pétales sans me faire prier. La tiédeur de son miel emplissait mes papilles alors qu'elle cherchait à assouvir cette tempête profonde qui s'acharnait à la faire décoller en tendant son corps comme un arc au dessus de moi. Tel le cobra qu'elle représentait, ses hanches dansaient sans ménagement comme un enchantement qui me faisait perdre la notion même de réalité. Tandis que je perdais la tête, et pourtant bien conscient, je me délectais de la voir prendre son pied, raflant toujours son intimité pour prendre possession tous les trésors. Je cherchais ma relique, fidèle à mon rôle de conquérant, piétinant ses terres pour m'emparer avec orgueil de son joyau déchaîné. Son fruit divin crépitait comme un feu de joie, électrisant ma langue de petites décharges agréables, alors que la lave coulait sur mon palais.
Elle se pencha ensuite en arrière avec une souplesse teintée de charme alors que la demoiselle s'occupait de détacher ma ceinture en cuir, tandis que je ne quittais pas les lèvres de sa fleur. Mon bas glissait ingénieusement à mes pieds en un battement de cil. La tension grandissait dans mes membres, un frisson perceptible gravissant ma colonne vertébrale jusqu'à broyer le contrôle que j'opérais d'un effort surhumain sur ma disposition de mâle.
Je ne tenais salement plus.
Dans un râle, je me fis plus brusque et plus démesuré dans mon acharnement. Elle arrivait à moi, prête à éclater dans un torrent de sensations. Puis dans un soupir effréné, elle se délivra du mal que j'insufflais vigoureusement dans ses travers dans une explosion de souffrance délicieuse. Un torrent virulent Qui me percuta comme une vague déchaînée au passage, me pourfendant jusqu'à l'intérieur de mon âme. Ma respiration se coupa d'une traite alors que son sortilège arqua mon corps dans un tremblement inexplicable.
Mais ce n'était toujours pas assez.
Cette démonstration me fit grimper crescendo, le sang battait à tout rompre dans mes tympans, me plongeant dans un état second que je m'étais pas connu jusqu'alors. Le noir de ma pupille se dilata totalement pour ne même plus laisser apercevoir le gris qui déterminait mon œil. Sévèrement effarouché, ma fièvre se décupla, ne sachant même plus répondre de mes actes. Ma conscience se perdait dans les tréfonds du désir que m'inspirait cette femme. Avec une force décapante, accablée par une passion dévorante exacerbée, j'attrapais sa taille de mes grandes mains et l'obligeais à quitter sa position en la poussant sur mes jambes. Je me redressais d'un bond en galbant mes abdominaux au maximum et la jeta sur le plancher avec vivacité. Furtivement, tel un félin aguerri, je sautais littéralement sur elle de toute ma conviction de mâle obsédé par ses formes sans lui laisser le temps de réagir.
Mes dents pourfendirent la peau délicate de son épaule dans une morsure sauvage. Ma seconde identité du jaguar ressurgissait en bloc dans un élan terrible pour y cribler la marque de mon territoire. Je ne possédais pas la prétention de disposer d'elle, je savais parfaitement que suite à cette nuit torride, elle ne tarderait pas à éclabousser ma mémoire dans un halo imperceptible. Mais plus forte était l'ardeur, j'y laissais ma trace sournoisement pour son bon souvenir. Ma respiration rauque et bouillante s'entendait comme un râle ravageur, prêt à jeter son dévolu. Je retirais vivement le surplus qui m'habillait encore avant de glisser savamment entre ses hanches tandis que je me saisissais d'une de ces mèches de cheveux pour mieux la regarder blêmir sous mes coups de rein.
D'abord doucement.
Je tombais bien haut dans ce paradis aux multiples sensations. Mon bassin tumultueux tanguait dans une danse charnelle alors que je cherchais aveuglément sa bouche. Et ces yeux... Si indescriptibles et si maléfiques qu'ils me poussaient dans un précipice dans lequel j'acceptais volontiers ma condamnation. Nos corps électriques s'entrechoquaient avec une harmonie que nous n'aurions pas pu nous deviner quelques instants plus tôt.
Plus vite.
Je fauchais avec aplomb cette caverne humide qui grisait le drapeau planté au cœur de son intimité. J'en tremblais à en clamser sur place tellement cette artifice me secouait jusqu'à la moelle de mes os. Je passais à la fois un doigt sur ses lèvres rouges pour y rentrer le bout de mon pouce, alors que je la prenais avec une fougue dévastatrice. Haletant et guidé exclusivement par l'appétit vorace qu'elle faisait hurler au creux de mes reins. J'attaquais à nouveau son cou, imbibant mes narines des effluves que sa chevelure dégageait comme pour me prendre davantage en otage. Sans aucune once d'abstinence, je léchais sa peau salée et scella nos confidences érotiques dans une morsure plus profonde encore que l'enfer qui m'attendait.
Envoie moi au Diable.
Mais ce n'était pas suffisant.
Profilant le fil de mes pensées, dans une arabesque gracieuse, elle me bascula sur le sol pour chevaucher ma bouche de son volcan en pleine émoi. Tandis qu'elle emprisonnait ma tête de ses cuisses pour m'inciter à poursuivre mon aventure, je l'accueillis généreusement en capturant chaque recoin de ses pétales sans me faire prier. La tiédeur de son miel emplissait mes papilles alors qu'elle cherchait à assouvir cette tempête profonde qui s'acharnait à la faire décoller en tendant son corps comme un arc au dessus de moi. Tel le cobra qu'elle représentait, ses hanches dansaient sans ménagement comme un enchantement qui me faisait perdre la notion même de réalité. Tandis que je perdais la tête, et pourtant bien conscient, je me délectais de la voir prendre son pied, raflant toujours son intimité pour prendre possession tous les trésors. Je cherchais ma relique, fidèle à mon rôle de conquérant, piétinant ses terres pour m'emparer avec orgueil de son joyau déchaîné. Son fruit divin crépitait comme un feu de joie, électrisant ma langue de petites décharges agréables, alors que la lave coulait sur mon palais.
Elle se pencha ensuite en arrière avec une souplesse teintée de charme alors que la demoiselle s'occupait de détacher ma ceinture en cuir, tandis que je ne quittais pas les lèvres de sa fleur. Mon bas glissait ingénieusement à mes pieds en un battement de cil. La tension grandissait dans mes membres, un frisson perceptible gravissant ma colonne vertébrale jusqu'à broyer le contrôle que j'opérais d'un effort surhumain sur ma disposition de mâle.
Je ne tenais salement plus.
Dans un râle, je me fis plus brusque et plus démesuré dans mon acharnement. Elle arrivait à moi, prête à éclater dans un torrent de sensations. Puis dans un soupir effréné, elle se délivra du mal que j'insufflais vigoureusement dans ses travers dans une explosion de souffrance délicieuse. Un torrent virulent Qui me percuta comme une vague déchaînée au passage, me pourfendant jusqu'à l'intérieur de mon âme. Ma respiration se coupa d'une traite alors que son sortilège arqua mon corps dans un tremblement inexplicable.
Mais ce n'était toujours pas assez.
Cette démonstration me fit grimper crescendo, le sang battait à tout rompre dans mes tympans, me plongeant dans un état second que je m'étais pas connu jusqu'alors. Le noir de ma pupille se dilata totalement pour ne même plus laisser apercevoir le gris qui déterminait mon œil. Sévèrement effarouché, ma fièvre se décupla, ne sachant même plus répondre de mes actes. Ma conscience se perdait dans les tréfonds du désir que m'inspirait cette femme. Avec une force décapante, accablée par une passion dévorante exacerbée, j'attrapais sa taille de mes grandes mains et l'obligeais à quitter sa position en la poussant sur mes jambes. Je me redressais d'un bond en galbant mes abdominaux au maximum et la jeta sur le plancher avec vivacité. Furtivement, tel un félin aguerri, je sautais littéralement sur elle de toute ma conviction de mâle obsédé par ses formes sans lui laisser le temps de réagir.
Mes dents pourfendirent la peau délicate de son épaule dans une morsure sauvage. Ma seconde identité du jaguar ressurgissait en bloc dans un élan terrible pour y cribler la marque de mon territoire. Je ne possédais pas la prétention de disposer d'elle, je savais parfaitement que suite à cette nuit torride, elle ne tarderait pas à éclabousser ma mémoire dans un halo imperceptible. Mais plus forte était l'ardeur, j'y laissais ma trace sournoisement pour son bon souvenir. Ma respiration rauque et bouillante s'entendait comme un râle ravageur, prêt à jeter son dévolu. Je retirais vivement le surplus qui m'habillait encore avant de glisser savamment entre ses hanches tandis que je me saisissais d'une de ces mèches de cheveux pour mieux la regarder blêmir sous mes coups de rein.
D'abord doucement.
Je tombais bien haut dans ce paradis aux multiples sensations. Mon bassin tumultueux tanguait dans une danse charnelle alors que je cherchais aveuglément sa bouche. Et ces yeux... Si indescriptibles et si maléfiques qu'ils me poussaient dans un précipice dans lequel j'acceptais volontiers ma condamnation. Nos corps électriques s'entrechoquaient avec une harmonie que nous n'aurions pas pu nous deviner quelques instants plus tôt.
Plus vite.
Je fauchais avec aplomb cette caverne humide qui grisait le drapeau planté au cœur de son intimité. J'en tremblais à en clamser sur place tellement cette artifice me secouait jusqu'à la moelle de mes os. Je passais à la fois un doigt sur ses lèvres rouges pour y rentrer le bout de mon pouce, alors que je la prenais avec une fougue dévastatrice. Haletant et guidé exclusivement par l'appétit vorace qu'elle faisait hurler au creux de mes reins. J'attaquais à nouveau son cou, imbibant mes narines des effluves que sa chevelure dégageait comme pour me prendre davantage en otage. Sans aucune once d'abstinence, je léchais sa peau salée et scella nos confidences érotiques dans une morsure plus profonde encore que l'enfer qui m'attendait.
Envoie moi au Diable.
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Mer 28 Aoû 2019 - 3:40
Il résista à l’irrépressible jouissance qu’il me procura, ce n’était pas assez fort pour lui, pas encore, mais je comptais bien passer le cran au-dessus très bientôt. C'est alors qu'il me fit glisser le long de son corps avant de bondir de sa position nouvellement conquise pour me faire basculer à mon tour, dos contre le parquet froid, autant le dernier rempart masquant sa toute-puissance. Plantant ses dents dans la chair délicate de mon épaule, tel un félin pousser à bout par la faim, croquant sa gazelle enfin à sa portée.
Il écarta doucement mes hanches, se frayant un passage dans la vallée. J’empoignait fermement ses bras aux muscles saillants et luisants de sueur tandis qu’il élargissait l’horizon de mon plaisir, plantant son drapeau en terre inconnue pour la réclamer à sa gloire.
Il y allait tout en doucement, me faisant blêmir et gémir à chacun des assauts de ses reins magnifiquement exécuter. Pilonnant ma position, toujours plus humide qu’au coup précédent, toujours moins bruyante que l’explosion suivante. Tel un capitaine chevronné, il maniait la barre avec un talent rare, à croire qu’il était né pour ça.
Nos corps se mêlait l'un à l'autre dans un mouvement régulier et en même temps imprévisible, une danse infernale et humide. Je sentais cette sueur perler sur mes seins avant de jaillir après un impact de ses reins contre mes hanches.
On aime prêter aux russes d'avoir un cœur de glace et d'être aussi froides que cette dernière, mais c'est un mythe pour faire oublier à quel point nous aimons que l'on nous réchauffe. Cet homme fait vibrer l’ensemble de mon corps comme peu l’on fait avant lui et le feront sans doute après. Pour la première fois depuis bien des mois je me sens plus femme que jamais.
Il allait de plus en plus vite, comme pour arracher à sa proie davantage de cris pour satisfaire son instinct de chasseur avide de sensations fortes. Il était comme un forgeron et j’étais alors l’acier, chantant sous chacun de ses coups de marteau. Je me saisis de sa crinière d’une main tout en dévorant son pouce nonchalamment mis au bord de mes lèvres rouges. Humectant son doigt comme la fleur l’a fait pour sa manche, je plongeais mon regard vert incandescent dans le sien avant de relever la tête pour lui prendre la bouche. Je forçais le passage entre ses lèvres comme il forçait en ce moment les miens à chaque assaut. Le lobais mes jambes autour de sa taille pour accompagner son mouvement, comme pour lui suggérer d’y aller plus vite encore.
Ce félin fougueux me faisait feuler comme sa promise et je ne pouvais résister à l’ardeur qu’il mettait dans l’ouvrage. Il n’y avait aucun son perceptible si ce n’était le son de nos souffles courts et le bruit de la moiteur de la chair s’entrechoquant dans une saccade onirique.
J’ai décidé de céder et de le faire céder également. L’agrippant solidement je me rivais à sa bouche pour la faire mienne, imprégnant mon corps du sien. J’ai utilisé ma magie pour créer une boucle de quelques minutes. J’absorbe ses sensations avant de lui transmettre les miennes dans une étrange vague nous submergeant tous deux, ressentant le plaisir de l’un procurer par l’autre et inversement. Je sens le plaisir que procurent le contact de cette fleur écartant ses pétales chauds autour de sa virilité tout autant que je la sens les écarter. Nos sens se brouillent dans une union mystique au ressentit incroyablement indescriptible pour le commun des mortels. Le Diable lui-même nous envirait une sensation aussi euphorisante lors d’une danse qui lui rendrait pourtant hommage.
Lorsque je le sens chavirer à face à cette assaut mentale, émotionnel et physique, j’en profite pour nous faire basculer sur le côté, nos corps courant de concert. Je me redresse pour qu’il profite à nouveau de ma silhouette et puisse parcourir mes courbes généreux de ses mains. Qu’il puisse sentir la moiteur de ma peau de nacre ainsi rendu humide et salée comme si nous sortions de la mer. Je parcours son buste d’une main tout en donnant tout doucement le plus léger de mes coups de rein au-dessus de sa personne avant de lui faire empoigner l’un de ces fruits les plus ostensible de ma personne qu’il avait sciemment négligé depuis qu’il y avait sommairement gouté.
Que ce soit en Asie, en Inde ou en Egypte, on apprend beaucoup de chose grâce à la culture locale et ce n'était pas près de finir pour ce jeune garçon, j’avais encore bien des choses à lui montrer sur moi. Alors que mes hanches chaudes commençaient à se mouvoir dans des mouvement erratiques et amples, mon corps tout entier commençait à se mettre en branle, comme une légion de danseurs prêt à faire leur numéro. Cette caverne humide qui accueillait ce vigoureux occupant commença pour son plus grand plaisir à se contracter par intermittence, au gré ou au contre-pied de mes hanches dans un numéro sans doute inédit pour lui.
Je fis aller ces muscles pelviens dans une danse tout aussi infernale que ces coups de langue sur mon trésors solitaire, bien décidée que j’étais à lui rendre la pareil et pire encore. Je sentais sa virilité gonflée plus encore et jouait avec comme un pianiste laissant courir ses doigts sur le clavier, l’empoignant fermement sans la laisser sortir comme le rocher avec Excalibur. Bien encline à tous partager avec lui, je laissais s’abattre sur son visage ma poitrine avant de descendre et croiser une nouvelle fois son regard, un sourire taquin parant mes lèvres sanguines. Je l’embrassais fougueusement une nouvelle fois ne faisant une trêve dans ma danse ensorcelante pour rien au monde avant de mêler une nouvelle fois nos ressentis mutuel dans le but de nous rapprocher tout d’une extase que cette fois je le refuserais.
Je le sentis commencer à s’approcher du seuil de cette porte des contemplations mes reins et mes fesses claquant sur son corps, toujours en contrôlant cette caverne dans laquelle il avait voulu s’aventurer. Je décidais alors comme Arthur, de retirer l’épée de son rocher tout en lui souriant. J’étais du genre à vouloir savoir s’il était un adepte des marathons où si c’était un cowboy avec plus d’une balle dans son barillet.
Je parcouru son torse de baiser, m’arrêtant tout comme il l'avait fait sur ces îlots rose au milieu d'un muscle bombé par l’excitation avant d’en mordiller la surface. Je sentis sa turgescente virilité glisser doucement entre mes attributs féminins qu’il avait bien assez dégusté pour le moment, mes lèvres parcourant ses abdominaux à damner une sainte. Arrivant à l’orée de cette petite forêt, dominée par un piton rocheux que je m'apprêtais à gravir à l'aide de talentueux et délicats coups de langue. J’étais cette fois-ci la conquérante.
Je contemplai son sexe qui m’attirait irrésistiblement. Ce sexe dur, que de beauté sous mon regard avide ! avec ses veines, comme une icône rougissante. Je savais qu’il se dressait ainsi pour moi, qu’il se gonflait démesurément pour me séduire, qu’il se durcissait pour me fasciner, qu’il me parlait pour me captiver, et qu’il se faisait de braise pour m’attraper. Oui, c’était indéniable, ce sexe d’homme, avait tout dans sa forme, son aspect, sa couleur, son odeur, pour captiver une femme. Cette évidence criante me sautait aux yeux.
Un liquide translucide s’en échappa. Il brillait. Eclat d’une eau cristalline. Une larme du ciel perlait à son front lisse et rond comme une boule de billard. Une fente hypnotique s’offrait à moi. Je ne pus m’empêcher d’y poser mes lèvres, puis ma langue, pour goûter à cette perle nacrée. Quelle saveur !
Tout cela en onguent de douceur, s’échappait de son sexe, et m’envahissait la bouche. C’était une langueur océane qui venait à moi en effluves marins, avec ses embruns iodés, ses fruits de la mer, et tout son sel de l’océan. Tout se nappait sur la grève de mon amour. C’était le nectar suprême des dieux à ma bouche. Liquide séminal, liquide sublimissime, eau de la vie en mon port déployé. De nos voluptés conjuguées, créait en moi, un vertige, une ivresse profonde. Je ne pouvais contenir plus longtemps mon ardeur instinctive à aller jusqu’au bout de mon voyage, avec lui, ce sexe. J’avais ce désir d’aller encore plus loin. Tout cela allait crescendo. Je pompai ce magnifique dard. Je l’avalai au plus profond de ma gorge chaude et accueillante, le massant avec mes joues et ma langue en guettant ses derniers instants suppliciés.
Ce n’était fairplay de ma part, mais j’utilisais à nouveau ma magie pour lui faire revivre ma libération de l’instant précédent qu’il m’avait octroyé avec ses propres lèvres, tout en me nourrissant ici de son propre ressentis. Ne restait plus qu'à voir s'il n'avait qu'une seule cartouche ou tout un barillet prêt à cracher le feu.
Il écarta doucement mes hanches, se frayant un passage dans la vallée. J’empoignait fermement ses bras aux muscles saillants et luisants de sueur tandis qu’il élargissait l’horizon de mon plaisir, plantant son drapeau en terre inconnue pour la réclamer à sa gloire.
Il y allait tout en doucement, me faisant blêmir et gémir à chacun des assauts de ses reins magnifiquement exécuter. Pilonnant ma position, toujours plus humide qu’au coup précédent, toujours moins bruyante que l’explosion suivante. Tel un capitaine chevronné, il maniait la barre avec un talent rare, à croire qu’il était né pour ça.
Nos corps se mêlait l'un à l'autre dans un mouvement régulier et en même temps imprévisible, une danse infernale et humide. Je sentais cette sueur perler sur mes seins avant de jaillir après un impact de ses reins contre mes hanches.
On aime prêter aux russes d'avoir un cœur de glace et d'être aussi froides que cette dernière, mais c'est un mythe pour faire oublier à quel point nous aimons que l'on nous réchauffe. Cet homme fait vibrer l’ensemble de mon corps comme peu l’on fait avant lui et le feront sans doute après. Pour la première fois depuis bien des mois je me sens plus femme que jamais.
Il allait de plus en plus vite, comme pour arracher à sa proie davantage de cris pour satisfaire son instinct de chasseur avide de sensations fortes. Il était comme un forgeron et j’étais alors l’acier, chantant sous chacun de ses coups de marteau. Je me saisis de sa crinière d’une main tout en dévorant son pouce nonchalamment mis au bord de mes lèvres rouges. Humectant son doigt comme la fleur l’a fait pour sa manche, je plongeais mon regard vert incandescent dans le sien avant de relever la tête pour lui prendre la bouche. Je forçais le passage entre ses lèvres comme il forçait en ce moment les miens à chaque assaut. Le lobais mes jambes autour de sa taille pour accompagner son mouvement, comme pour lui suggérer d’y aller plus vite encore.
Ce félin fougueux me faisait feuler comme sa promise et je ne pouvais résister à l’ardeur qu’il mettait dans l’ouvrage. Il n’y avait aucun son perceptible si ce n’était le son de nos souffles courts et le bruit de la moiteur de la chair s’entrechoquant dans une saccade onirique.
J’ai décidé de céder et de le faire céder également. L’agrippant solidement je me rivais à sa bouche pour la faire mienne, imprégnant mon corps du sien. J’ai utilisé ma magie pour créer une boucle de quelques minutes. J’absorbe ses sensations avant de lui transmettre les miennes dans une étrange vague nous submergeant tous deux, ressentant le plaisir de l’un procurer par l’autre et inversement. Je sens le plaisir que procurent le contact de cette fleur écartant ses pétales chauds autour de sa virilité tout autant que je la sens les écarter. Nos sens se brouillent dans une union mystique au ressentit incroyablement indescriptible pour le commun des mortels. Le Diable lui-même nous envirait une sensation aussi euphorisante lors d’une danse qui lui rendrait pourtant hommage.
Lorsque je le sens chavirer à face à cette assaut mentale, émotionnel et physique, j’en profite pour nous faire basculer sur le côté, nos corps courant de concert. Je me redresse pour qu’il profite à nouveau de ma silhouette et puisse parcourir mes courbes généreux de ses mains. Qu’il puisse sentir la moiteur de ma peau de nacre ainsi rendu humide et salée comme si nous sortions de la mer. Je parcours son buste d’une main tout en donnant tout doucement le plus léger de mes coups de rein au-dessus de sa personne avant de lui faire empoigner l’un de ces fruits les plus ostensible de ma personne qu’il avait sciemment négligé depuis qu’il y avait sommairement gouté.
Que ce soit en Asie, en Inde ou en Egypte, on apprend beaucoup de chose grâce à la culture locale et ce n'était pas près de finir pour ce jeune garçon, j’avais encore bien des choses à lui montrer sur moi. Alors que mes hanches chaudes commençaient à se mouvoir dans des mouvement erratiques et amples, mon corps tout entier commençait à se mettre en branle, comme une légion de danseurs prêt à faire leur numéro. Cette caverne humide qui accueillait ce vigoureux occupant commença pour son plus grand plaisir à se contracter par intermittence, au gré ou au contre-pied de mes hanches dans un numéro sans doute inédit pour lui.
Je fis aller ces muscles pelviens dans une danse tout aussi infernale que ces coups de langue sur mon trésors solitaire, bien décidée que j’étais à lui rendre la pareil et pire encore. Je sentais sa virilité gonflée plus encore et jouait avec comme un pianiste laissant courir ses doigts sur le clavier, l’empoignant fermement sans la laisser sortir comme le rocher avec Excalibur. Bien encline à tous partager avec lui, je laissais s’abattre sur son visage ma poitrine avant de descendre et croiser une nouvelle fois son regard, un sourire taquin parant mes lèvres sanguines. Je l’embrassais fougueusement une nouvelle fois ne faisant une trêve dans ma danse ensorcelante pour rien au monde avant de mêler une nouvelle fois nos ressentis mutuel dans le but de nous rapprocher tout d’une extase que cette fois je le refuserais.
Je le sentis commencer à s’approcher du seuil de cette porte des contemplations mes reins et mes fesses claquant sur son corps, toujours en contrôlant cette caverne dans laquelle il avait voulu s’aventurer. Je décidais alors comme Arthur, de retirer l’épée de son rocher tout en lui souriant. J’étais du genre à vouloir savoir s’il était un adepte des marathons où si c’était un cowboy avec plus d’une balle dans son barillet.
Je parcouru son torse de baiser, m’arrêtant tout comme il l'avait fait sur ces îlots rose au milieu d'un muscle bombé par l’excitation avant d’en mordiller la surface. Je sentis sa turgescente virilité glisser doucement entre mes attributs féminins qu’il avait bien assez dégusté pour le moment, mes lèvres parcourant ses abdominaux à damner une sainte. Arrivant à l’orée de cette petite forêt, dominée par un piton rocheux que je m'apprêtais à gravir à l'aide de talentueux et délicats coups de langue. J’étais cette fois-ci la conquérante.
Je contemplai son sexe qui m’attirait irrésistiblement. Ce sexe dur, que de beauté sous mon regard avide ! avec ses veines, comme une icône rougissante. Je savais qu’il se dressait ainsi pour moi, qu’il se gonflait démesurément pour me séduire, qu’il se durcissait pour me fasciner, qu’il me parlait pour me captiver, et qu’il se faisait de braise pour m’attraper. Oui, c’était indéniable, ce sexe d’homme, avait tout dans sa forme, son aspect, sa couleur, son odeur, pour captiver une femme. Cette évidence criante me sautait aux yeux.
Un liquide translucide s’en échappa. Il brillait. Eclat d’une eau cristalline. Une larme du ciel perlait à son front lisse et rond comme une boule de billard. Une fente hypnotique s’offrait à moi. Je ne pus m’empêcher d’y poser mes lèvres, puis ma langue, pour goûter à cette perle nacrée. Quelle saveur !
Tout cela en onguent de douceur, s’échappait de son sexe, et m’envahissait la bouche. C’était une langueur océane qui venait à moi en effluves marins, avec ses embruns iodés, ses fruits de la mer, et tout son sel de l’océan. Tout se nappait sur la grève de mon amour. C’était le nectar suprême des dieux à ma bouche. Liquide séminal, liquide sublimissime, eau de la vie en mon port déployé. De nos voluptés conjuguées, créait en moi, un vertige, une ivresse profonde. Je ne pouvais contenir plus longtemps mon ardeur instinctive à aller jusqu’au bout de mon voyage, avec lui, ce sexe. J’avais ce désir d’aller encore plus loin. Tout cela allait crescendo. Je pompai ce magnifique dard. Je l’avalai au plus profond de ma gorge chaude et accueillante, le massant avec mes joues et ma langue en guettant ses derniers instants suppliciés.
Ce n’était fairplay de ma part, mais j’utilisais à nouveau ma magie pour lui faire revivre ma libération de l’instant précédent qu’il m’avait octroyé avec ses propres lèvres, tout en me nourrissant ici de son propre ressentis. Ne restait plus qu'à voir s'il n'avait qu'une seule cartouche ou tout un barillet prêt à cracher le feu.
“Basic Instinct”
:copyright: Etilya sur DK RPG
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Ven 30 Aoû 2019 - 23:02
Je n'étais plus vraiment dans mes dispositions, comme si ma propre âme s'arrachait de mon enveloppe, trop honteuse devant cet ébat perfide. Damné par ce démon qui m'aguichait avec puissance, j'investissais le chemin de sa grotte avec hargne pour en dérober tous les recoins, même les plus reculés. Mon esprit faisait naufrage sur d'autres rives dont je ne pouvais même pas imaginer les bancs de sable. Ce n'était pas faute d'avoir eu la possibilité de goûter à plusieurs fruits : celui-là restait mon favori. Cette armoire de glace fondait à mesure que j'y déclarais un incendie qui carbonisait ses tréfonds. Dans une course effrénée, je perpétuais ma dominance dans l'exaltation tandis que son buste se soulevait pour accompagner mes mouvements dans une cadence toujours plus intimidante.
Comme un chasseur qui appuierait frénétiquement sur la gâchette pour tirer ses cartouches, je l’éreintais dans une fatigue possessive et déroutante. Les joues roses, elle répondit à ma fièvre colossale en agrippant ma tignasse d'ébène pour offrir toujours plus d'impulsion à mon agressivité animale. Le son de ses gémissements sonnaient comme une douce mélodie hypnotique qui encourageaient mes prouesses athlétiques. Elle salissait ma bouche de son rouge à lèvres avec hargne, faisant frissonner nos deux langues avec harmonie. Irrésistible, elle me rendit captif de ses jambes pour me condamner à marquer davantage les collisions qui ne manqueraient pas de faire trembler la terre. Totalement dévoué à la tâche et nourri par les sensations qu'elle décuplait en moi, je ne pouvais faire autrement que la percuter comme un navire rencontrerait un glacier dans un fracas assourdissant. Je faisais se lamenter sa rose délicate qui me suppliait d'engouffrer ma matraque dans une prière larmoyante, tandis qu'elle ne lâchait pas mes lèvres. Je la battais tel un étalon enragé dans des secousses répétées et intrusives, dopé par le poison qui courait mes pulsions.
Mais l'esprit du malin projeta son ombre à nouveau sur ma conscience pour me faire goûter les slaves de plaisir irrépressible que je lui faisais avaler frénétiquement. Je déglutis face à son joug savoureux qui m'arracha un cri rauque au fond de ma gorge et me poussa un peu plus à l'orée de mes limites. C'était bien trop pour un seul homme. La tentatrice dans un élan calculé, en profita pour nous faire rouler sur le côté tandis que je perdais complètement les pédales sous la tension injectée dans mes veines par son courroux. Elle reprit alors les rennes de la situation pendant qu'elle m'invitait à voyager sur ses délicates courbes. Son corps, planté sur ma virilité se mouvait dans une cadence lente comme pour me punir de mon impatience de jeune mâle désobéissant. Elle me faisait saliver plus que de rêve et mes mains s'alignèrent sur ses hanches qui continuaient de surfer sur mon naufrage. Je pinçais ma lèvre inférieure avec sournoiserie et m'accapara ses deux collines de mes grandes mains à sa requête, que je pressais pour en soutirer toute la satisfaction que pouvait procurer ses coussins. J'en vins à me redresser vivement pour suçoter ses extrémités frétillantes, exerçant une pression maîtrisée du bout la langue, comme un veau téterait les mamelles de sa mère innocemment.
Je sentais son paradis se chambouler sur mon tronc, comme s'il tentait de se fusionner à lui pour ne plus jamais avoir à le quitter. Sa muqueuse se contractant chaudement pour en épouser les écorces occupées à la pourfendre. Hystérique, je ne pouvais que la serrer contre moi pour ressentir toute la puissance de ces vibrations qu'elle provoquait telle une tempête infernale au creux de mes reins. Les parois de sa tanière s'offusquant davantage dans une intermittence de soubresauts indéfinissables qui pressaient ma chandelle pour en faire couler la cire. Mon noyau se gonflait dans sa cavité pour en occuper toute la place qu'il ne désirait pas laisser à d'autres, longeant ses murs souples pour y écraser sa sa dure volonté. Son regard aiguisé se planta dans le mien avec ce sourire dont je devinais ses intentions qui n'allaient pas tarder à laisser s'abattre ses caprices. La sorcière s'empressa de capturer mes lèvres et me maltraita de son sort magistral qui tendait à me faire perdre ma propre identité. Les limites du réel et de l'illusion se confondaient intimement dans mon crâne, alors qu'elle maintenait sa malédiction qui faisait battre furieusement mon cœur entre ses cuisses. Une pluie de couteaux se mit à pleuvoir sur mon corps sous une tension affolante, me partageant sa passion mêlée à mon ardeur. Pris en otage par son pouvoir, sans possibilité de me débattre, je me laissais emporter dans cette crise décadente qui signerait bientôt ma perte. Je grondais de faim et d'agonie, dans une cruelle harmonie qui confondait extase et douleur. J'apercevais le soleil se lever à l'horizon de son lieu sacré, pour inonder sa montagne de ses traits lumineux.
Mais d'un sourire perfide, cette calculatrice se redressa avec fourberie pour me mettre davantage à l'épreuve. Après tout, je récoltais ce que je semais. Avec sensualité, sa bouche glissa sur mon torse gonflé par ma respiration saccadée, mesurant le châtiment qu'elle s'apprêtait à m'infliger. Dans un éclat de lucidité, j'avais envie de lui hurler d'arrêter tant le défi lancé me paraissait insurmontable. J'arrivais clairement au seuil de mon contrôle, jamais personne ne m'avait poussé dans ces derniers retranchements. Le python avait déjà commencé par cracher légèrement son venin et il ne lui en faudrait plus beaucoup pour lâcher la cargaison. Cependant, mon corps avait coupé toute communication avec mon cerveau embrumé, qui se laissait complètement aller à son indécence. Je n'osais même pas soulever ma tête pour l'observer arpenter ce chapiteau qui n'appelait que sa sournoiserie et son expertise. Non. Je ne pouvais que me soustraire à cette souffrance délicieuse dans un râle irréel tandis que sa douce langue frôlait d'abord timidement mon membre frémissant avec colère avant de l'engouffrer. Je ne pouvais pas retenir davantage mon emballement fou à lier. Je serrais très fort les dents alors que sa bouche travaillait son œuvre à la perfection, ma verge se durcissant inlassablement sous son commandement. Je restais cloué à terre, quand mon agonie m'élevait bien haut dans le ciel. Ma vue se voilait dans un flou total, tandis que je vociférais sur ma faiblesse à exploser sur ses atouts buccaux. J'étais accablé par sa démence à astiquer sauvagement mon manche, manié avec exactitude pour m'emporter sur des territoires inédits. Sa bouche de miel était un supplice pour le commun des mortels et j'en payais le prix de ma dignité. Largement effarouché, j'agrippais ses cheveux de blé doré pour l'inciter à ne se concentrer que sur ma virilité sans lui laisser le loisir de scruter mon visage déformé par ma jouissance. La sueur perlait sur mon front et ma bouche entrouverte laissait échapper des soupirs de détresse que je ne savais pas taire. Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, un flot rugissant me terrassa avec injustice, me faisant revivre sans aucune pitié la force de nos engouements précédents.
J'arrivais au bord du gouffre, saisi à point par la divagation. Toutefois, je ne me permettais pas de faillir en admettant ma défaite. Dans un éclair de résistance surhumain, je perforais ma langue en y plantant furieusement mes dents pour échapper un temps soit peu à son envoûtement. Le sang ne tarda pas à s'écouler de ma muqueuse abîmée, tandis qu'un éclat de douleur perça pour me faire revenir furtivement. Je profitai de ce faible rayon de lucidité pour me redresser et attraper sa mâchoire d'un geste ferme pour l'attirer brutalement à ma bouche habillée d'un liquide aussi rouge que son rouge à lèvres. Son corps réchauffé par sa gourmandise, frôlait maintenant légèrement le mien. J'en profitai alors pour lui offrir un baiser embrasé, mêlé de salive et de sang coagulé, avant de la fixer de mon œil noir d'attirance pendant qu'elle se tenait assez près de mon visage. Ma malice se traduit dans un léger froncement de sourcil, signalant que je ne comptais pas craquer tout de suite. C'était trop bon pour qu'elle me quitte aussi vite.
Je me mis alors debout lentement pour la surplomber de ma taille et retourner les paramètres à mon avantage, mon sexe tendu à hauteur de sa tête qui ne demandait qu'à retourner dans son fourreau. La table n'étant pas loin, mes deux mains prenaient appui sur la surface lisse alors que son crâne était pris en étau entre mon buste et le meuble. A genoux devant moi, dans une position suppliante, je pris soin de mettre mon pied entre ses cuisses et chatouilla l'entrée de ses curiosités de mon orteil pour ne pas la laisser se refroidir. Dans de petits cercles disciplinés, je ravivais les braises de son petit bourgeon florissant alors que je me tenais dressé au dessus d'elle. Je rapprochais alors mon bassin de son visage, ne lui laissant pas d'autre choix que d'enfourner sa sucrerie.
Comme un chasseur qui appuierait frénétiquement sur la gâchette pour tirer ses cartouches, je l’éreintais dans une fatigue possessive et déroutante. Les joues roses, elle répondit à ma fièvre colossale en agrippant ma tignasse d'ébène pour offrir toujours plus d'impulsion à mon agressivité animale. Le son de ses gémissements sonnaient comme une douce mélodie hypnotique qui encourageaient mes prouesses athlétiques. Elle salissait ma bouche de son rouge à lèvres avec hargne, faisant frissonner nos deux langues avec harmonie. Irrésistible, elle me rendit captif de ses jambes pour me condamner à marquer davantage les collisions qui ne manqueraient pas de faire trembler la terre. Totalement dévoué à la tâche et nourri par les sensations qu'elle décuplait en moi, je ne pouvais faire autrement que la percuter comme un navire rencontrerait un glacier dans un fracas assourdissant. Je faisais se lamenter sa rose délicate qui me suppliait d'engouffrer ma matraque dans une prière larmoyante, tandis qu'elle ne lâchait pas mes lèvres. Je la battais tel un étalon enragé dans des secousses répétées et intrusives, dopé par le poison qui courait mes pulsions.
Mais l'esprit du malin projeta son ombre à nouveau sur ma conscience pour me faire goûter les slaves de plaisir irrépressible que je lui faisais avaler frénétiquement. Je déglutis face à son joug savoureux qui m'arracha un cri rauque au fond de ma gorge et me poussa un peu plus à l'orée de mes limites. C'était bien trop pour un seul homme. La tentatrice dans un élan calculé, en profita pour nous faire rouler sur le côté tandis que je perdais complètement les pédales sous la tension injectée dans mes veines par son courroux. Elle reprit alors les rennes de la situation pendant qu'elle m'invitait à voyager sur ses délicates courbes. Son corps, planté sur ma virilité se mouvait dans une cadence lente comme pour me punir de mon impatience de jeune mâle désobéissant. Elle me faisait saliver plus que de rêve et mes mains s'alignèrent sur ses hanches qui continuaient de surfer sur mon naufrage. Je pinçais ma lèvre inférieure avec sournoiserie et m'accapara ses deux collines de mes grandes mains à sa requête, que je pressais pour en soutirer toute la satisfaction que pouvait procurer ses coussins. J'en vins à me redresser vivement pour suçoter ses extrémités frétillantes, exerçant une pression maîtrisée du bout la langue, comme un veau téterait les mamelles de sa mère innocemment.
Je sentais son paradis se chambouler sur mon tronc, comme s'il tentait de se fusionner à lui pour ne plus jamais avoir à le quitter. Sa muqueuse se contractant chaudement pour en épouser les écorces occupées à la pourfendre. Hystérique, je ne pouvais que la serrer contre moi pour ressentir toute la puissance de ces vibrations qu'elle provoquait telle une tempête infernale au creux de mes reins. Les parois de sa tanière s'offusquant davantage dans une intermittence de soubresauts indéfinissables qui pressaient ma chandelle pour en faire couler la cire. Mon noyau se gonflait dans sa cavité pour en occuper toute la place qu'il ne désirait pas laisser à d'autres, longeant ses murs souples pour y écraser sa sa dure volonté. Son regard aiguisé se planta dans le mien avec ce sourire dont je devinais ses intentions qui n'allaient pas tarder à laisser s'abattre ses caprices. La sorcière s'empressa de capturer mes lèvres et me maltraita de son sort magistral qui tendait à me faire perdre ma propre identité. Les limites du réel et de l'illusion se confondaient intimement dans mon crâne, alors qu'elle maintenait sa malédiction qui faisait battre furieusement mon cœur entre ses cuisses. Une pluie de couteaux se mit à pleuvoir sur mon corps sous une tension affolante, me partageant sa passion mêlée à mon ardeur. Pris en otage par son pouvoir, sans possibilité de me débattre, je me laissais emporter dans cette crise décadente qui signerait bientôt ma perte. Je grondais de faim et d'agonie, dans une cruelle harmonie qui confondait extase et douleur. J'apercevais le soleil se lever à l'horizon de son lieu sacré, pour inonder sa montagne de ses traits lumineux.
Mais d'un sourire perfide, cette calculatrice se redressa avec fourberie pour me mettre davantage à l'épreuve. Après tout, je récoltais ce que je semais. Avec sensualité, sa bouche glissa sur mon torse gonflé par ma respiration saccadée, mesurant le châtiment qu'elle s'apprêtait à m'infliger. Dans un éclat de lucidité, j'avais envie de lui hurler d'arrêter tant le défi lancé me paraissait insurmontable. J'arrivais clairement au seuil de mon contrôle, jamais personne ne m'avait poussé dans ces derniers retranchements. Le python avait déjà commencé par cracher légèrement son venin et il ne lui en faudrait plus beaucoup pour lâcher la cargaison. Cependant, mon corps avait coupé toute communication avec mon cerveau embrumé, qui se laissait complètement aller à son indécence. Je n'osais même pas soulever ma tête pour l'observer arpenter ce chapiteau qui n'appelait que sa sournoiserie et son expertise. Non. Je ne pouvais que me soustraire à cette souffrance délicieuse dans un râle irréel tandis que sa douce langue frôlait d'abord timidement mon membre frémissant avec colère avant de l'engouffrer. Je ne pouvais pas retenir davantage mon emballement fou à lier. Je serrais très fort les dents alors que sa bouche travaillait son œuvre à la perfection, ma verge se durcissant inlassablement sous son commandement. Je restais cloué à terre, quand mon agonie m'élevait bien haut dans le ciel. Ma vue se voilait dans un flou total, tandis que je vociférais sur ma faiblesse à exploser sur ses atouts buccaux. J'étais accablé par sa démence à astiquer sauvagement mon manche, manié avec exactitude pour m'emporter sur des territoires inédits. Sa bouche de miel était un supplice pour le commun des mortels et j'en payais le prix de ma dignité. Largement effarouché, j'agrippais ses cheveux de blé doré pour l'inciter à ne se concentrer que sur ma virilité sans lui laisser le loisir de scruter mon visage déformé par ma jouissance. La sueur perlait sur mon front et ma bouche entrouverte laissait échapper des soupirs de détresse que je ne savais pas taire. Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, un flot rugissant me terrassa avec injustice, me faisant revivre sans aucune pitié la force de nos engouements précédents.
J'arrivais au bord du gouffre, saisi à point par la divagation. Toutefois, je ne me permettais pas de faillir en admettant ma défaite. Dans un éclair de résistance surhumain, je perforais ma langue en y plantant furieusement mes dents pour échapper un temps soit peu à son envoûtement. Le sang ne tarda pas à s'écouler de ma muqueuse abîmée, tandis qu'un éclat de douleur perça pour me faire revenir furtivement. Je profitai de ce faible rayon de lucidité pour me redresser et attraper sa mâchoire d'un geste ferme pour l'attirer brutalement à ma bouche habillée d'un liquide aussi rouge que son rouge à lèvres. Son corps réchauffé par sa gourmandise, frôlait maintenant légèrement le mien. J'en profitai alors pour lui offrir un baiser embrasé, mêlé de salive et de sang coagulé, avant de la fixer de mon œil noir d'attirance pendant qu'elle se tenait assez près de mon visage. Ma malice se traduit dans un léger froncement de sourcil, signalant que je ne comptais pas craquer tout de suite. C'était trop bon pour qu'elle me quitte aussi vite.
Je me mis alors debout lentement pour la surplomber de ma taille et retourner les paramètres à mon avantage, mon sexe tendu à hauteur de sa tête qui ne demandait qu'à retourner dans son fourreau. La table n'étant pas loin, mes deux mains prenaient appui sur la surface lisse alors que son crâne était pris en étau entre mon buste et le meuble. A genoux devant moi, dans une position suppliante, je pris soin de mettre mon pied entre ses cuisses et chatouilla l'entrée de ses curiosités de mon orteil pour ne pas la laisser se refroidir. Dans de petits cercles disciplinés, je ravivais les braises de son petit bourgeon florissant alors que je me tenais dressé au dessus d'elle. Je rapprochais alors mon bassin de son visage, ne lui laissant pas d'autre choix que d'enfourner sa sucrerie.
Invité
Invité
Sam 31 Aoû 2019 - 11:21
C’est au bord du gouffre que je l’ai conduit et pour dans un dernier sursaut, alors qu’il est allongé, monsieur se refuse à moi. D’un geste aussi rapide que perfide, il m’arracha à ma gourmandise bombée et succulant pour plonge ma langue avec la sienne dans une nouvelle danse. C’est avec un goût ferreux en plus du reste que je compris ce qu’il avait dû s’infliger pour ne pas remplir ma bouche d’un délicieux nectar crémeux.
Je pouvais lire en lui comme dans un livre ouvert, ne perdant aucune miette de ses rêveries et avis sur la situation. Le pauvre petit avait peur que je ne m’en aille sous de plus auguste horizon. N’avait-il pas compris que pour moi tout ceci n’avait été que l’apéritif et que j’avais à l’idée d’entrer plus profondément dans le vif ? Soit, pour cette fois je lui laissais la main, de ce sourire mutin invisible je m’amusais tandis qu’en me toisant de toute sa splendeur, comme le rapace qu’il il me signifiait l’impératif de me remettre au labeur.
Je me saisis à nouveau de son sexe, ses veines saillantes alimentant ce canon au bord de l’explosion, dont l’embouchure était plus grande encore que l’espoir que j’avais eu avant d’en venir à bout. Tandis qu’il avançait son bassin, il essayait de garder au chaud la pâtisserie de toutes ses envies, sa friandise miellée qui n’attend que lui. Du bout de ses orteils aguerris, il décrivait des cercles qui ébranlait légèrement ma volonté, bien qu’eus presque envie de lui montrer, ce que la signifiait qu’être maître avec ses pieds. Du bout des lèvres je venais à la rencontre de ce vieil ami, ce bouchon de champagne qui demandait qu’à sauter. Après ce refus qu’il m’avait fait, je pouvais bien le faire attendre nerveusement, faisant monter à nouveau, petit à petit, sa fièvre intérieure.
D’une main faussement timide j’allais tâter de ces jumelles suspendues, durcies de plaisir pour ma personne. Malgré ces deux réservoirs à poudre prêt à envoyer de quoi faire cracher le feu au canon, je les massais délicatement entre mes doigts agiles comme s’il s’agissait du plus précieux des trésors.
Bien décidée que j’étais à le faire languir un peu plus, je planquais son manche contre son torse, pour révéler à ma splendeur ce que je tâtais du bout des doigts. Amenant ma langue pour les goûter, je ne pus résister à les aspirer doucement comme on le ferait avec un bonbon. Parsemant l’endroit de baiser, je recueillais le sel témoignant de notre labeur passé. Remontant son instrument de plaisir avec ma langue comme on le fait avec une glace savoureuse je parvins au bout de ma sucrerie que je commençais doucement à glisser entre mes lèvres. De mon autre main j’empoignai l’engin comme on le fait avec une dague pour suriner ma bouche sans aucune pitié. Il tremblait de plaisir je le sentais bien et cela ne fait que me donner davantage d’entrain à la tâche bien décidée à ce qu’il se lâche.
Lorsque ses cris de plaisir annoncèrent l’inéducable, j’enfournais cette sucrerie en mon sein jusqu’à taquiner du bout de la lèvre cette main qui n’a jamais boucher de ces boulets de canon. Je voulais qu’il me voie, lui qui me voulait à genou pour ma pitance, croisant son regard du mieux pour lui montrer ma déférence. Ce regard d’émeraude toujours prêt je dévorais sa passion pour la mêlée à la mienne et la mienne à la sienne.
Soudain, ce sexe nourricier déchargea en une poussée vertigineuse. Un tsunami gagna tout mon être. Tout m’envahit. Tout s’infiltra en une tumultueuse liquéfaction. Tout s’enfonça dans les profondeurs de mes abysses. J’étais devenue, d’un coup, cette habitante des fonds marins, cette sirène noyée dans une trombe diluvienne. Une coulée brûlante envahit ma gorge. Un liquide visqueux, comme de la soude caustique, descendit lentement dans mon tube digestif. Je siphonnai ce dard crachant ce délicieux venin jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte en son sein de ce poison qui était maintenant en moi. Après ça je le lustrais avec ma langue comme on s’occupe d’une arme ayant servi. Il fallait prendre soin de se fusil déchargé le temps que son soldat soit de nouveau d’attaque et ne se retrouve pas désarmé.
Cela offrait un repos du guerrier plus que mérité à ce brave homme qui avait osé enfin se libérer et noyer ma gorge de son nectar exquis. Je remontais doucement, baiser après baiser, débutant mon périple en haut de son sommet avant de descendre jusqu’au creux de ses cuisses, puis remonter encore et encore, passant par ses abdominaux formidable, enserrant son canon dans mes obus. Je pris soin de lui comme un fleuve entre deux montagnes, m’aidant de mes mains pour lui prodiguer un doux massage seins et sexe réunit le temps d’une délicate symbiose.
Puis c’est ma poitrine qui prit le même chemin, suivant ma bouche à bonne distant, laissant le rôle de tuteur pour cette matraque à ma main délicate.
Plongeant mon regard dans le sien, je scellai nos bouches à nouveau d’un curieux baiser, à l’arrière-goût empoissonné. Son sexe dans ma main, j’avais la crosse souveraine dépourvu de pouvoir pour le moment, attendant le second souffle de son propriétaire authentique. Je laissais danser ma langue avec la sienne, partageant avec lui la passion qui me brule les entrailles, l’envie irrépressible de poursuivre cet élan sulfureux. Le message était clair maintenant, passant ma langue sur mes lèvres pour lui envoyer le doux message “J’en veux plus”.
Partant de là j’avais envie de le tenter un peu, pour attiser les braises de passion qui ne tarderait pas à redevenir un brasier consumant la mienne. Je voulais lui montrer l’étendu de ma grande souplesse en faisant un grand écran debout contre son corps afin de lui ma fleur s’ouvrir, appelant l’abeille à venir la butiner. Là, tout près, son manche dans ma main, je sentais l’excitation qui commençait à habiter à nouveau cet engin. Je collais ma fleur à son corps, inondant son bas ventre de mes muqueuses, tentatrice devant l’éternelle attendant qu’il ne soit vaillant à nouveau. Frottant son sexue contre le mien, j’en vins à écarter doucement ces quelques pétales miellés pour son plus grand frisson et le mien.
Puis je changeais d’idée, sentant qu’il est bientôt mur pour recommencer. Je décidais de m’allonger sur la table, poitrine contre celle-ci et les jambes écartées. Jambes droites et bas du dos cambré, je lui offrais une vue des plus alléchante. Je n’avais pas pour habitude d’adopter une aussi soumise position, mais il a su me conquérir et c’était une juste récompense que je lui offrais. Prenant ces deux demies lunes d’ivoires qui lui faisaient de l’oeil, je pris soin de les étirer doucement pour révéler ces deux cavernes à explorer s’offrant à lui. Cette ivresse pécheresse, commence à revenir dans nos esprits à tout et il n’était plus temps de faire comme si je n’étais pas sa chose dont il pouvait disposer à sa guise.
Je pouvais lire en lui comme dans un livre ouvert, ne perdant aucune miette de ses rêveries et avis sur la situation. Le pauvre petit avait peur que je ne m’en aille sous de plus auguste horizon. N’avait-il pas compris que pour moi tout ceci n’avait été que l’apéritif et que j’avais à l’idée d’entrer plus profondément dans le vif ? Soit, pour cette fois je lui laissais la main, de ce sourire mutin invisible je m’amusais tandis qu’en me toisant de toute sa splendeur, comme le rapace qu’il il me signifiait l’impératif de me remettre au labeur.
Je me saisis à nouveau de son sexe, ses veines saillantes alimentant ce canon au bord de l’explosion, dont l’embouchure était plus grande encore que l’espoir que j’avais eu avant d’en venir à bout. Tandis qu’il avançait son bassin, il essayait de garder au chaud la pâtisserie de toutes ses envies, sa friandise miellée qui n’attend que lui. Du bout de ses orteils aguerris, il décrivait des cercles qui ébranlait légèrement ma volonté, bien qu’eus presque envie de lui montrer, ce que la signifiait qu’être maître avec ses pieds. Du bout des lèvres je venais à la rencontre de ce vieil ami, ce bouchon de champagne qui demandait qu’à sauter. Après ce refus qu’il m’avait fait, je pouvais bien le faire attendre nerveusement, faisant monter à nouveau, petit à petit, sa fièvre intérieure.
D’une main faussement timide j’allais tâter de ces jumelles suspendues, durcies de plaisir pour ma personne. Malgré ces deux réservoirs à poudre prêt à envoyer de quoi faire cracher le feu au canon, je les massais délicatement entre mes doigts agiles comme s’il s’agissait du plus précieux des trésors.
Bien décidée que j’étais à le faire languir un peu plus, je planquais son manche contre son torse, pour révéler à ma splendeur ce que je tâtais du bout des doigts. Amenant ma langue pour les goûter, je ne pus résister à les aspirer doucement comme on le ferait avec un bonbon. Parsemant l’endroit de baiser, je recueillais le sel témoignant de notre labeur passé. Remontant son instrument de plaisir avec ma langue comme on le fait avec une glace savoureuse je parvins au bout de ma sucrerie que je commençais doucement à glisser entre mes lèvres. De mon autre main j’empoignai l’engin comme on le fait avec une dague pour suriner ma bouche sans aucune pitié. Il tremblait de plaisir je le sentais bien et cela ne fait que me donner davantage d’entrain à la tâche bien décidée à ce qu’il se lâche.
Lorsque ses cris de plaisir annoncèrent l’inéducable, j’enfournais cette sucrerie en mon sein jusqu’à taquiner du bout de la lèvre cette main qui n’a jamais boucher de ces boulets de canon. Je voulais qu’il me voie, lui qui me voulait à genou pour ma pitance, croisant son regard du mieux pour lui montrer ma déférence. Ce regard d’émeraude toujours prêt je dévorais sa passion pour la mêlée à la mienne et la mienne à la sienne.
Soudain, ce sexe nourricier déchargea en une poussée vertigineuse. Un tsunami gagna tout mon être. Tout m’envahit. Tout s’infiltra en une tumultueuse liquéfaction. Tout s’enfonça dans les profondeurs de mes abysses. J’étais devenue, d’un coup, cette habitante des fonds marins, cette sirène noyée dans une trombe diluvienne. Une coulée brûlante envahit ma gorge. Un liquide visqueux, comme de la soude caustique, descendit lentement dans mon tube digestif. Je siphonnai ce dard crachant ce délicieux venin jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte en son sein de ce poison qui était maintenant en moi. Après ça je le lustrais avec ma langue comme on s’occupe d’une arme ayant servi. Il fallait prendre soin de se fusil déchargé le temps que son soldat soit de nouveau d’attaque et ne se retrouve pas désarmé.
Cela offrait un repos du guerrier plus que mérité à ce brave homme qui avait osé enfin se libérer et noyer ma gorge de son nectar exquis. Je remontais doucement, baiser après baiser, débutant mon périple en haut de son sommet avant de descendre jusqu’au creux de ses cuisses, puis remonter encore et encore, passant par ses abdominaux formidable, enserrant son canon dans mes obus. Je pris soin de lui comme un fleuve entre deux montagnes, m’aidant de mes mains pour lui prodiguer un doux massage seins et sexe réunit le temps d’une délicate symbiose.
Puis c’est ma poitrine qui prit le même chemin, suivant ma bouche à bonne distant, laissant le rôle de tuteur pour cette matraque à ma main délicate.
Plongeant mon regard dans le sien, je scellai nos bouches à nouveau d’un curieux baiser, à l’arrière-goût empoissonné. Son sexe dans ma main, j’avais la crosse souveraine dépourvu de pouvoir pour le moment, attendant le second souffle de son propriétaire authentique. Je laissais danser ma langue avec la sienne, partageant avec lui la passion qui me brule les entrailles, l’envie irrépressible de poursuivre cet élan sulfureux. Le message était clair maintenant, passant ma langue sur mes lèvres pour lui envoyer le doux message “J’en veux plus”.
Partant de là j’avais envie de le tenter un peu, pour attiser les braises de passion qui ne tarderait pas à redevenir un brasier consumant la mienne. Je voulais lui montrer l’étendu de ma grande souplesse en faisant un grand écran debout contre son corps afin de lui ma fleur s’ouvrir, appelant l’abeille à venir la butiner. Là, tout près, son manche dans ma main, je sentais l’excitation qui commençait à habiter à nouveau cet engin. Je collais ma fleur à son corps, inondant son bas ventre de mes muqueuses, tentatrice devant l’éternelle attendant qu’il ne soit vaillant à nouveau. Frottant son sexue contre le mien, j’en vins à écarter doucement ces quelques pétales miellés pour son plus grand frisson et le mien.
Puis je changeais d’idée, sentant qu’il est bientôt mur pour recommencer. Je décidais de m’allonger sur la table, poitrine contre celle-ci et les jambes écartées. Jambes droites et bas du dos cambré, je lui offrais une vue des plus alléchante. Je n’avais pas pour habitude d’adopter une aussi soumise position, mais il a su me conquérir et c’était une juste récompense que je lui offrais. Prenant ces deux demies lunes d’ivoires qui lui faisaient de l’oeil, je pris soin de les étirer doucement pour révéler ces deux cavernes à explorer s’offrant à lui. Cette ivresse pécheresse, commence à revenir dans nos esprits à tout et il n’était plus temps de faire comme si je n’étais pas sa chose dont il pouvait disposer à sa guise.
Etilya sur DK RPG
Invité
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Dim 1 Sep 2019 - 20:51
Comme une enfant, à qui on arracherait sa sucette du bec, elle entreprit de rejoindre jalousement
son bâton enchanté et de repartir sur une fière cadence alors que je la surplombais de mon buste. Mais je sentais qu'elle avait consciemment ralenti sur le rythme, pour davantage soutirer ma soumission aux commissures de ses lèvres et clairement, punir mon affront rebelle. Ma patience fut mise une nouvelle fois à rude épreuve, soufflée comme une traînée de poudre, alors que toute ma flotte n'attendait que d'arriver à bon port. Mais après tout, je l'avais bien mérité. Je ne pouvais que me rendre coupable de mon propre sort, lui laissant le bon vouloir de ma sainte libération.
Ses mains vinrent ensuite narguer mes deux sphères qui n'en pouvaient plus sous ses caresses fatales à ma cargaison, prête à craquer dans une pression phénoménale. Son toucher délicat suffisait à me faire vriller tandis qu'elle dégagea le terrain en soulevant mon attribut viril. Elle poursuivit sa sinistre sentence avec habilité, manquant de me faire chanceler de vibrations terribles. Je la sentais gober ces deux noix rendues rigides par sa sauce fouettée de sa bouche. Cette douleur intenable où le barrage ne demandait qu'à céder dans un tsunami, commençait à envahir ma volonté d'inonder le paysage. Et ce fut d'autant pire quand madame changea ses projets pour venir râper sa langue sinueuse sur l'écorce de ce tronc pour venir y téter la sève en son bout qui s'en écoulait. Elle se saisit ensuite de cette matraque aussi solide que le fer de ses doigts agiles qui se mouvaient avec insistance autour de ma branche. Elle serrait, elle tournait, elle maltraitait pour en faire sortir tout son jus âcre sans vouloir en perdre une seule larme. Je dus m'appuyer fermement sur le rebord de cette foutue table pour que mes muscles tétanisés ne me fassent pas flancher. Je tentais vainement de résister à cette décadence mais mes cris rauques et haletants trahissaient mon incapacité à me contenir davantage.
Un frôlement imperceptible me fit pencher la tête dans sa direction alors que son regard était ancré dans le mien, faisant de moi le grand témoin de sa déchéance. Un autre éclair émeraude dans sa rétine sonna son jugement sévère. Cette obscénité sans bornes eut soudainement raison de moi et j'explosais dans un tumulte de chaudes cascades dévalant les pentes de sa trachée. Comme un ange pleurant sur sa langue pour l'inonder de ses tendres espoirs réalisés, je faisais pleuvoir ma fertilité en son sein. Je me mis à déglutir sous l'ivresse de ce sacrilège solennel qu'elle engloutissait avec une miséricorde affamée. Un enivrement total me secoua de convulsions délicieuses, tandis qu'elle s'occupait de faire disparaître les preuves de mon péché. Elle se nourrissait de ma semence, comme on boirait le corps du Christ à la coupe pour laver notre perversion bestiale.
A cet instant, déchargé de ma culpabilité, je réussis à reprendre un peu plus de contenance et parvint à canaliser plus ou moins ses flammes qui me dévoraient. Mais ma peine était loin d'être terminée. Avec douceur, elle suspendit le temps au dessus de nos têtes et s'acheta un billet pour le repos en visitant avec soin le creux de mes cuisses pour revenir à mes plaquettes toujours aussi bombées. Ses deux vallées enserrèrent mon arc fatigué pour le masser de ses tendres et voluptueux nuages pour lui redonner du courage. A ce titre, mon palpitant revint à la normale alors qu'elle capturait mes lèvres de sa bouche aux saveurs étranges. Goût de sel fin, âcre, parsemé de fer. Sa main, restée posée sur mon calibre, lui soufflait discrètement son souhait de se recharger avant une autre bataille qui promettait autant que la première. Je cherchais sa langue de la mienne endolorie, pour en apaiser la cicatrice, et je la trouvais, engourdie par des désirs plus éprouvants encore.
Tentatrice du diable, elle projeta alors sa toile de soie trempée par la sueur de nos feux chatoyants, sur mon torse pour me faire comprendre qu'il lui en faudrait plus. Son joyau scintilla avec nonchalance en embrassant mon entre jambe avec envie, alors que ses lèvres humides réclamaient mon otage. Mon soldat répondit présent à son appel muet, prêt à regagner le front. Mon œil redevint aussi noir que ses ténèbres, alors que je renaissais de mes cendres pour agripper ses hanches.
Puis sans que je ne comprenne, elle détourna son buste de mon corps brûlant d'agonie pour aller s'allonger sur la table de tout son long et m'offrir une vue imprenable sur ses maléfices. Je ne pouvais être qu'étonné par cette démonstration scandaleuse, mais qui me faisait haleter comme un chien de la casse. Sournoisement, je m'approchais d'un pas lent en posant à peine mes reins contre ses deux sublimes disques galbés.
Je levais ensuite le bras pour m'emparer d'une cigarette sur une étagère que j'allumais comme le feu de mon âme, avant d'en soutirer une latte de poison. Mais certainement pas aussi fort que celui que j'avais devant moi. Seulement, pour rien au monde, je n'aurais demandé le remède. Plus lucide, je prenais le temps d'inspecter chaque centimètre de son dos frissonnant où j'y découvris d'ailleurs quelques cicatrices regorgeant d'histoires obscures. Ma langue recouvrit alors leur surface de baisers sulfureux, visant à camoufler ses vilaines blessures sous des suçons remplis d'amour. J'honorais ses courbures de déesse en y laissant orgueilleusement plusieurs marques bleutées, signe de mon privilège et de mon obsession maladive. D'abord sa nuque, puis ses omoplates, tout en poursuivant sur le creux de sa colonne vertébrale. Et si j'en devenais dépendant, quelle chute pour ma pauvre gouverne ? Mais pour le moment, j'assouvissais mes désirs les plus pénétrants en préparant ma monture dans un rodéo interminable. Je soufflais la fumée sur sa peau ivoire alors que des perles d'excitation se laissait choir, pour imprégner le bois sur lequel s'échouaient ses collines. Ma bouche remonta ensuite jusqu'à son oreille droite pour la mordiller affectueusement. Je lui aurais bien murmuré son nom dans un souffle à peine audible, mais c'était bien la seule chose dont je n'avais pas le luxe.
J'écrasai ensuite mon mégot sur le mur en lui offrant un petit sourire sauvage et sournois. C'était l'heure de tanguer, mon cœur. Mes deux mains se plaquèrent alors de chaque côté de sa tête, alors que j'enfourchais ma selle de cette cavité qui pleurait déjà dans une prière muette, mais dont les effluves percutaient mon instinct basique de plein fouet. Je remuais frénétiquement le bassin comme possédé par le démon surgit des enfers, cravachant avec férocité dans une endurance sans temps mort. Ce chêne costaud qui cherchait à planter ses racines sur ses parois mouillées pour se nourrir de son oasis avec vitalité. Je la prenais sur cette office, comme une offrande dont je me faisais le dieu, faisait même grincer le plancher par mon entrain compulsif.
Dans cette fièvre outrageuse, j'aiguisais mon appétit fou en étreignant fermement son cou de ma mâchoire, ne la lâchant pas une seule seconde, tandis que je couchais mon poitrail sur elle pour asseoir ma position de force. J'agrippais alors les bords du mobilier pour projeter toujours plus ma voracité que je lui faisais subir en son sein pour la faire venir à moi, sans possibilité de pouvoir m'échapper. Comme des chaînes invisibles, mon emprise pénétrait dans les profondeurs de ses quartiers, ne lui offrant que le choix d'en jubiler cruellement. Mon sang ne fluctuait qu'à un seul endroit, grondant sourdement entre mes cuisses, ce qui me faisait dangereusement perdre la tête. Comme si mes actions ne m'appartenaient plus vraiment et qu'elles étaient régi par une divination bien plus forte. Ma soif insatiable de cette femme faisait un carnage sur mon raisonnement totalement détraqué par cette agitation. Cette fusion intime lui arrachait des plaintes aiguës, implorant son salut. Ma voix se muait dans un bruit de vocifération, là où mon seul but était de l'achever sous mon entrave dégoulinante de possessivité.
Désireux de chasser mes limites au delà de l'imaginable, je quittais difficilement mon fourreau fantastique avec l'intention de fondre mon épée dans une fente plus escarpée et serrée, au sommet de l'orée de sa forêt. Je me redressais alors pour la libérer temporairement de mon étreinte possessive. Timidement, j'humectais cette nouvelle perspective de ma substance pâle avec l'intention de m'y glisser entièrement. J'y rentrais la sommité de mon noyau avant de laisser cette poutre dure, enrobée de terminaisons veineuses gonflées à bloc, explorer ce terrain à tâtons. Doucement, mais sûrement, je me laissais aller à la rencontre de ces nouveaux plaisirs alors que je regagnais sa chaleur corporelle qui me manquait déjà, en fondant mon ventre sur sa peau. Dans un mouvement léger, j'avançais le char qui lancerait bientôt les hostilités avant de gagner de la distance sur cette pente obscure. Le voyage risquait d'être intense car déjà, mon membre téméraire épousait à merveille la façade de cette muraille qui cédait sous les assauts répétées. Mon dard s'immisça plus loin et plus conquérant dans ses vas et viens avide de ses curiosités. Son corps se crispait sous le mien, à tel point que j'avais l'impression de la briser de l'intérieur. Mais aucune contestation ne dénotait à travers ses spasmes qui pourraient la rompre.
Toutefois, je n'en oubliais pas son autre plaine. Une de mes mains se balada sur une de ses fesses que j'empoignais rudement. Puis, fourbement mes deux doigts s'engouffrèrent intimement sur son autre horizon, dont je travaillais les muqueuses vibrantes et suintantes d'excitation, qui semblaient souffrir atrocement de mon absence. Je m'y environnais donc toute à la fois, pour soulager ses chaleurs écarlates. Cependant, le malin commençait fourbement à toquer à la porte de mon propre fléau.
Cette expression devait partir de là : travailler quelqu'un au corps, parce que c'était exactement ce que je faisais.
son bâton enchanté et de repartir sur une fière cadence alors que je la surplombais de mon buste. Mais je sentais qu'elle avait consciemment ralenti sur le rythme, pour davantage soutirer ma soumission aux commissures de ses lèvres et clairement, punir mon affront rebelle. Ma patience fut mise une nouvelle fois à rude épreuve, soufflée comme une traînée de poudre, alors que toute ma flotte n'attendait que d'arriver à bon port. Mais après tout, je l'avais bien mérité. Je ne pouvais que me rendre coupable de mon propre sort, lui laissant le bon vouloir de ma sainte libération.
Ses mains vinrent ensuite narguer mes deux sphères qui n'en pouvaient plus sous ses caresses fatales à ma cargaison, prête à craquer dans une pression phénoménale. Son toucher délicat suffisait à me faire vriller tandis qu'elle dégagea le terrain en soulevant mon attribut viril. Elle poursuivit sa sinistre sentence avec habilité, manquant de me faire chanceler de vibrations terribles. Je la sentais gober ces deux noix rendues rigides par sa sauce fouettée de sa bouche. Cette douleur intenable où le barrage ne demandait qu'à céder dans un tsunami, commençait à envahir ma volonté d'inonder le paysage. Et ce fut d'autant pire quand madame changea ses projets pour venir râper sa langue sinueuse sur l'écorce de ce tronc pour venir y téter la sève en son bout qui s'en écoulait. Elle se saisit ensuite de cette matraque aussi solide que le fer de ses doigts agiles qui se mouvaient avec insistance autour de ma branche. Elle serrait, elle tournait, elle maltraitait pour en faire sortir tout son jus âcre sans vouloir en perdre une seule larme. Je dus m'appuyer fermement sur le rebord de cette foutue table pour que mes muscles tétanisés ne me fassent pas flancher. Je tentais vainement de résister à cette décadence mais mes cris rauques et haletants trahissaient mon incapacité à me contenir davantage.
Un frôlement imperceptible me fit pencher la tête dans sa direction alors que son regard était ancré dans le mien, faisant de moi le grand témoin de sa déchéance. Un autre éclair émeraude dans sa rétine sonna son jugement sévère. Cette obscénité sans bornes eut soudainement raison de moi et j'explosais dans un tumulte de chaudes cascades dévalant les pentes de sa trachée. Comme un ange pleurant sur sa langue pour l'inonder de ses tendres espoirs réalisés, je faisais pleuvoir ma fertilité en son sein. Je me mis à déglutir sous l'ivresse de ce sacrilège solennel qu'elle engloutissait avec une miséricorde affamée. Un enivrement total me secoua de convulsions délicieuses, tandis qu'elle s'occupait de faire disparaître les preuves de mon péché. Elle se nourrissait de ma semence, comme on boirait le corps du Christ à la coupe pour laver notre perversion bestiale.
A cet instant, déchargé de ma culpabilité, je réussis à reprendre un peu plus de contenance et parvint à canaliser plus ou moins ses flammes qui me dévoraient. Mais ma peine était loin d'être terminée. Avec douceur, elle suspendit le temps au dessus de nos têtes et s'acheta un billet pour le repos en visitant avec soin le creux de mes cuisses pour revenir à mes plaquettes toujours aussi bombées. Ses deux vallées enserrèrent mon arc fatigué pour le masser de ses tendres et voluptueux nuages pour lui redonner du courage. A ce titre, mon palpitant revint à la normale alors qu'elle capturait mes lèvres de sa bouche aux saveurs étranges. Goût de sel fin, âcre, parsemé de fer. Sa main, restée posée sur mon calibre, lui soufflait discrètement son souhait de se recharger avant une autre bataille qui promettait autant que la première. Je cherchais sa langue de la mienne endolorie, pour en apaiser la cicatrice, et je la trouvais, engourdie par des désirs plus éprouvants encore.
Tentatrice du diable, elle projeta alors sa toile de soie trempée par la sueur de nos feux chatoyants, sur mon torse pour me faire comprendre qu'il lui en faudrait plus. Son joyau scintilla avec nonchalance en embrassant mon entre jambe avec envie, alors que ses lèvres humides réclamaient mon otage. Mon soldat répondit présent à son appel muet, prêt à regagner le front. Mon œil redevint aussi noir que ses ténèbres, alors que je renaissais de mes cendres pour agripper ses hanches.
Puis sans que je ne comprenne, elle détourna son buste de mon corps brûlant d'agonie pour aller s'allonger sur la table de tout son long et m'offrir une vue imprenable sur ses maléfices. Je ne pouvais être qu'étonné par cette démonstration scandaleuse, mais qui me faisait haleter comme un chien de la casse. Sournoisement, je m'approchais d'un pas lent en posant à peine mes reins contre ses deux sublimes disques galbés.
Je levais ensuite le bras pour m'emparer d'une cigarette sur une étagère que j'allumais comme le feu de mon âme, avant d'en soutirer une latte de poison. Mais certainement pas aussi fort que celui que j'avais devant moi. Seulement, pour rien au monde, je n'aurais demandé le remède. Plus lucide, je prenais le temps d'inspecter chaque centimètre de son dos frissonnant où j'y découvris d'ailleurs quelques cicatrices regorgeant d'histoires obscures. Ma langue recouvrit alors leur surface de baisers sulfureux, visant à camoufler ses vilaines blessures sous des suçons remplis d'amour. J'honorais ses courbures de déesse en y laissant orgueilleusement plusieurs marques bleutées, signe de mon privilège et de mon obsession maladive. D'abord sa nuque, puis ses omoplates, tout en poursuivant sur le creux de sa colonne vertébrale. Et si j'en devenais dépendant, quelle chute pour ma pauvre gouverne ? Mais pour le moment, j'assouvissais mes désirs les plus pénétrants en préparant ma monture dans un rodéo interminable. Je soufflais la fumée sur sa peau ivoire alors que des perles d'excitation se laissait choir, pour imprégner le bois sur lequel s'échouaient ses collines. Ma bouche remonta ensuite jusqu'à son oreille droite pour la mordiller affectueusement. Je lui aurais bien murmuré son nom dans un souffle à peine audible, mais c'était bien la seule chose dont je n'avais pas le luxe.
J'écrasai ensuite mon mégot sur le mur en lui offrant un petit sourire sauvage et sournois. C'était l'heure de tanguer, mon cœur. Mes deux mains se plaquèrent alors de chaque côté de sa tête, alors que j'enfourchais ma selle de cette cavité qui pleurait déjà dans une prière muette, mais dont les effluves percutaient mon instinct basique de plein fouet. Je remuais frénétiquement le bassin comme possédé par le démon surgit des enfers, cravachant avec férocité dans une endurance sans temps mort. Ce chêne costaud qui cherchait à planter ses racines sur ses parois mouillées pour se nourrir de son oasis avec vitalité. Je la prenais sur cette office, comme une offrande dont je me faisais le dieu, faisait même grincer le plancher par mon entrain compulsif.
Dans cette fièvre outrageuse, j'aiguisais mon appétit fou en étreignant fermement son cou de ma mâchoire, ne la lâchant pas une seule seconde, tandis que je couchais mon poitrail sur elle pour asseoir ma position de force. J'agrippais alors les bords du mobilier pour projeter toujours plus ma voracité que je lui faisais subir en son sein pour la faire venir à moi, sans possibilité de pouvoir m'échapper. Comme des chaînes invisibles, mon emprise pénétrait dans les profondeurs de ses quartiers, ne lui offrant que le choix d'en jubiler cruellement. Mon sang ne fluctuait qu'à un seul endroit, grondant sourdement entre mes cuisses, ce qui me faisait dangereusement perdre la tête. Comme si mes actions ne m'appartenaient plus vraiment et qu'elles étaient régi par une divination bien plus forte. Ma soif insatiable de cette femme faisait un carnage sur mon raisonnement totalement détraqué par cette agitation. Cette fusion intime lui arrachait des plaintes aiguës, implorant son salut. Ma voix se muait dans un bruit de vocifération, là où mon seul but était de l'achever sous mon entrave dégoulinante de possessivité.
Désireux de chasser mes limites au delà de l'imaginable, je quittais difficilement mon fourreau fantastique avec l'intention de fondre mon épée dans une fente plus escarpée et serrée, au sommet de l'orée de sa forêt. Je me redressais alors pour la libérer temporairement de mon étreinte possessive. Timidement, j'humectais cette nouvelle perspective de ma substance pâle avec l'intention de m'y glisser entièrement. J'y rentrais la sommité de mon noyau avant de laisser cette poutre dure, enrobée de terminaisons veineuses gonflées à bloc, explorer ce terrain à tâtons. Doucement, mais sûrement, je me laissais aller à la rencontre de ces nouveaux plaisirs alors que je regagnais sa chaleur corporelle qui me manquait déjà, en fondant mon ventre sur sa peau. Dans un mouvement léger, j'avançais le char qui lancerait bientôt les hostilités avant de gagner de la distance sur cette pente obscure. Le voyage risquait d'être intense car déjà, mon membre téméraire épousait à merveille la façade de cette muraille qui cédait sous les assauts répétées. Mon dard s'immisça plus loin et plus conquérant dans ses vas et viens avide de ses curiosités. Son corps se crispait sous le mien, à tel point que j'avais l'impression de la briser de l'intérieur. Mais aucune contestation ne dénotait à travers ses spasmes qui pourraient la rompre.
Toutefois, je n'en oubliais pas son autre plaine. Une de mes mains se balada sur une de ses fesses que j'empoignais rudement. Puis, fourbement mes deux doigts s'engouffrèrent intimement sur son autre horizon, dont je travaillais les muqueuses vibrantes et suintantes d'excitation, qui semblaient souffrir atrocement de mon absence. Je m'y environnais donc toute à la fois, pour soulager ses chaleurs écarlates. Cependant, le malin commençait fourbement à toquer à la porte de mon propre fléau.
Cette expression devait partir de là : travailler quelqu'un au corps, parce que c'était exactement ce que je faisais.
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