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Mar 3 Sep 2019 - 1:21
Je sentis son membre redevenant vigoureux qui s’inséra délicatement entre mes fesses comparables à deux disques d’ivoire galbées par la position hautement suggestive que j’utilisais pour le charmer. C’est ainsi qu’il prit une cigarette avec de se laisser tenter à parcourir mon dos de baisers, comme pour y effacer mes vieilles balafres de guerres et apposer les siennes.
J’aurai eu tôt fait de pouvoir faire disparaître ces marques, celles que je me suis apposé seule en traquant mon mari. Un baume cicatrisant des soigneurs et c’était de l’histoire ancienne comme pour ces suçons d’adolescent qu’il se plaisait à me laisser pour marquer sa bête au fer. Peut-être le devrais-je après cette nuit, abandonner mon passer comme je m'abandonne à sa sauvagerie.
Il laissa nonchalamment ses cigarettes sur la table et je savais qu’il allait se lancer très bientôt, cette offrande le tentant beaucoup trop. Il m’empoigna la tête, l’emprisonnant dans l’étau de ses mains, ses doigts arrivant jusqu’à ma bouche qui ne se contrôlait plus et les suçotait comme s’il s’agissait de son vaillant soldat, le goût encore prononcer de ce délice terrible parsemant mon palais. Son membre vigoureux s’insinua en moi de nouveau, glissant sur les flots d’une rivière sans fin qui ne fait que lui permettre un passage des plus agréable et rapide jusqu’au plus profond de ces muqueuses accueillantes.
Il se lança ensuite dans une terrible chevauché dont j’étais la jument. Nous étions partis tous deux dans une terrible cavalcade endiablée, comme fouettés tout deux par les généraux des enfers voulant mettre un terme au plus vite à cette déliquescence de luxure. La sueur perlait sur mon dos et mes flancs, détrempant ma poitrine et inondant le sol comme la pluie qui parcourt la cime en direction du sol et ruisselle.
Il agripa avec force la table, plaquant son poitrail contre mon dos, compressant ma poitrine qui n’en déjà plus contre cette table humide. Les cris rauque émanant de son être, tour à tour mordant ma chair, révèlent à qu’elle point il me veut. Je décide de m’abandonner à ses assauts comme sa femelle lors de sa sailli, allant chercher les échos passés d’un supplice exulté pour le conjugué au mien. J’ai revécu sa sensation libératrice, comme la bombe déclenchant l’avalanche. C’est ainsi que lentement, furieusement, cette fièvre en moi commençait à devenir un ouragan, ou plutôt un véritable typhon accumulant les trombes d’eau ravageuses avant de se déchainer en un torrent. Ces parois de muqueuses si douces se sont contractées violement comme un piège à loup se referment sur sa proie et j’en profitait pour lui donner un retour sur mes tourments interne via un nouveau partage de sensations. Je laisse couler cette extase suprême, son membre obstruant l’embouchure et transformant ce torrent en un geyser de miel à haute pressions. Je jouis en un cri terrible et inhumain de plaisir, comme une succube qu’on met au supplice, ne pouvant qu’à peine retranscrire un centième du plaisir intense qu’était le mien.
Il se retira de moi, comme un bataillon se repliant après la bataille. Cette retraite soudaine ouvrit les vannes de ce surplus de miel restant à perler de ces pétales chauds. Il commença à humecter ce que je lui avais fait miroiter. Cruel plaisir que je n’avais pas exploré depuis des lunes maintenant malgré celles qui protégeait son accès. Avant de le laisser s’avancer et franchir les portes de ce donjon obscur, je parcouru ma vallée inondée, déversant encore quelques gerbes de miel sur le parquet trempé. Je ramenais ce délicat nectar visqueux et glissant aux portes de ses espérances, comme pour huiler une machinerie grippée. Avant tout exploration, il faut envoyer des éclaireurs et c’est ce que je fis avant de ne le laisser enfournée son vigoureux et turgescent soldat pour explorer l’ensemble de mon séant. Dans un petit ballet délicat avec mes doigts, je fis en sorte que les portes s’ouvrent pour ce bel aventurier. Cette iris rose s’ouvrait délicatement comme une fleur pour le soleil, attendant qu’enfin il ne s’aventure à l’intérieur.
J’eus un soubresaut, un gémissement douloureux et un souffle se résumant en un “Humf” tandis que son sexe gorgé de sang élargi mon séant. Cela était douloureux et en même temps intensément bon grâce à ces quelques caresses qui se perdaient sur ma fleur. J’avais le sentiment de recevoir un bulldozer sur un sentier trop étroit et qu’il ravageait et élargissait encore et toujours pour se frayer un chemin vers mon plus grand plaisir. Je soupirais lourdement en constatant que dans ce sentier, son soldat avait l’air d’une armée conquérante au grand complet.
Cette douleur était terrible, mais je l’appelais de mes vœux comme une pécheresses qui était en train de faire pénitence à coup de trique. Soufflant de façon rauque et me crispant toute entière, je plantais mes ongles dans la table comme pour évacuer la douleur et le plaisir de cette lame taraudant mes entrailles. J’attrapais ses cigarettes pour m’en allumer une toute tremblotante que j’étais. Il me fallait un surplus de dopamine pour encaisser cette douleur qui me déchirait de l’intérieure et pourtant j’en appelait de mes vœux davantage. À chaque fois que je tirais une latte, je sentais cette rondelle qui s’ouvrait davantage pour qu’il insert toujours plus loin en mois son arme valeureuse. Cette caverne obscure qui avec un monstre déchirant ses parois n’était lentement plus douloureux, mais insufflait en moi une intense chaleur qui ranimaient chaque terminaison nerveuse sensible sous un nouveau jour face à ce rayon de soleil insolite en un tel endroit.
Du bout des doigts je le chassais de mon antre, le temps d’empoigner son manche pour l’enduire d’un miel délicat et visqueux. Le poussais à franchir ce muscule s’étant refermé, mais dans un coup de rein violent de ma part en arrière, j’ai été littéralement empalée, son manche tout au fond de mon séant. Toutefois, cette fois-ci mon râle d'agonie était chaud et enivrée de bonheur. Adieux, la mère, l’amie, la patronne, toutes ces merdes passées, il n’y avait plus que sa chose, besognée jusqu’à l’excès. J’accompagnais à contretemps ses coups de reins, prenant solidement appuie sur la table et poussant avec mes bras en arrière pour aller à la rencontre frontale et brutale avec ce membre me procurant un si intense plaisir coupable.
Je me redressai doucement, cambrant ainsi mon corps, parant avec efficacité ces muscles qui l’accueillaient, laissant aller mon plaisir en de terribles gémissements. Ma poitrine rebondissante à chaque coup conjointement provoqué, je basculais un peu plus en arrière comme pour l’invité à tout donner en agrippant ma crinière. C’était plus que tout une façon explicite de lui dire “prend-moi sans hésitation, je suis toute à toi”. Plus il envahissait mes terres, plus j’avais l’impression que son sexe grossissait encore et toujours, mais ce n’était sans doute qu’une impression. Ses soupirs rauques avaient une autre annonce. Son instrument grandissait dans l’attente d’un nouveau relâchement. Avait-il dans le désir de venir ainsi en moi ? Comme pour inscrire en lettrine blanchâtre où il s'est aventuré.
Je sentis sa douille se gonfler, préparant ses poches à se vider une nouvelle fois et à garnir cette pâtisserie d'une crème divine. Au moment ultime de cette sensation gonflée en moi, je donnais un nouveau coup de rein vers les siens pour avaler son instrument tout entier et sentir les jumelles cogner lourdement sur ma fleur. J’eus un regard arrière pour croiser le sien, transmettant en un instant cette idée “vas-y tu peux le faire”. La clope au bec je tirai dessus une dernière fois tout en le sentant décharger sa douille.
Cette sensation unique d’un enchainement de vague jaillissant successivement, faisant s’abattre et se fracasser la houle pleine d’écume contre les parois de cette grotte marine se frayant un chemin loin dans l’obscurité, comblant le vide de cette caverne autant que mes espoirs et attentes d’extase.
Je le laissais exulter son plaisir tout en me délectant de chacun de ses soupirs, de ses rugissements bestiaux. Je me redressais pour plaquer mes mains contre ses hanches, l’invitant à rester ici, en moi et quérir un instant de repos. Nous étions tous deux haletants et trempés d’une fièvre terrible qui ne semblait pas avoir de fin. Je sentais son soldat diminuer en taille mes muscles reprendre leur droit. Coulissant doucement en arrière, je soupirai d’extase en sentant sa douille sortir de ce chou avec une point de crème s’échappant avant de se refermer. D’un geste lent et tremblant je nous allumais deux cigarettes, bien que nous aurions pu faire ainsi rien qu’avec notre chaleur.
Je me retournai vers lui pour fumer et partager cet instant de calme tout en déposant quelques caresses de la main sur son sexe s’étant si bien débrouillé. Toutefois j’avais envie de voir s’il avait encore de la ressource où s’il allait me laisser repartir avant que le soleil n’ait eu le temps de disparaître totalement. Je pris ses lèvres dans les miennes et l’ai poussé jusqu’à ce que nous parcourions tous les deux son appartement pour s’effondrer dans son lit, nos langues battant une valse douce et délicate, tranchant de l’action éreintante que nous menions depuis maintenant un long moment. Nous nous laissâmes tomber de concert dans ses draps, moi sur lui, ma main sur sa vigueur chancelante, la massant tendrement, presque avec affection, me relâchant doucement, sentant cette coulisse, s’enfuir et dévaler ma cuisse. J’embrassais son torse et ces douceurs saillantes tandis qu’il reprenait son souffle, ma poitrine opulente écrasée au niveau de ses flancs.
Allait-il se laisser aller à l’étreinte de morphée, chérissant un repos plus que mérité déjà, ou bien pouvait-il encore me réserver des surprises ?
J’aurai eu tôt fait de pouvoir faire disparaître ces marques, celles que je me suis apposé seule en traquant mon mari. Un baume cicatrisant des soigneurs et c’était de l’histoire ancienne comme pour ces suçons d’adolescent qu’il se plaisait à me laisser pour marquer sa bête au fer. Peut-être le devrais-je après cette nuit, abandonner mon passer comme je m'abandonne à sa sauvagerie.
Il laissa nonchalamment ses cigarettes sur la table et je savais qu’il allait se lancer très bientôt, cette offrande le tentant beaucoup trop. Il m’empoigna la tête, l’emprisonnant dans l’étau de ses mains, ses doigts arrivant jusqu’à ma bouche qui ne se contrôlait plus et les suçotait comme s’il s’agissait de son vaillant soldat, le goût encore prononcer de ce délice terrible parsemant mon palais. Son membre vigoureux s’insinua en moi de nouveau, glissant sur les flots d’une rivière sans fin qui ne fait que lui permettre un passage des plus agréable et rapide jusqu’au plus profond de ces muqueuses accueillantes.
Il se lança ensuite dans une terrible chevauché dont j’étais la jument. Nous étions partis tous deux dans une terrible cavalcade endiablée, comme fouettés tout deux par les généraux des enfers voulant mettre un terme au plus vite à cette déliquescence de luxure. La sueur perlait sur mon dos et mes flancs, détrempant ma poitrine et inondant le sol comme la pluie qui parcourt la cime en direction du sol et ruisselle.
Il agripa avec force la table, plaquant son poitrail contre mon dos, compressant ma poitrine qui n’en déjà plus contre cette table humide. Les cris rauque émanant de son être, tour à tour mordant ma chair, révèlent à qu’elle point il me veut. Je décide de m’abandonner à ses assauts comme sa femelle lors de sa sailli, allant chercher les échos passés d’un supplice exulté pour le conjugué au mien. J’ai revécu sa sensation libératrice, comme la bombe déclenchant l’avalanche. C’est ainsi que lentement, furieusement, cette fièvre en moi commençait à devenir un ouragan, ou plutôt un véritable typhon accumulant les trombes d’eau ravageuses avant de se déchainer en un torrent. Ces parois de muqueuses si douces se sont contractées violement comme un piège à loup se referment sur sa proie et j’en profitait pour lui donner un retour sur mes tourments interne via un nouveau partage de sensations. Je laisse couler cette extase suprême, son membre obstruant l’embouchure et transformant ce torrent en un geyser de miel à haute pressions. Je jouis en un cri terrible et inhumain de plaisir, comme une succube qu’on met au supplice, ne pouvant qu’à peine retranscrire un centième du plaisir intense qu’était le mien.
Il se retira de moi, comme un bataillon se repliant après la bataille. Cette retraite soudaine ouvrit les vannes de ce surplus de miel restant à perler de ces pétales chauds. Il commença à humecter ce que je lui avais fait miroiter. Cruel plaisir que je n’avais pas exploré depuis des lunes maintenant malgré celles qui protégeait son accès. Avant de le laisser s’avancer et franchir les portes de ce donjon obscur, je parcouru ma vallée inondée, déversant encore quelques gerbes de miel sur le parquet trempé. Je ramenais ce délicat nectar visqueux et glissant aux portes de ses espérances, comme pour huiler une machinerie grippée. Avant tout exploration, il faut envoyer des éclaireurs et c’est ce que je fis avant de ne le laisser enfournée son vigoureux et turgescent soldat pour explorer l’ensemble de mon séant. Dans un petit ballet délicat avec mes doigts, je fis en sorte que les portes s’ouvrent pour ce bel aventurier. Cette iris rose s’ouvrait délicatement comme une fleur pour le soleil, attendant qu’enfin il ne s’aventure à l’intérieur.
J’eus un soubresaut, un gémissement douloureux et un souffle se résumant en un “Humf” tandis que son sexe gorgé de sang élargi mon séant. Cela était douloureux et en même temps intensément bon grâce à ces quelques caresses qui se perdaient sur ma fleur. J’avais le sentiment de recevoir un bulldozer sur un sentier trop étroit et qu’il ravageait et élargissait encore et toujours pour se frayer un chemin vers mon plus grand plaisir. Je soupirais lourdement en constatant que dans ce sentier, son soldat avait l’air d’une armée conquérante au grand complet.
Cette douleur était terrible, mais je l’appelais de mes vœux comme une pécheresses qui était en train de faire pénitence à coup de trique. Soufflant de façon rauque et me crispant toute entière, je plantais mes ongles dans la table comme pour évacuer la douleur et le plaisir de cette lame taraudant mes entrailles. J’attrapais ses cigarettes pour m’en allumer une toute tremblotante que j’étais. Il me fallait un surplus de dopamine pour encaisser cette douleur qui me déchirait de l’intérieure et pourtant j’en appelait de mes vœux davantage. À chaque fois que je tirais une latte, je sentais cette rondelle qui s’ouvrait davantage pour qu’il insert toujours plus loin en mois son arme valeureuse. Cette caverne obscure qui avec un monstre déchirant ses parois n’était lentement plus douloureux, mais insufflait en moi une intense chaleur qui ranimaient chaque terminaison nerveuse sensible sous un nouveau jour face à ce rayon de soleil insolite en un tel endroit.
Du bout des doigts je le chassais de mon antre, le temps d’empoigner son manche pour l’enduire d’un miel délicat et visqueux. Le poussais à franchir ce muscule s’étant refermé, mais dans un coup de rein violent de ma part en arrière, j’ai été littéralement empalée, son manche tout au fond de mon séant. Toutefois, cette fois-ci mon râle d'agonie était chaud et enivrée de bonheur. Adieux, la mère, l’amie, la patronne, toutes ces merdes passées, il n’y avait plus que sa chose, besognée jusqu’à l’excès. J’accompagnais à contretemps ses coups de reins, prenant solidement appuie sur la table et poussant avec mes bras en arrière pour aller à la rencontre frontale et brutale avec ce membre me procurant un si intense plaisir coupable.
Je me redressai doucement, cambrant ainsi mon corps, parant avec efficacité ces muscles qui l’accueillaient, laissant aller mon plaisir en de terribles gémissements. Ma poitrine rebondissante à chaque coup conjointement provoqué, je basculais un peu plus en arrière comme pour l’invité à tout donner en agrippant ma crinière. C’était plus que tout une façon explicite de lui dire “prend-moi sans hésitation, je suis toute à toi”. Plus il envahissait mes terres, plus j’avais l’impression que son sexe grossissait encore et toujours, mais ce n’était sans doute qu’une impression. Ses soupirs rauques avaient une autre annonce. Son instrument grandissait dans l’attente d’un nouveau relâchement. Avait-il dans le désir de venir ainsi en moi ? Comme pour inscrire en lettrine blanchâtre où il s'est aventuré.
Je sentis sa douille se gonfler, préparant ses poches à se vider une nouvelle fois et à garnir cette pâtisserie d'une crème divine. Au moment ultime de cette sensation gonflée en moi, je donnais un nouveau coup de rein vers les siens pour avaler son instrument tout entier et sentir les jumelles cogner lourdement sur ma fleur. J’eus un regard arrière pour croiser le sien, transmettant en un instant cette idée “vas-y tu peux le faire”. La clope au bec je tirai dessus une dernière fois tout en le sentant décharger sa douille.
Cette sensation unique d’un enchainement de vague jaillissant successivement, faisant s’abattre et se fracasser la houle pleine d’écume contre les parois de cette grotte marine se frayant un chemin loin dans l’obscurité, comblant le vide de cette caverne autant que mes espoirs et attentes d’extase.
Je le laissais exulter son plaisir tout en me délectant de chacun de ses soupirs, de ses rugissements bestiaux. Je me redressais pour plaquer mes mains contre ses hanches, l’invitant à rester ici, en moi et quérir un instant de repos. Nous étions tous deux haletants et trempés d’une fièvre terrible qui ne semblait pas avoir de fin. Je sentais son soldat diminuer en taille mes muscles reprendre leur droit. Coulissant doucement en arrière, je soupirai d’extase en sentant sa douille sortir de ce chou avec une point de crème s’échappant avant de se refermer. D’un geste lent et tremblant je nous allumais deux cigarettes, bien que nous aurions pu faire ainsi rien qu’avec notre chaleur.
Je me retournai vers lui pour fumer et partager cet instant de calme tout en déposant quelques caresses de la main sur son sexe s’étant si bien débrouillé. Toutefois j’avais envie de voir s’il avait encore de la ressource où s’il allait me laisser repartir avant que le soleil n’ait eu le temps de disparaître totalement. Je pris ses lèvres dans les miennes et l’ai poussé jusqu’à ce que nous parcourions tous les deux son appartement pour s’effondrer dans son lit, nos langues battant une valse douce et délicate, tranchant de l’action éreintante que nous menions depuis maintenant un long moment. Nous nous laissâmes tomber de concert dans ses draps, moi sur lui, ma main sur sa vigueur chancelante, la massant tendrement, presque avec affection, me relâchant doucement, sentant cette coulisse, s’enfuir et dévaler ma cuisse. J’embrassais son torse et ces douceurs saillantes tandis qu’il reprenait son souffle, ma poitrine opulente écrasée au niveau de ses flancs.
Allait-il se laisser aller à l’étreinte de morphée, chérissant un repos plus que mérité déjà, ou bien pouvait-il encore me réserver des surprises ?
Etilya sur DK RPG
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Mer 4 Sep 2019 - 22:37
Ma crise de démence me surpassait divinement, à tel point que j'aurais pu en oublier mon identité. Depuis combien de temps, je n'avais pas été autant transi dans ma putain de vie ? Je ne parvenais même pas à poser le doigt sur ce souvenir qui n'avait peut-être jamais existé. Si ces sorts en avaient traumatisé plus d'un, moi je lui disais simplement merci. Dans sa frénésie absolue, elle renouvela la bénédiction de son sortilège qui faisait ressortir nos incendies passés tandis que sa boisson sucrée coulait à flot sur ma vigne. Une plainte lumineuse s'arracha de sa gorge au même moment, aussi merveilleuse qu'un hurlement de louve déchirant la nuit, faisant jubiler mon égo, alors qu'elle laissait tomber sa dignité dans une coulée de lave engloutissant tout sur son passage.
Mais le deuxième assaut fut plus redoutable encore. Comme un bon samaritain, la demoiselle se permit de lustrer l'entrée de ma besogne de ses saveurs chaudes pour lancer l'aventure. Le dragon ne tardait pas à faire son entrée pour carboniser sa grotte de sa langue de feu. Je scintillais en son château, à la poursuite de ses plus précieux trésors pour lui voler, manquant d'ébranler les façades qui pliait sous cette attaque robuste et chevronnée. Je m'y engouffrais, d'abord d'un pas timide, pour finir par ne plus m'abstenir de plus de politesse. Je perçais la zone, comme un train lancé en pleine vitesse alors que la toile se courbait sous la pression de ma désinvolture, touchant le point culminant de son origine. Je la faisais souffrir d'une embuscade musclée dans laquelle elle se voulait bien être ma digne victime. Un spasme terrible la secoua dans ses supplications sans retenue. Elle se mit donc à chercher à tâtons un pansement émotionnel pour faire passer la peine criarde qui secouait tout son être. Un battement de cil, un souffle court et une volute de fumée pour surpasser ma décadence poussée à l'extrême qui envenimait ses passions pour faire mourir les miennes dans ses tréfonds les plus secrets. Lancinante et courageuse, l'affliction se dégorgeait dans ses fibres tandis que j'imposais mon pouvoir en battant mon fléau sur son territoire enfoncé. Toutefois, je scrutais son épanouissement qui se déployait comme les ailes d'une colombe prête à s'envoler vers les cieux pour ne plus jamais atterrir.
Mais dans un retournement insolite, elle me repoussa l'espace d'un instant pour couvrir mon tronc d'une luxure dégoulinante avant de balancer ses hanches contre mes reins dans un coup franc ciblé qui vint l’embrocher profondément sur ma disgrâce. Un soupir d'extase, une plaie euphorique qui suspendait le temps dans les airs à l'unisson. Un silence respecté de la nature qui nous offrait cette étreinte du diable. Mais qui fut vite regagné par les frissons et l'excitation montante sans aucune prescription car déjà, je repartais dans mon euphorie intarissable. J'agrippai ses seins savoureux de mes mains abîmées pour mieux l'asservir à mon souhait de la profaner jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien. J'haletais comme un malade au bord de la fracture, entrechoquant nos instruments dans un orchestre de rugissements intimidants. Plus j'embarquais sur ses terres hostiles, plus je ressentais l'envie de m'y échouer, gonflant mon mat dans son extrême importance. Le Roi ne tarderait pas à prendre la main de son épouse pour y apposer son anneau maudit. Son impudicité relevait d'autant plus mes présages alors qu'elle dansait sur ma virilité dans une lasciveté dépourvue de gêne. Elle savait qu'elle me désarçonnait au fur et à mesure qu'elle tanguait sur mon bassin. Je m'acharnais à tirer ma jouissance radieuse, ne la laissant pas en reste.
Elle s'attira alors ma faveur dans une œillade en coin, alors qu'une nouvelle tourmente me saisissait jusqu'aux tripes. A la limite de l'implosion, elle poussa ses fesses en arrière pour mieux fusionner avec mon membre qui commençait à se sentir à l'étroit dans cette montagne sacrée. Dans un consentement mutuel, figé comme mon âme, j'encaissais alors son invitation sulfureuse et libéra ma ganache épaisse qui se propulsa dans son antre pour l'envahir complètement. Un grognement plein de satisfaction fit trembler les murs de la pièce alors que je déchargeais mon missile venant s'abattre sur un autre pays pour faire trembler son courroux. J'empoignais fermement alors ses collines jumelles en les serrant très fort comme pour tenter de rester cloué à une réalité qui s'évaporait d'une traite au delà de ma conscience. Au bord de l'évanouissement viscéral du plaisir, je suffoquais presque tant ma respiration effarouchée m'endolorissait mes poumons en fumée.
Discrètement, ses doigts fins attrapèrent mes hanches pour m'intimer de rester en position, le temps que la tempête se dissipe pour gagner de la lucidité. Tandis qu'une vague brumeuse se projetait sous mon œil, que je devinais être la fumée de sa cigarette aux allures d'un spectre fantomatique, je cachais mon visage dans son cou que je ne manquais pas de chérir de baisers plus tendres, pour retrouver mon oxygène. Fatigué, je commençais à ressentir comme une sorte d'ahurissement propre à la fatigue mêlée à la drogue qui m'avait été donnée de dévorer. Un calme agréable plana un temps, juste assez pour que nous puissions écouter nos souffles distinctifs encore enflammés par l'action. Mon navire commença alors à prendre congé pour quitter son port et cet océan infini qu'il avait sillonné.
Je pus ensuite entrevoir à nouveau son visage rougit par nos ébats bestiaux et ces quelques gouttes de transpiration qui l'accompagnait. Elle m'offrit une barrette de nicotine que j'acceptais avec joie alors qu'elle allumait également la sienne. Dans ces circonstances, par habitude, je prenais normalement de la distance physique pour me laisser choir ailleurs et abandonner ma pitance à d'autres une fois le travail fourni. Le détachement se faisait en une fraction de seconde, aussi vite qu'un clignement imperceptible, presque comme si je n'étais jamais venu à la rencontre de qui que ce soit. Je prenais une douche, me rhabillais et me cassais sans un mot. Parfois, on me retenait, me quémandait de rester dormir juste pour la nuit, mais je n'étais déjà plus là. Mais étrangement, je n'avais pas le cœur à m'éloigner cette fois-ci et mon seul réflexe, avait été de passer une mèche de cheveux derrière son oreille pour arranger son joli minois et lui voler un autre baiser, avant même de tirer sur ma clope. Etait-ce dû au fait que la drogue circulait encore dans mes veines ou bien un court circuit dans mon caractère imprenable ? Comme un aveu dissimulé dans la tendresse, quand pour d'autres, je me serais contenté de partir en lâchant « Bon, file moi la tune » .
Elle se délectait ensuite d'un baiser savoureux, tout en me baladant dans la pièce jusqu'à mon lit. Nous nous étendions sur mon matelas, nos deux corps dissimulés sous les draps pendant que nous nous livrions une bataille plus sage mais pas moins intense de nos langues entremêlées. Elle prit l'ascendant sur moi, effleurant de sa main mon soldat usé au combat tout en le congratulant avec humeur. Je sentais sur ma jambe, dévaler nos deux nectars confondus alors que ses lèvres se posèrent sur mon torse avec douceur tout en me bénissant de ses deux coussins moelleux sur ma peau.
Je saisissais de mes deux doigts son menton frêle pour la mener à prendre soin d'autre chose. J'entrelaçais ma bouche à la sienne rapidement avant de la faire tomber sur le côté et m'installer encore entre ses cuisses. Mon humeur avait changé et j'avais simplement envie de la prendre dans mes bras en la serrant très fort jusqu'à faire craquer sa carapace. Je jetais un coup d'oeil rapide dehors et je devinais avec désarroi qu'elle ne tarderait pas à quitter le nid du rapace. La nuit n'allait pas tarder à la faire disparaître complètement en même temps que cette femme reprendrait ses droits de manigancer ma mémoire à sa guise. Étrangement, cette perspective m'irritait au plus au point en mon for intérieur, je ne souhaitais pas le moins du monde oublier cette soirée sublime ni même avoir à la laisser partir jusque dans mes souvenirs. Je poussais un soupir d'exaspération en ronchonnant comme un enfant, alors que je m’attelais une dernière fois à la tâche en contrariant son intimité. Je glissais jusqu'en elle dans des secousses plus légères, juste pour sentir ses pétales humides sur mon engin dont les douilles s'étaient déjà perdus dans le décor. Une dernière étreinte, avant la fuite. Je nous redressais ensuite en pliant les genoux pour la porter sur moi en camouflant ma tête entre ses seins tout en passant mes mains dans son dos. Je plantais le bout de mes doigts dans sa chaire fondante tout en les descendant lentement jusqu'à ses hanches généreuses.
J'étais épuisé mais ce qui me motivait était de faire reculer l'échéance de cette rêverie langoureuse. En somme, on pouvait dire que je faisais un petit caprice d'amant turbulent qui ne souhaite pas lâcher sa compagne dans la nature, tout en sachant pertinemment qu'il ne la reverrait pas pendant sûrement des lustres. Peut-être même jamais. Mais dans cette vaine tentative que d'étirer le temps entre mes doigts, je savais au fond que la conclusion restera la même. Elle me laissera m'endormir sagement alors qu'elle travaillerait à effacer ou à modifier les brides de mes pensées exaltantes. Mais en attendant, je profitais des derniers moments de sa présence, telle une chimère dont le destin ne pouvait être qu'ailleurs, plutôt qu'entre mes bras tremblants. Pendant que mes nerfs retombaient, je respirais intensément ses effluves en son sein pour m'en imprégner et qui sait, ne quitteront peut-être pas ma mémoire olfactive. J'empoignais l'un de ses coussins pour m'imbiber de leur chaleur et poursuivait mes petits tressautements pour conserver ces sensations délicieuses, jusque dans une autre vie.
Mon œil se fermait petit à petit, m'emportant dans un ensommeillement partiel qui me laissait encore distinguer la réalité aux rêves, sans vraiment comprendre. Mon cerveau ne filtrait plus les informations, ni même ne les traduisait alors que le dieu du sommeil me tirait dans son royaume. Machinalement, je rapprochais quand même son buste de mon torse, m'octroyant le privilège de la tenir ainsi jalousement comme un trésor bien gardé. Je me mis un grognement sourd pour m'éveiller et releva la tête pour la regarder dans les yeux et lui faire un sourire au coin.
Ca va, t'as gagné.
La défaite avait parfois quelque chose de bon finalement, même si ça ne me plaisait pas vraiment d'abdiquer surtout sur mes performances. Mais finalement, je crois que ce qui me chagrinait le plus, était de quitter la chaleur de ce soleil. Qu'est ce que ça m'emmerdait... J'allais resté sur cette couche froide et terne, pour retrouver ma fidèle campagne qu'est la solitude permanente. Pour une fois, je lui aurais bien demandé d'aller se faire foutre à celle-là mais ça, je savais pertinemment que ce n'était qu'un souhait inconcevable d'un homme transi.
Il était l'heure de dire au revoir.
Mais le deuxième assaut fut plus redoutable encore. Comme un bon samaritain, la demoiselle se permit de lustrer l'entrée de ma besogne de ses saveurs chaudes pour lancer l'aventure. Le dragon ne tardait pas à faire son entrée pour carboniser sa grotte de sa langue de feu. Je scintillais en son château, à la poursuite de ses plus précieux trésors pour lui voler, manquant d'ébranler les façades qui pliait sous cette attaque robuste et chevronnée. Je m'y engouffrais, d'abord d'un pas timide, pour finir par ne plus m'abstenir de plus de politesse. Je perçais la zone, comme un train lancé en pleine vitesse alors que la toile se courbait sous la pression de ma désinvolture, touchant le point culminant de son origine. Je la faisais souffrir d'une embuscade musclée dans laquelle elle se voulait bien être ma digne victime. Un spasme terrible la secoua dans ses supplications sans retenue. Elle se mit donc à chercher à tâtons un pansement émotionnel pour faire passer la peine criarde qui secouait tout son être. Un battement de cil, un souffle court et une volute de fumée pour surpasser ma décadence poussée à l'extrême qui envenimait ses passions pour faire mourir les miennes dans ses tréfonds les plus secrets. Lancinante et courageuse, l'affliction se dégorgeait dans ses fibres tandis que j'imposais mon pouvoir en battant mon fléau sur son territoire enfoncé. Toutefois, je scrutais son épanouissement qui se déployait comme les ailes d'une colombe prête à s'envoler vers les cieux pour ne plus jamais atterrir.
Mais dans un retournement insolite, elle me repoussa l'espace d'un instant pour couvrir mon tronc d'une luxure dégoulinante avant de balancer ses hanches contre mes reins dans un coup franc ciblé qui vint l’embrocher profondément sur ma disgrâce. Un soupir d'extase, une plaie euphorique qui suspendait le temps dans les airs à l'unisson. Un silence respecté de la nature qui nous offrait cette étreinte du diable. Mais qui fut vite regagné par les frissons et l'excitation montante sans aucune prescription car déjà, je repartais dans mon euphorie intarissable. J'agrippai ses seins savoureux de mes mains abîmées pour mieux l'asservir à mon souhait de la profaner jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien. J'haletais comme un malade au bord de la fracture, entrechoquant nos instruments dans un orchestre de rugissements intimidants. Plus j'embarquais sur ses terres hostiles, plus je ressentais l'envie de m'y échouer, gonflant mon mat dans son extrême importance. Le Roi ne tarderait pas à prendre la main de son épouse pour y apposer son anneau maudit. Son impudicité relevait d'autant plus mes présages alors qu'elle dansait sur ma virilité dans une lasciveté dépourvue de gêne. Elle savait qu'elle me désarçonnait au fur et à mesure qu'elle tanguait sur mon bassin. Je m'acharnais à tirer ma jouissance radieuse, ne la laissant pas en reste.
Elle s'attira alors ma faveur dans une œillade en coin, alors qu'une nouvelle tourmente me saisissait jusqu'aux tripes. A la limite de l'implosion, elle poussa ses fesses en arrière pour mieux fusionner avec mon membre qui commençait à se sentir à l'étroit dans cette montagne sacrée. Dans un consentement mutuel, figé comme mon âme, j'encaissais alors son invitation sulfureuse et libéra ma ganache épaisse qui se propulsa dans son antre pour l'envahir complètement. Un grognement plein de satisfaction fit trembler les murs de la pièce alors que je déchargeais mon missile venant s'abattre sur un autre pays pour faire trembler son courroux. J'empoignais fermement alors ses collines jumelles en les serrant très fort comme pour tenter de rester cloué à une réalité qui s'évaporait d'une traite au delà de ma conscience. Au bord de l'évanouissement viscéral du plaisir, je suffoquais presque tant ma respiration effarouchée m'endolorissait mes poumons en fumée.
Discrètement, ses doigts fins attrapèrent mes hanches pour m'intimer de rester en position, le temps que la tempête se dissipe pour gagner de la lucidité. Tandis qu'une vague brumeuse se projetait sous mon œil, que je devinais être la fumée de sa cigarette aux allures d'un spectre fantomatique, je cachais mon visage dans son cou que je ne manquais pas de chérir de baisers plus tendres, pour retrouver mon oxygène. Fatigué, je commençais à ressentir comme une sorte d'ahurissement propre à la fatigue mêlée à la drogue qui m'avait été donnée de dévorer. Un calme agréable plana un temps, juste assez pour que nous puissions écouter nos souffles distinctifs encore enflammés par l'action. Mon navire commença alors à prendre congé pour quitter son port et cet océan infini qu'il avait sillonné.
Je pus ensuite entrevoir à nouveau son visage rougit par nos ébats bestiaux et ces quelques gouttes de transpiration qui l'accompagnait. Elle m'offrit une barrette de nicotine que j'acceptais avec joie alors qu'elle allumait également la sienne. Dans ces circonstances, par habitude, je prenais normalement de la distance physique pour me laisser choir ailleurs et abandonner ma pitance à d'autres une fois le travail fourni. Le détachement se faisait en une fraction de seconde, aussi vite qu'un clignement imperceptible, presque comme si je n'étais jamais venu à la rencontre de qui que ce soit. Je prenais une douche, me rhabillais et me cassais sans un mot. Parfois, on me retenait, me quémandait de rester dormir juste pour la nuit, mais je n'étais déjà plus là. Mais étrangement, je n'avais pas le cœur à m'éloigner cette fois-ci et mon seul réflexe, avait été de passer une mèche de cheveux derrière son oreille pour arranger son joli minois et lui voler un autre baiser, avant même de tirer sur ma clope. Etait-ce dû au fait que la drogue circulait encore dans mes veines ou bien un court circuit dans mon caractère imprenable ? Comme un aveu dissimulé dans la tendresse, quand pour d'autres, je me serais contenté de partir en lâchant « Bon, file moi la tune » .
Elle se délectait ensuite d'un baiser savoureux, tout en me baladant dans la pièce jusqu'à mon lit. Nous nous étendions sur mon matelas, nos deux corps dissimulés sous les draps pendant que nous nous livrions une bataille plus sage mais pas moins intense de nos langues entremêlées. Elle prit l'ascendant sur moi, effleurant de sa main mon soldat usé au combat tout en le congratulant avec humeur. Je sentais sur ma jambe, dévaler nos deux nectars confondus alors que ses lèvres se posèrent sur mon torse avec douceur tout en me bénissant de ses deux coussins moelleux sur ma peau.
Je saisissais de mes deux doigts son menton frêle pour la mener à prendre soin d'autre chose. J'entrelaçais ma bouche à la sienne rapidement avant de la faire tomber sur le côté et m'installer encore entre ses cuisses. Mon humeur avait changé et j'avais simplement envie de la prendre dans mes bras en la serrant très fort jusqu'à faire craquer sa carapace. Je jetais un coup d'oeil rapide dehors et je devinais avec désarroi qu'elle ne tarderait pas à quitter le nid du rapace. La nuit n'allait pas tarder à la faire disparaître complètement en même temps que cette femme reprendrait ses droits de manigancer ma mémoire à sa guise. Étrangement, cette perspective m'irritait au plus au point en mon for intérieur, je ne souhaitais pas le moins du monde oublier cette soirée sublime ni même avoir à la laisser partir jusque dans mes souvenirs. Je poussais un soupir d'exaspération en ronchonnant comme un enfant, alors que je m’attelais une dernière fois à la tâche en contrariant son intimité. Je glissais jusqu'en elle dans des secousses plus légères, juste pour sentir ses pétales humides sur mon engin dont les douilles s'étaient déjà perdus dans le décor. Une dernière étreinte, avant la fuite. Je nous redressais ensuite en pliant les genoux pour la porter sur moi en camouflant ma tête entre ses seins tout en passant mes mains dans son dos. Je plantais le bout de mes doigts dans sa chaire fondante tout en les descendant lentement jusqu'à ses hanches généreuses.
J'étais épuisé mais ce qui me motivait était de faire reculer l'échéance de cette rêverie langoureuse. En somme, on pouvait dire que je faisais un petit caprice d'amant turbulent qui ne souhaite pas lâcher sa compagne dans la nature, tout en sachant pertinemment qu'il ne la reverrait pas pendant sûrement des lustres. Peut-être même jamais. Mais dans cette vaine tentative que d'étirer le temps entre mes doigts, je savais au fond que la conclusion restera la même. Elle me laissera m'endormir sagement alors qu'elle travaillerait à effacer ou à modifier les brides de mes pensées exaltantes. Mais en attendant, je profitais des derniers moments de sa présence, telle une chimère dont le destin ne pouvait être qu'ailleurs, plutôt qu'entre mes bras tremblants. Pendant que mes nerfs retombaient, je respirais intensément ses effluves en son sein pour m'en imprégner et qui sait, ne quitteront peut-être pas ma mémoire olfactive. J'empoignais l'un de ses coussins pour m'imbiber de leur chaleur et poursuivait mes petits tressautements pour conserver ces sensations délicieuses, jusque dans une autre vie.
Mon œil se fermait petit à petit, m'emportant dans un ensommeillement partiel qui me laissait encore distinguer la réalité aux rêves, sans vraiment comprendre. Mon cerveau ne filtrait plus les informations, ni même ne les traduisait alors que le dieu du sommeil me tirait dans son royaume. Machinalement, je rapprochais quand même son buste de mon torse, m'octroyant le privilège de la tenir ainsi jalousement comme un trésor bien gardé. Je me mis un grognement sourd pour m'éveiller et releva la tête pour la regarder dans les yeux et lui faire un sourire au coin.
Ca va, t'as gagné.
La défaite avait parfois quelque chose de bon finalement, même si ça ne me plaisait pas vraiment d'abdiquer surtout sur mes performances. Mais finalement, je crois que ce qui me chagrinait le plus, était de quitter la chaleur de ce soleil. Qu'est ce que ça m'emmerdait... J'allais resté sur cette couche froide et terne, pour retrouver ma fidèle campagne qu'est la solitude permanente. Pour une fois, je lui aurais bien demandé d'aller se faire foutre à celle-là mais ça, je savais pertinemment que ce n'était qu'un souhait inconcevable d'un homme transi.
Il était l'heure de dire au revoir.
Invité
Invité
Jeu 5 Sep 2019 - 0:40
Il me ramena à lui, un baiser, fougueux et téméraire, enfin dans mon souvenir. En réalité il était tendre et lancinent, comme la fin douce-amère d’une sinistre rêverie. Je savais que c’était là fin alors même que je m’abstenu de lire dans ses pensées pour le savoir.
Dans un dernier sursaut pour me convaincre de rester, il me saisit avec un regain de vaillance après un grognement bien étrange et bougon, comme on grommelle à cause d’une chose qui nous ennuie. Relevant mes cuisses, il m’empala une dernière fois, butinant ma rose avec tendresse comme une première fois après le bal de fin d’année. Ses gestes étaient très tendres et doux au point que je me suis demandé si c’était le même homme qui était là en train d’essayer de me convaincre avec le creux de ses reins de rester plus longtemps.
Ses mains étaient chaudes dans mon dos, sa tête humide de sueur entre mes seins, apprenant de moi mes formes et mon odeur pour tenter de l’ancrer dans sa mémoire comme si cela pouvait le sauver de l’inéducable. Quoi qu’il décide, quoi qu’il fasse, j’avais déjà décidé de faire disparaître mon image dans sa tête pour la remplacer par un autre visage, une autre couleur de cheveux, d’autre vêtement. Il est triste là pour le moment, mais son souvenir se préservé et vivace, mais lorsqu’il me reverrait, il ne me reconnaitra pas.
Alors qu’il abandonnait la partie et s’avouait vaincu, je décidais de rester un peu plus longtemps tandis que ces yeux s’obscurcissaient. Je lui pris les mains, pour qu’il m’enlace en passant sur le flanc, nous enroulant dans ses draps avec lui, dépassant l’image qu’il avait de la fin de cette soirée.
Je continuais de masser tendrement son membre de quelques délicates caresses affectueuses comme on flatte l’égo d’un roi. Je lui fis franchir une dernière fois les lisières de ce terrain conquis bien que sans aucune trace de son passage contrairement à des terres tout à fait exotiques. Je me lançais dans une lente gesticulation érotique avec mes reins dans le but de voir si l’abandon de son âme était total. J’allais continuer jusqu’à qu’il cesse toute forme de tribulation, ses mains sur mes collines, mon corps tout entier dans ses bras musclés, son cœur en péril à l’idée de rester seul, l’allait lui offrir une lente agonie.
Une fois mon aimé éphémère endormi, je m’attelai à une nouvelle tâche. Effacer ma présence. J’allais tout d’abord m’extirper de son étreinte en douceur, tirant les draps avec moi dans mon sillage pour en débarrasser le lit avant d’aller lui jeter un nouveau, propre pour le couvrir. Je me glissais dans sa douche pour effacer les traces de son sacrilège de nacre qui avait déjà beaucoup fait couler d’encre après nos ébats. Je lui prends une serviette pour sécher mon corps venant de retrouver une nouvelle fraicheur avant de la rouler avec les draps et de lancer sa machine. Je vais chercher mes habits pour redevenir celle que je suis et j’en profite pour passer un coup sur la table et le sol avec ses produits d’entretien.
Je fonds sur lui comme un oiseau de proie sur sa pitance pour la journée. D’un baiser sur ses lèvres endormie je passe à l’action et me penche sur chaque souvenir que nous venions de partager pour en édulcorer ces derniers. Je teignais mes cheveux blonds d’un roux aussi flamboyant que nos ébats étaient sulfureux. Je changeais les détails de mon visage pour le changer en une belle inconnue avec les traits qu’il apprécie voir, transformant l’émeraude surnaturel de mes yeux en un vert intense et profond naturel.
Notre rencontre factice s’est déroulée dans un bar qu’il fréquente, une américaine de passage qui allait repartir ce jour-même. Je sais qu’il était triste à l’idée que cela se passe ainsi, mais c’est ainsi que cela doit se passer. C’est mieux pour lui comme pour moi. Je lui laissais néanmoins le souvenir du Secret s’en allant après un baiser fougueux pour sceller notre entente, comme une promesse d’une autre chance où nous pourrions nous retrouver à nouveau tous les deux et où cette fois... je resterai vraiment dans ses bras pour combler cette éternelle solitude.
Je pliais bagage pour m’en aller et fermais la porte pour rentrer à ma demeure et quérir à mon tour un repos mérité, bordée par une soirée bestiale et tendre comme je n’en avais pas connue depuis des années.
Dans un dernier sursaut pour me convaincre de rester, il me saisit avec un regain de vaillance après un grognement bien étrange et bougon, comme on grommelle à cause d’une chose qui nous ennuie. Relevant mes cuisses, il m’empala une dernière fois, butinant ma rose avec tendresse comme une première fois après le bal de fin d’année. Ses gestes étaient très tendres et doux au point que je me suis demandé si c’était le même homme qui était là en train d’essayer de me convaincre avec le creux de ses reins de rester plus longtemps.
Ses mains étaient chaudes dans mon dos, sa tête humide de sueur entre mes seins, apprenant de moi mes formes et mon odeur pour tenter de l’ancrer dans sa mémoire comme si cela pouvait le sauver de l’inéducable. Quoi qu’il décide, quoi qu’il fasse, j’avais déjà décidé de faire disparaître mon image dans sa tête pour la remplacer par un autre visage, une autre couleur de cheveux, d’autre vêtement. Il est triste là pour le moment, mais son souvenir se préservé et vivace, mais lorsqu’il me reverrait, il ne me reconnaitra pas.
Alors qu’il abandonnait la partie et s’avouait vaincu, je décidais de rester un peu plus longtemps tandis que ces yeux s’obscurcissaient. Je lui pris les mains, pour qu’il m’enlace en passant sur le flanc, nous enroulant dans ses draps avec lui, dépassant l’image qu’il avait de la fin de cette soirée.
Je continuais de masser tendrement son membre de quelques délicates caresses affectueuses comme on flatte l’égo d’un roi. Je lui fis franchir une dernière fois les lisières de ce terrain conquis bien que sans aucune trace de son passage contrairement à des terres tout à fait exotiques. Je me lançais dans une lente gesticulation érotique avec mes reins dans le but de voir si l’abandon de son âme était total. J’allais continuer jusqu’à qu’il cesse toute forme de tribulation, ses mains sur mes collines, mon corps tout entier dans ses bras musclés, son cœur en péril à l’idée de rester seul, l’allait lui offrir une lente agonie.
Une fois mon aimé éphémère endormi, je m’attelai à une nouvelle tâche. Effacer ma présence. J’allais tout d’abord m’extirper de son étreinte en douceur, tirant les draps avec moi dans mon sillage pour en débarrasser le lit avant d’aller lui jeter un nouveau, propre pour le couvrir. Je me glissais dans sa douche pour effacer les traces de son sacrilège de nacre qui avait déjà beaucoup fait couler d’encre après nos ébats. Je lui prends une serviette pour sécher mon corps venant de retrouver une nouvelle fraicheur avant de la rouler avec les draps et de lancer sa machine. Je vais chercher mes habits pour redevenir celle que je suis et j’en profite pour passer un coup sur la table et le sol avec ses produits d’entretien.
Je fonds sur lui comme un oiseau de proie sur sa pitance pour la journée. D’un baiser sur ses lèvres endormie je passe à l’action et me penche sur chaque souvenir que nous venions de partager pour en édulcorer ces derniers. Je teignais mes cheveux blonds d’un roux aussi flamboyant que nos ébats étaient sulfureux. Je changeais les détails de mon visage pour le changer en une belle inconnue avec les traits qu’il apprécie voir, transformant l’émeraude surnaturel de mes yeux en un vert intense et profond naturel.
Notre rencontre factice s’est déroulée dans un bar qu’il fréquente, une américaine de passage qui allait repartir ce jour-même. Je sais qu’il était triste à l’idée que cela se passe ainsi, mais c’est ainsi que cela doit se passer. C’est mieux pour lui comme pour moi. Je lui laissais néanmoins le souvenir du Secret s’en allant après un baiser fougueux pour sceller notre entente, comme une promesse d’une autre chance où nous pourrions nous retrouver à nouveau tous les deux et où cette fois... je resterai vraiment dans ses bras pour combler cette éternelle solitude.
Je pliais bagage pour m’en aller et fermais la porte pour rentrer à ma demeure et quérir à mon tour un repos mérité, bordée par une soirée bestiale et tendre comme je n’en avais pas connue depuis des années.
“le temps des séparations”
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